Par Nao (Nao) le mercredi 27 octobre 2004 - 21h18: |
Mes humeurs du jour:
Omega: Kerry a une bouche. Si il veut soutenir Israel qu'il le dise. On veut pas l'entendre de la bouche de Clinton (ils commencent a craindre que les Juifs votent pr Bush voila pourquoi Clinton vient a la rescousse et le repete haut et clair) mais de Kerry lui meme. Je n'y crois pas. Comme a dit Menahem Mecina, Kerry parle de "refaire des alliances au Moyen Orient". Alliance avec qui? la France pro arabe? non merci!
Enfin hier soir il y avait un reportage vraiment interessant et objectif a la tele sur l'Irak. La realite est que nous n'avons pas assez d'hommes sur le terrain selon les Grands Generaux de l'Armee. Et Kerry lui que veut-il faire? et bien il veut faire quitter nos boys! comme ca l'irak ira direct aux mains des reseaux d'Al quaeda.
Madonna aurait pu etre mieux traitee par les rabbins kabbalistes. Apres tout elle a donne 16 millions de dollars pr ouverture un centre d'etudes de la Kabbale a New York. Moi je la crois sincere.
En ce qui concerne le vote de desengagement d'Israel par la Knesset, c'est positif car ca prouve encore une fois au monde arabe et aux Palestiniens en particulier qu'Israel fait TOUS LES EFFORTS pour la paix et agit comme une Vraie democratie contrairement a eux qui ne se bougent pas... le plus incroyable c'est que sur RFI j'ai entendu que les Palestiniens se plaignaient de ce plan.. Alors la je ne vois pas quoi de plus on peut faire. Si on quitte ils ralent. Si on reste ils ralent aussi. Remarquez ils ont peut etre peur d'etre livres a l'infame autorite palestienne qui s'affaiblit chaque jour (le vieux etant en plus ultra malade-shai!)... il est clair que evacuer les settlements job que va faire des israeliens contre leurs propres freres ne sera pas facile. Mais il n'y a pas de paix possible sans effort! On attends toujours de voir ceux des Pales!
Pour mes amateurs et detracteurs, je serais sur RTL les auditeurs ont la parole a 13h30 heure locale de Paris ce vendredi pour discuter des elections americaines.
Par Albert (Albert) le mercredi 27 octobre 2004 - 21h07: |
Tawfiq,
Une guerre n'est jamais le fait du hasard, elle est souvent réflèchie bien avant sa déclaration; puis elle se trouve des prétextes vrais ou faux sans doute mal justifièe par la suite.
Et surtout il faut qu'elle est des interêts quelque part sinon elle ne serait pas une guerre.
Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 27 octobre 2004 - 20h58: |
chers amis,bien entendu,les elections interessent et regardent surtout les americains,dont certains de nous ont la chance de faire partie,cependant vu le role tres important que les usa prennent dans le reste du monde,je pense que ceux qui vivent autre part on de bonnes raisons d'etre concernes.des milliers de personnes innocentes. ont perdu la vie ,plus de mille de nos compatriotes compris,a cause de cette guerre maladroite menee en iraq.
le prochain locataire de la maison blanche , que ce soit le meme ou un autre,heritera d'un situation grotesque et tres couteuse.nous avons deja gaspille presque un milliard de dollars et on va bientot allegrement depasser ce cap.
les vraies raisons de notre action la bas ne sont pas celles avancees par la presente administration.
cet argent aurait pu etre utilise pour de meilleures fins ici meme.
les seuls beneficiaires de cette folie sont les copains de tonton dick
Par Albert (Albert) le mercredi 27 octobre 2004 - 20h57: |
Comment peut t'on expliquer que 400 tonnes d'explosifs classès dangereux, ce qui requiet une logistique impressionnante pour les transporter, sont passès inapercus aux yeux des américains qui pourtant sont capables d'enregistrer une conversation entre deux pékinois...????
Un coucou à Michka en passant.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 27 octobre 2004 - 20h45: |
Michka, merci pour votre intervention. Je suis au courant des mensonges, qui remplissent les ondes françaises. Une des raisons pour laquelle je m'oppose à Kerry. Maintenant il a fait recours à Clinton.
On connait bien l'amour de Clinton, il aime les filles d'Israel même si celle-ci sont demi juives. Je ne crois pas que Kerry sera différent. Comme le disait mon papa ‘que D' benisse son âme' "Attendons la fin."
Par Michka (Michka) le mercredi 27 octobre 2004 - 19h50: |
Emile, vous avez raison. Les élections américaines ne regardent que les Américains.
Ici, en France tous les yeux sont rivés sur les USA et ils emploient la grosse artillerie.
Les médias nous jouent les mêmes accords. Il n'y a pas un seul jour sans que nous subissions ce martèlement idéologique qui nous présentent les faits comme une évidence.
Ce ne sont plus des journalistes mais des répétiteurs. Nous sommes bien quadrillés par l'information tous médias confondus.
C'est à se demander si les interwievés ne sont pas payer pour jouer un role bien défini devant les caméras.
Et comme les Américains sont associés aux juifs, nous assistons en direct à la détestation et à la "délégitimation" des 2 pays.
Le virus prend, il est très tenace .
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 27 octobre 2004 - 19h41: |
Pauline c'est gentil de votre part d'afficher le texte d'Albert Bellaiche sur: La Kabale : (Les usurpateurs caracolent et les imposteurs concrétisent)
Ils exagèrent un peu lorsque les Kabbalistes veulent s'approprier le monopole du savoir de l' ésotérique et le mystique. Chaque peuple prétend avoir saisi ces secrets.
Pour être admis parmi les Kabbalistes, il faut respecter la tradition juive et les règles en vigueur dans la plupart des « yechivoth »." C'est devenu comme tous les clubs de sciences.
Je rappelle que selon Rabbi Shimon Bar Yohai, il avait lui même reçu certains éclaircissements par un homme d'affaires qui à la première vue ne semblait pas être ni un sage et ni un érudit.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 27 octobre 2004 - 18h51: |
OMEGA, Qu'est que cela peut bien vous faire si Clinton dit ceci ou cela, puisque vous dites que vous etes israelien. Les elections ne regardent que les americains
Vous avez assez en Israel sur votre planche avec tout ce qui se passe.
Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 27 octobre 2004 - 17h39: |
nobody died when clinton lied.
Par Omega (Omega) le mercredi 27 octobre 2004 - 17h07: |
Salut a tous,
J'espere que vous avez tous entendu Bill Clinton le dire et le repeter : Kerry sera un supporter d'Israel comme lui meme a TOUJOURS SUPPORTE ISRAEL.
Pour parer a l'inevitable eventualite que certaines personnes ici-meme vont retorquer que Bill Clinton a ete coupable de mensonges dans le passe, je dirais que le camp Bush n'a rien a envier sur le plan MENSONGES au camp Clinton.
Avec une grande difference : Les mensonges de Bush ont ete bien plus meurtriers que les mensonges Clinton.
OMEGA
Par Primo (Primo) le mercredi 27 octobre 2004 - 16h59: |
Le bien-portant imaginaire
Une campagne publicitaire, initiée par l'UEJF, montrant des images de Jésus et de
Marie, taguées d'inscriptions « Sale Juif (ve) » a failli voir le jour. Son but :
sensibiliser la population chrétienne à partir de l'idée que s'attaquer à un Juif
équivaut à s'attaquer à un chrétien. Cette campagne ayant provoqué un tollé général
pour n'avoir été perçue qu'au premier degré, celui d'une offense anti-chrétienne,
elle a été annulée et sera sans doute remplacée par une session « d'explication ».
Une autre campagne plus édulcorée pourra peut-être voir le jour, à la satisfaction
de toutes les instances politiques et religieuses, mais il est probable que, comme
toutes les précédentes, elle ne suscitera qu'indifférence voire lassitude.
D'aucuns chercheront sans doute à amalgamer la lutte contre l'antisémitisme dans
celle de « tous les racismes » à l'instar du MRAP et de la LDH qui nous concoctent
une grand-messe sur ce thème pour le 7 novembre 2004.
Pourtant, combien de fois faudra-t-il le rappeler encore, l'antisémitisme est un
racisme spécifique. Il emprunte des cheminements complexes de la pensée qui passent
toujours par le même carrefour : la haine de soi.
Un alcoolique se regardant dans la glace le matin hait sa « gueule ». Pourtant sa
pauvre « gueule » n'y est pour rien. Seule la responsabilité et le comportement de
notre ami vis-à-vis de la bouteille sont en cause.
Automutilation
Une société occidentale chrétienne qui se hait va chercher à s'automutiler et va
désigner une partie - minoritaire et donc moins douloureuse - de sa population comme
responsable de tous les maux. Et si cette partie minoritaire est celle qui lui
ressemble le plus - les Juifs- ça tombe parfaitement bien: j'exorcise une partie
haïe de moi-même en m'en prenant à mon mini alter ego. Je la punis en
m'autoflagellant pour mes péchés, sans toutefois remettre en cause mon intégrité
physique ni ma survie.
C'est ce qui s'est passé dans la France de Dreyfus écartelée entre le nouveau
système républicain et la nostalgie monarchiste, dans l'Allemagne des années 1920,
nazifiée sous le poids de ses frustrations ou dans l'Europe de l'Ouest des années
2000, à la recherche de son identité perdue au sein d'une UE élargie à l'extrême.
A chaque fois qu'un pays - c'est vrai aussi pour l'Espagne de l'Inquisition - se
débarrasse de ses Juifs, il entre inexorablement dans une phase de chaos et de
décadence, moins à cause du départ des Juifs lui-même qu'en raison du désarroi
sociétal que cette expulsion signifie.
Ces explications sont peu transposables à d'autres haines ou à d'autres racismes. Le
rejet des Noirs ou des Arabes, sur la base de considérations physiques et ethniques,
bien que tout aussi condamnable, est de nature totalement différente.
L'entêtement des nazis à confectionner un morphotype juif est exemplaire de leur
impossibilité à expliquer leur antisémitisme. Or, il fallait qu'ils communiquent sur
ce thème. C'était indispensable sous peine de ne pas être compris et suivis par le
peuple allemand. Puisque la race juive n'existe pas, inventons-la !
Génocides comparés
Le cas qui se relie le plus à l'antisémitisme et à ses conséquences désastreuses est
celui du Rwanda que nous avons vu se faire dévaster en 1994.
Les deux ethnies qui cohabitaient dans cette région se détestaient de façon
ancestrale sans pouvoir pour autant se reconnaître à coup sûr physiquement, comme
l'attestent les nombreux témoignages à propos des confusions qui se sont produites
lors des massacres de 1994. Lors de ce génocide, ce sont les Hutus qui ont massacré
massivement les Tutsis. Or, de nombreux Hutus ont été tués « par erreur », et
beaucoup de Tutsis ont eu la vie sauve en réussissant à se faire passer pour des
Hutus, ce qui prouve que cette haine ne découlait pas de la différence ethnique
proprement dite, mais de la représentation fantasmatique que chacun s'en faisait.
Là encore, il y a quelque chose qui s'apparente à la haine de soi et qui passe, à un
moment donné et de façon complètement inconsciente, par la croyance en la nécessité
de l'éradication de l'Autre, un Autre qui, de préférence, vous ressemble.
Etrange, effrayant, mais malheureusement « humain ».
La particularité de ces haines consiste dans le fait que l'on s'en prend à un groupe
d'individus sans rationalité aucune, un groupe d'individus qui partage le même
projet que le reste de la société. C'est ce qui marque la différence essentielle
entre, par exemple, la Shoah et le génocide cambodgien. Ce dernier, disons-le sans
cynisme, s'inscrivait dans un programme de « lutte des classes », certes perverti,
absurde et démentiel, mais obéissant, malgré tout à une certaine rationalité.
Face à une telle complexité du phénomène antisémite, il est à craindre que ce n'est
pas une énième campagne antiraciste « rose bonbon » qui réveillera les consciences.
Le MRAP et la LDH ont en leur sein tous les intellectuels à même d'appréhender les
ressorts de l'antisémitisme, mais ils se gardent bien de communiquer des vérités qui
tailleraient en pièces leur alignement dogmatique.
Même l'électrochoc qu'aurait constitué la campagne de l'UEJF n'aurait provoqué qu'un
réveil provisoire à une société gravement malade mais qui s'obstine à ne rien savoir
de sa pathologie.
Alors, vous pensez : un sirop contre la toux.
Jean-Pierre Chemla, 27 octobre 2004 © Primo-Europe
Par Mena (Mena) le mercredi 27 octobre 2004 - 17h08: |
CIA, les coups de pieds sous la table (info # 012710/4) [analyse]
Par Laurent Murawiec à Washington © Metula News Agency
Il était une fois un responsable important de la CIA répondant au nom de Paul Pillar. En 1983, il avait écrit un livre intitulé Negotiating Peace (Négocier la paix) qui était aussi accommodant envers l’Union soviétique que Neville Chamberlain naguère à l’égard de Hitler. Evidemment, il avait en horreur ce s… de Reagan, qui n’en croyait pas un mot, et menait sa croisade contre l’Empire du Mal. Une croisade ? Encore un de ces "effets pervers du suffrage universel", qui empêche les experts de mener le monde à leur façon. Même le patron du Pillar en question, Bill Casey, vieil ami de Reagan, menait à la schlague une CIA qui déjà se préoccupait plus de finasseries diplomatiques que de combattre le communisme.
Au cours de la Guerre d’Afghanistan, la première, le même Pillar – « pilier » en anglais - il y a de ces ironies – adorait l’un des chefs des moudjahiddines afghans. Pas Massoud, pas du tout, mais Gulbuddin Hekmatyar, islamo fasciste, occidentalophobe maladif, américanophobe haineux, qui ne se battait pas contre l’Armée rouge, mais contre les autres combattants afghans. Hekmatyar avait le soutien du renseignement militaire pakistanais, l’Inter-Service Intelligence (ISI), lui même gangrené jusqu’à la moelle par les Wahhabites et les fondamentalistes, créateur, en fait, des Talibans. Contrairement à ce que racontent les pseudo historiens de la guerre, du genre de ceux qui fleurissent à RFI, ce sont les Pakistanais et les Saoudiens, et non les Américains, qui avaient mis le pied à l’étrier de bin Laden – et de Hekmatyar -. Ce dernier, furieux de n’avoir pas pu prendre le pouvoir après le départ des Soviétiques, avait bombardé Kaboul avec acharnement. La guerre civile, qu’il avait causée, avait finalement permis aux Talibans de prendre le pouvoir.
Voilà donc le bilan de l’action de Paul Pillar, de la CIA. Tout récemment, il s’est signalé à l’attention des medias américaines : au cours d’une conférence off the record, mais où il était recommandé de prendre des notes, Pillar passa à la presse washingtonienne des extraits sélectionnés – et hyper classifiés – d’un National Intelligence Estimate, document qui rassemble et synthétise l’ensemble des analyses de la communauté du renseignement américaine sur un sujet donné. Non seulement la « fuite » était-elle criminelle et justiciable d’exemplaires sanctions, mais plus encore s’agissait-il du NIE (bulletin) consacré à l’Irak, et d’extraits biens choisis pour en donner une vision lugubre et pessimiste, exploitable à fond par la campagne de Kerry.
Si outrée et monstrueuse était la trahison d’un fonctionnaire envers le gouvernement qu’il est censé servir, que l’on commença à parler d’ « insurrection de la CIA contre Bush », pour reprendre les mots du journaliste Robert Novak, lequel se situe pourtant, sur l’échiquier washingtonien, du côté des « colombes » républicaines. C’est que la guerre a vraiment été déclarée contre Bush par cette CIA de gauche, kerryste, partisane du statu quo à tout prix au Moyen-Orient, indignée que le Président s’éloigne de l’arabophilie et de l’islamophilie déchaînées qui règnent à Langley, siège de la Centrale, comme au département d’Etat, chef-lieu de la mollesse aristo défaitiste. Les deux institutions s’accordent parfaitement : la cause de tout le mal, bin Laden y compris, c’est Sharon, c’est Israël, ce sont les Juifs. Les uns, les autres et les journalistes bénéficiaires des fuites n’arrêtent pas de crier haro sur les Néo-Conservateurs, accusés de tous les maux, y compris du Grand Complot pro israélien qu’aura été l’invasion de l’Irak – suivez mon regard -.
Le lecteur se souviendra peut-être d’un « scandale », triste « affaire » washingtonienne, qui avait éclaté pendant l’été : la presse – pas la justice, la presse – rapportait qu’un analyste du Pentagone, spécialisé dans les affaires iraniennes, était soupçonné d’espionnage au profit d’Israël. Quel effroyable crime avait commis ce Mata Hari du Potomac ? Il avait – disait la presse – transmis à un diplomate israélien le brouillon d’une directive présidentielle sur la politique iranienne. On nageait dans le grotesque – ce qui n’empêcha pas la presse gauchiste et la presse d’extrême droite, en accord parfait, en synchrone et touchante unanimité, de dénoncer les méfaits des « espions israéliens ». Un certain nombre de collaborateurs du Président, du vice-président et du secrétaire à la Défense étaient directement menacés, interrogés par le FBI, etc. Evidemment, la Propagandastaffel, je veux parler du Monde et autres organes associés, de reprendre en cœur cette belle affaire.
De quoi s’agissait-il vraiment ? D’éliminer, de discréditer, de paralyser les Néos en questions, alors que d’importantes décisions doivent être prises par l’Administration sur la politique iranienne des Etats-Unis. Depuis, l’affaire est évidemment retombée comme un soufflé privé d’air chaud. Ce qui n’avait aucunement empêché les baudruches de la CIA de souffler dessus à pleins poumons.
Après que le directeur de la CIA George Tenet ait finalement jeté l’éponge – craignant l’avalanche des critiques à son égard, contenues dans les multiples rapports parlementaires et exécutifs tirant les conclusions sur les événements du 11 septembre 2001 – bureaucrate lamentable, patron d’une organisation faillie, et que Bush a remplacé par le député Porter Goss, qui a une longue expérience du renseignement, les bonzes de la CIA ont déterré la hache de guerre. La même équipe séditieuse fait le siège des Démocrates, pour leur apporter plus de « révélations » et de nouveaux « scandales », comme si le gouvernement des Etats-Unis devait servir la CIA et non la CIA le pays et le gouvernement.
Voilà comment se mène la lutte politique à Washington. Derrière les saletés, les coups fourrés, les fuites pourries et les révélations mensongères, qui se sont multipliés comme mouches à merde sur le fumier pendant toute la saison électorale, ce sont les bureaucrates et les idéologues du statu quo moyen-oriental qui essaient de couler Bush et Cheney.
Par Mena (Mena) le mercredi 27 octobre 2004 - 17h02: |
Dans le cadre du cycle conférencier de la Mena, Automne 2004
l’Union des Etudiants Juifs de Belgique
et
le Cercle Ben Gourion
vous convient le mercredi 3 novembre 2004 à 20h30
à une conférence-débat exceptionnelle avec la participation de
Josy Dubié
député de Bruxelles
et
Stéphane Juffa
rédacteur en chef de la Metula News Agency
Les orateurs aborderont les thèmes du rôle des médias francophones dans le conflit du Proche-Orient, de la situation dans les territoires, de "l’Intifada, guerre offensive ou défensive", ainsi que des solutions politiques possibles au différend
qui se tiendra au Cercle Ben Gourion,
Chaussée de Vleurgat,89 à Bruxelles
PAF: 8 euros (Etudiants 5 euros)
Réservations, par téléphone, au 00 32 2 648 18 59
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 27 octobre 2004 - 15h51: |
Oye ! Oye !
Bonnes gens de Harissa, avis a la population !
Pour les habitants de France et de Navarre:
"Comprendre Israël aujourd'hui" -
Cycle de conférences en France
Aix en Provence -
Faculté des Sciences économiques appliquées - Mercredi 27 octobre à 20h30
Yohanan MANOR, Président du Center for Monitoring the Impact of Peace :
« Où va Israël ? »
Sadi LAKHDARI, Professeur à l'Université de la Sorbonne Paris IV,
Richard ZRIHEN, "Le parti Shas : une révolution culturelle et politique"
Amphithéâtre A
14 avenue Jules Ferry
13 Aix en Provence
Marseille -
Bibliothèque Alcazar -
Jeudi 28 octobre à 20h00
Michel KORINMAN, Professeur à l'Université de la Sorbonne Paris IV, Directeur de la revue Outre-Terre
Yohanan MANOR, Président du Center for Monitoring the Impact of Peace
Emmanuel HALPERIN, Responsable du journal télévisé israélien, correspondant
de RTL à Jérusalem
Bibliothèque Alcazar
Cours Belsunce
13001 Marseille
Rennes -
Institut d'Etudes Politiques -
Mercredi 3 novembre,18h30
Sadi Lakhdari, Professeur à l'Université de la Sorbonne Paris IV
Raphaël Israeli, Professeur à l'Université hébraïque de Jérusalem
Yohanan Manor, Président du Center for Monitoring the Impact of Peace
Co-organisé avec Saint-Cyr
IEP
104 Bvd de la Duchesse Anne
35000 Rennes
Strasbourg -
Librairie Kléber - Jeudi 4 novembre, 18H00
Michel Korinman, Professeur à l'Université de la Sorbonne Paris IV, Directeur de la revue Outre-Terre
Emmanuel Sivan
Yohanan Manor, Président du Center for Monitoring the Impact of Peace
Librairie Internationales Kléber
1 rue des Francs Bourgeois
67000 Strasbourg
Toulouse -
Institut d'Etudes Politiques -
Vendredi 5 novembre - 18H15
Michel Korinman, Professeur à l'Université de la Sorbonne Paris IV,
Directeur de la revue Outre-Terre
Yohanan Manor, Président du Center for Monitoring the Impact of Peace
IEP
Amphithéâtre Bodin
2 ter rue des puits creusés
31000 Toulouse
A venir :
Montpellier le lundi 8 novembre (18H00)
Lille le mardi 9 novembre
Qu'on se le dise !!!