Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 26 juillet 2004 - 20h53: |
Madamr Heiz Kerry a dit a un journaliste "Ferme La"
http://www.mcall.com/news/local/election/all-a1_5receptionjul26,0,1138679.story?coll=all-news-hed
A-t-on besoin d'une telle arrogance a la maison blanche?
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 26 juillet 2004 - 20h02: |
A Bernard COTI , tout d'abord vous etes le bienvenu dans notre site et ce n'est pas necessaire de dire un tune Goy. Entre tunes en s'en fout de ces differences, nous avons tous eu un passe semblable et rien que ce passe, il nous unit. Maintenant je laisse a ceux qui vous reconnaissent de vous donner de plus amples informations selon leurs connaissances .
Enregistez-vous et vous pourriez a l'avenir partager vos experience de Tunisie.
Par Mena (Mena) le lundi 26 juillet 2004 - 19h40: |
Derrière les chiffres d’une menace. Y voir clair. (info # 012607/4) [analyse]
Par Jean Tsadik © Metula News Agency
Selon le général Aharon Zeevi, le chef du renseignement israélien, le Hezbollah a amassé au Liban près de 14'000 roquettes. Dans le rapport que Zeevi a soumis au cabinet la semaine dernière, le général a précisé que les supplétifs intégristes de la népotie syrienne disposaient désormais de 13'000 Katiouchas de portée limitée, de 500 roquettes de moyenne portée ainsi que de "quelques douzaines" de projectiles à longue portée.
Avant de considérer le danger représenté par ces armes ainsi que le rôle qui leur est attribué par Damas dans sa confrontation avec Jérusalem, précisons que ces Katiouchas peuvent emporter des charges variant de 5 à 30 kilos, que le terme "portée limitée" détermine un rayon d’action de 5 à 25 kilomètres, soit la capacité d’atteindre Metula, Kiriat Shmona et Nahariya. La "portée moyenne" s’entend pour des impacts situés entre 50 et 70 kilomètres du point de lancement, soit la possibilité pour les terroristes de menacer Haïfa, Safed, Tibériade et Afula ; quant aux roquettes de "longue portée", elles peuvent couvrir des distances allant de 100 à 200 kilomètres, soit accéder, depuis la frontière libanaise, à Tel Aviv (120 à 170 kilomètres) Hadéra, Petakh-Tikva etc.
Certes, ces données brutes paraissent inquiétantes mais en fait, elles n’ont de signification réelle, dans l’évaluation de la dangerosité de ces armes, que lorsque leur poids dans l’équilibre des menaces a été complètement relativisé et intégré à la situation stratégique régionale qui prévaut.
Compliqué ?
Pas tant que cela ! Demandez-vous en quoi cela ferait avancer les intérêts de Béchar al-Assad que l’une de ces super-Katiouchas explosât dans une banlieue de Tel Aviv, avec un ratio d’une chance sur cinq de blesser au moins un individu et d’une chance sur vingt-cinq de lui coûter la vie ?
La réponse de l’analyste stratégique à cette question est : Le gain stratégique d’une telle action est nul. On entend ici par "gain stratégique" l’affaiblissement du potentiel sécuritaire de votre ennemi que vous aurez causé par une action.
Les seuls avantages relatifs qu’il y a à lancer une roquette de ce type sur Tel Aviv – les Iraniens et les Syriens n’ont tout de même pas investi dans un arsenal de cette taille sans raison - sont de trois types : Le premier est à caractère interne ; dans le cas que nous envisageons, il s’agirait pour le Hezbollah et ses mentors de "montrer à la nation arabe qu’on est capable d’atteindre Tel Aviv".
Le second avantage escompté consiste à espérer générer un mouvement de panique dans la population israélienne, de désorganisation parmi les services de protection civile et partant, un affaiblissement très aléatoire et éphémère de la capacité de défense de l’entité sioniste. En misant sur l’effet "panique", il faut également considérer la possibilité que votre Katioucha s’écrase dans un terrain vague ou sur une usine désaffectée, ce qui n’arrangera pas vraiment vos affaires.
Le troisième avantage envisagé par les Irano-syriens concernerait l’utilisation massive d’un très grand nombre de ces projectiles à la fois – des centaines ? -. En principe, une telle utilisation peut être considérée dans deux cas de figures : a) En complément d’une attaque militaire surprise genre guerre de Kippour, encore que les conditions d’une hypothèse de cette sorte, pour les Irano-syriens, sont aujourd’hui inexistantes et b) En complément du dispositif syrien de défense lors d’une attaque de Tsahal.
Définissant cette troisième option, j’ai mentionné le terme "en principe" pour décrire l’emploi massif de ces roquettes par le Hezbollah et je crois qu’il mérite toute notre attention. Si les Katiouchas ont bien été inventées par les Soviétiques afin de pilonner de grosses concentrations de blindés et de fantassins ennemis (voir l’utilisation de ces armes contre les envahisseurs nazis), cette application "militaire" des roquettes implique impérativement pour l’utilisateur de posséder un large contrôle du territoire depuis lequel il entend agir. Lors, dans le cas d’une organisation terroriste de quelques centaines d’éléments comme le Hezbollah, cette condition n’est certes pas réunie : la logistique nécessaire à la pose de centaines de lanceurs mobiles de ces Katiouchas n’a aucune chance de passer inaperçue aux yeux des nombreux agents travaillant pour l’Etat hébreu au Liban, pas plus qu’aux yeux électroniques des avions sans pilotes et des avions espions survolant quotidiennement l’ensemble du pays aux cèdres.
Nous avons envisagé ici les avantages relatifs de l’usage de ces missiles rustiques – démunis de système de guidage - confiés aux fanatiques islamistes par deux dictatures musulmanes. Il est alors sage de parler brièvement des inconvénients que pourrait représenter pour ces régimes le tir d’un projectile du Hezbollah sur Tel Aviv. De rappeler que dans son organisation, l’armée israélienne n’est conçue, quant à elle, QUE pour infliger à l’ennemi des préjudices stratégiques, donc des dégâts propres à affaiblir son potentiel défensif. Pour ce faire l’état major hébreu dispose, en plus d’une suprématie aérienne régionale indiscutable, d’une panoplie d’armes intelligentes allant des obus d’artillerie de 1'000 kilogrammes chacun, pouvant être tirés jusqu’à 40 kilomètres avec une précision d’impact de l’ordre de 10 mètres, aux missiles continentaux et intercontinentaux emmenant des ogives de plusieurs quintaux et les livrant sur un objectif avec une précision encore plus pointue.
Tout bien considéré, relativisé et intégré, il apparaît que l’emploi de leur arsenal par les supplétifs syriens du Hezbollah est largement plus dangereux pour la dictature des al-Assad que pour le promeneur de Tel Aviv. Il existe toutefois une fenêtre, pas très large, d’utilisation terroriste (uniquement contre des civils, sans prétentions stratégiques) de cette camelote désuète. Les Syriens peuvent au moins s’imaginer, que des tirs épars des Katiouchas de faible portée (c’est pour cela qu’elles sont le plus nombreuses dans leur arsenal), lors d’incidents frontaliers localisés, n’entraîneraient pas de conflit généralisé. Ils ont probablement raison, dans une certaine mesure et sous le risque de pertes de contrôle – chute d’une roquette sur une école, une station service, une manifestation sportive - qui pourrait obliger le gouvernement israélien à l’escalade - potentiellement fatales à leur dictature. L’emploi "artisanal" de ces armes, à raison de quelques salves tirées à la sauvette, a fait par le passé certains dégâts dans les villes frontalières du nord d’Israël, ils ont coûté la vie à un petit nombre de civils et ils ont perturbé le cours normal de la vie dans ces cités. Cela reste la "meilleure" application réalisée par les fous d’Allah de cette technologie russe datant d’avant la seconde guerre mondiale : Un trépied de 40 kilos, posé dans un vallon difficilement repérable par les guetteurs israéliens, un système de retardement de la mise à feu et les serveurs qui prennent leurs jambes à leur cou avant le décollage de leur "missile" pour un voyage sans retour d’une dizaine de kilomètres. Plus l’usage des Katiouchas fait par le Hezbollah s’éloigne de ce cas de figure et plus le risque pris par les lanceurs et par leurs commanditaires augmente de façon exponentielle. Les engins de longue portée sont plus grands, plus lourds, plus facilement repérables. Leur stockage, de même que leur transport sous le regard des drones juifs est très téméraire ; quant à imaginer des tirs multiples et simultanés des gros calibres, ça n’est plus de la témérité, c’est carrément une tentative de suicide.
Les Irano-syriens, conscients que le rendement des 14'000 roquettes qu’ils ont mis dans les mains de Hassan Nasrallah ne servent pas à grand-chose, se sont mis en tête de les doter d’ogives chimiques, c’est également ce que le général Aharon Zeevi a annoncé au conseil des ministres. Au-delà des problèmes techniques complexes qui hypothèquent ce projet et qui ont trait à l’adaptation d’un medium de la guerre de destruction massive sur un véhicule vétuste n’ayant pas été conçu pour cet usage ; au-delà des problèmes logistiques de conception, de fabrication, de conditionnement, de transport, de remplissage, de stockage et de destruction des armes chimiques, nullement maîtrisés par la technologie syrienne, Damas est en train, par ces tentatives, d’ouvrir son flan à une menace terrible pour son avenir. En effet, si al-Assad se met en tête d’introduire la guerre non conventionnelle contre Israël sur la base de ces mulets technologiques, il exposera sa population aux armes de destruction massive du XXIIème siècle, en possession de ses ennemis. En cas d’une agression non conventionnelle en provenance du nord-est, il prendrait aux Israéliens moins de cinq minutes afin de rayer Damas de la carte et une petite demi-heure pour anéantir toutes les grandes villes de Syrie.
Voilà donc les jeux dangereux auxquels s’adonne l’oculiste myope du trans-Golan. Il "essaie de voir" s’il serait possible d’instrumenter les suprématistes allumés de l’islam triomphant en les dotant des moyens de donner la dernière secousse au cocotier. En plus des risques et des difficultés de toutes sortes, le temps pour la mise sur pieds de ce projet est compté : Dans pas très longtemps du tout, les premières batteries du système de bouclier à laser Nautilus [voir mon étude] et [seconde partie] seront déployées en Galilée. C’en sera fait alors de la petite fenêtre d’utilisation des Katiouchas à des fins terroristes qui reste à Assad, tout autant que de ses rêves d’Armageddon. C’est déjà le cas pour les Scudds qu’avait commencé à amasser son despote de père ; ceux-ci ne peuvent théoriquement plus atteindre Israël grâce au système de radar "Pin vert" et au missile anti-missiles balistiques "Flèche" (Khetz) entièrement opérationnel.
Reste qu’il est désagréable et dangereux de vivre à proximité immédiate de fanatiques hégémonistes et criminels disposant d’autant de matériaux explosifs. Cette constatation est issue d’un sentiment qui est, comme tous les sentiments, ignoré de l’analyse stratégique, tout comme le sont les blessés et les morts des "péripéties collatérales". Le monde s’est habitué à l’idée que le Liban occupé pouvait sous-louer la région sud de son territoire à une organisation que le monde identifie comme terroriste et s’y décharger sur le Hezbollah de ses prérogatives sécuritaires. En termes de relations internationales, c’est une impossibilité. A terme, c’est l’assurance d’une explosion. Où donc est passée la déclaration de de Villepin du 30 avril 2003 ? Très étrange déclaration, dont les termes, par la France, n’ont été dits qu’une seule fois et qui exigeait le déploiement "immédiat" de l’armée libanaise sur la frontière internationale ainsi que le départ tout aussi immédiat de l’occupant syrien du Liban, en conformité avec la résolution 520 du Conseil de sécurité de l’ONU (résolution avec effet contraignant). Etrange que la France n’ait énoncé qu’une seule fois, clairement mais du bout du bout des lèvres, les conditions qui assureraient le maintien de la non guerre dans cette région. Depuis, à ce qu’il semble, ce pays considère des priorité nettement plus importantes que la sauvegarde de la paix, puisque Jacques Chirac rencontre le premier ministre du Liban syrien presque chaque mois et que personne n’a jamais entendu parler, à l’issue de ces dizaines d’entretiens, des "exigences de de Villepin et de la France"…
Depuis la semaine dernière, il y a aussi que Nasrallah a déclaré publiquement que le Hezbollah était directement impliqué dans le terrorisme palestinien. Voilà qui a terriblement dérangé le tyran occuliste, qui essaie de prouver aux Américains que la Syrie n’héberge pas de terroristes sur les territoires qu’elle occupe mais pas du tout notre ami Franz, qui considérait que le Hezbollah était une composante importante de la vie politique et sociale au… Liban. En Abbracadabrantesquerie tout est donc possible, même faire de la politique avec des Katiouchas. 14'000 Katiouchas.
Par Email (Email) le lundi 26 juillet 2004 - 19h38: |
Objet: Vos souvenirs
http://www.harissa.com/D_Souvenirs/lafayetterc.htm
Bonjour,
ancien tunisois ( goy !! , oui, il y en avait !!! ), de parents eux mêmes tunisois, d'origine corse je me permets de vous écrire ces quelques mots.
J'ai bien sûr d'excellents souvenirs de Tunis où j'ai vécu 21 ans au total dont ma tendre enfance rue Francois Bourgade puis avenue de Lyon et enfin avenue de Paris face à la rue Guynemer !! Plusieurs années à Carnot ( comme copains: Marcel sacuto, Bernard Abitbol, Bernard Bokobsa, Eric Nataf, Bernard Uzan, Zizou Bitan, les frères Wintrebert, Sauvagnargues et tant d'autres ....)
J'ai reconnu sur votre photo, Haggiag qui a été ensuite à Carnot, dans ma classe, Alain Taîeb ( aujourd'hui expert comptable avec P. Bellaîche et P. Osay ) ainsi qu'Adrien Chemla que je croisais à l'Orientale où il s'entrainait avec Bossard et Acrish sous les conseils de ce brave Antoine Olivieri . Vous parlez d'un certain Coeroli, pouvez vous m'en dire plus.
Sa famille est de la même région que la mienne en Corse et je connais d'autres Coeroli.
Avec tous mes remerciements anticipés.
Un ancien goy tune ex de Carnot ( et un an et demi de Carthage !!! )
Bernard COTI
Par Soleil (Soleil) le lundi 26 juillet 2004 - 18h45: |
Chains of Freedom or Chains of Slavery
by David Wilder
The Jewish Community of Hebron
July 26, 2004
Yesterday witnessed two key happenings, both
centered around Gush Katif, but whose significances
far supercede one land area in Israel.
The first of these events stretched out over 90
kilometers, that’s some 56 miles, from Gush Katif in
Gaza to the old city of Jerusalem, to the Wall, the Kotel.
Somewhere between 150 to 200,000 people joined
hands at seven o’clock in the evening, singing Israel’s
national anthem, Hatikva, ‘The Hope’.
This huge human chain, possibly the longest of its kind
in the world, represented a number of things.
First of all, the fact that so many men, women and
children stopped what they were doing, and traveled to
different places, (almost 1,000 buses participated in this
event), standing on the sides of road for over two hours,
from before five in the afternoon until seven at night, is
an amazing feat, in and of itself. Anybody ever trying to
organize a mass rally, attempting to bring tens of
thousands of people together in one place, at one time,
knows how difficult it is to achieve such an occurrence.
But to manage hundreds of thousands people,
stretched out over almost a hundred kilometers, that
has never ever before been done in Israel. I’m not sure
it was ever done, anywhere in the world. There has to
be tremendous motivation, both on the side of the
organizers and on the side of the participants, to
succeed in such a huge venture. And yesterday,
succeed it did.
Waving Israeli flags, singing songs about Eretz Yisrael,
waving at the helicopters filming from overhead, this
human chain signified the single greatest protest to
Ariel Sharon’s plans to uproot some 7,500 people from
their homes in Gush Katif and abandon that land to
Israel’s bloodthirsty archenemy, whose stated goal is
not to be the recipient of Gush Katif, rather it is to be the
beneficiary of the other side of the procession, Temple
Mount, the Western Wall, the most sacred site in the
world. I have no doubt that these two hundred thousand
people represented well over a million, if not more,
Israelis, and multitudes around the world who cringe at
the thought of acquiescing to terrorist killers, whose
plans include declaration of a palestinian state
encompassing the entire State of Israel. How can Am
Yisrael, the people of Israel, cut itself off from its G-d-
given land, expel its own citizens, and relinquish Eretz
Israel to terrorist murderers?
These masses, by their very presence on the roads
from Gush Katif to Jerusalem, without threats, without
violence, without blood-curling chants, voiced their
undivided opposition to the Chamberlanization of
Israel, trying to appease an enemy whose appetite will
never be satisfied until it has consumed everything,
lock, stock and barrel.
Yet this colossal human chain was more than a mere
demonstration. It represented the unity of Eretz Yisrael,
and the importance of all parts of the land, be it small
towns in Gush Katif, or the city of Jerusalem itself. It
embodied the belief that all of the Land of Israel, from
Metulla in the north to Eilat in the south, Hebron, Beit El,
Kfar Darom, Netzarim, Morag – it is all one. Just as a
human being cannot amputate a foot without affecting
his arms, so too, we cannot chop off Gush Katif from our
collective body without influencing the rest of the land,
the rest of the country.
It was more than symbolic that this gigantic show of
unity occurred only two days before the ninth of Av,
Tisha b’Av, the day marking the destruction of the first
and second Temples, the latter some 1,983 years ago.
These days, more than anything else in our history,
represent the very opposite of Jewish unity, and also
are a remembrance of the first rejection of Eretz Yisrael,
so many thousands of years ago, following the
redemption from Egypt. At that time, Moses’ spies
returned from viewing the land, wailed, claiming that
Eretz Yisrael is a land of giants, a land which devours
its inhabitants. They convinced almost all the people,
who ripped their clothing and too, wept into the night. It
was then, the first time Am Yisrael rejected its land, that
G-d decreed that that day, later to be known as Tisha
b’Av, would be a day of weeping and wailing
throughout the generations.
How can it be that today, having returned to our land, to
Eretz Yisrael, we too can still weep and wail at our
presence in the land, rejecting the heavenly gift,
granted us for eternity by the L-rd?
Yesterday’s chain was a repetition of the words of
Joshua and Kalev, who repudiated the evil slander of
the other ten spies and exalted, ‘it is a wonderful land, a
very very good land, which of course we can conquer.’
That was one very significant event which occurred
yesterday.
But as I opened, there was something else that
happened, late yesterday afternoon. At the peak of the
‘chain celebration’ Arab terrorists shot missiles into
Gush Katif. One of them landed and exploded near
children playing at the Neve Dekalim community
center. Six children were injured, including a ten year
old who was seriously wounded.
For reasons beyond my comprehension, Ariel Sharon
still does not understand that Israel is at war. The war
for independence did not end in 1949. We are still
fighting for our existence. Our enemy desires our total
destruction, our entire expulsion from our land. So
many miracles occur daily in Gush Katif – only days
ago an Arab-shot missile burrowed into a bedroom
where a mother and her three children were sleeping.
Only a Divine miracle prevented a huge tragedy. And
so it is, virtually every day. Yesterday, a 10 year old little
boy wasn’t so lucky. He will carry the scars of another
Arab attempt at murder for the rest of his life.
Israel has to make a fateful choice. We have two
alternatives: We can declare our love for our land, for
all our land, and united, stand up to all those who want
to destroy us and take our land from us. Or, G-d forbid,
we can become servants to those very enemies,
kowtowing to their every demand, living according to
their threats and blackmail, - ‘do this, give us that – OR
ELSE!’
We can bond together in a chain of freedom, or we can
be bound by a chain of slavery. It is our choice and our
choice alone. In my mind, the answer is clear.
With blessings from Hebron.
The Jewish Community of Hebron
POB 105 , Kiryat Arba-Hebron 90100
hebron@hebron.org.il
Tour Hebron: Tel 972-64-371257 or
write: \
mail{simcha@hebron.org.il,simcha@hebron.org.il}
The Hebron Fund
1760 Ocean Ave., Brooklyn, NY 11230
hebronfund@aol.com
718-677-6886
Web: www.hebron.org.il Ma'arat HaMachpela:
www.machpela.com
Par Meyer (Meyer) le lundi 26 juillet 2004 - 14h35: |
L'étoile Minkar ou Menkar a pour nom Epsilon Corvus ou Nostril Corvus (narine du corbeau).
On trouve la dénomination Alpha-Ceti dans Star Trek.
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 26 juillet 2004 - 11h39: |
En reponse a Willibrord Oomen (post d'hier 19h29)
1)
Date de la destruction du Temple (Beit Ha'Mikdash):
Tisha B'Av (9 du mois de Av), le jeune tombe cette annee le 26/07 au couche du soleil (ce soir) jusqu'a demain soir 27/07 au couche du soleil. Les personnes tres observantes se garderont de manger de la viande jusqu'au 27/07 en debut d'apres-midi.
Bien que cette date commemore essentiellement la destruction du 1er et du 2eme Temple tous deux detruits le 9 Av (le premier par les Babyloniens en 586 av. J.C., et le second (par les Romains en 70 ap. J.C.), il convient de considerer aussi ce jour les nombreuses autres tragedies subies par le peuple juif, dont beaucoup ont eu lieu le 9 Av, particulierement l'expulsion des Juifs d'Espagne en 1492.
Une page tres interessante de liens sur Tisha Be'Av (en Anglais):
http://www.jr.co.il/hotsites/j-hdayav.htm
2)
Traduction de Tabernacle en Hebreu :
Mishkan ou Ohel Moed
3)
Pas trouve de traduction pour l'etoile Minkar ou Alpha-Ceti.
La plupart des etoiles ont le meme nom en Hebreu et en langues latines, mis a part les planetes* du systeme solaire qui ont leur nom propre en Hebreu.
* le mot pour planete et etoile est le meme en Hebreu (kochav).
"Tsom kal" a tous/toutes.
Par Claudia (Claudia) le lundi 26 juillet 2004 - 07h28: |
Alain Finkielkraut : «Être juif aujourd'hui c'est être soupçonné»
Les déclarations outrancières d'Ariel Sharon et la fausse agression du RER D sont les conséquences folles d'un antisémitisme, bien réel, qui sévit dans une fraction minoritaire des Français issus de l'immigration.
Propos recueillis par Elisabeth Lévy
[24 juillet 2004]
La multiplication des violences antijuives - de la profanation des cimetières à l'agression physique - donne la nausée. Si la France n'est pas antisémite, les Juifs ont, selon le philosophe Alain Finkielkraut, auteur de Au nom de l'Autre, réflexions sur l'antisémitisme qui vient (Gallimard), quelques bonnes raisons de s'inquiéter.
Le Figaro Magazine - L'appel d'Ariel Sharon à l'émigration massive des Juifs de France a suscité une indignation considérable, y compris au sein des institutions communautaires. Partagez-vous cette indignation ?
Alain Finkielkraut - Même si, on l'oublie trop souvent, le sionisme repose sur l'idée qu'il n'y a pas d'avenir pour les Juifs hors de l'Etat juif, Sharon a eu tort de parler comme il l'a fait. Cette diatribe d'Israélien moyen n'est pas digne d'un homme d'Etat. Il reste que l'opinion française qui s'indigne de ses propos s'attache par ailleurs à lui donner raison.
Mais comment une agression antisémite qui n'a pas eu lieu - l'affaire du RER D - peut-elle vous mener à cette conclusion ?
L'agression du RER D était, en effet, imaginaire. Mais ce qui ne relève pas de l'affabulation, c'est la fureur antijuive que ce non-événement a déclenchée. Les langues se sont déliées, les gens se sont lâchés, on a parlé de «Saint-Barthélémy philosémite», on a dit que les Juifs, ces pistonnés, ces éternels privilégiés, font pleurer la société sur leurs malheurs fictifs en attisant de surcroît le racisme antimusulman. A cette malveillance déchaînée, un journal de référence a apporté sa caution officielle et compassionnelle en écrivant qu'aujourd'hui, pour obtenir une notoriété immédiate, il suffit de dire qu'on est victime d'une agression antisémite commise par des Arabes et des Noirs. Au terme d'une semaine folle où les Juifs n'ont rien fait, les voici accusés par les plus excités d'inventer l'antisémitisme de toutes pièces, et par les plus modérés d'exagérer sciemment la dimension du phénomène. Rancoeur sociale des uns «ils ont tout et nous n'avons rien», coeur sur la main des autres «ils posent à la victime pour qu'on ne se soucie pas des vraies victimes : les Palestiniens» : contre cette alliance implacable du sentiment et du ressentiment, il n'y a rien à faire. La bataille est perdue.
Mais pourquoi les Juifs seraient-ils épargnés par la maladie contemporaine de la victimisation ? Ne seraient-ils pas en partie des «Juifs imaginaires» ?
Je ne crois pas. C'est au moment de la profanation du cimetière de Carpentras que les Juifs se sont, si l'on peut dire, «raconté des histoires». Ils étaient prêts à en découdre avec l'hydre antisémite. Prêts, et même, impatients. Surtout ceux qui, nés après la guerre, avaient en tête les images de l'horreur alors même qu'ils menaient une vie confortable. Mais aujourd'hui, les Juifs sont pris au dépourvu. La haine qu'ils subissent déjoue complètement leurs fantasmes. Elle ne vient pas de cette extrême droite avec laquelle ils espéraient rompre des lances. Elle est islamo-progressiste et parle la langue de l'antiracisme.
Pour autant, ne risque-t-on pas de finir par voir en chaque Maghrébin un antisémite ?
Ce serait non seulement dangereux, mais indigne. On ne peut pas, on ne doit pas réagir à l'inculpation collective par des jugements eux-mêmes définitifs et globaux. La droiture exemplaire de Fadela Amara (Ni putes ni soumises) et de Malek Boutih nous l'interdisent formellement.
Vous voyez bien : on se voile un peu moins la face aujourd'hui qu'hier. Au sein des Français issus de l'immigration, des voix dénoncent un antisémitisme essentiellement musulman même s'il ne concerne qu'une minorité. N'est-ce pas encourageant ?
Malheureusement, on commençait de sortir de la dénégation et voici qu'on y retourne tête baissée. Nous sommes à nouveau plongés dans cet univers irréel où l'insécurité relève du fantasme et où les jeunes issus de l'immigration africaine ou maghrébine sont ignoblement accusés d'antisémitisme.
La prise de conscience s'est faite et pas seulement au plus haut niveau de l'Etat. Cependant, plus personne ne sait comment enrayer l'engrenage infernal.
Comment, en effet, contrer la propagande qui se déverse à flots continus par les antennes paraboliques ? La France n'a plus de frontières. Elle a longtemps cru que c'était un progrès. C'est peut-être une épouvantable régression.
Les Juifs de France n'auraient-ils pas tort de rejeter la France, de la désigner comme un pays antisémite ?
Il y a en effet un risque de rupture entre les Juifs et la France, parce que les Juifs, dans leur majorité, sont ulcérés par le lien qui se tisse entre la racaille pogromiste et l'élite progressiste. Qu'il y ait des intellectuels pour faire conspuer le nom d'un certain nombre de personnalités juives lors des meetings d'Euro-Palestine est accablant. Qu'il y en ait d'autres pour réduire le phénomène actuel à des «tensions intercommunautaires» ou pour en faire une retombée du conflit israélo-palestinien est insupportable. Les Juifs ont de plus en plus le sentiment qu'on leur demande de lâcher Israël s'ils veulent être défendus. Il faut refuser ce chantage. Ce n'est pas le conflit israélo-palestinien qui nourrit l'antisémitisme, c'est l'obsessionnelle traduction de ce conflit dans la langue de l'antiracisme. Si les sionistes sont les ennemis du genre humain, alors ils ne peuvent pas s'étonner de la vengeance des peuples. Je dirais, en paraphrasant Yitzhak Rabin, qu'il faut lutter pour des négociations et un compromis territorial entre Israéliens et Palestiniens comme s'il n'y avait pas d'antisémitisme et combattre l'antisémitisme sans se laisser intimider par la situation au Moyen-Orient.
Il n'empêche, les déclarations de Sharon ne font que jeter un peu plus d'huile sur le feu.
Bien que profondément attaché à Israël, je me suis toujours senti chez moi en France. En ce sens, je ne suis pas sioniste. Mais ce n'est pas Sharon qui jette de l'huile sur le feu de l'antisémitisme, ce sont tous ceux qui l'excusent ou le minimisent en traitant les Juifs de menteurs et de complices d'un Etat criminel. Etre juif aujourd'hui, c'est être soupçonné. L'écart se creuse entre le pays que j'ai aimé et celui que j'habite. Je comprends donc que certains aient envie de changer d'air.
Par Francois (Francois) le dimanche 25 juillet 2004 - 22h11: |
Le Raïs aboie, la caravanne passe
Après avoir monté en épingle l'appel d'Ariel Sharon pour semer encore plus de haine entre la France et Israël, le leader pas spirituel du Chirakistan, le Raïs anti-israélien Chirak a fait envoyer un message au Président Katsav pour lui dire qu'il considérait la crise comme terminée.
Ariel Sharon, visiblement impressionné par les menaces de la Grande Puissance France, a pris en considération ces propos du Raïs et a fait répondre que:
"Il y a de l'antisémitisme en France, et en dépit des mesures sérieures prises par le gouvernement français, il [Arik Sharon] urge les juifs de France d'immigrer en Israël - de la même façon qu'il urge les juifs du reste du monde d'immigrer en Israël".
La diplomatie et les médias gallo-arabes n'ont pas jugé bon de répercuter cette réponse, on se demande bien pourquoi.
Source: http://www.haaretzdaily.com/hasen/pages/ShArt.jhtml?itemNo=455419&contrassID=1&subContrassID=1&sbSubContrassID=0&listSrc=Y
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 25 juillet 2004 - 21h37: |
Tabernacle = Mishcan Hakodesh ou Ohel a Kodesh qui dans le temps ou les enfants d'Israel etait dans le desert ils avaient cree une tente pour abriter l'arche de l'alliance et les tables en pierre sur lesquelles etaient inscrit le decalogue (les Dix commandements)
Nous fetons tous les ans la fete des tabernacles pour nous rappeler de ces temps du desert
Quand le temple de Jerusalem etait construit a son tour il abritait l'arche de l'alliance et les tables en pierre sur lesquelles etait inscrit le decalogue (les Dix commandements)
Par Soleil (Soleil) le dimanche 25 juillet 2004 - 20h11: |
Disavow yourself of the notion that this is a reliable
news account. Aside from not being written like a news
piece (there is no context, no idea of when Spielberg
offered these comments, etc.), the facts just don't bear it
out. The source of it remains unknown, but we can only
assume it was intended as satire.
At the time this missive began hitting our inboxes
(March, 2004), Spielberg, honored for his Holocaust-
era masterpiece, "Schindler's List," hadn't even seen
Gibson's film. Spielberg was quoted by the Hollywood
Reporter as saying that he would only comment on it to
the film's director. A spokesman for Spielberg calls this
a "totally fabricated story" and adds that "Anyone who
knows him would know that he is dedicated to doing
what he can to rid the world of hatred and intolerance
wherever it exists."
This isn't the first time Spielberg has been accused of
using his power as an a-list director to "get revenge"
with the religious right. A 2001 chain letter falsely
accused him of planning a movie that would portray
Abraham Lincoln "as a racist manic-depressive whose
arrogance almost lost the American Civil War," in
response to the Republicans' treatment of former
President Bill Clinton. Like this one, that one didn't
stand up to scrutiny either. Break this chain.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 25 juillet 2004 - 21h21: |
Beber comprends-moi bien,plusieurs se plaignent de Douda, moi compris, mais j'aime bien de temps en temps le taquiner, quand il me monte sur les....mais j'aime aussi rigoler avec lui conaissant son caractere et ses opinions. En general il est comme toi et moi sauf vous deux vos mamans sont avec vous et que Dieu les garde sur terre Ad mea veesrim,la mienne elle n'est pas loin du Bon Dieu et elle me donne de temps en temps des messages. Heureusement avant qu'elle ne parte on avait fixe un code pour dechiffrer les messages. Rabbi Ikhalik
Par Albert (Albert) le dimanche 25 juillet 2004 - 19h33: |
Tabernacle = BEIT AMIKDACH...Je pense...
Par A_Soued (A_Soued) le dimanche 25 juillet 2004 - 19h32: |
Le billet politique de Yovel Hamedina de Tel Aviv
La France et l'isolement d'Arafat par le Frère Armand Amselem - Tel-Aviv, le 14 juillet 2004
Alors que Yasser Arafat, l'un des despotes les plus riches du monde qui a pillé et détourné plusieurs centaines de millions de $ de l'aide reçue par l'Autorité palestinienne (AP) de la communauté internationale et, en particulier, de l'Union européenne (UE), laisse son peuple vivre dans la misère et le chômage, le monde diplomatique israélien a été mis en émoi par la visite, à Ramallah, le 29 juin dernier, de Michel Barnier, ministre français des Affaires Étrangères. Porteur d'un message de Jacques Chirac, le ministre a rencontré Arafat et signé différents contrats de coopération avec l'AP. Il a considéré que la réclusion du leader palestinien à la Mukata "ne doit pas durer car il s'agit d'une situation qui n'est digne ni pour lui-même, ni pour les palestiniens qu'il représente". Une déclaration qui fait suite à celle de J. Chirac, au sommet de l'OTAN à Istanbul, affirmant qu'il n'était "ni prudent, ni conforme à une stratégie de retour à la paix d'isoler le chef de l'AP".
Irrité par le comportement inamical de la France, le gouvernement israélien a réagi avec colère à cette visite, comme en atteste la réaction d'Ariel Sharon devant une importante délégation de maires de villes françaises jumelées avec des villes israéliennes. Il s'est déclaré "très déçu par la visite ainsi que par les paroles du ministre et de J. Chirac sur le statut de Y. Arafat".
Faut-il, à ce propos, rappeler que le secrétaire d'Etat américain, les chefs de la diplomatie allemande et italienne, des gouvernements arabes, refusent de se rendre à la Mukata, car Arafat est complètement discrédité ? Tout récemment, des dirigeants des brigades Al Aqsa l'ont accusé d'extorsion de fonds systématique, de corruption et de népotisme. Que recherche la France ?
· insuffler de l'oxygène politique à Arafat, alors que le but de son isolement est de permettre l'émergence de nouveaux dirigeants palestiniens qui voudront négocier, sérieusement, avec Israël,
· se servir d'une tribune hautement médiatisée pour, une nouvelle fois, réclamer des israéliens de lever le bouclage, de cesser la construction de la barrière de sécurité, de mettre fin "à la répression, aux dépossessions et aux destructions",
· s'opposer aux USA et à Israël qui estiment que le chef de l'AP est un obstacle à l'avancée des pourparlers alors que J. Chirac le considère comme un interlocuteur normal ,
· se contenter d'exhorter l'AP à la poursuite des réformes, oubliant allégrement le terrorisme aveugle qui s'attaque à des civils à l'intérieur d'Israël, comme par exemple, l'attentat meurtrier du 11 juillet à Tel-Aviv,
· essayer, par ce biais, de retrouver un rôle actif dans le conflit israélo-palestinien alors que Jérusalem a refusé, début juillet, de recevoir le Quartette, estimant que seuls les USA pouvaient utilement participer au plan de désengagement de la bande de Gaza.
La visite de M. Barnier a été considérée, à juste titre, comme "une erreur sérieuse et regrettable". Comment, en effet, accepter de négocier avec un dictateur plus que corrompu, qui n'a jamais respecté ses engagements - comme par exemple la dizaine de cessez-le feu signés avec Israël - et qui laisse son peuple mourir de faim, dans des conditions d'hygiène exécrables, face à la faillite de l'ensemble des services publics palestiniens ? Et cela, malgré la manne des octroyée par de nombreux pays et, tout particulièrement, par l'UE, et souvent utilisée pour financer des organisations terroristes ! Malgré une fortune personnelle évaluée à 1,3 milliards $. "Il ne sert à rien de se prosterner devant un tel totem", devait déclarer un officiel israélien, "car nous en avons assez de ses vaines déclarations".
Une visite et des proclamations qui témoignent, pour le moins, d'un contexte partisan. Ce ne seront ni l'embardée pro-Arafat de J. Chirac, ni la rencontre de Ramallah qui permettront à Paris de jouer un rôle actif dans l'application du plan Sharon ou dans le processus de paix.