Par Albert (Albert) le dimanche 03 septembre 2006 - 17h44: |
Chnoue el CHOUA Ehdi???? Trois fois..!C'est trop pour une recherche...!
Par Lisa (Lisa) le dimanche 03 septembre 2006 - 14h01: |
bonjours a tous
voila moi je suis nee en france ,ma maman est corse et mon pere est tunisien de chaouach
je recherche mes racines en vain afin de savoir plus sur ma famille que je ne connais meme pas la bas mon nom est CHAOUACHI
JE VOUS REMERCIE SI VOUS AVE DES INFOS SUR CELA
LISA
Par Lisa (Lisa) le dimanche 03 septembre 2006 - 14h01: |
bonjours a tous
voila moi je suis nee en france ,ma maman est corse et mon pere est tunisien de chaouach
je recherche mes racines en vain afin de savoir plus sur ma famille que je ne connais meme pas la bas mon nom est CHAOUACHI
JE VOUS REMERCIE SI VOUS AVE DES INFOS SUR CELA
LISA
Par Lisa (Lisa) le dimanche 03 septembre 2006 - 14h01: |
bonjours a tous
voila moi je suis nee en france ,ma maman est corse et mon pere est tunisien de chaouach
je recherche mes racines en vain afin de savoir plus sur ma famille que je ne connais meme pas la bas mon nom est CHAOUACHI
JE VOUS REMERCIE SI VOUS AVE DES INFOS SUR CELA
LISA
Par Deutéronome (Deutéronome) le lundi 17 juillet 2006 - 20h14: |
(je parles de ma mère qui est née et a vécue là bas. Moi je suis née en France)
Je crois qu'en Tunisie on leur enseigne en premier lieu le côté positif de la France.Celui qui aide les pays colonisés ou sous protectorat soit en travaillant la terre pour la cultiver soit en leur construisant des hôpitaux, soit des édifices des monuments à caractères culturels (français bien sûr)... la réaction des gens envers la France est idéale : du style si la France fait preuve d'altruisme pour un pays comme le nôtre. En métropole cela doit être le paradis sur terre. mais ils déchantent quand ils s'y retrouve vraiment dans ce pays qui est censé être le leur (je parle pour ceux de nationalité française)où la diversité des communautés avec leur chaleur,leur altruisme et leur sens de la famille ne sont pas les mêmes que chez eux en outre-mer. ce qu'ils vivent en métropole n'est que déprime tristesse, communautés diverses loin les unes des autres et surtout individualisme et hargne...
Par Colette le lundi 05 mars 2001 - 16h11: |
Pour inaugurer cette rubrique, voici juste un premier poème d'une enfant de l'exode, d'une :
"ROSE DES SABLES EN OCCIDENT"
Fille du Soleil du levant,
Enfant du pêcheur sur la plage,
Déroulant les filets d'argent
A la Goulette sur mer de sable.
Je suis devenue fille de France
Avec un accent étranger,
Vivant les coutumes étranges
D'un pays qu'on m'a raconté.
Comme une rose sur la branche,
Mes épines furent arrachées
Quand on a crié "hors de France,
Vous n'êtes que des Etrangers".
C'est le parcours de mon enfance
Tunis et puis la traversée,
Un bâteau, une gare immense
Et l'Ecurie pour nous loger.
Mon père avait choisi la France,
Il avait pourtant hésité
Entre Idéal et Rêve immense
Notre sort en était jeté...
Colette
P.S. : Félicitations Jack, meilleurs souhaits de succès pour ce forum qui devrait correspondre au désir de nombreux internautes.
Par LEVY le lundi 23 avril 2001 - 13h25: |
votre poéme me fait penser un peu livre de marie cardinale. Ou le déracinement est perpétuel et actualement on se demande si nous avions bien choisi notre nouveau pays la france.
Par Colette le mercredi 16 mai 2001 - 18h26: |
Moi je n'ai rien choisi, mes parents ont hésité entre Israël et la France, ils ont cru prendre une décision raisonnable puisqu'elle consistait au regroupement de la famille en France, mais le temps leur a fait regretter n'avoir pas pris la direction d'Israël : tous leurs fils ont épousé des "Françaises" et aucun de leurs enfants n'est reconnu juif, sauf l'aîné de mes neveux. Ses parents ayant divorcé, il a été élevé par mon père et ma mère, il a passé sa bar mitzvah, et avait exprimé le voeu d'être enterré auprès de son grand père, ce qui sera impossible pour tous les autres.
Moi j'ai eu la chance d'avoir épousé un Israëlien, mais pour mes enfants, je ne vois pas beaucoup d'efforts de la part de nos communautés d'activités et loisirs consistant à les réunir. Il est dommage de ne leur tenir que le discours d'aller faire un tour là-bas, histoire de trouver l'âme soeur. Ce qui m'est arrivé était un hasard,
provoqué par ma mère certes, mais j'aspirais à construire ma vie avec un juif parce que je voullais vivre mon identité et en donner une à mes enfants. Ma fille ainée a rencontré ici des israëlites, mais ma seconde fille m'inquiète, bien que je crois avoir construit des bases solides, tant qu'elle ne sera pas mariée à la synagogue, je ne serai pas tranquille.
Aussi, peu importe le lieu d'atterrissage, l'essentiel est dans le fond : vivre ici ou là-bas, dès lors que l'identité est transmise, si le pays d'accueil ne nous mérite pas, il lui restera ce qui l'attend, comme en Tunisie, après notre départ, le désert, le silence, le malheur et la nostalgie d'un peuple auquel on a arraché sa composante essentielle, sa vitalité, sa dynamique.
Par chlomo le mercredi 16 mai 2001 - 20h22: |
nos parents puis nous mêmes avons fait le choix de la galouth par manque de confiance en D...
nous avons donc des choses à regler car ce tour du desert n'est pas gratuit il devrait nous donner la chance d'atteindre une autre dimension
quoi qu'il en soit , tout censerve un goût amer de gachis : surtout au regard de l'evolution de l'attitude de la France de ses représentants et de ses grands medias: chabath chalom à tous