Archive jusqu'au 08/mai/2004

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2004: Archives Mai 2004: Archive jusqu'au 08/mai/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nectar (Nectar) le samedi 08 mai 2004 - 18h16:

CHER BREITOU,

Je me présente, je me fais surnommer NECTAR, j'ai l'age de la logique, je suis entre l'adolescence et la sénescence, mes parents sont des expatriés de la culture Tunisienne, moi même aussi d'ailleurs.

Je dors avec mon minou, qui ronronne de temps en temps, et je vis dans un monde béotien.

J'adore la culture Tunisienne, le TFADLIC de notre Breitou national, surtout dans son PTB, j'aime aussi la Goulette, sa nechma, son TGM, sa plage et ses clowns.

J'aime la bonne cuisine, l'humour, le très bon vin et la VODKA congelée et bien entendu aussi le site HARISSA.

Maintenant tu me connais un peu mieux, permet moi de te tutoyer.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Raphael (Raphael) le samedi 08 mai 2004 - 17h49:

est ce le fameux terrain du charbonnier ?
Code Description
:c/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le samedi 08 mai 2004 - 10h16:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Bébert protège une espèce en danger.

c:/


Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 08 mai 2004 - 09h10:

Tu as mangè Chinois chez CHITOI alors......????
Bon, excuse moi, mais on ne se connait pas et déjà en ce tutoie....! Présentez vous au moins
NECTAR..INE.....Qui est vous donc...! Je commence à me perdre entre LEBLANC,MONETTE et vous, je ne sais plus qui est qui...!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 07 mai 2004 - 08h38:

Ye la DOUDA, pourquoi l'as tu faites si moche la MONETTE...?

Heureusement que tu as introduit un coeur en arrièrre fond, pour attènuer un peu son chem.....!

Mais quelle classe toi et moi, deux jeunes premiers PAN PAN qui vont draguer des vieilles...

Tu savais que Monette à 75 ans...? :) :) :)
Je viens de l'apprendre....et moi qui pensais qu'elle en avait beaucoup..... mais beaucoup moins....moins de 23 ans, taht ma ouehda yajoujja...:) :) :)

Continue à me faire chikher DOUDA....vois si tu ne trouves pas une Mââda, à interner.....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Leblanc (Leblanc) le jeudi 06 mai 2004 - 22h55:

La Douda, pour la photo des canards, tu ne pouvais pas me
trouver une autre compagne que cette oie...?


C'est vrai que les oies ne volent pas toujours mais :

monimage

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 06 mai 2004 - 22h45:

Madame Axelle, pour le ville, j'ai consultè mon pendule, c'est Jérusalem, mais pour le vieux avec la canne, il me répond que c'est BELEBOU en louba...:):) :)

Ejjè me youssalla Axelle, en Israel...!'

Le jour où vous foulerez la terre Sainte, j'allumerais mille et une bougies...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 06 mai 2004 - 22h18:

LES JUMELLES


Albert Simèoni.
L' Enfant de la Goulette.

1° Episode passe le 27/4, 29/4, 3/5.

Le 11/8/2003,

Roman.

Chapitre IV.

Résumé des précédents épisodes..

Madeleine et Aurèlie Hamelin, suite au décès par accident de leurs parents, dans un incendie de leur appartement, se retrouvent à 5 ans, orphelines .Elles sont prises en charge par la DASS. Elles sont pupilles de l'état. Madeleine, au caractère fortement marqué, ne tient pas en place. Mise dans un foyer d'accueil, elle fuit. Reprise, l'administration la place dans un centre de rééducation, là encore, elle se sauve pour tomber à 18 ans entre les mains d'un gigolo. Sa sœur Aurèlie, plus calme et studieuse se destine à des études de droit.
Un certain Monsieur Paul, tombe amoureux de Madeleine et veut la sortir de cet enfer. Mais c'était sans compter avec son gigolo, qui soupçonne sa 'concubine ' de lui préparer un coup. Aurèlie décide de partir pour les states. Elle se destine au barreau américain et rencontre un avocat John-Marcus. Ils emménagent à Philadelphie après leur mariage.Tout semble leur sourire dans leur grande maison de campagne. Madeleine, de son coté, en France, décide de suivre son amoureux de client. A Charroux, pas loin des Vosges, ils louent un appartement et projettent d’en avoir plus sur la scierie de son père.



'…..Détournements…'

Monsieur Paul est un homme qui a encore gardé sa jeunesse malgré les grandes responsabilités qu’ils avaient en tant que patron. Le temps et les soucis n’avaient pas eu de prise sur lui. Ses employés aimaient ce directeur au cœur charitable, humain et affable qui subvenait en secret à leurs petits problèmes personnels. Un homme de cœur qui a vu ses parents autrefois, trépassés alors qu’il était jeune. Son courage, l’ambition et l’acharnement au travail, l’aidèrent à s’en sortir. Il avait d’abord commencé à travailler comme manutentionnaire dans cette entreprise de papier avant que son vieux patron reconnaissant en lui de très grandes qualités et aptitudes, le promut directeur adjoint. Puis, plus tard, il acquit son entreprise quand l’heure de la retraite sonna. Il fit un prêt bancaire pour cette acquisition grâce aussi à l’intervention de son ancien patron auprès de la banque.

Au petit jour, ils se mirent à éplucher les petites annonces du journal local ‘LES VOSGES MATIN’ tout en écoutant la radio. Une petite annonce radiophonique attira leur attention. Un particulier laissa son numéro de téléphone pour proposer son appartement à la location ; une affaire urgente devait l’obligeait à monter à Paris. Ils conclurent l’affaire. L’appartement était composé de trois pièce avec vue sur la place et avec comme décor la grande foret de conifères.

Pour la première, Madeleine trouva le calme, loin de Paris et de ses déboires. Elle pouvait à présent respirer, après de si longues années qu’elle jugeait sales. Madeleine retrouva le sourire, celui qu’elle avait quand elle n’était qu’une enfant.

Le nouveau couple meubla leur maison avec goût. Les voisins, un peu méfiants au début, voyaient à présent ce couple avec plus de sympathie. On n’aime pas trop les étrangers dans ces régions retirées. Mais la gentillesse de Monsieur Paul et aussi celle de Madeleine, ont vite fait taire les suspicions à leurs égards.

Monsieur Paul, toujours à l’affût d’une affaire, se renseignait à droite et à gauche, liant amitié avec le patron du bar ‘ Au petit Vosgien’. On passa bien vite aux confidences et là, il apprit par la bouche même de Monsieur Gérard, le patron du bar, qu’il existe bien une scierie du coté de lac de Montserrat, là haut, enfouie dans les montagnes de pins, toujours en activité sous le nom de HAMELIN-DU BOIS, mais à vendre.

Sur le moment, il ne crut pas ses oreilles, sa ‘femme’ disait donc vrai. Il s’empressa d’aller lui annoncer la nouvelle. Madeleine ne pu retenir ses larmes. Pour la première fois, depuis si longtemps, elle pleurait pour quelque chose qui méritait qu’elle le soit. Elle embrassa son ‘bienfaiteur’ comme elle ne l’avait jamais fait auparavant. ‘Je t’aime ... ! Madeleine..’ Lui répondit il. La fille Hamelin ne ferma pas de l’œil de toute la nuit. Elle rêvait de prendre possession de son bien extorque, dés le lendemain. Mais, elle dû, bien vite déchanter, sous les conseils de son Paul qui lui soufflait d’être plutôt patiente car l’affaire n’était pas facile à dénouer.

‘...Il faut procéder par étapes.... !... ! On ne vient pas se présenter devant des gens et leur annoncer que cela m’appartient...Il faut des preuves... ! Soit calme... ! Chérie...!’

Elle ressentit se ‘Chérie’ bien différemment de celui de son ancien gigolo qui n’avait aucun respect pour elle. Elle, qui en recevait aussi des dizaines et des dizaines d’autres de la part d’une faune d’hommes mariés, véreux, sadiques, pervers et d’hystériques en tout genre.

Elle appréciait à présent ce ‘Chérie’ dit avec amour.

‘...Ecoutes Madeleine, demain, je monte avec Gérard, là haut. Je vais allez visiter de plus près la scierie... !’
‘...Je viens avec toi... !’
‘...Non.... ! Surtout pas, laisse moi faire, je réfléchis à quelque chose... !’

Il est 11 onze heures du matin, lorsque Gérard et Monsieur Paul, grimpent dans la 404 familiale du patron bar man.. Les premiers chemins de terre sinueux, bordés d’arbres, sont abordés. Ils s’enfoncent dans la forêt. De chaque coté, de la route sinueuse, de très grands pins et chênes s’élèvent majestueusement vers le ciel. Le spectacle est grandiose, Monsieur Paul en profite pour humer un grand bol d’air vert et frais.

Les rayons de soleil peinent à violer les grandes ombres de tous ces conifères, serrés les uns aux autres. Des ravins presque sans fond, des cuvettes de verdure s’offrent à ses yeux. Il est enchanté par le décor.

‘...Quel beau paysage sauvage Gérard... !’
‘...Je connais tout ça depuis mon enfance, mais cela fait un bail que je n’y suis pas monté..’ !

Un gros camion chargé de gros troncs de bois arrive en sens inverse. Gérard doit manœuvrer habilement pour laisser passer le mastodonte, Le regard de Monsieur Paul est attire par une inscription imprimée en rouge sur fond bleu, sur l’un des côtés du camion....’ Scierie Hamelin-Dubois. Vente et découpe de Bois.

‘...Ah si Madeleine voyait ça.... ! ‘Dit il à haute voix à son compagnon plus concentré à conduire qu’à entendre.

Une demi-heure plus tard, après une traversées chaotiques, ils arrivent enfin aux abords de la grande scierie. Ils sont impressionnes par la grandeur des lieux, et aussi par tous ces milliers de troncs qui gisent les uns sur les autres, en bon ordre, et classés selon leur longueur et grosseur.
Sur les écorces craquelées et sèches, on pouvait remarquer, des chiffres et des lettres alphabétiques inscrits à la craie, ou d’un marqueur spécial à cet effet. Tout était en ordre.

Des ouvriers habillés de blouses blanches s’affairent autour d’un grand palan tandis qu’une dizaine d’hommes en casque, s’apprêtent à monter dans une Chevrolet, harnachés de diverses cordes et singles avec divers mousquetons aux extrémités. Les bruits des scieuses
parviennent à leurs oreilles. Des baraquements aux toits de tôle sont installés dans un coin de l’immense terrain.

‘...Sans doute les bureaux... !’ Dit Gérard à son ami.

Une barrière de sécurité leur interdit l’entrée. Un grand gaillard, le gardien des lieux arrive vers eux...

‘...Bonjour... ! Messieurs.. !’
‘...Nous venons pour affaire, Monsieur... !’
‘...Qui dois-je annoncer à Monsieur Anglade.. ?’
‘...Dites lui Monsieur Gérard et Monsieur Paul, nous n’avons pas pris de rendez-vous, mon ami est de passage dans la région... !’

L’autorisation de franchir la barrière, leur est accordée et nos deux compères pénètrent dans la fabrique. Ils se garent juste à quelques mètres des bureaux. Monsieur Anglade, le propriétaire des lieux les accueil, debout sur le seul de la baraque.

‘...Bonjour Messieurs... ! Aaaaaah...... ! Ce cher Gérard, notre brasseur, comment allez vous cher ami... ? Qui est donc ce monsieur qui vous accompagne... ?’
‘...Bonjour Honoré, c’est un ami qui est de passage avec sa femme, il loge provisoirement dans la vallée... ! Au centre ville..... ! Il est là pour affaire.... !’
‘...Mais... ! Rentrez donc.... ! Puis-je vous offrir quelque chose avant de visiter la fabrique.. ?’


A suivre...


q

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 06 mai 2004 - 22h14:

MONSIEUR LEBLANC CHE NEIGE....Dites moi s'il vous plait, une correspondante que j'apprècie bcp me demande de vous dire MAIS QUI A ETE TRAITE D UN NOM D OISEAU SUR ADRA....? ON EST EN PLEIN DELIRE......DANS LE CON BUIS MEME....
ECLAIREZ NOUS ENCORE.....MERCI DE METTRE DE L'AMBIANCE ICI....LA COTE D HARISSA EST ENTRAIN DE FLAMBER....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 06 mai 2004 - 22h07:

C'est l'histoire d'un type qui part en vacances.
Pour ne pas s'encombrer, il confie à son voisin, son chat et sa belle mère.
Quelques jours plus tard, il est en vacances, il appelle son voisin pour prendre des nouvelles.
Il lui demande :
- Comment va mon chat?
L'autre lui répond :
- Ton chat est mort.
Il lui dit qu'il est vache de lui annoncer sèchement la nouvelle, comme ça :
- Par exemple, t'aurais pu me dire, la première fois que je t'appelle ton chat est sur le toit, on n'arrive pas a le rattraper. Ensuite, la deuxième fois que je t'appelle, tu m'aurais dit que mon chat maigrit a vue d'oeil, et, seulement la troisième fois, tu m'aurais annoncé sa mort.
Mais là, c'est trop horrible.
Passons!
Comment va ma belle mère?
L'autre lui répond :
- Ta belle mère est sur le toit, on n'arrive pas a la rattraper.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 06 mai 2004 - 22h02:

D E T O U R N E M E N T S IV Dans quelques instants.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 06 mai 2004 - 21h57:

D'autre part Monsieur LEBLANC, les phamphlets ca me connait, je peux vous en faire des centaines et des centaines sans plagier Monsieur de la Fontaine, et croyez moi je suis flattè si vous pensez que je 'plagie'.

La DOUDA qui est un expert en la matière de recherche de plagiat, ne m'aurait fait aucun cadeau.Et d'ailleurs, je suis sans doute un des rares paons, qui indique mes sources ici. Sans honte.

Je mets au défi quiconque ici ou ailleurs de m'apporter la preuve de mes plagiats comme vous l'avez sous entendu.

Mais un homme ou une femme, que sais-je, peut être un ami ou amie qui me veut du bien sans doute, comme vous, habillè de blanc, donc pur et vierge, ne peut se permettre de faire des sous entendus sans preuve, il y va de votre honneur pas du mien, le mien n'a pas besoin d'être lavè plus blanc que vous l'êtes.

C'est un grand honneur que vous me faites là.

'Ajoujè ou chedet saraq...'