Par Nao (Nao) le vendredi 02 juillet 2004 - 17h36:

Cherchez pas: Redgrave adore defendre les causes perdues. Elle a aussi soutenu les tchetchenes.. On voit deja ou sont ses preferences.

A Jérusalem, l'actrice britannique Vanessa Redgrave a '' lancé un appel aux donateurs pour qu'ils répondent de manière plus substantielle à l'appel d'urgence 2004 de l'UNRWA (Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés palestiniens) ''. (Guysen.Israël.News)

Elle '' a visité les camps de réfugiés de la bande de Gaza et un dispensaire géré par l'UNRWA et participé à des discussions communautaires de femmes sur les difficultés de leurs vies sous occupation ''. Dans le cadre d'un programme culturel, Mlle Redgrave et le violoniste-compositeur Stephen Bentley du Quatuor InKlein se produiront devant les enfants du camp de réfugiés de Kalandia. M. Bentley donnera une master class de violon au Conservatoire national de musique du village Emmaus. Des lectures par Mlle Redgrave sont prévues au théâtre Al Kasabah (Ramallah)

Par Douda (Douda) le vendredi 02 juillet 2004 - 17h09:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Pizza au thon Recette Tune.

Pour la pâte :

3 cuillères à soupe bien pleine de farine, par personne.
1 cuillère à café d’huile d’olive, par personne.
1 gramme de sucre pour tous. ( joue le rôle d’activateur de levée )
1 gramme de levure de bière par personne.
Suffisamment d’eau tiède 30 oC, pour faire une pâte consistante style pain.
Pétrir, laisser lever durant une heure, puis rouler et étaler, sur une plaque téflonée, ou papier sulfurisé.

Pour la Garniture :

Faire une slata méchouïa ( poivrons verts et rouges, tomates, oignons blancs, ail, grillés - pelés- épépinés ), réserver le jus, un peu de camoun et de ras el hanout, de l’harissa à volonté !
Faire griller de la ventrèche de thon ( 50 grammes par personne ), émietter dans la méchouia.

Préparation :

Etaler la garniture sur la pâte, rajouter un anchois salé et trois olives noires par personne, et des câpres à volonté, sans oublier l’origan sur la garniture.

Les non puristes peuvent ajouter des rondelles de Mozarella “Di Buffala S.V.P.”

Enfourner thermostat 250 oC, le temps que les bords de la pizza, soient bien dorés.

Bon Kif, à déguster avec un verre de cabernet sauvignon cuvée 2003 (Celle de la Canicule), cette
recette a été élaborée avec amour, mainte fois éprouvée, et elle étonnera tous vos amis.

Nota : On peut remplacer le thon grillé, par une boite de filets de thon à l’huile d’olive, ça sera bon, mais pas comme avec le thon grillé.

Wnessou El Douda

Par Douda (Douda) le vendredi 02 juillet 2004 - 17h07:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ronchon : Pourquoi on est Tune ?

On est Tune...

Parce qu’avant tout on n’a peur de rien, ni de personne, et que l’on l’esprit critique aiguisé, par des millénaires d’appétance féroce, de tout faire tourner en bourique, histoire de se faire un grand kif !

Parce que l’on sait mieux que quiquonque apprécier, la douceur de vivre, la péosie, les histoires juteuses et les anecdotes truculantes entre amis, autour d’une khémia, d’une boukha glacée, et de rondelles de boutargues.

Parce que lorsqu’on veut nous manipuler avec une BouleItik ( Qui rime avec hkik! ), qui fanfaronne au bruit du clairon et du tambour, nous on répond avec les ADM de notre choix, “Armes De
Démystifications Massives “, précisément celles qu’ADRA met généreusement à notre disposition :
“Vous aimez parler, partager, exprimer, critiquer, analyser, décortiquer, impressionner, informer ?? Voici l'endroit ideal pour vous.”, celles là, nous au moins on n’a pas besoin d’experts ONUSIENS ou AUTRES USIENS, pour les débusquer.

Parce qu’on ne juge personne, et que personne ne peut nous juger.

Parce que nous ne donnons de leçons à personne, et qu’on ne reçoit de leçons de personne.

Parce que si on crie trés souvant : “ Au loup ! “, c’est pour mieux nous faire oublier, le temps qu’on fourbisse notre arsenal !

Parce que si comme chaque année on se tire en vacance, c’est qu’on sait mieux que quiconque, s’en créer les moyens, sans voler personne ! Ceci dit, des fois qu’il y en aurait qui nourrissent des intentions malhonnêtes à notre encontre.

Parce que, et il y en a beaucoup des parce que... tellement que la litanie serait bien trop longue, que ça monopoliserait tout ADRA, et que le lecteur s’en trouverait “ Soukrane “, devinez ce que ce mot veut dire.

Ah ! Zekch, j’allais oublier la plus importante :

Parce que l’on sait rappeler en temps opportuns aux anciens Tunes, ce qu’ils n’auraient jamais due
cesser d’être !

Sakha à Toutes et Tous, le soleil brille sur la Grande Bleue, et la Pleine Lune est toujours aussi Rousse qui resplendit sur La Goulette.

Wnessou El Douda

Par Rd (Rd) le vendredi 02 juillet 2004 - 13h35:

monsieur levy,
avec tout le respect que je dois a votre recette, la dose de 150g de levure pour 500g de farine m'apparait enooorme!
pouvez vous vérifier si il ne s'agit pas plutot de 15g!
cordiales salutations chabbatiques

Par Chantal (Chantal) le vendredi 02 juillet 2004 - 13h20:

A Matt_Chuaichy et aux harissiens:

Mais bien sur qu'il ne s'agissait pas de l'ete 1943, mais du PRINTEMPS 1943, alors voici, rectifiee, grace a votre perspicacite, la demande de renseignements du chercheur americain:

Afin de mieux comprendre l'occupation allemande en Tunisie, Dr. ROBERT SATLOFF du Washington Institute demande à toute personne susceptible de le renseigner sur les sujets suivants de le contacter directement - en francais ou en anglais - par mail à robs@washingtoninstitute.org

a- Toute information sur les familles juives de MAHDIA cachées à la ferme de Khalid Abdulwahhab à TLESLA, située entre Mahdia et El-Jem, au PRINTEMPS 1943.

b- Toute information sur les travailleurs juifs qui ont trouvé refuge à la ferme de Si Ali Sakkat, à ZAGHOUAN, au PRINPTEMPS 1943.

Merci de votre aide!

Par Email (Email) le vendredi 02 juillet 2004 - 07h05:

Bonjour, puisque Chabbat arrive, voila la recette du pain de Chabbat que
nous a donné ma soeur te dont mes enfants raffolent, à tel point qu'il faut
parfois en faire en semaine pour le goûter:


PAIN DU CHABBAT


INGREDIENTS :

- 500g de farine.
- 1 ouf entier.
- 1 blanc d'ouf. (réserver le jaune pour faire dorer le dessus du pain).
- 150 g de levure de boulanger délayée dans un verre d'eau tiède, avec 2
carrés de sucre.
- 1 petit verre d'huile d'olive
- sel.

Mélanger les ingrédients.
Mettre en boule dans une poignée de farine, pour ne pas que la pâte colle.
Laisser lever une demi-heure.
Repétrir et laisser encore lever une demi-heure.
Faire deux pains, les tresser ou les former à votre façon, et dorer le
dessus au jaune d'ouf.
Mettre au four pendant 20 minutes, pas plus!.

Voila, j'espère que tous les Harissiens vont se régaler, et Chabbat Chalom à
tous!

Brenard LEVY

Par Mena (Mena) le vendredi 02 juillet 2004 - 06h52:

Le néo-judaïsme constitue-t-il un danger majeur pour la démocratie ? 2ème partie (info # 010107/4) [analyse]

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



Quant à Leventhal, il considérait dans son interview que son "psac halakha", son verdict hilkhatique, ne serait pas applicable à cause des contraintes de la civilisation civile, "tout comme il n’est pas possible aujourd’hui d’exécuter des sacrifices d’animaux dans l’esplanade du Temple".



"Votre sentence de mort s’applique-t-elle également au Premier ministre, qui a décidé du retrait unilatéral de Gaza", a poursuivi l’intervieweur ?



"Non" répondit le rav Leventhal, expliquant qu’un autre "possec", le rabbin Elyachim Shlit, avait décrété, suite à l’assassinat d’Itzhak Rabin, que "les sentences de mort n’étaient pas applicables aux membres du gouvernement".



- "Et si ce décret n’existait pas (dans le système hilkhatique, en principe, un "psac" ne peut en contredire un autre), pensez-vous également qu’Ariel Sharon devrait être exécuté ?"



"La question ne se pose pas, puisque ledit "psac" existe", se contenta de rétorquer le rabbin de la vieille ville de Jérusalem.



La plupart des commentateurs laïcs sont scandalisés par l’initiative de Leventhal et par l’incapacité du judaïsme orthodoxe à la dénoncer clairement et en bloc, à appeler à considérer sa nullité. Pour ma part, je suis beaucoup plus préoccupé par les incongruités générées par les créations du néo-judaïsme, n’hésitant pas à poser la question pseudo sacrilège de leur légitimité.



Voyons, ce qui a fait la force de la spiritualité du peuple d’Israël, en Israël, ce fut sa capacité à l’époque du Temple à s’approcher, peut-être plus près qu’aucun autre peuple, de la réalité métaphysique. De s’approcher de ce qui n’est ni physique ni humain, presque à s’en brûler les ailes. Les juifs, les indiscutables, avaient instauré une cabine de communication avec ce qui ne se voit pas et, une fois l’an, le jour du Kippour, le moins imparfait des hommes, le Grand prêtre, venait réciter une à une les quatre lettres du code d’entrée (lui payait régulièrement son abonnement à la Ména, note Ilan, en insistant pour que j’ajoute sa remarque capitale à mon texte). S’instaurait alors une rencontre éphémère entre les deux mondes qui forment l’entièreté du monde.



Cette rencontre extraordinaire, fondement constitutif de la spiritualité juive authentique, était si prépondérante dans la conscience de l’humanité toute entière, qu’elle marque encore les rites juifs, chrétiens et musulman et qu’elle conditionne toujours, souvent sans qu’ils ne le comprennent, les choix existentiels de la majorité des habitants de notre planète.



De fait, même si au début elle était faite en toile de tente, cette cabine téléphonique entre l’homme et le non-homme, qu’on appelle le Temple, a fonctionné à l’identique depuis le "Maamad Har-Sinaï", l’Occurrence du mont Sinaï. C’est en cette occasion, la seule durant laquelle, très brièvement, les juifs furent autorisés à porter les quatre lettres du code à leur ceinturon, en signe de symbiose éphémère et sans conscience durable envisageable, qu’il semble que l’humanité ait atteint le faîte de la conscience de son état.



C’est à cette occurrence que tous les croyants issus des entretiens téléphoniques annuels considèrent que les juifs ont reçu le seul texte qui n’ait été écrit de main d’homme, les deux plaques de pierre (les tables de la loi) sur lesquelles figuraient les dix commandements.



Et peu importe de savoir exactement comment ce texte a été transmis, puisqu’il existe et puisqu’il renferme en dix articles la loi parfaite et suffisante. Ces caractéristiques formant la trace consultable de la plus grande des transcendances menant à l’énumération des limitations non naturelles (comme toutes les lois limitatives) absolument nécessaires à la conservation de toute présence humaine – sociale et individuelle – sur cette planète.



Et permettez-moi d’être de ceux qui pensent, que si la Halakha, ses rabbins et ses synagogues, les Evangiles, Jésus et ses églises, le Coran, Mohammed et les mosquées avaient été nécessaires ou même utiles à la conservation de la vie, l’Homme les aurait reçus à l’occurrence du Mont Sinaï.



Huit des dix commandements, si l’on utilise un outil d’analyse bien utile que nous a confié Raymond Aaron, constituent le standard des systèmes législatifs négativistes. Par négativistes, Aaron définit les ensembles de lois qui se contentent d’énoncer les interdits, impliquant que ce qui n’est pas interdit est permis. Ces systèmes sont ceux qui font confiance à l’Homme et qui font appel à sa conscience et à son intelligence afin de gérer les choix de ses évolutions. Les autres systèmes sont dits "positivistes", en cela qu’ils énumèrent les actes permis et nécessaires – comme les Mitzvot et les B.A –, ils conditionnent le fait que tout ce qui n’est pas édicté comme permis est interdit, tout comme il est interdit de ne pas réaliser les actions que ces lois imposent. L’homme pour qui ces systèmes sont conçus est un être sans conscience, à penchant bestial constant, chez lequel la discipline imposée et pas nécessairement comprise, remplace la compréhension de son état.



Les néo-juifs ont réussi l’exploit de transformer un système négativiste parfait en système positiviste hyper aléatoire. Ca n’est d’ailleurs pas le seul grief que j’adresse à ces mutants. Ils ont sans cesse ajouté des textes, des explications, des interdits et des mises à jour à ce qui était parfait, s’imaginant, depuis qu’ils ont construit le veau d’or, que l’homme en avait besoin pour exister. Mais plus ils en rajoutaient et plus ils s’éloignaient de l’état de compréhension du Maamad Har-Sinaï, jusqu’au jour où leurs textes ne leur suffirent plus du tout et qu’ils leur ont inventé un interprète sacré, en la personne de Jésus Christ. Les Hilkhatistes reconnaissent d’ailleurs le principe de l’éloignement de la connaissance au fil de l’éloignement chronologique de l’Occurrence. Ils appellent cela la "yeridat ha-dorot", ce qui ne les gêne nullement dans la continuation de leur déviance positiviste.



Pourtant l’homme était libre et fort, lorsqu’il ne répondait qu’à ces dix lois. "Tu ne tueras pas !" par exemple… Les dix commandements ne précisant pas QUI tu ne tueras pas, ils ne parlent pas des situations de légitime défense, ils ne disent pas qu’il est permis de tuer les insectes qui nous dérangent ni les bovins pour les manger. Ils n’autorisent pas de décharges pour appeler à l’assassinat des premiers ministres pas plus qu’ils n’autorisent à faire la guerre. Ils ne prévoient pas non plus de punitions pour ceux qui transgressent les lois. Ils ordonnent juste : "Tu ne tueras pas !"



Approche naïve ? Et depuis que la Halakha et que Jésus existent, les hommes tuent-ils plus d’autres hommes ou moins qu’avant leurs existences ? Répondre par "moins" à cette question, après l’Inquisition, Hiroshima et l’Holocauste me paraîtrait téméraire. Alors, en quoi servent-ils à la survie de l’espèce ?





A suivre…

Par Primo (Primo) le vendredi 02 juillet 2004 - 06h42:

CSA : Capitulation Sans Avenir



Ainsi, comme nous le redoutions, l’organisme qui était censé protéger le téléspectateur des dérives de son passe-temps préféré s’est révélé être l’instrument idéal de toute république bananière digne de ce nom, l’alibi parfait d’une fausse démocratie qui feint de donner la parole au peuple en période électorale, pour mieux la confisquer entre les scrutins, c’est-à-dire presque tout le temps.



Le CSA vient de démontrer une fois de plus, involontairement, que sans une mobilisation de toutes les forces réellement démocratiques de ce pays, s’appuyant sur un soutien des intellectuels et de ceux qui peuvent financer des actions conséquentes, l’avenir de notre liberté s’avère bien compromis. Il n’est pas trop tard, mais l’heure est déjà bien avancée.



Informer et divertir. Voilà les deux tâches que la télévision se pique de réussir.



Divertir ? Dans le sens de faire diversion ? C’est parfaitement réussi ! L’engouement du public pour les émissions dites de « télé-réalité » donne la mesure de la perte de toute conscience critique, symptôme inquiétant des fins de civilisations.



A chaque cran de débilité atteint – atteindra-t-on bientôt le fond ? Ce fond existe-t-il ? -, c’est un peu de notre cohésion nationale qui s’envole, un peu plus d’égoïsme qui triomphe, un peu moins de repères pour une jeunesse à qui il en reste déjà si peu.



La vague de fond initiée par des producteurs cyniques, il y a une dizaine d’années, s’apprête à submerger définitivement cette jeunesse, en sapant tous les jours un peu plus son sens critique. Les jeunes hommes et femmes de ce début de siècle sont de plus en plus formatés en publics acquiescant devant tout et son contraire, levant le pouce quand on le leur demande, le baissant quand on le leur ordonne. Transformés en moelles épinières, ayant rangé leurs cervelles au rayon des accessoires, les voilà désormais prêts à suivre tous les menteurs, falsificateurs, inverseurs de valeur, persuadés que la loi du nombre les immunise contre toute catastrophe, soldats rêvés pour les totalitaristes tapis dans l’ombre.



Les membres du CSA, eux, ne partagent en rien les valeurs de ces pirates de l’audiovisuel, mais ils assistent impuissants à la déliquescence de notre société, reprochant telle séquence trop ordurière par ci, tel horaire non respecté par là, mais cédant finalement, sur le fond, aux diktats des forces de la production de divertissements, riche et puissante.



Reste un domaine où les prérogatives du CSA pouvaient pourtant encore s’exercer : celui de l’information.



Primo-Europe a donné au CSA l’occasion de s’en servir : en lui demandant d’intervenir sur l’affaire de l’émission de Thierry Thuillier*. Une affaire simplissime de bidonnage d’une séquence tendant à accréditer la thèse d’une armée israélienne tueuse d’enfants palestiniens par pur plaisir sadique. Une affaire où l’auteur de la mystification s’était lui-même maladroitement enfermé dans un cul-de-sac, en reconnaissant partiellement ses torts, mais en niant ses intentions malveillantes alors que même celles-ci étaient si faciles à prouver.



Bref, Primo-Europe offrait, sur un plateau, au CSA, un véritable délinquant de l’information.



Et que croyez-vous qu’il fit de cette offrande ? Il suffit de lire la réponse de son président ci-après. Une réponse où il fait semblant de ne pas comprendre les détails extrêmement précis et explicites que Primo-Europe lui avait communiqués. Le summum de faux-culterie étant atteint avec le passage où il nous suggère comme interprétation que Thierry Thuillier ne maîtrise peut-être pas la langue anglaise !



Bien frileux le CSA ! Préférant contrôler au 1/10e de seconde près le temps de parole des différents partis politiques pendant la campagne électorale, il fait irrésistiblement penser à cette contractuelle qui verbalise les véhicules venant de dépasser le temps inscrit sur le ticket d’horodateur, tout en négligeant ceux qui, en double file, provoquent une pagaille monumentale.



Donc, pas d’espoir non plus pour le domaine de l’information.



Surtout, nous avons la preuve flagrante, à travers cet exemple, que le discours convenu sur la nécessité de lutter contre l’antisémitisme ne sert qu’à glorifier ceux qui le prononcent, dans la mesure où en on laisse semer impunément les germes. Qu’est-ce qui peut mieux expliquer flambée anti-juive que nous connaissons depuis près de quatre ans que ces mensonges proférés dans les médias ? Qui est plus coupable que celui qui ferme les yeux ou fait semblant de ne pas voir la mèche qui allume les esprits de certains jeunes en mal d’idéal ?



Va-t-il falloir, citoyennes, citoyens, trouver d’autres Bastille à faire tomber ? Une nouvelle aristocratie garde jalousement ses forteresses. Elle vous confisque votre liberté, votre avenir, celle de vos enfants.



Primo-Europe n’est ni un parti politique ni une entreprise à but lucratif. On n’y trouve que des bénévoles qui refusent cette fatalité.



Nous ne pouvons rien sans la mobilisation de chacun.



Jean-Pierre Chemla, le 26 juin 2004



© Primo-Europe



* http://www.primo-europe.org/media.php?numdoc=Me-899305049

http://www.primo-europe.org/media.php?numdoc=Me-999584087

http://www.menapress.com/article.php?sid=801

http://www.menapress.com/article.php?sid=787





CONSEIL SUPÉRIEUR DE L'AUDIOVISUEL

Le Président

Paris, le 23 JUIN 2004

Monsieur le Vice-Président,

Vous avez bien voulu me faire part de vos démarches visant à faire corriger des affirmations tenues lors d'un reportage de l'émission «Israël, questions interdites» diffusée sur France 2 le 23 février dernier ..

Ces propos concernent la mort causée par des soldats israéliens de trois enfants palestiniens après que ceux-ci ont donné des coups de pieds dans une clôture-frontière.

J'ai pris connaissance de vos remarques avec la plus grande attention.

Je dois vous indiquer que le Conseil supérieur de l'audiovisuel ne peut assurer le rôle, suggéré par votre démarche, qui constituerait à vérifier la vérité ou la sincérité de chaque élément, fait ou déclaration contenus dans les nombreux reportages diffusés dans les émissions d'information des services de communication audiovisuelle. Le Conseil doit s'assurer de l'absence de malhonnêteté, de désinformation intentionnelle.

Vous me précisez qu'une enquête menée par une agence de presse a conclu à l'inexistence des faits mentionnés dans le reportage, non par le journaliste lui-même, mais par une militante se trouvant sur les lieux. Vous ajoutez que « la presse israélienne a bien relaté le décès de trois enfants palestiniens, et pour des raisons qui n'ont rien à voir ».

L'écoute attentive de la séquence permet de comprendre la confusion, certainement involontaire, qui a pu se créer: la caméra filme de loin l'intervention de soldats près de la clôture; Yvonne Mansbach dénonce leur comportement, et dit: « trois enfants ont été tués ainsi ». Par ce propos, elle se réfère sans doute à un bilan sur une période assez longue. La mention que vous dénoncez serait ainsi trompeuse dans sa formulation. Mais elle concerne des faits qui, dans un contexte un peu différent, ont eu une réalité dans la région et la période concernées, ce qui tend à relativiser quelque peu le caractère trompeur que vous évoquez. Enfin, lorsque M. Thuillier ajoute le commentaire: «cet incident n'a pas fait l'objet d'une ligne dans la presse israélienne», il n'est pas possible de savoir avec certitude de quel incident il parle, mais il semble que lui-même ait mal compris le témoignage qu'il a recueilli en anglais.

En tout état de cause, si les auteurs du reportage ont pris conscience d'avoir laissé diffuser une affirmation prêtant à contestation, les modalités permettant de la corriger après coup ne sont guère faciles à trouver. Vous mentionnez que M. Thuillier a admis son erreur au cours de l'émission «L 'hebdo du médiateur», ce qui va bien dans le sens de la correction souhaitée. Cette démarche, de même que les conditions toujours difficiles de réalisation de tels reportages et leur qualité d'ensemble, conduisent le Conseil à estimer qu'il n'y a pas eu intentionnalité de tromper le public.

A toutes fins utiles, je transmets au directeur général de France 2 copies de votre courrier ainsi que de la présente réponse, en lui rappelant de veiller à respecter l'esprit des recommandations du CSA qui enjoignent aux diffuseurs d'être très attentifs dans leur traitement de l'information sur de tels sujets

Je vous prie d'agréer, Monsieur le Vice-Président, l'expression de ma considération distinguée

Dominique BAUDIS

Par Nao (Nao) le jeudi 01 juillet 2004 - 23h37:

Crise Humanitaire au Soudan:

Annan s'est fait secouer les puces sous la pression de groupes apolitiques concernant son apathie sur la situation humanitaire dramatique qui sevit au Soudan.

C'est vrai qui parle du Soudan de nos jours? On ne parle que des Palestiniens comme si ils etaient le seul peuple au monde a souffrir.

Le Darfour est une région du Soudan recoupant trois États de la fédération. La région est en proie à la pire crise humanitaire dans le monde, selon l'ONU. Un conflit entre des forces rebelles et des milices pro-gouvernementales a fait quelque 10 000 morts, un million de déplacés et plus de 100 000 réfugiés au Tchad. (les chiffres des Palestiniens a cote sont de la bibine..)

Finalement Powell est arrive au Soudan hier. Il est le plus haut dirigeant américain à se rendre au Soudan depuis 1978. Il a interpellé le gouvernement soudanais. « Nous devons agir maintenant, car le temps presse. Les gens sont en train de mourir et le taux de mortalité va augmenter fortement au cours des prochains mois. »

La présence de M. Powell au Soudan n'aura pas tardé à porter ses fruits puisque le président du pays, Omar Hassan al-Béchir (remarquez les origines de son nom), a annoncé la levée de tous les obstacles entravant l'arrivée de l'aide humanitaire au Darfour (qui est un camp de refugies essentiellement chretiens et ils subissent ttes sortes de sevices en raison de leur appartenance religieuse et de pression proselyte.. ).

« J'annonce la suppression des mesures administratives et douanières relatives à l'arrivée de l'aide humanitaire au Soudan, afin que nous puissions sortir de la crise », a indiqué M. Hassan al-Béchir.
Le chef de la diplomatie américaine a aussi demandé au gouvernement soudanais de retenir les milices qui leur sont alliées et qui sont accusées de massacres de chretiens au Darfour. M. Powell a également enjoint le gouvernement à désentraver l'accès de l'aide humanitaire dans la région et d'entamer un processus politique avec les rebelles afin de résoudre la crise.

Dans le dossier des milices, le président soudanais s'est engagé à appliquer la loi avec fermeté sans prendre partie dans le conflit régional qui sévit au Darfour. M. Hassan al-Béchir a poursuivi que le cessez-le-feu avec les rebelles serait reconduit et que les observateurs de l'Union africaine allaient se poursuivre.

Enfin Annan a aussi fait le voyage! Powell doit rencontrer le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, afin de visiter des camps de déplacés.

Par Rd (Rd) le jeudi 01 juillet 2004 - 20h58:

pour la pizza tune, un peu comme chez memmi rue de corse /mokhtar attia.
utiliser simplement de la pate a pain achetée chez le boulanger, l'équivalent d'un pain.
l'étaler sur une plaque préalablement recouvert d'une feuille de papier sulfurisé, l'oublier 45mn.
pendant ce temps, dans un saladier ouvrir une boite de tomates pelées concassées 400g, une petite boite de concentré de tomates; couper un gros oignon, deux tomates avec la peau et les graines. puis un cuiller a soupe de capres rincés, une poignée d'olives noires, quelques filets d'anchois a l'huile grossièrementt taillés.poivrer, saler(oui, malgré les anchois),une cuiller a café de sucre,1/2 verre d'huile d'olive. pas d'herbes aromatiques. laisser reposer.
aprés le temps de repos allumer le four, thermostat 200°.
étaler le mélange a la cuiller sur la pate sans la brusquer et laisser encore reposer 10 mn.
enfourner pour environ 1/2 heure.
a la sortie du four, un filet d'huile d'olive crue est bienvenue

Par Albert (Albert) le jeudi 01 juillet 2004 - 21h24:

CHANSON LA MAL AIMEE AU P.T.B.

Par Albert (Albert) le jeudi 01 juillet 2004 - 20h30:

La C.S a chosi le porc avant la barrière car on ne peut pas dérouter un cochon KACHER mais une barrière taref ASSOUR BANI PAL...OUI....NAO...

Par Albert (Albert) le jeudi 01 juillet 2004 - 20h18:

MADAME AXELLE.....VOUS M AVEZ COMMANDE UN RECITALE......BRUEL ET GOLDMAN.....ET BIEN IL VOUS SERA DONNE SAMEDI SOIR A L OCCASION DE L'ANNIVERSAIRE D 'UNE AMIE......Ce sera MON CADEAU ET VOUS ET A ELLE......

Par Albert (Albert) le jeudi 01 juillet 2004 - 20h15:

Première réflexion...

'...Elli yekhrèj mél qualb i ter'chem fél kdoud ou fél yaïnei...!'

Ce qui sort du coeur, s'inscrit sur les joues et dans les yeux...!

Albert T.C. 003