Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 24 août 2004 - 23h41:

Albert, je commence a m'inquieter de l'absence prolongee de Breitou. As-tu des nouvelles de lui?
Je te prie de me le faire savoir afin que mes inquietudes prennent fin.

Par Bekhor (Bekhor) le mardi 24 août 2004 - 23h40:

MONSIEUR RICHARD,

VOTRE IDEE EST GENIALE, DE MON COTE JE VAIS CREER LA BANDE DE SFAX, IL Y AURA CERTAINEMENT BEAUCOUP D'ADEPTES.

J'AI EU NOTRE AMI ALBERT ALIAS BREITOU BELLEBOU FILS DE BREITOU ET DE KHAYA PETIT FILS DE BREITOU ET DE JOULI, ROBI YERKHAMEM.

NOUS AVONS DECIDE D'UN COMMUN ACCORD DE PRENDRE VOTRE IDEE GENIALE AU SERIEUX.

J'AI EU LA CHAIR DE POULE "LAKHMI SHOUK SHOUK" ET JE SUIS TRES EMU PAR CETTE IDEE QUI NE PARAIT PAS UNE UTOPIE, D'AILLEURS POUR NE RIEN VOUS CACHER J'AI COMMENCE LA REDACTION DES STATUTS DE L'ASSOCIATION DE LA BANDE DE SFAX.

J'APPELLE LES SFAXIENS DE SE RALLIER A NOTRE CAUSE.

L'UNION FAIT LA FORCE.

VIVE LA BANDE DE SFAX.

Par Nao (Nao) le mardi 24 août 2004 - 22h07:

Vifs débats sur un film retraçant les derniers jours d'Hitler
Par David Crossland

BERLIN (Reuters) - La sortie prochaine d'un film allemand sur les 12 derniers jours de Hitler dans son bunker berlinois suscite une vive polémique en Allemagne, certains lui reprochant l'approche trop "humaine" du personnage qui jeta l'Europe dans la guerre et ordonna la "solution finale".

Le débat sur "Der Untergang" (La chute), dont le réalisateur est Oliver Hirschbiegel et qui sort en salles le 16 septembre, est d'autant plus vif que la ressemblance entre l'acteur choisi et le Führer est frappante. C'est le Suisse Bruno Ganz, déjà connu pour ses rôles dans des films de Wim Wenders, Théo Angelopoulos, Alain Tanner ou Peter Handke, qui interprète un Hitler dans ses derniers jours, âgé de 56 ans, affligé de la maladie de Parkinson au point de cacher sa main derrière le dos pour ne pas montrer ses tremblements.

Grâce à son pouvoir d'imitation de l'accent austro-bavarois et du roulement des "r" de Hitler, Bruno Ganz s'impose sans appel face à ceux qui, comme Alec Guinness (The last Ten Days, 1972) ou Anthony Hopkins (Le bunker), ont déjà joué le rôle.

Vu de la perspective d'une des secrétaires personnelles de Hitler, Traudl Junge, le film se caractérise par une approche moins crispée de l'Allemagne nazie, et Hitler, au-delà ses crises de rage contre son armée et son peuple, est montré sous un jour humain dans son comportement avec son entourage féminin, notamment Eva Braun, qu'il épouse à la veille de se suicider.

UN FILM ALLEMAND SUR HITLER

Confiné dans un bunker aux murs dépouillés, aux pièces presque exemptes de mobilier, Hitler ordonne à des unités virtuelles de mener une contre-offensive, s'emporte, pendant que ses collaborateurs vident les dernières bouteilles de vin en discutant du meilleur moyen de se suicider.

Le tyran interprété par Bruno Ganz n'est pas, par moments, sans susciter une certaine empathie, et c'est là que commence la polémique: en voyant Der Untergang, écrivait l'édition dominicale du FAZ (Frankfurter Allgemeine Zeitung), on se demande s'il l'on a moralement le droit de ressentir de la sympathie pour Hitler.

A quoi Bernd Eichinger, qui a déjà produit "Le nom de la rose" avant de financer "Der Untergang" et d'en signer le scénario, rétorque qu'un certain degré d'empathie était inévitable. "Si vous voulez comprendre l'Histoire, vous devez comprendre les individus qui la font", a-t-il dit dans une interview à la chaîne publique ZDF.

Le magazine Der Spiegel consacre sa "une" au film cette semaine et estime qu'Eichinger a réussi ce que nul n'avait fait jusque-là: donner un vrai visage au drame absurde qui s'était joué dans le bunker de la chancellerie, pendant que Berlin était en proie aux combats.

Pour Eichinger, il était temps que les Allemands fassent enfin un film sur le sujet. "Si vous attirez l'attention sur l'effondrement physique et psychologique le plus important possible de toute une civilisation, à savoir de notre nation allemande, alors il doit être possible pour nous de raconter cette histoire par nous-mêmes. Nous devons le faire", explique-t-il.

Par Albert (Albert) le mardi 24 août 2004 - 21h37:

Breitou vous publie ses parents dans le PTB.

Par Albert (Albert) le mardi 24 août 2004 - 19h50:

Monsieur Richard,

Je suis partant pour faire partie DE LA BANDE DE LA GOULETTE d'autant plus que je suis un enfant de la Goulette..J'emmène avec moi le PTB s'il vous plait, je l'installerai à la KARAKA...
Et on recreusera la CANAL de LA PICCOLA SICILIA...

Dommage que nous n'ayons pas la tradution de A'lèl Houli, pour ceux qui ne comprennent la langue indigène...

Il y avait une autre chansonnette...Qui commençait par ..

'..Ye sellèg el ouah'lin...ec..

Par Richard_S (Richard_S) le mardi 24 août 2004 - 19h25:

Solution au probleme de La Goulette et au retour des Juifs Tunes en Tunisie

J'ai recu de la part de proches une suggestion sur ce projet ambitieux qui commence a prendre forme :

On appellerait ce territoire "LA BANDE DE LA GOULETTE" (en reference bien sur a la bande de Gaza). Ce qui fait que ceux qui retourneraient y vivre pourraient dire qu'ils font partie de "LA BANDE DE LA GOULETTE".

Alors, qui vient avec moi pour convaincre le gouvernement Tunisien du bien-fonde de cette initiative ?

Richard

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 24 août 2004 - 18h56:

Braham
Voici un autre verset de Ala Elhouli Yamma:

Mcha Lel Matmata Oujabli Kilou Batata
Kilou Batata Bach Entayeb El A'Chi Yamma Ala Elhouli .
----------------------------------------------
Ya Ghalia Ya , Lanahsebek Khaouan Ya ghalia

Lanahsebek Ezghayer, Lanahsebek men Elhaouak Tetghayer,Galbi Ala Galbek ---
Maouchi Mhayer ,Yachemtet El Adouan Fik Oufia
La Nahsebek Khaouan
Ya Ghalia Ya La Takhou klam Enass Eli Yarmiou Fia
--------------------------------------------------
Et Celle la?
Bnadem Fedounia A'yriya Yassaadek Ya Saad Enya
Nhar Eli Zdet An'd Omi Ou Jit Maqloub A'la Fomi
Ouel qabla Eli Bachret Omi Gatli Mabrouk A'l Oualdaya.
-------------------------------------------------
Mon cher je l'aurais chante avec plaisir.
La chanson et les ecritures vont de pair.
Tu ne dis pas si ton age et comme le mien
A bientot, emile
Mirodirect@aol.com

Par Claudia (Claudia) le mardi 24 août 2004 - 18h51:

Quotidien Koweïtien: L’Iran a livré des missiles au Hezbollah au Liban par l’intermédiaire de la Syrie

Le quotidien koweïtien Al-Siyassa a récemment rapporté que l'Iran a livré des missiles au Hezbollah au Liban en passant par la Syrie et que l'Iran et la Syrie coopéraient étroitement au développement et au déploiement de missiles. Voici des extraits de cet article: [1]

«Deux avions cargo ont atterri, au matin du mercredi 4 août 2004, à l'une des bases aériennes militaires syriennes au nord de Damas, où se trouvaient l'ambassadeur iranien en Syrie, Riza Baqiri, et l'ambassadeur iranien au Liban, Mas'ud Idris, venus accueillir les avions.»

Al-Siyassa rapporte aussi que «plusieurs officiers de la garde révolutionnaire iranienne sont arrivés le jour précédent de leurs quartiers généraux à un camp militaire du Hezbollah, près de la ville de Qasrbanaa à al-Buqa, afin de décharger un nombre important de missiles sol-sol.

Selon certaines informations reçues, le samedi 14 août, par l'opposition syrienne à Londres les missiles «sont les plus récents et le plus performants des modèles iraniens, dont la portée est entre 250 et 350 kilomètres, avec lesquels il est possible de frapper n'importe quelle cible en Israël». Les sources ont aussi rapporté à Al-Siyassa que les deux livraisons comprenaient 220 missiles «que l'Iran n'avait jusqu'ici fourni à aucune entité étrangère (…).»

Entre jeudi et vendredi [le 12 et 13 août], les missiles ont été transportés dans des camions publics syriens et libanais en direction de trois bases militaires du Hezbollah», dans les régions de Jenta et Yahfufa, près de la frontière syrienne, ainsi qu'au sud de Ba'albek.

L'opposition syrienne a indiqué que selon certaines informations qu'ils prétendent avoir reçu d'une source haut placée de l'armée syrienne à Damas, «l'état d'alerte du corps balistique militaire, déployé surtout dans le nord et l'est du pays [Syrie], a été élevé à un haut niveau, après que des chefs des services secrets militaires et du parti Ba'th à Damas avaient reçu des renseignements sur la possibilité que l'armée de l'air israélienne attaque les réacteurs nucléaires en Iran, depuis les cieux jordaniens, irakiens ou turques.»

Il a aussi été annoncé que dans l'éventualité d'une telle attaque israélienne, «le Hezbollah et la Garde Révolutionnaire iranienne au Liban, qui surveillent le déploiement et l'entretien de milliers de missiles de portées différentes, mettraient feu avec ces missiles aux villes de l'état hébreu, ce dernier pouvant étendre les attaques aériennes sur les installations nucléaires, chimiques, biologiques et les usines d'uranium enrichi en Iran. Dans ce même article, Al-Siyassa rapporte qu'une source militaire syrienne a dit à l'opposition syrienne à Londres qu'une délégation militaire, spécialisée dans les missiles, avait accompagné les deux livraisons en Syrie, afin de surveiller le déploiement de missiles dans plusieurs régions du Liban.»

Le journal a aussi cité la source qui voit la coopération de missiles entre l'Iran et la Syrie comme«la coopération la plus étroite dans l'histoire des relations stratégiques de ces deux pays, depuis que des scientifiques iraniens, travaillant sur le développement des missiles Shihab à Téhéran, avaient été en Syrie au début de l'année [2004] pour participer au développement de missiles d'artillerie provenant, comme pour l'Iran, de la Corée du Nord»

memri.org


[1] Al-Siyassa (Koweït), 17 août 2004

Par Claudia (Claudia) le mardi 24 août 2004 - 18h42:

Incendie du centre juif à Paris: la porte de service n'était pas fermée


PARIS (AFP) - Les enquêteurs s'intéressaient lundi à la porte de service du centre social juif à Paris ravagé la veille par un incendie criminel, mais se montraient réservés sur la revendication diffusée par un site internet islamiste.

Une responsable de l'Union des israélites séphardis de France (UISF, qui rassemble des juifs de langue judéo-espagnole, ou ladino), gérante du centre, a par ailleurs précisé que le propriétaire, le Consistoire israélite, souhaitait le vendre.


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La porte de service n'était pas fermée au moment de l'arrivée des secours, contrairement à la porte principale donnant sur la rue, que les pompiers ont dû casser pour combattre l'incendie, a-t-on appris de source policière.

Cette porte, donnant dans le couloir d'entrée de l'immeuble du 7 rue Popincourt (11ème), a été démontée par la police et placée sous scellés, selon une source judiciaire.

Elle servait comme "porte de la cantine, fermée à tout le monde, y compris dans la journée", a indiqué à l'AFP Mitrany Sinay, le président de l'UISF, association qui y servait environ 15 repas par jour aux démunis.

"Trois personnes, la cuisinière, le comptable et moi-même étions en possession des jeux de clés", a-t-il souligné, ajoutant: "A ma connaissance, nul n'a jamais oublié de refermer le soir".

Une autre responsable de l'UISF, Claire Romi, a affirmé que l'association avait de faibles moyens financiers et que le Consistoire comptait vendre le centre.

"L'UISF avait ce lieu en gérance, c'est le Consistoire de Paris qui est propriétaire et il souhaitait le vendre", a-t-elle expliqué à l'AFP. "On vivait de donations, tout cela n'était pas très florissant", a-t-elle reconnu.

L'association, forte de quelque 300 adhérents et 600 sympathisants, la plupart habitant le XIe arrondissement, espérait que la mairie de Paris se porterait acquéreur du centre, a-t-elle indiqué.

Le centre, plutôt discret, ne se distinguait que par une étoile de David sur chacune des portes, a ajouté Mme Romi. Elle a précisé qu'à sa connaissance n'existait aucune tension autour du local, synagogue depuis 1913 jusqu'à sa transformation en centre social dans les années 1960.

Aucune piste ne se dégageait nettement lundi soir, alors que les condamnations de l'incendie s'accumulaient, après la découverte d'inscriptions antisémites sur les lieux.

La brigade criminelle de la police judiciaire, chargée de l'enquête, vérifiait la revendication de l'incendie par un groupe inconnu, comme il est d'usage pour tous les attentats, mais n'en faisait pas une "priorité", a-t-on souligné de source policière.

"Un groupe de jeunes moujahidine ont mis le feu au temple juif à Paris", selon un communiqué signé de la Jamaat Ansar Al-Jihad al-Islamiya ("groupe des partisans de la guerre sainte islamique") diffusé dimanche sur un site internet islamiste, dont l'authenticité n'a pas été établie.

Par Albert (Albert) le mardi 24 août 2004 - 17h18:

Le deuxième couplet de cette chanson..

'..Aâlel hou'li yè maa..'

Etait chantè par les "deguèzzè' surtout'...
Mais il y a si longtemps...De celà..

Par Braham (Braham) le mardi 24 août 2004 - 16h27:

Pour Emile

Ma mère chantait beaucoup cette chanson Ya ghalayia ….
La suite, si je me rappelle, était:
Tesmaa’ kélam ennass li yermou fayia.
Ya ghalayia ….

Mais il y a une autre chanson du Sud que j’ai entendue chanter par les femmes, qui sonne dans ma tete et que je n’ai trouvée nulle part, j’appelle à l’aide.
C’est la chanson :

A’la él h’aouly, yamma , a’la él h’aouly hé
A’la élh’aouly Shébala outrissity, yamma
Oua’la él h’aouléni Jaboulha tabbaltt e-Shnéni he
Tabbalatt e-Shnény
Dakhétt sabou a’léha él mé yamma

Etc.. je ne me rappelle plus !

Par Braham (Braham) le mardi 24 août 2004 - 15h47:

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Par Douda (Douda) le mardi 24 août 2004 - 13h47:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Revue de presse BouleItik HebdRomadaire.

Par Meyer (Meyer) le mardi 24 août 2004 - 00h21:

Des cameras de surveillance seront installées dans des écoles juives, des synagogues et dans d'autres sites. C'est une partie des nouvelles mesures de sécurité prises pour combattre la montée des attaques antisémites. C'est ce qu'a annoncé lundi la Mairie de PARIS.

Last update - 23:31 23/08/2004

Cameras to be set up in Paris Jewish spots following arson

By Amiram Barkat, Haaretz Correspondent, agencies and Haaretz Staff

Surveillance cameras are to be installed at Jewish schools, synagogues and other sites as part of new security measures to combat a rise in anti-Semitic attacks, Paris City Hall said Monday.

Arsonists burned a Jewish community center in eastern Paris before dawn Sunday, leaving behind graffiti with anti-Semitic messages such as "Jews get out," police said.

La suite

http://www.haaretzdaily.com/hasen/spages/468181.html