Par Albert (Albert) le jeudi 19 août 2004 - 19h05: |
je suis un goulettois (Goulette Casino) et j'espere que tous les juifs tunisiens reviennent a la goulette comme dans le passé.
vous devez investir a la goulette pour sauver cette ville
cette petite ville devient moderne comme toutes les autres.
Mon cher ami, je suis comme toi, un compatriote de la Goulette.
Ton message, en tant que goulettois, me touche, mais est ce bien raisonnable de revenir là où il n’y a plus de place pour nous….Investir dans quoi…HASSEN.. ? Dans les chalutiers, les barques à voiles ou dans le MENENI…. ?
Albert. 4 RUE PASTEUR...EN FACE DE L EPICIER MONGI COIN DE LA RUE DE MARSEILE ET DE LA RUE PASTEUR...MA MAISON N EST PLUS QUE RUINE MOI QUI VOULAIT L ACHETER POUR MON MUSEE GREVIN...
Par Email (Email) le jeudi 19 août 2004 - 18h57: |
cher ami
je suis un goulettois (Goulette Casino) et j'espere que tous les juifs tunisiens reviennent a la goulette comme dans le passé.
vous devez investir a la goulette pour sauver cette ville
cette petite ville devient moderne comme toutes les autres.
le casino n'est plus il est devenu un immeuble moderne, ce truc fait perdre le charme de la goulette
cet ete j'ai connu quelque juifs goulettois ils sont super et adorables
a propos de mamie lily, elle a une cuisine superbe
Hassene
Par Mounia (Mounia) le jeudi 19 août 2004 - 18h52: |
JO-2004: un penalty tiré six fois lors de Tunisie-Serbie de football
PATRAS (AFP) - La Tunisie, victorieuse de la Serbie-Monténégro 3 à 2 lors du tournoi de football des jeux Olympiques, mardi à Patras (groupe C), a dû s'y reprendre six fois pour transformer un penalty.
Les deux équipes étaient à égalité 1-1 quand l'arbitre accordait un penalty aux Tunisiens à la 80e minute. Sûr de lui, l'attaquant Mohamed Jedidi posait le ballon sur le point de penalty, s'élançait et marquait. Mais l'arbitre, le Tahitien Charles Ariiotima, l'invalidait, estimant que des joueurs tunisiens étaient entrés prématurément dans la surface de réparation. Jedidi marquait les deux penalties suivants, tous les deux refusés pour la même raison. Le quatrième tir était détourné par le gardien adverse, Nikola Milojevic... mais invalidé pour une entrée intempestive dans la zone de tir de ses coéquipiers. Et M. Ariiotima refusait le cinquième tir de Jedidi, stoppé par Milojevic pour la même raison. Le buteur tunisien âgé de 25 ans gardait tout de même son sang-froid pour marquer, à sa sixième tentative, le penalty, enfin accepté par l'arbitre à la 83e minute.
Mais la tragédie à la grecque, si intense qu'elle ait été, n'a servi à rien puisque les deux équipes sont éliminées du tournoi olympique...
Par Nao (Nao) le jeudi 19 août 2004 - 18h46: |
Le CSA veut interdire en France la TV du Hezbollah libanais (on va voir si ca va etre suivi d'effets)
PARIS (Reuters) - Le Conseil d'Etat a commencé à examiner la demande du CSA d'interdire la diffusion en France de la chaîne de télévision libanaise Al Manar, contrôlée par les islamistes du Hezbollah, après la diffusion l'an dernier d'un feuilleton jugé antijuif.
La juridiction administrative, saisie le 12 juillet par le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), devrait rendre sa décision vendredi ou lundi.
Si elle interdit la diffusion, il reviendra à Eutelsat, opérateur satellite européen qui diffuse la chaîne dans son bouquet Arabsat, de mettre cette mesure en application.
Le CSA, qui se fonde sur la loi française "paquet télécom" votée en juillet, juge "parfaitement intolérables" les images et les propos du feuilleton "Al Chatat" ("Diaspora"), une production syrienne diffusée en octobre dernier.
Il estime plus généralement que les programmes de la chaîne libanaise constituent des incitations à la violence et à la haine.
Le CSA souligne également qu'Al Manar n'a pas signé de convention avec lui, ce qui constitue une irrégularité administrative rendant sa diffusion illégale, mais cet argument n'est pas repris dans la demande judiciaire.
La direction de la chaîne a protesté contre la démarche du CSA qui, pour elle, repose sur des fondements politiques et non juridiques.
Al Manar, créée en 1991, diffuse des fictions, des informations en plusieurs langues, dont le français, et des émissions de propagande sur le Hezbollah, mouvement pro-iranien qui s'est développé dans le sud du Liban lors de l'occupation israélienne.
La demande du CSA a suscité de vives protestations au Liban, où une conférence de soutien à Al Manar a été organisée la semaine dernière par des hommes politiques et des médias locaux.
Le feuilleton mis en cause présenterait le sionisme comme un projet juif de domination mondiale.
Hasan Fadlallah, l'un des responsables d'Al Manar, a affirmé que ce programme attaquait le sionisme, non le judaïsme.
"Nous ne diffusons pas de programmes antisémites, d'abord parce que les Arabes sont aussi des sémites. Nous sommes une chaîne arabe qui fait la distinction entre le sionisme et le judaïsme, entre la politique israélienne et les fidèles qui observent la religion juive", a-t-il dit à Reuters à Beyrouth.
"Ce serait injuste d'interdire une chaîne à cause d'une seule émission", a-t-il ajouté.
Les Etats-Unis, à la demande d'organisations juives, s'étaient également plaints l'an dernier auprès du Liban et de la Syrie.
Par Mena (Mena) le jeudi 19 août 2004 - 18h51: |
Une explication… 2ème partie (info # 011908/4) [analyse]
par Stéphane Juffa © Metula News Agency
Frantz Fanon appartenait à deux mondes : celui de la psychiatrie occidentale, souvent jugée "impérialiste" et au monde pauvre des Antilles, dans lequel il avait grandi. Par identification avec ses origines, et parce qu’il eut à servir en Algérie, il embrassa la lutte de libération nationale du FLN et déclara la guerre théorique à la colonisation. Les bornes identificatrices du combat anticolonialiste, que Fanon allait poser, établirent le principe de la confrontation inéluctable entre les blancs et les noirs, mais surtout entre la culture occidentale et la culture non occidentale. Ces principes, lorsqu’ils furent adoptés et repris par les philosophes et les psychanalystes progressistes européens devinrent statuts et ils conditionnent toujours aujourd’hui la perception de la majorité des intellectuels, des authentiques et des superficiels, dans leur vision manichéenne des conflits nord-sud.
Nul doute et nulle surprise que ces statuts ont été les axiomes formateurs des courants révolutionnaires et trotskistes en Europe occidentale, engendrant ferveur et adhésion, au point de former une espèce de religion laïque auprès de leurs nombreux adeptes. Et parmi les barons des médias français, le nombre d’individus ayant transité par cette école est tout à fait considérable. Difficile alors de s’étonner, de ce que les émanations des axiomes qu’ils ont appris et chéris, au point de s’identifier à eux corps et âme, au point de les jeter dans l’activisme – l’attitude qui préconise l’action concrète – engendrent toujours le système d’analyse qui décide de leur action. Beaucoup de ces "ex", restant persuadés de la justesse des axiomes de leur expérience précédente, ont transformé leur activisme violent en expression littéraire ou journalistique. Dans la forme embourgeoisée dans laquelle ils exercent cet activisme, ils conçoivent souvent un sentiment de culpabilité – de ne pas avoir pu en faire plus et de ressembler aux canons de vie des impérialistes-colonialistes qu’ils s’étaient promis de combattre – qui les rend extrémistes dans leur condamnation des autres "colonialistes". Qui découpe encore, dans leurs esprits, le monde en deux tranches inconciliables. Qui leur font préférer l’identification des situations aux axiomes qu’ils connaissent, plutôt que de procéder à une véritable analyse des états conflictuels. Qui les presse à identifier et à soutenir des leaders se réclamant de l’anticolonialisme, plutôt que de juger véritablement leur action ainsi que leurs objectifs. Culpabilité, enfin, qui les pousse à confondre entre la propagande et l’information, même si, dans leurs nouvelles "fonctions", ils ne sont présumés faire QUE de l’information.
C’est donc assez naturellement, que les "ex" regardent le conflit israélo-palestinien au travers de leurs lunettes des guerres coloniales. Naturellement aussi, ils évacuent tous les éléments factuels qui contredisent les principes qu’ils aimeraient adapter et ils encouragent leurs subordonnés à agir de la même façon. Cette manière de faire apparaît très clairement au Monde, qui, comme la Ména l’a démontré par de multiples exemples, évacue systématiquement de ses colonnes les informations concernant les assassinats inter palestiniens, tout comme l’intense problématique de l’action d’Arafat, telle qu’on peut la distinguer dans les comptes-rendus d’un journaliste palestinien de la qualité de Sami el-Soudi. C’est que ces vérité-là ne cadrent pas avec la théorie de la lutte de décolonisation ou plutôt, comme nous l’allons voir, qu’elles y sont spécifiquement mentionnées et jugées inhérentes à ce genre de conflit ; "normales", au point qu’il est inutile de les mentionner – ou juste par la bande – qu’il vaut mieux ne pas en parler, qu’on n’en parle donc pas !
C’est que, tout à une place réservée, une explication globale et infaillible, dans les rôles d’un conflit colonial, comme on peut s’en persuader, en lisant le must de Frantz Fanon, Damnés de la terre, (Paris, Éditions Maspero, 1961). Ainsi, le témoignage de Sami el-Soudi ne peut pas être crédible, puisque notre collègue, pourtant courageux et de gauche, appartient, par application théorique, à son corps défendant, à la "classe sociale intermédiaire", que caractérise Fanon. Classe faite de politiciens traîtres, d’intellectuels (el-Soudi), d’hommes d’affaires et de fonctionnaires locaux, qui, dans une situation coloniale, "aspirent à être comme leurs maîtres". Dans cette typicité de conflits, cette classe intermédiaire "se met à ressembler de plus en plus aux colonisateurs et aux colons", à nous, les Israéliens, pour rester dans la même application de cette théorie.
Dans la presse française, on "connaît" par référence et par le "rôle qu’ils remplissent", l’action des personnes comme el-Soudi et comme le professeur Nusseiba. Ce sont des traîtres, au pire, des leurrés ou des opportunistes, au mieux et, de toutes façons, leur présence sur le damier est une présence parasitaire, intrinsèque à cette typicité de conflit, qui ne peut que ralentir le flot "naturel" de l’Histoire, qui freine et qui ennuie le processus de décolonisation. Alors pourquoi les nommer ? Pourquoi retranscrire ce qu’ils affirment ? Pourquoi leur prêter attention ? Pour aider ainsi les colonisateurs-oppresseurs ?
L’extrémisme des "ex", leur certitude dans l’issue finale du conflit et leur certitude dans la justesse de leur démarche propagandiste – tout ce qu’on fait pour répandre une opinion – provient d’un autre axiome de la théorie de la décolonisation, très clairement énoncé par Fanon : Fanon rejette en effet toute possibilité de solution d’un conflit colonial, autre que la lutte du colonisé pour sa libération. Et il précise encore, illustrant son propos politique par une déduction psychanalytique, qu’ "aucune quantité de concessions humanitaires de la part du colonisateur n’est de nature à restituer sa dignité au colonisé, si la relation coloniale n’est pas détruite lors de la lutte active."
Frantz Fanon
Ce qui explique vraisemblablement pourquoi, aucun des actes humanitaires concédés par les Israéliens ne trouve grâce sur le papier des journaux français. Mais c’est une babiole, presque un détail de cette histoire d’adaptation forcenée des termes de notre conflit à une théorie attenante à la guerre d’Algérie. Car les autres axiomes de Fanon sont plus tranchants encore. Ainsi, le Martiniquais souligne-t-il le besoin élémentaire du colonisé de détruire son oppression intériorisée par la liquidation de l’état d’oppression/colonisation.
C’est de ce fait que "dans son processus de libération, l’opprimé menace de détruire physiquement le colonisateur-colon (et souvent il le fait), tandis que simultanément, il le menace et l’attaque psychologiquement (symboliquement), parce que son comportement", toujours selon Fanon, "est illogique".
Expliquant suffisamment la mollesse des condamnations françaises – gouvernementales et médiatiques – à l’encontre des assassinats collectifs palestiniens de civils israéliens et l’entêtement de l’AFP à défier à la fois le dictionnaire et les acquis de la science politique, en continuant à qualifier les implantations juives du nom de colonies, parce que ces assassinats collectifs s’inscrivent normalement dans le cadre d’une guerre de décolonisation, dès lors qu’on parle de colonies juives, ce phénomène de normalisation du crime de guerre palestinien est encore renforcé par le principe suivant établi par Fanon :
"L’absence de logique (dans les actes du colonisé en lutte, Nda.) découle des expériences déshumanisantes vécues dans une situation oppressive." Cette proposition de Fanon explicitant, en outre et sans doute, la raison qui pousse les Français à définir, contre vents et marrées, l’état psychologique des terroristes et des kamikazes palestiniens de "désespéré". Ce, en ignorant (évacuant) simultanément le conditionnement au martyre (shyhada) effectué par l’autorité palestinienne, Yasser Arafat, sa télévision, les Imams et les organisations terroristes sur toute la population palestinienne et surtout les enfants.
"Désespérés" ou fanatiques nationalistes ou religieux, c’est une des autres questions que l’adoption aveugle de la typicité apparente du conflit israélo-arabe évite de se poser. Par extension significative, et en temps que pilote, il ne me semble pas que les pilotes-kamikazes du 11 septembre 2001 étaient des desperados, ni que des desperados auraient pu accomplir de tels exploits aéronautiques ; je relève également que les connaissances de ces hommes, ainsi que leur capacité à apprendre des techniques relevant de la haute technologie, les plaçait, a fortiori et indiscutablement, hors de la catégorie des désespérés.
Est-ce alors pour cela que les "ex" s’abîment les ongles à essayer de trouver (et d’imposer arbitrairement une stricte distinction sémantique pour les qualifier) une différence entre les terroristes palestiniens et les autres terroristes arabes, à moins que ce ne soit avec les mêmes terroristes palestiniens, lorsqu’ils agissent dans d’autres conflits arabes, comme en Irak ? Ces autres différenciations forcenées – catégorielle et narrative - ne résistant à aucune critique analytique, on en arrive à déduire de leur emploi un autre effet obsessif de la nécessité, pour les "ex", de camper, à tout prix, même à celui consistant à braver répétitivement le ridicule, l’éthique et l’intelligence tout court, la guerre d’Israël dans le schéma étroit et déformant de la dialectique de la guerre de décolonisation.
A suivre…
Par Shira (Shira) le jeudi 19 août 2004 - 17h47: |
MABROUK! une premiere medaille de bronze a l'israelien Arik (Ariel) Zeevi dans la categorie judo moins de 100kgrs apres ses victoires contre le hollandais, le francais...
Par Albert (Albert) le jeudi 19 août 2004 - 18h30: |
GASTON DU BB AU PTB...
Par Edmond (Edmond) le jeudi 19 août 2004 - 09h24: |
Le Livre noir de l'Autorité palestinienne
LIVRE A LIRE -
VOIR AUSSI UNE ANALYSE TRES COMPLETE DU CONCEPT "TERRORISME CRIME CONTRE L'HUMANITE"
La jeune maison, Les Editions Café Noir (Ile de Noirmoutier), vient de publier, dans sa collection Dissidence, dirigée par Shmuel Trigano qui préface cet ouvrage, une brique de plus de quatre cents pages :
Le Livre noir de l’Autorité palestinienne
par Catherine Leuchter
Enfin un livre qui pose (et répond) aux vraies questions
Comment et pourquoi l’image de la poignée de mains entre Ytzhak Rabin et Yasser Arafat, à Washington, a-t-elle été supplantée par celle de la guerre ?
Comment cet énorme espoir des accords d’Oslo entre Israéliens et Palestiniens et dix ans de processus de paix ont-ils abouti à un état de conflit patent et à la pire vague de terrorisme vécue en Israël et à la perte de tous les acquis palestiniens depuis Oslo ?
Qui a signé les accords d’Oslo, le président de l’OLP ou celui de l’Autorité palestinienne ? Pourquoi l’Organisation de libération de la Palestine existe-t-elle toujours alors qu’a été crée l’Autorité palestinienne ?
Quand Arafat parle de martyre, lorsqu’il invoque Allah,est-ce de la rhétorique ?
Le terrorisme est-il compréhensible ?
Nous sommes abreuvés d’analyses, d’articles sur le conflit (il y a plus de journalistes en Israël que dans toute l’Afrique !), mais tout n’a pas été dit, et de loin.
Bien au contraire, le discours s’est appauvri et refermé sur lui-même, ne laissant plus échapper que quelques évidences teintées de dépit, des titres racoleurs tels que « Violence ordinaire au Moyen-Orient », « nuit d’enfer à Gaza » etc… comme s’il était devenu naturel qu’Israéliens et Palestiniens se tapent dessus, comme si l’on n’arrivait plus à penser cette région en-dehors d’un « cycle de la violence ».
Le conflit s’est vu naturalisé donc dépolitisé. Sa dimension la plus cruciale est occultée parce qu’elle trouble les idées reçues du discours dominant.
Ce livre, par une spécialiste de l’information, remet en question le discours conventionnel. En se fondant sur des faits incontestables, il révèle la face taboue d’une guerre d’un genre nouveau.
Le Livre Noir de l’Autorité Palestinienne
par Catherine Leuchter - Editions Café Noir
432 pages – Euros 30 – ISBN 2-915376-04-2
pour la librairie la plus proche de chez vous
editionscafenoir@club-internet.fr
Son prochain titre, à paraître dès la rentrée, " Les habits neufs de l'antisémitisme en Europe", sous la direction de Manfred Gerstenfeld et Shmuel Trigano
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 19 août 2004 - 10h17: |
Plus de touristes en Israel pour le 1er semestre 2004:
Tourism to Israel up
Tourism to Israel was up 58 percent in the first half of 2004 compared to the same time period in 2003.
Nearly 822,000 tourists visited Israel in the fist six months of the year, according to statistics released by Israel’s Central Bureau of Statistics and the Tourism Ministry.
An estimated 1.4 million tourists are expected to visit Israel this year.
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La Syrie oblige les navires etrangers au boycott d'Israel:
Syria bans ship
Syria banned a ship from entering its waters because it had stopped in Israeli ports.
Syrian officials said Wednesday that the Antiguan ship Petra-F had violated an Arab boycott of Israel. After waning during the Oslo years, there have been increasing calls for a renewed Arab boycott of Israel in the past few years.
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News from JTA — The Global News Service of the Jewish People. For in-depth coverage of the latest developments affecting Jews all over the world, click: www.jta.org
Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 19 août 2004 - 08h31: |
TUNES CELEBRES
Vous avez oublié mon grand -pere Maitre Emile Taieb alias pipo champion de natation avec son frere Raymond et surtout doyen du barreau de tunis jusque son deces en 2001
tAIEB fAMILY
Par Emma (Emma) le jeudi 19 août 2004 - 08h29: |
Douche froide pour Sharon au sein de son Likoud
Par Mark Heinrich
JERUSALEM (Reuters) - Le Likoud d'Ariel Sharon a infligé au Premier ministre israélien un cinglant revers en s'opposant par un vote à la constitution d'une coalition avec les travaillistes, étape importante pour la promotion de son plan de désengagement de la bande de Gaza.
Les 3.000 membres du Comité central du Likoud ont soutenu mercredi soir à 58% une motion visant à interdire à Sharon de permettre aux travaillistes d'entrer au gouvernement.
La motion n'est toutefois pas contraignante, et Sharon a fait savoir qu'il persisterait dans son projet de désengagement, qui vise à évacuer soldats et colons de la majeure partie de la bande de Gaza, et auquel une partie du Likoud est hostile.
Mais la présence du Parti travailliste au gouvernement lui assurerait une majorité parlementaire dont il aura besoin pour faire entériner son projet de retrait, l'an prochain.
D'après les sondages, une majorité d'Israéliens sont favorables à une évacuation des colons juifs de la bande de Gaza. Ils considèrent en effet ce territoire comme un fardeau, tandis que les ultras du Likoud estiment que renoncer à des territoires pris par Israël lors de la guerre israélo-arabe de 1967 reviendrait à "récompenser le terrorisme palestinien".
Avant que les délégués ne votent, Ariel Sharon était venu mercredi soir devant la Convention et avait pris la parole pour dire qu'"A certains moment dans son existence, une nation doit prendre des décisions difficiles. Israël en est arrivé à ce point-là".
Sharon avait été contraint d'élever la voix pour couvrir le chahut de l'aile droite de son parti, qui scandait "Oui au Likoud, non aux travaillistes."
UN COMITE CENTRAL MARQUE A DROITE
"Il nous faut choisir: le Likoud va-t-il continuer à diriger le pays d'une manière unie, responsable et digne d'un Etat, ou le Likoud est-il dirigé par une opposition extrémiste, rebelle et irresponsable?", a-t-il ajouté.
Sharon a déjà fait valoir qu'en l'absence de toute initiative de la part d'Israël pour mettre fin aux violences qui l'opposent depuis près de quatre ans aux Palestiniens il s'expose à une solution imposée de l'extérieur, qui pourrait mettre en péril sa sécurité en le contraignant à quitter totalement certains territoires.
Si Sharon décide de passer outre l'hostilité du Likoud à sa démarche, il pourrait diviser ce dernier ou déclencher la tenue d'élections anticipées qui reporteraient à plus tard la mise en oeuvre de son plan de retrait de Gaza.
Le quotidien israélien Haaretz cite jeudi les propos du député travailliste Dalia Itzik, qui regrette le vote du Likoud, lequel pourrait selon lui affaiblir Sharon et provoquer des élections anticipées.
Les délégués du Comité central du Likoud, considérés comme étant plus à droite que la majorité de l'électorat du parti, a également rejeté à une étroite marge une motion de Sharon où ce dernier demandait la permission de négocier avec des partis "sionistes" non identifiés en vue d'élargir sa coalition.
Sharon avait ignoré un précédent référendum organisé au sein du Likoud, en mai, sur sa décision de démanteler la totalité des 21 colonies juives de Gaza, et quatre des 120 que compte la Cisjordanie, marquant une rupture avec une politique jusque-là résolument favorable à l'expansion des colonies.
Par Mena (Mena) le jeudi 19 août 2004 - 00h26: |
Une explication… 1ère partie (info # 011808/4) [analyse]
par Stéphane Juffa © Metula News Agency
Pour beaucoup de personnes équilibrées, l’opposition politique acharnée à Israël et l’expression qu’elle trouve dans la plus grande partie des médias francophones n’ont qu’une seule explication : L’antisémitisme. Lorsque l’on constate, en effet, non plus seulement les prises de positions extrêmes dans la presse française mais carrément des mises en scène préméditées d’informations erronées, dans les seuls buts de porter atteinte à l’Etat hébreu et d’alimenter la sympathie du public pour les Palestiniens, c’est un sentiment qui peut légitimement se dégager.
Comment, dans un même souffle, les gens de l’Obs, par exemple, après avoir imputé des crimes de miliciens palestiniens contre d’autres Palestiniens à l’armée israélienne, peuvent-ils encore soutenir "qu’ils expriment une critique à l’égard d’Israël et qu’ils ne sont en aucun cas antijuifs" ? Comment se fait-il que l’on retrouve la même réaction de pucelles outragées, lorsque les fabricants de la culture anti-israélienne sont pris la main dans le même sac, que ce soit sur les chaînes télévisées, au Monde et au Diplo, bien sûr, à Libé, dans les dépêches de l’AFP mais aussi, de façon certes moins systématique, sous la plume de certains auteurs du Figaro et même de l’Express ?
La manière paresseuse de répondre à ces questions consiste à invoquer soit un antijuivisme caractérisé de toute l’intelligentsia française – ce qui constitue une hypothèse hasardeuse, il faut bien l’avouer – soit à y voir l’existence d’un complot médiatique, dans lequel les conjurés seraient dirigés par une main organisatrice, ce qui n’est pas beaucoup plus plausible. Ca n’est pas seulement qu’il faudrait expliquer comment autant de personnes, intelligentes au demeurant (ou par hypothèse), aux sensibilités et aux intérêts différents, accepteraient de se liguer afin de coordonner la désinformation contre Israël. C’est également que ces personnes prendraient le risque énorme d’être tôt ou tard dévoilées et qu’elles s’exposeraient ainsi à la vindicte d’autres intellectuels et à celle de l’Histoire. Tremper dans un complot organisé contre des juifs n’est toujours pas un acte pardonnable dans la France d’aujourd’hui. Ceux que nous avons appelés les "fumiers" ou les "répètent merdes", s’ils sont disposés à inventer des complots extraordinaires du Mossad et même à affirmer qu’il y a, dans la conduite du peuple d’Israël, une propension à prendre du plaisir à humilier, ne sont pas prêts à participer à une action coordonnée dont le but stratégique serait le dénigrement d’Israël.
Et puis, il suffit de songer à la structure gigantesque que la coordination d’un complot de ce genre exigerait et aux risques d’indiscrétions parmi une masse aussi nombreuse de journalistes. Non, nul doute que si une conjuration de ce type existait, cela ferait longtemps que la Ména vous en aurait livré les structures ainsi que le nom des participants.
Certes, je ne prétends pas qu’il n’existe pas des aires de rencontres pour les propagandistes de l’anti-Israël, je pense particulièrement aux signataires du manifeste, dit "pétition pour le droit de critiquer la politique du gouvernement israélien" ou à ceux des premières pétitions d’Olivia Zémor, qui comptaient dans leurs rangs nombre de barons de la presse parisienne, comme Edwy Plenel et Jean Daniel. Je ne dis pas que Jacques Chirac ne donne pas le ton, la licence et le passe-droit, a priori, par communiqués des Affaires Etrangères interposés, l’AFP et les chaînes publiques de radio et de télévision de critiquer Israël au-delà de toute mesure. Je n’affirme pas non plus que ce nouvel épisode de la peste antijuive en France ne procure pas d’érections malsaines dans les pantalons des antisémites primaires et traditionnels, qu’ils soient d’ailleurs de droite comme de gauche.
Ce que j’affirme, cependant, c’est que ces manifestations sont en fait des sous-ensembles d’une théorie directive extérieure, qui ne vient ni de la maison Chirac ni du Monde mais qui crée un lien solide entre eux. Il s’agit de fait d’une théorie politique profonde et puissante, au point de me persuader qu’elle éblouit la majorité des désinformateurs anti-israéliens, jusqu’à les convaincre honnêtement que ce sont eux qui suivent les chenaux du bien et de la conscience. Au point, aussi, (c’est ainsi que cela fonctionne psychologiquement) que cette certitude politique "d’agir pour le bien des hommes et dans le sens de l’Histoire", les fait subordonner ce qu’ils considèrent toujours être des erreurs techniques, faites de bonne foi, à l’accompagnement de l’essentiel, dont ils se considèrent les dépositaires intellectuels et moraux.
Le syndrome des guillemets de Jean Daniel est tout à fait symptomatique à cet égard : Bravant le danger qu’il y a à proposer une explication incroyable au brûlot de haine concocté par sa fille à propos des "meurtres sexuels" organisés par Tsahal, le patron de l’Obs a préféré se perdre corps et biens dans une explication technique sans issue, que d’envisager qu’il existât chez lui une erreur d’approche fondamentale.
Pour rejoindre ce club des metteurs en scène de la vérité sur Israël, il existe deux conditions d’entrée. Une fois ces formalités intellectuelles remplies, la simple adhésion à cette théorie politique vous rend ignifuge, en principe et pour autant que cette théorie soit correcte et concordante avec les termes du conflit israélo-palestinien, contre toute accusation d’antisémitisme et vous met hors de portée des critiques de la raison pure.
Pour se draper de cette invisibilité qui rend insaisissable et obligatoirement juste, il suffit d’adhérer aux thèses des existentialistes sur la décolonisation et d’accepter de se persuader qu’Israël est une colonie. Vous allez d’ailleurs rapidement comprendre l’importance de la conservation, à tous prix, de la sémantique insidieuse de l’AFP pour relater notre guerre. L’enjeu est colossal, comme il n’y paraît pas ; il s’agit de maintenir la dialectique du conflit israélo-palestinien dans le strict cadre d’une rébellion contre la colonisation. Si les colonies devenaient des implantations, les activistes et les militants, des criminels de guerre, les mouvements radicaux, des organisations terroristes, l’AFP sortirait de la dialectique anti-colonialiste et, dans sont giron, les légions de répètent-merdes, qui répandent ensuite la "juste parole" aux quatre coins de l’Hexagone et même un peu au-delà.
Avant de se poser, à nouveau, la question de savoir si Israël est une colonie et donc, s’il s’agit effectivement d’un conflit colonial, je propose de laisser cette interrogation de côté, pour comprendre librement les hypothèses posées par les théoriciens de la décolonisation et pour saisir complètement l’étendue, la force et la perduration de leurs postulats. Dans le vaste choix de ces théoriciens, j’ai choisi Frantz Fanon. J’ai fait ce choix pour l’authenticité du personnage, pour son intelligence indiscutable, pour l’inspiration qu’il a éveillée chez de grands philosophes, chez Sartre surtout, et qui a fini par transformer les thèses de ce psychiatre martiniquais en paroles d’évangiles. J’ai aussi choisi Fanon pour la non compromission de son discours, qui le rend clair et analysable ainsi que, parce qu’il devint l’une des figures de proue de la lutte pour la libération nationale algérienne. Parce que je suis persuadé que la plupart des intellectuels français considèrent le conflit israélo-palestinien comme la suite de leur guerre d’Algérie et qu’ils se montrent, pour le moment, incapables de discerner les divergences cruciales existant entre les deux conflits, autant qu’ils sont incapables d’imaginer que les Israéliens puissent s’occuper des Arabes d’une manière différente de la leur.
A suivre…
Par Braham (Braham) le mercredi 18 août 2004 - 19h08: |
A Meyer
Merci pour votre tip, grace a votre message j'ai reussi pour la premiere fois a inserer une photo dans Adra.
Par Braham (Braham) le mercredi 18 août 2004 - 18h33: |
D::soleil levant2000.jpg