Par Meyer (Meyer) le dimanche 11 mars 2007 - 18h12: |
Albert, avec ta casquette de marin près de ton père, je comprends pourquoi tu nous mènes si souvent en bateau sur le PTB.
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 11 mars 2007 - 17h52: |
OU ELLE EST MA FOTO D EN HAUT....??
LA CROIX SUISSE ????
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 11 mars 2007 - 17h09: |
Mon pére et moi sur l'avenue Jules Ferry.
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 11 mars 2007 - 16h56: |
Son papa Kaki z'al porte des lunettes.
Un très brave type.
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 11 mars 2007 - 16h50: |
Muriel Kenn, de son vrai nom de jeune fille Koskas, est une amie d’adolescence.
Sa famille passait leurs vacances d’été à la Goulette .
Plus précisément dans l’immeuble ‘Taket’S’. Face mer.
Elle était déjà très jolie à cette époque. Elle fréquentait le Café Vert et nombre de jeunes gens étaient attirés par sa beauté. Une rondeur de visage, une jolie allure et surtout de la douceur dans son regard.
Son papa KAKI KHOCHKHECH ( Koskas), assureur à Tunis , z’al était un grand ami de mon papa David’ z’al.
Deux compagnons de route et deux adeptes de la Boukha. Fidèles clients de la BRASSERIE SUISSE à Tunis, avenue Bourguiba.
Ils étaient inséparables, liés comme deux doigts de la main. Une amitié de 50 ans.
Le Casino de la Goulette fut aussi le théâtre de leurs apéros.
La bande à Ayouche (Mon père) ne ratait pas une seule occasion les après- midis en été pour chatouiller, sous la brise marine et le tfedliq, la sacrée bouteille sur cette fameuse ritounda du Casino.
C’est dans ses circonstance que mon papa présenta la future maman de Muriel comme quoi Cacouboulou… !!
La famille dû quitter Tunis dans les années 70 si je ne me trompe pas. Pour Paris.
Mon papa ne ratait jamais une occasion de le rencontrer et de boire un verre de Boukha ‘BAR CHEZ PAUL’ à Belleville.
Le frère de Kaki vit à Paris, rue St Maur. Je le vois encore monter la rue du Fbg du Temple pour se rendre à Belleville y rencontrait quelques amis.
Un grand Hchaichi.
Si parmi vous il s’en trouve qq un en relation avec Muriel, qu’il lui envoie cette photo.
Cela lui fera certainement plaisir.
Merci.
Par Breitou (Breitou) le dimanche 11 mars 2007 - 14h25: |
MICHKA.
'....
Taille-moi les planches à la haAAAAaache
Le Ptb ne sera plus comme celaaAAAAaa
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Craque moi leEEEs tréteaAAAaaux s’il te plaIIIiit
Craque moi les rideaAAAAux il le faUUUut.
Michka.
LALA ..LA LALLA..§§§§§§§§§§§§§§§§
C'est le teEEEmps des grandes métaAAAAmorphoses
Au bout du compte, ce n’est riIIIIen
S’insinuent quelques retoUUUUuches
Deux pans par ci deux plaAAAns par laAAA
Deux tableaux craAAc ! Tu les dessines.
C'eEEEst le teEEEmps des grandes métaAAAAAmorphoses
Au bout de la scène bien revuUUUUe
Pousse un grand séquoia argenté
Pourrais tu le cisailler pour dégagEEEEEer… !
Peint-moi les plaAAAnches en merisIIIIIier
Il devient beau théâtre ollallAAAAa
Laisse couler ta peinture nuteEEEElla
Le sang qui a coulé ici faut bien le calfeuUUUUtrer
Un jour, je vais m'envoOOOOler
A travers le ciel
A force de gonfleEEEEr...
Et je baillerai des éclaIIIIirs
Une comète plantée entre les dents
Mais sur terre en atteEEEEndant
Je me transformerai en homme Icare
Taille-moi les plancheSSS
S’il te plaiIIIIIIt §§§§
Sans que tu te fâches
J'ai trop mangé de chocolaAAAt.
LA LA LA LALALLALALALA§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Par Mr_Jano (Mr_Jano) le dimanche 11 mars 2007 - 14h04: |
Par Breitou (Breitou) le dimanche 11 mars 2007 - 13h37: |
Par Mr_Jano (Mr_Jano) le dimanche 11 mars 2007 - 13h26: |
Par Mr_Germain (Mr_Germain) le dimanche 11 mars 2007 - 13h10: |
Par Mr_Germain (Mr_Germain) le dimanche 11 mars 2007 - 12h59: |
Par Breitou (Breitou) le dimanche 11 mars 2007 - 12h35: |
Sketch
Paris le 11/03/2007.
PTB II
La CAVE.
Enfin…. ! Je viens de terminer les travaux de ma cave.
Je l’ai remise en ordre et à neuf.
Elle était très mal en point.
A présent, étagères autour des murs, linoléum au sol, lustre au plafond.
Un vrai petit studio que je peux louer à un SDF.
‘…Chéri, la cave est terminé, et je te jure, cela me donne envie d’y passer quelques soirées là bas. Il fait si bon y vivre… !’
‘…Et bien tant mieux, elle était vraiment dégueulasse… ! Et il me vient une idée de génie… !’
‘…Ah bon, et laquelle…?’
‘…Surprise, tu verras demain… !’
Le lendemain, je rentre de mon travail et là, je m’aperçois que mon grand lit a rétréci.
Une seule place.
‘…Ma Colombine Chérie, où est passé ma place ???’
‘…A la cave, va voir comment je te l’ai meublé ton studio… !’
‘…Ah bon… ?’
Je descends dans le sous-sol en bouffant les marches quatre à quatre laissant mon dîner dans le micro-ondes.
Et là je constate en effet que la moitié de mon lit conjugale est là, juste sous le soupirail.
Un ‘canoun’ au centre de la pièce diffuse une bonne chaleur, celle de mon enfance, un frigo, celui que nous avons apporté de la Goulette, un petit rideau usé qui recouvre l’aération, le soupirail, une paire de chlaka, deux cordes à linges, une bila et du savon vert, un tuyau en caoutchouc servant de canalisation pour recueillir l’eau de pluie, un sakhan, un vestige de ma maman, deux assiettes, deux couteaux, deux fourchettes, tout par paire au cas où j’inviterai un ami, deux chaises, deux fauteuils, mon ordinateur, une descente de lit, hssira, deux paires de souliers dans une caisse en carton, une niche à pain, bref ma charmante femme a tout prévu pour que je ne sois pas dans une mauvaise situation et que je puisse jouir de tout le confort.
Ey de tout le bien de D ieu.
Je tire une cigarette que j’allume en pensant à mon beau sort qui m’attendais : finir ma vie dans ma cave. Je mets sur le canoun ma vieille cafetière. Et je pris mon mal en patience.
Le café ne se fait pas attendre pour bouillir. Je verse le breuvage dans un petit verre à thé.
Je pose mon postérieur sur un carton de chaussure et je serre ma tête entre mes mains en pensant à la vie qui à de ces retournements imprévisibles que nul ne peut deviner.
J’étais quand même heureux par ma situation. Je n’étais pas dans la rue mais encore chez moi dans le sous-sol. A l’abri du froid.
Je retire mon pantalon, tire le rideau et je monte sur mon demi lit, bien décidé à y passer la nuit.
Je soufflais sur la bougie. Une odeur acre s’éleva emportant toutes mes illusions et laissant place à mes désillusions. Je réfléchissais dans le noir au lendemain. A mes comptes bancaires surtout, je pressentais encore une surprise de la part de celle avec qui je partage ma vie depuis 30 ans. Je voyais mes enfants, dans mes pensées, mes petits enfants que je ne pouvais pas recevoir dans ce réduit bien que confortable.
‘..Et oui, que puis-je faire … ! Rien… !’
Je commençais à fermer les yeux lorsque le battant de ma porte s’ouvrit.
C’était ma femme, debout en pyjama.
‘…Chéri… !’ Me dit t’elle…’ …Je ne peux pas dormir sans toi, je sens froid… !
Je voulais te faire une farce, tu penses bien que sans toi, je ne suis rien… !’
Nous remontions les marches de ma cave enlacés et pleins de rires.
Le BALLOUT a ceci de particulier c’est qu’il vous emmène nul part et partout.
Il donne du bien.