Par Djlachem (Djlachem) le samedi 23 octobre 2004 - 15h15:

Concernant la campagne de l'UEJF:

On peut discuter de la méthode mais je vois cette campagne exactement comme celles des British sur tous les sujets, que ce soit l’alcool au volant, le Sida ou autre. Quand ils pensent qu’il faut faire réagir fortement le public, ils tapent fort. Le résultat c’est que leurs pubs sont généralement non seulement meilleures au plan du concept mais surtout plus efficaces. Ce qui est encore plus marrant, c’est que quand on regarde Culture Pub et qu'on voit les spots britanniques, tout le monde adore et tout le monde prend un ton plein de componction pour regretter “que ça ne marche pas en France”. On n’en sait rien : on n’a pas essayé !

Et voilà-t-y pas que l’UEJF essaie. Moi ça ne me choque pas.

Leur objectif est de faire comprendre qu’après “samedi, il y a dimanche” et que quand on se sera débarrassé des Juifs, les autres suivront.

Il n’y a aucun message négatif dans cette pub. Ils montrent Jésus, dont personne ne nie qu’il était Juif, même pas l’Eglise, dont le portrait est tagué comme les façades des synagogues, et ils ajoutent que l’antisémitisme est l’affaire de tous. L'objectif de l’Uejf est moins de le rappeler que de souligner d’une part la filiation entre les trois monothéismes, et d’autre part de montrer que personne n’est à l’abri de la haine.

Je pense donc que c’est une excellente pub. Si les conséquences sont négatives, je réviserai mes classiques en matière de comm.

Par Shalom (Shalom) le samedi 23 octobre 2004 - 12h47:

Bonjour tout le monde

Après le feuilleton politico comique de la semaine,la seule analyse que je trouve la plus sensée , en ce qui concerne Israël et le monde, est à mon humble avis, celle de :

Charles Kraulhammer, journaliste.
envoyé par A-SOUED

Amusez vous bien et faites nous rire pour la semaine prochaine.

Shalom.

Par Suggest1 (Suggest1) le samedi 23 octobre 2004 - 10h34:

ATTENTION ?

Ce n’est pas la guerre ! HEIN !!!!????

Donnez ? S.V.P ? (Avec courtoisie) Votre opinion ?

Une campagne de l’Union des Etudiants Juifs de France

http://www.strategies.fr/creation/jour/images/zoom/20041022_z.jpg

Êtes vous ? Favorables ? Où ? Défavorables ?

Suggest1

Par Braham (Braham) le samedi 23 octobre 2004 - 08h17:

De la part de ‘ceux qui avalent tout’

Pour éclairer la lanterne a M. Douda dont tous les lecteurs savent de quel coté bat son cœur, je voudrai lui rappeler ce qu’il avait écrit le mercredi 20 octobre. Dans un message adressé à Omega, qui est aussi de son coté, il dit :
« ….mais selon toi quel pourcentage des citoyens ont l’esprit critique, pensent par eux même, et ne sont pas prêts à avaler tout droit dans le gosier…. »
Cette phrase contient en quelques mots toute l’idéologie de la gauche archaïque et paternaliste: nous sommes ceux qui pensent par eux-mêmes et les autres sont ceux qui avalent tout.

Non monsieur, c’est écrit et vous ne pouvez le nier dans le message que vous écriviez 3 jours plus tard. Examinez encore une fois les archives !

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 23 octobre 2004 - 05h16:

Braham, j'ai lu ton commentaire et je te félicite.
Comme le dit Charles Krauthammer, l'Europe et L'ONU gette impatiamment les resultats des elections americaines. Si Kerry est élu. Le seul qui sera entre le marteau et l'enclûme c'est toujours Israel.

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 23 octobre 2004 - 03h55:

Chalom Bekhor, tu es bien gentil, mais je ne suis ni en Israël, ni à la knesset comme tu le dis. Je n’ai rien écrit contre les Arabes tunisiens. Le débat est entre la gauche américaine et la droite américaine n’incombe qu’aux Américains.

Bush a été généreux avec Israël et je veux lui montrer ma gratitude, en tant que Juif américain. Je pense que si tu étais à ma place tu feras peut-être la même chose.

Que Bush ou Kerry aient tort ou raison, je ne suis pas là pour étaler mes jugements. Je voulais seulement connaître la personne qui me parle de Kerry, et qu'aujourd’hui il se dit Israélien. Je suis sensible lorsqu’un étranger s’immisce dans la politique américaine.

J’avais aussi été mécontent quand Clinton avait envoyé Mr Carville, son stratégiste, en Israël pour aider Barak dans les élections. Je ne trouvais pas ce geste honnête.

Tu appelles ça de la chamaille? Je pense qu’Oméga n’est ni Arabe et ni Israélien, il se présente seulement comme tel peut-être? Moi j’aimerais savoir avec qui je dialogue et qui est cette personne, pour vouloir me faire dire des choses que je n’avais pas dit.

Maintenant que nous avons commencé cette investigation, je pense qu’il serait correct de dégager les soupçons et de s’introduire. De toute façon mon adresse électronique est connue. Tu vois bien que les personnes commencent à dire n’importe quoi juste pour remplir les sphères.

Je voudrais t’éviter de rentrer dans une situation désagréable. Ce monsieur qui se dit israélien et parle des Juifs de l’extrême droite israélienne me semble dangereux, car selon son texte il a des amertumes qui ne me regardent pas. Pourquoi mentir et dire des choses qui n’existent pas? Je n’ai pas écrit quoi que ce soit sur Peres ou sur Rabin. Je les respecte en tant que Juifs qui ont donné toute leur vie pour la cause israélienne.

Encore il dit: ”Quant à votre façon d'agir, insulter, essayer de crier plus fort que les autres pour faire peur” Je n’ai jamais insulté quiconque ou dit quoi que ce soit pour lui faire peur. S’il a peur à l’avance ce n’était jamais mon intention, c’était certainement sa conscience qui lui pèse.

Quand aurais-je dit: ”tous ceux qui ne pensent pas comme vous sont ou des traîtres ou des ignorants?” Il en déduit lui-même des diverses interprétations. Emile n’a pas besoin de dire de telles choses.

Behkor, il n’y a pas “d’imposteur“ c’est moi qui signe mes propres écrits et si j’avais fait de temps en temps des fautes, et bien, on dit "ceux qui ne font rien ne font pas de fautes".

Je n’ai jamais fait taire qui que ce soit, au contraire, c’est moi qui avait toujours écrit:
“Exprimez-vous librement, que vous soyez Juif ou Arabe, peut m’importe”.

Pour en finir, mon cher Bekhor, l’enjeu n’est pas la gauche ou la droite seulement. Les Israéliens le disent eux-mêmes, qu’ils préfèrent Bush à Kerry. A mon avis Bush est bien pour les Etats Unis et pour le monde. Ceux qui n’aiment pas Bush ont toujours le choix aux urnes.

Par Email (Email) le samedi 23 octobre 2004 - 01h00:

Bonjour,

Priere d'informer tous nos compatriotes tunisien(ne)s que nous pouvons participer aux elections presidentielle de Tunisie a Los Angeles en votant au local suivant :

Please inform that in the Los Angeles, California Area Tunisians can cast their ballot and participate in the Tunisian presidential elections from 9 a.m. to 4 p.m. (PDT) on Friday and Saturday October 22nd and 23rd 2004 at the Best Western Beverly Pavillion Hotel located at
9360 Wilshire Blvd
Mezzanine Level (Conference Rooms)
Beverly Hills, Ca 90212

Il faut etre muni d'un passport Tunisien

Ralph Khelil

Par A_Soued (A_Soued) le samedi 23 octobre 2004 - 00h43:

Sacrifier Israël



Par Charles Krauthammer, journaliste

Paru dans le Washington Post du vendredi 22 octobre 2004.

Traduit par Menahem Macina pour www.upjf.org - Titre original : "Sacrificing Israel"

L'axe central de la politique étrangère de John Kerry est le rétablissement de nos alliances, afin que le monde vienne à notre aide, particulièrement en Irak. Il répète cela sans cesse, parce que c'est la seule idée de politique étrangère qu'il puisse offrir. Le problème, pour Kerry, c'est qu'il n'est même pas en mesure d'expliquer comment il se propose d'y parvenir. Mais vous pouvez croire, comme je le fais, qu'il en a l'intention.

Il y a peu de chances pour que le seul fait d'arborer un nouveau visage europhile ébranle tellement les alliés, que les troupes françaises se mettent à arpenter les rues de Bagdad. Par conséquent, vous pouvez croire que Kerry fait seulement preuve de cynisme en s'engageant à faire venir les alliés en Iraq, alors qu'il se sait incapable d'y parvenir. Mais vous pouvez croire, comme je le fais, qu'il en a l'intention.
Il veut vraiment mettre un terme à l'isolement de l'Amérique. Et il a une idée sur la manière d'y parvenir. Pour des raisons compréhensibles, toutefois, il n'expliquera pas, à la veille d'une élection, comment il compte s'y prendre.

Réfléchissez un instant : contre quoi les Européens et les Etats arabes se répandent-ils en amères critiques au Moyen-Orient ? Quelle est (en dehors de l'Irak) la région à propos de laquelle la politique des Etats-Unis suscite le plus de frictions ? Quel est le problème qui, à lui seul, isole le plus l'Amérique de l'écrasante majorité des pays membres des Nations unies ?

La réponse est claire : Israël.

Quel prix devrons-nous payer aux autres nations du monde en échange de leur soutien dans des régions telles que l'Irak ? La réponse est claire : leur céder à propos d'Israël.
Aucun démocrate n'avouera cela ouvertement. Mais quiconque est rompu au langage codé de la diplomatie moyen-orientale sait lire entre les lignes. Voyez ce que Sandy Berger, l'ancien conseiller à la sécurité nationale de Clinton disait, dans le manifeste intitulé "La politique étrangère d'un président démocrate", rédigé quand il était haut-conseiller de Kerry en matière de politique étrangère.

"Pour remplir leur part d'un nouveau marché avec nos alliés, les Etats-Unis doivent se réengager à… mettre un terme au conflit israélo-palestinien... Si nous nous réengageons dans le processus de paix et rétablissons, avec nos alliés, les liens qui s'étaient détériorés, qu'est-ce qu'un président démocrate devra leur demander en contrepartie ? En premier lieu, nous devrons leur demander un véritable engagement militaire et financier en Afghanistan et en Irak".

Ainsi, aux termes d'un "nouveau marché avec nos alliés", l'Amérique se "réengage" dans le "processus de paix", et reçoit en échange aide militaire et argent pour l'Afghanistan et l'Irak.

Ne vous laissez pas duper par l'euphémisme "processus de paix". On sait ce que le "processus de paix" a signifié au cours des huit années durant lesquelles Berger a été en poste à la Maison Blanche, sous Clinton - Maison Blanche dans laquelle Yasser Arafat a été invité plus souvent que n'importe quel autre dirigeant de la planète. Résultat : on a cru aux duperies d'Arafat en matière de paix, sans lui faire grief de ses incitations ni de son appui permanents au terrorisme. Résultat : une pression permanente sur Israël pour qu'il fasse concession après concession en matière de territoires - sans aucune contrepartie. Pire encore : Arafat a finalement déclenché une guerre brutale de terreur, qui a tué un millier d'Israéliens innocents.

"Un réengagement dans le processus de paix", c'est exactement ce à quoi les Européens, les Russes et les Nations unies ont poussé les Etats-Unis pendant des années. Croyez-vous que ces pays ont à coeur la sécurité d'Israël ? Ils laisseraient immédiatement tomber Israël, et c'est précisément pour ce faire qu'ils font pression sur l'Amérique.
Pourquoi sont-ils si contrariés de la politique israélienne du Président Bush ? Pourtant, Bush est le premier président à avoir engagé les Etats-Unis en faveur d'un Etat palestinien indépendant. Mais le péché de Bush est qu'il exige aussi des Palestiniens qu'ils acceptent vraiment Israël et qu'ils remplacent le pouvoir terroriste, dictatorial et corrompu, de Yasser Arafat.

Se réengager dans un "processus de paix" alors que la violence continue et qu'Arafat est au pouvoir, c'est défaire la politique moyen-orientale de Bush. Cette politique - qui consiste à isoler Arafat, à soutenir le droit d'Israël à se défendre en attaquant l'infrastructure terroriste et en construisant une barrière défensive - a réussi à vaincre l'Intifada et à obtenir une étonnante réduction de 84% des victimes israéliennes innocentes.
John Kerry affirme qu'il veut "rejoindre la communauté des nations". Or, s'il est une question sur laquelle les Etats-Unis échouent régulièrement à passer la barre du consensus international global, c'est celle d'Israël. En juillet, l'Assemblée générale de l'ONU a déclaré illégale la barrière défensive d'Israël par 150 voix contre 6. L'Amérique s'est retrouvée presque seule à défendre Israël.

Vous voulez vous concilier "la communauté internationale" ? Sacrifiez Israël. Graduellement, bien sûr, et toujours sous les apparences de "la paix". Mettez une pression impitoyable sur Israël pour qu'il fasse des concessions à une direction politique palestinienne qui a prouvé (à Camp David, en 2000) qu'elle ne fera jamais la paix.
Les alliés apprécieront la chose. Ensuite, tournez-vous vers eux et dites-leur : Nous faisons notre part (contre Israël), maintenant faites la vôtre (en Irak).

Si Kerry est élu, la pression sur Israël commencera dès le premier jour.

letters@charleskrauthammer.com

Par Citron (Citron) le samedi 23 octobre 2004 - 00h04:

NAO
tu dis
"Qu'est ce que LEUR drame et leur difficulte quand nous nous avons ete MIS ds des fours!!!!! c'est zero a cote!!!! "

je te rappel que ces gens n'ont pas participés ni de prés ni de loin au génocide ni aux actes dont tu fait référence.de ce fait ils ne sont pas tenu a en payer le prix ni a passer pour des moutons expiatoires !

de ma part il n'y a aucun lien a faire entre les 2 événements,et on ne peut meme pas les comparer.

je pense que parler de la shoa pour justifier tous les actes du gouvernement isrélien est une insulte a la mémoire des victimes de ce drame.

celtia.1@laposte.net

Par Braham (Braham) le samedi 23 octobre 2004 - 00h03:

Elections

Je peux comprendre que des Tunes de nationalité américaine affichent leurs opinions dans le but de convaincre les autres sur les raisons de leur choix.
Je comprends que des Tunes de nationalité israélienne s’inquiètent quant au prochain locataire de la Maison Blanche et de son influence sur le Proche-Orient.
Mais que les Européens, qu’ils soient français, suisses ou autres, ajoutent leurs bûches au feu de la discussion, c’est trop !! Ils se prennent pour la mouche du coche ; parce que l’Américain moyen connaît a peine le nom de 2 présidents européens (sur les 25 pays).
D’après les sondages, la majorité des Israéliens sont contents de la situation et ne voudraient pas la voir changée. Sans entrer dans le choix entre gauche et droite ils craignent l’inconnu. D’ailleurs cette différenciation est tellement archaïque que seuls certains extrémistes, des 2 cotés, continuent à afficher les couleurs. Si elle garde encore quelques petites nuances en Europe, je crois qu'elle perd tout son sens au pays de l’Oncle Sam, elle démarquerait plutôt des groupes sectaires.
Avez-vous remarqué que quand vous courbez une règle élastique jusqu'à en former un cercle, les extrémités se rapprochent jusqu'à se joindre ? Qui d’autre, mieux que nous, peut le voir aujourd’hui, en Europe et ailleurs. Les extrémistes des clans les plus éloignés se joignent pour cultiver avec joie les graines de la haine envers notre peuple, tout notre peuple. Ils ne font aucune différence : entre gauche ou droite, religieux ou athée, ceux qui se dénigrent ou ceux qui brandissent le poing, les riches ou les pauvres, Sharon ou Pérés, Israélien ou juif de la Diaspora. NOUS SOMMES TOUS DANS LE MEME SAC !!!
Alors serrons les rangs et regardons plutôt où est le vrai ennemi. Et puisque dans moins de 2 semaines tout cela sera oublié pourquoi ne pas le faire tout de suite.

Par Shalom (Shalom) le vendredi 22 octobre 2004 - 23h31:

Voici une dépêche le l'agence reuters,sur la derniere declaration de M.Barnier.
Ca va drollement bouger les gars! Heureusement qu'il y a la France.


"L'Europe préparerait un plan d'aide du retrait israélien de Gaza"
[2004-10-22 20:45]


PARIS (Reuters) - Michel Barnier a déclaré vendredi soir que l'Europe préparait "un plan d'accompagnement" pour aider à la réussite du retrait israélien de Gaza, plan qui aurait "forcément une dimension euro-arabe", grâce notamment aux propositions égyptiennes en matière de sécurité.

"Tout est bloqué actuellement (...), on ne peut pas accepter cette situation, donc nous allons bouger", a déclaré le ministre français des Affaires étrangères, après un entretien au Quai d'Orsay avec Nabil Chaath, son homologue de l'Autorité palestinienne.

"Je suis convaincu qu'une manière de bouger, c'est que les Européens soient unis, qu'ils fassent des propositions communes avec les Américains, avec les Russes, dans le cadre des Nations unies, et avec les pays arabes", a-t-il précisé.

"Le premier terrain d'action, a-t-il insisté, c'est clairement l'action européenne et nous préparons en tout cas pour cette première étape, le retrait de Gaza, qu'il faut réussir, un plan d'accompagnement et il aura forcément une dimension euro-arabe".

Michel Barnier a précisé que l'Egypte avait fait "des propositions en matière de sécurité" mais n'a pas voulu donner plus de détails, se bornant à indiquer que Paris soutenait l'initiative du Caire.

Il a répété qu'il y a "urgence à sortir de cette spirale de violence, de désespoir, qui emporte cette région, et bien au-delà".

"ACTION EURO-AMÉRICAINE"

"L'objectif reste le même, celui d'un Etat palestinien viable vivant à côté d'un Etat d'Israël dans la sécurité", a-t-il dit.

"Cet objectif est fixé par la feuille de route, voilà pourquoi nous sommes attachés durablement, fermement à la mise en oeuvre de cette feuille de route", a-t-il ajouté.

Michel Barnier, qui s'est rendu le week-end dernier en Israël, a dit avoir "reçu et compris la promesse de M. Sharon de se retirer de Gaza comme une étape, une première étape, celle du premier retrait d'un territoire occupé".

"Voilà pourquoi nous considérons que c'est un engagement positif", a-t-il précisé.

Pour le chef de la diplomatie française, "l'Autorité palestinienne, le président Arafat, avec lequel nous continuerons le dialogue, doivent saisir cette opportunité".

L'Autorité palestinienne, a-t-il poursuivi, "doit rétablir la sécurité sur son territoire, contrôler les factions violentes, mettre fin aux actions terroristes qu'elle condamne comme nous-mêmes, mener à bien les réformes inscrites dans la feuille de route".

Nabil Chaath a lui aussi réaffirmé que "la feuille de route est aujourd'hui la seule possibilité pour parvenir à la paix".

"Nous pensons que la France est la clé principale dans les actions que nous menons également sur la scène internationale car lorsque la France parle, elle parle en son nom propre mais également pour l'Europe. Nous pensons qu'il existe une possibilité aujourd'hui pour une action européenne, pour une action euro-américaine", a-t-il dit en faisant part d'un "sentiment d'optimisme".


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Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 22 octobre 2004 - 21h40:

International Men of Mystery
John Kerry and George W. Bush each have support from the Axis of Evil. So who are the rest of the world's leaders really pulling for?
10/22/2004 12:00:00 AM

"I HAVE MET MORE LEADERS who can't go out and say it publicly," John Kerry said in March, "but, boy, they look at you and say, 'You gotta win this, you gotta beat this guy, we need a new policy'--things like that." He was talking about foreign leaders, ministers and deputy commissioners and assistant to the vice secretaries of other countries. The idea was that some governments are fed up with President Bush and would like to see him go, and that's no doubt true. But not every foreign leader backs John Kerry. In fact, as far as I can tell, only two foreign governments have gone on the record to support the Democratic presidential candidate, and one of those governments is no longer in power: Specifically, the government of foreign Malaysian prime minister Mahathir Mohamed. The other government supporting Kerry, according to London's Financial Times, is North Korea. So, for those keeping score at home, you can put one-third of the axis of evil in Kerry's column.

And, as surprising as this may seem, you can put the other remaining third in Bush's. (Saddam's vote no longer counts.) On October 19, Hasan Rowhani, who heads Iran's Supreme National Security Council, endorsed Bush . . . more or less. In an interview on Iranian state television, Rowhani said, "We haven't seen anything good from Democrats." Iranians, Rowhani continued, shouldn't "forget" that "most sanctions and economic pressures were imposed on Iran during the time of Clinton," nor that "despite" the president's "hard-line and baseless rhetoric," Bush hasn't taken, "in practical terms," any "dangerous action" aimed at the mullahs. When the interviewer asked Rowhani if that meant he supported Bush on November 2, he replied, "We do not desire to see Democrats take over."

In other words, the axis-of-evil vote is a draw. And yet President Bush's support among non-homicidal world leaders is at least as strong as Senator Kerry's. There is Japanese politician Tsutomu Takebe, for example. Takebe is the Liberal Democratic party secretary. On October 15, according to the Kyodo news agency, he told a Japanese radio program that "I think there would be trouble if it's not President Bush." And he went on: "For instance, Mr. Kerry wants to handle the North Korean issue bilaterally, which is out of the question. We're now in the era of multilateralism." Takebe was referring to the current six-party talks on DPRK disarmament. (Imagine: A foreign politician dissing Kerry because the senator isn't multilateral!)

The day before Takebe's interview, Japanese reporters asked Junichiro Koizumi, the prime minister, what he thought of the U.S. election: "I am very close to President Bush," Koizumi replied. "So I want him to do his best."

The Saudis don't like Kerry, either. While there has been no formal endorsement from the House of Saud (and the Bush campaign probably wouldn't want such an endorsement, anyway) one Saudi official has spoken out. "Kerry has taken U.S.-Saudi differences to a new extreme. He has attacked the House of Saud, not just Saudi Arabia," Jamal Khashoggi, an adviser to Saudi Arabia's London ambassador, told Reuters. "He has personalized the differences."

Bush's support extends to Europe. On October 20, Antonio Martino, the Italian defense minister, told the Italian daily Corriere della Sera that if John Kerry were elected, "Nothing [would change]. The political orientation does not change. Kerry voted in favor of the intervention [in Iraq]." However, Martino went on, "The only thing that worries me is that the man appears to change opinions with a certain ease." And a few days earlier, Russian president Vladimir Putin came out swinging for Bush: "The attacks of international terrorism in Iraq are directed not only at international coalition forces but at President Bush personally," Putin said. "International terrorism has given itself the goal of causing maximum damage to Bush in the election battle, the goal of blocking the reelection of Bush for a second presidential term." But, Putin added, "We will, of course, respect any choice by the American people."

The Russian people, on the other hand, have pretty much chosen Kerry over Bush. In a poll conducted by the University of Maryland's Program on International Policy Attitudes and the polling firm Globescan, 20 percent of Russians supported Kerry, while only 10 percent supported Bush. (The other 70 percent didn't bother responding.)

It's the same in the other countries whose governments support Bush. The Globescan/UMD poll showed that 58 percent of Italians support Kerry, while only 14 percent share their government's views of Bush. Bush's popularity in Saudi Arabia also is limited to members of the ruling class. And according to a poll in the Japanese daily Asahi Shinbun, 51 percent of Japan is rooting for Kerry.

And so it goes. Once again President Bush is responsible for a chasm between the ruling parties of other countries and those the ruling parties rule. Think back, and the situation is not so different from that prior to the Iraq war, when many governments in the coalition--most of the governments, in fact--went against their populace's wishes and supported the president. Certainly Democrats hope the American electorate will listen to its global brethren on November 2.

Par Bekhor (Bekhor) le vendredi 22 octobre 2004 - 21h24:

Mes amis arretez de vous chamailler, on se croirait a la Knesset à Jerusalem.

Voyons, ici c'est un site serieux, alors les harissiens un peu de retenue.

Omega peut importe si tu es juif ou arabe, tu n'as pas a te justifiér, l'important c'est que ce que tu a a dire, tu le dis, et ceux qui ne sont pas d'accord avec ce que tu a a dire devraient respecter tes dires.

Emile, est ce bien toi qui ecrit ces derniers temps de la sorte?
ou peut etre est ce un imposteur qui a reussi a percer le mot de passe de notre Emile national?

Car jamais notre Emile ne faisait des fautes d'orthographe ni de fautes de syntaxe, il n'y a qu'a comparer les anciens ecrits d'Emile d'avant et ceux de maintenant pour s'apercevoir que nous avons a faire a un imposteur.

D'ailleurs ou est le Emile qui pronait l'amitié et la fraternité entre juifs et arabes? ou le Emile qui etait tolerant envers tout le monde?

Allez allons demasque toi imposteur, ce n'est pas notre Emile, je suis sur que notre Emile doit etre absent ou en voyage quelque part, et il y un imposteur qui essaie de mettre le feu à la baraque ADRA D'Harissa.

Par Omega (Omega) le vendredi 22 octobre 2004 - 20h56:

Emile Tubiana

Voici la preuve de ce que j'avance concernant l'Iran.

Quand a votre facon d'agir, insulter, essayer de crier plus fort qur les autres pour faire peur et maintenant calomnier, vous ne m'impressionerez pas et vous ne me ferez pas taire.

Comme je l'ai repete plusieurs fois, je suis Juif, j'habite en Israel et si ce que j'ecris vous derange, cliquez sur les fleches.

Vous me rappellez beaucoup ces Juifs d'extreme droite qui ont d'abord diabolise la gauche, assassine Itzhak Rabin, declare que tous les leaders de gauche, y compris Shimon Peres etaient des traitres et qui aujourd'hui, face a l'evacuation de Gaza declarent que Sharon est aussi un traitre.

En gros, tous ceux qui ne pensent pas comme vous sont ou des traitres ou des ignorants ou des arabes.

Moi aussi je ne vous repondrais plus.

OMEGA