Par Moshébé (Moshébé) le jeudi 16 novembre 2006 - 11h39: |
Que de milliers de lignes écrites pour commenter la réaction de Madame Alliot-Marie concernant les affabulations d’une pseudo confrontation entre l’aviation israélienne et la FINUL.
A y réfléchir, cette mauvaise plaisanterie, c’est tout bénéfice pour tous nos grands hommes, et femmes, concernés par l’affaire CLEARSTREAM.
Ainsi, pendant que l’on développe sans tarir aux journaux télévisés, les commentaires la presque attaque des F15, on a beaucoup moins le temps de traiter, par exemple, les douze heures d’interrogatoire de notre Ministre concernant CLEARSTREAM., surtout si ces deux évènements sont contemporains à quelques jours près.
Il faut dire qu’être cité(e) dans cette affaire, fait particulièrement désordre, surtout si l’on est éventuellement candidat(e) à la candidature.
Et puis, qu’est ce qu’on risque ? Taper médiatiquement sur Israël n’implique aucun danger.
Car il est bien moins dangereux de le faire face à un pays civilisé.
Pendant ce temps, il paraît qu’à travers le monde, certains se marrent ouvertement.
Vive La France !
Par Maurice (Maurice) le jeudi 16 novembre 2006 - 10h19: |
Henri merci pour ton experience et tes petits enfants qui prepare l'avenir .
Notre experience de Tune c'est que la modernité portée par l'Occident marquait les familles et stratifiait la societé
Pour les Juifs comme pour les Musulmans les cadres etaient eblouis par ce que l'Qccident apportait :les sciences la rationalité nous sortir de In Challah ou aussi de Baroukh Ha =chem comme quoi l'Homme etait regi par la fatalité e la decision de Hachem et Allah.
Il est vrai que l'Histoire nous depasse et nous avons si peu d'actions dessus mais combien l'education l'instruction ont permis le bond du 20° Siecle .
Les archaismes ont fait fuir ceux d'entre nous qui voulaient echapper la boutique de la rue de l'Eglise ou du souk El Grana
Il y a eu fracture et jugement dans les populations et entre Grana et Tounsa meme les cimetieres etaient separés comme ils etaient separés par les mariages mais entre tounsa les familles mariaient leurs enfants avec ceux qui avaient le mieux reussi leur situation les etudes .
La societé s'est toujours donné un sens de progres et s'est sedimenté ainsi .
Mais c'est l'expression du rejet qui est blamable quand il faut faire la demarche d'aider l(evolution et de l'accompagner.
Donc le personnage qui critique les gens de l'Atlas est un ignorant et un mediocre
Par Henri (Henri) le jeudi 16 novembre 2006 - 09h08: |
Communique pris sur Migdal.
Comme de nombreux internautes, nous avons recu avec effroi un communiqué faisant état de massacre de Juifs en Iran...Après vérifications et investigations qui s'imposaient, nous sommes en mesure de rassurer nos lecteurs et amis que rien de tel ne s'est produit même si l'Iran est un pays actuellement entre les mains de fanatiques nazifiants. A ce titre de souligner que Migdal apporte son soutien moral aux hommes et femmes Iraniens courageux qui osent combattre ce régime
Par Henri (Henri) le jeudi 16 novembre 2006 - 08h28: |
Bazooka,Messaoud, chalom.
Ce sujet remonte en surface de temps en temps.
Deux facons de le voir.
La premiere et de continuer a pleurer sur le passe, et la seconde de voir l'avenir.
A la creation du pays, il ni avait presque rien pour tous, c'etait la debrouille, et surtout la fameuse "proteksia".
Mais aujourdh'ui baroukh Achem Israel est un pays tres moderne et ceci grace a l'effort de tous.
Nos enfants se rencontrent sur les bancs du gan,de l'ecole, de l'universite,ou a l'armee et se marient sans trop regarder spharadi/achkenazi, et nos petits enfants profitent des deux cultures , couscous boulettes adam hout, guefeltefish et wodka.
Les Etats Unis sont jusqu'aujourdh'ui composes de differentes races et ethnies differentes,ce qui est normal, car chacun aime bien les "boulettes de sa mere"
Alors si qqun a dit une betise a la tele,il ne faut pas en faire un plat.
Hier a la tele sur une chaine educative d'Israel je me suis par contre regale par une super chorale qui chantait des chants magnifiques du Kurdistan avec "bendir ou zokra".
La sagesse c'est de prendre le bon et laisser le reste.
Mes petits enfants mi-spharadi, mi ashkenazi, se disputent et jouent ensemble comme tous les enfants. Ce qui est sur c'est qu'ils s'aiment.
Chalom et brakha.
Par Mena (Mena) le jeudi 16 novembre 2006 - 06h52: |
Paris brûle ! (info # 021511/6) [Analyse]
Par Jean Tsadik © Metula News Agency
Beaucoup de réactions à l’article de Stéphane Juffa [Paris brûle-t-il ?], dans lequel mon ami affirmait que les soi-disant attaques – ou attaques simulées – d’avions F-15 israéliens, le 31 octobre dernier, contre une position tricolore du Liban-Sud, dénoncées par la ministre française de la Défense du haut de la tribune de son parlement, n’avaient jamais eu lieu.
Rien de plus normal que ces réactions au discours de Madame Alliot-Marie du 8 courant. En principe, en pays civilisé, on ne dénonce pas un acte de guerre, en risquant ainsi une confrontation militaire, sans savoir de quoi on parle. En l’occurrence, la ministre a fait preuve d’une immense irresponsabilité frisant le délire, et les lecteurs ont de quoi être surpris. Même – et c’est très distrayant pour nous – au point d’atténuer nos affirmations, lorsqu’ils s’en ouvrent à des tiers, ou de les mettre au conditionnel.
Reste qu’un acte a soit eu lieu soit pas. Il n’existe, pour autant que mes connaissances soient à jour, pas d’acte qui ait lieu sans vraiment avoir lieu. Pas dans les domaines militaire et tactique, que je me targue – faute de ne saisir quoi que ce soit en droit, en botanique ou en sport – de maîtriser un peu.
Bien entendu, les choses auraient déjà été beaucoup plus claires si les media nationaux français avaient répercuté le communiqué de l’Armée de l’Air Israélienne, qui niait catégoriquement et officiellement avoir pratiqué ces "attaques". La réponse de la Khel Avir se trouve pourtant dans le papier de Juffa, mais les relations médiatiques entre les deux pays sont à ce point dégénérées que nos confrères de l’Hexagone s’octroient désormais la liberté rédactionnelle d’omettre de répercuter ce qui gêne leurs sympathies, leurs théories ou celles de leur gouvernement.
Les media français se sont donc contentés de ne faire mention que des accusations de Madame Alliot-Marie sans faire état de la réaction des agresseurs présumés. Les plus éclairés ont brièvement relaté les dires de l’ambassadeur israélien à Paris qui, fort à propos, et afin de briser la spirale engagée par le gouvernement français, menant irrémédiablement à une confrontation, n’a pas jugé bon de rajouter de l’huile sur le feu ni de mettre, sur la place publique, ses interlocuteurs face à leur inconséquence.
Mais voilà, à la Ména, nous ne sommes pas des diplomates. Des analystes et des journalistes, certes, mais pas des ambassadeurs. Aussi, nous vous soumettons ci-après les rapports quotidiens de la Force d’Intervention des Nations Unies au Liban, autrement dit la FINUL, à laquelle participe le contingent français qui aurait subi l’assaut de nos F-15. D’après la ministre, c’est au sang-froid de ces hommes que l’on doit de ne pas se trouver en conflit ouvert entre la France et Israël.
Ce rapport quotidien nous a été glissé sous la main par nos amis à la FINUL eux-mêmes, qui sont dégoûtés par les illuminations françaises et qui craignent un affrontement avec Tsahal, qui serait totalement stupide et qui laisserait assurément des camarades morts pour rien sur le terrain. Je publie les remarques pertinentes pour la période courant du 17 octobre au 7 novembre de ces rapports. Mais ils sont publics et peuvent être consultés par quiconque dispose d’un accès à l’Internet à l’adresse http://www.un.org/depts/dpko/missions/unifil/unifilpress.htm:
7 November 2006
IDF withdraws from most of the surrounding area of Ghajar village this afternoon
3 November 2006
9,500 UNIFIL troops from 20 countries deployed
26 October 2006
UNIFIL, LAF and IDF discuss the situation around Ghajar
24 October 2006
UNIFIL Force Commander voices serious concern over increasing number of Israeli air violations - UNIFIL Celebrates United Nations Day in Naqoura - UNIFIL and Lebanese Navy carry out Command Amphibious Exercise
17 October 2006
UNIFIL, LAF and IDF discuss security arrangements for Gadjar
Le 31 octobre : rien. Pas plus que les jours qui précèdent ni ceux qui lui succèdent. Encore, nos sources auprès des forces de l’ONU me demandent-elles de préciser trois points qui sont effectivement importants : A) La FINUL ne fait pas de politique, ses communiqués rapportent des faits, tous les faits significatifs qui se déroulent sans sa zone, ne se souciant que de leur exactitude. B) Si le 31 octobre dernier, un détachement de la FINUL avait été "à 2 secondes d’ouvrir le feu" contre des appareils israéliens ou s’il avait fait l’objet d’une attaque ou d’une simulation d’attaque, il ne fait aucun doute que cet événement aurait figuré dans le communiqué journalier. C) Aucun communiqué émanant d’aucun autre centre de communication de l’ONU, à New York ou ailleurs, ne mentionne cette attaque des avions israéliens.
Nos contacts à la FINUL nous font remarquer que l’incident rapporté par la ministre française, s’il s’était réellement produit, aurait constitué l’événement le plus grave survenu à la force d’intervention depuis son déploiement cette année.
Il y a plus grave encore
La ministre, son gouvernement et son armée, avec la mauvaise foi qui caractérise cet establishment ainsi que la presse servile qui lui sert de relais sur les questions internationales, aurait pu – sans le moindre scrupule – parler d’un oubli ou d’une erreur dans la communication de l’ONU.
Mais c’est impossible en ce qui concerne cette malversation-ci, car l’incident qu’a décrit Mme Alliot-Marie, en termes stratégique et tactique est invraisemblable. Pourquoi donc ? Parce que le F-15 Eagle est l’appareil utilisé par la Khel Avir pour lui assurer la supériorité aérienne. Plus simplement dit : le F-15 est un chasseur – un avion qui s’attaque aux avions ennemis – pas un bombardier – un appareil qui détruit des cibles au sol.
Il existe bien une exception à cette constatation générale : le F-15 type "E". Mais si le type E, spécialement développé par les Américains pour répondre aux contraintes imposées par les stratèges de Tsahal, peut attaquer des positions au sol, c’est uniquement dans une configuration très spécifique : les bombardements d’objectifs à grandes distances. En un mot, les installations de destructions massives en Iran. Lors, le F-15 E est conçu pour emporter des missiles et des bombes intelligentes, mais ne dispose pas de canon d’attaque au sol ou d’attaches pour des roquettes, comme l’aurait nécessité la manœuvre décrite par la ministre aux armées. Une attaque telle celle qu’elle a décrite ne peut en aucun cas être réalisée par des F-15. Pas par les types A, B, C, D, parce que ces appareils ne sont pas dotés d’armes d’attaque au sol et pas par le type E, pour les raisons que je viens d’indiquer. Ceux qui doutent de notre bonne foi ou de notre compétence iront se persuader que nous écrivons vrai sur le site du constructeur des F-15, la société Boeing [ici].
Quant à la possibilité de "singer" l’attaque d’une position française sans avoir les moyens de la détruire ni de se défendre, si cela avait été le cas, le chef de la Khel Avir aurait, depuis longtemps, été prié de présenter sa démission. Probablement le ministre israélien de la Défense aussi. Parce qu’il n’y aucune raison d’attaquer une position de la FINUL. Parce que le Hezbollah et l’armée libanaise ne disposent pas de base de missiles antiaériens que nous aurions pu confondre avec celle des militaires français. Parce que, pour risquer – à 2 secondes près – un tir de missile et partant, une altercation avec l’armée française, il faudrait être complètement cinglé, être prêt à perdre – pour rien – un pilote ainsi qu’un avion valant au bas mot 35 millions de dollars…
Si les Israéliens ont parfaitement gardé leur calme face aux accusations de Paris, c’est parce que le risque réel d’un incident entre la Khel Avir et la DCA française n’existe pas. Les deux évoluent dans deux sphères différentes, à deux fractions d’altitude différentes, qui rendent le rapport de l’armée française aussi crédible que l’histoire du Petit Chaperon Rouge. En effet, les missiles déployés par le contingent tricolore ont une portée de l’ordre maximal de 8'000 pieds, soit environ 2'600 mètres. Quant aux F-15 d’observation, que tous les habitants et soldats de la région voient passer, par paires, très haut sur nos têtes, quasi quotidiennement, ils évoluent entre 50 et 70'000 pieds, soit de 16 à 23'000 mètres. Les mordus pourront consulter, sur le site de l’US Air Force, la description des missions qui peuvent être dévolues au F-15.
Dans ces conditions, les missiles français ne servent à rien – on se demande d’ailleurs contre quel péril ils ont été déployés, aucun parti hostile de la région n’étant capable de lancer un raid aérien si près de la frontière israélienne ! – le seul risque, pour ceux qui les tireraient, consisterait à se les ramasser sur la figure lors de leur chute. Quant aux F-15 d’observation, il ne sert même à rien de les armer, puisqu’aucun avion ennemi ne peut atteindre leur altitude suffisamment rapidement pour les ennuyer, et qu’aucun missile aux mains de nos ennemis n’est capable d’atteindre de semblables altitudes.
L’avion d’attaque au sol, c’est le F-16, Madame…
Qu’un ministre de la Guerre s’y entende peu en matière militaire, c’est inquiétant mais somme toute compréhensible. Ce qui l’est moins, c’est que ses conseillers l’aient laissée s’enfoncer dans de telles fariboles. L’armée française sait fort bien que l’appareil que Tsahal utilise pour ses attaques au sol est le F-16. Un avion qui n’a rien en commun avec l’autre et que n’importe qui de non entraîné est capable de différencier à l’œil nu.
Ce sont des F-16 qui avaient, le 7 juin 81, attaqué et détruit le réacteur Osirak-Tamouz près de Bagdad. Mais ce qui est plus intéressant, dans l’étude du cas qui nous occupe, c’est que le F-16 israélien est spécialement doté d’armes mises au point afin de détruire des missiles sol-air tels que ceux qui auraient servi de cible à notre attaque. Ce sont des F-16 qui ont, à ce propos, anéanti les bases de missiles syriens dans la plaine de la Bekaa, lors de l’opération Drugstore en 1983-84.
La règle d’or en la matière, c’est de détruire les bases de missiles sans avoir à pénétrer dans leur cône d’efficacité, soit sans avoir à mettre en danger les pilotes et leurs montures. Et Israël se distingue dans cet exercice, puisqu’elle n’a sacrifié aucun appareil lors des 10'000 dernières sorties de ses avions ! Dans ces conditions, risquer des pertes, juste pour emm… les Français, c’est une idée qui se situe à 180 degrés de la doctrine de la Khel Avir, comme les chiffres l’établissent.
De plus, la "posture d’attaque", "extrêmement claire" "en piqué puis redressement immédiat", expliquée par Mme Alliot-Marie est une manœuvre antique, jamais plus utilisée par une armée de l’air moderne pour neutraliser une base de missiles sol-air. Elle implique l’usage de canons et de roquettes, et pourquoi pas des arcs et des flèches ?
La France se trompe de rôle au Liban…
J’espère que ces quelques explications auront suffi à persuader les plus circonspects de la vacuité des accusations françaises. Le rédacteur en chef m’a demandé de rester lisible par le commun des mortels, aussi ne vais-je pas en ajouter. Il me semble d’ailleurs que c’est inutile, tant les faits contrôlables parlent d’eux-mêmes.
Je ne vais pas non plus me hasarder sur le terrain de l’explication politique de ces accusations en l’air proférées face à l’hémicycle. Je me contenterai de remarquer que le gouvernement Villepin s’échine, depuis le déploiement du contingent français dans notre région, à s’opposer au survol du Liban par nos avions de reconnaissance. Cette fois, pour marquer le coup, il n’a pas hésité à inventer une "presque confrontation" qui ne pouvait techniquement pas se produire.
Avec tous les corps armés présents dans notre région de la frontière israélo-libanaise, ces gens jouent avec des allumettes, assis sur un baril de dynamite. De la part de gouvernants, c’est à peine croyable. Mais cette campagne a débuté bien avant "l’agression du 31 octobre" et se poursuit depuis lors. C’est le chef des Casques bleus au Liban (FINUL), le général Alain Pellegrini qui a pris la relève de sa ministre, à la fin de la semaine dernière, en accordant une interview au Figaro.
Pellegrini a "du mal à les comprendre (les Israéliens. Ndlr). Ils nous disent qu'ils vont continuer ces survols tant qu'ils n'auront pas récupéré leurs deux soldats enlevés par le Hezbollah. D'autre part, il semble qu'ils aient des informations sur des livraisons d'armes au Hezbollah via la frontière syro-libanaise. Tant que ces passages d'armements continuent, nous disent-ils, ils survoleront le Liban".
Et qu’est-ce donc qu’il a du mal à comprendre, ce brave homme ? Que nous désirons que nos soldats nous soient restitués ou que les livraisons d’armement au Hezbollah nous préoccupent ?
Il serait temps que Pellegrini consulte au moins une fois l’énoncé de la résolution 1701 qu’il est censé faire appliquer, avant de prendre sa retraite à Noël. Il sera étonné de constater que celui-ci prescrit précisément ce qu’il ne comprend pas chez les Israéliens. Peut-être, dans la foulée, saisira-t-il que son mandat ne consiste pas à protéger les terroristes du Hezbollah pour les aider à reconstituer leur arsenal mais à permettre à l’Etat libanais de se débarrasser des groupes armés agissant sur son territoire et d’empêcher le trafic d’armes à ses frontières. Or, selon des sources proches des renseignements US, allemands et israéliens, les Fous d’Allah auraient amassé au Liban, depuis le déploiement des Casques bleus, quelques 20'000 roquettes et missiles contre 10'000 avant le déclenchement du dernier conflit. Et ces derniers jours, les ministres du Hezb ont quitté le gouvernement Siniora, mettant clairement en joue les autorités de Beyrouth. Nasrallah parle désormais sans ambages de "conquête du pouvoir".
Alors Pellegrini saisira toute l’incongruité de la réponse qu’il a faite à notre confrère Georges Malbrunot du Fig et il comprendra pourquoi, effectivement, nous ne lui accordons aucune confiance :
"Nous n'avons pas fouillé de véhicules. Des armes, en revanche, nous en avons observé, dont certaines ont été saisies le lendemain par l'armée libanaise. Jeudi soir, une de nos patrouilles a découvert un dépôt de roquettes dans l'est de la zone. Nos hommes sont restés à proximité durant la nuit pour qu'il n'y ait pas de déménagement (…)".
Quant à un éventuel recours à la force, cet étrange général ne l’envisage que contre l’une des parties en présence : Israël. Notez bien les termes confus dans lesquels s’exprime Pellegrini ainsi que sa méconnaissance crasse de l’altitude à laquelle se déroule l’activité aérienne au-dessus de ses soldats :
"Excluez-vous le recours à la force contre une des parties en conflit ? (Malbrunot.Ndlr.)
Non, je ne l'exclus pas. Le recours à la force est inclus dans nos règles d'engagement. Mais c'est un recours ultime. Avant cela nous avons tout un système de gradations. Fin octobre, nous avons frôlé l'incident, lorsque des militaires français se sont sentis menacés. Ils ont pris leurs dispositions. Ils doivent assurer leur autodéfense. Il y a une différence entre le survol d'un avion à cinq mille mètres d'altitude et un appareil qui se met en configuration quasiment d'attaque. Si on a évité l'incident, c'est parce que les militaires français ont fait preuve de beaucoup de retenue et de sang-froid".
A notre avis, la raison est plutôt à trouver dans ce que ses missiles tirent heureusement 13'000 mètres trop bas. Mais pour plus de sécurité, j’adhère à la conclusion de Juffa : il faut retirer le contingent français de la FINUL au plus pressé. Car c’est d’une force qui comprend son mandat dont la région a besoin, et pas de Tartarins de tous les dangers. Surtout lorsqu’ils sont poussés au pantalon par un pouvoir à l’agonie qui rêve d’une confrontation limitée avec l’Etat hébreu quitte à la provoquer. Que Mme Alliot-Marie commence par expliquer aux ingénieurs de Boeing où on peut accrocher une roquette sous le ventre d’un F-15 ! Dommage qu’elle ridiculise de la sorte une armée qui ne mérite pas ce genre de plaisanteries. Je veux parler de la sienne, bien entendu.
Par Email (Email) le jeudi 16 novembre 2006 - 02h39: |
BONJOUR.
LA JOURNEE INTERNATIONALE POUR LA TOLERANCE
Le 16 novembre, célébrons la tolérance
Depuis 1995, le 16 novembre a été proclamé, à l'initiative de l'Unesco, Journée internationale pour la tolérance. Cette journée est axée sur des actions éducatives, non seulement en direction des enfants mais aussi en direction des adultes, pour faire reculer l'intolérance, génératrice de violence, partout où elle se trouve, et inciter les communautés réunies sur un même territoire à coexister dans la paix et le respect.
Comment faire avancer la tolérance ?
Cette journée invite chacun d'entre nous à réfléchir à son propre comportement face aux autres. Sommes-nous conscients de la valeur de la diversité ? Respectons-nous les autres malgré les différences qui peuvent nous séparer ? Faisons-nous l'effort de nous remettre en cause régulièrement et d'accepter que les autres, en ébranlant parfois nos certitudes et nos préjugés, nous fassent découvrir leurs différences ?
Il est important également de rester attentif à la façon dont les droits de l'homme sont appliqués autour de nous, et tout particulièrement les articles 18 et 19 de la Déclaration universelle des droits de l´homme qui stipulent que "Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion" et que "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d’expression". Enfin, faisons passer des messages positifs autour de nous, sur le thème de la richesse de la diversité et de la volonté de vivre en paix tous ensemble !
LAMAK.
Par A_Soued (A_Soued) le jeudi 16 novembre 2006 - 02h28: |
Nous reproduisons ci-dessous une interview de Donald Rumsfeld, ex secrétaire d'Etat à la défense américaine, par notre ami Michel Gurfinkiel.
Donald Rumsfeld a démissionné après que les élections américaines de mi-terme aient amené une Chambre des Représentants et un Sénat démocrates et l'éventualité d'une politique étrangère moins engagée et plus proche des idées du Département d'Etat (Condoleeza Rice).
Il faut garder à l'esprit que depuis longtemps pratiquement toutes les élections de mi-terme entraînent un changement de majorité, surtout pour des raisons de politique intérieure. Et les élections de novembre 2006 n'échappent à la règle, contrairement à ce qu'annoncent les médias. Cette année, des affaires de corruption ou de mœurs ont affaibli le parti républicain et la guerre en Irak n'intervient que pour une faible part dans la décision de l'électeur américain, plus préoccupé par ce qui se passe chez lui.
Israël a mis 5 ans pour venir à bout des attentats-suicide, en développant notamment un réseau dense d'information. Les Etats-Unis mettront bien plus de temps pour y arriver, étant donné la non connaissance d'un terrain plus difficile et plus vaste. Nous ne pensons pas que ce pays révise complètement sa stratégie au Moyen Orient, avec la venue à la défense d'un ancien patron de la CIA.
Nous sommes étonnés que le problème épineux du nucléaire iranien n'ait pas été abordé dans cette interview.
Albert Soued pour www.nuitdorient.com
LA DOCTRINE RUMSFELD
Donald Rumsfeld était le plus proche collaborateur de George W. Bush et le maître d’œuvre de la guerre contre le terrorisme. Il explique aux alliés français, la stratégie américaine d’aujourd’hui.
Propos recueillis au Pentagone par Michel Gurfinkiel.
Interview parue dans Valeurs actuelles le 29 octobre 2002
Monsieur le Secrétaire à la Défense, quelle a été votre réaction quand un avion suicide s’est écrasé sur votre ministère le 11 septembre 2001, peu de temps après la double attaque sur le World Trade Center ?
DONALD RUMSFELD. Vous vous souvenez du déroulement des événements. Minute après minute, nous percevions plus clairement ce qui était en train de se passer. Quand nous avons appris qu’un second avion s’était écrasé sur le World Trade Center de New-York, il a été clair, à nos yeux, cela ne pouvait pas être seulement un accident. Et quand un troisième avion s’est écrasé sur notre propre bâtiment, ici, à Washington, nous avons su qu’un sacré travail allait commencer pour nous.
Cela fait quoi, de se trouver dans un bâtiment qui subit une telle attaque ?
On a l’impression qu’une bombe vient d’exploser. Un choc terrible, qui ébranle le bâtiment entier. Franchement, je n’ai pas imaginé, sur le moment, que c’était un avion, comme à New-York. Juste cette impression terrifiante que tout risquait de s’écrouler autour de nous.
Cela fait plus d’un an que les Etats-Unis sont engagés dans une guerre contre le terrorisme. Pouvez-vous dresser un premier bilan ?
Nous avons pris un bon départ en Afghanistan. Notre intervention dans ce pays nous a en effet permis de démanteler des éléments clés du dispositif terroriste, d’empêcher les terroristes de l’utiliser comme un " sanctuaire ", de les contraindre à prendre la fuite, et enfin de collecter une très grande quantité d’informations…
Que vous avez pu utiliser ?
Nous avons d’ores et déjà exploité tout ce qui pouvait l’être à des fins tactiques. En revanche, nous avons encore du travail à faire en matière d’analyse stratégique, notamment pour mieux comprendre le mode de fonctionnement d’Al-Qaida.
Et en dehors d’Afghanistan ?
Là encore, le début est prometteur. Dans le monde entier, les mesures de contrôle et de sécurité ont été renforcées, y compris sur le plan financier: c’est le cas, notamment, de pays qui pouvaient passer jusqu’ici pour des "ventres mous", comme le Pakistan. Nous avons développé notre coopération en matière de lutte contre le terrorisme avec de nombreux Etats, à leur demande : par exemple la Géorgie et les Philippines. Mais le plus important reste à faire. Nous devons mettre les terroristes sur leur défensive, empêcher la création de nouveaux "sanctuaires", dans des pays tels que le Yémen ou la Somalie, et surtout, surtout, interdire aux terroristes d’avoir accès aux armes de destruction massive.
Vous pensez à l’Irak et aux autres pays de " l’Axe du Mal " ?
Nous devons nous concentrer, en effet, sur les Etats qui cherchent à se doter de ces armes et qui pourraient en doter des organisations terroristes.
" L’Axe du Mal ", qu’est ce que c’est ? Une simple coalition d’Etats voyous ou un système totalitaire qui menace globalement les pays occidentaux et démocratiques ?
Les deux définitions se complètent. En termes techniques,"l’Axe du Mal" peut être défini comme une coalition d’Etats voyous et organisations terroristes mettant leurs ressources en commun. C’est dans ce sens qu’il inclut, par exemple, la Corée du Nord : ce pays a apporté un appui majeur aux Etats qui cherchaient à se doter d’armes de destruction massive. Mais "l’Axe du Mal" possède également une dimension politique, fort complexe d’ailleurs. La plupart des pays impliqués cherchent à faire face aux difficultés liées à la modernisation en se repliant sur une vision déformée, excessive, de leur passé et de leurs traditions. Cela ressemble fort au fascisme européen du début du XXème siècle. Les extrémistes islamistes instrumentalisent et dévoient l’islam traditionnel, tout comme le régime de Mussolini avait manipulé à son profit le souvenir de la grandeur romaine, ou comme le nazisme avait utilisé et dénaturé la culture germanique.
Les réseaux terroristes palestiniens font-ils partie intégrante de "l’Axe du Mal" ?
Les réseaux terroristes palestiniens – le Hamas, le Djihad islamique, certains éléments du Fatah – reçoivent une aide financière et technique de l’Iran et de l’Irak. Cette collaboration – qui sert les intérêts respectifs des différents partenaires - s’est soldée par le massacre de nombreux Israéliens innocents. Elle a également porté atteinte à des aspirations palestiniennes légitimes. Je ne sais pas si l’on peut en déduire que les terroristes palestiniens constituent une partie intégrante de "l’Axe du Mal" ; mais ils en sont certainement des partenaires ou des compagnons de route idéologiques.
Que pensez-vous des ripostes israéliennes contre ces organisations ?
Israël doit-il se défendre contre le terrorisme ? Oui, c’est là une attitude légitime et nécessaire.
La victoire contre le terrorisme peut-elle être obtenue par des moyens purement militaires ou implique-t-elle un processus de modernisation et de démocratisation dans certains pays, notamment au Proche et au Moyen-Orient ?
Il n’y aura pas de victoire sans démocratisation. Bien que non démocratiques, les modes de vie traditionnels présentent de nombreux aspects positifs, et ne conduisent pas, en tant que tels, au terrorisme. Mais leur maintien semble de plus en plus problématique: les populations concernées cherchent à bénéficier en même temps des avantages de la civilisation moderne. C’est dans cette situation ambiguë, intermédiaire, où le monde traditionnel sert toujours de référence et où le monde moderne n’est pas encore en place, où le ressentiment est généralisé, que naît l’interprétation extrémiste de l’islam à laquelle je faisais allusion plus haut. Bien entendu, cet extrémisme – intolérant sur le plan religieux et voué à la haine de l’Occident sur le plan politique - n’est pas l’islam. Mais il suscite beaucoup d’écho dans le monde musulman d’aujourd’hui. Le souvenir d’une époque où les sociétés musulmanes étaient les plus développées du monde ne fait qu’aggraver le malaise.
Comment les pays occidentaux peuvent-ils aider les pays musulmans à cet égard ?
En fait, le monde islamique est actuellement en proie à une sorte de guerre civile. Les non-musulmans n’ont pas à prendre partie dans les aspects purement religieux ou liés à la civilisation dans cette querelle. Mais le monde civilisé sans son ensemble a évidemment intérêt à aider les musulmans qui rejettent l’extrémisme et qui épousent un islam modéré, tolérant et pacifique. De nombreux pays musulmans se situent déjà du côté de la modération. Je voudrais citer deux cas significatifs : la Turquie, qui est un grand pays de près de soixante-dix millions d’habitants, une société profondément musulmane, un Etat démocratique de type occidental, et un allié ancien et important des Etats-Unis; et l’Indonésie, victime d'une attaque terroriste massive le 12 octobre, qui est, par sa population, 140 millions d’habitants dont 90 % de musulmans, le plus grand pays islamique du monde.
Monsieur le Secrétaire, vous avez joué un rôle important, il y a quelques mois, en vue d'éviter une guerre nucléaire entre l’Inde et le Pakistan. Croyez-vous que ces deux pays puissent devenir, à terme, des partenaires stratégiques des Etats-Unis ?
Un milliard et demi d’êtres humains vit en Asie du Sud : la stabilité, la paix et la prospérité de cette région constituent évidemment, pour les Etats-Unis, un intérêt stratégique. En ce qui concerne, plus spécifiquement, la guerre contre le terrorisme planétaire, l’Inde et le Pakistan assument des rôles irremplaçables, aux côtés des Etats-Unis et des autres membres de la coalition mise sur pied après le 11 septembre 2001. En autorisant les forces américaines à utiliser des bases opérationnelles situées sur son territoire, le Pakistan a contribué à la chute du régime taliban en Afghanistan; et le gouvernement pakistanais continue à assurer son soutien aux actions militaires contre les éléments résiduels et d'Al-Qaïda, le long de la frontière pakistano-afghane. Les forces armées indiennes, de leur côté, développent leur coopération avec les forces américaines, en vue de mener de manière plus effective des opérations conjointes. La marine indienne, en particulier, apporte son soutien aux patrouilles dans le secteur Est de l’océan Indien – afin d’y garantir la liberté de navigation, la libre circulation des ressources et le commerce maritime. A terme, notre objectif est de mettre sur pied la plus large coopération possible, en matière de sécurité, avec les deux pays – ainsi d’ailleurs qu’avec tous les Etats amis de la région.
Comment évaluez-vous les relations stratégiques des Etats-Unis avec l’Union européenne?
Les Etats-Unis entretiennent des relations raisonnablement constructives avec l’Union européenne à tous les niveaux et dans les domaines les plus variés : la lutte contre le terrorisme global, le processus de paix au Moyen-Orient, la consolidation de la paix dans les Balkans et la remise sur pied de l’Afghanistan. C’est un partenariat cimenté par une histoire commune, des principes communs, de multiples liens culturels et économiques. Pour autant, il n’a rien d’automatique. Nous devons sans cesse travailler en vue de garder nos principes en commun, et sans cesse nous concerter sur les actions à prendre en fonction de ces principes. Notre héritage mérite un tel effort, me semble-t-il. Rien ne me paraîtrait plus grave qu’un désaccord entre l’Europe et l’Amérique sur de telles questions.
Les relations euro-américaines doivent-elles passer uniquement par l’Otan ?
L’Europe coopère avec l’Otan dans divers domaines, notamment les Balkans et la lutte contre le terrorisme. Il y a sans doute encore des progrès à faire dans ces domaines, notamment afin de parvenir à des structures permanentes de coopération. Les deux dimensions me semblent également bénéfiques : entre les Etats-Unis et l’Union européenne d’une part, entre l’Otan et l’Europe d’autre part.
Où en sont les relations franco-américaines ?
Les Français sont nos alliés de toujours, et nous attachons le plus grand prix aux relations que nous entretenons avec eux. Nous n’oublierons jamais qu’ils nous ont offert leur sympathie et leur assistance au lendemain du 11 septembre 2001, qu’ils se sont engagés à nos côtés dans la guerre contre le terrorisme et qu’ils ont été un élément important de la coalition qui est intervenue en Afghanistan. Cela dit, bien entendu, nos relations pourraient être encore meilleures. Et ce que je disais voici quelques instants de l’Europe en général s’applique a fortiori à la France : notre histoire commune justifie les efforts que nous avons à faire dans ce sens, de part et d’autre.
Vous venez de recevoir au Pentagone la ministre française de la Défense, Michèle Alliot-Marie…
J'avais déjà eu l'occasion de la rencontrer ici ou là, à Varsovie et ailleurs, et d'apprécier son caractère et son intelligence. J'ai été absolument ravi de la recevoir aux Etats-Unis, voici quelques jours, dans le cadre de ses fonctions de ministre de la Défense. Nous avons discuté des relations franco-américaines, bien entendu, mais de l'Otan et de l'ensemble des problèmes de sécurité de ce début de siècle. Il est incontestable que la France fait en ce moment des efforts importants dans ce domaine.
En augmentant son budget de la défense ?
Notamment. La France fait partie, comme l'a observé le secrétaire général de l'Otan, Lord Robinson, des trois ou trois ou quatre pays qui prennent en ce moment leurs responsabilités et procèdent aux choix budgétaires nécessaires en vue de faire face plus efficacement aux défis actuels en matière de sécurité. Nous vivons dans un monde dangereux. La paix et la sécurité de tous dépendent de la détermination de chacun d'entre nous, au niveau national comme dans le cadre de l'Otan.
La Russie est devenue un allié des Etats-Unis ?
Il y a en effet de nombreux sujets sur lesquels les nous sommes désormais d’accord avec les Russes et où nous travaillons avec eux. Je cite, pêle-mêle : le nouveau conseil de coopération stratégique Otan-Russie, les mesures en vue d’empêcher la dissémination des armes nucléaires et des autres armes de destruction massive, la conquête de l’espace, la réduction des armements nucléaires existants, l’entretien et la surveillance des arsenaux de destruction massive hérités de l’ex-URSS, le développement des relations économiques entre les deux pays, à travers le commerce et les investissements directs, et enfin les programmes d’assistance destinés à consolider la démocratie russe. Le président George W. Bush a pris, vous le savez, des initiatives qui ont permis de renforcer la compréhension mutuelle et de préparer l’avenir. Tout n’est pas parfait dans nos relations bilatérales, mais les premiers succès sont encourageants. Il en va, en fait, de nos intérêts nationaux bien compris : trop de facteurs militent contre un retour à nos anciennes façons d’agir. La guerre froide est finie. Entre nos deux nations, l’heure est désormais à la coopération, et non plus à la rivalité ou à la compétition.
Avant le 11 septembre 2001, vous prépariez une importante réforme stratégique et militaire. Qu’en reste-t-il aujourd’hui ?
Voici un peu plus d’un an, avant le 11 septembre, nous mettions la dernière touche à une évaluation stratégique globale – ce que nous appelons, dans notre jargon, l’Evaluation quadriennale des questions relatives à la défense nationale (le document a été finalement publié le 30 septembre 2001). La première conclusion à laquelle nous étions arrivés, c’était que les Etats-Unis ne devaient pas se laisser aller à un sentiment de fausse sécurité. La deuxième, qu’il nous fallait raisonner dorénavant en termes de défis globaux plutôt que de menaces spécifiques. Et la troisième, qu’il nous fallait apporter un certain nombre d’améliorations à nos forces armées, à leur organisation, à leur équipement et à leur mode d’opération. A peine avions-nous achevé ces travaux que nous avons été confrontés aux effroyables agressions terroristes que vous savez. En fait, la guerre contre le terrorisme que nous menons aujourd’hui n’a fait que confirmer notre analyse. L’expérience nous a montré que nous avions raison de chercher à mieux protéger nos bases opérationnelles essentielles, y compris sur le sol américain. Elle nous a révélé à quel point il était important de pouvoir projeter et maintenir des forces armées sur des théâtres éloignés ou encore d’anéantir les "sanctuaires" où l’ennemi se retranche afin de mieux attaquer. Elle nous a convaincu que la réforme militaire était plus nécessaire que jamais, et qu’il fallait la mettre tout de suite en chantier, en urgence absolue.
Par Maurice (Maurice) le mercredi 15 novembre 2006 - 19h42: |
Henri l'information sur l'Iran j'avais demandé de la verifier avant
Je l'ai receuilli sur le site "le petit sioniste" et la responsable avait insisté qu'elle l'avait verifie Il existe aussi sur le site de Resilience mais cela à l'air bien flou et je pense que ce n'est que des informations erronées mais qui quand on les lit plusieurs fois posent question sur leur diffusion que j'ai faite en demandant la verification
Par Maurice (Maurice) le mercredi 15 novembre 2006 - 19h30: |
On a trop parlé de cette colonisation française dans des termes inhumains .Faut il rapeller si toute colonisation est un viol qui fait des degats
tous les Etats ont colonisé avant d'integrer des regions Comment la France s'est faite ?A t on oublié la guerre des chouans des actions de Simon de Monfort dans le Midi des dragonnades Qui sont les Protestants des Cevennes ces revoltés des regions allant se cacher dans la montagne dite le DESERT ;Oui les colonisations de l' Afrique du Nord a été une occupation et en meme temps un magnifique mouvement d'integration à l'Europe des Algeriens Si la France n'avait pas eu ce coté civilisateur y aurait il tant de
musulmans en France si on n'avait pas l'admiration de la Republique et de cet etat de droit Enfin la France a avec l'autorisation des BEYS et Deys remplacé la colonisation dictatoriale des TURCS OTTOMANS qui malgré leur religion Musulmane ont dominé les Etats Arabophones .De plus les Arabes ont colonisé les Berberes en leur volant leurs religions JUIVE et Chretiennes et leur langue survivant chez les Kabyles et les Touaregs Ce n'est pas une critique c'est un constat mais que tous les peuples veulent dominer l'autre veulent en faire un esclave veulent avoir les enfants les plus brillants pour avoir la meilleur part dans ce monde .La religion l'evolution des idées,l'organisation de la societé ,la sociologie l'anthropologie essayent de comprendre les phenomenes pour aplanir l'animal archaique qu'il y a en nous l'impot pour aider et permettre l'aide des plus faibles.La distorsions commencent quand on se sert de la religion pour
appartenir à une classe dominante ou pour rassembler des hommes autour comme une force qui va creer une solidarité interne contre l'autre et souvent le minoritaire qu'on a destabilisé et qui en plus devient le bouc emissaire ,celui
qui est responsable des echecs du majoritaire
dans la conduite de l'economie globale.C'est la prise de conscience de chacun pour echapper à la haine ,à l'egoisme ,pour que les responsables
ne limitent pas leurs actions aux discours des elections
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mercredi 15 novembre 2006 - 17h09: |
.... "et de toute facons, quelle culture esperez-vous de ces gens arrives tout droit de leurs monts Atlas
?!!"
A vos commentaires ...
P.S. Pensez-vous que je devrais poste ce commentaire sur Dafina.com ?
Et,,, comme vous avez raison Chère Madame,,, de pointer ce commentaire, qu’il faut bien appeler par son nom, du “ racisme pur et dure “, et lui que connait-il le bougre de la culture des autres, de l’Atlas Tellien, de l’Atlas Saharien et autres Djebels Nords Africains ???
Pour se considérer porte parole, d’une nation qui a accueilli pour se construire, toutes les immigrations de la Diaspora, il aurait fallu qu’au moins il ait une once, d’éducation, d’instruction, ou de jugeote, mais cet individu qui s'exprime par cette phrase ne fait que démontrer sont racisme viscéral, il démontre aussi qu’il a de la loi du retour, une vision qui ne dépasse pas la distance de ses oeillères.
Sur ADRA le tollé que soulève de tels propos devrait être général !!!
Encore une fois Merci et bonne soirée Madame.