Par Admin (Admin) le dimanche 13 janvier 2002 - 03h37: | Par Admin (Admin) le dimanche 13 janvier 2002 - 03h37: |
Cliquez ici pour aller sur la page suivante
| Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 12 janvier 2002 - 21h48: |
Cher Taoufik, Il ya un dicton de chez nous qui dit "ELI IZID IZID FIROSQOU" Celui qui ajoute ajoute à son héritage. Continuons à rester dans l'amour car c'est vraiment contagieux. Si tous le monde est pénétré par l'amour tous les problèmes du monde disparaîtront aussi vite qu'ils n'arrivent. Barakalah Fik
| Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 11 janvier 2002 - 22h44: |
Cher Taoufik, Nos vieux connaissaient la force du silence que l'un appèlle d'un nom ou d'un autre n'a aucune importance. Il faut se taire quand on a rien à dire et il faut lever la voix quand il s'agit de corriger une injustice ou défendre un innocent.
| Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 11 janvier 2002 - 22h30: |
Cher David Bismuth ,
Je m'excuse de ne pas être d'accord avec votre version sur l'amour, je l'ai expliqué hier que l'amour est sacré et Divin. Personne ne peut acceder à l'amour sans que son coeur soit prêt à se donner en entier. Amicalement Votre
| Par Toufiq (Toufiq) le vendredi 11 janvier 2002 - 18h47: |
le tanit dibour est une exelente idee.le mahatma gandhi (qui n'avait pas peur du "gandhi ra t'on")
observait un jeune verbal tous les lundis
en sanskrit le jeune verbal est appele "mounam".
| Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 11 janvier 2002 - 18h14: |
Communiqué du Grand Rabbinat
TAANIT DIBOUR (Jeûne de la parole) Dimanche 13 Janvier 2002
Nous vous informons que le jeûne de la parole que le Grand Rabbin SITRUK avait lui-même fixé cette année au dimanche 13 janvier 2002 (veille de Roch-Hodech Chevat) aura bien lieu.
Il débutera à 8h à la Synagogue Beth-El – 3, rue Saulnier à Paris 9ème et sera dédié à la Réfoua Chéléma (rétablissement) du Grand Rabbin Joseph Haim Sitruk.
La synagogue Beth-El organise également une veillée d'étude pour la guérison du Grand Rabbin de France samedi 12 janvier 2002 de 22h30 à 7h30.
Pendant cette journée il nous est demandé
- de faire le jeûne de la parole
- de lire le livre des Psaumes sans s'arrêter (donc, de reprendre au début lorsqu'on a terminé une 1ère lecture...)
Soyez nombreux à y participer.
| Par Nao (Nao) le vendredi 11 janvier 2002 - 17h59: |
Il est marrant ce Toufiq! et si juste dans ses reflexions!
| Par Anonyme (Anonyme) le vendredi 11 janvier 2002 - 17h58: |
L'amour
Aimer c'est donner ,
celui qui donne aime
en revanche
celui qui reçoit est un egoiste .
David Bismuth
| Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 11 janvier 2002 - 17h56: |
A l'Appel de l'ACIC, CCJ , Consistoire de Paris, Ozar Hatorah, du CRIF et du FSJU, etc...
Pour appeler les autorités à lutter sans merci contre l'intolérance, l'extrémisme et l'exclusion qui ont poussé les auteurs des agressions anti-juives de Créteil et Goussainville.
Pour garantir le droit à la sécurité de toute personne.
En présence des représentants de toutes religions, des partis republicains et des institutions de défense des droits de l'homme.
Dimanche 13 Janvier 2002 de 10h à 11h00
Maison Communautaire de Créteil
Rue du 8 Mai 1945 ( M° Créteil Préfecture et suivez la foule)
Faites passer l'information.
Le message doit être aussi clair que celui adressé à l'extrème droite néo-nazie lors de la profanation du cimetière de Carpentras en 1989.
Les hommes politiques de tout bord, à la veille des écheances électorales, ne doivent pas, sous prestexte d'une loi du nombre favorable aux extrémistes, bafouer les intérets de notre communauté, qui a toujours su oeuvrer et faire prospérer la France dans le respect des institutions républicaines.
MNahon@aol.com
| Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 11 janvier 2002 - 17h54: |
DAAT HAIM dédie ces paroles de Torah pour la bonne santé du Grand Rabbin de France Joseph Haïm SITRUK
Institutions Daat Haïm (Au nom du tsadik Rabbi Haïm Cohen zt'l)
5 Rehov Eipstein, Bayit Vegan, Jérusalem ISRAEL Tel : 00 972 2 643 07 19/20 Fax : 00 972 2 641 07 49
Email : daat.haim@piximel.com
Réflexion cartésienne et dimension surnaturelle
Par le Rav Eliahou Elkaïm, directeur de l'éducation
Dans la paracha de cette semaine, il est question d'événements surnaturels. Quelle est la position de la Thora face à tout ce qui touche au magique, à la sorcellerie, à une dimension fantastique ?
Moïse, pour prouver qu'il est envoyé par D.ieu, fait des miracles devant Pharaon et ses magiciens : son bâton se transforme en serpent puis reprend sa forme initiale, sa main devient lépreuse puis guérit miraculeusement, enfin il envoie la première plaie, celle du sang.
Rachi, qui rapporte le Talmud (Ména'hot p. 85), explique que la réaction de Pharaon et sa suite fut de montrer que les magiciens d'Egypte étaient eux aussi capables d'effectuer de telles prouesses.
Et Pharaon ajoute : « Tu introduis de la paille dans un silo », métaphore pour indiquer à Moïse qu'il perd son temps, tentant d'impressionner des spécialistes en la matière ! Et en effet, l'Egypte était à l'époque, à la pointe des domaines de magie, sorcellerie et autres sciences surnaturelles.
Finalement, ce n'est qu'avec la 3ème plaie (la vermine), un prodige qu'ils n'arrivèrent pas à égaler, que les magiciens égyptiens reconnurent la main divine : « Les devins dirent à Pharaon : « Le doigt de D.ieu est là ! » Mais le coeur de Pharaon persista et il ne les écouta point, comme l'avait dit l'Eternel.» (Exode 8 ; 15)
Toujours d'après Rachi, qui cite le Talmud (Sanhédrin p.67), les magiciens ne purent parvenir à imiter les prodiges de Moïse qu'en utilisant des moyens obscurs de magie noire, de sorcellerie, faisant appel aux
démons.
Il était très important pour les Egyptiens de pouvoir réaliser certains miracles, pour pouvoir arguer que ceux de Moïse étaient du même ordre.
En réalité, la Thora nous explique que les démons auxquels ils faisaient appel n'ont pas de prise sur les créatures d'une taille inférieure à un grain d'orge.
C'est le cas de la vermine, des poux.
C'est la raison pour laquelle ils ne purent réaliser le même prodige. Leur première réaction fut de reconnaître D.ieu, mais ensuite, Pharaon justifia son attitude en prétendant que Moïse était seulement un magicien plus expérimenté.
Quoiqu'il en soit, par le fait de parler de démons et de leurs pouvoirs, nos Sages reconnaissent l'existence de pouvoirs surnaturels, au service de magiciens païens.
Il ne s'agit donc pas de prestidigitation, ni de tours de passe-passe, mais bien de magie, d'une véritable science. Par la suite, la Thora interdit l'usage de telles pratiques.
Nos Sages expliquent que la racine du mot « keshafim » (sorcellerie), est « ka'hash » (renier). Et ils poursuivent ('Houlin 6b) que « ces forces ont été créées pour donner la possibilité à l'homme de renier l'existence de l'armée céleste » (Pamalia chel maala).
Dibouk et magie noire
A d'autres endroits, le Talmud donne des descriptions exhaustives des différentes formes d'éléments surnaturels (démons, magie noire), ainsi que les directives pour éviter leur contact ou neutraliser leurs effets destructeurs (Pessa'him 110 ; 113).
Il n'est pas besoin de remonter très loin dans notre passé pour trouver des descriptions claires et des témoignages solides de grands maîtres à propos d'événements surnaturels, comme notamment du Dibouk (âme errante s'incarnant dans un corps humain).
De nos jours, ces pratiques et ces phénomènes ne font plus partie de notre vie, et plus personne ne maîtrise de telles techniques.
De ce fait, d'aucuns viennent à remettre en cause le bien-fondé des textes sacrés et s'imaginent avoir à faire à des écrits fantaisistes.
Pourtant, l'un des fondements de notre foi est de croire, de façon totale et absolue, à tout ce qui est écrit dans la Thora de Moïse. Douter d'une seule ligne est déjà considéré comme une atteinte au fondement de notre foi (cf. les treize principes de foi de Maïmonide).
Comment concilier cet aspect qui reconnaît l'existence d'éléments surnaturels et notre monde qui ne connaît que ce qui est rationnel, un monde où la main divine est cachée ?
C'est seulement en approfondissant notre compréhension du but de la création de l'homme que nous pourrons régler cette apparente difficulté.
Equilibre parfait
D'après nos maîtres, l'homme a été créé dans un but bien précis : celui de se rapprocher de son Créateur, en choisissant le chemin du Bien.
Pour que son choix en soit réellement un, pour qu'il puisse retirer un mérite personnel de sa décision, il faut que le monde qui l'entoure soit en équilibre parfait entre le Bien et le Mal.
Ainsi, l'homme et lui seul, en son âme et conscience, devra discerner la Vérité dans ce brouillard, voulu et créé par D.ieu.
Si cette Vérité était trop flagrante, cela déséquilibrerait obligatoirement le principe fondamental du Libre Arbitre.
Mais alors, pourquoi nos ancêtres ont-ils vécu dans un monde où la dimension surnaturelle était plus apparente ?
Phénomène merveilleux
A certaines périodes de l'histoire, il a été nécessaire de dévoiler l'existence de D.ieu et de son message.
Ce fut le cas lors de la révélation à Moïse, au moment des miracles de la sortie d'Egypte et de la révélation sinaïtique.
Ensuite, il y eut les prophètes et les miracles permanents qui se produisaient au Temple de Jérusalem.
Mais ces phénomènes merveilleux, qui font apparaître la toute-puissance de D.ieu, comportent un risque important pour l'humanité toute entière : celui de réduire le Libre Arbitre, d'enlever à l'homme (qui voit la main divine) sa capacité de choix, enlevant ainsi son sens au but fondamental de la Création.
Pour éviter cette situation, il faut que les forces du Mal et du mensonge soient renforcées et soient dotées de pouvoirs surnaturels.
Ainsi, chaque période de notre histoire trouve un équilibre entre le Bien et le Mal, et l'homme doit par lui-même trouver le chemin de la Vérité.
Plus nous nous éloignons de la révélation du Mont Sinaï, et plus le monde se rapproche de la matière, s'éloignant de l'Esprit et n'ayant plus accès au dévoilement de la main divine.
Nos maîtres ayant de moins en moins un accès direct à l'esprit divin, il n'est donc plus nécessaire de doter les forces du mensonge d'une puissance spéciale.
C'est la raison pour laquelle notre génération, si matérialiste, ne connaît plus la magie et les autres forces surnaturelles dont disposaient les peuples païens.
Un témoignage inédit vient nous en donner confirmation.
Rav Yaacov Kaminetsky, l'un des grands maîtres de la dernière génération, avait relaté qu'il avait vu dans sa jeunesse une lettre de Rav El'hanan Wasserman, rapportant une parole du 'Hafetz 'Haïm.
Ces deux géants de Thora avaient extirpé un dibouk d'un corps. Et le 'Hafetz 'Haïm avait affirmé que cette affaire serait la dernière de l'histoire ; dans la mesure où le monde se dirige vers un matérialisme de plus en plus grand et s'éloigne de l'Esprit, cela retire toute raison d'être, et donc toute existence, aux forces surnaturelles.
C'était l'objet de la lettre de Rav Wasserman et l'on peut trouver cette anecdote dans « Emeth leyaacov » (p.264).
Le Libre Arbitre va donc se porter de nos jours sur un autre terrain, celui de l'intellect pur.
Croyance aveugle
Notre époque nous offre la possibilité de voir le Créateur à travers les découvertes extraordinaires dans tous les domaines scientifiques, à travers la fantastique organisation de la nature que nous avons aujourd'hui les moyens d'observer et de comprendre.
D'un autre côté, un piège nous est tendu par le biais d'un matérialisme à outrance, soutenu par les possibilités presque sans limite de la technologie moderne. La croyance aveugle dans le génie humain est un contrepoids puissant contre la foi en D.ieu.
C'est ainsi que certains auteurs comprennent la polémique entre Maïmonide et le Gaon de Vilna. Le premier reniant l'existence des démons et de la magie, le second lui opposant tous les textes et midrachim faisant cas de tels phénomènes.
Mais ce serait mal comprendre l'intention de Maïmonide. En effet, Maïmonide n'a jamais nié ces textes, mais son point de vue se rapporte à son époque, où déjà, la main divine était cachée, ce qui signifie, on l'a compris, que les démons et autres actes magiques n'existaient plus.
La parole de D.ieu est vraie à tout jamais.
CHABBAT CHALOM
| Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 11 janvier 2002 - 17h47: |
Communiqué du Grand Rabbinat.
Point sur la santé du Grand Rabbin de France.
Le Grand Rabbin de France Yossef Haïm Sitruk est hospitalisé à la Pitié Salpétrière à Paris depuis 5 semaines.
Son état de santé nécessite une étroite surveillance.
De nets progrès sont apparus ces derniers jours : le Grand Rabbin est réveillé et consient "baroukh hachem".
Sa guérison prompte et totale "BE KAROV KEN HEHI RATSONE", avec l'aide d'Hachem, et, grâce
- à nos prières de "refoua chelema" récitées avec ferveur pour tous les malades auxquels nous associons le nom du Rav Yossef Haïm Bar Simha,
- à son mérite,
- aux soins qui lui sont administrés est en bonne voie.
Cordiales salutations et Chabbat Chalom.
P.S. : La famille du Grand Rabbin remercie tous ceux qui contribuent à la guérison du rav par leurs "tefiloths" (prières).
melalouf@entenial.com
| Par Mena (Mena) le vendredi 11 janvier 2002 - 17h42: |
So long Africa ! (info # 011101/2)
Par Denis Elkoubi @ Metula News Agency
Lorsqu'une grande figure emblématique des liens entre l'Afrique et la France disparaît, lorsque cette figure est tout à la fois un ami, un vrai, un ancien combattant, un ancien député, un ancien Ministre de la République, un poète, un chantre du métissage, un porte-drapeau de la francophonie, un démocrate et un grand Président, on s'attendait à ce que l'hommage de la France soit à la hauteur du personnage.
Il était donc dans l'ordre naturel des choses, que le Président de la République se trouve à la tête de la délégation française lors des obsèques de Léopold Sedar Senghor.
Pourtant, Chirac est resté à Paris !
Cette absence n'est certes pas passée inaperçue. Orsenna, par exemple, a fait état de sa "honte" en première page du Monde.
En 94 lors des obsèques de l'autre grand francophone africain, le Président ivoirien, Félix Houphouët-Boigny, François Mitterrand, déjà bien souffrant, le Premier Ministre Edouard Balladur, l'ex-Président Valéry Giscard d'Estaing et tous les chefs des gouvernement précédents, de Pierre Messmer à Michel Rocard en passant par Pierre Mauroy, se sont rendus à Yamoussoukro sans l'ombre d'une hésitation.
Devons-nous en conclure que la présentation du respect du aux morts et aux amis disparus est une vertu désuète dans la France chiraquienne?
Pas du tout, elle est au contraire un exercice dans lequel nous nous distinguons !
Le 13 juin 2000, Chirac avait pris le chemin de Damas pour rendre un dernier hommage à Hafez El-Assad et assister à son enterrement. Il était d'ailleurs seul chef d'état occidental à avoir fait le voyage !
On se demandait déjà à l'époque, à quel titre Assad recevait-il cet hommage remarquable de la part du Président français ?
Assad était-il un ami de la France, celui qui avait fait assassiner notre ambassadeur, un attaché d'ambassade, ainsi que des dizaines de nos soldats au Liban ?
Était-ce en sa qualité "d'ancien combattant", en reconnaissance pour s'être opposé à toute idée de règlement pacifique des conflits proche orientaux et pour s'être sauvagement approprié le Liban ?
Était-ce le "démocrate" Assad, que la France honorait, alors que les geôles de Damas regorgeaient, et regorgent encore, de milliers de militants des droits de l'homme, dont certains ont passé plus de 35 ans en prison ?
Était-ce pour la francophonie ? Afin de remercier le Président Assad d'occuper le Liban francophone ?
On ne peut pas s'empêcher de penser, cependant, que la raison de la présence sélective du Président français à Damas était conditionnée pas ses amitiés étroites avec Rafic Hariri. L'actuel Premier ministre libanais, collabo fantoche du régime alaouite syrien, participerait financièrement, selon le magazine Al Shahr, et pour la seconde fois, à la campagne électorale du Président sortant. Chirac ne pouvait-il rien refuser à son "sponsor" ? Pas même un voyage compromettant pour se rendre aux obsèques de l'un des derniers grands tyrans de la planète ? Un voyage que, justement, aucun autre chef d'état occidental n'avait osé entreprendre !
Selon notre correspondant à Beyrouth, Michaël Béhé (il y a énormément d'exilés libanais au Sénégal), l'absence de Chirac aux obsèques de Senghor n'est pas non plus un acte innocent. D'après Béhé, l'absence de la France à Dakar serait le fruit d'une compromission supplémentaire et négociée. Elle serait le signe symbolique délibéré de la France à l'Afrique, qui viendrait lui indiquer que la France ne s'opposera plus désormais à l'expansion de l'influence arabe dans le continent noir. Nous, dans cette hypothèse, de vous rappeler qu'en Afrique les gestes symboliques sont de loin les plus marquants.
Et la Francophonie dans tout ça, ?
Après avoir gaspillé des dizaines de millions d'Euros sur les deniers public, afin d'organiser un sommet au Liban occupé, qui n'a heureusement pas eu lieu, le Président français boycotte les funérailles de l'un des plus grands francophones de tous les temps ! Il démontre ainsi, à ceux chez qui le doute existait encore, que la France ne prend pas la communauté francophone au sérieux mais qu'elle entend continuer d'exploiter cette communauté d'États pour les intérêts politiques d'un tout petit nombre de privilégiés.
Chirac excelle encore. En deux funérailles, il a enterré deux fois la francophonie !
Léopold Sédar Senghor, qui a dit:
"La Francophonie, c'est cet humanisme qui se tisse autour de la terre" n'avait pas pu prévoir à quel point le Président français se tamponnait le coquillard de son oeuvre, de la Francophonie et de l'humanisme ! Le Président est un homme beaucoup plus affairé, beaucoup plus "pratique." Un homme qui excelle à trier ses obsèques, à trier les amis de la France.
| Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 11 janvier 2002 - 06h10: |
Cher Albert, je comprends ce que tu dis quand tu parles de l'amour, mais si tu me le permets, j'ajouterai quelques mots à ce sujet. Tout d'abord l'amour que nous connaissons tous entre homme et femme est un résidu du vrai amour. L'amour est en effet la force la plus forte qu'un être humain peut connaître. S'il parvient à se remplir de cette force il peut faire des miracles.. Puis l'amour est une force sacrée qui nourrit tout l'univers et jaillit constamment sans jamais s'arrêter.
Dans la bible on trouve des passages dans lesquels Jacob disait: "Ah, mon Dieu, je ne savais pas que c'est un lieu sacré", puis il marquait ce lieu avec quelques pierres. A nos jours hélas je ne connais pas un religieux ou un rabbin qui a saisit l'ampleur de ces émouvants passages. Et ceux qui avaient saisi ne sont pas forcemment juifs. Que Dieu nous remplisse de Son Amour Amen!.
| Par Anonyme (Anonyme) le vendredi 11 janvier 2002 - 02h16: |
Performing & Fine Artists, Writers & Poets Wanted
Levantine Cultural Center seeks to identify, promote and cross-pollinate with a wide range of contemporary fine and performing artists (including musicians, composers, dancers, actors, comics), as well as writers and poets, who may have roots in the Middle East or Mediterranean cultures, from Afghanistan to the south of Spain.
The Center provides a complementary web page to participating artists, and will promote awareness of this online database to cultural institutions
around the United States. Participating artists will also receive priority consideration for upcoming public performances, art exhibits, readings, festivals and other LCC programming.
For more information, visit us on the Internet at:
http://www.levantinecenter.org/pages/artistswanted.html
| Par Mena (Mena) le vendredi 11 janvier 2002 - 01h58: |
Si, si, pas alors ! (info # 011001/2)
Par Jean Tsadik @ Metula News Agency
« Incursion » ça ne veut rien dire ! C’est comme « excursion. » C’est un code sémantique creux, qui ne donne aucune indication quant aux mobiles et à la nature d’une opération militaire. C’est un terme qui, associé à la formidable campagne de désinformation qui sévit contre Israël dans les médias et dans la diplomatie français, a pour raison d’être de nourrir le doute quant aux intentions du gouvernement israélien, de son peuple et de son armée. Incursion, ça peut vouloir dire, dans l’esprit du spectateur déstabilisé, qu’Israël s’adonne à des activités de destruction gratuite contre les populations palestiniennes, qui collent bien à l’image que ces tenants d’intérêts étroits et dangereux, entendent construire sur le dos d’Israël. Cette image, cependant, n’a aucun rapport avec la réalité factuelle. Elle ne procède pas de l’information mais de la propagande.
Hier soir, ce n’est certes pas une « incursion » rageuse, que l’armée israélienne a mené contre des bâtiments de la ville palestinienne de Rafah. Il s’agissait en fait d’un épisode de la bataille contre la contrebande d’armes, qui sévit dans le nord Sinaï depuis que le Président Arafat a plongé la région dans sa révolte armée contre Israël. L’attaque palestinienne contre le camp militaire de Kerem Shalom (la vigne de la paix), en territoire continental israélien, constituait le fait d’arme qui l’a précédé. Ces événements sont non seulement liés, du point de vue tactique, encore s’inscrivent-ils dans la continuité logique de la tentative palestinienne de se procurer 80 tonnes d’armes par le cargo Karine A.
L’attaque palestinienne contre Kerem Shalom n’est pas un « accrochage », comme le prétendent certaines agences de presse reprises par la plupart des médias français. Elle ne constitue pas non plus un acte désespéré de groupuscules palestiniens incontrôlés mais elle est, au contraire, une opération élaborée dont l’orientation tactique ne fait pas l’ombre d’un doute. Cette agression palestinienne ne s’inscrit pas seulement en contravention radicale avec tous les engagements contractuels signés par l’Autorité palestinienne et avec les termes précis des plans Mitchell et Tenet, que la communauté internationale essaie de faire respecter par Yasser Arafat. Tous ces traités ne bannissent pas seulement la contrebande d’armes mais définissent aussi le nombre et la qualité des moyens policiers dont doit disposer la police palestinienne. Ces traités et ces plans de cessez-le-feu établissent, pour le surplus, la limitation de ces armes dans le nombre établi par les accords d’Oslo, comme une condition corollaire à l’instauration de la paix. Pour Israël, mais aussi pour les négociateurs américains, russes et européens, la responsabilité du contrôle de la quantité d’armement dispersé parmi les diverses bandes armées au service de la stratégie globale palestinienne, ainsi que la récupération des armes détenues illégalement, incombe à l’Autorité palestinienne, sous la responsabilité de son Président Yasser Arafat.
Les dispositions dont je fais état ci-dessus ont pour elles la clarté du cristal et la limpidité de la chose écrite. Lors, loin de faire le moindre effort afin de respecter ces conditions, Arafat concentre l’essentiel de son effort militaire et financier à augmenter le nombre de ses armes et à se doter de moyens militaires supérieurs, notamment en missiles à longue portée, dont la possession par l’Autorité palestinienne est interdite. Les accords que j’ai cités ne prévoyant que la détention d’armes légères par la police palestinienne. Il n’est pas que les nations occidentales à considérer que les efforts déployés par Arafat sont antithétiques de l’organisation de la paix et qu’ils annihilent les tous les efforts diplomatiques tendant à la reprise des négociations politiques. Ussama Elbaz, l’influent conseiller du Président égyptien Moubarak, a lui-même déclaré à la fin de la semaine dernière « que si la véracité de l’implication palestinienne dans l’affaire du Karine A se confirmait, cela porterait un coup irrémédiable aux chances de la paix ! »
Les soldats israéliens stationnés à Kerem Shalom sont, dans leur presque totalité, des bédouins israéliens musulmans qui remplissent un rôle déterminant dans le contrôle de la frontière israélo-égyptienne. Ce sont tous des éclaireurs, dont la tâche est d’empêcher la contrebande d’arme entre les deux pays et de traquer les passeurs. A cette affectation, ils sont bien les meilleurs. Ce sont des bergers du désert, qui savent repérer les traces infimes d’une présence humaine. Ils sont environ 1200 en permanence, à s’être volontairement engagés dans Tsahal (le service militaire des bédouins n’est pas obligatoire en Israël) afin de patrouiller le long des frontières. Depuis quelques temps, leur vigilance faisant, les quantités d’armes et de munitions que les contrebandiers d’Arafat parvenaient à faire franchir la frontière étaient à la baisse et le robinet était même en voie d’assèchement total. Hier, quatre de ces éclaireurs, trois musulmans et un chrétien, ont payé de leur vie leur attachement à leur pays et à leur tâche, lorsque le commandement unifié de l’Intifada a tenté de porter un coup décisif à leur détachement.
Au niveau de l’observation objective des événements de ce conflit, nous jugeons ici que cette attaque palestinienne n’est pas moins grave que la tentative de contrebande du Karine A, ni en termes de sa gravité événementielle, ni au sens de sa signification politique et des éléments d’appréciation qu’elle apporte, pour juger de la crédibilité d’Arafat en matière de recherche d’un règlement négocié.
Les représailles israéliennes, qui ont donc eu lieu dans la soirée à Rafah, avaient évidemment une finalité bien précise et cette finalité n’avait certes rien à voir avec un acte de violence gratuit. Il s’est en effet agi de détruire des bâtiments situés en face du poste israélien de Termite, que les contrebandiers au service régulier de l’Autorité palestinienne, continuent d’utiliser comme point de départ pour creuser des tunnels sous la frontière israélo-égyptienne. Voici plusieurs mois, nous avions déjà été les seuls à dévoiler, dans le détail, les motifs réels des affrontements qui se déroulent quotidiennement à Rafah. Le reportage en question s’appelait « Coke en stock » et les événements qu’il décrivait sont plus que jamais d’actualité. Ils donnent un sens suffisant et logique aux « incursions » israéliennes dans la région.
Paradoxalement, si de nombreux médias anglophones ont traduit « Coke en stock », et ont envoyé des reporters sur place pour approfondir le sujet, aucun média français ne s’est intéressé à l’information. L’opinion publique française devra donc se contenter d’entendre parler d’ « incursions », sans qu’on ne lui permette de comprendre de quoi il en retourne. Qui plus est, les lecteurs, les téléspectateurs et les auditeurs français, ignoreront que les deux actions militaires d’hier sont liées et quelles ont eu lieu le long de la même frontière, à quelques kilomètres de distance. Quelqu’un a-t-il dit « information ? »
Dans le même registre, lié à la contrebande, aux intentions et à la crédibilité de Yasser Arafat, une importante réunion d’experts et de hauts responsables américains et israéliens a eu lieu hier à Washington. A l’issue de ladite réunion et selon l’agence Reuter, l’un des responsables américains s’est déclaré convaincu de l’implication de Yasser Arafat dans l’affaire du Karine A. En écho à ces premières déclarations, l’Administration américaine a admis que les Israéliens lui avaient présenté « des preuves irréfutables de ce que la cargaison du navire de contrebande était bel et bien destinée à l’Autorité palestinienne. » Les Américains, tout comme les Égyptiens et la plupart des capitales européennes, comprennent la portée fondamentale de cet événement au niveau des possibilités de mener des pourparlers sérieux avec le chef actuel de l’AP. Ari Fleisher, le porte-parole de l’Administration américaine a déclaré « qu'il est plus important que jamais que le président Arafat démontre qu'il est un homme de paix et non un homme de guerre. » James Powell a ajouté que « M. Arafat a la lourde charge de répondre à ces accusations et aux preuves qui arrivent.»
Le Président Bush est lui-même intervenu, après l’attaque menée contre les éclaireurs bédouins, afin d’exiger de Yasser Arafat qu’il démantèle le Hamas et qu’il arrête les propres responsables du Fatah, qui sont impliqués dans l’affaire du Karine A. De plus, une réunion prévue entre des membres du Congrès américain et Yasser Arafat à Ramallah a été annulée en raison de l’implication du leader palestinien dans cet acte opposé à l’accomplissement de la paix.
Sur le front de la désinformation, nous notons que la presse et les télévisions françaises, qui avaient fait leurs gros titres sur les doutes qui planaient quant à l’implication des Palestiniens dans cette contrebande d’armes, se montrent infiniment plus discrètes, en ce qui concerne les conclusions auxquelles est arrivée l’Administration américaine. Le Monde virtuel, qui avait publiquement et avec une grande lourdeur mis en doute la version israélienne des faits, annonce désormais que « L’autorité palestinienne a ordonné une enquête sur l’affaire du Karine A. » A Métula, nous avons l’habitude de procéder à des enquêtes AVANT de formuler leurs conclusions ; or, les dirigeants palestiniens, relayés en cela, dans toutes leurs déclarations, par le Monde mais aussi par l’Obs, l’Huma et Libération, ont depuis longtemps nié toute implication dans l’affaire du Karine A et ont dénoncé une opération d’intox israélienne, visant à barrer l’issue d’une solution négociée au conflit ! On pourrait intelligemment se demander, à la lumière des conclusions américaines, « comment Yasser Arafat fera-t-il pour enquêter sur le rôle joué dans cette affaire par Yasser Arafat » et « quelles sont les sanctions qu’il entend infliger à Yasser Arafat, au cas où il apparaîtrait qu’il a menti comme un arracheur de dents ? » mais il semble bien que ce genre de questions n’ont pas effleuré le rationnel de nos confrères métropolitains. Serait-ce que l’habitude de la désinformation en enlève à la perspicacité professionnelle ?
Nous n’avons pas non plus trouvé, en parcourant la presse française sur le Net, d’article faisant état des répercussions politiques de la responsabilité du Raïs palestinien dans cet acte de contrebande, telle qu’elle apparaît dans cet article mais surtout dans les réactions américaines, européennes et égyptienne et nous ne trouvons aucune explication strictement journalistique à cette lacune. Une chose est sûre, au plan de la lutte pour la réinformation de l’opinion francophone, et c’est que les nombreuses affirmations des responsables de l’Autorité palestinienne ne sont pas crédibles et qu’elles ont amené les médias français a argumenter sur la base d’une version catégoriquement fallacieuse. Au vu de cette nouvelle expérience, si les médias concernés ne faisaient pas acte de modération, en relativisant à l’avenir la crédibilité des mêmes sources, ils se rendraient coupables d’une très grave erreur professionnelle, que personne de sensé ne pourrait expliquer par la seule logique. A bon entendeur, la Ména va redoubler de vigilance et continuer à apporter au public français les instruments nécessaires à l’équilibre de ses sources !
Certains jours comme aujourd’hui, nous avons ici l’impression de sauver la mise de l’expression journalistique française, en permettant aux lecteurs de notre culture, de connaître de ce que leur univers informationnel met tant d’application à essayer de leur cacher. C’est un peu comme si nous voyagions intellectuellement pour compléter les nouvelles qui manquent. Et si on appelait ce voyage une « excursion ? »
| Par Anonyme (Anonyme) le vendredi 11 janvier 2002 - 01h54: |
Elie Barnavi dénonce la montée de l'antisémitisme en France
PARIS (AP) -- L'ambassadeur d'Israël en France Elie Barnavi déplore jeudi dans ''La Croix'' que la France ''arrive largement en tête des pays européens'' pour les actes d'antisémitisme.
''C'est la phase la plus déplaisante de l'antisémitisme depuis la Seconde guerre mondiale'', regrette Elie Barnavi. ''Depuis le début de la seconde Intifada, les actes antisémites sont dus essentiellement à une population maghrébine appartenant à la troisième génération''.
L'ambassadeur d'Israël en France estime que ''c'est un problème d'intégration, de mal de vivre de ces jeunes à qui le Proche-Orient sert d'exhutoire et c'est spécifique à la France''.
''Si nous considérons le nombre d'incidents d'antisémitisme, elle (la France) arrive largement en tête des pays européens'', souligne Elie Barnavi. ''Les actes d'hostilité envers les juifs dans les banlieues sensibles sont quotidiens, les gens ont peur. Je crains qu'un jour, il y ait mort d'homme''.
Notant que ''la forme classique de l'antisémitisme (...) ne progresse pas'', le représentant de l'Etat hébreu en France énonce ''un troisième forme d'antisémitisme (...) circonscrite à des intellectuels d'extrême gauche antimondialistes et antisionistes''. ''Ces gens voient en Israël la source de tous les maux du monde''.
Contrairement au Premier ministre Ariel Sharon qui invite les juifs français à venir s'installer en Israël, Elie Barnavi ne pense pas qu'''ils soient en difficulté'' en France. ''La France est tout de même, malgré tout, un pays
ami''.
Ainsi les critiques israéliennes envers la France résultent en partie des difficultés dans l'Etat hébreu. ''Nous avons l'impression d'être mal-aimés, et nous réagissons parfois un peu vivement'', conclut Elie Barnavi.
| Par Toufiq (Toufiq) le jeudi 10 janvier 2002 - 22h24: |
aimer son prochain,suite...
en theorie et dans l'absolu il n'y a pas de difference entre notre prochain et nous meme.
dans la pratique c'est bien entendu toute une autre histoire,a dormir debout ou a etre reveille allonge.meme abel et cain ne pouvaient pas. se piffrer.
meme chose pour ismael et israel,ainsi que laurel et hardy et nicolas et pimprenelle.
bonne nuit les petits,le marchand de sable va bientot passer.....
| Par Belebou (Belebou) le jeudi 10 janvier 2002 - 21h38: |
Aimer son prochain....? Des Balivernes...des histoires à endormir des bèbés en gestation..Qu'on n'essaye pas de nous faire de la morale car le prochain est le loup de son prochain.Ne cherchez pas à comprendre tous ses boniments qu'on veut nous faire avaler car même entre frères et soeurs on se dèteste..Même que tous les trèsors de ce monde ne peuvent acheter l'amour de son prochain.C'est une utopie car mieux vaut rèspecter autrui que de l'aimer.
J'ai toujours eu cette maxime de nos pères dans la bouche...'L'amour est un feu qui dèvore mais l'envie de chier est encore plus fort..
ALBERT SIMEONI.BELEBOU est au cafè. Sur le site des commentaires c'est ALBERT.Il y a une grande diffèrence.Qu'on le note sur vos carnets d'adresse.
| Par Fernand (Fernand) le jeudi 10 janvier 2002 - 21h36: |
Voici le plus bel hymne à la femme que je connaisse:
VOUS LES FEMMES
On vous doit la vie on vous doit nos joies
Et notre premier sourire
Et lorsqu'on a peur quand on est petit
On se réfugie contre votre coeur
Vous nous consolez chaque fois
En nous berçant dans vos bras.
Vous les femmes vous les femmes
Vous pensez avec le coeur
Vous les femmes vous les femmes
Vous embellissez nos heures
Vous les femmes vous les femmes
Vous donnez tout sans compter
Vous les femmes vous les femmes
Simplement soyez remerciées.
Vous êtes pour nous notre premier rêve
Que l'on cueille sur vos lèvres
Vous êtes toujours beaucoup trop jolies
Vous êtes l'amour ou bien la folie
Vous peignez en noir ou en bleu
L'arc-en-ciel de notre vie.
Quand nous arrivons au bout du chemin
On retrouve votre main
Dans vos yeux fidèles on voit le reflet
On voit le portrait de ce qu'on était
Et c'est grâce à vous qu'on est sûr
D'avoir vraiment existé.
J Demarny – PR Blanc – E Macias
| Par Toufiq (Toufiq) le jeudi 10 janvier 2002 - 21h09: |
en ces temps de confusion et d'animosite il faut vraiment se lever de bonne heure pour aimer son prochain comme soi meme.
pourquoi devrait on aimer son prochain comme soi meme? alors que ce prochain pourrait tres bien etre quelqu'un qui lui non plus n'est pas pret de nous aimer comme lui ou elle meme.
que ce prochain soit un juif de persuasion differente ou quelqu'un d'une autre race ou religion il faudrait un minimum de clarte de vision spirituelle pour au moins essayer de pratiquer cet amour divin.
aime ton prochain comme toi meme car ton prochain EST toi meme.
| Par Admin (Admin) le vendredi 11 janvier 2002 - 01h25: |