Par Djlachem (Djlachem) le mardi 06 juillet 2004 - 13h03: |
Merci, Emile, pour le renseignement sur Ralph Nader.
Ca a effectivement son importance. Il a du têter, tout petit déjà, du Protocole des Sages de Sion, du Juif Süss, et son livre de chevet actuel doit être le manifeste judéo-nazi d'Ariel Sharon.
Je vais chercher mon sac à vomi et je reviens...
Par Axelle (Axelle) le mardi 06 juillet 2004 - 12h06: |
Bonjour Cher Monsieur Albert.
Donc, voici la grande nouvelle ! Grand récital de BRUEL et GOLDMAN. J'espère que vous me réserverez la place d'honneur ... Je veux dire au premier rang ! Ils sont mes chanteurs préférés, avec d'autres bien entendu. Et, je ne parle pas du grand talent d'acteur de P. BRUEL.
Vous n'avez pas précisé la date de ce super concert ... Vraiment, Mr Albert, vous gâtez tous les harissiens ! C'est super !
J'attends donc la confirmation de la date de ce grand concert au P.T.B.
En attendant, recevez toutes mes amitiés et gros gros bisous à SHARON.
Bien à vous. Axelle.
Par Albert (Albert) le mardi 06 juillet 2004 - 14h07: |
Les grecs ne sont pas si bleu/blanc que ça.
Ils sont racistes et antisémites.
RACISME ET ANTISEMITISME...font leur 13 ième D.IEU.
Par Albert (Albert) le mardi 06 juillet 2004 - 13h14: |
En exclusivitè....POUR HARISSA. COM. IL FAUT...
Valerie ma fille en haut debour à gauche, sur le cotè.
Albert T.C. 0010
Par Francois (Francois) le mardi 06 juillet 2004 - 09h06: |
Alger à la veille de la tourmente
LE MONDE | 03.07.04 | 14h56
Il y a cinquante ans, "Alger la blanche", simple chef-lieu d'un département français de 2,8 millions d'habitants, paraît calme. Pourtant, le fossé social s'est creusé entre Européens et "indigènes", préparant le déclenchement de la guerre, en novembre 1954.
En ce début du mois de juillet 1954, dans la célèbre artère de la rue d'Isly, en plein centre d'Alger, les jeunes Européennes portent des robes légères, les marchands de glaces font fortune et les terrasses ne désemplissent pas. Place Clemenceau, surnommée "le Forum", à l'heure de l'anisette, les adolescents discutent - très fort - du film qu'ils ont vu la veille au Rex, au Français ou au Paris : Touchez pas au grisbi, du grand Jacques Becker, ou Sur les quais, d'Elia Kazan, avec Marlon Brando.
Des clients entrent et sortent, s'interpellant bruyamment. Tout juste s'ils remarquent les "indigènes". De temps à autre, une silhouette revêtue du manteau de laine blanche, tenue traditionnelle des vieux Algériens, croise celle d'un petit cireur portant une lourde caisse en bois.
Alger, en 1954, est d'abord une grande ville "européenne" comptant 315 000 habitants. Elle n'est pas considérée comme une capitale, mais comme le chef-lieu d'un département de 2,8 millions d'habitants, comme bien d'autres chefs-lieux d'une France "une et indivisible", prise dans les mailles d'un strict découpage jacobin. Pourtant, tous, en Algérie, le savent : "Alger la blanche" ne peut pas être ravalée au rang d'une banale ville française. Elle est déjà une capitale par sa majesté, sa beauté.
On peut y arriver par avion, via l'aéroport de Maison-Blanche. Mais on manque le vrai spectacle, celui qu'offre au visiteur extasié, du pont du bateau, l'une des plus belles baies du monde. Vaste tableau abstrait où pointe la Casbah, tel un triangle blanc dirigé vers la mer, la ville émerge, étagée au flanc des coteaux couronnés de verdure. En voiture, en passant par le front de mer, on monte jusqu'à la basilique Notre-Dame-d'Afrique. De là, on domine la vallée des Consuls, Saint-Eugène et la Méditerranée, dans l'odeur prenante des pins et des cyprès.
En cet été 1954, Alger est calme, après la fureur et la désolation de Dien Bien Phu, en Indochine. Les pourparlers que veut entamer le nouveau président du conseil, Pierre Mendès France, pour l'autonomie de la Tunisie inquiètent la population européenne, et rassurent les plus "libéraux" d'entre eux. Mais qui peut imaginer l'"abandon" d'une Algérie, française depuis plus d'un siècle ? Certes, les inégalités, juridiques et sociales, restent pesantes. L'Algérie compte 922 000 Européens et 7 860 000 musulmans. Ces derniers sont donc huit fois plus nombreux dans cette "autre France". Pourtant, à la nouvelle Assemblée algérienne, la moitié des délégués sont élus par un premier collège (464 000 électeurs de statut français et 58 000 Algériens musulmans), l'autre moitié par un second (1 300 000 Algériens musulmans). Ce qui fait dire à l'historien Gilbert Meynier, "un Algérien ne vaut que le neuvième d'un électeur français".
L'implantation française est visible au quotidien, ne serait-ce qu'à travers l'architecture coloniale, dont la grande poste d'Alger offre le plus bel exemple. Sur les places des différents quartiers, comme ailleurs dans le pays, les églises font face à la mairie et à l'école, où se lit la devise républicaine : "Liberté, égalité, fraternité". Et, à Alger, comme à Paris, l'élite citadine, en majorité européenne, se passionne, cette année-là, pour le dernier prix Goncourt, Les Mandarins, de Simone de Beauvoir. Les Algérois s'intéressent aussi, bien sûr, à Albert Camus, qui vient de publier une longue prose hantée d'éblouissements et d'inquiétudes, L'Eté. Des spectateurs au théâtre découvrent, ébahis, la pièce de Molière Don Juan, traduite en langue arabe, mise en scène par Mahieddine Bacharzi et jouée à l'Opéra d'Alger !
Littérature, cinéma, théâtre, Alger est bien la capitale de l'Algérie. N'a-t-elle pas été aussi, brièvement, celle de... la France ? Plus exactement, à partir de 1943, celle de la France libre. Le général de Gaulle est arrivé le 30 mai 1943 ; c'est là que, en novembre de la même année, il a constitué le Comité français de libération nationale (CFLN), véritable gouvernement provisoire de la France non occupée, et une assemblée consultative nommée, qui regagnera Paris en août 1944. Passant outre l'opposition de certains Français d'Algérie, qui dénonçaient, déjà, sa "politique d'abandon", de Gaulle a alors signé, à Alger, le 7 mars 1944, une ordonnance ouvrant aux musulmans l'accès à tous les emplois civils et militaires, élargissant leur représentation dans les assemblées locales (du tiers aux deux cinquièmes) et abolissant les mesures d'exception.
Une longue histoire a modelé la ville, ou plutôt "les" villes : l'Alger arabe, l'Alger turque et l'Alger française. C'est au Xe siècle qu'Ibn Ziri fonde une ville nouvelle appelée El-Djezaïr. Au début du XVIe siècle, les Espagnols ayant pris la citadelle, les frères Barberousse délivrent la ville. L'aîné, Aroudj, s'y installe, tandis que son frère, Kheir El-Eddine, se fait reconnaître chef de la régence d'Alger par Constantinople. La vieille Alger turque survit encore dans la Casbah surpeuplée, située à 118 mètres au-dessus du niveau de la mer. Ses lacis de ruelles, d'escaliers et d'impasses où les voitures n'ont pas accès sont parcourus par un mouvement incessant de mulets chargés de couffins se frayant péniblement un chemin entre les marchands ambulants et les femmes voilées du haïk blanc (celui de Constantine est noir) qui masque le visage ne laissant voir que les yeux.
La période coloniale va agir par dissolution de la ville traditionnelle, ou conservation, ou superposition de la ville moderne. L'Alger française s'est faite au jour le jour, au hasard des besoins et des spéculations. De sorte que, dans les années 1950, elle s'étend tout en longueur : constructions presque ininterrompues sur plus de 16 kilomètres du nord au sud, de la pointe Pescade à Hussein Dey, et même à Maison carrée. Le centre de gravité, qui fut d'abord la place du Gouvernement, s'est déplacé peu à peu pour se fixer boulevard Laferrière.
Le poids d'Alger dans la vie économique de la colonie se mesure avec précision par son port, où transitent les marchandises en provenance ou à destination de l'intérieur du pays. La ville, centre de commandement de l'Algérie commerciale, est le siège des sociétés industrielles et financières les plus importantes. C'est, en 1954, la première place pour le commerce des vins, des céréales, du tabac, des primeurs, des cuirs et des peaux, des tissus, des bois. Son industrie occupe plus de 20 000 ouvriers.
En 1950, les Français d'Algérie représentent près de 60 % de la population de la ville. Mais Alger se caractérise aussi par une distribution des groupes ethniques en quartiers distincts : Italiens de la Marine, Espagnols de Bab El-Oued, juifs des rues de la Lyre, Randon et Marengo, musulmans de la Casbah et du Hamma, tandis que la population de "souche française" est plutôt concentrée autour de l'artère principale, la rue d'Isly, prolongée par la rue Michelet. Mais, sur tous les marchés, les mêmes vendeurs d'oranges, de citrons, de dattes, de feuilles de menthe vantent leurs marchandises à grands cris. Partout, le fumet du pain chaud ou des épices se mêle à l'arôme du café fraîchement torréfié et au fort relent des poissonneries, dans une agitation bruyante et colorée.
Dans cette ville sous présence française depuis plus d'un siècle, des liens forts se sont tissés entre la population venue d'Europe, les Français bien sûr, mais aussi les Espagnols, Portugais, Turcs, Italiens, Grecs..., sans parler des communautés juives, installées dans le pays des siècles avant la conquête française. Tous partagent le même soleil, les mêmes jeux, les mêmes espoirs d'une vie meilleure, et, pour certains, les mêmes bancs d'école. A la longue, un contact s'est construit entre tous les univers communautaires, et plusieurs générations ont cohabité, tant bien que mal.
Mais le fossé social s'est creusé. Les Européens qui grandissent ne voient pas toujours leurs "voisins" arabes, allant quelquefois pieds nus, ou obligés d'abandonner leurs études. Au début des années 1950, un flot de ruraux est venu progressivement se fixer dans la périphérie de la capitale. Un processus de "bidonvillisation" est largement amorcé. A travers ce nouveau processus urbain se devinent la ruine des solidarités, des modèles traditionnels et des habitudes mentales, la chute d'une paysannerie dans le sous-prolétariat, sous-prolétariat rural encore inavoué qui campe aux portes des villes. La ville est certes un lieu où l'on vient chercher du travail, mais aussi le creuset de nouvelles valeurs. Par la ville, les ruraux transplantés accèdent à une compréhension du politique en découvrant une nouvelle organisation sociale de production, la création et la distribution différentes de richesses. Ces éléments concourent à déplacer le centre de gravité des luttes politique! s de la campagne vers la ville, place forte de l'administration coloniale, qui, par son caractère centralisateur, est le passage obligé de toute promotion sociale. Alger devient ainsi le lieu d'élaboration de nouvelles stratégies politiques, et les militants indépendantistes y sont fort nombreux. D'autant qu'une violence latente s'y développe. Les "Algériens musulmans" qui affluent concurrencent les salariés européens, dont les salaires sont plus élevés. Cette concurrence et l'existence d'une immense armée constituée par les expropriés algériens de la terre aggravent le conflit entre les deux communautés. A partir de cette question sociale, la fiction d'un "couple uni" entre "Européens" et "Algériens musulmans" éclate.
Cette situation inquiète le maire, Jacques Chevallier, qui explique en 1954 : "En 1938, la population musulmane vivant dans les bidonvilles de l'agglomération algéroise ne dépassait pas 4 800 personnes ; il y en avait 125 000, soit vingt-cinq fois plus, en 1953-1954. Dans la seule ville d'Alger, ses faubourgs étant exclus, 120 bidonvilles, comme une lèpre grandissante sur tout terrain disponible, voyaient s'entasser quelque 80 000 musulmans dans des conditions de vie invraisemblables, alors que la Casbah, elle aussi surpeuplée, entassait dans ses 20 hectares 70 000 habitants, battant les records mondiaux de densité humaine."
Jacques Chevallier sait que toutes les inégalités sociales peuvent provoquer de dangereuses manifestations d'indépendantisme. Il est l'une des figures principales du monde européen à Alger, et sa trajectoire illustre bien cette partie de la société coloniale, libérale, travaillée par la séparation entre communautés et la nécessité de trouver un espace mixte, tourmentée par l'inégalité juridique vécue par les "indigènes algériens" depuis les débuts de la conquête française, et vivant dans l'attente de la contradiction et l'incertitude.
Elu maire de la ville en mars 1953, il s'est rapproché des élus musulmans. Il a pour adjoint Abderrhamane Kiouane, leader de la MILD, la formation nationaliste dirigée par Messali Hadj, et s'appuie également sur Georges Blachette, qui possède le Journal d'Alger. Féru d'urbanisme, il fait appel, en 1953, à Fernand Pouillon, qui sera l'architecte de trois cités destinées à loger ses administrés musulmans. Homme de gauche et partisan du dialogue intercommunautaire, il est appelé par Pierre Mendès France, président du conseil, pour assurer la fonction de secrétaire d'Etat aux forces armées, du 19 juin 1954 au 20 janvier 1955. C'est à cette fonction qu'il devra décider des premières mesures à prendre lors du déclenchement de l'insurrection, le 1er novembre 1954.
Pendant la guerre d'Algérie, il entretiendra des relations avec certains dirigeants du FLN, se battant pour une trêve civile, préconisée par Albert Camus. Combattu de plus en plus ouvertement par les milieux européens "ultras", son nom sera conspué dans les manifestations du 13 mai 1958. Jacques Chevallier, déchargé de son mandat de maire, se retirera alors de la vie politique, mais, après l'indépendance de l'Algérie, en juillet 1962, il restera à Alger, où il bénéficiera de la nationalité algérienne et mourra d'un cancer, en 1971. Exemple rare en Algérie d'un engagement qui, malgré sa persévérance et sa foi dans le dialogue intercommunautaire, n'a pas réussi à se faire entendre dans un pays qui glisse vers la guerre.
Jusqu'à l'automne 1954, la presse algéroise, à l'exception de L'Alger républicain, présente chaque matin à travers ses lignes une Algérie tranquille, pacifique. Le 2 novembre de la même année, il est encore question des traditionnelles cérémonies de la Toussaint. Mais ce que lisent les Algérois avec stupeur, c'est un gros titre à la "une" de L'Echo d'Alger : "Toute une série d'attentats terroristes ont été commis simultanément dans divers points de l'Algérie." Alger ne le sait pas encore, mais elle va connaître une guerre longue et cruelle...
Benjamin Stora
Benjamin Stora, né le 2 décembre 1950 à constantine (Algérie), est professeur d'histoire du maghreb aux langues'o (Paris). il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur l'Algérie.
Par Claudia (Claudia) le mardi 06 juillet 2004 - 07h55: |
Hergé accusé d’antisémitisme
L’auteur de Tintin se serait inspiré d’un texte antisémite de Céline pour les jurons de son héros, le capitaine Haddock. Emile Brami, un spécialiste de l’œuvre de Louis Ferdinand Céline a comparé les jurons de Haddock avec les termes employés par Céline dans son célèbre pamphlet antisémite « Bagatelles pour un massacre » pour désigner les Juifs et y a trouvé des similitudes troublantes. Il rappelle qu’Hergé a lancé son personnage en 1940 dans une Belgique occupée par les nazis et qu’il était proche alors des idées d’extrême droite.
A7.fr
Par Albert (Albert) le lundi 05 juillet 2004 - 22h58: |
PATRICK BRUEL ET GOLDMAN AU P.T.B RECITALE.
Par Albert (Albert) le lundi 05 juillet 2004 - 21h55: |
Nous sommes en l’AN 2020 après J.C et avant Breitou.
Le parti politique P.I.F ( Parti Islamique de France) vient de remporter les élections présidentielles avec 99% de voix élues pour leur candidat ADBEL GANDOUSS CHEIKH ROUHOU BEL TEKILA…La France devient donc La République Islamique de France ( R.I.F)
Chanson chantée sur un air martial, grave et martelée.
Respectez s’il vous plait, le temps de reprise d’enchaînement, respecter les pointillés.
C’est la panique.
La France a change de nom
Elle se nomme à présent
Jamouriyè Islamiyè Franssaouiyè.
BOM BOM BOM BOM….lentement..
‘…§§§§…Branle bas d’combat ….Chez nous….les feujs
Les aé…roports ..Sont pris d ‘assaut
Et les ports…….. Sont embouchés
C’est la cohue…. Bien justifiée
La débandade…. .Désordonnée….
BOM..... BOM.... BOM.... BOM….
On va laisser………... Nos lieux dits
Ecoles…Synas………..Temples bénis.
Nos biens aussi ……..Tous nos radis.
Nous allons fuir……… L’ pays de jadis
D’ nos ancêtres………Qui ont pourri
Pour rien………………Sous terre d’ici
Qui est loin d’être…….Un paradis…….
BOM…BOM…BOM...BOM...RO RO RO RO RO RA RA TAPLAN. BOMBOM BOM
Aneb KARMOUSS KA KA KA KA KA KA RMOUSSSS ( Suis la cadence TAWFIK..
La DOUDA fait rentrer ton postérieur…) KA KA KA KA ….KA …KA…KA…KA…
C’est la panique……..On nous l’a prédit
E’ voilà l’ Shoffar…. Qui nous avertit.
‘…Allez presse toi ….Ma Julie
Salomon ……………Et puis toi Marie
Ici à Paris…………...C’est fini……
BOM….BOM….BOM...BOM....Comme c’est moche…
‘Lève ton cul…………..M’a p’tite chérie
On va s’ virer………….Vers la sortie
Prend ta mère…….. …..Et la mamie
Nos enfants Maxime ….Et Aurélie…
DOM….DOM…DOM….DOM……Comme c’est moche….
De Normandie, on a sonné aussi……L’allalli
Les juifs D’Issy, des Moulineaux ….Sont d’jà partis
A dieu Paris et son Loiret ………….Chér ie
On vous emmène en sourdine…….. Dans notre esprit
BOM…..BOM…BOM...BOM....Comme c’est moche.
C’est la pa…nique……………………..J’vais chez mes oncles d’Amériques
Chez la Nao………………………….. Qui me donnera une blanquitte* Pain Italien
Et chez l’Emile………………………. Qui me servira du liquide * Eau.
Sans oublier mon cher ami……………Le Tawfik
Qui m’offrira de l’Hollywood ………..En mastic*. * Chewing gum.
Mais j’irais pas chez le Jacqui………..Tout beau avec son rikiki.
BOM…..BOM….B O M…..B O M….Bââda BOM….BOM….BOM….
Aux Amériques…………… Y’a pas panique
Ils vont accueillir………….. Cette relique
Le Breitou en musique……..Avec toute sa clique
Ils savent tous………………Qu’il n’est pas Rkik….
(Ye lahjèni yè diwen, n’ayez crainte les amis, pour l’instant je suis bien mais
mon passeport est prêt au cas… !!!
BOM….BOM….BOM…BOM….BADAAA BOM…….BLEDA B OUM…BOUM…B O U M …..
Dans tous les cas………….. J’irai s’il faut au Bahamas
Pour ouvrir échoppe …..…. De HAMASS*, même fartass*
Ou alors j’ vendrais ……….De bonne glaces
Aux esquimaux…………….Sur la place.
.
BOM….BOM….BOM ....BOM....BOM...BON....BON....B...o}…oooo….o….o….
* Marchand de pois chiche *Chauve.
Par Albert (Albert) le lundi 05 juillet 2004 - 21h21: |
MAZEL TOV POUR LE BB QUI FETE SA PREMIERE DENT...AUJOURD HUI....
LE PTB va s'associer à la fête.
Par Edmond (Edmond) le lundi 05 juillet 2004 - 19h15: |
Israël : le Mur efficace ou immoral ?
La barrière de sécurité a, en tout cas, fait chuter le nombre d'attentats.
Le reportage de Patrick PEROTTO
Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Les kamikazes palestiniens ont provoqué la mort de 89 personnes au premier semestre 2003, 62 au second et 39 durant les six premiers mois de cette année. Alors que la Cour suprême israélienne vient de demander une modification du tracé autour de Jérusalem, estimant que les dommages causés aux Palestiniens étaient disproportionnés par rapport aux nécessités de la sécurité, le Mur et la clôture ont prouvé leur efficacité.
« C'est une bonne idée de l'avoir construit. C'est dur pour les gens, mais il n'y a plus d'attentats », constate ainsi la maire de gauche d'Haïfa, le grand port du pays. Installé au Maxim, un restaurant où une femme a causé la mort de 21 personnes, Yona Yahav n'est pas convaincu qu'« Arafat soit un homme de paix ».
Voulu par les travaillistes, le Mur dont la construction sera achevée à la fin de l'année prochaine, continue d'être désapprouvé par la droite dure, car il crée une frontière et donc, de facto, deux Etats. « Il est aussi immoral », soutient Alex Adler, un informaticien d'une cinquantaine d'années. « Des villages arabes sont coupés en deux sans aucune considération pour leurs habitants. A Abu Dis, dans la banlieue de Jérusalem, les enfants dialysés ne pouvaient plus se rendre à l'hôpital. Il a fallu négocier pour qu'ils puissent être soignés ».
La fin de la « feuille de route »
Parfois, des élèves du lycée français de la ville multi-confessionnelle sont empêchés de venir à l'école et ratent des devoirs, regrette Daniel Sidev, un des enseignants de l'établissement. « Je vis plus tranquille », lui répond Eva Halahmi qui a vu un bus exploser juste devant elle alors qu'elle se trouvait dans sa voiture avec son fils. Pourtant, le matin, elle a toujours peur « de ne pas le revoir vivant le soir ». Ainsi, la société israélienne vit-elle avec le terrorisme « en l'intégrant dans sa vie quotidienne », selon un journaliste vedette de la télé, Emmanuel Halperin.
La barrière de sécurité qui coûte dix millions de dollars du kilomètre encerclera la Cisjordanie. Elle empiète largement à l'intérieur de cette terre, privant des villages entiers de leurs plantations d'oliviers et d'orangers, transformant les villes de Kalkylia et Tulkarem en ghettos dont il est impossible de sortir.
La décision d'Ariel Sharon de renoncer aux colonies de la bande de Gaza lui permet de ne plus respecter la résolution 242 de l'ONU, qui prévoyait le retour aux frontières d'avant 1967. Le Premier ministre a obtenu deux concessions de George Bush lors de sa dernière visite à Washington : « Il n'y aura jamais de retour des réfugiés expulsés en 1948 et 1967 et pas de retour aux frontières de 1967 », rappelle Denis Charbit, professeur de sciences politiques.
La « feuille de route », à laquelle s'attache la France a vécu.
Par Emma (Emma) le lundi 05 juillet 2004 - 19h13: |
Le patron de l'AIEA attendu en Israël
VIENNE (AP) - Le patron de l'Agence internationale à l'énergie atomique (AIEA) est attendu mardi en Israël, où il devrait chercher à convaincre l'Etat hébreu de reconnaître enfin ce qui n'est plus depuis longtemps un secret pour personne: le fait qu'Israël dispose bien de l'arme nucléaire, ou à tout le moins des capacités pour la fabriquer.
La politique constante d'Israël est de ne jamais démentir ni confirmer quoi que ce soit sur le sujet, et Mohammed ElBaradei devrait avoir du mal à obtenir autre chose en deux jours de visit: la presse israélienne affirme qu'aucune révision de la doctrine n'est à attendre. D'autant que cette visite intervient à l'heure où l'Iran, grand ennemi de l'Etat hébreu, est sur la sellette pour chercher à se doter de l'arme nucléaire.
Le patron de l'AIEA devrait surtout, comme l'expliquait son porte-parole Mark Gwozdecky, mettre l'accent sur "la nécessité du dialogue dans la région notamment sur les question de sécurité et nucléaires".
M. ElBaradei a déjà dit clairement qu'il estimait qu'Israël devrait commencer sérieusement à envisager l'idée d'un Proche-Orient dénucléarisé, après avoir condamné le déséquilibre régional dû au fait qu'Israël est "assis sur des armes nucléaires".
Depuis les révélations sur le nucléaire israélien de l'espion Mordechaï Vanunu, en 1986, tout concourt à confirmer l'existence de la bombe israélienne. Sans que jamais aucun officiel le reconnaisse ouvertement, Israël n'y étant d'ailleurs pas contraint, car non-signataire du Traité de non-prolifération (TNP).
"Donnez-moi la paix, et nous abandonnerons l'atome", déclarait Shimon Pérès en 1995, quand tous croyaient à la possibilité d'un règlement du conflit israélo-palestinien dans un proche avenir.
Cette doctrine de "l'ambiguïté nucléaire" est destinée à décourager toute velléité d'attaque massive contre l'Etat hébreu, tout en réduisant à néant les arguments selon lesquels ses ennemis auraient le droit de se lancer dans la course au nucléaire.
Selon les experts, Israël continuerait aujourd'hui à produire des armes nucléaires, et pourrait déjà disposer de jusqu'à 300 têtes nucléaires, ainsi que des capacités d'en produire rapidement grâce à une technologie et un savoir-faire avancés.
Mais pour l'expert Avner Cohen, auteur d'un livre faisant autorité sur le sujet, "Israël et la bombe", cette politique de l'"opacité", certes utile, a fait son temps, et l'exception israélienne n'a plus lieu d'être. Aujourd'hui, il estime qu'elle ressort surtout de la crainte des autorités de lancer le débat public, tant dans le pays qu'à l'étranger. Et qu'elle est en contradiction avec la culture israélienne du débat démocratique.
Pour David Albright, ancien inspecteur en désarmement en Irak aujourd'hui à la tête d'un institut de réflexion à Washington, la mission d'ElBaradei arrive sans doute au bon moment pour tenter de relancer ce débat, car "la question de l'Irak est réglée", "l'Iran est en train d'être isolé" et le monde pousse à la révélation des secrets nucléaires. AP
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 05 juillet 2004 - 18h33: |
JP Primo je ne m'etonne pas selon les informations que j'ai recu d'un Syrien Americain que Ralph NADER est aussi de la meme origine.
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 05 juillet 2004 - 14h46: |
A la une du Monde aujourd'hui et pour illustrer le propos de Primo :
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 05 juillet 2004 - 06h00: |
A Celine Tubiana, pour pouvoir vous aider ecrivez moi a mon adresse electronique.
mirodirect@aol.com
Emile Tubiana