Par Email (Email) le vendredi 03 novembre 2006 - 10h18: |
6ème journée du livre d’Histoire et de Recherche juives
Le Département culture du Fonds Social Juif Unifié organise dimanche 12 novembre 2006, la 6ème journée du livre d’Histoire et de Recherche juives, dans neuf villes de France : Paris, Bordeaux, Grenoble, Marseille, Montpellier, Nice, Nîmes, Rennes, Toulouse ainsi que Jérusalem.
Cette manifestation est placée sous le patronage de Renaud Donnedieu de Vabres, Ministre de la Culture et de la Communication et de Gilles de Robien, Ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Retrouvez l’intégralité des programmes ville par ville ainsi que les livres sélectionnés par le jury pour le prix du livre d’Histoire et de Recherche juives sur www.fsju.org ou téléphonez au 01 42 17 10 70.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 03 novembre 2006 - 07h36: |
Massooud, Je n’ai pas de problème avec le ghetto, qu’il soit par contrainte ou par notre choix l’essentiel qu’il sert pour quelque chose de positif pour ceux qui se trouvent a l’intérieur. Je ne vois pas pourquoi vous avez un problème avec cela. Sachez bien qu’il n’y a aucune règle pour cela. L’homme doit apprendre a vivre dans les conditions qui lui permettent de survivre. Le reste ce n’est que de la théorie
Par Mena (Mena) le vendredi 03 novembre 2006 - 01h16: |
Gaza dans les nuages et les brouillards de l’automne (info # 010211/6) [Analyse]
Par Sami El Soudi © Metula News Agency
L’armée israélienne a lancé depuis hier des opérations militaires importantes dans la bande de Gaza. Elle a nommé cette campagne "Nuages d’automne". En faisant la synthèse des informations que j’ai pu recueillir côté palestinien et de celles qui me sont fournies par Ilan Tsadik, qui se tient informé auprès des officiers israéliens, il nous est possible de dégager les objectifs tactiques de ces raids. Ceux-ci poursuivent trois objectifs stratégiques, à savoir :
Empêcher une libanisation des affrontements avec les organisations islamiques, en coupant les sources d’approvisionnement en armes, munitions, formateurs et en détruisant les stocks d’armes nouvelles en provenance du Sinaï, récemment amassés par le Hamas et le Djihad islamique palestinien. Les dépôts attaqués contiennent des moyens antichars et antiaériens comparables à ceux employés par le Hezbollah lors de la guerre du Liban. Un missile de type Kornet a été utilisé hier, pour la 1ère fois, par des miliciens du Hamas contre un blindé de Tsahal. Il n’a fait ni dégâts ni victimes côté israélien.
Gêner les tirs de roquettes quotidiens des islamistes contre la ville de Sdérot et le Kibboutz de Shar Haneguev et empêcher le déplacement du caporal Gilad Shalit de son lieu de détention identifié par les Israéliens.
Diminuer le potentiel militaire des organisations islamiques en vue de la confrontation, qui semble inévitable, entre le Hamas et le Fatah. 362 miliciens et terroristes du Mouvement de la Résistance Islamique (Hamas) et du Djihad ont été tués par Tsahal depuis l’enlèvement de Shalit et 789 d’entre eux ont été mis hors de combat lors de dizaines de raids. Ce chiffre est à mettre en perspective avec le fait que ces organisations comptaient environ 2'800 miliciens ayant subi un entraînement plus ou moins sérieux et que la plupart des miliciens et terroristes touchés par les soldats de Jérusalem font partie de ces forces "préparées au combat". Depuis quelques mois, les effectifs islamistes étaient passés à 4'500 hommes armés, mais ceux qui n’ont pas été entraînés ne joueraient qu’un rôle insignifiant lors d’une éventuelle confrontation généralisée avec le Fatah ou les Israéliens.
Les forces palestiniennes inféodées au président Abbas ne participent pas aux combats contre Tsahal et reçoivent un entraînement massif et concentré administré par des spécialistes de la CIA américaine. Des tractations intensives, dirigées par des médiateurs US, sont en cours afin qu’Israël autorise le transport d’une brigade du Fatah, casernée depuis toujours en Jordanie, vers l’intérieur de la bande de Gaza.
Sur le plan tactique, les Israéliens, appuyés par 80 blindés, ont occupé hier la ville de Beit Hanoun, située dans le nord de la bande et faisant face, à quelques centaines de mètres de distance, à la municipalité israélienne de Sdérot. La ville palestinienne voisine de Lakhia a également été investie, de même qu’une large portion de Djabalyia. Lors des combats pour la prise de ces villes, 9 miliciens et terroristes [1] ont trouvé la mort, de même qu’un soldat israélien, le maître-chien Kerell Golenshin, ainsi que deux victimes collatérales civiles. 80 membres des organisations islamistes sont blessés à des degrés divers. La vie de 17 d’eux eux est en danger. Le président Abbas a qualifié la bataille qui se poursuit de "massacre" mais la Ména est en mesure d’affirmer que cela fait uniquement partie de sa "communication", ces paroles étant destinées à empêcher que la rue palestinienne ne considère le chef de l’AP comme un allié de l’Etat hébreu. Dans les faits, cependant, c’est objectivement l’unique observation qui s’impose.
Dans le sud de la bande, les chars israéliens ont pris des dispositions offensives dans un grand terrain vague attenant à l’aéroport international désaffecté et donnant accès à la voie Philadelphie qui longe la frontière égyptienne, sur toute la longueur de sa partie palestinienne. Cet axe, qui comprend le point de passage avec l’Egypte de Rafah, avait été remis par Tsahal à l’Autorité Palestinienne lors de son désengagement des implantations et de la bande l’an dernier. En dépit de la présence sur les lieux d’observateurs de l’Union Européenne et du déploiement de 1'500 gardes-frontières du président Moubarak, côté Sinaï, le creusement de tunnels de contrebande a atteint des proportions record lors de ces dernières semaines. Plus d’une centaine de ces galeries ont en effet été percées lors des dernières semaines, alors que 19 seulement ont été découvertes et dynamitées par les commandos de Tsahal lors de raids ponctuels.
Lors d’une intervention assez surprenante ce jeudi matin, un haut fonctionnaire du Caire a déclaré "que l’Egypte verrait de manière hostile à Israël la destruction des tunnels". Notre étonnement découle de ce que la quasi-totalité des armes transitant par ces ouvrages sont destinées aux organisations islamiques auxquelles le Caire est violemment opposé. De plus, ce sont les militaires égyptiens qui sont censés empêcher cette contrebande et qui s’en montrent totalement incapables. Mais le plus singulier, c’est que cet échec démontre la médiocrité des troupes d’élite du régime de Moubarak et partant, de toute son armée ainsi que son degré avancé de corruption. Les services de renseignements du pays du Nil savent parfaitement que tant que la partie de leur territoire située au-delà du canal servira de marché d’armes et de plate-forme de contrebande, ils ne pourront assurer la sécurité des sites touristiques sis dans la péninsule du Sinaï. Des sites qui ont subi des attaques terroristes de la part des alliés du Hamas et de ses patrons des Frères musulmans et qui ont fait des centaines de victimes. Ces attentats ont fortement hypothéqué l’essor de l’industrie du tourisme de Moubarak, qui constitue pourtant la principale ressource du pays en devises étrangères. Cette cascade de constatations met, en tous cas, en relief la fragilité du régime cairote, bien plus significative que ses inconséquences stratégiques et tactiques.
A Gaza, qui est tout sauf un modèle d’ordre et d’Etat de droit, on a banalisé les expressions "sot comme un Egyptien" et "corruptible comme un Egyptien". Cela fait l’économie d’autres commentaires…
A Gaza aussi où l’armée israélienne émet divers messages sur les fréquences des radios locales, afin de prévenir que les opérations en cours visent à éliminer les terroristes et leur armement et pour inviter la population locale à prendre ses distances des uns et des autres.
Certains, au sein même du Hamas, font froidement le décompte des conséquences de l’enlèvement du caporal Shalit et dressent le bilan désastreux de cette opération. Ils accusent le chef du Hamas installé à Damas, Khaled Mashal, de "les sacrifier afin d’imposer sa prédominance sur la cause palestinienne". Mashal a étonné les leaders islamiques locaux en adressant plusieurs propositions politiques à Israël ces derniers jours ; parmi celles-ci, "un cessez-le-feu absolu, et même, une cessation des hostilités pour une période de 20 à 40 ans, contre le retrait d’Israël aux frontières de 1967, la libération de tous les prisonniers et le transfert de l’autorité sur les frontières de l’Autonomie de l’AP au gouvernement Hamas".
Sur le terrain du différend inter palestinien, on assiste à une véritable course à la mobilisation d’hommes, à leur entraînement et leur armement. Les tractations en vue de trouver un compromis pacifique entre le gouvernement et la présidence sont interrompues et la énième "réunion de la dernière chance", prévue au Caire, a été annulée. Je me permets de réclamer votre attention sur le fait que nous sommes désormais entrés dans une dynamique de confrontation que nous n’avions jamais observée auparavant. L’heure est désormais à la préparation de la guerre civile, à ciel et à discours ouverts, et je ne vois pas – hormis une réoccupation totale de la bande de Gaza par les Israéliens – ce qui pourrait éviter l’affrontement fratricide.
En Cisjordanie les arrestations de membres des factions armée et politique des organisations intégristes par l’armée d’occupation se poursuivent. Cette nuit, 27 personnes ont ainsi été appréhendées. Ces opérations sont couronnées d’un succès certain, puisque cela fait désormais de longs mois que le Hamas, le Djihad, le FPLP et les Martyrs d’Al-Aqsa n’ont pas réussi à perpétrer d’attentant majeur sur le sol israélien.
A Gaza, la non restitution du soldat enlevé et la poursuite des tirs – politiquement et tactiquement inutiles de Qassam – démontrent, plus que le choix des intégristes de maintenir une situation permanente de guerre aux conséquences suicidaires, que la construction d’un Etat pour les Palestiniens, sur des bases logiquement accessibles, n’est pas à l’ordre du jour du Hamas. Plus de trois millions de mes compatriotes paient quotidiennement le prix de ce choix absurde, personne de sensé n’imaginant que nos adversaires accepteront de vivre sous les piqûres permanentes de ceux qui, pour eux, ne sont rien de plus que de nuisibles… moustiques.
Notes :
[1] Miliciens, ceux qui s’attaquent à des Israéliens armés, terroristes, ceux qui s’en prennent à des civils, et miliciens-terroristes, ceux qui passent d’une occupation à l’autre.
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le jeudi 02 novembre 2006 - 23h57: |
Les communautarismes, qu'ils soient religieux ou non, conduisent immanquablement à la ghettoïsation de leurs adeptes.
Quant à décréter que un-tel ou un-tel est malade, il vaudrait mieux être capable de se prévaloir, d'au moins et encore, quelques années de faculté de médecine, avant d’avoir la prétention de pauser un quelconque diagnostique.
Par Albert (Albert) le jeudi 02 novembre 2006 - 21h06: |
Comme chaque soir et depuis deux semaines, le film Meyer au Pérou va en grandissant.
J'éspère que vous suivez tous ce feuilleton où le ridicule s'associe au burlesque.
Drôle est ce Meyer qui a étè kidnappè.
La bande n'en revient pas.
Nous allons suivre ensemble au PTB, la suite des évenements.
Tout a commencè au Vénèzuela.
Une concession de pétrole achettèe par les deniers de Albert par Meyer.
Grand fiasco. Un tsunami écologique.
Fuyant avec sa tribu Maracaïbo, notre ami réfléchit en cours de route, dans l'avion qui le rémène à Paris à un autre projet. D'autant plus que son arrivèe est attendue en grande pompe par les poulets de l'Ins_Boulakia.
C'est au Pérou qu'il ira avec ses accolytes.
Il va s'investir dans une exploitation de bananes dans la région de Terra Nueva, sans doute un héritage laissè à son intention par un des ses aîeux incas. Oui, un cas ce Meyer.
Bref, détournement d'avion avec la complicitè de la Doudas qui apparait en haut un temps mais nous fuit en bas, une diarrhè, un commencement d'accouchement, un vol d'ambulance,la maman de la Doudas retenue en caution par le colonel Christian des SCE HELVETE, l'arrivèe de Breitos dans le paysage accompagnè par ses amis Pablois et Ramirez, puis celle de la vraie Michka,une course poursuite pour rattrapper Breitos l'ingrat qui se termine par une empoignade dans la voiture, encore une poursuite celle de Tawficos qui ne lache pas le MEYER, une bande d'espions ( ses amis) qui maniguance avec des services étrangers, une mémorable 'triha' donnèe à la Mamili par sa cheftaine Elsa, un travail HARASSANT presque HARISSIEN pour planter les semis de bananes sous l'oeil enfummè de notre grand Maître d'Oeuvre Meyer qui apprend que ses employès sont des espions,l'arrivèe de Albert et des chefs des Services Spéciaux puis la nouvelle
et puis O Catastrophe notre MEYER se fait kidnappè presque sous les yeux de ses compagnons de calvaire.
Que s'est t'il passè dans la tête de celui ou de celle qui a eut l'idée saugrenue de voler notre GRAND PROPRIETAIRE TERRIEN....????
Dans de telles circonstances, la méfiance va prendre le-dessus. Chacun soupconne l'autre.
Cela se comprend.
Nous en sommes là.
Vous connaitrez le dénouement dans les prochains jours.
A suivre.
Par Messaoud (Messaoud) le jeudi 02 novembre 2006 - 21h55: |
Emile pour moi le ghetto est d'abord une forme de contrainte ,imposée en general par une autorité envers une minorité
c'est une enceinte que l'on ferme de l'exterieur en principe ceci pour empecher les personnes d'en sortir ,or et c'etait la ma question !
en Israel on veut recreer cette enceinte-non pas pour, mais par une minorité- mais en la fermant de l'interieur pour empecher les gens d'y entrer n'est ce pas la une atteinte a une forme de liberte ?
on me repondra que c'est une facon de se proteger !contre des agressions exterieures.Bien alors le ghetto avait donc des cotes positifs ?
Dans ces conditions peut on se lamenter sur le fait qu'a nous juifs on nous ait parqués dans des ghettos ,puisque meme libre on s'y enferme a nouveau ;
voila c'est cela ma problématique dont j'aimerais bien avoir des reponses Soyons patient!!!!
Par Breitou (Breitou) le jeudi 02 novembre 2006 - 19h17: |
'...Les débats les plus courts sur D ieu sont les meilleurs...!
Albert de Montmorency.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 02 novembre 2006 - 19h08: |
Le Debat
Henri, vous avez peut-être raison et moi je ne pense pas avoir eu tort. Qu'en principe les débats sont là pour échanger des idées ou des perceptions, à condition, comme vous le dites, de rester dans le cadre du respect réciproque et qu'il n'essaye pas de vouloir convertir l'autre à sa façon de voir. L'être humain doit évoluer par ses propres forces et non pas par l'intervention d'une autre personne à moins qu’il ait atteint un niveau spirituel duquel il ne peut plus avancer par ses propres forces et qu’il demande lui-même une aide. Ce n’est qu’alors que la personne à qui la demande a été faite a le droit d’apporter cette aide sous quelle forme que ce soit. En principe les personnes convaincues de leurs croyance religieuses, idéologies ou autres essayent de convertir les autres par le débat pour confirmer et s’assurer eux-mêmes de leur croyance.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 02 novembre 2006 - 18h41: |
Messaoud. Le ghetto n'est pas uniquement pour les juifs ou en Israel seulement mais il existe partout dans le monde et exprime le mode de vie de certaines communautes qui veulent ou qui croient pouvoir perpetuer leur mode de vie ou leur croyance. Je ne connais pas un pays qui n'a pas ses ghettos divers.
Par Henri (Henri) le jeudi 02 novembre 2006 - 14h08: |
La gay pride.
Deja le nom donne a ce defile indique la tromperie.
Ces gens qui se cachaient il ni a pas tres longtemps essayent de transformer leur honte en fierte.
Qui a t-il de "pride" dans ce defile.
J'ai souvent entendu que ce n'est pas de leurs fautes, que c'est des gens malades.
Je n'ai rien contre des malades, mais si ils sont malades, il ni a rien de fier la dedans.
Le probleme c'est que sur un malade, il y en a beaucoup qui ne le sont pas.
Qu'elle difference y t-il entre eux et les pedophiles, eu aussi sont malades.
Le pire c'est lorsque je vois que certains veulent adopter des enfants. Zid comme dirait Bebert. Hommo-pedophile cherche enfants a adopter.
S'ils veulent des enfants, il faut faire comme tout le monde, c'est tellement simple et facile.
Le debat est ouvert.