Archive jusqu'au 13/novembre/2006

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires de Novembre 2006: Archive jusqu'au 13/novembre/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 12 novembre 2006 - 19h43:

Salut à toute l'équipe de HARISSA.com...

l'AHRISSA m'taa3kom 7AARRA TICH'WI ... o ... BNIIIINA BARCHA...!
Je suis tunisien vie en Tunisie âgé de 47 ans,je suis né à BAB SAADOUN...
______________________________________________
. Vraiment en visitant votre site, que je le sens le mien aussi... j'ai passé un bon moment .
(c'est par hasard que je me trouve dedans -:), je ne le regrette pas, je me trouve obligé de vous saluer et vous remercier pour le plaisir que vous m'avez offert,. (RAJJA3TOUNI 40 ans en arrière ).

Merci & Bon courage
_________________________________j'y retourne...!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le dimanche 12 novembre 2006 - 19h10:

SANS COMMENTAIRES

MAM FINUL

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le dimanche 12 novembre 2006 - 10h45:

La Ména vient de déclarer :

" Il n’est pas question ici de généraliser des faits qui restent clairement exceptionnels. "

Elle a donc formulé avec Grande Sagesse, ce qui s'applique à Tout et à Tous...

... donc Salut, et bonne semaine.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 12 novembre 2006 - 07h37:

Yaël König
roman
c:/
Yaël König Pourtant je suis sa fille



Premier prix de poésie de France à seize ans, Yaël König a toujours eu la passion de l’écriture et des livres. Écrivain, journaliste littéraire, éditrice, elle est connue pour ses romans qui vont droit au coeur des émotions et des destinées humaines: Dieu n’a qu’un oeil, Cinq sous et un miracle (L’Archipel). Comme le dit à son propos l’écrivain Nine Moati: «Yaël König est une conteuse comme on les aime, vibrante et passionnée, qui sait transmettre l’amour qu’elle porte à ses héros.»
Couverture:
Marc-Antoine Bombail (www.mab-creations.ch)
ISBN 2-916209-02-6
Deux trains lancés à pleine vitesse se croisent alors qu’Édith court entre les voies, bouleversée par ce qu’elle vient de découvrir au château familial!
Lourd est le passé d’Édith dans l’atmosphère étouffante de l’aristocratie paloise: Sa mère, Clarisse, a perdu deux garçons avant de la mettre au monde. Dépitée d’accoucher d’une fille, elle la jette à terre le jour de sa naissance… Dès lors, la mère se désintéresse de sa fille.
Et pourtant Édith aime la vie et grandit avec de nombreux projets.
Elle tombe amoureuse de Lorenzo au bord du Gave, l’épouse et se retrouve dans une conjoncture qui entraîne sa famille vers une situation inattendue.
Le destin intervient alors sous la forme d’un médium dont la réputation dépasse les frontières, Djamia Carcelli. La rencontre entre celles qui deviendront amies n’est pas aisée. Mais quelle découverte!
Clarisse n’a jamais accepté sa fille, et Édith,de Pau à Strasbourg, de Strasbourg à Paris, n’arrive pas à s’installer dans la vie. Un jour, enfin, elle décide de demander des comptes à sa mère, qu’elle n’a pas revue depuis plus de dix ans. À son immense étonnement, Clarisse accepte!
Folle d’espoir, Édith va rejoindre sa mère…
Prix: 14

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Primo (Primo) le dimanche 12 novembre 2006 - 06h58:

En visite au Nord d'Israël

Après la guerre lancée depuis le Liban par le Hezbollah contre Israël, la France a envoyé, outre les soldats pour la FINUL, des navires humanitaires remplis de denrées alimentaires, de produits de première nécessité et de médicaments. Les militaires français sont également chargés de réparer les infrastructures détruites par l’armée israélienne dans sa lutte contre les milices intégristes. L’aide française au Liban se monte à plusieurs dizaines de millions d’euros.

Et l’aide française aux populations israéliennes sinistrées ? A rien. Si les villes du nord d’Israël veulent un soutien du quai d’Orsay, elles peuvent toujours envoyer un formulaire (à condition qu’elles le dénichent dans le paysage du site Internet du ministère) et une aide de 2000€ maximum sera peut-être débloquée. Ou peut-être pas. Jusqu’ici, c’est avec certitude « pas ».

Fidèle à son engagement de militer Pour un Rééquilibrage de l’Information sur le Moyen-Orient, Primo a dépêché des envoyés spéciaux à Kyriat Shmona, sur la frontière libanaise.

4000 Katiouscha sont tombées sur le nord d’Israël. Dont 1200 sur Kyriat Shmona. L’une d’elles a tué 12 soldats qui se reposaient devant le cimetière.

Une Katiouscha, c’est ce que la presse française nomme pudiquement une « roquette artisanale » : une seule roquette, douze réservistes et deux voitures pulvérisés. Un seul cratère, mais des jeunes hommes touchés sur une vingtaine de mètres de long. Bonjour l’artisanat !

Aujourd’hui, autour du cratère, il y a douze monticules surmontés chacun d’une photo et d’une bougie. Cela se passe près de Tel Hai (la colline de la vie), ainsi nommée en souvenir de Trumpeldor et de ses sept compagnons tués là en 1920 par des combattants arabes. Kyriat Shmona, « la cité des 8 », leur doit aussi son nom. Triste retour de l’histoire…


Nous, 8 aussi, mais pas héroïques, seulement français, Primotes et sympathisants, sommes venus voir. Pas au sens de « voyeurs » mais pour rendre compte. Nous sommes logés à la « Maison du soldat », une auberge de jeunesse améliorée où les jeunes peuvent passer une nuit ou deux, en partant ou en revenant de permission. Pour 5 shekels (1€), ils dorment à 4 par chambre et mangent au réfectoire.

La maison du soldat de Kyriat Shmona

Elle a été construite « grâce à la générosité de l’APBSI », dit la plaque.

Il nous revient en mémoire un article paru dans la presse française quand cette association avait organisé un concert à Paris : « l’Association Pour le Bien-Etre du Soldat Israélien – oui, aussi incroyable que ça paraisse, ça existe ! », commençait ainsi le journaliste, partageant en toute connivence avec ses lecteurs son incrédulité devant tant de cynisme.

Qui pouvait bien vouloir le bien-être de brutes nazies ? Les brutes en question, des enfants, garçons et filles de 18 à 21 ans, nous les avons vues, M 16 en bandoulière, renifler devant la télé qui diffusait « Million dollar baby » de Clint Eastwood.

Le fusil en bandoulière, non pas pour accréditer la thèse franco-française des brutes sanguinaires, mais parce qu’ils sont responsables de leur arme et que le plus sûr moyen de ne pas la perdre est de la garder toujours sur soi.

RES-PON-SABLES, le maître-mot, ici. Ces gamins plus jeunes que beaucoup d’étudiants ayant défilé, en France, contre le CPE, ont défendu leur pays, leur peuple et nous tous, l’Occident, malgré l’incurie de leur hiérarchie, au milieu des ordres et les contrordres, dans la boue et à découvert, sous les Katioushas, sans rations et sans eau.

Des gosses encore imberbes qui se battent contre le totalitarisme des fous de dieu qui avaient annexé le sud-Liban, cela se traduit dans la presse française par « l’armée israélienne contre la résistance libanaise ».

Comment ne pas penser aux actualités Pathé qui montraient la foule acclamer Hitler sur les Champs-Elysées, et la presse aux ordres qui qualifiait de terroristes les résistants de l’époque, les vrais ? Aujourd’hui, cette même presse réserve l’adjectif « terroriste » à l’Etat d’Israël lorsqu’il protége ses citoyens.

Justement, nous sommes passés à côté du mur. Pardon, du Mur. Le mur de l’Apartheid. Il protège, sur au moins 500 mètres, la route n°6 (celle qui va de Lod aux villes du nord) des tirs en provenance de certains villages arabes. Là où il n’y a pas de caches disponibles pour les tireurs embusqués, il est comme partout ailleurs un simple grillage.



Au nord, à l’extrême nord d’Israël, en Haute Galilée, nous avons vu les champs des cultivateurs de Metula. Ils se trouvent parfois à dix mètres de la frontière. Avant la guerre de cet été, ils ne portaient pas le béret ou la casquette comme les agriculteurs français, mais des casques et des gilets pare-balles.

Parce qu’ils étaient canardés en permanence par des projectiles divers et « les consignes étaient de ne pas riposter pour ne pas entretenir la tension ».

Au temps pour la « spirale de la violence » dont notre presse nationale rend Israël seul responsable…


Nous, les volontaires, nous avons bonne presse, en revanche : ils ne sont pas rancuniers, les jeunes Israéliens ! « Que venez-vous faire dans cet endroit déserté ? » nous demandaient-ils encore et encore. « Aider », répondions-nous, embarrassés de l’enthousiasme que suscitait notre toute petite contribution à leur lutte contre le fascisme vert/jaune (1).

Ne pas devenir comme "ceux d'en face"

Des hauteurs du kibboutz Misgav Am, on voit les maisons libanaises d’où partaient les Katiouchas pendant la guerre. « Pourquoi ne les avez-vous pas bombardées ? » avons-nous questionné.

Un jeune soldat nous a expliqué : « Je suis fier d’être Israélien et d’appartenir à une armée qui possède une éthique aussi forte. J’ai perdu beaucoup d’amis, mais nous avons toujours refusé de devenir comme ceux d’en face. Avant chaque tir, nous avons prévenu les habitants que nous allions bombarder, pour qu’ils aient le temps de sortir. Souvent, nous voyions sortir les lance-roquettes avant les civils. Alors nous ne bombardions pas : cela ne servait plus à rien ! »

Ce sentiment d’appartenance, cet accord entre les valeurs du pays et les sentiments de ses habitants, depuis quand la France les a-t-elles perdus ? 1968 ? 1940 ?

Au kibboutz Kfar Guiladi

Il y a des cratères de Katiouscha au milieu du verger. Les kibboutznikim ont quand même récolté leurs litchis sous les bombes. L’armée le leur avait interdit, mais ils n’ont pas voulu abandonner leur récolte. « C’était le travail de toute une année », nous a expliqué l’un d’eux. Des litchis et des bombes. « Déjà que les enfants passent une grande partie de leur année scolaire dans les abris, si en plus on n’a plus de quoi les nourrir… »

Autour du kibboutz, il y avait une forêt d’eucalyptus, 700 000 arbres plantés il y a 150 ans par les pionniers juifs pour éradiquer la malaria. Ils ont réussi et transformé une friche marécageuse en une terre fertile qui a suscité une forte immigration d’Arabes en provenance des pays alentour. Aujourd’hui, la friche est revenue : les eucalyptus ont tous brûlé sous les tirs de Katiouscha.

Les habitants de Kyriat Shmona sont des sinistrés. Ils sont 20 000 dans une ville qui peut en loger dix fois plus. Tous ceux qui en avaient les moyens ont fui les bombardements. Ceux qui restent, les vieux, les pauvres et les malades, ont passé les premiers jours de la guerre dans un dénuement total.

La radio a lancé des appels aux volontaires. Nous en avons rencontré un, Nah’ik, un ancien colonel des parachutistes de 71 ans au look de baroudeur. Il a entendu l’appel, a pris sa voiture et est arrivé à la mairie de Kyriat Shmona en demandant « comment aider ».

« Il faut nourrir tous ces gens » a répondu Miri, l’assistante sociale qui aurait pu trouver refuge dans son kibboutz mais qui est restée à son poste. Elle a même recruté sa copine d’enfance, Yaël, qui a demandé un congé sans solde à son agence immobilière pour venir faire du bénévolat sous les bombes. Nah’ik, lui, a contacté tous ses copains anciens para.

Ils sont très solidaires : ils se réunissent plusieurs fois par an, adoptent les enfants de ceux qui ont péri au combat… L’un, directeur d’une filiale de Tnuva, le Danone local, a fourni des camions-citernes de lait, l’autre, qui possède une exploitation agricole, a livré lui-même les fruits et les légumes : c’était trop dangereux pour ses employés, un troisième a fait parvenir des poulets congelés.

Encore aujourd’hui, le H’abad, une association humanitaire pilotée par des Loubavitch, - ces Juifs à feutre noir et chemise blanche dont il est de si bon ton de se moquer -, prépare chaque jour 650 repas dans sa « soupe populaire ». Certains habitants viennent chercher leur colis au centre, d’autres, invalides, sont livrés à domicile. L’association entretient aussi une « maison chaleureuse » où les enfants défavorisés (religieux ou non) reçoivent des repas chauds, un soutien scolaire, des cours d’informatique et peuvent pratiquer différents sports.

Et puis il y a le centre bucco-dentaire où les gens qui n’ont pas de mutuelle peuvent se faire soigner gratuitement. Pendant les bombardements, les soins continuaient. Dans l’abri blindé.


L'argent promis ne vient pas

Nous avons rencontré le maire de Kyriat Shmona. Il n’a pas de mots assez chaleureux pour décrire l’action du H’abad : « sans eux, les citoyens de cette ville n’auraient pas survécu ».

Nous nous étonnons : les Juifs de France reçoivent d’incessants appels à la solidarité pour les villes du nord, notamment Kyriat Shmona. N’a-t-il pas reçu de fonds ? Il a reçu 9,5 millions de dollars des États-Unis. Oui, mais la France ? Le maire a obtenu 10 000 euros de la communauté juive des Lilas où il s’est rendu personnellement, 20 000 de la ville de Nancy, qui est jumelée avec la sienne et 3 000 de la communauté juive de la ville jumelle.

L’aide des Juifs de France ?

Mais l’aide des Juifs de France ? avons-nous insisté. Il n’y en a pas. Kyriat Shmona est seule dans l’épreuve, avec le H’abad. Soyons honnêtes nous aussi : certains d’entre nous avaient des préjugés contre les religieux au feutre noir. Aujourd’hui, c’est de l’admiration et de la reconnaissance : ils sont là où personne d’autre ne va.


Nous avons rendu visite à la mère de Doudou Amar. Quarante kilos de détresse, des albums, des photos. Doudou était professeur de ski et de kayak, il était écolo et rieur. Doudou est le dernier mort de cette stupide guerre. Nous l’avions vu la veille, répondant à la presse en riant : « Mon souhait ? Que ma famille ne touche pas à mon ordinateur, je rentre demain. »

Mais Doudou est mort et il reste, sur son ordinateur, son testament en images, préparé sur ses instructions par sa petite sœur. Il savait, il redoutait, c’est arrivé. Il s’appelle Doudou comme le soldat de la guerre du Néguev chanté par Shoshana Damari, il y a bien longtemps.

Le chauffeur du taxi qui nous a ramenés à l’aéroport était druze. Et sioniste.

« Ma pire crainte », nous a-t-il dit, « est qu’Israël rende le Golan aux Syriens. Nous serions en danger de mort, et une mort atroce ! »

Les Druzes sont issus d’un schisme de l’islam qui date de 7 siècles. Les intégristes ne leur pardonnent pas leur ouverture, les Arabes voisins les haïssent pour leur engagement dans l’armée israélienne (ils font leur service militaire à leur demande). « Il n’y a aucun endroit au monde où je me sente plus libre qu’ici, plus en accord avec la nature et avec Dieu », nous a-t-il affirmé.

L’atterrissage à Paris a été très dur…

Liliane Messika © Primo-Europe

1 - Vert couleur de l’islam et du bandeau dont les Hezbollahis se ceignent le front pour défiler au pas de l’oie en effectuant le salut hitlérien ; jaune comme leur drapeau.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le dimanche 12 novembre 2006 - 06h56:

Tire-toi de là, t’es pas d’mon monde ! (info # 011111/6) [Fait divers]

Par Viviane Miles © Metula News Agency



La condition de juif est décidément difficile à assumer. Il n’y a pas que les hôteliers tessinois qui refusent l’entrée de leur établissement à des Juifs (voir notre dépêche du 6 novembre). Cette fois-ci, et dans un tout autre contexte, c’est un couple de touristes français, visitant le ghetto de Venise, qui s’est vu interdire l’accès à une synagogue.



Les voyageurs, membres respectables d’une communauté juive orthodoxe de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, ont souhaité assister à un office de shabbat, le vendredi 3 novembre dernier, à la synagogue en activité du ghetto de Venise, après avoir visité plusieurs autres synagogues historiques de la ville avec un guide. Transportant quelques livres et souvenirs achetés au musée du ghetto, ils ont été refoulés par le garde posté devant l’entrée de la synagogue. Pensant qu’il s’agissait d’une mesure de sécurité de routine, qu’ils comprenaient parfaitement, ils ont calmement détaillé au gardien leur origine et leur motivation, mais rien n’y a fait. Le jeune homme à l’entrée les a chassés du lieu de prière, au prétexte qu’ils n’étaient pas orthodoxes, puisqu’ils portaient un sac à la veille du shabbat. Ledit jeune homme, autoproclamé gardien de la coutume, avait la tête découverte, ce qui le plaçait quant à lui en contradiction absolue avec les préceptes de la religion judaïque.


Il est indéniable que de lourdes menaces sécuritaires pèsent actuellement sur les institutions juives et que des dispositions de prévention très strictes doivent être appliquées afin d’assurer l’intégrité physique de toutes les personnes qui les fréquentent. Il n’en demeure pas moins qu’il est tout aussi regrettable que des Juifs désirant se joindre à un office religieux soient rejetés par leurs pairs.



Il n’est malheureusement pas rare que semblable mésaventure se produit. En effet, plusieurs incidents similaires nous ont été rapportés, entre autres dans la synagogue de Colmar, où le gardien avait expulsé, voici quelques années, deux voyageurs israéliens, parfaitement francophones, puisqu’il s’agissait de journalistes de la Ména. Le gardien les avait invectivés en dialecte local. Nos camarades, qui désiraient visiter ce lieu culturel et historique du patrimoine juif français, s’étaient vus refouler parce qu’ils ne pratiquaient pas l’alsacien…



Il n’est pas question ici de généraliser des faits qui restent clairement exceptionnels. Mais, d’un autre côté, je ne peux faire l’économie de relever certains problèmes comportementaux, qui nuisent à la vocation d’accueil et d’ouverture inhérente à un lieu de prière.



La vertu pédagogique de cet épisode malheureux pourrait être de faire prendre conscience aux responsables de ces lieux de culte qu’une attitude de repli est néfaste au développement et à la réputation de leur communauté. Ils devraient, au contraire, favoriser les contacts avec leurs coreligionnaires et les visiteurs du monde entier, car si chaque communauté se recroqueville sur elle-même, elle se sclérose et s’éteint à petit feu.



De plus, des attitudes telle que celle rencontrée par nos amis sur le parvis de la synagogue vénitienne tendent à justifier la critique de renfermement communautariste des minorités israélites d’Europe. Une critique qui fournit le dangereux alibi aux antisémites, selon lequel les Juifs refuseraient de s’intégrer dans les sociétés républicaines dans lesquelles ils vivent. Et la meilleure façon de combattre cette rumeur médiévale n’est certes pas de refuser l’entrée des synagogues aux Juifs qui ne parlent pas les patois authentiquement bibliques que sont le vénitien et l’alsacien.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le samedi 11 novembre 2006 - 23h51:

Viviane m'a rappele l'epoque de la Lune de Miel Franco-Israelienne, dont voici ce qui reste.

Israel, Air France

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shalom (Shalom) le samedi 11 novembre 2006 - 21h18:

Bonsoir

CE soir au 20 heures de F2.

Dieudonné invité par Le Pen à un meeting du Front National!!!! Reportage à l'appui.

Shalom

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Viviane (Viviane) le samedi 11 novembre 2006 - 20h13:

La France adore les voyages touristiques.

Dans "le guide du routard", depuis 2002, vous ne trouvez plus Israël comme parcours touristique. Dans de nombreuses agences de voyages en France, Israël ne figure plus depuis fort longtemps dans ces revues glacées. En feuilletant ses catalogues, nous nous apercevons que ces boutiques n'ont pas attendu l'Iran pour exprimer le doux espoir de nous voir ou de nous faire disparaître.

Par contre grace à l'actualité, présentée "en bref" sur ARTE ou autres chaînes, nous pouvons aller à la découverte du Kosovo et de la belle ville, non reconstruite, de Grozny; de l'Afghanistan si peu rebelle; du Rwanda et de ses milliers de corps assassinés et disparus grâce à la sècheresse de ses superbes déserts; et enfin revoir la côte d'Ivoire, où grace à la présence française, l'on parle un français chatié qui honore cette langue.

Quand verra-t-on, enfin, M.A.M. (Michèlle Alliot Marie) héritière d'un certain tourisme "à la française" faire la promotion, très prochainement, inchallah, de la Netanya francophone ? Nous rêvons tous de son passage au Kikar, en compagnie de Charles Enderlin, et les découvrir à déguster un "fricassée" ou un complet poisson... Si vous le voulez, ce ne sera qu'un rêve !!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Susy (Susy) le vendredi 10 novembre 2006 - 23h30:

mes images