Par Lapid (Lapid) le dimanche 10 octobre 2004 - 17h21: |
Intifada Bilan cote Israelien au 7 octobre 2004 : 1017 Israéliens tués, 5598 blessés
7 octobre 2004 - Lettre d'information éditée par l'Ambassade d'Israël en France - Dina Sorek, Ministre-conseiller à l'information près l'Ambassade d'Israël à Paris
Le commencement
Commencée le 29 septembre 2000, la deuxième intifada est connue pour avoir été déclenchée par la visite d'Ariel Sharon sur l'esplanade des mosquées.
Quel qu'en ait été l'élément catalyseur, il faut garder en mémoire que l'intifada a été programmée et déclenchée simultanément dans plusieurs endroits des territoires palestiniens par le leasdership palestinien.
Pour en savoir plus cliquer sur le site :
Quatre ans d'Intifada
Par Shalom (Shalom) le dimanche 10 octobre 2004 - 16h35: |
J’ai vu à la télévision, jeudi et vendredi dernier, la série en deux parties de 2 heures : «
La porte du soleil », qu’a diffusée ARTE. J’ai été troublé par les mensonges, et la façon dont la guerre de l’indépendance a été décrite. Ce qui m'a fait le plus mal, ce sont les dialogues, plus que l’image. Le parallèle, qu’on a fait, entre les palestiniens et les juifs de la Shoa ; aussi bien dans les symboles que dans la brutalité,des soldats de la Haganah, qu’on a comparé à des nazis.
Lors d’une interview à Europe 1, le directeur des programmes de la chaîne se défendait d’être antisémite, et pro palestinien. Il trouver cette œuvre cinématographique d’une très bonne facture (Les journaux locaux ne l’ont-ils pas classée de 3 etoiles.)????.
Par Meyer (Meyer) le dimanche 10 octobre 2004 - 15h54: |
Tel-Aviv, 100 ans à peine
LE MONDE DES LIVRES | 07.10.04
Un îlot européen au cœur de l'Orient.
NAISSANCE D'UNE VILLE 1909-1936 de Yaacov Shavit. Traduit de l'hébreu par Esther Ifrah, Albin Michel, "Présences du judaïsme", 240 p., 8,60 €.
Il arrive parfois, même à ceux qui aiment profondément Tel-Aviv, de s'interroger sur les raisons de cet amour. Ici, pas de constructions monumentales, pas de palais dorés, pas de châteaux. Ce n'est ni l'antique Jérusalem ni la touristique Eilat. Tout juste une ville un peu provinciale dont le plâtre s'écaille. Alors pourquoi ? D'où vient le charme de cette ville qui a à peine cent ans d'histoire ? Sans doute, justement, de son caractère inachevé, symbole, encore, de tous les possibles. C'est d'ailleurs cela Tel-Aviv, comme l'explique très bien Yaacov Shavit.
Surnommée "Ir ha-plaot" (la Ville des prodiges), elle devait être la première ville juive des temps modernes. On s'accorde à dire qu'elle est née en 1909, même s'il ne fut décidé de l'appeler Tel-Aviv que le 21 mai 1910. Aviv ("le printemps" en hébreu) devait être le signe de ce renouveau tant attendu. Quant aux collines (Tel) sur lesquelles furent construites les premières maisons, elles sont aujourd'hui aplanies.
Contrairement à ce qu'en dit la légende, Tel-Aviv n'est pas tout à fait surgie du sable. Et même si elle semble parfois n'avoir fait l'objet d'aucune planification, tant on est frappé par son caractère (sympathiquement) anarchique, Tel-Aviv est le fait d'hommes - majoritairement originaires d'Europe de l'Est - bien décidés à fonder une ville tout à la fois hébraïque et moderne, sorte d'îlot européen au cœur de l'Orient. Ces hommes se nomment Haïm et Yossef Kashdan, Dov Karmi, Salomon Gepstein.
"DÉNUDÉE ET LIBERTAIRE"
Ce sont eux, entre autres, et comme le montre le remarquable ouvrage publié par les éditions de l'Eclat (1), qui contribuèrent à édifier ce que l'on appellerait bientôt la ville blanche..., puisque les maisons furent enduites de plâtre brillant. Cette tendance architecturale correspond à la cinquième alya : il s'agissait de fournir des constructions bon marché permettant de loger une population en croissance rapide. Mais aussi d'adapter - notamment au moyen de balcons profonds - la construction au climat du pays. C'est le fameux esprit Bauhaus qui a valu à Tel-Aviv d'être classée au Patrimoine de l'humanité par l'Unesco en juillet 2003.
Ville patchwork, "dénudée et libertaire", selon les mots du poète Nathan Alterman (1910-1970), ville irréelle à l'agitation profane, Tel-Aviv a, malgré son jeune âge, traversé bien des crises. Elle se dresse pourtant, plus vivante que jamais, pour le plus grand plaisir de ceux qui l'aiment au-delà de toute raison, et qui peuvent dire, avec l'écrivain yiddish Shalom Ash (1880-1957) : "Tout juif - moi y compris - demande deux choses à Dieu : une place au paradis dans le monde à venir, et une place au bord de la mer à Tel-Aviv en ce monde-ci."
Emilie Grangeray
(1) Des maisons sur le sable. Tel-Aviv, mouvement moderne et esprit Bauhaus, de Nitza Metzger-Szmuk. Ed. de l'Eclat, 448 p., 65 € (Lire Le Monde 2 du 18 septembre).
• ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 08.10.04
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 10 octobre 2004 - 12h25: |
DERRIDA et " sa judaité"-extrait
"...Je voudrais chanter la douceur très seule de mon tallith, la douceur plus douce que la douceur, toute singulière, sensible et insensible à la fois,calme, acquiescente, étrangère à la sensiblerie, à l’effusion ou au pathos,en un mot à toute « Passion ». Compassion sans limite cependant, compas-sion sans idolâtrie, proximité et distance infinie. J’aime la paisible passion,l’amour distrait que m’inspire mon tallith, j’ai l’impression qu’il m’ac-corde cette distraction parce qu’il est sûr, si sûr de moi, si peu inquiet de mes infidélités. Il ne croit pas à mes inconstances, elles ne l’affectent pas. Je l’aime et le bénis avec une étrange indifférence, mon tallith, dans une familiarité sans nom et sans âge. Comme si la foi et le savoir, une autre foi et un autre savoir, un savoir sans vérité et sans révélation, se tissaient ensemble dans la mémoire d’un événement à venir, le retard absolu du verdict, d’un verdict à rendre et qui se fait, se fit ou se fera venir sans la gloire d’une vision lumineuse. Mon tallith blanc appartient à la nuit abso-lue. Vous n’en saurez jamais rien, moi non plus sans doute......"
http://www.mitspe.com/forum/forum/viewtopic.php?t=1367
Lire sa biographie sur le lien
http://www.erudit.org/revue/etudfr/2002/v38/n1/008401ar.pdf.
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 10 octobre 2004 - 12h20: |
L'un des philosophe français les plus connus à l'étranger, notamment aux Etats-Unis, Jacques Derrida est mort dans la nuit de vendredi à samedi à l'âge de 74 ans, semble-t-il des suites d'un cancer du pancréas.
Le président Jacques Chirac a déclaré dans un communiqué qu'il avait appris "avec tristesse" la disparition "d'une des figures majeures de la vie intellectuelle de notre temps".
"Jacques Derrida était lu, admiré, traduit, publié, enseigné et discuté dans le monde entier", écrit le chef de l'Etat. "Il restera comme un inventeur, un découvreur, un maître d'une extraordinaire fécondité."
Né le 15 juillet 1930 à El Biar, en Algérie, il était entré au début des années 1950 à l'Ecole normale supérieure de Paris, où il fait alors connaissance de Louis Althusser, également né en Algérie, qui deviendra plus tard son collègue à l'ENS en tant que philosophe marxiste.
Assistant à l'université américaine de Harvard, puis à la Sorbonne, à Paris, Jacques Derrida revient à l'ENS comme professeur de philosophie. Il enseignera plus tard, à l'Ecole des hautes études en sciences sociales.
Partageant son enseignement Entre paris et des universités américaines, il nourrit la même passion pour la pensée grecque et la pensée juive, la philosophie et la poésie.
http://www.liberation.fr/page.php?Article=244939
Par Albert (Albert) le dimanche 10 octobre 2004 - 11h49: |
Maxiton
LUSTUCRU....
Par Maxiton (Maxiton) le dimanche 10 octobre 2004 - 11h11: |
Chimène qui l'eût dit ? !
Rodrigue qui l'eût cru ? !
Par Douda (Douda) le dimanche 10 octobre 2004 - 10h45: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Non Cher Albert...,
Douda n’a aucun camp à rejoindre, celui de l’Electron Libre lui suffit amplement, et ce camp est le contraire de celui du mensonge et de la propagande...,
Salut,
Wnessou El Douda
Par Maurice (Maurice) le dimanche 10 octobre 2004 - 10h35: |
Mme Mathilde B ecrivez à TECHNION HAIFA Israel
"
Services medicaux " un professeur fera suivre votre lettre à la personne competante
Par Meyer (Meyer) le dimanche 10 octobre 2004 - 09h16: |
Voici, en réponse à Mathilde B., trois références d'articles en anglais sur l'allergie due au sésame.
http://www.jpost.com/servlet/Satellite?pagename=JPost/JPArticle/ShowFull&cid=1092107168796
http://www.tau.ac.il/medicine/conf2002/A/A-07.doc
http://www.pharmj.com/pdf/articles/pj_20011124_sesame.pdf
Par Email (Email) le dimanche 10 octobre 2004 - 08h53: |
Bonjour,
Je vous en prie c'est tres important pour vous de m'aider.
J'ai lu recemment ici que des chercheurs Israeliens avaient trouve la cure pour l'allergie au sesame. Je sais ca n'a l'air de rien mais au moins 100.000 personnes au monde souffrent de cette allergie et peuvent mourir s'ils ingestent la moindre quantite de sesame (qui peut etre sous forme d'huile ou incorpore a des produits usuels).
Mon mari est dans ce cas et croyez moi ce n'est pas drole de vivre ainsi.
Le probleme est que je ne retrouve plus qui sont ces chercheurs et comment les contacter mais il me semble que c'etait au Technion.
Je vous en prie aidez moi a les trouver.
Mathilde B.
repondez moi ici svp.
Par Maurice (Maurice) le dimanche 10 octobre 2004 - 07h52: |
De Yves AZEROUAL
Par Ray Archeld pour Guysen Israël News
10 octobre 2004 / 00:41
le 6 octobre est sorti le dernier ouvrage de Yves Azéroual "A-t-on le droit de défendre Israël ?" chez Hachette Littératures.
Nous vous avons déjà dit tout le bien que nous pensions de cet ouvrage. La presse commence a en parler. Il faut absolument lire ce livre qui donne les clés pour mieux comprendre le conflit au Proche-orient.
Pourquoi les regards se focalisent-ils sur l’Etat d’Israël, qui serait coupable de tous les maux, de tous les méfaits ? Pourquoi tant d’excès de langage envers ce petit bout de terre, de la taille de la Bretagne ?
Yves Azéroual, sur la base d’une enquête rigoureuse, met en évidence des contre-vérités véhiculées par la presse, mais aussi par le monde diplomatique. Non, les Palestiniens ne sont pas inéluctablement victimes et les Israéliens nécessairement bourreaux. Rappelons aussi qu’Israël est le seul Etat démocratique de la région.
Il y a dans le monde des terreurs plus sanglantes, des carnages plus horribles dont on ne parle guère et qui soulèvent moins d’émotion que les ripostes israéliennes. Le conflit israélo-palestinien est le seul pour lequel l’AFP effectue un comptage quotidien des morts –ce n’était pas le cas hier au Rwanda, ni aujourd’hui en Tchéchénie ou au Soudan… L’Etat hébreu occupe seul le banc des accusés et, avec lui, le peuple juif, sommé d’expier.
On en oublie qu’Israël a une histoire. Se souvient-on de ces quelques épisodes ? Au lendemain du partage, les Etats arabes ont exigé que les Arabes palestiniens fuient en leur promettant de « jeter les juifs à la mer. » ; une grande partie des dirigeants arabes, avec à leur tête le Grand mufti de Jérusalem, ont salué l’arrivée des nazis au pouvoir en Allemagne ; Israël a accueilli les juifs exilés des pays arabes, les pays arabes –hormis la Jordanie- ont refusé d’accueillir les Palestiniens pour des raisons politiques ; les Juifs n’ont jamais vécu aussi heureux qu’on le prétend en terre d’islam. Ils avaient un statut d’infériorité, et eurent à subir de nombreux pogroms.
Ce livre n’est pas un essai défendant le « bien » contre le « mal », mais le préférable au détestable. Il cherche à semer le doute et la critique dans les thèses les plus tranchées, à apporter des arguments au débat. Il cherche, dans le concert d’imprécations, de vociférations, de simplifications et de passions, à faire entendre la voix de la raison –et des faits.
Yves Azéroual, journaliste et documentariste, est spécialiste du Proche-Orient. Ancien rédacteur en chef de i-télévision et, sur TF1 de l’émission « A tort ou à raison », il a co-réalisé, avec Elie Chouraqui le documentaire « Antisémitisme, la parole libérée », diffusé sur France 2, dans « Envoyé Spécial », en avril dernier et en DVD début octobre chez MK2.
LU DANS LA PRESSE:
LCI : Sur la base d'une enquête rigoureuse, Yves Azéroual met en évidence des contre-vérités."
T.J. : "Dans son dernier essai, Yves Azéroual revient sur les questions qui divisent Israéliens et Palestiniens. Il rétablit les faits."
GUYSEN : "Ce livre cherche à semer le doute et la critique dans les thèses les plus tranchées, à apporter des arguments au débat. il cherche à faire entendre la voix de la raison et des faits."
RCJ : "Un livre pédagogique."
Radio J : "un ouvrage détaillé,instructif, documenté qui dérangera les anti-israéliens les plus virulents."
COMMENTAIRE DE MAURICE:LA FRANCE VICHYSTE ET DE MUNICH FILS DES VICHYSTES DE LA COLONISATION SEMBLE OUBLIE L'EPURATION PAR DE GAULLE DE LEUR PERE CELLE FRILEUSE QUI A ETE COLLABORATIONISTE ET QUI REVIENT AU AFFAIRE VOULANT LES STIGMATES QU ILS ONT TOUJOURS FAIRE PORTER A SON BON BOUC EMISSAIRE JUIF SON CONCURENT MALGRE MINORITAIRE MAIS A LA NUQUE RAIDE CEUX QUI ONT REJOINT DE GAULLE ET VEULENT GARDER A LA FRANCE SON VISAGE JUDEOCHRETIEN ET NON PAGANOCHRETIENS UNE FILLE DE L' EGLISE D'AVANT CONSTANTIN COTISONS NOUS POUR
AGIR COMME LE PROPOSENT DOUDA ET MAXITON
Par Email (Email) le dimanche 10 octobre 2004 - 05h09: |
PARTICIPEZ AU VOTE POUR LA PRESIDENCE DES USA EN DIRECT - Cliquez ici pour choisir votre candidat prefere
Le vote en Floride
Par Email (Email) le dimanche 10 octobre 2004 - 04h59: |
Le philosophe français Jacques Derrida (z''l) est mort d'un cancer à l'âge de 74 ans, le 8 octobre. Enseignant dans des universités françaises et américaines prestigieuses, il avait conçu la '' déconstruction ''. (Guysen.Israël.News)
Né à El Biar (Algérie), il a été victime enfant des lois antisémites du régime de Vichy. Cet élève de l'Ecole normale supérieure, où il est condisciple de Louis Althusser, a notamment puisé ses réflexions dans les pensées juive et antique et dans la poésie. C'était aussi un intellectuel engagé.