Archive jusqu'au 03/octobre/2006
Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2006:
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SUSYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYY on t'a demandé l'heure ?
Ici tié chez les Tunes !OK !
Elsa ti di rien toi ???
M.Germain s'est trompé de code-barre. Le vrai est celui-ci, il ouvre les boîtes de slata mechouia.
meyr, je dirai meme plus, ils se sont fait piquer le piquant,qui etait sans doute destine a un grand pique nique.
mdr albert, la pauvre mamili.
et toi t'avais 20 ans?
Ainsi donc, cela se confirme, les deux contrebandiers trafiquaient de la slata mechouia. Cela ne manque pas de piquant.
Ils alimentaient les guerilleros de la pampa en échange de tabac.
6°
Suite.
‘…Maître… ? Bonjour… !’
‘…Ah... ! Bonjour M. Robillion… ! Et ce voyage… ?’
‘…Bien.. ! Bien.. ! J’ai besoin de vos services… !’
‘…Au sujet de l’affaire Redom… ?’
‘…Non… ! Voilà, si une jeune fille du nom de Marjolaine Simpson vous appelle dans les prochains jours, je vous serai reconnaissons de lui dire que j’ai entamé une action de divorce d’avec ma femme… !’
‘…Je ne vous comprends pas M. Robillion… ?’
‘…J’ai besoin d’un mensonge de votre part… !’
‘…Comment… ? Vous voulez que je dise que vous entamez une procédure de divorce d’avec votre femme… ?’
‘…Oui, exactement.. !’
‘…M. Robillion, vous voulez que je vous couvre par un mensonge… ?’
‘…Vous avez tout compris… !’
‘…Mais cela ne fait pas parti de mes prérogatives…. ! Enfin.. ! Mais dans quel but… ?’
‘…Que perdez-vous à le faire…. ?’
‘…Vous voulez que je passe pour un menteur alors que ma fonction m’interdit ce genre de choses…. ?’
‘…Dites-moi Maître… ? Que faites-vous lorsque vous plaidez dés causes douteuses, dois-je vous rappeler les affaires scabreuses dans lesquelles vous vous êtes mouillés et qui vous ont valu un blâme par l’Ordre des Bâtonniers ????’
‘…Je ne fais que mon métier… ! Monsieur Robillion, cela arrangeait vos intérêts que je le fasse et aujourd’hui vous vous m’impliquez dans une affaire dont je ne comprends rien.. !’
‘…Si vous refusez mon petit service, ma mémoire pourrait faire ressurgir de biens et vieux démons en ce qui vous concerne…. !’
‘…Vous me faites du chantage … ?’
‘…Juste lui dire que vous procédez à l’établissement d’un acte de divorce…. ! Ce n’est pas trop vous demandez, et basta.. !’
‘…Je le ferai … !’
‘…Merci… !’
A suivre…JEUDI PROCHAIN BH.
RM
Il a de la gueule le méc...!
On dirait EDDY CONSTANTINE...
Récit Policier.
Tous les évènements narrés dans ce récit sont imaginaires.
Paris le 27/06/2006.
Monsieur Marcel Robillion…………………...L’Homme d’affaire.
Madame Angle Robillion…………………… Son épouse.
Mademoiselle Marjolaine Simpson………………. La maîtresse de Mr.Robillion.
Monsieur Didier Robillion…………………… Le fils.
Mademoiselle Charlotte Robillion…………………La fille.
Maître Jean Charpas…………………………L’avocat.
Garage Lambert
Miguel un mécanicien.
Josè le second mécanicien.
Les inspecteurs Boulakia, Gilbert, Azzou.
Le CODE BARRE….
Encore une enquête de l’inspecteur Boulakia qui l’a mené à élucider un crime crapuleux qui, au départ le rendait sceptique.
Sa perspicacité et son savoir-faire ont prouvé une nouvelle fois combien est grande l’imagination et la préméditation dans les montages sophistiqués d’un crime que certaines personnes aveuglées par la passion, la folie, par la cupidité, histoires d’héritages, la vengeance, la jalousie ou par la gratuité du forfait, maquillent afin de faire porter le chapeau sur autrui.
Bref tout y passe depuis CAEN ET ABEL.
Dans l’affaire qui nous concerne un détail presque dérisoire a fait tomber le coupable.
Un homme d’affaire voyageant souvent de par le monde.
Et des hommes d’affaires qui voyagent sont légions et pour la plupart d’entre eux tentés par le cul des femmes.
Rares sont ceux qui ne le sont pas.
Une maîtresse quoi d’anormal me diriez vous par les temps qui courts.
C’est si banal que certaines femmes s’en accommodent.
Monsieur Robillon Marcel, 58 ans, est de cette espèce d’hommes qui collectionne les aventures autant que les voyages.
PDG d’une grande entreprise de téléphonie, il s’amourache d’une jeune fille de 25 ans, Marjolaine Simpson, citoyenne américaine, étudiante et vivant seule à Baltimore.
De parents riches, son papa est aussi PDG dans son entreprise qui vend des armes un peu partout dans le monde. Un marchand d’armes.
Monsieur Marcel est marié. Père de 2 enfants Didier et Charlotte, tous deux âgés respectivement de 28 ans et 23 ans.
Sa femme Angèle, 45 ans, malgré son entre deux âges, est restée très belle. Epouse raffinée, elle est issue d’un milieu modeste.
A suivre………………
Marcel et Angèle se sont connus sur les bancs de la fac en mai 68. Une année faste qui a vu les rues de Paris et celles des provinces s’embraser.
Angèle soupçonnait bien son mari de ses turpitudes mais sa bonne situation et son bien être ne pouvaient être remis en question à cause de ces ‘volageries’.
Elle fermait les yeux.
Elle acceptait cet état de choses d’autant plus que son mari est un homme autoritaire qui ne supporte aucune remarque sur la manière dont il mène sa vie.
La richesse souvent peut se permettre quelques arrogances.
Sa présence au foyer se compte en heures, mensuellement et ses absences, en semaine.
Patiente et amoureuse et surtout lasse, la bonne épouse s’y résout et finie par vivre cette union bancale, entourée par ses enfants adultes qui viennent de temps à autre lui rendre visite..
Deux enfants qui l’adorent et qui, loin d’être indifférents au sort de leur mère, s’interdisent de prendre fait et cause pour elle. Cela se comprend.
Monsieur Marcel, malgré la distance qui le sépare de Marjolaine, passe plus de temps chez sa nouvelle maîtresse qu’auprès de sa femme.
L’amour qu’il porte à sa jeunette l’accapare à un tel point qu’il se confie un jour son projet, celui de la prendre pour épouse.
Il y tient absolument.
Marjolaine semble gênée par cette proposition.
A suivre………….
PASSE LE 26/09/2006. PTB.
‘…Mais il y a ta femme Marcel…. ! Et cela me paraît insensé de divorcer, nous pouvons vivre ainsi en concubinage… ! Cela ne me gêne pas… !’
‘…Moi si … ! Je veux vivre près de toi, finir mes jours près de toi… ! Et puis faire comme si rien ne se passait chez moi me paraît saugrenue… ! Je ne supporte plus de jouer la comédie… !’
‘…Et tes enfants…. ?’
‘…Mes enfants sont adultes… ! Je leur parlerai… ! Ils s’en accommoderont.. !’
‘…C’est absurde enfin, mais pourquoi compliquer les choses… ?’
‘…Tu refuses mon offre…. ?’
‘…Je ne refuse pas … ! Laisses moi le temps de réfléchir…. !’
‘…Il n’y a plus rien entre elle et moi… ! Marjolaine… ! Je suis fou amoureux de toi.. !’
‘…Tu me fais peur…. !’
‘…Peur ??? Mais pourquoi enfin… !’
‘…Cela m’arrive trop vite… ! Nous nous connaissons que depuis 9 mois, après tout.. !’
‘…Et alors, tu ne trouves pas que cela fait long… ?’
‘…Long.. ! Long… ! Pas assez ... ! Je n’ai que 25 ans et j’aspire à vivre … !’
‘…A vivre ??? Mais tu auras tout ce que tu veux.. ??’
‘…Mais crois -u qu’il faut avoir tout pour vivre heureuse… ?’
‘…Je ne comprends rien, jusqu’à présent tu n’as pas soulevé de problème… ?’
‘…Tu ne m’as jamais parle de mariage … ! Et ta proposition si surprenante me donne le tournis.. ! Comment puis-je vivre une union bénie tant que ta femme est là, entre nous moralement… ? Comme un doigt entre deux écorces… ! ‘
‘…Elle va demander le divorce. Je lui paierai tout ce qu’elle veut pourvu que l’on se sépare à l’amiable.. !’
‘…Le divorce ??? Mais tu ne m’en as jamais parle… ?’
A suivre…
Monsieur Marcel ment pour apaiser le doute de Marjolaine.
‘…Je ne voulais pas te le dire tant que les choses n’avaient pas évoluées. Nous avons rendez-vous devant le juge très prochainement. Je la soupçonne d’avoir un amant… ! Donc tu vois, cela ne va très fort entre elle et moi… !’
Là aussi M. Marcel ment.
‘…Ta femme a un amant.. ? Là aussi je n’en savais rien… !’
‘…Bien maintenant tu sais tout… !’
‘…Tu as un avocat je suppose ????’
‘…Oui, bien sur.. ! Pourquoi… ?’
‘…Comment s’appelle t’il ???’
‘…Mais tu ne me crois pas là…. ?’
‘…C’est à dire que je veux savoir, sans entrer dans les détails… !’
‘…Maître Chiapas.. ! Du barreau de Paris… ! La confiance règne… ! A ce que je vois… ! Tu comptes l’appeler pour vérifier… ?’
‘…Non, pas du tout, c’est une curiosité, sans plus... !’
‘…Curiosité à porter sur le genre féminin.. !’
‘…Oui c’est bien cela... !’
‘…Tu revins quand Marcel…. ?’
‘…Dans une semaine, je règle mes affaires et je t’appelle… !’
‘…Ok… !’
La conversation prend fin dans son appartement.
A suivre….
Passe sur le PTB LE 27.09/2006.
5°
Marjolaine est perturbée par la proposition de son amant.
Elle qui pensait penser vivre une amourette de quelques mois, là voilà prise en porte à faux avec ce projet de mariage d’autant plus que son père voyait d’un très mauvais œil cette relation entre elle et ce magnat.
M. Simpson avait d’autres projets pour sa fille.
Un ami célibataire très haut placé qui avait jeté son dévolue sur sa fille.
Il en parla à sa fille bien sur, comme tout bon papa qui veut voir sa progéniture vivre une belle union sans remous, sans complication.
Il s’en veut un peu de ce rapprochement entre sa fille et M.Marcel.
Cela s’était passe lors d’un colloque. Il eut le tort de lui présenter sa fille.
Comment prévoir que cela allait prendre une tournure malheureuse, du moins c’est comme cela qu’il voyait cette union contre ‘nature’. M. Simpson est un fervent catholique et ce genre de concubinage est immoral à ses yeux.
M. Marcel rentre à Paris et la première chose qu’il fait et d’appeler son avocat Maître Chiapas.
A suivre Le 6° chapitre tout à l’heure.
CE SOIR
lE CODE BARRE....DEUX CHAPITRES....
FILM POLICIER.
L'écriture du long métrage est terminèe.
Je pose les plans.
LA CHANSON DU FILM EN AVANT PREMIERE.
CHANTEE PAR MAMILI HROUCHOUT.
Adieu .///
Notre puits de pétroOOOle.
Vive les régimes de banAAAAanes
Au PérouUUU.////
Tout n’est pas roOOOOse
Pour nos acteurs qui prennent la pose.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Zapata ../////
N’aurait pas mieux faIIIIit
Pas même l’autre Pancho Pensa
Qui pense encore s’enrichiIIIIIr
Sur le dos de son ami AlLLLLbert.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Quels drôles de numéroOOOOs
PabLOSSSSSSSSSSSSSS…. ! §§§§§§
Tous ces harissiens et harissiennes en péruviens
Ou péruvieEEEEnnes
Qui s’en donnent à cœur joIIIIie.///§§§§
Manque plus la flûte
Pour faire danser leurs banaAAAAnes
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Sur les bouts de leurs lèvres.
Mon D ieu quelle histoire…..§§§§§§
Elle n’en finie paAAAAAs.
Pour 16 numéros déEEEEErobés
Nous avons un listing de préEEE.////..Posés
Qui se transforment en paysannes
Guérilleros sous un masque d’innocEEEence.
Mais quelles.////
Drôles de daAAAAAmes….§§§§§§
Avons- nous là.. ???§§§§§§
Sous le soleil du PérouUUUUUUUUUUUUU.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
L’escroc a crée une République BanaAAAAnière.
Sous sa belle bannIIIIière..§§§§§
Une véritable chaudière
Qui a attiré tous les espions de la teEEEErre.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Chanson
Paris le 3/10/2006.
Passe ce jour au PTB.
Vous….////
Vous….////
MadaAAAAAme aux doigts de féEEEEe.
EEEEEEEEEEEEEEEEE…..H
Vous maniez vos pinceaux
Avec tant de rigueur
Que j’en éprouve du plaisiIIIIr…./////
Et fiertèEEEE……..
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
MoIIIIIi…
Qui ne sait que palabreEEEr….
Vous m’illustrez avec beaucoup de bonheur.
D’un Jano équilibriste
Sur son trapèze bien ridicule
Ou bien l’autre dans une piscine bien barbuUUUU
Vous avez mis mon illustre portraiIIIIIt
Dans toutes les sauces ‘ragoutéEEEEEes’.
Que puis-je faire ????
Que puis-je diIIIIIre ????
Devant tant d’habileté EEEEEE
Mon silence vaut fermetéEEEE
Je vous laisse me triturer…
A vos aises…§§§§§
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Sans vous Madame, Messieurs
Mes textes seraient insipides
Il y manquerait de la couleur..
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§