Archive jusqu'au 11/octobre/2006
Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2006:
Archive Octobre 2006:
Archive jusqu'au 11/octobre/2006
ELSA.
A l'époque la jeune adolescente bien médiocre dans les études, bima, elle aobtenu son certifcat
d'expulsion à 15 ans, fut sortie manu militari de son école sous les applaudissements
de ses maîtres.
Mais au grand désespoir de ses parents qui voyaient cette charge d'un mauvais oeil.
Pourtant selon son entourage, elle était promue à un avenir brillant.
Hélas, la mauvaise fréquentation d'une de ses amies, Mamili surnomme Ourqa Toura,
fut très malsaine.
Elle poiroitait sur la grande avenue lorsqu'elle croisa sur son chemin le Meyer
Prit de compassion pour elle, il lui propose un marchè du cotè de BELLEVILLE.
La jeune fille accepte et avec la permission de ses parents, elle s'envole dix ans plus tard avec le
Meyer au Vénèzuela. Pour s'enrichir dans les puits de pétrole.
Nous savons aujourd'hui ce qu'il advint.
Elle fréquenta au Méxique les cabarets, sans faire de mal, en compagnie de Mamili.
Histoire de se faire un peu de pésos.
Elle fait son apprentissage à la lumière des lampions.
Le Meyer l'ayant perdu de vue, la sort de cet engrenage nocturne et lui propose
un CDD. Dans sa plantation de bananes.
Elsas tout heureuse accepte et se retrouve aux cotès de ce bandit.
Voici ELSA PRIMATE avant son film
Un air coquin sous un lampion HOT.
Cela me rappelle le FILM ' ...UNE CHATTE SUR UN TOIT BRULANT'
Ici c'est Elsas sur un 'BILLARD INCANDESCENT.!'
Tu vas publier le trombinoscope ce soir?
Mon dieu ! Houalya! dans quel état je vais être.
Il a le peid sans CHLEKA....!
Son orteil va prendre froid.
J'ai mal aux côtes
Meyer.....Ahahahaha....
Hahahahaha!!!!!!!!!!!!!Moi aussi.
A suivre ELSA...
Prochainement
Suivra Mamili, Meyer, Braham, Tawfiq, Poupée,
La Douda etc....
Michka....! Je n'en peux plus..
PipiIiIiIIIIiI....!
D'EMILIOS. Portrait.
Babache Emilios est un ancien péruvien qui a quittè à un age avancè les montagnes
du PICHU NIKU. Las d'une vie monotone, il était le sage du village, il abandonna
sa tribu. La tribu DESCAS, déscendants directs des UNCAS.
N'en faisons pas un cas quand même.
Reconnu en temps que tel, il dispensait sa sagesse à ses ouailles qui le lui rendaient bien
jusqu'au jour où un certain Meyer, passant par ces mopntagnes arides, tombe
sur Babache Emilios.
J'ai cherchè dans les archives harissiennes un portrait de ce grand personnage et je tombe sur cette
photo.
Mon attention fut attirè par ce port altier, cette assise royale et ce sourire enjoliveur.
Une douceur dans le regard, je dirais mielleuse qui coule de source au point d'innonder
ses joues cuivrèes.
Depuis qu'il est devenu bandit chez le Meyer, notre personage a retrouvè vigueur
fraicheur et vitalitè. 5X5. Un air de petit CHINOIS semble flotter en lui.
En plus, il s'en est mis plein les bananes dans les fouilles comme vous allez le constater
prochainement dans le film.
2° Communiquè de presse.
Je tiens à rappeller que le BALLOUT n'est pas du TMENIQ.
C'est de la pure l'affabulation.
Du délire innocent qui ne touche en rien l'intégritè des personnages connus .
Souvent des amis que jeconnais, que j'estime et apprècie
sincérement.
Dans ce PTB, il n'y a pas matière à quiproco , à équivoque ou sous-entendus.
Pas aussi de mauvaises intentions.
Tout cela est banni ici.
Il y a des jeux de scéne et des acteurs et actrices bien connus
qui jouent des rôles fictifs que la distribution leur donne sans leur consentement
faisant ainsi confiance au directeur qui n'est pas infaillible.
Ils sont payès pour cela.
Il y a aussi une maquetiste, dérrièrre tout cela qui met en valeur des acteurs et actrices
forts honorables qui jouent le jeu admirablement.
Ces photos relookées, selon son inspiration, vont génèralement dans le sens de la continuitè
de certaines situations délirantes, les scénes le veulent ainsi et ne doivent en aucun cas prêter à confusion.
Il faut savoir aussi que je ne lui souffle rien sauf quelques arrières plans afin d'embéllir
le décor.
Ce qui extraordinaire c'est que tout cadre bien au final.
Mais tout cela n'est que du ballout PTBIEN.
Certains l'ont bien compris.
Moi en particulier.
La direction.
Communiquè de presse.
Bonsoir,
Vous pensez bien que mes acteurs et actrices n'ont pas étè sélèctionnés au hasard.
Loin de là, ils ou elles répondent à des critéres bien définis.
Si la direction duè PTB, après un vote bien sérrè il y a qqs annèes, a décide d'en choisir
quelques unes, qqs uns,les principaux, c'est parce qu'elle a jugè en son âme et conscience qu'ils ou qu'elles faisaient l'affaire.
La sélèction et je le rappelle découle de la fréquentation du Cafè des Dattes par certains
ou certaines actrices qui ont prouvè leur talent à leur insu.
Notre collaborateur Jano fort de ces constations, en a parlè au directeur du PTB qui s'était déplacè à l'époque sur place pour constater que ces noctambules méritaient bien
de figurer en gros plan sur la célèbre scéne du PTB.
Elles ont toutes un passè élogieux et un avenir assurè ces actrices depuis l'avénement du PTB.
Donc, il me plait de vous les présenter dans leur vécu d'avant, avant que je ne les engage.
Avant que le Meyer ne les engage dans ces turpitudes.
Très prochainement.
Elsa, Mamili, Poupée, Michka, Meyer, Braham, Emile, Lalla, La Douda, Girelle etc...Seront mises, mis à nus ici afin que vous sachiez qui elles ou ils étaient vraiment. En 1980.
Naives et naifs , elles, ils se sont laissés abordès par l'intrus qui leur a proposé des contrats mirifiques.
On connait déjà le fiasco du puits de pétrole au Vénèzuela et là très prochainement, il va
les faires retravailler dans ces bananeraies.
Vous suivrez dans pas longtemps le curriculum vitea de ces acteurs et actrices
dans
'...MES ACTEURS ET ACTRICES....! Mais qui sont t'elles...!'
10°
La jeune fille le lui donne.
La réponse tombe sur-le-champ.
‘…Merci Mademoiselle… !’
Il obtient la secrétaire qui l’informe du retour de M. Robillion pour le 30 au matin.
Puis envers la jeune domestique ‘…Votre patron rentre la semaine prochaine… ! Bien, nous allons cependant en votre présence vérifier certaines choses… ! Avez-vous remarqué quelques choses ou entendu une querelle… ? Quelque chose qui vous a paru suspect….’
‘…Non Inspecteur… ! Rien n’a été touché… !’
‘…Pas de traces de lutte, de verre cassé, de vitre ou autre chose… ?’
‘…Rien, tout était en ordre… !’
‘…Bien… ! Vous restez à notre disposition, en attendant je vous prie de rentrer chez vous… !’
La domestique s’exécute.
Le 30 au matin, nos fins limiers sont sur place pour accueillir Monsieur Robillion.
Ce dernier ne tarde pas à descendre de sa voiture qu’il gare dans son parking privé, dans le jardin.
‘…M. Robillion… ?’
‘…Oui… !’
‘…Excusez-nous de vous déranger, je suis l’inspecteur Boulakia et voici mon collègue Gilbert.. !’
‘…Que se passe t’il Inspecteur… !’
‘…C’est au sujet de votre femme.. ! Si vous le permettez, il vaut mieux que nous rentrions à l’intérieur.. !’
‘…Oui bien sur, j’ouvre.. !’
Passe le 10/09/2006.
Récit Policier.
Tous les évènements narrés dans ce récit sont imaginaires.
Paris le 27/06/2006.
Monsieur Marcel Robillion…………………...L’Homme d’affaire.
Madame Angle Robillion…………………… Son épouse.
Mademoiselle Marjolaine Simpson………………. La maîtresse de Mr.Robillion.
Monsieur Didier Robillion…………………… Le fils.
Mademoiselle Charlotte Robillion…………………La fille.
Maître Jean Charpas…………………………L’avocat.
Garage Lambert
Miguel un mécanicien.
Josè le second mécanicien.
Les inspecteurs Boulakia, Gilbert, Azzou.
Le CODE BARRE….
Encore une enquête de l’inspecteur Boulakia qui l’a mené à élucider un crime crapuleux qui, au départ le rendait sceptique.
Sa perspicacité et son savoir-faire ont prouvé une nouvelle fois combien est grande l’imagination et la préméditation dans les montages sophistiqués d’un crime que certaines personnes aveuglées par la passion, la folie, par la cupidité, histoires d’héritages, la vengeance, la jalousie ou par la gratuité du forfait, maquillent afin de faire porter le chapeau sur autrui.
Bref tout y passe depuis CAEN ET ABEL.
Dans l’affaire qui nous concerne un détail presque dérisoire a fait tomber le coupable.
Un homme d’affaire voyageant souvent de par le monde.
Et des hommes d’affaires qui voyagent sont légions et pour la plupart d’entre eux tentés par le cul des femmes.
Rares sont ceux qui ne le sont pas.
Une maîtresse quoi d’anormal me diriez vous par les temps qui courts.
C’est si banal que certaines femmes s’en accommodent.
Monsieur Robillon Marcel, 58 ans, est de cette espèce d’hommes qui collectionne les aventures autant que les voyages.
PDG d’une grande entreprise de téléphonie, il s’amourache d’une jeune fille de 25 ans, Marjolaine Simpson, citoyenne américaine, étudiante et vivant seule à Baltimore.
De parents riches, son papa est aussi PDG dans son entreprise qui vend des armes un peu partout dans le monde. Un marchand d’armes.
Monsieur Marcel est marié. Père de 2 enfants Didier et Charlotte, tous deux âgés respectivement de 28 ans et 23 ans.
Sa femme Angèle, 45 ans, malgré son entre deux âges, est restée très belle. Epouse raffinée, elle est issue d’un milieu modeste.
A suivre………………
Marcel et Angèle se sont connus sur les bancs de la fac en mai 68. Une année faste qui a vu les rues de Paris et celles des provinces s’embraser.
Angèle soupçonnait bien son mari de ses turpitudes mais sa bonne situation et son bien être ne pouvaient être remis en question à cause de ces ‘volageries’.
Elle fermait les yeux.
Elle acceptait cet état de choses d’autant plus que son mari est un homme autoritaire qui ne supporte aucune remarque sur la manière dont il mène sa vie.
La richesse souvent peut se permettre quelques arrogances.
Sa présence au foyer se compte en heures, mensuellement et ses absences, en semaine.
Patiente et amoureuse et surtout lasse, la bonne épouse s’y résout et finie par vivre cette union bancale, entourée par ses enfants adultes qui viennent de temps à autre lui rendre visite..
Deux enfants qui l’adorent et qui, loin d’être indifférents au sort de leur mère, s’interdisent de prendre fait et cause pour elle. Cela se comprend.
Monsieur Marcel, malgré la distance qui le sépare de Marjolaine, passe plus de temps chez sa nouvelle maîtresse qu’auprès de sa femme.
L’amour qu’il porte à sa jeunette l’accapare à un tel point qu’il se confie un jour son projet, celui de la prendre pour épouse.
Il y tient absolument.
Marjolaine semble gênée par cette proposition.
A suivre………….
PASSE LE 26/09/2006. PTB.
‘…Mais il y a ta femme Marcel…. ! Et cela me paraît insensé de divorcer, nous pouvons vivre ainsi en concubinage… ! Cela ne me gêne pas… !’
‘…Moi si … ! Je veux vivre près de toi, finir mes jours près de toi… ! Et puis faire comme si rien ne se passait chez moi me paraît saugrenue… ! Je ne supporte plus de jouer la comédie… !’
‘…Et tes enfants…. ?’
‘…Mes enfants sont adultes… ! Je leur parlerai… ! Ils s’en accommoderont.. !’
‘…C’est absurde enfin, mais pourquoi compliquer les choses… ?’
‘…Tu refuses mon offre…. ?’
‘…Je ne refuse pas … ! Laisses moi le temps de réfléchir…. !’
‘…Il n’y a plus rien entre elle et moi… ! Marjolaine… ! Je suis fou amoureux de toi.. !’
‘…Tu me fais peur…. !’
‘…Peur ??? Mais pourquoi enfin… !’
‘…Cela m’arrive trop vite… ! Nous nous connaissons que depuis 9 mois, après tout.. !’
‘…Et alors, tu ne trouves pas que cela fait long… ?’
‘…Long.. ! Long… ! Pas assez ... ! Je n’ai que 25 ans et j’aspire à vivre … !’
‘…A vivre ??? Mais tu auras tout ce que tu veux.. ??’
‘…Mais crois -u qu’il faut avoir tout pour vivre heureuse… ?’
‘…Je ne comprends rien, jusqu’à présent tu n’as pas soulevé de problème… ?’
‘…Tu ne m’as jamais parle de mariage … ! Et ta proposition si surprenante me donne le tournis.. ! Comment puis-je vivre une union bénie tant que ta femme est là, entre nous moralement… ? Comme un doigt entre deux écorces… ! ‘
‘…Elle va demander le divorce. Je lui paierai tout ce qu’elle veut pourvu que l’on se sépare à l’amiable.. !’
‘…Le divorce ??? Mais tu ne m’en as jamais parle… ?’
A suivre…
Monsieur Marcel ment pour apaiser le doute de Marjolaine.
‘…Je ne voulais pas te le dire tant que les choses n’avaient pas évoluées. Nous avons rendez-vous devant le juge très prochainement. Je la soupçonne d’avoir un amant… ! Donc tu vois, cela ne va très fort entre elle et moi… !’
Là aussi M. Marcel ment.
‘…Ta femme a un amant.. ? Là aussi je n’en savais rien… !’
‘…Bien maintenant tu sais tout… !’
‘…Tu as un avocat je suppose ????’
‘…Oui, bien sur.. ! Pourquoi… ?’
‘…Comment s’appelle t’il ???’
‘…Mais tu ne me crois pas là…. ?’
‘…C’est à dire que je veux savoir, sans entrer dans les détails… !’
‘…Maître Chiapas.. ! Du barreau de Paris… ! La confiance règne… ! A ce que je vois… ! Tu comptes l’appeler pour vérifier… ?’
‘…Non, pas du tout, c’est une curiosité, sans plus... !’
‘…Curiosité à porter sur le genre féminin.. !’
‘…Oui c’est bien cela... !’
‘…Tu revins quand Marcel…. ?’
‘…Dans une semaine, je règle mes affaires et je t’appelle… !’
‘…Ok… !’
La conversation prend fin dans son appartement.
A suivre….
Passe sur le PTB LE 27.09/2006.
5°
Marjolaine est perturbée par la proposition de son amant.
Elle qui pensait vivre une amourette de quelques mois, là voilà prise en porte à faux avec ce projet de mariage d’autant plus que son père voyait d’un très mauvais œil cette relation entre elle et ce magnat.
M. Simpson avait d’autres projets pour sa fille.
Un ami célibataire très haut placé qui avait jeté son dévolue sur sa fille.
Il en parla à sa fille bien sur, comme tout bon papa qui veut voir sa progéniture vivre une belle union sans remous, sans complication.
Il s’en veut un peu de ce rapprochement entre sa fille et M.Marcel.
Cela s’était passe lors d’un colloque. Il eut le tort de lui présenter sa fille.
Comment prévoir que cela allait prendre une tournure malheureuse, du moins c’est comme cela qu’il voyait cette union contre ‘nature’. M. Simpson est un fervent catholique et ce genre de concubinage est immoral à ses yeux.
M. Marcel rentre à Paris et la première chose qu’il fait et d’appeler son avocat Maître Chiapas.
A suivre Le 6° chapitre tout à l’heure.
6°
A suivre…
‘…Maître… ? Bonjour… !’
‘…Ah... ! Bonjour M. Robillion… ! Et ce voyage… ?’
‘…Bien.. ! Bien.. ! J’ai besoin de vos services… !’
‘…Au sujet de l’affaire Redom… ?’
‘…Non… ! Voilà, si une jeune fille du nom de Marjolaine Simpson vous appelle dans les prochains jours, je vous serai reconnaissons de lui dire que j’ai entamé une action de divorce d’avec ma femme… !’
‘…Je ne vous comprends pas M. Robillion… ?’
‘…J’ai besoin d’un mensonge de votre part… !’
‘…Comment… ? Vous voulez que je dise que vous entamez une procédure de divorce d’avec votre femme… ?’
‘…Oui, exactement.. !’
‘…M. Robillion, vous voulez que je vous couvre par un mensonge… ?’
‘…Vous avez tout compris… !’
‘…Mais cela ne fait pas parti de mes prérogatives…. ! Enfin.. ! Mais dans quel but… ?’
‘…Que perdez-vous à le faire…. ?’
‘…Vous voulez que je passe pour un menteur alors que ma fonction m’interdit ce genre de choses…. ?’
‘…Dites-moi Maître… ? Que faites-vous lorsque vous plaidez dés causes douteuses, dois-je vous rappeler les affaires scabreuses dans lesquelles vous vous êtes mouillés et qui vous ont valu un blâme par l’Ordre des Bâtonniers ????’
‘…Je ne fais que mon métier… ! Monsieur Robillion, cela arrangeait vos intérêts que je le fasse et aujourd’hui vous m’impliquez dans une affaire dont je ne comprends rien.. !’
‘…Si vous refusez mon petit service, ma mémoire pourrait faire ressurgir de biens et vieux démons en ce qui vous concerne…. !’
‘…Vous me faites du chantage … ?’
‘…Juste lui dire que vous procédez à l’établissement d’un acte de divorce…. ! Ce n’est pas trop vous demandez, et basta.. !’
‘…Je le ferai … !’
‘…Merci… !’
A suivre…JEUDI PROCHAIN BH.
RM
3/10/2006.
7°
Rassuré, Monsieur Robillion peut être satisfait.
Deux jours plus tard, Mademoiselle Marjolaine Simpson prise par le doute sur les préparations du divorce de son amant appelle Maître Chiapas.
Elle se fait passer pour la sœur de M. Robillion.
‘…Maître Chiapas… !’
‘…Non madame… ! Je suis son clerc.. !’
‘…Ah...! Maître Chiapas n’est pas là…. ?’
‘…Il est au tribunal... ! Madame… !’
‘…Je suis la sœur de Monsieur Robillion et je souhaiterai afin de m’en convaincre personnellement d’une rumeur qui court… !’
‘…Mais comment savez-vous que nous nous occupons des affaires de Monsieur Robillion… !’
‘…Mon frère ne me cache rien et surtout pas une affaire de divorce.. ! Je veux l’en dissuader avec sagesse.. !’
‘…Vous dites une affaire de divorce… ??’
‘…Oui, s’il vous plait, je voulais savoir où en est cette affaire… ! Ma belle-sœur Angèle ne m’en parle pas par pudeur… ! Vous savez, elle n’est pas femme à se plaindre… !’
‘…Je ne suis pas habilité à vous en parler… !’
‘…Donc, les choses avancent…. ! Je vais en parler à mon frère afin qu’il revienne sur sa décision… !’
‘…Mais il n’y a rien de fait Madame… ! Je tiens tous les dossiers, je ne comprends rien, il n’y a aucune procédure de divorce entamée par votre frère.. !’
‘…En êtes-vous sûr… ?’
‘…Plus que sur, Madame, soyez certaine, il n’a pas lieu d’en parler à votre frère, ni de s’en inquiéter, je pense que cela doit être une farce de mauvais goût qu’on vous a rapporté… !
‘…Merci Monsieur… !Merci, vous m’avez enlevé une épine du pied.. !’
A suivre…
Passe le 5/10/2006.
8°
Marjolaine a la certitude à présent que son amant ment.
Elle se garde bien de rappeler son amant.
Quelques jours plus tard, les manchettes de journaux….
‘…..Dans une décharge publique du côté de Pantin, des éboueurs découvrent, mêlé à un gros tas d’immondices, le corps d’une femme …. !’
Voir en page 8.
Aucun papier sur elle.
La brigade criminelle dirigée par l’Inspecteur Boulakia prend l’affaire en main.
Sur place, le corps de la victime est photographiée sous toutes les coutures.
Rien n’est laissé au hasard. Tous les détritus trouvés à proximité du corps sont emballes dans l’espoir de trouver des indices.
Le corps est dépose à l’institut médico-légal de Paris.
Le médecin légiste donne à première vue son sentiment.
La dame porte un gros hématome derrière la nuque, sans doute causé par un objet contendant qui a entraîné la mort sur-le-champ. La boite crânienne est légèrement défoncée.
La mort remonte à 48 heures. Nous sommes le 24 Mars 2004.
Ce sont les éboueurs qui ont donné l’alerte.
‘…Gilbert… ! A part cela qu’a t’on retrouvé… ?’
‘…Pas un bijou sur elle, rien qui puisse nous éclaircir… !’
‘…Tu vas interroger les éboueurs et te renseigner sur les tournées qu’ils ont faits depuis deux jours…. !’
‘…Je vais aussi mettre la main dans la pâte... ?’
‘…Mieux… ! Monter dans les bennes… ! Vérifier les parois pour la recherche d’indices, cheveux, morceaux de tissus, sang etc.. qui ont pu se coller au collimateur, bref, tu connais la routine et fais vite avant qu’ils nettoient le tout… ! Appelle dés maintenant le service de la voirie… ! Dis-leur de ne rien laver avant que tu n’arrives, prend avec toi Azzou, Richard, Pierrot … ! Et des masques… ! Vas--y … !’
A suivre…Lundi BH.
9°
Gilbert est sur place, avec son équipe.
Ils questionnent, vérifient les tournées, les heures et les passages dans les quartiers.
Aucune benne ne porte de traces sensibles de la victime.
Quelqes heures plus tard…
Ils sont au rapport devant l’inspecteur qui prend note.
‘…Donc, le corps a été transporté sur les lieux et jeté sur les immondices.. ! Cela n’arrange pas notre tache… !Bizarre, nous n’avons reçu aucun avis de recherche… ?’
A ce moment là le fax grésille.
Azzou porte le feuillet au commissaire…
‘…Ben voilà, il suffit que j’en parle pour que l’énigme se dévoile au grand jour… !
Voyons….
Le Boulak lit à haute voix…
’ Madame Robillion Angèle 45 ans, épouse Robillion Marcel, PDG… !’
‘…Une grosse légume, le patron de la grande téléphonie… !’ Ajoute t’il.
‘...Disparue sans raison apparente du foyer depuis le 22 Mars à midi … ! Heure approximative… ! ‘…
‘…Bon allons voir son mari… ! C’est la domestique qui a signalé sa disparition… !’
Sans perdre de temps, nos deux inspecteurs sonnent au grand pavillon de M. Robillion.
Une grande piscine en forme de haricot est installée dans un grand jardin entouré de peupliers.
Mais pas de Robillion.
Par contre il trouve la jeune domestique Mlle Régine.
‘…Bonjour Mademoiselle... ! Je suis l’inspecteur Boulakia et voici mon collègue Gilbert.. ! C’est bien vous qui avez signalé la disparition de Madame Robillion il y a quelques jours soit le lendemain de sa disparition…???’
‘…Oui Inspecteur… ! Elle n’a pas l’habitude d’être absente sans me laisser un mot avant de partir…. ! J’ai essaye de la joindre sur son portable toute la journée mais hélas, il était là et déchargé… ! Chose inhabituelle de sa part, d’autant plus qu’elle m’appelle vers les 10 heures du matin dans le cas où elle serait absente… !’
‘…Vous avez les clefs du pavillon… ? Donc vous allez voir la police le lendemain… !’
‘…Oui… !’
‘…Elle n’a pas d’amies madame Robillion… ?’
‘…Non, c’est une femme très réservée, très brave … !’
‘…Son mari, où se trouve t’il… ?’
‘…Monsieur voyage souvent, il est parti pour les Etats-Unis… ! Le 21 au matin… !’
‘…Il rentre quand d’après vous… !’
‘...En générale pas plus de deux ou trois jours. Je pense que sa secrétaire pourra vous le dire avec précision.. !’
‘…Bien, nous allons le faire immédiatement… ! Donnez-moi le numéro de téléphone de son entreprise.. !’
A suivre…
'..Habemus Papa...!
Nous avons trouvè un accord.
Seuls les palestos n'en trouvent pas.
Entre nous, tout est vite réglè.