Par Lalla (Lalla) le mardi 27 juillet 2004 - 17h41:

a Shira
Shove it c'est : pousse toi de la!

Par Douda (Douda) le mardi 27 juillet 2004 - 17h17:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Revue de presse BouleItik HebdRomadaire.

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 27 juillet 2004 - 17h42:

Voici la suite de l'editorial sur madame Heiz Kerry, je laisse le choix a ceux qui savent l'anglais de comprendre les dessous des choses.

http://www.mcall.com/news/local/all-a1_5heinzjul27%2C0%2C4699304%2Cprint.story?coll=all-news-

Un fait est clair elle etait contre le Apartheid, elle est nee au Mozambique de parents portugais et de religion catholique

La personne qui etait responsable de mes relations publiques me disait l'autre jour: Elle est une femme dure et pas agreable a travailler avec. Le reste je le laisse a la presse de bien la decrire.

Par Djlachem (Djlachem) le mardi 27 juillet 2004 - 11h44:

Primo-Europe. Un appel, un espoir...

Quinze jours

Quinze jours : c'est le délai demandé par Arafat pour se livrer à ses manoeuvres dilatoires et tenter de retomber sur ses pieds. Les espoirs du peuple palestinien, qui souffre sous sa tyrannie, s'éloignent une fois de plus.

Comme à Beyrouth en 1982, d'où Arafat fut évacué vers Tunis sous la protection des soldats français, c'est encore l'Union Européenne, France en tête, qui insuffle l'oxygène nécessaire à la survie politique du dictateur mégalomane, en lui apportant son soutien.

Quinze jours qui vont peser lourd sur l'avenir des Gazaouïs, dont l'UE contribue à pomper le sang au sens propre du terme comme au figuré, pour le transfuser à cet individu monstrueux, qui exerce une fascination morbide sur nos politiciens.

Le Néron de la Muqata'a a commencé à fêter ce répit en envoyant ses sbires mitrailler un de ses opposants notoires, Nabil Amr, à la manière des Brigades Rouges, afin de décourager les bonnes volontés qui voudraient se mettre en travers de sa route.

L'UE persiste dans ses erreurs historiques dont elle a le secret. Centre-Afrique, Rwanda, Bosnie, Kosovo : des centaines de milliers de morts. Les criminels courent encore et d'autres s'en inspirent, comme au Darfour où les " pressions " de l'UE donnent peu de résultats.

Laisser se perpétrer des massacres, prôner la non-ingérence là où elle s'avère pourtant vitale, ne pas soutenir les décisions courageuses et les peuples qui luttent contre leurs tyrans, l'UE a résolument tout faux. Que ce soit par conviction, comme certains de ses représentants français, par intérêt ou par faiblesse pour d'autres.

Nous nous sentons aujourd'hui plus proches de certains Palestiniens, que de ceux, parmi nos compatriotes, qui concourent à les écraser en donnant des gages au Chef de leur Autorité.

Bien qu'universelle, la souffrance ne fait vraisemblablement pas partie des considérations dont on traite à l'ENA, à l'Elysée, ou sous les lambris du Quai d'Orsay.

Cette France-là ne nous représente pas. C'est la même qui vote à l'ONU pour le démantèlement de la clôture de protection contre les attentats suicide, tout en soutenant Arafat.

C'est ce genre d'attitude qui dresse les communautés les unes contre les autres et nous sommes de plus en plus nombreux, en France et en Europe, de toutes tendances, de toutes confessions et de toutes couleurs, à en avoir conscience.

Nous rejetons les discours indigestes, les décisions scélérates, les actes indignes et la politique calamiteuse dont l'UE - et la France en particulier - se sont fait les champions.

Nous avons diffusé un appel en ce sens: http://www.primo-europe.org/docs.php?numdoc=Do-612988061 auquel nous invitons à répondre tous ceux qui sont soucieux de l'avenir de la démocratie, ici comme ailleurs.

Nous ne nous reconnaissons pas dans une certaine France qui n'a décidément pas réglé ses comptes avec le colonialisme et qui perpétue ses pratiques par Arafat interposé.

En s'entêtant à lui apporter leur soutien, les tenants de cette politique appliquent des méthodes hybrides, relevant tantôt de la colonisation, tantôt de la solidarité des " progressistes " totalitaires, et font un pont d'or à ceux qui, à l'extérieur comme dans nos frontières, utilisent leur perversité pour ronger les piliers de nos valeurs. Ce faisant, ils arment le bras de la tyrannie et rendent la démocratie impuissante.

Et c'est aux yeux d'un monde apathique, sous la loupe déformante des médias, que se déroule cette forfaiture, dont nous ne doutons pas qu'elle produise de nombreux émules.

"Sans la force, la Justice est impuissante, mais sans la Justice, la force devient tyrannie"

Nous formulons le voeu, que le peuple palestinien sache trouver la force - envers et contre tous les "amis qui lui veulent du bien" - d'utiliser ces quinze jours pour faire triompher la Justice face à la tyrannie, la clairvoyance contre l'hypocrisie et réussisse à mettre en place un gouvernement démocratique.

Pour y parvenir, il lui faudra la capacité et le courage de reléguer définitivement les chimères du passé dans l'oubli, avec ceux qui ont délibérément entretenu son malheur, et ouvrir de véritables négociations avec ses voisins pour aboutir à une paix, condition indispensable à un essor tourné vers l'avenir.

© PRIMO-EUROPE

Par Albert (Albert) le mardi 27 juillet 2004 - 13h12:

LE BILLET DE L’AGENCE SHARON/BREITOUNA…..TRIC TRAC…

Passe le 27 à 12h15.

Hammamet le 20/07/2004.

Retour de vacances bronzé et fi fourma. ( en forme)

UN TUNE CELEBRE PARMI VOUS. ( revenu)……. TAÏE……


Voilà comme le disent bien souvent nos sages, rien ne dure et il n’y a que D ieu qui soit éternel.
Excusez moi de vous avoir délaissé et d’avoir filé à l’anglaise, sans vous prévenir. Je n’en ai pas dormi et mes nuits furent sans lune, mes jours furent sans soleil. Bref, je ne vais pas vous apitoyer sur le sort de ma conscience.

Mon absence a du marquer certains esprits trop contents de s’être débarrassé d’un emmerdeur qui n’ouvre sa plume que pour dire des conneries mais reconnaissez au moins que je suis aussi sympathique que vous l’êtes. Reste à le prouver.

Durant mon escapade, et alors que je soudoyais quelques garçons de piscine pour me réserver les meilleurs places sur TRANSLATANTIQUE au bord de la piscine, j’ai fais une rétrospective sérieuse et approfondie de tous mes amis et ennemis. J’en ai déduis après examen, toujours approfondi, que la bande de KARAKOUZE, habillée en saltimbanque que vous êtes mis à part……..

- EMILE ‘ lei i nahi ‘,
-Henri lei yechwi avec son baroukh Achem,
-Nao avec son souhait de BON ANNIVERSAIRE qui nous tombe chaque année sur nos casaques, enseigne HARISSA à la même période , de sa tante PIA 97 ans,
-Tawfiq qui apparaît à la pleine lune quand il le veut bien,
-Les ‘ citronneries’ d’un nommé CITRON qui non sans mal arrive à déjouer les tentatives d’obstruction du modérateur qu’il a du soudoyer avec un petit litre de HLOU’ ( première pression de l’huile d’olive ),
-Notre chère -AMIE BAZOUKA rabi mââk amin,
-Les tribulations d’un train….NOMME HAJKLOUF qui rentre lui aussi selon les bons vouloirs du diable,
-D’une -DOUDA récalcitrante mais qui tire avec HONNEUR ET GRANDEUR son épingle du jeu pour piquer son agence BIDON, grâce à ses planchette ridicules sur ….
-BEBERT LE BABBOUS, et j’en passe sur ces délires de RONCHON,
-L’apparition de la MENA qui nous enchante par ses VERITES TOUTES CRUES,
Et CONTRE INFORMATION de l’agence CAPINO qui prend le relais quand la MENA se tait, pour augmenter la MAYONNAISE,
-Madame AXELLE qui j’espère va enfin mettre son pied dans le plat …. en TERRE SACREE, ( j’espère ne pas porter de dentier à ce moment là)
-Madame NONETTE qui, pleine d’amertume, et désertant ce champ de bataille, a mérité cette année riche en ANIMOSITE, l’oscar de la première revue BUFFY qui lui a été décerné à orteil levé par un triumvirat, trié et tiré sur des volets clos, composé par trois beaux membres du jury sélèctionnès dans la masse que vous êtes, et qui ont voté à deux contre un sa récompense,
-Notre ami RAPHO Z’AL (J’ignorais son décès) pour ses prestigieux croquis qui m’ont mit en relief, le BREITOU MTANA,
-De Monsieur MAURICE qui nous agrandit son écriture quand il oublie les MINUSCULES
-DE MONSIEUR PIMENT HARISSA ET CONSORT AVRAHAM qui nous a donné l’occasion de l’imiter mais avec de vrais piments rouges…La fuite de notre MAXITON au BB…, méritent ….rien du tout.

Pour les autres et ils sont nombreux, vous êtes encore à vos balbutiements, metèmè chey elli i sérèh el qalb ( il n’y rien qui égaye le cœur ) et quand je dis CHEYE( rien) cela veut dire DLAM ( obscurité) brabi kou’lou’li ( je vous en pris dites moi) comment cela se fait il que vous soyez tous devenus des politiciens de grande renommée, de très grandes célébrités des RABATS JOIE ….du BEJAOIE OIE…jusqu’au BREITOUNA BABBOUSS EL BLED GOULETTOIS que vous avez mis dans vos ragoûts et que vous goûtez, en léchant vos babines, selon vos désirs ; qent ââ’kel ( j’étais sage) avant de vous connaître ouel li’oum ( et aujourd’hui) ââ’ndi agence ( j’ai une agence) qui a du succès et dont personne n’en parle sauf moi. Depuis quand vous jonglez avec la politique que beaucoup d’entre vous, vont chercher dans les sites cachés à nos yeux, et que vous nous présentez comme des articles de presse élaborés avec votre bonne conscience ; rien que du photo/copié maquillé. OURASS EL MARABI …..MOURADI ( Mon hôtel)

Pas un de vous, ne s’exprime dans sa langue d’enfance à part moi, ech’bikom…. ?’ tah’chmou …. ? ( qu’avez vous….. ? vous avez honte….. ?) de parler comme autrefois parce que vous habitez HOLLYWOOD STREET….MTA EL SABOUN ( corde à linge) ou PARISSS… Des saucisses anglaises que vous nous enfilez salées, dont je ne comprend aucun traître mot. Je ne vous demande même pas la traduction vu ces longueurs sinon tout le site ne suffirait pas à tout contenir et mon PTB en souffrirait.. Je me contente de lire sans m’attarder sur ces jolies colliers MADE IN INGLISH.

En tout cas le seul endroit vivant où on parle la langue de nos pères, c’est encore le café des DATTES, et que celui qui veut comprendre les divers idiomes qui se disent là bas n’a qu’à pousser la porte et vous serez surpris du charabia qui y règne. On parle le SOUSSIEN, LE JERBIEN, LE GOULETOIS, LE SFAXIEN, LE TESTOURIEN, LE NABEULIEN , LE LIVOURNAIS et tout cela dans une ambiance sereine qui fait dire à certaines en privé ‘Qu’est ce qu’il a voulu dire JANO….. ?’. C’est pas un dictio- judèo arabe qu’il me faut mais en toute bonne conscience HUIT. A un tel point que je commence à douter de mon parle.

Mnih, à part ça, je voulais vous congratuler pour les honneurs que vous m’avez fait ici lors de ma sélection pour les TUNES CELEBRES. Votre enthousiasme si débordant à mon égard, et ma conscience (cette pute ) mise à l’épreuve, me force à vous offrir à chacun de vous un joli cadeau. Oui, n’en riez pas, ben cela ma coûté argent et effort. Il s’agit d’amphores de l’époque puniques dans lesquelles j’ai mis beaucoup de miel, ââ’ ssel en arabe, trop de miel même…..à ras le bord………. Mais ce que vous ne savez pas, c’est qu’en dessous…. Juste en dessous du miel j’ai mis…Ne mettez pas le doigt surtout …….Une tartine pas bien épaisse mais vraiment pas bien épaisse …juste un centimètre, un filet…..Un rayon de ………Comme ça chacun de vous y trouvera son compte bande d’ingrats…….De Karakouze à part, bien sur, ceux d’en haut , eux c’est une sarabande de singes qui s’ignorent…... Comme ceux la..



De la part du FEDLEG T.C 0010 ORIGINAL.

Par Emma (Emma) le mardi 27 juillet 2004 - 09h05:

Feux verts pour l'activisme antisémite en France

Jean-Pierre Bensimon pour le Collectif Paix et Vérité 25 juillet 2004

http://www.objectif-info.com/Antisem_france/feux_verts.htm

L’actualité a été dominée dans la dernière semaine par la tonitruante indignation du monde politique, des média français et de certains responsables des institutions juives, après la déclaration publique d’Ariel Sharon du 18 juillet, invitant les Juifs de France à regagner Israël « aussitôt que possible ». Sharon notait que « ces dernières années », en relation avec « la montée de la tension au Moyen Orient », nous avions vu à l’oeuvre « un antisémitisme sauvage ». En France, disait-il, environ « 10% de la population est musulmane … ce qui a pour conséquence une forme différente d’antisémitisme … fondé sur une propagande et des sentiments anti israéliens ». Il saluait ensuite le combat du gouvernement français contre ce phénomène (1)

Voila, étrangement, ce qui a provoqué une immense vague de colère, des titres furieux dans la presse (2), des déclarations outragées. Certains personnalités juives ont pris leur part dans ce concert avec une mention particulière pour Elisabeth Schemla, directrice d’un média estampillé en faveur d’Israël, qui n’hésitait pas à écrire « Et si Ariel Sharon se mêlait de ce qui le regarde ? … Ariel Sharon se montre indécent » (3)

Ce qui est étrange, dans ce tollé, c’est que l’analyse de Sharon a été largement étayée par les sources les plus officielles de l’Etat français et par les rédactions des médias les plus indignés. Jacques Chirac lui-même parlait à Chambon sur Lignon, le 8 juillet, « ... des actes de haine, odieux et méprisables, [qui] salissent notre pays », ce qui n’est pas mince. Et il précisait en premier que ces actes « frappent nos compatriotes juifs ». La commission Stasi ne révélait-elle pas, entre autres, dans son rapport (4) qu’il lui avait été déclaré, « sans que personne [parmi 200 élèves] ne le démente ... qu'aucun élève juif ne pourrait porter la kippa dans son lycée sous peine d'être immédiatement ‘’lynché’’ », que « face à ces violences, des élèves ont dû être « exfiltrés » des écoles publiques », que « des enseignants ont quitté l'enseignement public, en raison des difficultés auxqu! elles ils étaient confrontés du fait de leur patronyme. ». Les paroles de Sharon sur la « sauvagerie » de l’antisémitisme à l’œuvre en France ces dernières années, sont-elle, de ce point de vue, en décalage avec celles de Chirac, du rapport Stasi, ou des autorités officielles ? Visiblement non.

De même, il est étrange que l’on se soit farouchement offusqué de la mention des « 10% de musulmans ». Personne et certainement pas Sharon, n’a jamais dit que tous ces musulmans commettaient des actes antisémites. Il s’agit d’une infime minorité, qui cause de grands dommages à tous. Mais c’est dans cette population, traversée par des courants antisémites modernes extrêmement virulents que les agresseurs se recrutent. L’implication quasi exclusive de l’immigration arabo-musulmane dans le passage à l’acte est attestée partout, de même que le lien avec les évènements du Proche Orient. « Le Monde » en livre un raccourci saisissant par la parole de la jeune Sonia et celle de Rachid. Sonia : « Et puis, c'est les Arabes qui agressent les juifs. Moi, j'ai vu mes potes le faire. Dès qu'ils voient un juif, ils lui crachent dessus sans explication. Comme ça, soi-disant parce qu'ils nous ont fait du m! al il y a bien longtemps. ». Rachid : « On livre une guerre souterraine contre eux. T'as vu ce qu'ils font en Palestine. Personne ne bouge. Franchement, ils ont trop de chance ». (5)

La déclaration de Sharon n’avait donc rien de bien nouveau. Son invitation aux Juifs français de regagner Israël, « aussitôt que possible » (6) découle de son statut de responsable israélien. L’Etat sioniste, dont la France a voté la création à l’ONU en 1947, et dont elle proclame officiellement désirer la pérennité, est dans son principe un Etat où tous les Juifs du monde peuvent trouver un refuge quand ils sont exposés au danger de l’antisémitisme. L’offre de Sharon était banale, au principe même de l’Etat d’Israël.

Nous laisserons de côté, sans autre commentaire, la piètre docilité de ces quelques notables juifs qui ont choisi d’hurler avec les loups, et parfois plus fort.

*****

Mais une interrogation s’impose. Pourquoi cette attitude des autorités françaises, ce déchaînement injurieux contre le premier responsable de l’Etat juif, cet outrage, ce piétinement de tous les usages diplomatiques ? La France a demandé des « explications » et, à défaut, elle aurait déclaré toute visite du premier israélien « non désirable ». Commandement démenti un peu plus tard, après qu’un pilonnage médiatique visiblement orchestré ait martelé le message humiliant dans toutes les chaumières. On a employé les termes les plus blessants à l’endroit de Sharon, alors que celui-ci, loin de mettre en cause la personne de Chirac, avait salué l’action du gouvernement français.

Il faut élucider ce paradoxe : comment, prétendre, comme l’a fait Jacques Chirac à Chambon sur Lignon, mobiliser tous les moyens de l’Etat dans la lutte contre l’antisémitisme et en même temps, l’attiser, en désignant à une vindicte déshonorante, sur des motifs pour le moins mineurs, le leader en exercice de l’Etat du peuple juif ?

C’est que l’incident n’est nullement isolé. La politique inspirée de l’Elysée, sur la durée, est une politique qui affiche dans les discours un désir d’éradication sans faille de l’antisémitisme. En même temps, elle prend la tête en Occident, de la mise en cause de la politique de l’Etat Juif et de l’alignement sur les positions des adversaires arabo-musulmans les plus extrêmes de l’existence d’Israël.

Or, étant donné la sensibilité exacerbée d’une part de l’immigration arabo-musulmane et de ses soutiens d’extrême gauche aux « souffrances » des Palestiniens, la politique antisioniste d’Etat se transmute ispso facto en agitation antisémite.

*****

Tout se passe comme si la politique officielle conçue à l’Elysée donnait autant de feux verts à « l’antisémitisme haineux, odieux, méprisable » qui sourd aujourd’hui en France, comme s’en alarmait Jacques Chirac le 8 juillet.

Quelques évènements de l’actualité récente, illustrent ces feux verts officiels donnés au passage à l’acte antisémite en France.

1) Le nouveau ministre des affaires étrangères ( qui doit agir selon la formule « je décide et il exécute ») a inauguré ses fonctions en approuvant l’évacuation de Gaza, « si Gaza n’est pas détruite ». Message officiel implicite : « Israël est en train de détruire Gaza ». Les termes sont choisis pour mobiliser les ressorts affectifs et provoquer des sentiments de haine contre Israël. C’est un feu vert pour l’agression des juifs identifiés à israël.

2) Puis le même ministre a consacré sa première visite au Proche Orient à Arafat. S’en est suivi un chapelet d’admonestations d’Israël largement relayées par les média français et arabes. Il en ressortait qu’Israël faisait au vieil homme des conditions « indignes ». A nouveau, les ressorts affectifs sont activés avec les mêmes conséquences pour la sécurité des Juifs de France

3) L’épisode de la déclaration de Sharon, que nous venons de relater plus haut, relève de ces feux verts officiels. Parlant d’une réaction exagérée, le dirigeant juif américain Malcolm Hoenlein « estime que la réaction du président français pourrait même renforcer l'antisémitisme en France » (7) A force de piétiner la personne d’Ariel Sharon, symbole de l’Etat Juif, à force de lui imputer un outrage à la France, ce qui est parfaitement diffamatoire, à force chauffer à blanc l’opinion, on envoie le message que le champ est libre, que tout le monde est d’accord, que les Juifs doivent payer, comme le disent simplement, avec leurs mots, Sonia et Rachid, cités plus haut. Voila le troisième feu vert officiel en moins d’un mois

L’antisionisme, politique officielle pluri décennale en France, plus virulent aujourd’hui que jamais, est le terreau de la radicalisation de la pensée et des hommes.

Il ne s’agit pas que de cette pitoyable poignée d’extrémistes issus de l’immigration, coupables de commettre les actes antisémites qui, comme le dit Jacques Chirac, « salissent notre pays ». Il s’agit aussi de ces générations de magistrats, d’enseignants, d’administrateurs, de chercheurs qui sont arrivé à l’âge de la conscience citoyenne pétris de la dogmatique diffamatoire de l’Etat Juif. Ce sont eux qui portent en eux et diffusent la détestation d’Israël. A l’épaisseur d’une feuille de cigarette près, c’est la détestation du judaïsme et des Juifs, mais on ne peut pas le dire car ce n’est pas politiquement correct. Si ces générations intoxiquées portent en elles la détestation de masse du judaïsme, ce sont de jeunes immigrés, qui la mettent en actes. Sous l’influence supplémentaire des média arabes et des imams radicaux qui continuent leur patient ouvrage. Mais, si ils passent à l’acte, c’est sûrement! parce qu’ils savent que l’antisionisme d’Etat français leur a allumé implicitement des feux verts.

***

Il faut aller plus loin.

Il y a eu le discours de Chambon sur Lignon, puis l’exploitation forcenée de la déclaration de Sharon. Cela, dans les vingt premiers jours de juillet. Quelques jours plus tard, selon un calendrier parfaitement connu, l’Assemblée Générale de l’ONU devait voter une résolution scélérate condamnant Israël, pour un crime de plus. Le petit pays férocement agressé veut sauver, grâce à une barrière de sécurité, (8) des milliers de vies juives et paralyser l’action meurtrière des terroristes islamistes. Le résolution de l’ONU, présentée par les plus radicaux des pays arabes, devait logiquement rencontrer l’abstention des pays européens qui s’étaient opposés à la transmission de ce dossier à la Cour de Justice I’Internationale, au motif qu’on ne doit pas donner une réponse judiciaire à des problèmes politiques.

Mais l’Elysée avait juré de porter un coup de plus à Israël. Il a pris la tête d’une vaste opération diplomatique pour inciter tous les pays de l’Europe des 25 à le proscrire, et il y est parvenu malgré l’opposition du Royaume Uni et de l’Italie. Israël a été honteusement condamné. Et la diplomatie française s’est félicitée d’un acte fondateur, où l’Europe des 25 a pris pour la première fois une position internationale commune. Un peu comme le sacrifice humain serait l’acte créateur de toute société, selon l'enseignement de René Girard.

Pour parer toute accusation, pour asseoir ce forfait de politique internationale sur un consensus intérieur, pour échapper à la critique d’antisionisme obsessionnel, Jacques Chirac avait besoin d’une image irréprochable en matière d’antisémitisme. D’où le discours de Chambon-sur-Lignon et l’exploitation démesurée de la déclaration de Sharon.

Des observateurs avaient souligné naguère que la très fameuse déclaration de Jacques Chirac de 1995, pour l’anniversaire de la rafle du Vel d’Hiv, qui reconnaissait pour la première fois la responsabilité de l’Etat français dans la déportation des Juifs, avait été suivie par la provocation de Jérusalem de 1996. Jacques Chirac avait tiré de cette provocation un prestige immense dans la rue arabe, égarée et fanatisée par les dictatures que l’on connaît. La montée aux extrêmes de l’antisionisme français, condition de la relance de la politique arabe de Jacques Chirac, avait été préparée et légitimée à l’époque par un discours flagorneur en direction des Juifs.

Une image de démocrate irréprochable, grâce à une déclaration de sympathie particulièrement appuyée en direction des Juifs de France ; puis un coup de poignard diplomatique dans le dos d’Israël. C’est la répétition de cette farce qui nous a été servie, en ce mois de juillet pluvieux.

Notes
(1) Ses paroles étaient « I must say that the French government is taking steps against that ». Voici le passage complet de la réponse de Sharon qui concerne les Juifs français « If I have to advocate to our brothers in France, I will tell them one thing : move to Israel, as early as possible. Anti-Semitic acts against Jewish schools, synagogues and cemeteries have risen in France in recent years, coinciding with the growth of tension in the Middle East. We see the spread of the wildest anti-Semitism there. In France today, about 10 percent of the population are Muslims ......that gets a different kind of anti-Semitism, based on anti-Israeli feelings and propaganda. I must say that the French government is taking steps against that».18 juillet 2004
(2) Par exemple « L'affront de Sharon à la France » en première page du Figaro du 19 Juillet, ou « Sharon deux fois indigne » d! ans Le Figaro du 20 juillet, sous la plume de Charles Lambroschini.
(3) Proche Orient Info 18 juillet 2004
(4) Rapport de la Commission Stasi du 11 décembre 2003
(5) Le Monde du 16 juillet 2004
(6) « …move to Israel, as early as possible » Pour la fête de l’indépendance, en avril dernier, Sharon avait écrit dans son message aux communautés juives : « Nous devons également agir avec force pour atteindre notre objectif de faire venir un million de nouveaux immigrants en Israël durant la prochaine décennie » Cela n’avait soulevé aucun commentaire. C’est dire combien sa déclaration était peu surprenante.
(7) Dépêche Associated Press, 20 juillet 2004, 20h43
(8) Il existe de nombreuses barrières édifiées sur des territoires contestés. Entre le Pakistan et l’Inde au Cachemire, entre la Turquie et la Syrie dans la région d’Alexandrette, entre le Maroc et l’Algérie dans la zone du Sahara Occidental, entre l’Arabie Saoudite et le Yémen. Qui en parle à l’Elysée ? Seul! Israël est coupable.

Par Primo (Primo) le mardi 27 juillet 2004 - 08h39:

Une handicapée mentale palestinienne tuée par des tirs israéliens
GAZA, 26 juil (AFP) © 2004 AFP

Une handicapée mentale palestinienne a été tuée par des tirs israéliens lundi alors qu'elle s'approchait d'une colonie juive de peuplement dans la bande de Gaza, a-t-on appris de source médicale.

La victime, Ghala Younès, 50 ans, a été touchée par plusieurs balles alors qu'elle s'approchait de la clôture entourant la colonie de Ganei Tal, selon

cette source.

Ce décès porte à 4.197 le nombre de personnes tuées depuis le début de l'Intifada, fin septembre 2000, dont 3.200 Palestiniens et 926 Israéliens.

Depuis le déclenchement de l'Intifada en septembre 2000 plusieurs Palestiniens souffrant de déficiences physiques ou mentales ont été abattus par des militaires après avoir pénétré sans le savoir dans des zones interdites.


Laissons au lecteur la possibilité de décoder cette dépêche AFP en lui donnant cependant un indice pour sa réflexion:
Il serait sans doute essentiel, aux yeux de l'AFP, et pour la compréhension du conflit du Proche-Orient de comptabiliser les victimes palestiniennes:
- Scorpion ascendants Capricorne
- Jouant d'un instrument de musique
- Fumant plus de 10 cigarettes par jour
- Etc.

Il apparaît, par ailleurs, indispensable que les soldats de Tsahal disposent désormais d'instruments sophistiqués capables de calculer à distance le QI des présumés terroristes palestiniens. Tout le monde sait bien que seuls ceux qui disposent d'un niveau intellectuel élevé sont potentiellement dangereux pour la sécurité d'Israël, et que seuls des individus sains d'esprit peuvent se transformer, un jour, en bombes humaines.

Nous tenons à remercier cette agence de presse pour la pertinence de sa méthodologie sans laquelle tout observateur serait réduit à l'état de bovidé regardant passer un convoi de diplomates français se rendant à Ramallah.

JP

Par Emma (Emma) le mardi 27 juillet 2004 - 08h40:

« Les raisons de refuser la candidature turque » :

Par Alexandre del Valle*

Au moment où le Premier Ministre turc Recep Tayyip Erdogan effectue une visite à Paris ayant pour but de convaincre les sceptiques qu’Ankara est désormais prête à intégrer l’Europe, le débat sur l’entrée de la Turquie dans l’Union et sur les frontières de l’UE mérite d’être relancé. Aussi est-il nécessaire tout d’abord de répondre aux principaux arguments des partisans de la candidature turque puis d’expliquer quelles seraient les conséquences géopolitiques l’adhésion d’Ankara.

- Dire que la Turquie est historiquement européenne est aussi vrai que de dire que la France, en tant qu’ex-puissance coloniale, est africaine. La Turquie n’est pas plus européenne par sa géographie (excepté Istanbul et la Thrace) que: par ses moeurs (endogamie clanique, crimes d’honneurs, statut des femmes anatoliennes, discriminations ethno-religieuses, etc) ou sa conscience civilisationnelle. Les Turcs se définissent comme un peuple asiatique dont l’Age d’Or est l’apogée de l’Empire ottoman, et si une faible minorité kémaliste ou issue des quartiers privilégiés d’Istanbul se sent européenne, les habitants des favelas d’Istanbul et des campagnes de l’Anatolie se reconnaissent plus dans le voisin irakien que dans l’Européen du Nord ou même dans le Grec chrétien. La récente nomination d’un citoyen turc à la tête de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI, pro-saoudienne), puis les propos irrédentistes inquiétants d’Erdogan accusant la Grèce de « persécuter les Turcs-musulmans » de Thrace, ou encore la politique panturque d’Ankara en Asie centrale et dans le Caucase, montrent bien que la Turquie demeure ce pays « dreaming west and moving east ».

- Invoquer « l’irréversibilité » de la candidature turque sous prétexte qu’Ankara a signé un accord d’association en 1963, est membre de l’Otan et du Conseil de l’Europe, ou au titre dune « promesse», ne tient pas. L’Otan et le Conseil de l’Europe ne sont pas des sas d’entrée dans l’Union. En réponse à la demande officielle d’adhésion d’Ankara, (1987), rejetée, le Parlement européen avait voté une résolution - occultée aujourd’hui - exigeant en vain comme préalable la reconnaissance du génocide arménien, l’amélioration du sort des minorités, puis le retrait de Chypre. C’est donc Ankara qui na pas rempli ses obligations et non l’inverse. Loin d’être un dû, le processus d’intégration de la Turquie peut être interrompu à tout moment sur décision d’un Conseil européen, d’un rapport négatif de Bruxelles ou par le veto d’un Etat membre.

- Dire qu’il « faut » intégrer la Turquie afin de démontrer que l’Europe n’est pas un « club chrétien » et ne « rejette » pas un candidat islamique est absurde : demande-t-on a la Ligue arabe d’intégrer Israël ou l’Inde pour prouver quelle n’est pas un « club musulman » ? Ce mauvais procès renverse les rôles, car c’est à la Turquie de prouver quelle n’est pas un « Club musulman » : il y a plus de Turcs-musulmans à Paris que de Chrétiens dans toute la Turquie (100 000), pays « purifié » musulman à 99 % depuis le génocide de 1,5 millions de chrétiens arméniens et assyro-chaldéens (1916) puis l’expulsion de 2 millions de Grecs en 1922, forfaits qui n’ont hélas jamais fait l’objet du moindre travail de mémoire, la négation du génocide étant enseignée dans les écoles. Ankara continue d’ailleurs de nier les minorités kurde, assyro-chaldéenne, catholique et alévie.

- Dire que la Turquie demeure une « exception laïque » et un allié naturel contre l’islamisme grâce à l’héritage d’Atatürk est faux: la Turquie nouvelle autorise et réclame tout ce que rejetait Kémal : le voile, les partis islamiques, les Confréries, les cours de religion obligatoires. Ses lois contre le blasphème condamneraient Atatürk lui-même ! Le kémalisme a connu un coup d’arrêt dès les années 50-60, avec les gouvernements Menderes et Démirel, et il est politiquement mort sous Turgut Ozal, ce grand artisan de la réislamisation qui abolit l’article 163 interdisant les partis islamistes. Comment peut-on soutenir qu’un pays dont 70 % des femmes sont voilées, dont l’Etat entretient 90 000 imams et des milliers de mosquées, mentionne les religions sur les cartes d’identité, interdit la haute fonction publique et militaire aux non-Musulmans, et qui est dirigé par un parti (l’AKP) issu d’un courant islamiste victorieux aux élections depuis le début des années 90 (les grandes municipalités sont dirigées par les islamistes depuis 1995), est encore un pays laïque ? Bannie des textes, la Charià demeure ancrée dans les têtes de ceux qui ont voté pour l’AKP, ou lu le bestseller de son directeur de campagne, Dilipak, intitulé Vive la Charià !.

- On nous explique que les islamistes turcs au pouvoir sont des « modérés » et des pro-occidentaux qui maintiendront les liens avec l’Otan et Israël. C’est oublier les propos du Premier Ministre Erdogan ou de son ministre des affaires étrangères, le pro-saoudien Abdullah Gül, justifiant la polygamie devant un auditoire du SPD allemand, expliquant que « la démocratie n’est pas un but mais un moyen », ou se félicitant d’avoir reçu à Istanbul le chef terroriste afghan Gubuldin Hekmatyar. Quant aux liens avec Israël, Erdogan a prévenu qu’il les romprait si Sharon continuait à « persécuter les Palestiniens ». Les alliés américains savent eux aussi depuis la guerre d’Irak que la Turquie réislamisée ne coopèrera plus jamais comme avant. D’autant qu’Erdogan a reproché à Georges Bush, lors du sommet de l’Otan de juin, sa politique « pro-kurde » en Irak, Ankara revendiquant une partie de ce pays au nom la même « politique des minorités » qu’elle invoque a Chypre ou en Thrace…

- L’intégration de la Turquie permettrait à celle-ci de « poursuivre sa démocratisation », nous dit-on. L’UE est certes un espace de paix et de démocratie, mais elle est située du point de vue civilisationnel, donc naturellement « réservée » aux peuples de culture judéo-chrétienne marqués par la pensée gréco-latine situés en Europe, ce qui fait déjà beaucoup de monde à démocratiser avant la Turquie, l’Ukraine, la Biélorussie et la Russie étant infiniment plus européennes. Toute entité géopolitique doit avoir des limites claires, faute de quoi nous avons affaire à un phénomène néo-impérial ayant vocation à s’étendre à l’infini. Les rapports de la Commission (5 novembre 2003) ou du Parlement européen (Oostlander du 17 avril) ont montré par ailleurs que si la Turquie a réalisé des réformes sur le papier, celles-ci n’ont pas trouvé de traduction sur le terrain : les Kurdes sont toujours privés de leurs droits, les tribunaux ont confirmé la condamnation des députés kurdes à 15 ans de prison ; les fondations religieuses chrétiennes ne peuvent toujours pas collecter de dons ; les délits d’opinion sont toujours plus sévèrement punis que les « crimes d’honneurs » ; les troupes militaires turques occupent toujours Chypre et le génocide arménien fait l’objet d’un négationnisme d’Etat relayé sans complexe par le Gouvernement AKP (un monument de 45 m, construit le long de la frontière arménienne, commémore le « génocide de 150 000 Turcs musulmans par les Arméniens »). Si l’Europe ne doit avoir d’identité que «droit-de-l’hommiste », alors la reconnaissance du génocide arménien et la levée du blocus azéro-turc qui étouffe l’Arménie devraient primer sur les « critères de Copenhague ».
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Nos dirigeants ont-ils seulement conscience que la Turquie dans l’Europe deviendra l’Etat prépondérant de l’Union : dès 2020, Ankara disposera de 100 députés turcs majoritairement islamistes au Parlement européen (contre 72 pour la France et 98 pour l’Allemagne) ; sera la première puissance militaire et démographique de l’Union (bientôt 100 millions d’habitants et 850 000 soldats) ?
L’entrée de la Turquie dans l’Union ouvrira la boîte de Pandore de l’élargissement. Pourquoi refuser ensuite les 200 millions de turcophones du Caucase et d’Asie centrale ou les Etats du Maghreb? LUE héritera de tous les contentieux géopolitiques (eau, frontières, minorités, etc) que la Turquie entretient avec ses voisins. Sans oublier les trafics de drogue, d’armes et d’immigrés clandestins dont elle est une des plaques-tournantes majeure.
L’Union aura comme voisins directs, l’Iran des Mollah et la Syrie, parraines du Hezbollah ; l’Irak du Jihad anti-occidental dAl Qaïda ; l’Azerbaïdjan et la Géorgie, points de passages des islamo-terroristes du Jihad tchétchène ? Malgré cela, les partisans de la candidature turque affirment que cela nous permettra de conjurer le choc des civilisations et de combattre la menace islamiste
L’Europe serait une chance pour la démocratie turque, nous dit-on. Elle sera surtout une chance pour les islamistes turcs, jusque là condamnés à édulcorer leur programme et à subir l’alliance avec l’Amérique et Israël tant que les militaires contrôlent le pays. Jadis conspué par Erdogan, le « club chrétien » est désormais le seul allié objectif extérieur capable d’imposer le démantèlement du pouvoir militaro-kémaliste, ceci dans la perspective de laver l’affront subi en 1923 lors de l’abolition du Califat et de la Charià après avoir parachevé la dékémalisation du pays. Ne serait-ce que pour préserver l’exception kémaliste tant invoquée par les turco-euphoriques, les dirigeants européens devront réfléchir à deux fois avant de déclencher un processus qu’ils ne maîtriseront plus.

Alexandre del Valle vient de publier aux éditions des Syrtes La Turquie dans lEurope, un cheval de Troie islamiste ?

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 27 juillet 2004 - 06h53:

Par Shira (Shira) le mardi 27 juillet 2004 - 00h15:

Emile, C'etait bien courtois de votre part de traduire l'expression americaine (Heinz Kerry to journalist: 'Shove it') par "ferme la", ca ressemblerait plutot à "Va te le faire f...e"... ("Scuse my French")

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 26 juillet 2004 - 23h57:

A voir ce site dans la fondation a recu des sommes considerables devinez de qui?

http://www.cair.com/http://www.cair.com/

Par Francois (Francois) le lundi 26 juillet 2004 - 22h02:

Gros beaufs xénophobes

L'excellent ¡No pasaran! rapporte que le champion américain Lance Armstrong est le troisième sportif le plus détesté par les français au prétexte qu'il est américain.


La France est peut-être le pays des Droits de l'Homme mais en tout cas, celui des non-américains et des non-sionistes.

Par Albert (Albert) le lundi 26 juillet 2004 - 22h00:

HOMMAGE A MR HENRI BELLICHA Z'AL au PTB.

Par Albert (Albert) le lundi 26 juillet 2004 - 21h31:

INFORMATION DE L AGENCE SHARON/BREITOUNA.

Pour les quelques nostalgiques qui veulent encore prier sur la tombe de leurs parents défunts au BORGEL, qu'ils sachent qu'il n'y a plus de RABINS.
L'un a émmigrè à PARIS et les deux autres sont décèdès.
Donc munissez vous pour la circonstance d'un livre appropriè.
Quant à l'état du CIMETIERE DU BORGEL, rien de nouveau sauf qu'il est de plus en plus décadent.
La forête vierge amazionnienne est mieux entretenue.

-Monsieur COTI, je connais quelques uns de ces grands volleyeurs qui ont fait les beaux jours de L UST, CNT, ALLIANCE DE TUNISIE etc....
Sans oublier BOBBY SITBON, et GUY HAGGEGE qui furent de ma génèration.

Albert Simèoni de l' Union Sportive Goulettoise.