Par Cacouboulou (Cacouboulou) le dimanche 19 novembre 2006 - 23h07: |
Les copié collés qui font plus de cent lignes,,, qui a encore le courage d' y consacrer du temps ? ça bouffe de la mèmoire pour rien dans le serveur, et la mèmoire ça finit par couter cher à Harissa.
Mieux vaudrait en effet, une vingtaine de lignes d'info et d'idées personnelles, qu'une logorée impersonnelle, qui finit par souler tout le monde, surtout que la plupart du temps, ça ne concerne pratiquement pas les Tunes, alors des idées perso Oui, pour le reste il suffit d'indiquer le lien du site,,,
Par Albert (Albert) le dimanche 19 novembre 2006 - 21h45: |
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Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 19 novembre 2006 - 22h19: |
L'Héritage de Manitou
- Témoignages -
Enquête réalisée par Nathalie Szerman pour © ISRAEL MAGAZINE
Le 29 octobre 2006, nous avons commémoré les dix ans de la disparition du Rav Léon Yehouda Askénazi, dit Manitou. Son érudition dans les domaines religieux et profane, sa précision de langage, son humour, sa distinction, lui ont conféré un rayonnement inégalé au sein de la communauté juive francophone. Ceux qui ont eu le privilège d'assister à ses cours se souviennent de ses grandes mains qui traduisaient le mouvement de sa pensée, de sa recherche assidue du terme exact, aidé de son auditoire. Il serait tentant de mythifier Manitou, qui a su insuffler la vie aux versets de la Torah et rappeler la dimension historique et religieuse du retour des exilés sur la Terre d'Israël. Mais son enseignement nous interdit toute mythification. Il disait d'ailleurs : "Méfiez-vous de ceux qui parlent au nom de Dieu." Manitou, dont l'exigence de rigueur était telle qu'il n'était jamais satisfait de la transcription pourtant littérale de ses conférences par ses élèves, n'aurait sans doute pas apprécié qu'on le fasse parler post-mortem. C'est pourquoi nous avons préféré recueillir les témoignages de ses proches et de ses plus fidèles disciples. En hommage aussi à cette autre petite phrase de Manitou : "Le peuple juif n'est pas le peuple du Livre mais de la parole."
Témoignages
Chercher la mémoire de Manitou parmi les vivants me conduit à contacter ses disciples et sa famille. J'ai parcouru tout Jérusalem à la poursuite des uns et des autres car, logiquement, c'est ici que se trouve la plupart d'entre eux. Yehouda Nakache a enregistré, inlassablement, ses cours depuis les années 60. Son travail a servi de base aux ouvrages et aux transcriptions réalisées ultérieurement par d'autres. Marcel Goldman a rassemblé dans les deux tomes de La Parole et l'écrit les articles de Manitou. Michel Koginsky a pour sa part réalisé un album regroupant des textes et des photos de Manitou. Les rabbins Pierre Simsovic et Ouri Cherki dispensent un enseignement fidèle à la pensée de Manitou, et Itaï Askénazi, petit-fils de Manitou, s'occupe de site de la Fondation Manitou, grâce auquel il adapte l'enseignement de son grand-père au public israélien de sa génération. Pour ne citer que ceux-là, car d'autres aussi s'efforcent de transmettre la lumière de Manitou au monde qui les entoure.
Les disciples témoignent
C'est vers le célèbre orientaliste Eliezer Cherki, dont le Rav Marc Kujawski nous dit qu'il est "probablement le disciple le plus fidèle de Manitou", que le Rav Léon Askénazi s'est tourné les derniers jours de sa vie, pour lui demander de l'aider à transcrire ses idées. Pourquoi lui ? Modestement, Eliezer Cherki répond : "Je ne sais pas. Peut-être à cause de la proximité [ndlr : sa famille connaissait celle de Manitou déjà en Algérie]. Je l'aidais à trouver le mot juste. Il craignait déjà que sa pensée ne soit déformée par ses disciples."
A Paris, puis en Israël, Eliezer Cherki a suivi les cours du Rav Léon Askénazi, dont il se souvient qu'ils étaient "gratuits et ouverts à tous, ce qui ne va pas de soi aujourd'hui." Il se remémore ainsi l'enseignement du Rav Léon Askénazi : "Manitou abordait chaque sujet sous la forme d'une question essentielle. Chacun recevait son enseignement comme s'il lui était personnellement destiné. Manitou était à la fois très éloigné et très proche de nous." Et d'approfondir : "Il faut savoir être proche des Sages tout en se méfiant de leur flamme qui brûle. Manitou, dont le rayonnement était intense, avait conscience de sa capacité à brûler. Il préservait la dignité de ses élèves."
Par la suite, le Rav Léon Askénazi a invité plusieurs fois Eliezer Cherki à donner des conférences sur l'islam au Centre Yaïr : "Manitou assistait aux conférences quand il pouvait. Il intervenait et entamait un dialogue. Ces conférences devenaient un événement. Il analysait le christianisme et l'islam à travers la typologie d'Esaü et d'Ismaël. Manitou soulignait que le monde d'Ismaël n'a pas encore fait le saut de la liberté humaine dans l'histoire. Il disait que ce n'était pas un hasard si les musulmans avaient choisi le vendredi comme jour saint, sixième jour de la semaine, car le créateur cesse d'intervenir le shabbat pour laisser la place à l'intervention humaine dans l'histoire. Entrer dans le septième jour, c'est découvrir le rôle de l'Homme dans l'histoire."
Le rabbin Ouri Cherki, petit frère d'Eliezer, dispense aujourd'hui, en français et en hébreu, des cours au Mahon Meir, à Jérusalem, et dans le cadre du Centre Meir d'études juives, qui a ouvert ses portes début novembre 2006. Ouri Cherki a lui aussi enseigné au Centre Yaïr, dont il a repris, sept ans après le décès de Manitou, la direction pendant un an. D'après lui, Manitou "exprimait la pensée ancestrale en termes de culture générale sans tomber dans l'académisme. En cela, il a créé un nouveau langage permettant à une oreille contemporaine de comprendre le langage des ancêtres." Ouri Cherki remarque un "nouvel intérêt en Israël pour la pensée juive originaire de France. C'est la seule pensée juive capable de se mesurer au discours philosophique. Elle est source de 'kavod hadat', selon l'expression du Rav Kook : de respectabilité de la Torah."
Michel Koginsky, pédiatre de profession, vit aujourd'hui en Israël "grâce à Manitou." Il a réalisé sur son maître un album intitulé Un Hébreu d'origine juive. Ayant assisté au dernier cours de Manitou au Centre Yaïr, il se rappelle : "Il était venu accompagné de son gendre médecin, avec un ballon d'oxygène et un micro. Parler représentait un effort physique important. Chaque mot avait son poids." Un nouveau livre intitulé Les Définitions hébraïques de Manitou sortira prochainement, pour les 10 ans de sa disparition. Il regroupe près de 300 définitions d'expressions-clé de Manitou.
Yonite Pariente est une ancienne élève de Manitou, venue un an étudier le judaïsme en Israël dans le cadre de Mayanot et qui a trouvé cohérent de rester construire sa vie sur place. Elle témoigne avec émotion : "Manitou voulait sortir les jeunes de l'assimilation sans les uniformiser, en respectant l'individualité de chacun. Il voulait les ramener à leur identité hébraïque originelle. Pour cela, les Juifs devaient revenir sur leur terre." Manitou disait en effet que les Hébreux, "Ivriim" en hébreu, étaient ceux qui avaient traversé la mer, "Avar Yam" (même racine en hébreu).
Pierre Simsovic est aujourd'hui considéré comme le disciple "officiel" de Manitou. Il l'a connu en classe de Terminale à Yavné, où Manitou enseignait la philosophie, au début des années 1960. Pierre eut le sentiment en l'écoutant que ses connaissances "s'ordonnaient comme les pièces d'un puzzle."
Manitou avait une idée précise de la transmission, rapporte le Rav Simsovic : "Pour lui, l'important n'était pas la technique ou la méthode de l'enseignant, mais l'authenticité de son message. Elle seule garantit la réceptivité de l'élève. Il disait en outre que l'enseignement ne se fait pas de bouche à oreille, mais de bouche à bouche, car l'oreille n'entend pas toujours ce que la bouche dit, mais la bouche de l'élève répète les paroles de la bouche du maître."
La famille témoigne
Si les anciens élèves de Manitou parlent aisément de leur maître défunt, les membres de sa famille se montrent plus réservés, et leur témoignage en est d'autant plus précieux. David Askénazi, dont on ne manque pas de remarquer la ressemblance physique avec son père, œuvre tout en discrétion pour transmettre l'héritage de Manitou, sur lequel il ne s'est vraiment penché qu'après sa disparition, avec l'aide du rabbin Pierre Simsovic ; celui-ci lui a consacré "un nombre incalculable d'heures de cours". Manitou n'était en effet pas le plus présent des pères: "Il était très pris par ses conférences. Les vacances s'écoulaient entre ma mère et mes frères et sœurs, en Bretagne, dans une villa louée au bord de la mer. Mon père nous rejoignait en fin de semaine." Ce qui est déterminant dans l'héritage de son père ? David pèse ses mots : "L'optimisme, la possibilité de changer les choses, la vision d'un monde essentiellement moral."
Ariane Pivko, la sœur de David Askénazi, raconte : "Mon père m'avait une fois emmenée au Cameroun avec lui. Il rendait chaque année visite au président du Cameroun, qui avait entendu parler de Manitou par son médecin. Manitou avait contacté le ministère israélien des affaires étrangères, qui s'était déclaré intéressé par un rapprochement entre le Cameroun et Israël. Mon père y contribuait activement." Israël Pivko, le mari d'Ariane, participe aujourd'hui au travail de la Fondation Manitou et dispense des cours de pensée juive dans la droite lignée de son beau-père.
Le petit frère de Manitou, Daniel Askénazi, est un ancien professeur d'anglais sec et vigoureux, dont la démarche rappelle celle de son aîné. Il m'apprend que Manitou était aussi un artiste : "Il chantait remarquablement bien. Il est d'ailleurs possible de télécharger sur Internet un choeur des frères Askénazi." Manitou a en outre écrit quelques poèmes (voir encadré) dont certains ont été repris par les EIFs. Mais pour Daniel, Manitou était avant tout un éducateur : "Il savait rassembler les gens autour de lui, n'était pas 'que' philosophe !"
Manitou aujourd'hui
C'est toutefois Itaï Askénazi, petit-fils de Manitou, qui représente la rencontre la plus déterminante. "Vous verrez," m'avait prévenue Eliezer Cherki, "il ressemble de façon frappante à Manitou jeune". C'est en effet exactement le même regard, la même intensité, que sur les photos de Manitou à son âge. Mais Itaï n'est pas un Juif de diaspora ; c'est l'Hébreu tel que le rêvait le Rav Léon Askénazi. Itai vit aujourd'hui dans l'appartement occupé par son grand-père jusqu'à sa mort. C'est en ce lieu qu'il me parle longuement de son travail pour la Fondation Manitou
Ce jeune Israélien, papa depuis peu, porte une large kippa tricotée et joue du didjeridoo (instrument à vent aborigène). Comme tant d'Israéliens de sa génération, il est allé chercher la spiritualité en Extrême-Orient (Inde et Japon dans son cas) avant de découvrir, de retour chez lui, l'héritage de son propre grand-père. "Je me suis mis à écouter les cassettes de ses cours et j'ai reçu un choc. Il répondait à mes interrogations. La supériorité de son message sur le bouddhisme réside dans la possibilité de modifier le monde. Le rêve d'enfant de créer un monde meilleur s'avérait possible. Manitou est en outre très universaliste, tout en demeurant très juif. C'est son aspect universaliste qui m'a interpellé et qui aura raison des réticences des Israéliens de ma génération."
Il commence par faire passer les cassettes consciencieusement enregistrées par Yehouda Nakache sur MP3. Puis il ressent le besoin de partager le message de Manitou avec ses compatriotes israéliens : "Je me suis mis à traduire en hébreu les cours de mon grand-père." Les difficultés du passage à l'hébreu ne manquent pas : "La première étape consiste à comprendre parfaitement ce que dit Manitou, qui fait d'innombrables allusions à la culture française, en plus de jeux de mots ! Ses disciples m'aident à les décrypter. Dans ses cours, il pense la Torah pour un public français. J'essaie de retourner à l'essence hébraïque de son message sans perdre ce que le français y a ajouté. Je dois aussi tenir compte du fait que la génération israélienne actuelle est différente de celle des Juifs francophones à laquelle s'adressait mon grand-père. Il me tient à cœur de rendre son message pertinent pour ma génération." Comment fait-il, concrètement, pour répondre à toutes ses exigences ? "Je traduis pour moi-même. Si je suis satisfait du résultat, on peut espérer que les Israéliens de ma génération le seront aussi." Ces cours en hébreu sont consultables sur le site de la Fondation Manitou, régulièrement actualisé : http://www.manitou.org.il/hebrew/ .
Nathalie Szerman pour © ISRAEL MAGAZINE
Par Claudia (Claudia) le dimanche 19 novembre 2006 - 18h17: |
Jewish World Review 17 novembre 2006 /26 Mar-Cheshvan, 5766
Jetez les cafouilleurs dehors !
Par Caroline B. Glick
http://jewishworldreview.com/1106/glick111706.php3
Adaptation française de Sentinelle 5767
Du point de vue d'Olmert, c'est la responsabilité de l'Amérique - pas d'Israël - d'empêcher l'Iran d'acquérir les moyens de détruire Israël. Au même moment, Il accepte que les USA ne prennent aucune mesure contre l'Iran sans recevoir d'abord la permission des Français, des Russes, des Chinois et des Arabes.
A la grande satisfaction du Premier Ministre Ehud Olmert et de la ministre des affaires étrangères Tzipi Livni, une coalition internationale s'est constituée autour du programme d'armes nucléaires de l'Iran.
Dans ses remarques mardi dernier à Los Angeles à l'assemblée générale des délégués des " Communautés Juives Unies " (UJC), Olmert a expliqué son enthousiasme. Il a d'abord déclaré : " Le leadership de l'Amérique dans la prévention de la nucléarisation de l'Iran est indiscutable et inégalé. Je viens de rencontrer mon bon ami, un véritable ami d'Israël, le Président George W. Bush à Washington. Sa détermination à empêcher ces développements très graves ne peut être mise en cause. Mais l'Amérique doit avoir le soutien de la communauté internationale si nous devons désamorcer cette menace mortelle ".
Ainsi, du point de vue d'Olmert, c'est la responsabilité de l'Amérique - pas d'Israël - d'empêcher l'Iran d'acquérir les moyens de détruire Israël. Au même moment, Il accepte que les USA ne prennent aucune mesure contre l'Iran sans recevoir d'abord la permission des Français, des Russes, des Chinois et des Arabes.
Olmert a alors expliqué que les Arabes doivent donner leur accord pour laisser les USA protéger Israël. Comme il l'a dit : " Une coalition de pays arabes modérés peut et doit unir leur intérêt commun pour empêcher l'Iran de saper la stabilité du Moyen-Orient. Cette coalition doit lutter contre les dangers de l'islam radical qui manipule la source même de l'Islam ".
De son côté, Livni a déclaré devant la foule en Californie qu'il y a peu de doute sur le fait que les nations dans le monde s'uniront sous peu, pour empêcher l'Iran d'obtenir la maîtrise nucléaire. Comme elle l'a dit : "Si la promesse du " Plus jamais ça " est plus importante que le prix du pétrole, alors le temps de l'indifférence et de l'hésitation internationales face à la menace iranienne est dépassé depuis longtemps ".
Livni a alors expliqué qu'elle est impatiente de donner la Judée et la Samarie aux Palestiniens, et qu'elle travaille à donner à Israël la " marque " d'un pays où il est sympa de vivre. Elle a conclu en recommandant que les Juifs américains invitent les prix Nobel israéliens à visiter leurs communautés.
En somme, notre ministre des affaires étrangères est certaine que la communauté internationale agira contre l'Iran parce que celle-ci le veut vraiment quand elle déclare qu'elle pense que l'holocauste était une mauvaise chose, plus qu'elle ne le veut quand elle dit : " faites moi le plein avec du sans plomb ". De plus, en ce qui concerne Livni, le monde protègera Israël parce que le gouvernement Olmert veut tellement rendre Jérusalem et Tel Aviv sans défense, en cédant la Judée et la Samarie aux jihadistes palestiniens.
A côté de cela, Livni croit que le monde va protéger les Juifs parce que grâce à elle, nous avons des forces de l'ONU protégeant le Hezbollah sur notre frontière nord, et nous redressons notre image marque pour permettre à la communauté internationale de savoir que les Juifs sont aussi bons en sciences, que vraiment sympas pour boire un coup.
A leur crédit, Olmert et Livni ont raison de dire qu'aujourd'hui, une coalition internationale composée des USA, de l'UE, et de quelques pays arabes, se forme autour de l'Iran. Mais ce qui lie les membres entre eux, c'est leur opposition collective pour engager toute action efficace empêchant l'Iran d'acquérir des armes nucléaires.
Placé à côté d'Olmert à la Maison Blanche lundi dernier, Bush a limité ses remarques sur l'Iran à l'expression de son espoir que la communauté internationale donnerait son accord pour isoler économiquement l'Iran. Le soutien international est nécessaire parce que les principales cibles de l'Iran - les USA et Israël - n'ont pas la légitimité pour agir. Comme il l'a formulé : " Mon attitude c'est : travaillons ensemble pour convaincre le gouvernement [de l'Iran] que ce ne sont pas que les voix israéliennes qui parlent, mais que beaucoup d'autres voix disent exactement la même chose ".
Il n'y a pas de doute que l'isolement international de l'Iran serait un développement bienvenu. Mais il n'y a pas de doute non plus que Isoler l'Iran ne l'entraînera pas à cesser son programme d'armes nucléaires. Cela est particulièrement vrai si l'isolement implique l'approbation du projet de résolution européen pour des sanctions légères contre l'Iran, devant le Conseil de Sécurité de l'ONU. Dans le meilleur des scénarios, le maximum que les sanctions puissent faire est de rendre plus difficile pour l'Iran la reconstitution de son programme nucléaire à la suite d'une attaque militaire israélienne sur ses installations nucléaires.
Chacun des participants à la coalition du " Ne faites rien contre l'Iran " a ses bonnes raisons pour ne pas lever le petit doigt.
L'interprétation par Bush de la victoire des Démocrates lors des élections au congrès la semaine dernière, l'a convaincu de ne pas agir contre l'Iran. En commençant par sa conférence de presse mercredi dernier, où il annonça le remplacement du ministre de la défense Donald Rumsfeld par Robert Gates, Bush a fait clairement savoir qu'en ce qui le concerne, il lui manque la force politique sur le plan intérieur pour réaliser une opération réussie.
Dans l'un de ses récents appels quotidiens à la destruction d'Israël, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a offert à l'Europe un marchandage faustien. Il a promis de laisser l'Europe tranquille si les Européens abandonnent Israël. Lundi dernier, le Premier Ministre britannique Tony Blair a accepté son offre. Dans un discours au banquet annuel du Maire de Londres, Blair a expliqué que les succès en Irak et en Iran sont liés à l'acceptation de concessions par Israël aux terroristes palestiniens et libanais, et à des concessions faites par les USA et l'Europe à la Syrie et l'Iran.
Blair a fait son discours quatre jours après le Directeur Général du MI5 [services secrets britanniques, Ndt] Eliza Manningham-Buller ait rapporté que 30 complots terroristes sont en préparation en Grande Bretagne aujourd'hui ; que de futures menaces pourraient impliquer des instruments chimiques et nucléaires ; que de jeunes musulmans britanniques sont préparés à devenir des islamikazes suicide à la bombe ; et que ses agents poursuivent quelques 1.600 suspects : tout cela nous révèle ce que nous devons savoir sur les intérêts européens. Blair a fait une déclaration similaire devant le Groupe d'Etude de l'Irak, conduit par l'ancien secrétaire d'Etat James Baker III, qui prévoit de recommander que les USA vendent Israël et se concilient les Iraniens et les Syriens : tout cela nous révèle ce que nous devons savoir sur la façon dont l'Europe ressent l'espoir des USA d'isoler - et pas d'attaquer - l'Iran.
Il y a peu de doutes que les Etats arabes préfèreraient un Iran non nucléaire. Mais les Arabes n'ont pas l'intention d'empêcher l'Iran d'acquérir de telles armes. Au contraire, l'Egypte, l'Arabie saoudite, le Maroc, l'Algérie, et la Tunisie veulent désormais construire leurs propres réacteurs nucléaires. Le programme de l'Iran sert de justification aux bombes A arabes.
L'implication de la fusion de cette nouvelle coalition est indéniable. Malgré les protestations haletantes d'Olmert et de Livni du contraire, personne ne prendra de mesures pour empêcher l'Iran d'acquérir des armes nucléaires. Personne ne bloquera la perspective de l'annihilation d'Israël.
Cela vaut la peine de savoir pourquoi c'est le cas - ne serait-ce que pour porter la réalité à l'attention de ceux directement en charge d'assurer la survie d'Israël.
L'administration Bush est aujourd'hui en état de désarroi stratégique. Selon l'historien John Lewis Gaddis dans son livre " Surprise, Sécurité, et l'Expérience américaine ", dans l'une des hypothèses stratégiques qui a sous-tendu la décision de Bush d'ordonner l'invasion de l'Irak, il y avait la prédiction de l'effet psychologique que la campagne aurait sur des régimes tels que l'Iran. Selon ses termes : " L'objectif était autant psychologique que militaire : éliminer des individus, des gangs, et des régimes qui participent ou soutiennent le terrorisme, mais aussi intimider ceux qui pourraient songer à en faire autant ".
Malheureusement, l'effet psychologique dépendait d'une victoire militaire américaine nette en Irak. Après la poussée initiale sur Bagdad, et le renversement du régime de Saddam, la capacité de l'Amérique à vaincre l'insurrection dépendait de plus en plus de la volonté politique. Cette volonté était à son tour influencée par le niveau du soutien international que recevaient les actions de l'Amérique. Les Européens ont refusé de soutenir la campagne en Irak, et leur antagonisme a empêché les USA de prendre les mesures agressives contre l'insurrection - en particulier des opérations en Syrie et en Iran, qui agissent comme bases pour l'insurrection - nécessaires pour gagner de façon décisive dans ce conflit.
Le temps passant, le manque de soutien européen a provoqué une érosion du soutien domestique aux USA pour la campagne en Irak. L'effet cumulé de cette érosion du soutien domestique a provoqué la défaite des Républicains la semaine dernière [aux élections de la mi-mandat, au Congrès et au Sénat américains, Ndt]
L'UE s'est opposée aux opérations des USA en Irak, et en effet, ses Etats membres sont devenus des foyers de préjugés anti-américains pour diverses raison, dont l'une est paradoxale.
A la base, les Européens se perçoivent eux-mêmes comme des dilettantes impuissants. Comme tels, ils font l'hypothèse que leur hostilité aura peu d'impact sur les USA, et que l'Amérique gagnera finalement la guerre contre le jihad mondial, sans envisager ce que les USA en pensent. Cela étant le cas, de leur point de vue, rien ne doit être perdu à long terme, et il y a beaucoup à gagner à court terme en abusant de la bienveillance des USA, et en se conciliant les jihadistes violents. De plus, la France en particulier aimerait que les USA sortent de la guerre victorieux mais affaiblis, comme la Grande-Bretagne est sortie de la Seconde Guerre Mondiale.
Alors que les Arabes s'opposent à l'hégémonie régionale et panislamique de l'Iran, il croient qu'ils dissuaderont l'Iran de les attaquer en acquérant la maîtrise nucléaire. De plus, une frappe nucléaire iranienne contre Israël servirait plusieurs intérêts arabes. D'abord, aussi longtemps qu'Israël existe, l'Iran se focalisera sur Israël et laissera les Arabes en paix. Ensuite, si l'Iran attaque Israël avec des armes nucléaires, Israël, ou les USA lanceront certainement une contre-attaque dévastatrice qui affaiblira significativement le régime de Téhéran. Bien que couvert de gloire pour sa destruction d'Israël, l'Iran ne serait pas en position d'affirmer son contrôle sur les Arabes désormais détenteurs d'armes nucléaires, avec le " problème juif " qu'il aura résolu.
Mais pas de problème, nous disent nos dirigeants. Nous devrions juste songer à des choses heureuses comme eux. Dans le monde d'Olmert et de Livni, Israël a vaincu la guerre du Liban cet été ; les forces de la FINUL sont bonnes pour les Juifs ; et le Hezbollah - qui travaille maintenant à renverser le gouvernement libanais - n'a pas intérêt à renouveler sa guerre contre Israël. Le gouvernement ne voit pas de raison d'empêcher 1.500 terroristes de l'OLP de marcher depuis la Jordanie vers Gaza, avec leurs armes et leurs familles. Olmert et Livni ont bien accueilli la perspective de libérer des milliers de terroristes de prison de façon à " renforcer " le président de l'AP Mahmoud Abbas, et ils sont impatients de remettre la Judée et la Samarie à Abbas non parce que ce faisant, cela aidera Abbas, mais parce que cela serait bon pour Israël. Comme Livni l'a dit cette semaine : " Nous voulons rendre la terre parce que autrement, le soi-disant processus de paix stagnera, et 'la stagnation n'est pas dans notre intérêt, et n'est pas notre politique'. "
Notre gouvernement jovial justifie sa décision de ne rien faire pour empêcher Ahmadinejad d'acquérir les moyens de tenir sa promesse de détruire l'Etat juif en proclamant sans cesse que quelqu'un d'autre est volontaire et capable de payer le prix pour nous défendre.
Le Peuple d'Israël ne doit pas être séduit par la cécité et les promesses vides de nos dirigeants. Tous les efforts doivent être faits pour mettre en touche ces cafouilleurs incompétents et corrompus, et les remplacer avec des dirigeants responsables aussi vite que possible.
Par Albert (Albert) le dimanche 19 novembre 2006 - 10h15: |
Daniela et Alain,
Bonjour, je suis le directeur du PTB.
J'ai lu votre message du dessous.
Je vous propose la troupe Orientale BREITOU'S et ses girls, des vedettes mondialement connues, Poupèe Hrouchout, Mamili Ouarka Toura, Elsa Voyage surnommée Dingo, Michka Perrier du Cheval Blanc, etc... pour presque rien.
En plus BREITOU son chanteur de charme.
Le traiteur SHARON pour préparer vos plats pour presque rien, cotillons et gadgets en plus.
C'est un as de la mloukhia et de l'harissa maison.
Contactez moi sur mon mail.
Albert du Petit Théâtre de Breitou à votre service.
Par Henri (Henri) le dimanche 19 novembre 2006 - 10h28: |
ACHER MIZRAHI
Le 12 novembre ou le 12 decembre?
Si c'est le 12 novembre, cette annonce est un peu tardive.
Chavoua tov.
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 19 novembre 2006 - 10h52: |
La lettre de mon père
Une famille de Tunis dans l’enfer nazi »
préface de Serge Klarsfeld
Des informations - 4ème de couverture et un extrait du livre - sont disponibles sur le site du Félin, mon éditeur :
http://www.kiron-espace.com/felin/o-s-cat-r-314.html
Parmi les articles parus, celui du CRIF, par le lien :
http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=7636&artyd=8&stinfo=361.449.18610
et celui de l’ambassade d’Israël :
http://www.upjf.org/actualitees-upjf/article-11916-130-5-nouvelles-israel-monde-juif-191006-ambassade-israel-en-france.html
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 19 novembre 2006 - 10h03: |
Bonjour,
Nous cherchons une idée pour un réveillon du 31.12.2006 à Paris RP avec repas cacher et ambiance-danse.
Avez-vous des idées?
Merci d'avance
Cordiales salutations
Daniela et Alain
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 19 novembre 2006 - 10h01: |
TUNES CELEBRES
Roger Cohen Boulakia est un grand Designer, Architecte d'intérieur , il a réalisé de
nombreux chantiers dans le Monde . Peintre et musicien. il est Président d'un Grand Club de Jazz à Marseille.
Ses parents sont originaires de La Goulette et de Sfax, sa mère, ma grand'mère, Laure TaÏeb, déportée est décédée a Auschwitz en 1944.
Son fils : Cyril Cohen
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 19 novembre 2006 - 09h55: |
ACHER MIZRAHI
1890-1967
Le festival international du Oud qu’a cree, il y a sept ans le directeur de « Beit ha Confederatia » Ephy Benaya , est une reussite qui va sans cesse grandissante ; c’est aussi et surtout un veritable phenomene de societe : les salles en effet, sont remplies de Juifs et d’Arabes de Sepharades et d’Achkenazes, un veritable microcosme de la societe israelienne.
Cette annee il nous propose un concert exceptionnel sur le grand compositeur et poete Acher Mizrahi dont l’herithage multiculturel comprend des Piyoutims en hebreu et des chansons en ladino et en arabe. Cette soiree est basee sur la these du realisateur Yaacov Assal (petit fils d’ Acher Mizrahi) qu’il prepare dans le cadre de l’Universite Hebaique de Jerusalem.
Acher Mizrahi (Acherico) est né dans la vieille ville de Jérusalem en 1890, fils d'Isaac et de Vida née Alhadeff', originaire de Rhodes.
Au debut du siècle dernier, ses parents decidèrent de quitter la vieille ville de Jérusalem pour s'installer dans le premier quartier, en dehors des murailles, Yemin Moché. Acher Mizrahi,. était Hazan, chanteur et joueur de luth. Il se maria très jeune avec Rahel, fille d'une famille les plus celebres de Jerusalem, la famille Alcheihk.
Pendant la guerre des Balkans (1912-1913), l'armée ottomane mobilisa les jeunes juifs. Devant le nombre importants de morts, certains Yerosolomitains decidèrent de quitter le pays oú de se cacher.
C'est ainsi que le rabbin Paligel, de Jérusalem, aida Acher a quitte le pays pour La Valette, dans l'ile de Malte muni d'une lettre de recommandation pour le Grand Rabbin de la ville. C'est , deguisé en ouvrier qu 'il quitte la Palestine sur un cargo transportant des oranges. La petite communauté de Malte, n'avait pas besoin d'un autre chantre, et on le dirigea vers la grande Kéhila de Tunis où "Baba Dany" l'aida à s'intégrer. Acher rencontra une communaute dynamique où il fut tout de suite très bien accueilli. "L'homme à la voix d'or" de Jérusalem conquit d'abord les Juifs de Tunis et puis ceux de toute la Tunisie. Il developpa chez eux l'amour de Sion et de Jerusalem
En 1919, au lendemain de la déclaration Balfour, l'espoir de voir renaitre l'Etat juif, l'appel de la grande famille en Palestine, decidèrent Acher Mizrahi de revenir à sa ville natale Jérusalem. Il y retrouva, son quartier de Yemin Moche avec le celèbre moulin de Montefiore, ses géraniums , et la synagogue où il aimait chanter depuis sa plus tendre enfance. Acher Mizrahi, se remit a composer des chansons en Ladino des "romances" que l'on fredonne encore de nos jours, le president Isaac Navon est intarissable sur ce sujet si cher a son coeur.
Le pere de l'ecrivain A.B. Yehoshoua dans son livre "Enfance dans la vieille Jérusalem" decrit Acher Mizrahi : "…il était le plus célèbre de tous les musiciens que connut Jérusalem. Sa renommée s'étendait même jusqu'aux villes et villages arabes…Les jeunes filles de Jérusalem, racontaient que tous, garçons et filles étaient séduits par sa beauté. Il était brun aux yeux verts et avait une voix extraordinaire. Contrairement aux autres musiciens qui s'habillaient négligement, Acherico était toujours tiré à quatres epingles… Un foulard de soie blanche ou de couleur entourait toujours son cou, pour protéger sa voix. Lorsque il arrivait, tous se levaient pour le recevoir comme on le fait pour recevoir une personnalite. Il tenait son luth enveloppé dans la soie, sous son bras. Sûr de lui, il marchait tranquillement…".
L'année 1929, en Palestine, fut celle de graves evenements.La ville de Hebron, fut la plus éprouvée, et le slogan qui revenait toujours etait "édbah el yaoud" (égorge les Juifs). Acher avait l'habitude de porter la "chachiya stambuli". La "Hagana" lui deconseilla de porter le chapeau pour qu'il n'y ait pas d'erreur. Ce que fit Acherico et qui deplut fortement à ses nombreux amis arabes, ils virent dans ce geste son appartenance aux Sionistes, pour eux "Achir" n'etait plus un natif, un "Oueld el Balad" .Les troubles s'aggravèrent, il y eut de nombreux morts, dont ses amis les plus proches, ce qui le convaint de retourner à Tunis.
Les chercheurs et musicologues, reconnaissent tous qu' Acher Mizrahi a introduit en Tunisie, l'influence Andalouse, qui eut aussi un impact sur la musique arabe tunisienne. Acher a écrit pour les plus grand chanteurs de l'époque; Il a composé et écrit plus de trois cents chansons en arabe, plus de deux cent en hebreu, sans compter celles qu'il avait ecrit en ladino. Parmi les nombreux interprètes des années 20, la plus célèbre, fut sans aucun doute, Habiba Messika - "Habibat el Kul" "l'aimée de tous".
Acher Mizrahi lui ouvrit le monde de la musique. Habiba Messika chantait surtout des airs egyptiens, le repertoire d'Oum Kaltsoum, de Mohamed Abdelwahab et evidemment ceux d'Acher Mizrahi.
Dans les annees 30, Acher entreprit un voyage à Paris pour enregistrer des disques, avec les chanteurs Cheikh Elafrit, Chafia Rochdi, Dalila et le pianiste Mess'oud Habib. La compagnie Pathé tourna un court métrage, aujourd’hui on dirait un clip, ou Acher Mizrahi chante et joue du luth . C'est à cette epoque qu' Acher Mizrahi fut accepté comme membre de la "Societe des Auteurs et Compositeurs de Musique" de France (SACEM).
Dans son livre "Tunis chante et danse" Hamadi Abassi écrit que l'un des chanteurs les plus en vogue Cheikh Elafrit, doit au "…compositeur-chanteur Acher Mizrahi son plus joli succés, qui restera longtemps indetronable :"Tisfer we titgharab" (voyage et tu connaitras le goût de l'exil. Je voudrais souligner le fait que même dans cette chanson arabe, écrite pour un public arabe, Acher Mizrahi parle de son pays natal. Il participait aussi chaque semaine a l’emission hébraïque de Radio Tunis qui etait tres suivi dans le monde juif.
Le celebre et populaire chanteur Raoul Journo, admirateur d'Acher Mizrahi , se souvient que pour être admis à Radio Tunis, il choisit l’un des grands succès d'Acher Mizrahi "Ya ness Hamelth", pour lui il reste l'un des trois grands compositeurs en vogue en Tunisie à cette epoque.
En 1946 Acher Mizrahi publie chez le grand editeur de Sousse Maklouf Nadjar, son livre "Ma'adane Melekh" , un recueil de ses "Pioutim" . Dans la préface du livre, le grand rabbin de Tunisie Haim Bellaiche écrit: "…Ces lèvres sont des roses. Son palais des douceurs que l'on recherche du fin fond du pays et par de la les mers, pour chanter ses chants orientaux….". Le Bey de Tunis le decora de la medaille du "Nichan Ifftikhar".
On peut aujourd'hui avec le recul, affirmer qu'Acher Mizrahi a matiné la musique judéo-tunisienne, des sons de la musique de Jérusalem. Son succés fut aussi grand chez les amateurs de musique arabe comme me l'a confirmé, le grand musicologue tunisien Saleh Mahdi.
En fevrier 1957, le président Habib Bourguiba visite la "hara"le quartier juif de Tunis. Le président de la communauté Charles Haddad demande à Acher de créer une chanson en l'honneur du Président, qui fut surpris par la qualite du chant et aussi des paroles concues dans l'arabe le plus pur, qu'Acher parlait à la perfection.
Acher Mizrahi revint dans le courant du mois d'Août 1967 en Israël, il s’est promene dans la vieille ville, et rencontra d'anciennes connaissances juifs et arabes, effleura d'une main tremblante les pierres du Kotel, revit avec bonheur le quartier de son enfance Yemin Moche. Il s’eteint quelque temps plus tard dans cette Jerusalem qu'il avait tant aime.
Aujourd’hui son souvenir est encore bien vivace dans de nombreuses memoires mais ce qui est le plus important c’est que grace a ses nombreux eleves on le chante plus encore de Jerusalem a Tunis , et de Paris a New York .
Que faire aujourd’hui ? si j’etais Tunisien j’organiserai au theatre de Carthage un concert en l’honneur de celui qui a marque la musique Tunisienne et dont on fredonne les chansons . Si j’etais Espagnol je demanderai au ministre des affaires etrangeres, Miguel Moratinos, qui developpe actuellement l’etude de la culture Sepharade, d’organise autour de cet homme de paix qu’etait Acher Mizrahi, un colloque pour montrer qu’il avait ete le receptacle de la sepharadite : il ecrivait et chantait en hebreu, arabe et ladino. Enfin pour nous autres israeliens nous irons le Dimanche 12 Novembre a 2100 , a Beit-Shmuel a Jerusalem, pour assister au concert d’Acher Mizrahi qui sera , sans aucun doute l’un des evenements le plus importants du “Festival International du Oud”.
Claude Sitbon