Archive jusqu'au 23/mai/2004

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2004: Archives Mai 2004: Archive jusqu'au 23/mai/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 23 mai 2004 - 13h16:

Ye HENRI.....! OUHE WAKTOU EL MALHA OU BNINE....!
Makach tchouf el yaicha lââjije elli kadin fiye...MORRA OU ME YECH HLOUE.....Eche thab nââmlou bél Melhe ou bnine....! Ye hassra kif kenè sak ââla sak ouehne en kechrou el gloub, el gaufrette, el fostok, el guizata, el bamboloni...Ou kif kene en gharmjou el caramel ou nel achchou el jilat mâând Bébert oulla Curatolo...

Est ce le moment de LA SALEE ET LA BONNE, tu ne vois pas que la vie est amère sans être douce....Que veux tu qu'on fasse avec ca....A autrefois ce fut, quand on posait un pied sur l'autre a kiffer les pepites, les guafrettes, les pistaches, et lorsque on croquait les caramels et que nous lechions les sorbets de chez.............

Regarde Babele, une des cafès des dattes, une espionne qui va et vient, comme une chatte de gouttière d'un cafè à l'autre, et qui vient rapporter ce que je connaissais déjà..Ehdi Babele, ouehda 'KAWADA' une balance.... genre palestos... qui fout la merde là où elle passe..


Je vais m'en occuper avec kif , qu'est ce que j'ai affaire brass baba...Je m'ennuie grave.

Henri, j'ai prépare plus de 20 textes encore, jusqu'au 20 ième anniversaire du PTB....! :) :) :)


N'en déplaise aux morues qui ne sont ni MELHA OU NI BNINA....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 23 mai 2004 - 12h42:

ENSUITE LA SEMAINE DES SKETCHS.....ELLE VOUS SERA ANNONCEE PAR VOIE DE PRESSE......

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 23 mai 2004 - 12h41:

D E T O U R N E M E N T S IX DEMAIN A LA MEME HEURE SOIT VERS 20 H 30 SI D IEU VEUT...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 22 mai 2004 - 22h49:

Ma chére AXELLE, et bien voila j'ai fini le récitale que vous m'avez demande, il vous sera offert avant la fin du mois de JUIN si D ieu.

J'ai battaillè dur pour la signature de leur contrat..Comme promis , ils seront là pour vous...A bientôt..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 22 mai 2004 - 22h45:

Apres son passage sur le PTB, le GRAND CHARLES AZNAVOUR SE PRODUIT SUR LA UNE.....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 22 mai 2004 - 22h17:

'...Yéd él kattouss tyâwen...!'
D'où que vient l'aide, elle est précieuse et il ne faut jamais la refuser.

'....Chikoullou....!'
Vraiment...! TANT QUE CA....!'

'..CHICOULOU EL RAJEL EHDE SYIB...?'
'..Il est tant que ça difficile cet homme...?'

'...HABATTI.......AISSELLES....
THAT HABATTI...SOUS SES AISSELLES..!')


'GRIMJE....' UNE CROQUERIE...

'TGERMIJJE....PAREIL....!!!

'..GARMAJI....CARTILAGE....

DERISION...

'..MAHLEHE EL DGERMIJE EHDI...!
'..Comme elle est mignonne 'ce croquant' là..)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 22 mai 2004 - 21h45:

Mes employèes de couleur ont la facheuse habitude de demander aux clientes leur origine..

-.....Tu es d'où...Toi...?'
-.....Moi....? Je suis du Benin...!'
-.....Et vous...?
-.....Moi....? Je suis du Cameroun...

-.....Et vous Monsieur vous êtes d 'où....? ( En s'adressant à moi....)

-.....MOI...? JE SUIS DU GAMBO....!'
-.....AAAAAh c est un beau pays....!'

Qu'elle me dit..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 22 mai 2004 - 09h06:

'...Et un bon week-end, Babele...!' Je pense beaucoup à toi depuis cette fameuse nuit blanche du Cafè des Dattes ...! Ah si tu savais..!

De la part du Jano..bisous et passe le bonjour a Lola ta petite fille dont tout le monde en parle là bas même qd tu es absente...! C'est fou comme les gens sont prévenants...Allez je te laisse , je dois bosser...MMMMMMbisousss ma Babele...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 21 mai 2004 - 20h59:

A plus tard Babele,

Passe un bon chabath...je reviendrais, ne t'inqiètes pas. Il faut bien que ça tourne chez ici.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 20 mai 2004 - 21h13:

LES JUMELLES


Albert Simèoni.
L' Enfant de la Goulette.

Le 11/8/2003

Roman.

Chapitre VIII

Résumé des précédents épisodes..

rouge{Madeleine et Aurèlie Hamelin, suite au décès par accident de leurs parents, se retrouvent à 5 ans orphelines et prises en charge par la DASS. Madeleine, au caractère fortement marqué, ne tient pas en place. Mise dans un foyer d'accueil, elle fuit. Reprise, l'administration la place dans un centre de rééducation, là encore, elle se sauve pour tomber à 18 ans entre les mains d'un gigolo. Sa sœur Aurèlie, plus calme et studieuse se destine à des études de droit.
Un certain Monsieur Paul, tombe amoureux de Madeleine et veut la sortir de cet enfer. Mais c'était sans compter avec son gigolo, qui soupçonne sa 'concubine ' de lui préparer un coup…}
Aurèlie décide de partir pour les states. Elle se destine au barreau américain et rencontre un avocat John-Marcus. Ils emménagent à Philadelphie après leur mariage. Tout semble leur sourire dans leur grande maison. de campagne.
Madeleine, décide de suivre son amoureux de client. A Charroux, pas loin des Vosges, ils louent un appartement et projettent d'en savoir plus sur la scierie de son père
Accompagné par un ami brasseur, Monsieur Gérard, Monsieur Paul, décide d'en savoir plus, sur la scierie. Les deux amis rendent visite au nouveau propriétaire. Ils sont reçus par ce dernier dans son bureau.}
Monsieur Anglade se révèle être le demi-frère de Monsieur Pierre, né des amours du père de Pierre, André. Ne l'ayant pas reconnu, il en nourrira une haine envers lui. De fil en aiguille, nos deux amis en apprennent un peu plus sur ce demi-frère qui prétend avoir acheté le domaine en toute régularité. Monsieur Anglade fait la connaissance de Madeleine Hamelin.
La confrontation tourne court. Un congrès prévu à Paris, donne l'occasion à Aurèlie de revenir à la source de son enfance. Elle tombe aussi par hasard, dans l'avion qui la ramène sur un incident providentiel. '..Un certain Monsieur Anglade, propriétaire d'une scierie dans les Vosges, portant le nom de son père HAMELIN DUBOIS a tenté de se suicider', un fait divers banal, mais pas pour elle. Tout lui remonte en mémoire. De son côté, Madeleine, languissant Paris, décide de monter dans la capitale, pour souffler un peu. Elle tombe sur un article de presse du Figaro qui lui apprend que sa sœur Aurèlie fait partie d'un groupe d'avocat de passage à la salle des congrès Porte Maillot. Elle s'y rend et découvre sa frangine après de nombreuses années de séparation. Retrouvailles émouvantes sous les flashs des journalistes.
Le scoop attire l'attention de son ancien protecteur. Germain débarque à l'hôtel Crillon. Quatre policiers 'français' en fait des agents du F.B.I, mettent le Germain en lieu sur, à tout jamais. Aurèlie, se consacre à la recherche d'indices qui peuvent faire tomber le patron-escroc de la scierie, Monsieur Anglade. Elle rend visite à son témoin clef, Monsieur Lambert}


'…..Détournements…'


Le jour de l'audience arriva. Elle était présidait par le Juge Claire-Fontaine de la Méhaignerie, assisté par deux assesseurs Maître Lombard de Courchevel et Maître Henri Chevalier. Des anciens ténors du barreau, connus pour leur impartialité. Maître Aurèlie- Hamelin- Marcus, avait le droit de plaider puisque toujours inscrite dans la liste des plaideurs français. Elle avait gardé son ancienne nationalité et de surcroît venait souvent défendre des intérêts américains en France.

Anglade, était là avec son avocat Maître Ange Cohn. Un habile et fin avocat.

La salle de l'audience était prise d'assaut par toutes sortes de curieux en mal de désœuvrement.

L'affaire Hamelin/ Anglade commençait.

Le président donna lecture des griefs de la partie dénonciatrice. Un long exposé où tout passa. On présenta les documents, et chaque partie tenait tête à l'autre. On ne voyait pas la fin des débats de cette première audience dans laquelle les preuves matérielles chevauchaient les fausses, des vrais. Les principaux antagonistes de l'époque, étant morts ou déclarés inaptes à donner leur témoignage. L'assistance s'ennuyait ferme, au bout de la troisième audience.

Puis, voilà que Maître Aurèlie cite en dernier ressort son joker, le vieux Lambert le bûcheron.

A la vue de ce témoin surprise, Anglade faillit être pris de malaise. Il chuchota quelques mots inaudibles à l'oreille de son avocat…

Le président Fontaine..

-'Votre nom et prénoms Monsieur…!'

-'Lambert- Guillaume Gustave , né le 15 Juin 1939 à Chamonix, de père Jean et de m…!'

-'On ne vous demande pas votre arbre généalogique…. :) :) :) :) ! Profession… ?'

-'J'étais bûcheron dans l'entreprise Hamelin Dubois, je parle du vrai patron, un homme admirable, qui consacrait une grande partie de son emploi du temps à améliorer son usine. Je me souvins d'un soir où j'étais très fatigué, il m'accompagna jusqu'au bas de la colline en me remettant 1000 frs…' Tiens…' me dit il ' C'est pour ta famille et surtout prends ton temps pour te rétablir…Et..!'

-'Venons en aux faits Monsieur Lambert….! Qu'avez vous à nous dévoiler de si important qu'on ne sache pas encore…!'

-'Voilà Monsieur le Président, ce soir là…!'

-'Quel soir….? Soyez plus précis…!'

-' Ce fameux soir du 18 décembre…! J'ai surpris une conversation violente entre Monsieur Anglade et Maître Florentin…'

-'Oui et alors, poursuivez…!

-'Je suis incontinent, puis-je allez au W.C Monsieur le Président…..?' ('Jettou èl boullè yè Henri bèl féj'ya. :) :) :) Yè Henri..Es déllèk..!')

-'Vous voulez que la justice se déplace avec vous, Monsieur Lambert, pour satisfaire votre besoin..? '

Toute la salle se mit à rire.

-'On n'a jamais vu ça ici Monsieur Lambert…?'

-'Alors apportez moi la cuvette que je fasse ça sur place..! Vous ne voulez quand même pas que je pisse sur le pupitre…!' ( ' Yatic Bakla yè Lambert….:) :) :)

La salle était au paroxysme du bonheur, enfin, on commençait à s'amuser…
Le Président dut intervenir pour faire taire les éclats de rire.

-'Est- ce tout Monsieur..?'

-'Je vous aviserai en temps voulu Votre honneur au cas où…!' (' I hab yèkhra… :) :) :)

La salle était dans une telle euphorie malgré le tragique débat, que Monsieur Fontaine faillit casser son marteau sur le pupitre.

-'Policier….!Veuillez accompagner Monsieur Lambert…! Suspension d'audience, retour dans quinze minutes, et surtout prenez votre temps, Monsieur Lambert….!'

La séance reprit avec un Lambert débarrassé de son pipi mais en attente de quelque chose d'autre.

-'Donc….! ' Reprit la Président…!' Ce fameux soir…!'

-'Oui, j'entendais Monsieur Anglade vociférait contre Maître Florentin…A propos d'argent. Je me suis reproché de la fenêtre et j'ai entendu mon patron, Monsieur Anglade, menacer le notaire de mort s'il dévoilait l'affaire HAMELIN…..!'

-' Bizarre….! Vous étiez au bon endroit à ce que je vois, mais tout ça ne dis pas que cette menace eut son effet; La disparition accidentelle de Maître Lambert…?'

-'C'est pas tout, Monsieur le Président…..! J'ai soif Votre Honneur….!'
-'La goutte qui va faire déborder le vase….!' Répondit le Président… 'Greffier…!Qu'on en finnisse apporter lui à boire….? Continuerez -vous à nous faire chanter Monsieur Lambert….?'

'…..Trois jours après, j'étais entrain de couper mon bois et là je vois Maître Florentin prendre le chemin qui monte à la scierie….! J'ai attendu à peu près une demi-heure pour le revoir faire le chemin inverse quand la catastrophe arriva…Monsieur Anglade avait poussé cet arbre qui tenait à peine sur son pied sur la voiture du notaire, la foudre, la vieille, l'avait déjà blessé. Ce fut effroyable….! Une fois sa macabre œuvre accomplit, Il vint vers moi et me dit…' Monsieur Lambert…..? Votre femme travaille au domaine forestier je crois….!' Je lui répond que oui…'Alors si vous tenez à ce quelle continue à travailler, faites comme si vous n'avez rien vu , quant à vous , je pense que vous teniez à votre place n'est ce pas..?' Il m'a menacé Votre Honneur….!'

Anglade par la colère se leva et …

-'IL VOULAIT ME FAIRE CHANTER…..! IL ME DEMANDAIT TOUJOURS PLUS D'ARGENT ARGUANT QUE SON ETUDE RENCONTRAIT DES DIFFICILTES….ALORS J' AVAIS DECIDE DE …..

-'De le tuer …'! Vous avez préméditez votre funeste projet…!' Conclut le Président Courchevel..

On entendit des hou-hou au fond de la salle et des ' Salaud d'Anglade…'

-'Monsieur Anglade….. ! Asseyez - vous….! Reconnaissez - vous aussi avoir acquis la fabrique en question par des moyens frauduleux sinon pourquoi avoir tué Maître Florentin qui voulait vous dénoncer pour vos magouilles…? De toutes les manières vous en avez trop dit…! Et puis pourquoi vous suicider…..! Vous en fûtes si maladroit…! N'est- ce pas la cause du scandale qui allait suivre...? Bon, il est temps que vous cessiez de tergiverser..! Tout s'éclaircit…'

Et de tour raconter, sous les yeux incrédules de son avocat.

A suivre…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 17 mai 2004 - 22h29:

LES JUMELLES

Albert Simèoni.
L' Enfant de la Goulette.

Le 11/8/2003

Roman.

Chapitre VII

Résumé des précédents épisodes..

Madeleine et Aurèlie Hamelin, suite au décès par accident de leurs parents, se retrouvent à 5 ans orphelines et prises en charge par la DASS. Madeleine, au caractère fortement marqué, ne tient pas en place. Mise dans un foyer d'accueil, elle fuit. Reprise, l'administration la place dans un centre de rééducation, là encore, elle se sauve pour tomber à 18 ans entre les mains d'un gigolo. Sa sœur Aurèlie, plus calme et studieuse se destine à des études de droit.
Un certain Monsieur Paul, tombe amoureux de Madeleine et veut la sortir de cet enfer. Mais c'était sans compter avec son gigolo, qui soupçonne sa 'concubine ' de lui préparer un coup…

Aurèlie décide de partir pour les states. Elle se destine au barreau américain et rencontre un avocat John-Marcus. Ils emménagent à Philadelphie après leur mariage. Tout semble leur sourire dans leur grande maison. de campagne.
Madeleine, décide de suivre son amoureux de client. A Charroux, pas loin des Vosges, ils louent un appartement et projettent d'en savoir plus sur la scierie de son père}
Accompagné par un ami brasseur, Monsieur Gérard, Monsieur Paul, décide d'en savoir plus, sur la scierie. Les deux amis rendent visite au nouveau propriétaire. Ils sont reçus par ce dernier dans son bureau.}
Monsieur Anglade se révèle être le demi-frère de Monsieur Pierre, né des amours du père de Pierre, André. Ne l'ayant pas reconnu, il en nourrira une haine envers lui. De fil en aiguille, nos deux amis en apprennent un peu plus sur ce demi-frère qui prétend avoir acheté le domaine en toute régularité. Monsieur Anglade fait la connaissance de Madeleine Hamelin.
La confrontation tourne court. Un congrès prévu à Paris, donne l'occasion à Aurèlie de revenir à la source de son enfance. Elle tombe aussi par hasard, dans l'avion qui la ramène sur un incident providentiel. '..Un certain Monsieur Anglade, propriétaire d'une scierie dans les Vosges, portant le nom de son père HAMELIN DUBOIS a tenté de se suicider', un fait divers banal, mais pas pour elle. Tout lui remonte en mémoire. De son côté, Madeleine, languissant Paris, décide de monter dans la capitale, pour souffler un peu. Elle tombe sur un article de presse du Figaro qui lui apprend que sa sœur Aurèlie fait partie d'un groupe d'avocat de passage à la salle des congrès Porte Maillot. Elle s'y rend et découvre sa frangine après de nombreuses années de séparation. Retrouvailles émouvantes sous les flashs des journalistes}


'…..Détournements…'


Aurèlie s'avança vers sa sœur jumelle et la prit dans ses bras. Une ondée de larmes accompagna leurs retrouvailles. Les journalistes profitant de cet instant exceptionnel tiraient, à bout portant. Un scoop. '…Une avocate d'outre- Atlantique retrouve sa sœur jumelle après des années de séparation..' Voilà ce qu'on pouvait lire en première page des journaux du matin. Accompagné d'une photo des deux jumelles s'étreignant. Pleurant à chaudes larmes.

Toujours à l'affût, Germain, l'amant bafoué, tomba sur la photo des quotidiens. Et là, il fut sidéré de voir son ancienne prostituée en première page.

-'Elle est revenue la garce…!'

Aurèlie invita sa sœur, pendant toute la durée de son séjour, à passer une semaine, à son Hôtel Le Crillon. Une suite leur était réservée. Elles parlèrent des heures et des heures, oubliant la nuit et le jour. Madeleine lui cacha son ancienne vie. De prostituée. Mais c'était sans compter sans son ancien gigolo. Le lendemain, vers les 10 heures du matin, la sonnerie du téléphone retentit dans la chambre de Madeleine..

'…Alors mon chou, on a oubliè son ami….?'

Elle reconnut la voix de son entremetteur. Elle sentit son sang se glacer. Mais comment à t'il pu savoir…?'

Elle raccrocha et se rendit dans la chambre de sa sœur tout en larmes. Elle finit par tout lui avouer.

-'Ecoute, laisse moi faire, je vais aller le voir à l'accueil. Ne bouges surtout pas, reste avec les enfants…! Je ne vais pas tarder…! Ok…? Baby…!'

Aurèlie prit l'ascenseur, mais avant cela, elle téléphone à son ami l'ambassadeur des Etats-Unis à Paris. Son Excellence James- Fidgérald Wayne, petits- fils de l'acteur John.

Aurèlie était à présent face au maquereau de sa sœur.

-'Tiens ..! Tiens..! Quelle jolie ressemblance, Maître…! Madeleine est souffrante pour que vous veniez défendre sa cause…?'
-'Il n'y a plus de Madeleine, Monsieur…!'
-'Germain….! Oui Germain..!'
-'Vous pratiquez le métier de souteneur je crois, qui est puni par la loi par 15 ans d'emprisonnement en France…?'
-'Mais qui parle de prison, Maître, je viens récupérer ma 'femme', elle est partie sans me dire au revoir, l'ingrate, moi qui me suis coupé en mille morceaux pour elle…!'
-'Oui, je vois dans quel état vous êtes, Monsieur, vous lui voulez quoi à ma sœur…?'
-'Ohhhh…! Pas grand-chose, juste un peu d'argent pour finir mes fins de mois….!'
-'Parce que vos fins de mois ne sont pas bouclées à ce jour…? Vous attendez depuis si longtemps que ma frangine viennent les boucler, c'est ça….? Ecoutez, je vous donne un conseil d'avocat, laissez là tranquille et oubliez là, sans contrepartie, vous savez, je peux vous coffrer là tout de suite, ce ne sont pas les preuves qui manquent…!'
-'Vous avez déjà des preuves, ramassées en si peu de temps….?' Vraiment, voyons cela, je ne bougerai pas de là quitte à faire un esclandre et hurler le passe de votre sœur ici même…Et dans les journaux ! Maître Marcus…!'
-'Ok…! Vous l'auriez voulu Monsieur…!'

Elle sortit son portable, composa un numéro de téléphone sous l'œil intrigué de Germain. Quelques minutes plus tard, quatre inspecteurs en civil débarquent dans le hall de l'hôtel et embarquent le julot. Malgré ses protestations.

Elle regagna sa chambre.

-'Alors qu'est ce que tu as fait…? Je l'ai vu encadré quatre gaillards…!'
-'Tu n'entendras plus parler de lui, chére sœur…! Et pour très longtemps…!'

En fait de policiers français, Aurèlie avait demandé un service à son ami l'ambassadeur. De lui envoyer quatre hommes du F.B.I agissant à Paris. Germain, quelques jours plus tard, fut embarqué dans un navire marchand pour une destination seulement connue par les Américains. Madeleine en fut débarrassée à tout jamais.

Il restait l'affaire de la scierie. Aurèlie proposa à sa sœur de s'en occuper. Elle téléphona à son mari aux states pour l'avertir de son projet. Madeleine et Aurèlie sans perdre de temps prirent la voie des airs pour Clermont-ferrand. Un taxi, affrété par Monsieur Paul, les attendait à l'aéroport et ramena les deux jumelles et enfants au village. Après les présentations d'usage, toute la famille, s'en perdre de temps, aborda les formalités pour ester en justice. En grande professionnelle qu'elle était Aurèlie, ramassa un tas d'information sur le demi-frère et son environnement de l'époque. Aidé en cela par Monsieur Paul qui en savait aussi pas mal. Elle s'attarda surtout sur la mort du notaire Maître Florentin qui lui paraissait suspecte. Elle réouvrit les archives de l'époque, et consulta les témoignages ainsi que les procès-verbaux des forces de police.

Un témoin clef de l'affaire, lui apparut fort intéressant, un certain Gustave Lambert, bûcheron, qui travaillait à l'usine à cette époque et qui fut mit à la porte quelques semaines plus tard pour des raisons obscures.

Elle alla lui rendre visite. Bien que malade, et vivant avec sa femme Claudette, il consentit à recevoir l'avocate. Pendant ce temps, Monsieur Paul avait introduit une requête auprès du Tribunal de Grande Instance de Clermont-ferrand pour 'falsification de documents, détournement de preuves, abus de confiance et appropriation de biens d'autrui' contre Monsieur Anglade Fournier.

Aurèlie écoutait attentivement le vieil ouvrier, mal en point et surtout apeuré. Aurèlie enregistrait tout. Pendant deux heures, elle récoltât une telle moisson d'informations que le sieur Anglade ne pouvait plus échapper à la justice.


A suivre….

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 17 mai 2004 - 22h27:

Axelle,

Ma chére dame, vous m'avez demande de vous faire plaisir en créant un récital de chansons avec la participation de deux chanteurs que vous apprèciez.

Je me suis mis à l'oeuvre et j'éspére tout terminè dans les prochains jours.


Vous avez choisi comme date pour le mois de Juillet ok mais je pense le faire avant vers le courant du mois de Juin car en Juillet bcp de nos lecteurs sont en vacances.

Donc j'avancerai la date avec le grâce de D ieu vous serez servie.