Archive jusqu'au 09/septembre/2004

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires de Septembre 2004: Archive jusqu'au 09/septembre/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 09 septembre 2004 - 18h43:

Ce passage sort d'un livre écrit en 2002 par un TUNISIEN, écrivain qui n'est pas à son premier essai. Le titre de ce livre s'appelle YA HASSRA ...LA GOULETTE...!' DE MUSTAPHA CHELBI....

J AI HONTE

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nectar (Nectar) le jeudi 09 septembre 2004 - 00h58:

Cher Emile,
Je t'avais envoyer un message le 06/09, à 21h12.

Est ce que tu l'a lu?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 09 septembre 2004 - 00h08:

Citron, grand merci pour le texte de recherche sur
le TGM. En effet le TGM represente des souvenirs inoubliables pour les tunisiens de toutes religion. Bravo Alik, voila une contribution au site d'harissa.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 08 septembre 2004 - 22h52:

Monsieur Nectar,R.M.

J'ai encore quelques photos du TGM....Mais pas l'originale, si vous voulez je peux les interner ici...En attendant je vous conseille, sauf votre respect, de visiter ce site...

http://www.geocities.com/clownstaples/swf/ballonstring.html

Amusez vous bien....Avec votre souris...Depuis hier, je ne fais que ça...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nectar (Nectar) le mercredi 08 septembre 2004 - 20h42:

IL Y PEUT ETRE ENCORE UN PROTOTYPE ORIGINAL DES ANCIENS WAGONS DU TGM.

MAIS................

Mais ce qui est sur, c'est que tous les anciens wagons ont été vendus au prix de la casse a une société espagnole, qui les à rénovés et les à remis en service sur une ligne touristique, il parrait que ça à fait un malheur.

Dommage que la Tunisie brade ou ne sait pas conserver son patrimoine.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Citron (Citron) le mercredi 08 septembre 2004 - 19h23:

Le film La Fiancée syrienne (Hacala Hasurit), du réalisateur israélien Eran Riklis, a été doublement primé au Festival des films du monde de Montréal, dimanche.

Co-production d'Israël, France et Allemagne, La Fiancée syrienne a reçu le Prix oecuménique et celui de la Fédération internationale de la Presse Cinématographique (FIPRESCI).

Ce film raconte comment une fête de mariage d'une jeune Palestinienne vivant en Israël, qui doit traverser la frontière israélo-syrienne pour épouser une vedette de télévision syrienne, se transforme en véritable épopée.

«Ce film montre les choix courageux qu'il faut faire pour franchir les barrières psychologiques et les frontières des pays qui séparent les familles et les peuples», a commenté le jury oecuménique en remettant son prix.

Les prix suivants seront remis lundi : le Grand Prix des Amériques pour le meilleur film, le Grand Prix Spécial du Jury, le Prix de la mise en scène, le Prix d'interprétation féminine, le Prix d'interprétation masculine, le Prix du meilleur scénario, le Prix de la meilleure contribution artistique, le Prix de l'Innovation et les 1er Prix et Prix du Jury pour les courts métrages en Compétition.

Le dimanche 05 septembre 2004
Festival des films du monde de Montréal
La Fiancée syrienne primé

Agence France-Presse
Montréal

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Citron (Citron) le mercredi 08 septembre 2004 - 19h17:

Le "TGM", un train précolonial synonyme de loisirs en banlieue de Tunis




Entre Tunis, La Goulette et La Marsa, circule toujours le fameux "TGM", un train permettant aux Tunisois de fuir la canicule pour aller sur les plages de la banlieue nord, chargé d'histoire pour avoir été, il y a 132 ans, le premier moyen de transport collectif à voir le jour dans une cité africaine.

Avant Le Caire et Alexandrie, Tunis s'était dotée d'un train de banlieue note Taoufik Belhareth, auteur d'une étude historique sur le TGM (Tunis-Goulette-Marsa) et la naissance du réseau de transport tunisien.




C'est bien le TGM qui fut à l'origine de l'extension de Tunis vers le nord, créant ainsi ce qu'est devenue ensuite, en front de mer, la banlieue la plus prisée et la plus pittoresque.

Immortalisé par "Un été à la Goulette" du cinéaste Férid Boughdir, figurant dans tous les guides, le TGM -qui musarde sur près de vingt kms- apparaît comme une figure incontournable de la littérature judéo-francophone et les récits de voyages d'illustres écrivains à la fin du 19e et 20e siècle.


Du "train blanc" de l'époque, le service commercial de la société Métro Léger de Tunis, qui gère la ligne actuellement, ne conserve plus qu'un spécimen des voitures originales promis à un musée en gestation.


Un parasol sous le bras, l'autre enlaçant sa copine, Karim, 18 ans, s'impatiente au guichet à l'idée de commencer au plus vite une journée à la plage. Mais ni lui, ni Narjess, 16 ans, ne savent que le train qu'ils prennent pour une journée de plaisir loin de la chaleur de Tunis est plus que centenaire.

"Il est toujours trop surchargé. Nous le prenons à défaut de faire comme les jeunes de la Jet Set qui vont à la plage en voiture", lance Karim, jouant des coudes dans la foule d'estivants: des familles entières avec couffins remplis de provisions, ustensiles de plage, jouets et enfants de tout âge.

Appuyée sur sa canne, Meherzia, 78 ans, redresse le dos et lance un "Ah!" nostalgique en se remémorant les temps où, enfant, jeune et adulte, elle prenait ce même train avec ses voisines et sa famille. "On n'était jamais bousculé et on avait du respect pour les personnes âgées", se lamente-t-elle accrochée au bras de son petit-fils pour son ènième voyage à bord du TGM.


Le premier train a été inauguré par son Altesse Mohamed Sadok Bey le 31 août 1872. La dynastie affaiblie de l'époque se payait ainsi "un caprice" sous la pression des puissances coloniales qui se disputaient la Tunisie quelques années avant l'instauration du Protectorat de la France (1881-1956).


Français, Hollandais, Américains étaient sur les rangs pour le TGM, mais c'est un Anglais qui l'emporta.

Voiture oblige, le TGM a perdu un peu de ses clients (19,7 millions en 1998 et 17 en 2003) mais son image reste liée à la recherche du plaisir, du rêve et du dépaysement.

On peut encore prendre le TGM en été pour aller à la plage, aux concerts nocturnes à l'amphithéâtre de Carthage, dîner à la Goulette, déguster une glace à La Marsa, fumer un narguilé sur les terrasses de cafés du pittoresque Sidi-Bou-said, offrant la vue la plus saisissante de la baie de Tunis.

Comme autrefois, quand les familles juives ou musulmanes aisées fuyaient la canicule de la ville pour s'installer l'été à La Goulette...

En souvenir du charme d'antan, certains reviennent de loin pour le train de leur enfance ou de leurs parents: "Ils montent juste pour humer l'odeur ou simplement rêvasser devant les bateaux en rade du port de La Goulette", raconte Mondher, contrôleur du train.

Pour Imed, 34 ans, chef de service de la ligne, "le mythe du TGM n'existe plus que dans les livres. Avec l'urbanisation et la voiture, ceux qui le prennent sont démunis et n'ont aucune idée de son histoire centenaire".

www.lintelligent.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Primo (Primo) le mercredi 08 septembre 2004 - 16h07:

"L'obstination anti-israélienne d'Arte"


Arte diffusera dans sa grille des programmes des soirées du 7 et du 8 octobre un
film d'un réalisateur égyptien, Yousry Nasrallah, appelé "Bab El Chams", La porte du
Soleil.
Co-produit par Arte, ce long métrage de quatre heures a la particularité de
présenter les combattants de la Haganah et les premiers soldats de Tsahal comme de
véritables nazis.

On y voit des scènes très dures où les soldats de Tsahal apparaissent comme des SS
faisant montre de la plus grande cruauté envers la population arabe. Le réalisateur
pousse le parallèle tendancieux avec le nazisme jusqu'à montrer les soldats faisant
des tas des vêtements abandonnés par les villageois à la façon des monticules de
vêtements, lunettes, et cheveux faits par les nazis dans les camps d'extermination
avant de faire entrer les Juifs dans les chambres à gaz.

Ainsi, près d'un an après la co-production et la diffusion d'un autre film
anti-israélien, de quatre heures lui aussi, Route 181, la chaîne franco-allemande
continue de nous faire le coup de sa "ligne éditoriale".

Doit-on rappeler que la direction d'Arte nous a toujours refusé tout droit de
réponse, toute diffusion de documentaire susceptible d'équilibrer le caractère
diffamatoire de ces oeuvres?

Primo-Europe, pendant le mois qui nous sépare de cette diffusion, mettra en oeuvre
tous les moyens dont il dispose pour entraver cette entreprise de calomnie lancée
par des programmateurs irresponsables qui n'ont aucun scrupule en alimentant
l'antisémitisme qui sévit déjà lourdement en Europe.

Primo-Europe

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mercredi 08 septembre 2004 - 15h38:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Revue de presse BouleItik HebdRomadaire.

c:/


Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mercredi 08 septembre 2004 - 15h39:

Un livre indispensable (info # 010709/4) [Analyse]
par Stéphane Juffa © Metula News Agency


Le dossier Arafat, aux Editions Albin Michel, sorti en librairies la semaine dernière



Les auteurs, Karin Calvo-Goller et Michel A. Calvo, des juristes spécialistes du droit international, ont écrit un ouvrage saisissant. Saisissant de rigueur, d’abord, car ils évitent d’entrer dans des considérations politiques afin de s’en tenir aux faits bruts. Leur livre décortique, ensuite, tous les aspects des activités du leader palestinien et des organisations qu’il domine, dans la préparation, la direction et le financement de l’Intifada. Après l’avoir lu, aucune personne saine d’esprit ne pourrait intelligemment prétendre qu’il substitât un doute raisonnable, permettant d’assimiler cet épisode du conflit israélo-arabe à un acte de soulèvement spontané du peuple palestinien. Les chapitres "La préparation psychologique des Palestiniens" et "Arafat a assuré la préparation pratique de l’Intifada" démontrent au contraire, à concurrence de preuves, dont un certain nombre étaient inconnues du public, que le Président de l’Autorité palestinienne a minutieusement préparé son affaire.



Yasser Arafat, comme nous l’avons nous-mêmes illustré à la Ména dans de nombreuses analyses, a bel et bien instrumenté l’usage du terrorisme à grande échelle, à la poursuite d’un dessein politique. Dans cette démarche, passant par l’assassinat du plus grand nombre de personnes possible, des personnes choisies exclusivement en fonction de leurs appartenances ethnique ou religieuse présumées, il a pris le risque délirant de tenter de transformer son peuple en martyr volontaire. Certains passages du "Dossier Arafat", décrivant à la lettre les arguments adoptés par l’endoctrinement des enfants à devenir des bombes humaines donnent la chair de poule.



Les Calvo publient par ailleurs certaines harangues d’imams, pas piqués des hannetons, qui ne manqueront pas de créer le trouble dans le cerveau de ceux qui s’entêtent à présenter ce conflit comme une guerre de décolonisation. L’extrait cité de l’appel du cheik Mohammed Ben Abd el-Rahman al-Arifi, à cet égard, est on ne peut plus parlant (page 67):



"Nous contrôlerons la terre du Vatican ; nous contrôlerons Rome et y introduirons l’islam. Si bien que les chrétiens, qui ont gravé des croix sur les torses des musulmans au Kosovo, en Bosnie et dans divers endroits du monde avant cela, devront nous payer la djiziya [taxe payée par les non musulmans sous règne musulman] dans l’humiliation, ou se convertiront à l’islam…"



Charmant programme ! Dans le sous-chapitre L’enseignement de la haine, on apprend aussi que sitôt Israël eut-elle transféré les pouvoirs d’autonomie à l’exécutif palestinien, en 1994 et en application des principes des accords d’Oslo, des accords d’Oslo visant à instaurer la paix entre les deux peuples, le ministère palestinien de l’Education de Yasser Arafat s’empressa de réintroduire les incitations à la haine des juifs et à la violence dans les manuels scolaires. Depuis 1968, une commission de l’UNESCO était chargée de vérifier le contenu de ces manuels, afin de s’assurer que la haine de l’autre n’empoisonnât plus les esprits de toute une génération dès les bancs de l’école. Cependant, et en dépit de ses pseudos appels à la paix, dès qu’il reçut la liberté de choisir l’orientation de son Ecole, le reclus actuel de la Moukata refusa tout contrôle de l’UNESCO et en 1995, le système de contrôle fut définitivement suspendu, à la demande de l’Autorité palestinienne et de la Ligue arabe.



Autre avantage du livre, il ne se confine pas dans la narration, même complète, des crimes commis par le raïs palestinien et à leur caractérisation. Maître Michel Calvo est en effet membre du collège d’avocats qui tente de diligenter la plainte de victimes françaises des crimes de guerre d’Arafat auprès de la justice française. Le dossier Arafat décrit au lecteur les péripéties incroyables que connaît cette action judiciaire, depuis le dépôt de plainte, avec constitution de partie civile, le 3 mars 2003.



Ici, de rappeler que la loi française permet à toute victime française d’un acte de terrorisme de déposer plainte auprès du doyen des juges d’instruction. Les charges retenues et abondamment étayées par l’accusation contre "Arafat et autres" comprennent des actes de génocide, des crimes contre l’humanité, la participation à un mouvement formé ou à une entité établie en vue de la perpétration – caractérisée par un ou plusieurs faits matériels – de l’un des crimes définis par les articles 211-1 et 212-1 du code pénal français, meurtre (et tentative et complicité), assassinat (et tentative et complicité), atteintes volontaires à la vie (et tentative et complicité), actes de terrorisme et association de malfaiteurs.



Dix mois après que le doyen eut accepté la plainte, dans cette justice française décidément peu inspirée par le principe de "tolérance zéro pour les terroristes, les racistes et les antisémites" que prône à tue-tête le Président de la république française, le procureur n’avait toujours pas déposé ses réquisitions. Ce délai record, digne de figurer dans le Guines book, fait confirmé par les deux avocats pénalistes français que j’ai interrogés à ce sujet, empêchait la nomination d’un juge d’instruction et le commencement de l’instruction.



Le 12 janvier dernier, les avocats de l’accusation adressaient une lettre au Procureur ainsi qu’au ministre de la Justice, M. Dominique Perben, dans laquelle ils faisaient état de cet étrange dysfonctionnement de la justice, "alors que dans d’autres affaires, telles celles concernant des victimes françaises d’actes terroristes au Pakistan, des instructions judiciaires ont été ouvertes dans des délais très brefs (…) (page 183)".



Sans aucune réponse de la part des personnes concernées, près de trois mois plus tard (treize mois après l’acceptation de la plainte…), les avocats s’adressaient à Mme Nicole Guedj, la secrétaire d’Etat en charge de la protection des droits des victimes, reprenant les mêmes considérants que ceux exposés sur la première missive mais y ajoutant deux éléments confondants :



Les avocats mentionnaient que des parties civiles "perçoivent (dans ce délai inexplicable et inexpliqué Ndlr.) une interférence du pouvoir exécutif dans le domaine du pouvoir judiciaire". Comparant leur plainte à celles de victimes françaises du terrorisme à Djerba, Casablanca et Madrid, suite au dépôt desquelles des informations judiciaires ont été ouvertes dans des délais très brefs, les parties civiles concluaient par cette accusation, qui me semble à la fois terrible et terriblement préoccupante pour le statut actuel des Français de confession israélite : "Elles (des parties civiles) concluent qu’il existe des victimes françaises qui peuvent exercer leurs droits et des victimes françaises qui ne le pourraient pas et/ou des personnes qui peuvent être poursuivies en justice et d’autres qui ne le pourraient pas".



Elles ne croyaient pas si bien dire, les malheureuses, puisque c’est par la lecture d’une indiscrétion figurant sur une dépêche de l’Associated Press, que les victimes d’Arafat apprenaient, le 29 avril 2004, que, suite à leurs plaintes, "la justice de leur pays allait enquêter sur des attentats perpétrés par le… Hamas ".



Etrange justice ? Les plaintes qui étaient déposées visaient pourtant nommément le président de l’Autorité palestinienne, Yasser Arafat et elles contenaient les motifs de génocide et de crimes contre l’humanité. Ces qualifications n’auraient pas été retenues par la "justice" française.



A la Ména, on plaint surtout le juge d’instruction et le Garde des Sceaux, leur suggérant de consulter les pages 243 à 252 du livre des époux Calvo. Eloquentes, sobres, elles font état, en lignes serrées de la liste des attentats contre les civils ayant été commis après les accords d’Oslo. Le plus grand nombre est à mettre à l’actif des organisations terroristes créées et chapeautées par le baron de la Moukata. Ils ont fauché des vies de citoyens français, dont des parties civiles, et en ont rendus d’autres handicapés à vie. On va voir comment la justice-tolérance-zéro des Messieurs Chirac et Perben va s’arranger pour coller sur le dos du Hamas les assassinats d’Arafat. Belle partie d’équilibrisme guignolo-juridique en perspective. Vous pouvez d’ailleurs compter sur nos services pour ne pas manquer une bribe de ce morceau de bravoure à venir.



Nous, de rappeler déjà à Perben qu’il n’est pas le Garde des sots, et que la tolérance zéro dans les actes de la justice française a été décrétée afin de lutter contre l’antisémitisme.



Un mot, encore, sur le style du bouquin. Il se lit bien, ça n’est pas du tout un recueil compliqué de juristes à l’attention de juristes. C’est un livre sobre, je me répète, prenant par son contenu, au point de nous faire réaliser à quel point Arafat s’en tire à bon compte, avec son assignation à résidence dans le palais du gouverneur de Ramallah. Vous l’aurez compris, amis lecteurs, un livre à posséder absolument, à lire et à conserver en référence contre toutes les incongruités qui polluent le papier et constipent les faisceaux hertziens.




"Le dossier Arafat", aux Editions Albin Michel, de Karin Calvo-Goller et Michel Calvo, en vente au prix de 19 Euros 50 TTC. Pour consulter le site Internet du livre, appuyer [ici].

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mercredi 08 septembre 2004 - 14h43:

Décès de Samira Bellil, auteur du livre "Dans l'enfer des tournantes"


PARIS (AFP) - Samira Bellil, 33 ans, l'auteur du livre "Dans l'enfer des tournantes", est décédée "au terme d'une douloureuse maladie", a annoncé mardi dans un communiqué Olivier Rubinstein, directeur général des éditions Denoël.

Paru à l'automne 2002, cet ouvrage était "un témoignage capital et courageux sur un fait de société trop souvent occulté", a-t-il rappelé.

Samira Bellil était devenue éducatrice en Seine Saint-Denis et son témoignage avait servi à terminer sa thérapie. "Je voudrais faire un livre pour que tout cela ne me soit pas arrivé pour rien. Je voudrais dire à celles qui ont subi ce que j'ai subi qu'il y a toujours un espoir de s'en sortir", écrivait-elle. Elle était gravement malade depuis quelques mois.

Dans ce récit, ni larmoyant ni apitoyé, l'auteur raconte les viols collectifs qu'elle a subis à 13 ans dans sa cité de banlieue, mais aussi sa vie faite de violence dès l'enfance, les coups donnés par son père, la faiblesse de sa mère, la drogue, les "embrouilles" avec les autres filles de la cité qu'elle prend parfois pour des alliées. Elle dit aussi sa rancoeur contre la justice des pauvres.

Elle va payer cher le fait d'avoir porté plainte contre l'organisateur de la "tournante" et sa bande, envoyés en prison. A la cité, on ne lui pardonne pas, sa mère met du temps à la comprendre, son père ne l'accepte jamais en "violée". Pour couronner le tout, son avocate, commise d'office, oublie de la prévenir de la date du procès, où elle ne peut donc pas témoigner. Heureusement, un avocat finira par être touché par son histoire et lui obtiendra une indemnisation.

http://fr.news.yahoo.com/040907/202/41kir.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mercredi 08 septembre 2004 - 09h46:

Arte s apprete encore a faire de l audience en etant antisioniste !!!

Arte s’apprête à diffuser un film anti-israélien
Selon le correspondant du quotidien Yediot Aharonot à Berlin, Eldad Bek,
la chaîne franco-allemande Arte diffusera dans sa grille des programmes
des soirées du 7 et du 8 octobre un film d’un réalisateur égyptien,
Yousry Nasrallah, appelé ''Bab El Chams'', La porte du Soleil.
Le journaliste explique que ce long métrage de quatre heures a la
particularité de présenter les combattants de la Haganah et les premiers
soldats de Tsahal comme de véritables nazis. Il a été présenté lors du
dernier festival de Cannes, en sélection officielle, hors compétition.

Le dernier opus du cinéaste égyptien, qui a été l’assistant de Youssef
Chahine, basé sur le livre éponyme de l’écrivain libanais Elias Khoury,
raconte l’histoire de Younès, dit Abou Salem, qui vit en Palestine et
affronte les Anglais, puis devient un combattant réfugié au Liban. La
porte du Soleil est aussi l’histoire de la femme de Younès, Nahila, qui
tout en allaitant son premier-né, fuit avec les villageois arabes du
Nord de la Galilée dont les maisons ont été incendiées par les
''méchants soldats israéliens'' lors de la guerre d’Indépendance.

''Cinquante d’histoire, de souffrance, d’espoir et d’amour'' annonce le
film. On y voit des scènes très dures où les soldats de Tsahal
apparaissent comme des SS faisant montre de la plus grande cruauté
envers la population arabe. Le réalisateur pousse le parallèle
tendancieux avec le nazisme jusqu’à montrer les soldats faisant des tas
des vêtements abandonnés par les villageois à la façon des monticules de
vêtements, lunettes, et cheveux faits par les nazis dans les camps
d’extermination avant de faire entrer les Juifs dans les chambres à gaz.

Eldad Bek confie qu’une conférence de presse a été organisée par Arte à
Berlin pour présenter le film. Une plaquette d’informations a été remise
aux journalistes expliquant le conflit israélo-palestinien d’une façon
partiale, faisant retomber sur Israël uniquement la responsabilité des
événements. Il raconte que dans le passage abordant la deuxième
Intifada, aucune allusion n’est faite aux attentats suicides
palestiniens.
Le détail ''qui tue'' : une rapide biographie de l’actrice principale,
Hiam Abbas, stipule qu’elle est ''née en 1960 à Nazareth, Palestine''...



Il serait bon de protester auprès de Arte, ce genre de film ne pouvant
qu'exarcerber l'antisémitisme en France, et les faits relatés dans ce
film n'étant que de la fiction, tirés d'un roman.

Pour mon compte c'est fait, on ne peut qu' écrire des textes très
courts, soyez concis.



HYPERLINK
"http://faq.arte.fr/faq/contact/index_f.cfm

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 07 septembre 2004 - 21h07:

SKETCH..AU PTB...LE SEJOUR I. PUB.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nectar (Nectar) le mardi 07 septembre 2004 - 09h29:

Aucun probleme Lalla,

Ce sera fait aujourdhui.

Bonne journée.