Par Albert (Albert) le jeudi 13 mai 2004 - 21h47: |
Albert Simèoni.
L' Enfant de la Goulette.
Le 11/8/2003
Roman.
Chapitre VI
Résumé des précédents épisodes..
Madeleine et Aurèlie Hamelin, suite au décès par accident de leurs parents, se retrouvent à 5 ans orphelines et prises en charge par la DASS. Madeleine, au caractère fortement marqué, ne tient pas en place. Mise dans un foyer d'accueil, elle fuit. Reprise, l'administration la place dans un centre de rééducation, là encore, elle se sauve pour tomber à 18 ans entre les mains d'un gigolo. Sa sœur Aurèlie, plus calme et studieuse se destine à des études de droit.
Un certain Monsieur Paul, tombe amoureux de Madeleine et veut la sortir de cet enfer. Mais c'était sans compter avec son gigolo, qui soupçonne sa 'concubine ' de lui préparer un coup…
Aurèlie décide de partir pour les states. Elle se destine au barreau américain et rencontre un avocat John-Marcus. Ils emménagent à Philadelphie après leur mariage. Tout semble leur sourire dans leur grande maison. de campagne.
Madeleine, décide de suivre son amoureux de client. A Charroux, pas loin des Vosges, ils louent un appartement et projettent d'en savoir plus sur la scierie de son père}
Accompagné par un ami brasseur, Monsieur Gérard, Monsieur Paul, décide d'en savoir plus, sur la scierie. Les deux amis rendent visite au nouveau propriétaire. Ils sont reçus par ce dernier dans son bureau.}
Monsieur Anglade se révèle être le demi-frère de Monsieur Pierre, né des amours du père de Pierre, André. Ne l'ayant pas reconnu, il en nourrira une haine envers lui. De fil en aiguille, nos deux amis en apprennent un peu plus sur ce demi-frère qui prétend avoir acheté le domaine en toute régularité. Monsieur Anglade fait la connaissance de Madeleine Hamelin.}
'….Détournements ….'
Madeleine…
-'Vous prétendez être le demi-frère de mon père, sans preuve, je vous crois, moi, mais là où tout n'est pas clair c'est dans l'acquisition de cette fabrique qui en principe nous revenait de plein droit à notre majorité…! Sans compter les autres biens en argent et appartement dont on n 'a pas vu un seul clou…!'
-'Si les journaux s'en emparaient encore une fois de cette affaire, elle vous mettra mal à l'aise Monsieur Anglade…!' Ajouta Monsieur Paul.
-'Mais l'acquisition de ma scierie…!'
-'Votre scierie…..? Monsieur l'ancien chef des impôts….? Nous avons relu les journaux d'époque et malheureusement votre nom est cité à plusieurs reprises dans des affaires véreuses…!'
-'Je ne crains personne et mon acquisition s'est fait le plus normalement possible…!'
-'A combien déjà l'avez- vous acheté…? A un franc symbolique puisque vous avez menacé, discrètement les autres potentiels acheteurs de les redresser…!' Est- ce bien cela…! N'est ce pas…! Monsieur Anglade…? Avec la collaboration de Maître Florentin..!'
-'Ah…! Je vois que Monsieur Gérard, vous a bien renseigné…! Ce collaborateur nazi..!'
-'Collaborateur nazi…? N'est-ce pas vous qui, pour ne pas voir votre usine séquestrée par les Allemands, aviez dénoncé tout le groupe de maquisards, puis avez fait courir le bruit que vous avez vu Gérard, parlementer avec les nazis…? On l'enferma et il eût de la chance, puisque le camion militaire qui l'emportait tomba dans un ravin, il fût le seul survivant du groupe du FFL à prendre la fuite et à ne pas vous dénoncer. Et cela savez vous comment je le sais..? Parce que ce fameux matin là, on a vu sortir de chez vous le commandant Nietztch, chef des nazis pour se rendre directement chez les autres maquisards en pleine nuit…!
Alors que vous, qui faisiez partie du groupe, les 'bochs', vous ont épargné..?'
-'C'est faux…! C'est une cabale qu'on a monté contre moi à cette époque et puis tout cela est du passe, je vous pris de sortir d'ici et de ne plus venir me harceler…!'
Ils laissèrent le Monsieur Anglade à ses réflexions, lui donnant le temps de revoir sa copie.
Madeleine, languissait Paris. Après de si longues semaines dans ce village, elle proposa à son 'mari' de s'y rendre pour y respirer l'air. Il acquiésa à sa demande.
Pendant ce temps, un symposium d'avocat devait se tenir à Paris, dans la salle des Congrès de la Porte Maillot. Quelques avocats américains de renom y étaient invités, et parmi le groupe Maître Aurèlie-Hamelin- Marcus. Dans l'avion qui la ramenait à Paris, elle tomba sur un fait divers. Elle apprenait qu'un certain Honore Anglade, propriétaire de scierie HAMELIN DUBOIS dans les Vosges à échappé par miracle à son suicide. Et qu'une enquête était ouverte pour déterminer les causes de ce suicide raté. Elle n'en revenait pas. Elle eût un sursaut de stupeur. Tout lui revenait en mémoire, ses parents, la scierie dont elle avait entendu parler et surtout sa sœur jumelle Madeleine…! Qu'elle n'avait pas vu depuis si longtemps. Mais comment savoir où elle habitait et surtout comment savoir si sa sœur était encore en vie. Elle était accompagnée de son fils Pierre-Marcus Junior et de sa fille âgée de 5 ans, Joséphine - Marcus. Elle était troublée par cette nouvelle.
De son côté, Madeleine, prit le train 'Mistral' de Clermont-Ferrand en direction de Paris. Pendant son trajet, elle jeta un coup d'œil par -dessus l'épaule d'un jeune voyageur, son voisin, sur les lignes du Figaro. Et là, elle faillit s'évanouir…
-'Pardon Monsieur, puis-je lire un instant cet article…!'
Le jeune homme lui passa le journal…En petite manchette de la première page, on pouvait lire qu'un congrès d'avocat allait se tenir à la salle Maillot mais là où elle fut étonnée, c'est qu'une certaine avocate de renom Maître Hamelin-John Marcus allait donner une conférence sur 'Le droit pénal aux Etats-Unis'. Elle feuilleta les pages et tomba nez à nez avec la photo de sa sœur Aurèlie. Elle froissa le journal pour cacher ses pleurs…
-'Il y a quelque chose qui ne va pas, Madame…?'
-'Si..! Si…! Ma sœur jumelle que je n'ai pas vu depuis de nombreuses années …!'
-'Ben…! Quelle chance et heureuse coïncidence que je fusse là avec mon journal…!'
Elle embrassa tendrement le jeune homme.
Si tôt arrivée, elle téléphona à son 'mari' pour lui annoncer la nouvelle.
Au palais des congrès, une foule de curieux se pressait à la porte centrale. Des avocats en tenue de ville arpentaient les couloirs avant le début de la conférence. Maître Aurélie Hamelin-Marcus, venait de faire son entrée sous les flashs des journalistes. Quand soudainement…. .
-' Aurèlie…..! Aurélie…! ' Arrêt sur image. Très lentement, Aurèlie détourne la tête et crut ne pas avoir entendu son nom. Le crépitement des appareils photo ne lui ont pas laissé le temps de bien entendre.
-'Aurélie….! C'est moi Madeleine….!'
Et là, Aurèlie, vient de se rendre compte que sa sœur était à quelques mètres d'elle. Au point que les badauds furent sidérés de voir deux 'avocates' en lieu et place d'une qui se ressemblait comme deux gouttes d'eau, mais habillées, différemment.
-'Madeleine….! C'est bien toi…?'
A suivre….
Par Albert (Albert) le jeudi 13 mai 2004 - 20h39: |
Tout à l'heure la suite de DETOURNEMENTS VI.
Par Albert (Albert) le jeudi 13 mai 2004 - 20h38: |
'...La guerre crèe des monstres, des barbares et des canibales..!'
Par Albert (Albert) le jeudi 13 mai 2004 - 08h15: |
D E T O U R N E M E N T S VI Ce soir vers
....21 Heures......Louken ââjebni...Si celà me plait yè Byabess bel aregma hericchè....
Tatayoyo, bonne journèe.....Reste .....Exactement...! Comme tu l'es...
Par Albert (Albert) le mercredi 12 mai 2004 - 19h23: |
Yè Emile, sans vanter ton papa, je vois dans ses yeux un homme de caractère, sans doute un meneur d'homme car il en impose par son allure et un bon mangeur aussi, au vu de son 'bden' ZAL'.
Oui, c'étaient des hommes bel chanabet pas comme ceux d'aujourd'hui des IMBERBES.
Je vois aussi dans son regard, le respect pour autrui et aussi un caractère qui ne souffre d'aucune contradiction, il devait aimer la discipline et ne devait pas supporter aussi les contraritès. Un cas de figure qui mérite le respect. Bon pour toi, c'est gratuit ma voyance.
Albert HAJ GUADIYEBOUCHANABET.
Par Albert (Albert) le mercredi 12 mai 2004 - 19h05: |
Yé la Douda, achantnè bel foul el lilè..
( Notre diner est fait de féves).
Au lieu de venir faire le malin, vient ici faire l'artiste. Alors , tu me contredis à présent devant mes amis d'en haut, du moins ce qui me reste encore, crois tu que je sois assez compétent pour écrire un texte comme ça.
Yé byabess.
Par Albert (Albert) le mercredi 12 mai 2004 - 08h26: |
Merci la Douda, quel beau poème, j'en suis tout raide. Pour bèlatre c 'est quoi encore, je vais ouvrir mon diction toutes les minutes.
Donne moi un synonime plus simple.
On continue alors dans la même envolèe ou en se prend une pause sur le lac Majeur..
Par Douda (Douda) le mercredi 12 mai 2004 - 01h32: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Par Albert (Albert) le mercredi 12 mai 2004 - 00h23: |
Corps sans amour.
Il n’est point de corps rassasie sans amour.
Il n’est point de sens assouvis sans amour.
Point de halètements sans pénétration.
Point d’extase sans grande jouissance.
Un corps sans amour est un corps qui sommeille.
Sans amour, il ne connaît pas de soubresaut.
Sans soubresaut, il ne frémit pas sous les assauts
Répètes par des doigts amoureux et frétillants
Nul gémissement ne sort de la bouche d’un corps sans amour.
Nul balbutiement ne s’entend des lèvres d’un corps énamoure.
Nulles paroles chaudes ne s’émettent d’un corps sans passion.
Aucune syllabe érotique ne née d’un corps sans chaleur ; non.
Par contre…
Un corps d’amour qui enfourche, est un corps vivant qui galope
Vers la source de son désir pour trouver son plaisir dans le fond
D’une crevasse remplit de rayons de soleil qui brûlent le cordon
D’amour.
J’ai un corps qui aime et qui hurle.
Une voix qui gémit et qui crie
Quand vient la montée de l’amour
Dans mon grand clairon au petit jour.
Par Albert (Albert) le mercredi 12 mai 2004 - 00h07: |
Qu’est ce que être Harissien.. ?.... Dafnèique... ?..... Ou Zlebiste... ?...
Est-ce qu’écrire deux ou trois mots, trois lignes toutes confondues , impliquent qu’un internaute de passage ici ou ailleurs peut s’affubler du nom d’Harissien ???
Je ne le crois pas car cela reviendrait à dire que Mahmoud, Cochonne ou Levy en visite privé à Paris ou guidée ailleurs devient par ce passage momentané, inopiné, un ressortissant de ce pays... ? Non, que l’on ne s’y trompe pas.
Pour acquérir la nationalité HARISSIENNE, il faut faire ses preuves, c'est-à-dire subir et se taire dans les tous premiers temps pour pouvoir par la suite, mériter ce titre. Une fois les premiers tests passés, et réussis le ‘con didat’ peut se prévaloir de ce titre de noblesse gratuit.
A mes débuts, j’ai encaissé et je me suis tu car je ne connaissais pas les règles du jeu d’un forum. Il est bon de se faire bastonner au début et encore car à ma connaissance personne n’ai sorti blessé ou handicapé d’ici et je n’ai jamais entendu les sirènes d’une quelconque ambulance.
Moi, j’ai le privilège grâce à mon ancienneté et à mon esprit sain ou malsain de m’être fait connaître comme un FEDLEG, un amuseur qui parle de tout et de rien, sans encombre.
On a compris que je ne fais de mal à personne même si dés fois, j’ai pu dériver et nuls, sauf les nulles, ne m’en ont tenu rigueur. Je m’en suis excusé et même demander pardon et celà à part les mauvaises fois, ne peut le nier.
Dans ce cas de figure précis, je ne ferais aucune plate excuse ou gazeuse.
Je me suis dérisionnè deux ou trois fois sans complexe et mes récits ici l’attestent.
Je ne peux donc me faire passer pour un paon. Ni pour une autruche.
Je suis comme je veux être. Parfois hlou parfois Mor.
Et je comprends mal que certains ou certaines viennent crier ‘Haro sur le baudet’..Mais comme on le dit dans ma culture
‘....Mkatar mel zboub el kleb...’ même si cela ne fait pas plaisir à ma mère.
Et que l’âne n’est pas celui qu’on croit.
Par Albert (Albert) le mardi 11 mai 2004 - 22h24: |
Monsieur le Webmaster,
Je ne sais combien de temps je suis abrité chez vous, et si ma mémoire est encore bonne, cela doit faire à peu près entre trois et quatre ans. Et depuis ce temps, à part quelques reproches de bon aloi, je me suis mis au diapason surtout sur Adra. Quoique dés fois, mon index irréfléchi a détourné certaines de mes réflexions de leur destination véritable ; café tmèniq ou le judéo bref, rien de bien méchant.
Depuis quelques temps, une dame me fait un procès d’intention ( lire sa remarque désobligeante du 13/4 ) où elle nous conseille d’aller consulter un psi.
Or à ma connaissance, cette ‘nouvelle harissienne’ qui fait ses débuts, ne peux se prévaloir de faire une quelconque remarque désobligeante vu son état de ‘noviciat’. La politesse et le savoir vivre aurait du l’inspirer, à savoir suivre les ébats et les débats au PTB avec attention or elle ne l’a pas fait. Sinon comment interpréter sa ‘sortie’ qui loin d’être galante et polie nous a légèrement stupéfié la Douda et moi.
Une peu habitué des convenances qui confond spectacle, théâtre avec je ne sais quoi de délirant car à ma connaissance, sur les planches du PTB, il n’y a pas de sujet tabou.
Nous vivons une époque où toutes les cuisses et autres organes délirants nous agressent au quotidien.
Bref, libre à chacun d’aller au Théâtre qui lui convient.
Nous avons cru que cette personne avait compris que nous rigolions sans mauvaise pensée , si je puis dire, des enfants qui titillent une nouvelle venue. Comme on le ferait avec une bouteille de gaz...zut pardon UN BIZUTAGE.
Il n’y avait pas de quoi fouetter un chat. Puis de fil en aiguille, sans doute encore mal inspirée par des amies, du moins je le pense, elle récidive avec plus de hargne. Elle parle de porc-nographie et d’autres mots savants tels BARBAPYGME, ONOMATOPES...Et vas y que j’ouvre le dictionnaire pour comprendre son charabia et même le Baudelaire, elle l’a réveillé en sursaut....Bref, à vrai dire je n’ai rien compris de ces élucubrations. Par manque de chance, j’ai consulté.....mon dictio ....Année 1920 et bien à ma grande surprise Barbapygmè et onomatopée y’ a pas....Alors, j’ai conclu qu’elle devait certainement parler de Pygmès barbares et autres onomatopée en tribu. Mes lacunes en français sont connues de tous ici alors ne m’en veuillez pas si je soulève ces deux mots qui doivent lui appartenir, il parait qu’elle a de la classe et qu’elle bien plus jeune que je le pensais l’Huguette pardon....l’autre...Bref, je vais enrichir mon français à l’avenir. Ah j’oubliais pour Onomatopée, j’ai confondu avec les omoplates
C’est vous dire combien je ressemble à Baudelaire et à ses maux des fleurs.
Bref, ne nous attardons pas, elle a de la culture alors que moi je n’en ai si peu, je suis jaloux de sa verve aussi. Et je voudrais bien qu’elle me donne des cours particuliers en échange de ce que je sais faire le plus ; blanchir les femmes noires.
Monsieur que je nomme grand, afin de ne plus perturber mon inspiration et que le PTB continue dans son envolé lyrique malgré l’avis contraire de certaines amies, je vous serai gré de ne plus laisser passer les messages qui prêtent à équivoque sauf ceux de mes trois ou quatre amis qui interviennent dans la bonne humeur, et qui peuvent me dérisionner à l’envie, les autres, les inconnus n’en faites pas cas. Envoyez les dans la poubelle. Libre à vous de le faire à votre guise, je ne fais que suggérer.
Quant à celles ou ceux qui rentrent en direct sans passer par le modérateur et qui veulent s’ériger comme des avocates des causes difficiles, je me prend le droit de leur répondre et cela afin de garantir la probité du PTB sans dépasser la limite de la politesse.
Quiconque, se permettra d’offenser cet espace rien que pour nous faire chier, me trouvera devant lui. Après tout c’est aussi votre maison et je ne crois pas que vous puissiez permettre et admettre, que des inconvenants ou ‘nantes’ qui se donnent des airs incongrues sorties d’un trou de ........... gouffre viennent vomir ici leur poison sans motif valable, sur les efforts de fidèles internautes qui se tuent à inventer, à créer ou à imaginer ce qu’ils leur passent dans leur tête.
Quant à Monsieur de Beaumarchais qui avait dit en son temps ‘ Qu’il n’y a pas de ........’ bla bla, d’une part je ne le connais pas et d’autres part sa maxime, je la mets là où je veux qu’elle repose.
Merci Monsieur le Webmaster de votre compréhension. R.M
Par Albert (Albert) le mardi 11 mai 2004 - 21h22: |
Ma chère Betty,
Albert est comme le roseau, il plie mais ne rompt pas.
Tu es adorable et raby myak. Merci.