Archive jusqu'au 08/août/2004

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires d'Aout 2004: Archive jusqu'au 08/août/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 08 août 2004 - 05h02:

Meyer,si vous parlez de la science, c'est peut etre vrai mais le but des arabes et de nos ancetres n'etait certainement pas scientifique. C'etait surtout par experience.

Si vous desirez de telles devinettes je vous en donne une: "Pourquoi le cafe turc ne fait pas des aigreurs?"

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le dimanche 08 août 2004 - 01h59:

Savez-vous pourquoi on verse le thé à la menthe de haut et qu'on transvase d'un verre à l'autre avant de servir ?

Cette question a intéressé plusieurs harissiennes et harissiens qui ont proposé une explication.

Voici la réponse que j’ai lue dans une revue scientifique.

L’eau qui bout ne contient plus d’air dissous. Le fait de verser de haut en faisant de la mousse, puis de transvaser plusieurs fois de verre en verre permet d’introduire à nouveau de l’air dans le thé.

L’oxygène de l’air réagit alors avec les substances odorantes de la menthe, ce qui leur permet de dégager un parfum plus intense.

Bien sûr le résultat est qu’en même temps la boisson se refroidit, permettant la dissolution d’une quantité d’air de plus en plus importante.

C’est Victoria qui a donné la réponse la plus proche :

Par Victoria le vendredi 06 août 2004 - 15h29:
C'est pas pour qu'il s'aère ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 07 août 2004 - 23h14:

PROVERBES.

Taï mé'nè
Teï yah'lè..

Un coucou par ici
Une thè par là

Une thè fait toujours plaisir pour saluer un invitè

Premier proverbe énedit
J'en ai d'autres ....Plus tard..

Chavouat Tov. pour ceux qui sont sortis du Chabath.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 07 août 2004 - 05h46:

Meyer, le the est verse dans des petits verres qu'il faut tenir entre les doigts, le cafe par contre est verse dans une petite tasse.

Evidemment nous pouvons faire aussi des poesies sur le the et meme des proverbes, au lieu de la politique qui envenime les personnes agreables

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 06 août 2004 - 22h18:

Ah parce qu'il y a des divorces si on mélange le sucre avec...? Ben alors faisons un ménage à trois...? THE SUCRE ET PIGNONS MIGNONS...

Mamili rentre en force alors que d'habitude elle se fait plus discréte...

Pour une fois que le thè prend le pas sur la politique nous ne pouvons que nous en réjouir, quand je disais que je pouvais servir de sujet à thé...! Bon je vous laisse cette fois sinon je vais être ....ATHEYE....:) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 06 août 2004 - 22h12:

AGENCE SHARON/BREITOUNA TRIC TRAC LTD....THE...


Si je savais que ma photo du versement du thè allait rapporter gros,tant de réactions, comme quoi il faut parfois si peu pour ne pas mourrir d'ennui, j'aurai mieux fait de vous proposer un bol de sorgho, ca rapporte plus....

Meme Victoria ye abed rabi est sortie, bel nechmè, de sa lampe d 'Aladin et moi qui croyait Emile en vacances voilà que l'odeur du thè l'a fait aussi sortir, tiens Hajklouffette aussi, Mr Djachem aussi reste la MENA et PRIMO, ils ne doivent pas certainement savourer le thè.

Chikhè ma Shira , LALLA est dans toutes les sauces en haut en bas bref depuis qu'elle est en vacances elle nous distille en bas dans LE PTB qu'il faut avoir de la compagnie sinon on meurt sans amis, je compatie.... Qui reste encore, as t'on fait le TOUR DU QUARTIER...? A NAO me fait dire que le thè est antisémite, en étè...Bref, rien de nouveau chez elle...
Allez Shabath Challom.

ALBERT THE TOI LA PROCHAINE FOIS...LAISSE PARLER BREITOU EN INDIRECT.

Pour qu'il garde ses propriétès et qu'il se décante le BREITOU.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le vendredi 06 août 2004 - 21h18:

Mamili, c'est quoi cette union à trois ? Pas très cachère.

Tu parles du thé à l'amante ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mamili (Mamili) le vendredi 06 août 2004 - 20h33:

On va dire que c'est pour que la menthe le thé et le sucre puissent vivre leur union jusqu'au bout malgré les différentes manipulations ????

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le vendredi 06 août 2004 - 20h17:

Il se passe des choses (info # 010608/4) [analyse]
Par Sami el-Soudi et Jean Tsadik © Metula News Agency



Conclusion de trois accords



Ce vendredi, nous constatons d’importants changements dans les relations entre Israël et l’Autorité Palestinienne. Très rapidement, après les révèlations faites dans notre dernier article "Des nouvelles en rafales", rubrique "Appel à l’aide d’Arafat aux Israéliens", sur l’existence de contacts sécuritaires au plus haut niveau, ainsi que faisant suite à la confirmation de l’information par Saëb Erekat , les choses ont pris un tournant pratique. Sous l’impulsion accentuée du Premier ministre Ahmed Qoreï et en parfaite synchronisation avec ceux que nous avons pris l’habitude d’appeler les coalisés, des discussions intenses se sont déroulées et elles ont déjà abouti à trois accords en bonne et due forme.



Sdéroth-Bet Hanoun



Premièrement, l’armée israélienne s’est complètement retirée des agglomérations de Bet Hanoun et de la partie Est de Jebalyia, en échange d’un engagement Qoreï-Dahlan-Suleiman d’empêcher les tirs de roquettes sur la localité israélienne de Sdéroth. De plus, et comme nous le relations au titre des conditions israéliennes de l’évacuation de Tsahal, Qoreï et Suleiman [1] ont instruit Mohamed Dahlan de prendre le contrôle permanent des zones abandonnées par les Hébreux et d’en chasser les Brigades des martyrs d’Al-Aksa, agissant aux ordres d’Arafat, ainsi que les terroristes du Hamas, auteurs des tirs contre Sdéroth.



Dans une étrange entente, typiquement orientale, entre le Shin Bet israélien et Dahlan, il a été convenu que les lanceurs de Qassam tireraient une dernière salve en parallèle du redéploiement israélien mais que les roquettes "symboliques" tomberaient au milieu des sables du Néguev, très à l’écart des villes israéliennes. Ce qui fut réalisé, alors que huit missiles s’écrasaient dès hier dans des dunes abandonnées. L’accord prévoit en outre et à la demande de la partie palestinienne, que Tsahal ne réagirait pas en cas de tirs de provocation des partisans d’Arafat ou des intégristes islamistes. Les représentants de l’armée ont toutefois prévenu que si Dahlan se montrait incapable de respecter ses engagements ou si un tir de roquettes faisait des blessés à Sdéroth ou ailleurs, les militaires n’hésiteraient pas à réinvestir Bet Hanoun et à s’emparer de Jebalyia. Un dispositif de liaison permanent renforcé a d’ailleurs été mis en place afin "d’éviter des escalades inutiles dues à de possibles malentendus". Les agents de la CIA en place dans la région ainsi que les émissaires du gouvernement égyptien participeront à ce dispositif le cas échéant.



Réouverture de la frontière égyptienne



Seconde mesure, la réouverture de la frontière israélo-égyptienne au point de passage de Rafah. Elle aura déjà permis, à la mi-journée, à environ 1'500 Palestiniens de la bande de Gaza de retrouver leurs foyers, après une attente pénible de trois semaines.



L’armée israélienne avait fermé le point de passage suite à des informations du renseignement militaire faisant état du creusement d’un tunnel sous le check point afin de perpétrer un assassinat collectif à l’explosif.



On s’attend ici à ce que 2'500 Palestiniens supplémentaires franchissent la frontière ces prochaines heures et jusqu’à demain soir.



Cette entente est également à mettre à l’actif d’une décision des coalisés. L’envoyé spécial de George Bush, Elliott Abrams, a joué un rôle prépondérant dans les discussions, obtenant notamment du Caire que l’armée égyptienne "accentue très sensiblement son action en vue de contrer la contrebande d’armes transitant par les tunnels de Rafah".



Il est également prévu un rôle important dans ce dossier pour Mohamed Dahlan, sur qui les coalisés comptent pour étendre son influence dans la région limitrophe. Lorsque l’on ajoute que Yasser Arafat s’opposait résolument à la réouverture de la frontière, que les hommes de Dahlan ont pris récemment d’assaut le Q.G de Mussa Arafat à Rafah (comme par hasard), qui organisait le creusement des galeries et que l’homme fort de Gaza a fait parvenir un ultimatum au reclus de Ramallah, le menaçant ouvertement de prendre le contrôle de Gaza, on comprend aisément que rien ne pouvait faire plus plaisir à Mohamed Dahlan que le rôle que lui ont confié les coalisés.



Port d’armes de poing autorisé pour les policiers de Cisjordanie



Passant outre la vive opposition des partisans des implantations, le ministre israélien de la défense, le général de réserve Shaoul Mofaz, a donné son accord pour que les policiers palestiniens puissent être dotés "de matraques et de pistolets" et qu’ils soient autorisés à se déplacer entre les villes palestiniennes, au travers du dispositif de l’armée israélienne.



Mofaz a lui-même annoncé que cette mesure se ferait de manière très suivie et que seuls les policiers qui seront reconnus individuellement par les renseignements de l’armée pour n’avoir jamais participé à des actes anti-israéliens, seront autorisés à porter une arme. Le ministre ajoutant : "que cette décision serait implémentée graduellement et qu’elle pourra être inversée dans un laps d’une semaine si nécessaire".



Au fond, les coalisés sont surtout soucieux de la déterioration chaotique de la situation à Jénine et à Naplouse, villes dans lesquelles les islamistes ainsi que des bandes d’électrons libres – n’appartenant ni à la tendance Dahlan ni à celle d’Arafat – profitent de leur implantation massive sur place pour faire régneur leur loi de terreur. Dans ces deux villes et en étroite coopération avec l’armée, les policiers pourraient être autorisés à faire usage de fusils-mitrailleurs, sans que cette exception ne soit rendue publique. Le général palestinien Hadj Ismaïl, le commandant de la Cisjordanie pour l’Autorité Palestinienne, fixera les détails de l’accord, la semaine prochaine, avec son homologue le général Moshé Kaplinski.



Sur ce point du renouvellement de la collaboration sécuritaire entre l’AP et Tsahal, force est également de constater que ce fut Yasser Arafat qui y avait mis un terme, réitérant, pas plus tard que voici trois semaine, son interdiction absolue aux officiers palestiniens de s’entendre avec les Israéliens.



Pas d’extension imminente de Maalé Adoumim



Dans une démarche qui n’est pas étrangère aux trois accords suscités, le Premier ministre israélien Ariel Sharon a rassuré Elliott Abrams, lui indiquant qu’Israël ne procéderait pas dans l’immédiat – en tous cas pas avant que les Etats-Unis et Israël se soient entendus sur la définition de "la croissance naturelle des implantations existantes" – à l’agrandissement de Maalé Adoumim. Sharon a précisé à son interlocuteur que la décision de relier l’implantation à la capitale, connue sous le code E1, avait été prise par feu le Premier ministre Itzkhak Rabin il y a plus de dix ans ; il a ajouté que "la confirmation de cette décision de principe rendue par le ministère de la défense, ne constituait pas non plus un fait nouveau".



On rappelle que la décision du ministère de la défense, rendue publique la semaine dernière, avait soulevé un tollé généralisé, aussi bien à Riad, au Caire, parmi les Palestiniens modérés, qu’à la Maison Blanche. A son arrivée en Israël, Elliott Abrams avait demandé à Sharon, relayant le ton courroucé du président américain et hors protocole : "Si vous ne respectez pas l’obligation du gel des implantations, comment voulez-vous obtenir de Qoreï qu’il mette en marche la Carte Routière ?"



Un test pour Arafat et un coup de pouce à Qoreï



Les lecteurs de la Ména auront remarqué que les trois accords passés entre Israël et l’Autorité vont à l’encontre des options bellicistes imposées jusque là par Arafat. Il s’agit grandement pour les coalisés de tester les engagements concédés par le reclus de la Moukata à laisser agir monsieur Ahmed Qoreï. Toute immixtion du raïs dans le sens tendant à faire échouer la bonne réalisation de ces ententes sera interprétée par la coalition avec la plus grande sévérité. Une ingérence du Vieux dans les nouvelles prérogatives de Qoreï conduirait vraisemblablement à la démission de ce dernier et à l’éviction énergique d’Abou Ammar. Un Abou Ammar qui constate de jour en jour que les coalisés contrôlent la situation et qui voit ses pions sur l’échiquier du Moyen-Orient se faire manger les uns après les autres.



Dans cet environnement, l’engagement d’Ariel Sharon à geler l’extension de Maalé Adoumim, de même que le crédit qu’il donne au tandem Qoreï-Dahlan en acceptant de les considérer comme des "interlocuteurs avec lesquels on peut s’entendre et auxquels on peut faire des concessions", doivent être pris pour un réajustement important de la doctrine israélienne récente. Histoire peut-être de ne pas placer Qoreï dans la situation intenable dans laquelle l’intransigeance de Jérusalem avait contribué à installer l’ex-Premier ministre, favorable à la solution des deux Etats, Mahmoud Abbas.







Notes :

[1] Le général égyptien Omar Suleiman, chef des services de renseignements du Caire

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le vendredi 06 août 2004 - 20h12:

La chute de la maison Tati

PARIS (AP) - Pendant plus d'un demi-siècle, l'enseigne Tati aura été une affaire de famille, celle des Ouaki. D'un petit magasin de textiles à Paris, cette famille de juifs pieds-noirs venue de Tunisie bâtira un groupe devenu synonyme de vêtements à bas prix, mais ne dédaignant pas quelques "coups" comme une boutique non loin de la prestigieuse place Vendôme à Paris et 5e Avenue à New York.

Le premier magasin Tati, dirigé par Jules Ouaki, le patriarche, ouvre ses portes à Barbès dans le XVIIIe arrondissement de Paris en 1948. De nouvelles boutiques font leur apparition rue de Rennes et place de la République en 1975. Le groupe au slogan "Tati les plus bas prix" s'est développé en province et à l'étranger à partir des années 1980, avec l'ouverture d'un premier magasin à Nancy en 1984.

Fréquentée par les plus modestes et même des bourgeoises qui ne dédaignent pas ces fameux collants vendus un franc, la célèbre enseigne aux couleurs vichy s'est lancée dans la diversification de ses produits dans les années 1990, des robes de mariage aux bonbons en passant par les voyages, la téléphonie et la bijouterie. Sa première boutique à l'étranger ouvre en 1995, en Afrique du Sud, avant de s'installer en 1998 à New York sur la prestigieuse 5e avenue avec un "Tati Mariage". Parallèlement, Tati cède son magasin parisien de la rue de Rennes.

Le groupe, qui compte 29 magasins et 1.043 employés, dont 800 en région parisienne, était présidé depuis 1991 par le fils de Jules Ouaki, Fabien, devenu le principal actionnaire de Tati en 1995.

La dégringolade commencera avec le nouveau millénaire. En août 2002, le magasin de la place de la République ferme. Tati se déclare en cession de paiement et dépose le bilan le 28 août 2003 auprès du tribunal de commerce de Paris. Ce dernier place l'entreprise en redressement judiciaire avec une période d'observation de quatre mois.

Le 9 décembre, le tribunal prolonge de six mois la période d'observation, lui accordant jusqu'à juillet 2004 pour assurer sa viabilité à long terme, tout en continuant son activité commerciale d'ici là. Pour la période janvier-septembre 2003, l'un des administrateurs nommés par le tribunal précise à l'audience que Tati affiche un passif de 60 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 150 millions d'euros.

En décembre, Fabien Ouaki annonce qu'il se sépare de l'écurie de chevaux de course créée par son père Jules en 1963 (casaque grenat, toque et manches noires). L'une des juments, "Commerçante", sera notamment cédée 200.000 euros aux ventes de Deauville (Calvados). Le groupe se sépare aussi en juin dernier de sa filiale Tati Or, dont un magasin sur la très chic rue de la Paix avait un temps indisposé les grands joailliers de la place Vendôme.

Cela est insuffisant. Fin juillet 2004, la famille Ouaki annonce qu'elle renonce définitivement à poursuivre l'activité, 56 ans après l'ouverture d'une modeste boutique dans un quartier populaire de Paris. Sans doute, la diversification, souvent médiatique, du groupe au delà du textile bon marché aura-t-elle été fatale à Tati. AP

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le vendredi 06 août 2004 - 19h11:

Le refroidissement du thé est une conséquence du transvasement, mais pas le but principal.

Pourquoi ne fait-on pas cette manipulation avec du café, du chocolat chaud ou même du thé sans menthe ? Pour refroidir il suffit d'attendre.

Jusqu'à présent la réponse la plus proche de l'explication complète est celle de Victoria.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 06 août 2004 - 18h52:

C'est pour qu'il refroidisse le the comme l'eau des chutes qui arrive froide a la fin de sa chutte.
Du reste on dit "barad" pour la theiere. Parce qu'on leve la theiere pour justement refroidir le the. Donc Bared=froid et celui qui refroidit le the c'est un "Barad" theiere en francais. .

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le vendredi 06 août 2004 - 18h43:

Djachem , Je suis desolee d avoir fait cette erreur je rapportais , il me semble , les paroles d un interviewe a la tele Israelienne ... Je reconnais que les chiffres te donnent raison et je t avoue d etre tres heureuse d avoir eu tort
Amicalement
Chabbat chalom

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le vendredi 06 août 2004 - 17h57:

En janvier 2004, j'avais eu une petite polémique avec Bekhor et Hajkloufette concernant la population juive en Libye.

J'affirmais qu'il ne restait plus un seul juif en Libye et que la dernière juive y était décédée en février 2002.

Je suis enfin tombé sur ce tableau du Jewish virtual library qui me donne raison.
http://www.jewishrefugees.org/population.html