Archive jusqu'au 02/août/2004

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires d'Aout 2004: Archive jusqu'au 02/août/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 02 août 2004 - 21h39:

LE BILLET DE L ‘AGENCE SHARON/BREITOUNA TRIC TRAC …

Je me suis finalement donné de la peine pour consulter mon vieux dictio.

Je vais le faire même plus souvent pour enrichir mon vocabulaire afin de vous servir
Des phrases élégantes, savantes qui ne soient plus trop usuelles.

Mes Philippiques ( hè’dè ouèd de nouveau mot) seront courtoises et non violentes sans qu’elles soient Hétérodoxes ( hédè le deuxième) car si ces dernières venaient se loger dans un caque( hédè le troisième) j’aurai une acromégalie ( hédè le quatrième ) d’un orteil et ça je ne le veux pas.


Croyez vous que l’humble descendant d’un croc magnant juif, que je suis, va rester à mouvoir sa langue d’handicapée ou à balbutier des mots courants, toute sa vie… ?’ Et bien, non fini la simplicité, je me lance dans le look, le chic choc chèque et j’ai des témoins qui peuvent en parler. Le ‘bim’ ( âne) adios.

Je me suis donc promis d’enrichir ma matière grise argentée par des mots savants. Je viens de vous de vous prouver , en haut, ma nouvelle formation.

Je veux paraître à vos yeux comme un homme instruit, cultivé et non plus un simple ‘bim’ qui s’invente des mots, quand cela l’arrange. Non pas que je souffre d’une anémie orthographique mais plutôt d’une nonchalance congénitale que j’efforce de faire travailler chaque matin, pour lui donner du regain. Une fois, mes lacunes comblées, je passerai à autre chose.

Donc, sans soulever des joutes épistolaires ( 5) je ‘pistolerai’ tous ceux qui me feront ombrage et si on veut me gloser ( 6) et me soumettre à une certaine dichotomie( 7) cela sera considéré comme une atteinte à ma liberté d’expression. On ne me ‘cahotera pas’ . Et je me réserve aussi l’entière liberté de vous laisser triturer vos méninges pour ‘fouillenasser’ un mot noble dans vos quids.

Il a cependant quelque chose qui me chiffonne.

A supposons que j’utilise des mots savants, serais-je certain que vous les comprendriez… ? Sans consulter le dictio.. ? Ou bien allez vous faire semblant d’avoir compris alors que vous n’avez rien compris, comme moi qui dis oui alors que je dois dire non.. ?

Et tout état de cause, je préfère rester avec ma ‘bémètologie’ ( la science des ânes), personne n’en souffrira.

Zech … ! Pour une fois que je parle bien français je me sens comme soulagé par ces grands et gros mots, et ma culture n’en sera que moins aseptisée, sclérosée , hypnotisée, anesthésiée

‘C ‘est pas beau ça…. ? Mes amis… !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le lundi 02 août 2004 - 21h11:

Howard Dean, aurait dit que l'annonce d'attaques terroristes sur des institutions financieres a NY, Washington et Newark dans le New Jersey serait une "manoeuvre politique" de Bush.
Comme si foutre la trouille aux gens pouvait avoir un but politique et etait juste pr le fun!!
Si le Department of Homeland Security et Bush ne disent rien, ils sont coupables, Si ils nous previennent, ils le font par strategie politique..
Je trouve lamentable de jouer avec le terrorisme! N'a t-on pas assez de preuves qu'ils sont capables?? tous les jours il y a des attentats dans le monde que ce soit en Irak, en Ouzbekistan... De quelles autres preuves a besoin Dean???
Si c'est comme ca que les Democrates considerent les menaces et les traitent par dessus la jambe, et bien on seraient bien ds la merde avec eux au pouvoir.. C'est pas 3800 personnes qui seraient tuees en 1 matinee mais le triple!!!
Comme quoi les Democrates ont RIEN compris au probleme et mettraient notre vie en danger!
They are unfit to be in command!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le lundi 02 août 2004 - 21h00:

Le triomphe de la commission du 11 septembre
par Daniel Pipes
New York Sun
27 juillet 2004

Adaptation française: Alain Jean-Mairet

Enfin, un organe officiel du gouvernement américain s'est levé pour dire haut et fort ce qui devait l'être: que l'ennemi est «le terrorisme islamiste (...) et non pas simplement le fléau commun qu'est le terrorisme». La «9/11 Commission», la commission d'enquête sur les attentats du 11 septembre, déclare même dans son rapport final que le terrorisme islamiste est la «catastrophe qui menace» l'Amérique aujourd'hui.

Comme le souligne Thomas Donnelly dans le New York Sun, la commission a désigné l'ennemi «par son vrai nom, une chose à laquelle les Américains politiquement corrects ont de la peine à se résoudre».

Pourquoi est-il important de spécifier la dimension islamiste du terrorisme? De même qu'un médecin doit identifier un mal avant de le traiter, un stratège doit nommer son ennemi avant de le vaincre. La grande lacune de l'effort de guerre produit par les États-Unis depuis le mois de septembre 2001 a été sa répugnance à nommer l'ennemi. Ainsi, cette guerre ne sera pas gagnée aussi longtemps que le terme anodin, euphémistique et inexact de «guerre contre le terrorisme» restera dans la nomenclature officielle.

Évoquer une «guerre contre le terrorisme islamiste» constitue un progrès. Mais le mieux serait de parler de «guerre contre l'islamisme» et de viser ainsi, au-delà du terrorisme lui-même, son idéologie totalitaire sous-jacente.

Dans un geste révélateur, le président Bush utilisa pour la première fois le terme de «militants islamiques» dans un discours donné le jour même de la publication du rapport final de la commission, le 22 juillet, pointant ainsi plus précisément que jamais auparavant sur la menace islamiste.

Le rapport de la «Commission nationale sur les attaques terroristes contre les États-Unis» présente d'autres aspects positifs. Il brosse un portrait fidèle de l'attitude islamiste, lui attribuant une «hostilité illimitée envers nous et nos valeurs». Sa description de l'objectif islamiste consistant à «débarrasser le monde du pluralisme religieux et politique» est également fort utile.

Contrairement aux analystes qui se plaisent à dénigrer les Islamistes comme n'étant qu'une poignée de fanatiques, la commission du 11 septembre reconnaît leur réelle importance, soulignant que le message d'Oussama Ben Laden «a suscité l'appui actif de milliers de jeunes Musulmans mécontents ainsi qu'un écho puissant auprès d'un nombre beaucoup plus large encore de sympathisants qui ne soutiennent pas activement ses méthodes». L'ambition islamiste ne constitue pas un parasitage de l'Islam, comme on le prétend souvent à tort, mais résulte d'une «longue tradition d'intolérance extrême» inhérente à l'Islam depuis plusieurs siècles et associée récemment au wahhabisme, aux Frères Musulmans et à l'écrivain égyptien Sayyid Qutb.

Puis, la commission fait une chose quasiment sans précédent dans le milieu gouvernemental américain: elle propose un objectif pour la guerre actuellement en cours – l'isolation et la destruction de l'islamisme.

Et après presque trois ans d'efforts, où en est-elle, cette guerre? La commission distingue prudemment entre les deux aspects que présente l'ennemi: «Al-Qaida, un réseau terroriste non étatisé», et le «mouvement idéologique radical évoluant dans le monde islamique». Elle estime, à juste titre, que le premier est affaibli, bien qu'il continue de poser «un grave danger». Cependant, le problème majeur est constitué par le deuxième, qui continue de se former et qui «va menacer les Américains et les intérêts américains longtemps encore après qu'Oussama Ben Laden et ses combattants aient été tués ou capturés». La stratégie américaine doit donc consister à démanteler le réseau Al-Qaida et à prévaloir sur «l'idéologie qui engendre le terrorisme islamiste». En d'autres termes, «les États-Unis doivent contribuer à vaincre une idéologie, et non seulement un groupe de gens».

Or, cela implique de modifier le regard que les Musulmans portent sur eux-mêmes, une chose que Washington ne peut que favoriser et non réaliser directement: «La tolérance, l'état de droit, l'ouverture politique et économique, l'extension des droits de la femme – tous ces remèdes doivent provenir des sociétés musulmanes elles-mêmes. Les États-Unis doivent soutenir de telles évolutions.»

Bien entendu, une telle mutation «sera violemment combattue par les organisations terroristes islamistes» et cette bataille sera décisive, car l'affrontement qui se prépare ne mettra pas aux prises des civilisations, mais se déroulera «au sein d'une civilisation» – la civilisation islamique. Par définition, Washington est l'un des spectateurs de cette bataille. L'Amérique «peut promouvoir la position modérée, mais elle ne peut assurer ensuite son ascension et sa prédominance. Cela, seuls les Musulmans sont en mesure de le faire».

Le rapport poursuit en soulignant que les Musulmans modérés qui aspirent à des réformes, à la liberté, à la démocratie, à l'égalité des chances doivent «aborder des questions fondamentales telles que la notion de djihad, la position de la femme et le statut des minorités non musulmanes». Puis, ils doivent développer de nouvelles interprétations islamiques de ces notions.

La commission du 11 septembre a rempli sa mission en définissant le danger actuel. L'administration Bush doit maintenant tirer parti de ces enseignements et les mettre en œuvre sans plus attendre.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 02 août 2004 - 19h55:

Hervé Nahum, Tout d'abord beni soit le nom votre pere Léon Nahum qui a su continuer la tradition judeo-tunisienne des patisseries renommees en France. Le fait que vous parlez de lui ici sur ce site, votre cher pere rentre d'office dans l'histoire des Juifs de Tunisie en France. Sans tenir compte de la liste d'honneur.

Amicalement votre emile

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 02 août 2004 - 19h32:

Hervé Bismuth, N'importe quel magasin de liqueur et vin ou des magasins de specialite italienne ont de l'orgeat en italien c'est Orzata

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Edmond (Edmond) le lundi 02 août 2004 - 19h29:

PALESTINIAN STANDARD OF LIVING COMPARED TO WORLD



Voilà une bonne réponse pour ceux qui parlent de la "misère" des Palestiniens, et de rappeler que ce niveau de vie est le résultat de l'action des Israéliens, et qu'il fut plus haut avant qu'Arafat ne lance cette guerre terroriste dite Intifada pour en masquer l'horreur

NL



PALESTINIAN STANDARD OF LIVING COMPARED TO WORLD

In the same week that a United Nations court condemned Israel's antiterrorism barrier, another division of the UN cast a more honest and revealing light on the situation of the Palestinians. The "Human Development Index" measures life expectancy, health, education, environmental quality, and overall living standards, ranking all nations from number one (Norway) to number 177 (Sierra Leone).

The so-called "Occupied Palestinian Territories" earned a place near the middle of the list, with numerical scores much closer to the privileged nations of North America and Western Europe than to destitute areas of sub-Saharan Africa. Despite Israel's much decried occupation, the Palestinians actually ranked above both Syria and Egypt - the most powerful Arab nations of the region.

According to the UN's own rankings, Palestinians actually enjoy better living standards than their Arab brothers in neighboring states - or, for that matter, than citizens of the most populous Muslim countries, Indonesia or Pakistan.

See the report at http://hdr.undp.org/reports/global/2003

(By Michael Medved, Beyond the News, http://www.beyondthenews.com, July 28,

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Edmond (Edmond) le lundi 02 août 2004 - 19h27:

Société Radio-Canada
1400 René-Lévesque Est,
Montréal (Québec)
H2L 2M2



Email: Auditoire Radio-Canada auditoire@radio-canada.ca rdi_developpement@radio-canada.ca



Mr. Renaud Gilbert Ombudsman ombudsman@radio-canada.ca

Téléphone : (514) 597-4757 http://www.radio-canada.ca/ombudsman/
Télécopieur : (514) 597-5253

Robert Rabinovitch, President and CEO, robert_rabinovitch@cbc.ca

De Montréal :(514) 790-0951 ou (514) 790-0481

De l'extérieur de Montréal :1-800-245-0945


samedi 31 juillet 2004



Objet: RDI aux nouvelles

« Manifestation de femmes et d’enfants palestiniens à Gaza, un enfant palestinien « aurait » été blessé par des tirs Israéliens »

Je trouve déplorable que Radio Canada se fasse une fois de plus le complice d’une autre mise en scène organisée par les chefs terroristes arabo-palestiniens, en diffusant une manifestation de femmes et d’enfants ayant pour seul but de vilipender Israël. Au Québec on dirait que cette manifestation « A été arrangée avec le gars des vues (arrangée avec le gars du cinéma) » Je ne prétend pas dire que les revendications de ces manifestantes n’étaient pas ce jour là en partie justifiées, mais le fait de rajouter « un enfant palestinien « aurait » été blessé par des tirs Israéliens » aurait plutôt tendance à vouloir blâmer Israël pour tout les malheurs des arabo-palestiniens.

Les Israéliens ne tirent jamais sur des femmes ou des enfants et ils sont les premiers à leur venir en aide si cela est nécessaire. Par contre nous savons tous que les « vaillants guerriers palestiniens » aiment s’entourer ou se placer en arrière de femmes et d’enfants lorsqu’ils tirent sur les soldats Israéliens.

http://littlegreenfootballs.com/weblog/pal-child-abuse/index.php?imgIndex=48&autoShow=1

http://www.upjf.org/documents/showthread.php?threadid=6299&referrerid=0

« un enfant palestinien « aurait » été blessé par des tirs Israéliens » Encore une rumeur que vous venez, pour ainsi dire, de « transformer » en nouvelle. S’il y a eu un enfant blessé, vous auriez dû investiguer un peu plus avant de nous diffuser la nouvelle telle quelle. La plupart du temps les journalistes sur place sont arabo-palestiniens eux même et feront tout pour assimiler l’enfant blessé aux tirs de semonces des soldats Israéliens.

Nous savons tous que les arabo-palestiniens ont tout l’argent nécessaire pour acheter tous les médicaments qu’ils prétendent ne pas pouvoir obtenir. Qu’Arafat rapatrie les millions de dollars, qu’il transfert régulièrement à sa femme pour l’entretien de son hôtel particulier dans le 16ème à Paris et cela fera beaucoup de médicaments à distribuer. http://www.debka.com/article.php?aid=790 http://www.globes.co.il/DocsEn/did=770842.htm

http://news.scotsman.com/latest.cfm?id=2518703

Vous êtes aussi au courant que moi-même de tout l’argent donné par l’Union Européenne en grande partie détournée à des fins personnelles par plusieurs dirigeants palestiniens en place.

(EUR 250 millions en 2004) www.europaworld.org/week188/aidtothe30704.htm A eux seuls les USA ont ou vont contribuer pour $40 millions en 2004 www.state.gov/r/pa/prs/ps/2004/34778.htm.

De 1967 à aller jusqu’à l’arrivée d’Arafat les arabo-palestiniens jouissaient du meilleur niveau de vie de tous le Moyen-Orient. http://www.proche-orient.info/xjournal_pol_int.php3?id_article=3280 Je suis sûr que vous êtes au courant du scandale du ciment offert par l’Égypte aux Palestiniens mais qui a été détourné et revendu aux compagnies Israéliennes chargées de construire la barrière de sécurité. http://www.col.fr/breve-1045.html

http://www.axisoflogic.com/artman/publish/article_8954.shtml http://www.telegraph.co.uk/news/main.jhtml?xml=/news/2004/07/25/wmid25.xml&sSheet=/news/2004/07/25/ixnewstop.html http://student.cs.ucc.ie/cs1064/jabowen/IPSC/php/db.php?next=true&aid=7418



Cette manifestation diffusée sur votre chaîne a été bien organisée avec la collaboration de la presse anti-Israélienne et n’avait pour but que de faire oublier la guerre des clans que se livrent en ce moment les arabo-palestiniens. Cette confrontation entre arabo-palestiniens est justement provoquée par la corruption flagrante qui règne au sein de l’autorité palestinienne mise en place par Arafat.

Même en ce moment, la vie des arabo-palestiniens n’est pas aussi désastreuse qu’ils veulent le montrer. Encore aujourd’hui une toute récente étude du Human Development Report 2004

http://hdr.undp.org/reports/global/2004/ dans son rapport « Human Development Indicators » nous place ce qu’eux appellent « Occupied Palestinian Territories » au 102ème rang sur un total de 177.

Tous les jours des attentats sont déjoués par les Israéliens mais on n’en entend jamais parler sur vos ondes. Tous les jours des dizaines de pertes de vies sont épargnées grâce à ces attentats qui n’ont pu être perpétrés.

Dans cette guerre imposée à Israël par les arabes, Israël a le devoir de se défendre, et nous déplorons tous que des terroristes se cachent derrière des femmes et des enfants pour attaquer.



Edmond Silber







Voir aussi:

Palestinian Legislative Council Member: The PA is Corrupt

http://memri.org/bin/articles.cgi?Page=archives&Area=sd&ID=SP40602

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le lundi 02 août 2004 - 18h45:

POUR SOIF URGENTE

Bonjour, et bravo, toujours, pour votre site, qui s'améliore d'année en année.

Je cherche de toute urgence pour soif collective une recette de Rosata (sirop d'orgeat). J'ai été chagriné, la vérité, de ne pas en trouver sur
votre site. Pouvez-vous me dire où m'en procurer une de grande classe ?

Merci infiniment.

HB.

Hervé Bismuth
DIJON

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le lundi 02 août 2004 - 18h28:

Voila que les democrates encensent Moore! Beurk!!!

Michael Moore a hero at the Democrats' convention
Rabbi Shmuley Boteach
WorldNetDaily.com

On the first night of the Democratic National Convention in Boston,from where I was broadcasting my radio show, I found myself sitting 10 feet from Michael Moore. He was chatting with journalists, so I decided to ask if he would agree to be a guest on my radio show. I wanted to debate him about his Bush hating "Fahrenheit 9-11." But when he saw me approaching, he dismissed me with a single,
condescending flick of his finger as if I were a bug crawling up his arm.

I was initially offended by his arrogant gesture. And knowing of his hatred of Israel - he identified Israel as one of the three epicenters of evil in the world (New York Times, June 26, 2004) - I wondered if his attitude had something to do with my yarmulke and beard. But then I remembered a recent New Yorker profile of Moore that portrayed him as something of a monster who treats his employees like garbage.

I walked away. A moment later I was shocked to see president Jimmy Carter walk up to Moore in front of a gargantuan TV audience and give him a warm handshake and then sit next to him for the duration of Bill Clinton's speech to the convention.

Here was a former president lending his stature to a man who wrote on his website last April that America brings immeasurable misery and sadness to the world. But then, Jimmy Carter, who rarely met a tyrant he didn't like, has been embarrassing the United States with irresponsible actions for decades.

Supporters of Israel need to question whether they wish to support a party that honors men like these - Moore was positively mobbed by the Democrats wherever he went - and whose presidential candidate, John Kerry, said last year that he might send Jimmy Carter to the Middle East as his personal envoy.

I fear that the increasing anti-war posture of the Democratic Party (notwithstanding that Kerry voted for the war) will ultimately turn against Israel. The delegates at the convention were Carter Democrats rather than John Kerry Democrats. Nine out of 10 delegates reportedly
consider the war in Iraq a mistake and support a speedy troop withdrawal.

The most common refrain heard throughout the convention was that America needed to restore its respect and popularity in the world.

What better way to do that than by ending its solid support for Israel?

America is hated by the nations of the world almost entirely due to its support of Israel and the war in Iraq. The United States is the great champion of Israel and is therefore loathed by a world that despises the Jewish state. Likewise, the United States has incurred the wrath of the world by refusing to turn a blind eye toward Arab tyranny as embodied in Saddam Hussein.

When Democratic Party leaders demand that George Bush be dumped so that America can be loved again by the French and the Germans, they are well aware that the only way that's going to happen is by a radical change in American foreign policy. That would take us back to Bill Clinton's days, when America was neutral on the Arab-Israeli conflict and when it largely turned a blind eye to Arab tyranny.

But so long as America puts principle before profit by standing up for tiny Israel against half a billion Arabs and forcibly removing Arab
tyrants, the world will continue to hate the superpower. Washington has become an international irritant by shaking up a complacent world order that couldn't care less if the Arabs eventually democratize.

That America is hated for standing up for Israelis and Iraqis against aggressive Arab bullying should not surprise us. The Talmud teaches that Mount Sinai, which means "mountain of hatred," earned its name because the Ten Commandments that were given there made the Jewish people the most hated nation on Earth. The world does not want a conscience, and the Earth's inhabitants have always sought freedom from a moral code.

Because the Jews were entrusted by God with commandments such as "Thou shalt not kill," they immediately become the enemies of murderers.

And now that America has become the moral conscience of the world by aggressively promoting liberty and justice, it too is being demonized.

The Democratic Party would have us believe that there is something wrong in having the whole world oppose you. But the Jews have long known that there is honor in it as long as you are right and they are wrong.

When all the world closes its eyes to slaughter and tyranny, Winston Churchill taught us in his opposition to Britain's policy of appeasement that the noble dare not close their eyes as well - even if it means losing the "respect" of the world.

I personally do not need the respect of Jacques Chirac and Kofi Annan. These are dishonorable men who used their influence to protect a wicked tyrant rather than his innocent victims. Nor do I wish for the respect of Jimmy Carter, a man who was the first American president to witness the rising tide of Islamic fundamentalism, but capitulated in the face of its threat.

And I certainly do not seek the respect of a man like Michael Moore, who profits from portraying the United States as a murderous dictatorship and Israel as its chief partner in crime.

Rabbi Shmuley Boteach is a nationally syndicated radio host daily from 2-5 p.m. EST on the Liberty Broadcasting Network, and was named by
Talkers magazine as one of America's 100 most important talk-radio hosts. A best-selling author of 14 books, his latest work is "The
Private Adam: Becoming a Hero in a Selfish Age" (HarperCollins).



Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le lundi 02 août 2004 - 18h38:

Tou beav : Le lundi 2 aout 2004

Bonjour,

Voici une carte de souhaits pour la fete de l'amour , le 15 du mois de Av. Je l'ai realisee en encadrant un dessin de Z. Rabban, pris de son livre sur le Cantique des Cantiques, et en ajoutant des mots de circonstance dans le cercle central.

Merci et Shalom.

Avraham

c:/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le lundi 02 août 2004 - 18h37:

Trois jeunes juifs agressés à Villeurbanne


LYON (Reuters) - Trois jeunes juifs de la région lyonnaise ont été agressés dans la nuit de dimanche à lundi par un groupe d'une quinzaine de jeunes à Villeurbanne, a-t-on appris auprès de la Préfecture du Rhône.


Deux des trois adolescents, âgés de 16 à 18 ans, se sont vu délivrer une incapacité de travail de six jours. Ils ont reçu des coups de pieds et des coups de poings, a-t-on précisé de même source.


La police a interpellé les quatre principaux agresseurs, dont trois sont mineurs, qui sont actuellement en garde à vue au commissariat de Villeurbanne.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le lundi 02 août 2004 - 18h36:

L'homme fort de Gaza, Dahlan, critique Arafat

JERUSALEM (AP) - Mohammed Dahlan, ancien responsable palestinien de la sécurité pour la Bande de Gaza, critique Yasser Arafat et exige des réformes sous dix jours, en brandissant la menace d'importantes manifestations.

"Arafat est actuellement assis sur les corps et les ruines des Palestiniens au moment où ils ont le plus besoin de soutien", a-t-il déclaré, selon un journal dominical koweïtien. Interrogé par la télévision arabophone al-Arabiya, Mohammed Dahlan assure qu'il ne veut pas détruire l'image du président de l'Autorité palestinienne mais "la corriger pour qu'elle reste magnifique".

Toutefois, poursuit-il, si rien ne devait être fait dans le sens d'une réforme d'ici au 10 août, "un mouvement de protestation de 30.000 personnes manifesterait dans la Bande de Gaza pour exiger la mise en oeuvre" des réformes.

Pour ce qui est de la crise actuelle, "l'échec de l'organisation a conduit à ce chaos. Il est temps qu'ils demandent des comptes aux corrompus (...) d'une façon différente", a jugé Mohammed Dahlan, qui se défend de vouloir remplacer Yasser Arafat. AP

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le lundi 02 août 2004 - 15h42:

Article plein d'enseignement.
A noter en particulier dans l'avant dernier paragraphe, la définition du "refugié" et sa méthode de dénombrement qui diffèrent selon qu'il s'agisse de l'UNRWA (se consacrant aux réfugiés palestiniens), ou du Haut Commissariat aux Réfugiés, UNHCR (se consacrant a tous les autres réfugiés du monde).


Pas de temps pour l'Afrique, Evelyn Gordon
The Jerusalem Post, 19 juillet 2004

Titre original : “No time for Africa”, By EVELYN GORDON - Traduction française de Nicole Benattar pour INFO'SION

Shashi Tharoor, sous-secrétaire général des Nations Unies, chargé de la communication et de l'information, a publié dans l'International Herald Tribune de mercredi dernier un plaidoyer angoissé, intitulé "Les nouvelles essentielles que vous ne lirez jamais".

L'article de Tharoor accusait les médias - et par conséquent le monde - d'ignorer plusieurs crises humanitaires graves.

Deux jours plus tard, Carol Bellamy, directeur exécutif de l'UNICEF, publiait un article de la même veine dans le même journal. Elle y stigmatisait le coupable oubli dont le monde fait preuve à l'égard d'une crise particulière : celle de l'Ouganda. Dans ce pays, des enfants de six ans sont enrôlés de force dans l'Armée de Résistance du Seigneur (LRA: Lord's Resistance Army) où ils servent comme soldats combattants, ou comme esclaves.

Selon Bellamy, quelque 12 000 enfants ont déjà été enlevés par la LRA au cours des deux années écoulées, et quelque 44 000 autres enfants fuient leurs foyers tous les soirs pour échapper à ces rapts.

Les hauts fonctionnaires de l'ONU ne sont pas les seuls à se plaindre de cette amnésie. Ainsi, dans un article en date du 1er juin, Nicholas Kristof, éditorialiste au New York Times, avait accusé le monde d'indifférence envers le génocide dans la région du Darfour, au Soudan. Là, des milices musulmanes arabes soutenues par le gouvernement massacrent les musulmans non arabes depuis 16 mois. Outre ces milliers de meurtres, ils sont responsables de la fuite d'un million deux cent mille habitants du Darfour.

[...]

Tharoor imputait cette indifférence à la concentration obsessionnelle des médias sur la guerre en Irak, Bellamy et Kristof ne proposaient aucune explication. Inutile de souligner qu'aucun des trois n'envisageait que sa propre organisation soit responsable de cette indifférence.

Pourtant si le monde est indifférent à des crises humanitaires telles que celles de l'Ouganda ou du Soudan, on ne peut qu'accuser les institutions qui devraient attirer l'attention du monde sur elles, à savoir : les Nations Unies et les médias.

Il est très difficile pour des individus moyens de se passionner pour une crise dont ils n'entendent pratiquement jamais parler. Seuls attirent l'attention les sujets dont on nous parle quotidiennement.

Tharoor a bien raison de mentionner l'Irak : on nous en parle tous les jours. Il existe néanmoins un autre sujet qui obsède l'ONU et les médias tant et si bien qu'ils n'ont plus le loisir de nous parler du Soudan. Il s'agit bien évidemment du conflit israélo-palestinien.

Selon l'ONU, au cours des quatre dernières années, le conflit israélo-palestinien a causé quelque 4 000 morts et provoqué le déplacement de 15 000 personnes. En revanche, le conflit du Darfour a causé 30 000 morts et provoqué le déplacement d'un million deux cent mille personnes, en trois fois moins de temps. En toute objectivité, la crise du Darfour semble être beaucoup plus grave.

Néanmoins, si l'on effectue une recherche dans les archives des principaux journaux américains et européens de l'an passé, on s'aperçoit que ceux-ci ont publié de 7 à 14 fois plus d'articles sur Israël que sur le Soudan. Ainsi, le New York Times a consacré 260 articles sur le Soudan, contre 2.837 sur Israël. Les chiffres pour le Times de Londres sont de 148 contre 1.118. Pour le Die Welt, la proportion est de 568 contre 8.205. Pour El Pais, elle est de 166 contre 1.776. En outre, les articles sur le conflit israélo-palestinien ont souvent les honneurs de la première page, alors que le Soudan est habituellement relégué dans les pages intérieures.

Par conséquent, il n'est pas étonnant que, malgré la mort de dizaines de Soudanais chaque jour, suite au manque d'aide internationale, les Palestiniens reçoivent, à en croire la Banque Mondiale, plus de subsides par personne qu'aucun pays n'en a perçus depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale.

L'ONU est tout aussi coupable de donner l'impression que toutes les crises internationales sont moins importantes que le conflit israélo-palestinien. Un nombre disproportionné de résolutions de l'ONU sont consacrées à mettre Israël en accusation, et parmi celles-ci, plus du quart des condamnations émises par la Commission des Droits de l'Homme de l'ONU au cours de ces 40 dernières années. Mais la structure institutionnelle même des Nations Unies tend à concentrer l'attention sur ce conflit à la quasi-exclusion de tous les autres.

Ainsi que le remarquait récemment Anne Bayefsky, dans ce même journal, 6 des 10 sessions d'urgence convoquées par l'Assemblée Générale ont été consacrées à Israël. Aucune session d'urgence n'a jamais été consacrée au Soudan, ni au génocide rwandais, qui a causé la mort de quelque 800 000 personnes.

Mais ce parti pris institutionnel est encore plus frappant en ce qui concerne les réfugiés. Une organisation entière de l'ONU, l'UNRWA, se consacre aux réfugiés palestiniens, alors que tous les autres réfugiés du monde sont gérés par le Haut Commissariat aux Réfugiés (UNHCR). Selon toute vraisemblance, ces deux organisations publient des communiqués, tiennent des conférences de presse, rédigent des articles pour les journaux et devraient donc s'efforcer d'attirer l'attention du public dans une proportion à peu près égale. Mais [ce n'est pas le cas. En effet], alors que la communication de l'UNRWA est uniquement centrée sur les réfugiés palestiniens, celle de l'UNHCR doit se répartir entre les nombreux autres groupes de réfugiés.

De ce fait, les réfugiés palestiniens reçoivent autant d'attention que tous les autres réfugiés réunis, et ceci en dépit du fait que les réfugiés palestiniens, contrairement à ceux qui meurent en ce moment au Darfour, ont été installés, depuis 50 ans, dans de vraies maisons et de vraies localités, en Jordanie, à Gaza et en Cisjordanie.

En outre, l'UNHCR définit comme réfugiés ceux qui ont personnellement perdu leurs maisons, alors que l'UNRWA inclut dans la catégorie des réfugiés tous les descendants de ces derniers. Ce qui lui permet de se prévaloir du chiffre de plus de 4 millions de réfugiés palestiniens, alors que, selon la définition de l'UNHCR, il n'y en aurait que 200 000. En effet, on estime à 600.000 le nombre d'Arabes qui ont fui Israël en 1948, et un grand nombre d'entre eux sont décédés pendant cet intervalle de 56 ans.

Il est évident que 4 millions est un chiffre bien plus impressionnant que les malheureux 1.200.000 réfugiés du Darfour. Mais comment l'UNHCR pourrait-il soutenir la comparaison, alors qu'il lui est interdit de gonfler ses chiffres comme le fait l'UNRWA ?
Par conséquent, si les éditorialistes et les responsables onusiens sont vraiment attristés par l'indifférence mondiale à l'égard des crises du Soudan ou de l'Ouganda, c'est à eux-mêmes qu'ils doivent s'en prendre.

Eux seuls peuvent modifier l'ordre de leurs priorités et, par là même, celui du monde entier.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le lundi 02 août 2004 - 05h04:

TUNES CELEBRES

Bonjour je m'appelle hervé nahum fils de léon nahum qui est malheuresement parti le 12 nissan 5761. Qui fut le fondateur avec son frére d'une patisserie tunisienne de renom à paris "NANI" qui en fut le maître d'oeuvre puiqu'il en était le patissier principal est créateur de toute les recttes, fréquement consulté par les radios et les grands patissiers français comme lenôtre, mauduit, la durée ect pour Ses recettes tunisiennes et que ces commandes allaient jusqu'à new york.
pour sà mémoire et pour ce qu'il à apporte à la communauté tunisienne en france il serait bien que son nom marque l'histoire tunisenne de france.
je tiens à vous reformuler mon plaisir et mà joie et plus ce kiff à consulter votre site .

cordialement

hervé Nahum