Par Bazooka (Bazooka) le lundi 04 décembre 2006 - 14h10: |
A propos de deficiences auditives voila une breve pechee pour vous aujourd'hui:
Appareil auditif pour chats malentendants !
L'acousticien Hans Reiner Kurz a developpe en collaboration avec l'ecole veterinaire de Hannovre, un appareil auditif pour chats malentendants...
Sa taille, qui ne depasse pas la moitie d'une piece d'un cent, permet de le mettre en place derriere l'oreille du felin, comme pour un piercing. Cout de l'operation : 300 a 400 euros.
Source & infos complementaires : Agence pour la Diffusion de l'Information Technologique
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 04 décembre 2006 - 14h07: |
Pour Segolene et l'Ambassadeur de France au Liban: le digne heritier du cornet accoustique et du sonotone.
Discret, leger et numerique, de dernier cri des appareils auditifs.
Par Primo (Primo) le lundi 04 décembre 2006 - 09h14: |
Prise d’otages internationale
L’Occident victime du syndrome de Stockholm.
Par Charles-Emmanuel Guérin, Consultant,
Officier de Sécurité et Analyste Stratégique.
1.Psychologie de l'otage...
2. Impact de la prise d'otage terroriste sur la population...
3. Diviser pour régner...
4. Objectifs de l'action terroriste islamiste.
5. L'alliance nécessaire de la terreur et de la subversion.
6. La subversion en action : utilisation et détournement de nos valeurs. Les islamistes en sécurité.
7. Mutisme des musulmans modérés, victimes eux aussi du syndrome de Stockholm ? Conclusion.
1. Psychologie de l’otage…
Rappel des faits.
Le 23 août 1973, Jan Erik Olsson entre dans l'agence de la Kreditbanken à Stockholm pour y commettre un hold-up. Le braquage ne se passe pas comme il le souhaite et il décide de se replier dans la banque pour y prendre en otage quatre employés. Durant la captivité des otages et grâce à ceux-ci, le braqueur, devenu preneur d’otages, obtient la libération d’un ancien compagnon de prison avec qui il partageait sa cellule, Clark Olofsson. Celui-ci le rejoindra rapidement dans la banque. Durant six jours, des négociations permirent la libération des otages et le retour en prison du braqueur et de son complice. Durant le court laps de temps durant lequel policiers, ravisseurs et otages se retrouvèrent à proximité, les otages s’interposèrent entre les policiers et les braqueurs. Le plus inattendu fut que les ex-otages refusèrent de témoigner à charge contre les braqueurs : ils les aideront durant le procès et iront jusqu‘à leur rendre des visites en prison. Une des otages épousera par la suite l‘un des braqueurs, Erik Olsson.
La suite du premier chapitre à l'URL :
http://www.primo-europe.org/showdocs.php?rub=7.php&numdoc=Do-5118899
Puis à la fin de chaque chapitre, cliquer sur : la suite...
Par A_Soued (A_Soued) le lundi 04 décembre 2006 - 08h28: |
LE MOYEN ORIENT S'ENFONCE DANS LA NUIT MALGRE DES LUEURS D'ESPOIR
2007, l'année de tous les dangers ?
Par Albert Soued, www.chez.com/soued/conf.htm pour www.nuitdorient.com
Le 3 décembre 2006
Décidément le Moyen Orient n'est pas encore prêt pour une démocratie à l'occidentale. Malgré toute leur bonne volonté, l'énergie et la masse des capitaux investis en Irak, en Afghanistan et dans les territoires palestiniens, les Occidentaux sont loin d'avoir réussi leur pari. Bien au contraire, ils ont dégoupillé des régions sous pression dont le contenu leur saute au visage. Du coup des challengers locaux profitent de ce désarroi pour placer leurs pions et asseoir une hégémonie concurrente et dangereuse.
Il est aujourd'hui impossible de rembobiner le djinn sorti de la lampe. Avant qu'il ne s'étende et ne contamine toute la région et au-delà, il faudra le circonscrire et le neutraliser lors des prochaines années, voire lors des prochains mois.
Comme l'a dit le chroniqueur Amir Taheri, il n'y a pas de solution élégante au conflit en Irak entre les troupes de la Coalition et la nébuleuse des "insurrections". J'ajouterai qu'il n'y a pas non plus de solution élégante aux autres conflits en cours, que cela soit en Israël et au Liban, ou dans des pays islamiques comme l'Afghanistan, le Soudan ou la Somalie.
Le combat qui n'est pas désigné clairement encore, parce que l'Occident est soit trop abasourdi par les événements, soit trop ramolli par soixante ans d'expansion économique, est un combat entre la démocratie et le nouveau totalitarisme issu de l'Islam.
Les gouvernements occidentaux, notamment européens et leurs émules démocrates aux Etats-Unis ne veulent pas se rendre à l'évidence et mènent un jeu digne des autruches.
Cela fait presque 60 ans que les Israéliens cherchent à discuter avec leurs voisins, sans aucun résultat tangible ni sérieux et ces négociations n'ont jamais empêché une série de guerres et de guerrillas israélo-arabes. Jusqu'aujourd'hui les dirigeants israéliens semblent croire que l'enjeu est territorial ou humain (1). Or les Arabes se fichent éperdument d'un territoire qui représente moins de 1 pour 10 000 de ce qu'ils possèdent; comme ils se fichent des 3 ou 4 millions de réfugiés confinés dans des camps depuis 3 ou 4 générations, sur leur territoire. Autrement ils auraient résolu entre eux ce problème depuis longtemps. L'enjeu est simplement la présence juive indépendante en Israël qui leur est insupportable. Pour les religieux, les Juifs sont des infidèles qui ne peuvent vivre qu'en "dhimmis-protégés" en terre d'Islam. Pour les laïcs, la présence d'un état moderne, transparent et démocratique en leur sein est insupportable, car source de comparaison, de convoitise et de troubles pour leurs propres régimes plus ou moins totalitaires. C'est pourquoi dans tous ces pays attardés, tout événement dramatique, que ce soit l'attaque du World Trade Center, ou le génocide au Darfour devient commodément pour leurs populations frustrées l'oeuvre du sionisme (2).
L'enjeu ici est existentiel, le refus ou l'acceptation du Juif sioniste et indépendant au Moyen Orient.
Les enjeux sont similaires ailleurs
Dès le début de la prise en main de l'Irak, les Etats-Unis ont commis une série d'erreurs dont ils sont en train de payer le prix. On ne citera que la débandade inutile et malencontreuse de la police et de l'armée irakienne de Saddam Hussein, plusieurs semaines de vide administratif, après la conquête du pays, et le choix d'un gouverneur BCBG (Brenner) pour gérer l'après guerre. Aujourd'hui pour reprendre en mains ce pays, il faudra augmenter les effectifs de la Coalition, expédier et former localement des commandos de choc et réinstaller provisoirement une dictature de fait avec un homme fort, en oubliant pour un temps les principes démocratiques, qui constituent une faiblesse dans un pays encore tribal et dont profitent à leur avantage les insurgés.
A défaut, l'Irak sombrera encore plus dans l'anarchie, avec la création de plusieurs états indépendants de fait, dont l'un shiite sera inféodé à l'Iran, et sera assis sur les plus grandes réserves de pétrole, et un autre sunnite pourra devenir la chasse gardée d'al Qaeda ou d'une milice locale similaire, menaçant la stabilité précaire de la Jordanie. Le 3ème, kurde, le seul cohérent et existant dans les faits, pourrait à terme créer des problèmes avec la Turquie voisine dont la minorité kurde est particulièrement active.
Au Liban, entre ¼ et 1/3 de la population est shiite, population liée de très longue date aux ayatollahs iraniens. Pour contrôler le Liban, l'Iran avait 2 atouts, les Assad de Syrie (des shiites alaouites, très minoritaires dans leur pays) et le Hezbollah, parti de Dieu, admis depuis peu au Parlement Libanais. Après le meurtre d'un éminent sunnite libanais, Rafik Hariri, qui a ému tout le Liban et l'Occident, l'armée syrienne a été amenée à quitter le Liban et, de ce fait, la Syrie perdait une grande partie de son influence dans ce pays. Pour l'Iran, restait le Hezbollah comme appui local sérieux. Dans une "démesure classique du héros", Nasrallah a provoqué la guerre du Liban de Juillet-Août 2006, risquant de perdre un pouvoir politico-militaire chèrement acquis grâce à l'aide syro-iranienne. Pour se rattraper, il cherche à déstabiliser le Liban, démissionnant du gouvernement, faisant assassiner un ministre (Gemayel) et appelant à l'élargissement officiel de son influence par des mouvements de masse. Minoritaire dans son pays, Nasrallah cherche à s'emparer indirectement du pouvoir, pour asseoir l'influence de l'Iran, au détriment des nombreuses autres minorités chrétiennes ou musulmanes, qui sont militairement plus faibles.
Les Etats-Unis comptaient sur Israël pour se débarrasser du fléau Nasrallah. La prudence ou l'incompétence du nouveau premier ministre israélien Ehoud Olmert n'a pas permis une consolidation du Liban. Alors on a trouvé la solution de rechange de la Finul, simple rustine sur une plaie ouverte. Car l'Onu ne fait pas le poids devant un Nasrallah, à l'étroit dans son fief libanais et prêt à coopérer avec les assassins venant de Syrie. Et Bashar el Assad cherche à asseoir de nouveau son influence au Liban pour éviter que le procès international de l'assassinat de Rafik Hariri ne l'atteigne.
Deux forces islamiques attendent l'une dans l'ombre, al Qaeda et ses mouvances, l'autre au grand jour, l'Iran très bientôt nucléarisé (4), pour s'emparer des dépouilles laissées par les Occidentaux, si jamais ceux-ci cherchaient à fuir un Moyen Orient devenu très dangereux.
Dans cette région, il faut savoir être patient et surtout, périodiquement, au moment opportun, il faut oser donner un très grand coup décisif pour assommer l'hydre qui est sortie de son antre. On ne voit pas d'autre moyen pour encourager les classes moyennes modérées à rester dans leur pays (3) et les inciter à s'impliquer davantage pour y installer la démocratie.
Dans le cas contraire, dix pays du Moyen Orient s'ajouteront à la liste des pays islamistes dans peu de temps. Au détriment d'une Europe libre et indépendante.
Notes
(1) Le 27 novembre 2006, à Sdé Boqer, cherchant la caution posthume de David Ben Gourion, le premier ministre israélien Ehoud Olmert a proposé des concessions territoriales au gouvernement palestinien mené par un chef terroriste du mouvement Hamas…
(2) Dernière turpitude en date, le 28 novembre 2006, le président du Soudan Omar Hassan Ahmed al-Bashir a déclaré que les médias sionistes conspiraient contre son pays en annonçant des milliers de morts au Darfour.
(3) Pour fuir les troubles, les classes moyennes éduquées ont tendance à émigrer en très grand nombre, les Irakiens vers la Jordanie (un million) et l'Angleterre, les Libanais vers l'Europe et l'Amérique Latine, les Palestiniens vers les pays du Golfe, le Chili pour les Chrétiens. Cette tendance néfaste accélère l'installation de l'islamisme auprès des plus défavorisés qui, eux, restent et reçoivent des subsides et des soins des organisations caritatives structurées liées aux mouvements radicaux tels que le Hamas ou le Hezbollah.
(4) En Iran, il semblerait que la limite de non retour dans la nucléarisation de l'Iran soit derrière nous. Ceci expliquerait l'intensification des diatribes du président Ahmadinejad contre Israël qui d'après lui est amené à disparaître sous peu. Faute de pouvoir déstabiliser l'Iran en suscitant des troubles intérieurs qui élimineraient l'équipe des ayatollahs en place, faute de pouvoir infliger de sévères sanctions économiques et financières efficaces, la déstabilisation ne pourra alors venir que d'actes de sabotage des installations nucléaires ou de frappes ciblées menées essentiellement par les Etats-Unis. Encore faut-il trouver un consensus occidental, ce qui paraît lointain aujourd'hui.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 04 décembre 2006 - 01h47: |
A notre compatriote soussien d`origine arabe de sousse. Je ne vous cannais pas mais j'ai le plaisir de vous dire Marhaba ou Marhabten. Bienvenue dans notre site, le site de la coexistence et de la paix.
Par Claudia (Claudia) le dimanche 03 décembre 2006 - 19h03: |
Visite de Ségolène Royal au Liban: Dray réplique vertement à Douste-Blazy
PARIS (AFP) - Le coordinateur des porte-parole de Ségolène Royal, Julien Dray, a vertement répliqué dimanche à Philippe Douste-Blazy qui avait accusé la candidate PS d'avoir des idées "simplistes" en matière internationale, jugeant tout cela "vraiment déplacé" et déclarant à propos du ministre: "Si c'était une flèche, ça se saurait".
Commentant également sur Radio J les attaques de l'UMP contre Mme Royal à propos de sa rencontre vendredi avec des députés libanais, parmi lesquels un élu du Hezbollah, M. Dray a estimé que "les responsables de l'UMP étaient certainement en difficulté" pour réagir comme ils le font.
"Je comprends qu'ils ne sont pas contents que le voyage de Mme Royal ait pris cette importance. Elle a voulu se mettre tout de suite en situation. Je comprends la rancoeur, mais franchement, il y a mieux à faire", a-t-il dit en dénonçant une "polémique inutile et stérile".
Mais, M. Dray a surtout concentré son attaque sur le ministre des Affaires étrangères, qui a mis en garde dimanche Mme Royal contre les idées "simplistes" au Proche-Orient, en paraphrasant le général de Gaulle.
"Si c'était une flèche, ça se saurait et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'en matière de politique diplomatique, il n'a pas brillé. Donc, je n'ai aucune leçon à recevoir de ce monsieur", a lancé M. Dray, joint par téléphone en Israël où il se trouvait avec Mme Royal.
Le porte-parole de la candidate a fait valoir que Ségolène Royal n'avait "pas entendu les propos" du député du Hezbollah assimilant l'attitude d'Israël au Liban au "nazisme", pas plus que "l'ambassadeur de France qui représente la diplomatie française".
Donc, a poursuivi M. Dray, M. Douste-Blazy "devrait se renseigner. L'ambassadeur "ne s'est pas levé, n'a pas quitté la salle, n'a pas protesté. Donc, tout cela est vraiment déplacé".
Julien Dray s'en est pris également aux amis de Nicolas Sarkozy, candidat UMP à la présidentielle. "Je comprends qu'ils ont les boules et que les amis de M. Sarkozy dans la communauté juive essaient de monter une petite polémique", a-t-il dit, en leur conseillant "de rester chez eux".
"Tout cela n'est pas digne de grands responsables politiques", a-t-il poursuivi, ajoutant: "il y en a qui veulent nous donner des leçons, franchement ils sont mal placés pour le faire".
Par Meyer (Meyer) le dimanche 03 décembre 2006 - 17h06: |
SOCIETE D’HISTOIRE DES JUIFS DE TUNISIE
(S.H.J.T.)
45, rue La Bruyère
75009 PARIS
(Association régie par la Loi du 1er Juillet 1901)
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Paris, le 16 novembre 2006
C O M M U N I Q U E
A l’occasion de l’anniversaire de la rafle des Juifs de Tunis par les S.S. (9 décembre 1942), la Société d’Histoire des Juifs de Tunisie organise une cérémonie commémorative le dimanche 10 décembre à 10 heures 45, au Mémorial de la Shoah 17 rue Geoffroy l’Asnier 75004 Paris, en présence de Monsieur Bertrand DELANOE Maire de Paris et des Ambassadeurs d’Israël et de Tunisie.
La lecture de la liste des Juifs de Tunisie déportés non revenus des camps d’Europe et de celle des morts dans les camps de travail en Tunisie victimes de la barbarie nazie sera suivie de la récitation des prières d’usage.
Les familles des victimes, tous les originaires de Tunisie et l’ensemble des membres de la communauté juive de Paris sont invités à s’associer à cette manifestation du souvenir qui éclaire la dimension du projet nazi d’anéantissement global du judaïsme.
Prière de diffuser et/ou insérer
Par Moshébé (Moshébé) le dimanche 03 décembre 2006 - 15h46: |
Chers Bekhor et Emile
Je vous remercie pour vos bons vœux et vos encouragements.
Bekhor, puisque vous me posez franchement la question, j’y réponds volontiers.
Oui, si Achem le permet, dans environ deux ans, les petits gamins de 13 et 14 ans, qui ont admis, le 7 mars 1959, qu’ils s’appréciaient mutuellement, pourraient fêter leur 50 ans d’amour, avec toutes les étapes que ce demi siècle impose en découvertes, en moments de grands bonheurs, mais aussi de doutes et de tristesses.
C’est tout simplement le cycle normal de la vie dont je parle ici.
Alors il m’arrive de rimailler, pour rendre hommage à la femme de ma vie, à Israël (Israël mon amour), et offrir à mes enfants et mes petits enfants, les petits poèmes de Papy.
Merci encore.
Par Braham (Braham) le dimanche 03 décembre 2006 - 13h40: |
L'ignorance, la méchanceté et le Politicly correct.
Entendu ce matin, sur F2 au programme "Thé ou café", Mr Guy Bedos dire qu'un humoriste ne pouvait critiquer son gouvernement, en Algérie, en Israél et en Iran.
Ce "champion de l'éloquence, ce défenseur des opprimés", ne peut etre traité que d'ignorant et paresseux, car il porte un jugement qui serait plutot basé sur une propagande bien enracinée et quasi officielle dans certains milieux, politiques et intellectuels français.
Peut etre était ce au nom du sacro-saint Equilibre? Quand on se sent obligé de parler de la liberté d'expression et que l'on doit forcément écorcher un peu l'Islam, il faut vite attaquer Israel et les Etats-Unis.
Dommage !!
M. Bedos n'a peut etre jamais lu de journaux israeliens sur le Web (en anglais ou en français?), ni entendu parler du succés que remportent, en Israel, les programmes satiriques sur les différentes chaines de télé. Il aurait peut etre vu un film israelien projeté en France ou entendu un de nos écrivains sur les ondes françaises pour savoir qu'en Israel chacun est libre de dire ce qu'il pense, sans etre inquiété.
Rien de plus naturel quand l'animatrice lui offre, pour le remercier, un livre écrit par M. Charles Enderlin, le représentant de F2 en Israél et qui fut à la tete de la diffusion du clip, très discuté, sur la mort de l'enfant Mohamed El Doura, clip qui a été diffusé gracieusement sur toutes les chaines du monde)
Bedos n'était d'ailleurs pas le seul.
Mme Royal, a aussi fait preuve d'ignorance quand elle avait dit (un jour plus tard, et après avoir compris l'effet de sa conduite, quand un député du Hizbulla avait traité le gouvernement israelien de Nazi) que l'on lui avait mal traduit le discours auquel elle avait assisté au Parlement de Beyrouth. Il faut etre sourd pour ne pas saisir que les mots Israel et Nazis , ont un son presque identique, qu'ils soient prononcés en arabe ou en français. Ignorance ?
Mme Royal prend les gens pour des imbéciles quand elle pense qu'on va croire qu'elle ne pouvait faire cette liaison. Le réveil de sensitivité de samedi ne peut effacer sa incompréhension de vendredi
Non Mme!! Je ne vous souhaite pas la bienvenue ce matin chez nous.
C'est la première fois que je regrette de ne pas avoir un passeport français, ce qui me prive de voter contre vous?
Par Pauline (Pauline) le dimanche 03 décembre 2006 - 10h12: |
Jewish World Review 1er décembre 2006 / 10 Kislev, 5767
C'est ça le réalisme ?
Par Charles Krauthammer
http://jewishworldreview.com/cols/krauthammer120106.php3
Adaptation française de Sentinelle 5767
Maintenant que les "réalistes" sont montés en ville en renvoyant avec jubilation la doctrine Bush au tas de cendres de l'histoire, chacun a découvert la notion d'intérêts, comme si c'était une nouvelle idée imaginée par James Baker et le " Groupe d'Etude de l'Irak ".
Que croient les gens que nous ayons fait depuis cinq ans ? C'est vrai, la rhétorique du Président a tendance à devenir très fortement wilsonienne, par exemple la question de bannir la tyrannie dans son second discours inaugural. Mais notre stratégie politique de démocratisation en Irak, en Afghanistan, et au Liban, tire son origine des intérêts américains les plus concrets.
Si nous avions vraiment été sous l'emprise de "l'idéalisme", nous serions profondément impliqués au Tchad, au Darfour et en Birmanie. Nous n'y sommes pas. Au lieu de cela, nous essayons de soutenir des démocraties fragiles dans trois pays stratégiquement importants - l'Afghanistan, l'Irak et le Liban - qui forment les parenthèses géographiques autour de la principale menace pour les intérêts occidentaux dans la région, l'axe Iran - Syrie.
Nous essayons d'apporter la démocratie en Irak, en particulier parce qu'un gouvernement pro-occidental jouissant de la légitimité et du soutien populaire aurait été le moyen le plus durable d'assurer là-bas nos intérêts. Déposer Saddam & Fils était essentiel parce qu'ils constituaient une menace stratégique permanente pour la région et les intérêts des USA. Mais leur successeur - le gouvernement Maliki issu d'une élection populaire - a échoué.
La cause de cet échec tire son origine de la culture politique irakienne, qui rend encore impossible pour suffisamment de dirigeants politiques d'agir selon un principe de conscience nationale. Nous devrions néanmoins faire un dernier effort pour changer la composition du gouvernement , et en rassembler un nouveau, composé de ceux - Kurdes, Sunnites modérés, Shiites laïques et certains des religieux shiites - capables de parvenir à un vaste arrangement politique.
Chacun sait aujourd'hui que la clé pour arrêter les combats en Irak est politique - de nouveau, comme si cela était une autre grande découverte. Il est clair depuis au moins un an qu'une solution militaire à l'insurrection était hors de portée. Le coût militaire aurait été prohibitif, et la victoire éphémère sans compromis politique. Et ce type de compromis - conférant aux Sunnites un pouvoir politique et financier (grâce au pétrole) proportionnel, est quelque chose dont les Shiites, au moins ceux intégrés maintenant dans le gouvernement Maliki, semblent incapables.
Les Etats-Unis devraient imposer au Premier Ministre Nouri al Maliki un ultimatum clair : s'il ne parvient pas à une solution politique d'ici deux mois, ou ne cède pas le pouvoir à une coalition qui le fera, les Etats-Unis abandonneront la 'Zone Verte' ; ils se retireront sur leurs bases ; ils déplaceront la plus grande partie de leur personnel au Kurdistan, où nous sommes les bienvenus et en sécurité ; et laisseront la guerre civile suivre son cours. Laissons la 'Zone Verte' actuellement protégée aux politiciens irakiens attendant le signal de Moqtada Sadr : ils devront faire face seuls à l'insurrection. Ils pourront se concentrer soit sur une offre généreuse aux Sunnites, ou bien laisser une coalition le faire.
La clé pour avancer est un changement politique en Irak. La toute dernière mode, cependant, est de se situer " régionalement ", d'amener l'Iran et la Syrie à retirer nos marrons du feu. Cette idée repose sur la notion qu'aussi bien l'Iran et la Syrie ont intérêt à la stabilité en Irak.
Voilà des termes très réalistes : intérêt, stabilité, puissances régionales. Mais les attacher ensemble pour suggérer que l'Iran et la Syrie partagent nos intérêts en matière de stabilité est de la plus haute fantaisie. En fait, l'Iran et la Syrie ont un intérêt primordial au chaos en Irak - ce pourquoi précisément elles ont été complices de l'insurrection et d'avoir attisé la guerre civile.
Peut-être que dans un avenir à long terme, elles voudront un Irak stable comme Etat client complaisant de l'axe Iran - Syrie. Pour l'heure, elles veulent le chaos. Au nom de D.ieu, qu'est-ce qu'une négociation avec eux apportera ?
Au mieux, ils pourraient nous donner quelques mois pour nous retirer. Mais pourquoi aurions-nous besoin d'eux pour le faire ? Nous pouvons très bien effectuer notre retrait sans eux. Et en échange d'une non-assistance pour une non solution qui est essentiellement une reddition, la Syrie exigerait d'avoir les mains libres encore une fois au Liban - exactement comme lorsque les Etats-Unis ayant besoin d'aide en Irak avant la Guerre du Golfe Persique [en 1991, Ndt], le Secrétaire d'Etat de l'époque, James Baker, donna le Liban à la Syrie en contrepartie.
Et l'Iran exigera d'avoir les mains libres pour son projet d'armements nucléaires, qui la transformera en superpuissance régionale dominant les Arabes du Golfe et leur pétrole.
Si cela sauvait l'Irak pour nous, il resterait au moins un argument pour un échange. Mais seulement pour couvrir une retraite américaine ? Ce serait sacrifier un intérêt sans même en assurer un autre. En voilà assez de donner un faux nom au réalisme.
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 03 décembre 2006 - 07h12: |
Salut
Avant tout je me présente je suis un soussien d`origine arabe de sousse ou je suis ne en 1941 et j`ai vécu la bas jusqu`a l`an 1958 puis j`ai été faire mes études a Paris ou j`ai vécu 19 ans a montmartre et ma première femme était aussi française ,de la j`ai immigre en Australie je suis marie avec une soussienne aussi j`ai deux enfants , ya hasra j`avais beaucoup d`amis juifs a gabadgi ou j`habite près la maison de hanina ou il y avait le grand jardin le terrain de Zberlou et pres de résidence massouda ou il y avait jadis le docteur boujnah puis la famille israiel dont leur fils Edouar et camus si tu connais j`avais aussi comme ami les fils Bentoura ,et je connais pas mal des Chelly celui qui avait le cinema le palace, et il y aussi une famille musulmane chelly je ne sais pas quelle parente vous avez juifs et musulmans mais avant nous étions tous frères juifs arabes maltais francais italiens ,mom pere etait dans la police français tu dois le connaître sûrement avec la bande de mahjoub et boulahia ,je connais tous les coiffeurs de sousse rappelle moi ton salon je dois te connaître sûrement, mes grands parents avait le hammam el houka en ville arabe , enfin sa fait plaisir de tombe sur toi , car je visite sousse de temps en temps malgré que je suis très loing et aussi j`étais a l`école Dumon et ma maîtresse étais Mme con celle qui habite près du café Gilardi en face du commissariat , bref moi aussi je rêve de sousse mon amour ça a change beaucoup change
SOUSSE
RYD