Archive jusqu'au 04/août/2004

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires d'Aout 2004: Archive jusqu'au 04/août/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mercredi 04 août 2004 - 00h19:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Revue de presse BouleItik HebdRomadaire.

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Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Richard_S (Richard_S) le mardi 03 août 2004 - 22h26:

Qui a denonce Anne Frank ?

Ne cherchez plus qui a denonce Anne Frank, je vais moi aussi les denoncer.

- Ce sont les memes qui disent que l'aggression contre les Juifs de Villeurbanne n'etait pas a caractère antisémite.

- Ce sont les memes qui votent contre Israel a l'ONU pour n'importe quelle raison et entrainent les autres avec eux.

- Ce sont les memes qui taguent les tombes Juives dans les cimetierres.

- Ce sont les memes qui enseignent a leurs enfants que les Juifs sont responsables de la mort de Christ et donc des assassins de Dieu.

- Ce sont les memes qui ont rafle leurs compatriotes pour les donner auz nazis durant la seconde guerre mondiale.

- Ce sont les memes qui ont accuse Dreyfus d'etre un traitre.

- Ce sont les memes qui ne manquent pas une occasion de denoncer un soi-disant complot Juif mondial.

- Ce sont les memes qui ont cette haine atavique du Juif et veulent en debarasser la planete.

Richard

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Francois (Francois) le mardi 03 août 2004 - 21h40:

Négationnisme

Le journal présumé (et torchon antisioniste avéré), l'Immonde, nous apprend dans son édition de ce jour qu'agresser des juifs n'est pas antisémite.

Résumé des faits: dimanche, trois jeunes juifs, clairement identifiables comme juifs car l'un d'entre eux portait une kippa, et l'autre une casquette avec une inscription en hébreu, sont agressés par quinze criminels gallo-arabes. La plupart de ces criminels étaient arabes.

Le torchoniste de l'Immonde, Richard Schittly, dans un article au titre éloquent "Quand une rixe se transforme un peu vite en agression antisémite" affirme sans honte qu'on se serait mépris, il ne s'agit pas d'une agression antisémite.

La lecture de l'article est édifiante. Le torchoniste est totalement incapable de démontrer qu'il ne s'agit pas d'une agression antisémite. Au contraire, il apparaît clairement qu'il se contente de rapporter les propos des officiels gallo-arabes. Et donc de reprendre la thèse officielle de République présumée française: il n'y a pas d'antisémitisme en France.

Le dessous de l'affaire semble clair. Alors qu'hier la préfecture du Rhône se félicitait d'avoir résolu promptement une affaire d'antisémitisme. Elle a tourné casaque aujourd'hui. Il est probable qu'entre temps, ces fonctionnaires se sont fait remettre au pas par leur hiérarchie, en l'occurence le méprisable Villepin. On peut parier sans grand risque que ces fonctionnaires n'auront pas de sitôt l'idée saugrenue de contester la vérité officielle.

Le torchoniste de l'Immonde est tellement peu professionnel qu'il est impossible de se faire une idée à partir du papier cul qu'il a l'effronterie de qualifier d'article. Il est d'ailleurs clair qu'il ne s'est livré à aucune enquête sérieuse sur la véracité de la version officielle.

Cependant, en collectant les rares informations publiées dans les autres médias gallo-arabes, il est possible de commencer à démonter la falsification grossière des autorités chirakailles.

D'après la version officielle, il ne s'agirait pas d'antisémitisme car:

Il n'y a pas d'agression caractérisée (on se demande si les 6 jours d'arrêt de travail reçus par deux des victimes sont dus à un sentiment d'antisémitisme, on se demande aussi en quoi cela démontre qu'il ne s'agit pas d'antisémitisme),
Il n'y a pas eu de préméditation (ça ne prouve en rien qu'il ne s'agit pas d'une agression antisémite),
Il n'y a pas eu d'injures antisémites proférées (ça ne prouve rien non plus, par contre, une des victimes affirme que deux ou trois des jeunes agresseurs auraient proféré des insultes antisémites lors d'une agression précédente).
Bien entendu, aucun journaliste chirakaille ne remet en cause ce mensonge grotesque. Un tel unanisme démontre bien qu'il ne s'agit pas seulement d'incompétence mais surtout la volonté de promouvoir une vérité qui les arrange.

D'ailleurs, tous ces torchonistes abondent dans le sens de la version officielle, il s'agirait en fait d'une rencontre entre deux groupes de jeunes gens qui aurait mal tourné.

En clair, une sorte de West Side Story sur Rhône avec des bandes rivales qui se feraient la guerre. Pour crédibiliser ce scénario, on aimerait quand même que les présumées police et justice chirakailles nous prouvent que des bandes de jeunes juifs agressent régulièrement des arabes modérés.

Pour minimiser plus encore la nature antisémite de cette affaire, les autorités chirakailles prétendent, sans dire pourquoi, qu'il s'agirait d'une rivalité sentimentale. Elles se gardent bien entendu d'en apporter la moindre preuve.

Il apparaît de plus en plus clairement que les activités (c'est de l'humour juif) de lutte contre l'antisémitisme des autorités gallo-arabes doivent être monitorées par des instances non seulement indépendantes, mais surtout non françaises.

En effet, le fait même d'être de nationalité française fait perdre par avance toute crédibilité à une quelconque institution. Au pays des droits l'homme (non-juifs), le pouvoir exerce une forte emprise sur la plupart des institutions et des médias. Comme si cela ne suffisait pas, les lobbies antisionistes pulullent. La possibilité d'établir la vérité est donc pratiquement inexistante.

François Medioni

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 03 août 2004 - 20h12:

LE BILLET DE L AGENCE SHARON/BREITOUNA TRIC TRAC…

Ce matin j’annonçais que j’avais l’immense tristesse vous faire part de la perte ……De 50 cm de hauteur du Mont Blanc. L’Institut Géographique Française du Fil à Plomb a délégué son fin limier métreur à l’occasion, prendre les mensurations de notre chère grande montagne européenne ,le Mont Blanc.

Après plusieurs relevés au ruban de couturier, Monsieur Breitou, ingénieur aux Ponts et Chassés Croisés a remis ses conclusions.

Il en ressort que cette grande dame, a bien perdu 50 cm et qu’elle ne mesure plus que 4807,50 mètres au lieu des 4850 initialement comptés en 1986.

Voilà ce que dit en conclusion le rapport publie en page 6 de mon quotidien préfère..

‘…De fait le véritable sommet rocheux se situe 40 mètres plus à l’Ouest : il culmine à 4792 mètres, sous 14 mètres de glace. Mais là, l’altitude en surface n’est que de 4806 mètres…De quoi perdre le Nord… !’ ………..Et moi la boule.

Soit une perte d’altitude de 0, 000114.

Les alpinistes et skieurs de tous bords n’en souffriront pas. Bien au contraire, ils y gagnent en efforts.

Si je considère ma hauteur, j’aurai perdu, proportionnellement, 0,2941176 en 18 ans. Ce qui fait que ma nouvelle hauteur est de 1,70-0,2941176 = 169,708824, vous me direz que c’est insignifiant et bien pour moi, non, cela a de l’importance car dans Deux siècles ma hauteur sera celle d’un Lilliput ( Kabourra) et Breitou passera inaperçu à vos yeux.

Donc je vais pendre mes dispositions là aussi. Prévenir mon rapetissement en élevant mon esprit. Je gagnerai en célébrité tout en étant à un moindre niveau.

A bien réfléchir je me dis est ce que la grandeur de la taille favorise l’intelligence ???
Ou l’intellectuel.. ???? Je ne le crois pas : on peut être ‘kaboura’ intelligent et ‘Haime taoualla ( gigantesque ) blè ghèlla ( stérile), bête.

Dans tous les cas, personnellement je préfère prendre de la hauteur : je compenserai cette perte par des talons compensés, l’air est d’abord frais et puis mes oreilles dans cette altitude n’entendront pas les mesquineries qui se disent dans les séracs….Ca sert à quoi de vivre toujours avec la même hauteur des autres …. !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le mardi 03 août 2004 - 19h47:

Trois adolescents juifs agressés près de Lyon

La police n'est pas persuadée du caractère antisémite de l'incident intervenu dimanche soir à Villeurbanne.

Par Blandine GROSJEAN

mardi 03 août 2004 (Liberation - 06:00)




Hier après-midi, l'hôtel de police de Lyon tempérait la portée du communiqué lâché dans la matinée par la préfecture. «Il y a bien eu agression, mais elle n'a pas un caractère antisémite particulièrement appuyé. D'après les premières confrontations, il s'agirait plutôt d'une histoire de groupes de jeunes ados qui se sont défiés.» Une source judiciaire ajoutant «par le regard».

Batte de base-ball. Le matin, pourtant, la préfecture avait été plus explicite : «Trois jeunes de confession juive, âgés de 16 à 18 ans, ont été agressés à coups de pied et de poing, dimanche soir, sur la voie publique à Villeurbanne, par une quinzaine de jeunes gens, dont quatre ont été interpellés. Deux des victimes ont reçu six jours d'incapacité temporaire de travail (ITT). Les victimes avaient déjà subi une agression du même type, moins violente, quelques jours auparavant.»

La scène se passe donc dimanche soir. Vers 23 heures, dans le quartier du métro République à Villeurbanne, commune limitrophe de Lyon. Trois jeunes gens, dont l'un portait une kippa et l'autre une casquette avec des inscriptions en hébreu, croisent un groupe d'une quinzaine de jeunes. Les trois premiers se rendaient chez une amie. La bande leur aurait lancé «cassez-vous parce que vous allez bientôt mourir». Les coups pleuvent. Trois contre quinze, mais, selon la police qui est intervenue quelques minutes après le début de la «bagarre», «tous n'ont pas forcément participé». Et, toujours selon la même source, il n'y avait pas de préméditation, «pas d'arme blanche ni de batte de base-ball». Les quatre jeunes interpellés dimanche soir (14, 16, 17 et 19 ans), ainsi qu'un cinquième arrêté hier, «n'ont jamais été mêlés à des affaires de ce type». Lors des confrontations, les agresseurs ont d'ailleurs nié toute injure raciste. Selon le Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) de Rhône-Alpes, les agresseurs seraient majoritairement de type maghrébin. La police précisant qu'ils sont «du quartier». L'une des victimes aurait reconnu dans le groupe deux ou trois jeunes présents lors d'une bagarre devant un collège villeurbannais le 13 mai, au cours de laquelle des insultes antijuives avaient été proférées. «Nous suivons toutes ces affaires de très près, et nous n'avons pas fait le lien avec les bagarres ayant eu lieu au mois de mai», indiquait, hier, l'hôtel de police. La dernière agression de ce genre dans l'agglomération remontant au mois de juin : «Deux jeunes filles de Villeurbanne, scolarisées à Lyon, avaient été molestées ès qualités de juives ­ ITT de 8 jours ­ lors des épreuves du brevet des collèges à Caluire. Les agresseurs ­deux filles­ ont été identifiés et interpellés sur place.»

Vindicte. «Il faut être extrêmement prudent dans ce genre d'affaire, a réagi hier le grand rabbin de Lyon, Richard Wertenschlag. Mais il est incontestable qu'il règne une ambiance d'hostilité.» Malgré toutes les précautions de circonstance, il pense que cette agression est indiscutablement un acte d'antisémitisme : «Ils s'en sont pris à eux pour le seul fait d'être juifs.» Il assure qu'aujourd'hui, se promener avec une kippa dans Lyon ou sa banlieue expose «au mieux à des quolibets, au pire à des insultes de la part de la communauté arabe». «Il n'y a plus aucun quartier qui échappe à cette vindicte, au point que l'on se demande s'il n'y a pas un mot d'ordre.»

Emotion. Lui-même a vécu quatre incidents de ce type ces derniers mois. Le Crif, citant les chiffres du ministère de l'Intérieur, comptabilise 29 agressions physiques antisémites contre des personnes pour le premier semestre 2004. «Sept lors du premier semestre 2003.» L'acte le plus grave restant, pour tous, l'incendie de la synagogue Rav Hida de la Duchère par des jeunes encagoulés en mars 2002. «Ce que l'on peut déplorer aujourd'hui, c'est le fait que des jeunes Français ne puissent plus circuler dans leur ville à 23 heures», a affirmé le président du Crif Rhône-Alpes, Marcel Amsallem.

L'émotion aujourd'hui est d'autant plus grande que cette agression a eu lieu à Villeurbanne, où, au fil des années, s'est regroupée près de la moitié des 35 000 membres de la communauté. «Beaucoup de juifs ont préféré venir s'installer ici pour être moins vulnérables et pour se rapprocher des écoles», témoigne un commerçant de Villeurbanne (où deux des trois établissements scolaires juifs de l'agglomération sont installés). Les cinq agresseurs interpellés devaient être déférés au parquet ce matin.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le mardi 03 août 2004 - 19h40:

Voici la réponse de G Charpak à ma lettre ci-dessous. A vous de juger ce Nobel....


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Lettre ouverte à Mr Charpak


Albert SOUED

27, Avenue du 11 Novembre

92190 MEUDON



A l'attention de Mr Charpak



Objet: p223 de "soyez savants, devenez prophètes" - éd. Odile Jacob



Meudon le 25 juillet 2004



Monsieur,



Page 223 du livre en objet, vous affirmez sans le moindre doute "…Il est clair que les Palestiniens n'avaient pas la moindre responsabilité dans le massacre des Juifs européens et qu'ils n'en ont pas moins payé le prix fort en perdant leur patrie…."



Je suis étonné de tels propos émis par un scientifique qui se doit de vérifier ce qu'il écrit, avant d'asséner des vérités qui sont, il est vrai, "islamiquement correctes".



Il y a deux anomalies dans votre phrase. La plus importante concerne la patrie perdue des Palestiniens. Or depuis la chute et le partage de l'empire ottoman, les habitants arabes du territoire appelé Palestine ont gagné non seulement une, mais deux patries: une partie des territoires autonomes de Cisjordanie et de Gaza et puis la Jordanie, constituée pour les deux-tiers de Palestiniens.

Ceci étant, je suppose que vous n'ignorez pas qu'au début du 20ème siècle il n'y avait pas plus d'arabes que de juifs sur le territoire de ladite Palestine, au sens du mandat britannique. Après la déclaration Balfour et l'intensification de l'immigration juive en Palestine, les arabes ont commencé à affluer à la recherche d'emplois agricoles.

En suivant votre mode de pensée et en occultant le fait religieux et l'histoire du peuple juif, je dirai que la Palestine est autant la patrie des Juifs que des Arabes qui y vivent. 95% des arabes de Palestine sont aujourd'hui sous contrôle de l'Autorité Palestinienne et sur le plan territorial, une partie des territoires autonomes est contestés par les parties et sujette à négociations. Ainsi les Palestiniens ont une patrie en Palestine qu'ils sont libres de transformer en état s'ils le souhaitent, par voie de négociation pacifique avec leurs voisins israéliens, jordaniens et égyptiens. Je ne vois pas en quoi les Palestiniens auraient perdu leur patrie.

La deuxième anomalie, quoique mineure, concerne la responsabilité des Palestiniens dans la mort de juifs. Vous occultez les pogroms des années 20/30/40 en Palestine et surtout Haj Amine al Husseini, le chef des Palestiniens qui était un nazi notoire, ayant participé à la préparation avec Hitler de la solution finale des juifs du Moyen Orient (sans succès grâce aux anglais) et qui a constitué des milices musulmanes en Bosnie, massacrant serbes et juifs.



Ceci étant, permettez moi de vous dire que je n'ai pas très bien compris votre tirade d'ordre politique dans un ouvrage supposé de vulgarisation scientifique….



Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées.



Albert Soued

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mardi 03 août 2004 - 19h31:

Des obus et pas de cochonnets (info # 010308/4) [analyse]
Par Ilan Tsadik © Metula News Agency



"Proche-Orient : Trois Palestiniens tués par un tir d’obus" titrait ce matin le Monde (09h29, heure de Paris), dans un article écrit en collaboration avec l’AFP [lire l’article]. Cet article-dépêche faisait suite aux deux commentaires terribles de mon père Ca jure… et Ca jure… et c’est carrément fascisant, dans lesquels il avait déconstruit jusqu’à l’os une précédente imposture de l’agence officielle de presse française. Ladite avait, on le rappelle, camouflé l’assassinat d’un jeune Palestinien par un commando d’Arafat, en le faisant passer pour un "accident de travail" de "résistants" occupés à arrêter des chars israéliens.



Le Monde n’avait pas pipé mot de ce meurtre inter Palestiniens. Mon père faisait également état dans ses papiers de ce que les titres de dépêches annonçant un nombre de Palestiniens tués, en lieu et place d’un chapeau correspondant à la description d’un événement, n’étaient pas constitutifs d’une démarche journalistique. Le nombre de tués lors d’un incident, d’un accident ou d’une bataille étant un effet de l’événement couvert par un journaliste et pas la description de celui-ci.



A la Ména, pour illustrer l’inanité de cette manière de présenter les choses, on aime à donner l’exemple d’un casse imaginaire contre une banque, qui aurait eu lieu à Dijon et au cours duquel deux gangsters et un policier auraient été tués. A transposer à ce hold-up la technique utilisée par les désinformateurs de l’Intifada, on titrerait sèchement "Trois français tués". Bien sûr, cela ne dit rien à propos de l’événement, sûr que ça n’est pas du journalisme et sûr aussi que la transposition donne un exemple précis – même s’il est risible – de la méthodologie employée par les faussaires.



Et ces titres qui se succèdent, ajoutés aux mises en scène à la A-Dura des récits de l’AFP, instrumentent une politique chiraquienne visant à donner l’impression aux Français moyens que les Israéliens se livrent à une sorte de génocide rampant de la population palestinienne. Ces distorsions quotidiennes, qui incitent assurément à la haine d’Israël et partant - il n’y a qu’un minuscule ruisseau à enjamber - aux violences antijuives.



La bande à Plenel et au rédacteur en chef Sylvain Cypel avait récidivé depuis l’article de mon père, montrant à quel point ils plaçaient leurs certitudes au-dessus du journalisme et de l’hygiène publique. Voici quelques jours, ils titraient à nouveau : "Un Palestinien tué".



Aujourd’hui, donc, adossant, sans se gratter les puces, leur affirmation sur les mêmes sources qui s’étaient avérées bidouillées à Bet Hanoun, voici un peu plus d’une semaine, les escrocs de l’information, que sont les commissaires à l’antisémitisme de l’agence nationale et les ramasseurs de merdes de la rue Claude-Bernard, remettaient le couvert. C’était même une table de fête, puisqu’ils inondaient leurs lecteurs d’une nouvelle exaction commise par les juifs. Ces résurgences circoncises des Waffen-SS étaient pris la main sur leur canon encore fumant à massacrer du Palestoche à coups d’obus. Vlan. Je veux dire vlaaaaaaaaaan !



Comme à Bet Hanoun, les néo-mondains plénelliens puisaient encore une fois la licence de criminaliser les Israéliens à la gamelle des témoignages anonymes recueillis par les commissaires politiques de l’ordre chiraquien. A part ces sources exclusives desquelles les authentiques journalistes n’approchent jamais leurs lèvres, même le directeur de l’hôpital de Rafah, le docteur Ali Moussa, ne faisait état que d’une explosion et les "sources sécuritaires palestiniennes" – le Monde et l’AFP citent ainsi des barbouzes à la solde de Moussa Arafat, le neveu corrompu de l’autre - "se refusaient à confirmer que ces dernier (les Israéliens) ont tiré des obus".



Mais Moussa Arafat ignore peut-être que la "liberté de critiquer Israël" est encore plus évoluée à Claude-Bernard qu’à Rafah. Il ignore, le bougre, qu’Edwy Plenel a dû guerroyer ferme contre les moulin-à-vent, avec signature de manifestes déguisés en pétitions et tutti quanti, pour que la presse libre de Franz obtienne le "droit" de décharger son venin contre Israël. Et peu importe si aucune base objective n’accréditait l’utilisation d’un obus. La doctrine de Plenel a dit obus juif, donc il y a obus juif, capiche ?



J’ai relevé une autre drôlerie dans l’article des tankistes de Plenel, même s’il me semble qu’ils l’ont reprise de la dépêche des commissaires du parti. Ca va comme ça : "Selon des témoins, cette explosion serait due à un obus de char tiré par des soldats israéliens. D’ailleurs, une source sécuritaire palestinienne a de son côté indiqué que ceux-ci avaient pénétré mardi matin dans le camp de Rafah…". Ce qui m’a follement amusé, c’est le "d’ailleurs", puisque, du reste. Comprenez, chers adeptes de l’aèfpisme scientifique, que les témoins anonymes de l’obus fantôme sont tout à fait crédibles, puisque les Israéliens étaient présents mardi matin à Rafah. En d’autres termes, là où les Israéliens se trouvent, il est tout naturel qu’ils tirent "dans le tas" avec leurs Merkava de 60 tonnes et leurs obus d’une tonne. C’est logique, non ?



Pour connaître la vérité, il n’est pas besoin cette fois de déranger Sami el-Soudi et de lui faire prendre des risques inutiles. Il suffisait de lire, une minute avant la publication de l’article du Monde (09h28), la dépêche que Reuters consacrait à l’événement :



"D'après l'armée israélienne, dont les explications ont été corroborées par des témoins, la déflagration a été provoquée par une bombe que manipulaient les trois Palestiniens.



Deux d'entre eux étaient des activistes; le troisième un policier qui n'était pas en service au moment de l'explosion.



Quinze personnes au moins ont été blessées dans la déflagration. Un caméraman de Reuters, Bassam Massoud, a été touché à la main par des éclats. "J'étais près de la frontière avec l'Egypte, il y a eu subitement une forte explosion", a-t-il raconté" [Lire la dépêche de Reuters sur Libération].



Ceci dit, ils sont pas pal non plus, à Libé ; leur titre, c’est : "Trois Palestiniens tués dans une explosion à Rafah"…



Trois miliciens palestiniens, tués par la bombe qu’ils manipulaient. Ca n’est pourtant pas très compliqué, le journalisme, lorsqu’on se contente de rapporter les faits au lieu de les fabriquer.



Il y a une règle, dans la profession, qui veut que si on s’est trompé de bonne foi, on ne soit pas pénalement condamnable. Bien qu’Ilan ne nourrisse aucun doute quant à l’absence belphégorienne de caractérisation de cette nouvelle incitation à la haine ethnique, pour la faire tomber sous le coup de la tolérance zéro du président de fer et de sa justice d’acier, Ilan veut tout de même signifier que nos très confrères de France Pougne et de le Welt haïdi-haïdo-haïda ne pourraient pas en appeler à cette circonstance atténuante. Parce que les circonstances, l’empressement à diaboliser "nous-les-Youtres", les protagonistes journaleux, sont exactement les mêmes que lors de l’affaire de Bet Hanoun. Toutes leurs errances avaient été analysées et dénoncées avec la précision d’orfèvre qui caractérise si bien le père d’Ilan, or il n’est pas possible de faire, de bonne foi, deux fois les mêmes fautes systématiques. Même en France.



Bien sûr que c’est grave.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pauline (Pauline) le mardi 03 août 2004 - 19h17:

Soixante ans après, le mystère demeure autour du dénonciateur d'Anne Frank


LA HAYE (AFP) - Le 4 août 1944, Anne Frank était dénoncée aux nazis après deux ans de vie clandestine à Amsterdam et déportée en camp de concentration: soixante plus tard, l'identité du dénonciateur reste toujours mystérieuse.

Entre 1942 et août 1944, Anne Frank, ses parents, sa soeur aînée Margot et quatre autres personnes vécurent cachés dans une remise à l'arrière du magasin d'Otto Frank, au bord d'un des canaux d'Amsterdam.

C'est depuis cet espace contigu et étouffant que l'adolescente écrivit son célèbre journal, racontant ses peurs et ses espoirs.

Le 4 août 1944, tout bascule après une dénonciation. Le SS Karl Joseph Silberbauer et trois collaborateurs néerlandais font irruption au Prinsengracht 263, l'adresse où se cachent Anne Frank et sa famille. Ils demandent à être conduits là où des Juifs se cachent et se rendent directement à l'annexe, a raconté Silberbauer après la guerre.

Anne et sa famille sont déportés. L'adolescente mourra au camp de Bergen Belsen en mars 1945. Seul son père survivra et reviendra à Amsterdam où il récupère le fameux journal sauvé par une amie néerlandaise de la famille.

L'officier SS Silberbauer affirme ne pas savoir qui a trahi Anne Frank.

Au fil des ans, les théories se sont multipliées pour tenter de déterminer l'identité du traître.

"C'est normal, vous voyez ce qu'a vécu Anne Frank et vous voulez pouvoir attraper le coupable. Les gens sont en colère et veulent savoir", remarque Hans Westra, directeur de la Fondation Anne Frank à Amsterdam.

Trois suspects principaux ont émergé: Wim van Maaren, un employé d'Otto Frank, Lena Hartog-Van Bladeren, une femme de ménage et Anthon "Tonny" Ahlers, un militant du parti néerlandais pronazi NSB. Ce dernier, qui gravitait dans le milieu criminel, avait déjà fait chanter Otto Frank.

En 2002, l'historienne britannique Carol Anne Lee, auteur d'une biographie d'Otto Frank, avait estimé qu'Anthon Ahlers était le coupable. Ancien associé d'Otto, Ahlers était profondément antisémite et avait de surcroît besoin de la protection et de l'argent des nazis, soulignait Mme Lee.

Pour l'écrivain autrichienne Melissa Muller, ce serait au contraire la femme de ménage Lena Hartog-Van Bladeren qui aurait dénoncé les Frank par peur d'être elle-même déportée avec son mari pour avoir aidé des juifs.

Auparavant, Wim van Maaren avait été considéré durant des années comme le principal suspect mais des enquêtes menées après à la guerre avaient échoué à apporter la moindre preuve. M. van Maaren n'avait cessé de son côté de clamer son innocence.

Une enquête exhaustive de l'Institut néerlandais sur la documentation de guerre (NIOD) a cependant conclu, en 2003, qu'il serait probablement impossible de savoir un jour qui a trahi Anne Frank.

"Dans nos conclusions, nous ne considérons aucun des trois suspects comme un possible coupable", écrivent les historiens du NIOD.

Les Allemands ayant brûlé leurs archives en quittant Amsterdam, il existe peu de chances de découvrir de nouveaux éléments dans le futur.

"L'annexe (ou se cachait Anne Frank) pouvait être vue par au moins une centaines d'habitants du quartier", soulignent également les historiens.

L'énigme autour du dénonciateur d'Anne Frank risque donc de ne jamais être résolue mais l'histoire d'Anne Frank continue elle d'émouvoir des milliers de personnes dans le monde entier.

Son journal a été traduit en 69 langues et s'est vendu à plus de 31 millions d'exemplaires. Chaque année, plus de 900.000 visiteurs se pressent pour voir la maison du Prinsengracht.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mardi 03 août 2004 - 18h50:

Pendant que une crise humanitaire perdure gravement a Darfur (soudan) dans ignorance totale de l'ONU, on ne se preoccupe que des petits palestiniens cheris..c'est scandaleux!

UN food agency extends emergency program for Palestinians

By The Associated Press

ROME - A UN food agency announced Tuesday that it will extend emergency operations in the Palestinian territories for another year, saying Israeli military incursions and the Israeli-erected barrier in the West Bank left residents "struggling to survive."





The Rome-based World Food Program said the new emergency measures will cost an estimated $41 million and provide relief for some 480,000 Palestinians. The previous aid program ended in July.

The agency said political instability, military curfews, house demolitions and more than 600 checkpoints have prevented Palestinians from reaching work or schools during four years of fighting with Israel. Israel says its restrictions on Palestinian travel are necessary to stop suicide bombers and other attackers from reaching Israeli towns and cities.

The contentious 680-kilometer separation fence being built by Israel in the West Bank - a quarter of which has already been constructed - has aggravated the deteriorating economy there, the agency said.

"What is left today is not a viable economy," said Jean-Luc Siblot, the agency's director in the West Bank and Gaza. "These are people who are struggling to survive."

"Poor households are ... selling assets, accruing debt, reducing the quantity and number of meals and cutting out expensive foods such as meat, milk and dairy products," said Siblot.

The World Food Program is one of seven UN agencies that said earlier this year that it was considering ending work in the Gaza Strip because of Israeli restrictions on the movement of its staff in and out of the territory.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 03 août 2004 - 12h25:

Ca tombe bien LA DOUDA pour nos trois pieds niquelès, et bien aujourd'hui c 'est la fête des TROIS GLORIEUSES...3/8/1792.....


NAO, VICTORIA ET MICHKA....POUR 2004...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mardi 03 août 2004 - 01h22:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Revue de presse BouleItik HebdRomadaire.

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Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 02 août 2004 - 23h37:

La tirade de mots savants que je viens de vous balancer comme un obus sortit de ma GROSSE BETA...On étè rélevè sur le FIGARO lors d'une réponse de MONSIEUR BAYROU à MONSIEUR DRUON.
Une simple querelle dont j' ai profitè.
j'attends le prochain round.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 02 août 2004 - 22h08:

lotef AALIK YE LELE LALLA....:) :) :)
C'est la magie HARISSIENNE saupoudre d'Albert..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le lundi 02 août 2004 - 22h00:

unique, vs etes unique en votre genre ! m'avez vous entendu rire, me tordre de rire; mon mari en est temoin et tres philosophe, il a dit que cela ne pouvait arriver qu'a des harissiens, de rire de si bon coeur...