Par Admin (Admin) le mardi 22 janvier 2002 - 02h28: |
Par Laforge (Laforge) le lundi 21 janvier 2002 - 21h36: |
Toute ma nation obeira sans aucune replique.
je vous y laisse un pouvoir despotique.
J'ai quatre mots a dire en Amerique,
Il faut que j'aille y faire quelques tours;
Je reviendrai vers vous en peu de jours.
J'espere au moins,dans ma douce retraite,
Vous retrouver l'ame un peu satisfaite.
Si j'suis tombe par terre c'est la faute a ...
Par ALBERT SIMEONI (Albert) le lundi 21 janvier 2002 - 20h26: |
Il a manquè 'ès' a 'regrettès...euchkoun elli kamel fèl dénya hedi..Rectifiez s.v.p...Les corses goulettois sont toujours fatiguès.
Bel...pardon Albert.
Par ALBERT SIMEONI (Albert) le lundi 21 janvier 2002 - 20h22: |
Mon cher Emile, Ya baba, dèménager n'est pas partir et quelque soit l'endroit où tu vas être? mes pensèes t'accompagnent avec une note fleurie.
N'aie pas de peine au contraire, tes amis te suivent là où tu iras.Personnellement j'ai dèmènagè nombre de fois , ma vie entière est passée dans le mènage avec ma mère avec ma femme bientôt avec mes enfants...Et tu sais, ne le dis à personne , je ne fais rien de tout celà..Ayiche gamman ( comme un prince). La premuère fois que j'ai pris un balai, c'ètait hier, j'ai eu une clauque tbekallah, depuis je ne touche à rien..Tiens voilà un poème à moi..
Goulette ….O Mon Amour.
‘Où sont- elles passées nos années d’antan.. Emportées par la douce brise du temps
Elles somnolent, ravivant l’espoir par moment
De se retrouver, peut être un jour, certainement.
Mais qu’importe le temps qui fuit
Si nos beaux souvenirs de jadis
Pleins d’images sont remplis
Qui peuplent nos cœurs meurtris.
A vous enfants de Paris et d’ailleurs
Sachez que vos parents sont les meilleurs
Qu’ils ont vécu, là-bas, de bonnes heures
Avec dans leurs yeux beaucoup de bonheur.
OH.. ! Goulette, en mon cœur que je porte
Quelque soit le vent qui m’emporte.
Ne pleure plus mon âme, support
Ta destinée et toute sa cohorte.
Oh. ! Ros ‘Ali Oh.. ! David que nous avons laissé
A tous nos chers défunts aimés et regret
Ayons ensemble, pour eux, une bonne pensée
Pour l’éternité.
Aujourd'hui, j'ai fais la paix avec le meilleur de mes amis.
ALBERT SIMEONI le fedlègji et plus le belebou.
Par Anonyme (Anonyme) le lundi 21 janvier 2002 - 18h52: |
Bonjour,
En tant que musicien tunisien en exil, je voudrai vous remercier pour ce site que je trouve très intéressant et très touchant en même temps ! Bravo!! continuez.
aia taoua bisslama
Mabrouk Zribi/CH
Par Janet (Janet) le lundi 21 janvier 2002 - 18h32: |
Je suis moi-meme une ancienne Tune qui a fait plusieurs emigrations depuis le depart de Tunisie ..J'habite maintenant les Etats Unis et Je voudrais demander a mes copains Tune et israeliens d'essayer d'ameliorer leur moral a propos de l'antisemitisme en se rappelant l'episode de la Bible ou Avraham, notre cher ancetre renvoya sa femme(non-juive) et son propre fils Ishmael dans le desert torride sur la demande de sa femme Sarah...Ce n'etait pas tres gentil et aujourd'hui la diplomatie refererait a cetincident en disant qu'il fallait prevoir un shisme dans la race et une declaration de guerre depuis de temps dans la race juive divisee ...meme race:deux tres durs ennemis parce que biologiquement is sont freres si je ne me trompe et puisqu'il fallait le prevoir, nous devons tousfaire de notre mieux pour eviter des conflits entre freres...Si l'on me demande d'approfondir,je feraide mon mieux dans un prochain message..en attendant reflechissez..Shalom et a bientot sur le net..Janet
Par Nao (Nao) le lundi 21 janvier 2002 - 16h24: |
Si meme Clinton le dit!:
Bill Clinton: les Palestiniens ont manqué une ''occasion en or''
JERUSALEM (AP) -- Bill Clinton ne mâche plus ses mots. En visite privée en Israël, l'ancien président américain a estimé lundi que les dirigeants au Proche-Orient ''jouent à présent sur un mauvais terrain'' après que l'Autorité palestinienne a raté une ''occasion en or'' de faire la paix avec l'Etat hébreu.
''La chose la plus importante est de mettre un terme à la violence, aux attentats-suicide, au terrorisme'', a dit Clinton devant des journalistes après s'être entretenu avec le président israélien Moshe Katsav. ''La justice pour le peuple palestinien ne peut survenir que de l'engagement et de la sécurité pour Israël.''
Toujours très populaire parmi les Israéliens, l'ex-chef de la Maison Blanche a été applaudi par un groupe d'une quinzaine de femmes en sortant de son entretien de 45 minutes à la résidence présidentielle israélienne à Jérusalem.
Au cours des derniers jours de son mandat, M. Clinton avait proposé un accord-cadre pour mettre fin au conflit israélo-palestinien. Ce plan prévoyait la création d'un Etat palestinien sur environ 95% des territoires de la Bande de Gaza et de Cisjordanie et un contrôle limité sur certaines portions de Jérusalem-Est. Ehoud Barak, le Premier ministre israélien d'alors, avait accepté le principe de ces propositions, mais n'avait pu parvenir à un accord avec les Palestiniens, qui en demandaient davantage, notamment sur la question du retour des réfugiés et sur le contrôle de Jérusalem-Est.
''Il y a peut-être cinq ou six raisons à cela'', a répondu Bill Clinton alors qu'on lui demandait pourquoi la délégation palestinienne avait rejeté l'offre faite à Camp David. L'ancien chef de l'exécutif américain a assuré de pas savoir ce qui a fait échoué sa médiation. ''C'est la vérité. Je pensais vraiment qu'ils allaient signer'', a-t-il souligné.
Cette fois, au cours de son déplacement en Israël, aucune rencontre n'est programmée avec Yasser Arafat. Il devait rencontrer un groupe de responsables palestiniens dans un hôtel de Tel Aviv lundi après-midi, selon le ministre palestinien Saeb Erekat.
Interrogé sur la prise de contrôle par Tsahal de Tulkarem, en Cisjordanie, dans la nuit de dimanche à lundi, Bill Clinton s'est refusé à tout commentaire, expliquant qu'il avait donné son point de vue aux dirigeants israéliens.
M. Clinton est arrivé en Israël dimanche et s'est exprimé au cours d'un dîner de collecte de fonds pour la création d'un ''Programme Clinton pour les études américaines'' à l'université de Tel Aviv, où il a reçu un diplôme honorifique. Il n'a pas été payé pour son discours.
Au cours de cette intervention, l'ancien parrain du processus de paix au Proche-Orient a déploré l'échec de ses efforts et en a rejeté la responsabilité sur les Palestiniens. ''L'an dernier, je crois que le président Arafat a manqué une occasion en or de parvenir à un accord. Je pense que la violence et le terrorisme qui ont suivi n'étaient pas inévitables et ont été une terrible erreur'', a-t-il dit dimanche en référence à la deuxième Intifada.
Bill Clinton a visité Israël à quatre reprises au cours de ses deux mandats présidentiels. Il y est salué pour ses efforts de paix et pour son hommage appuyé à Yitzhak Rabin après l'assassinat du Premier ministre israélien en novembre 1995.
Par Laforge (Laforge) le lundi 21 janvier 2002 - 12h23: |
Richard Nahum nous a quitte ce matin.
La levee du corps et a 14h00 a l'hopital Tenon;
sinceres condoleances a sa famille.
Par Meyer (Meyer) le lundi 21 janvier 2002 - 11h24: |
L'article précédent est extrait du journal LIBERATION du 21 janvier 2002
Par Meyer (Meyer) le lundi 21 janvier 2002 - 11h23: |
LA LICRA DEBAT DANS L'EMBARRAS
Sur fond d'actes antijuifs, ses militants se sont interrogés ce week-end sur leurs rapports avec les musulmans et Israël.
Par Olivier BERTRAND
Le lundi 21 janvier 2002
«Ceux qui basculent dans l'anti-sémitisme, via un discours antisioniste, sont ceux qui n'arrivent pas à s'insérer dans le tissu social, ceux-là mêmes que nous avons envie de défendre!» L'avocat Michel Zaoui
Lyon de notre correspondant
ne enseignante alsacienne qui s'entend dire «Juden raus!» dans un collège. Un professeur de Neuilly-sur-Seine qui demande à une élève: «Avec ce qui se passe en Israël, est-ce que vous n'avez pas honte d'être juive?» Deux exemples pris dans la volée de témoignages, ce week-end, de militants de la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme. La Licra tenait convention nationale pour ses 75 ans à Villeurbanne, dans le Rhône. Pendant deux jours, la «multiplication des agressions contre la communauté juive» a largement pesé sur les travaux. La situation pousse les militants à s'interroger sur leurs combats, leurs rapports avec la communauté musulmane, la République et l'Etat d'Israël.
«Un chat un chat». Au dernier moment, un débat a été ajouté, sur «les nouvelles formes d'antisémitisme en France». Un texte de l'historien, Pierre-André Taguieff, qui dénonce la «nouvelle judéophobie», a donné le ton des débats. Le terme lui-même a fait débat (lire page 7). «Ça fait maladie juvénile, estime un militant. Personne ne va comprendre. Il faut appeler un chat un chat, et parler d'antisémitisme.» La réponse de l'historienne Rita Thalmann résume l'enjeu: «Les Arabes aussi sont sémites.» Pour elle, il y avait l'antijudaïsme d'origine chrétienne, l'antisémitisme développé en Allemagne au XIXe siècle. Et vient la nouvelle judéophobie, qui toucherait une partie de la population musulmane issue de l'immigration.
C'est aussi l'analyse de Pierre-André Taguieff. Selon lui, des jeunes «s'adonnent à la chasse au juif» dans les banlieues «où sévissent délinquants organisés et prédicateurs islamistes». L'identification à Ben Laden fonctionne, et les pouvoirs publics, ainsi que les médias, entretiendraient un silence «complaisant».
«Brebis galeuses». L'avocat Michel Zaoui résume le malaise spécifique pour des militants antiracistes: «Ceux qui basculent dans l'antisémitisme, via un discours antisioniste, sont ceux qui n'arrivent pas à s'insérer dans le tissu social, ceux-là mêmes que nous avons envie de défendre!» Deux combats qui se rejoignent, selon un militant, qui rapproche le développement de la «judéophobie» et «l'enseignement catastrophique de l'islam» dans les quartiers où les musulmans ne disposent pas de mosquée. Mais un autre a refusé de distinguer «les méchantsÊintégristes des gentils musulmans, car l'islamisme vient de l'islam», et des voix se sont élevées pour dénoncer les risques d'amalgame. «Il y a des brebis galeuses partout, y compris dans la communauté juive, à laquelle j'appartiens, estime un homme d'une cinquantaine d'années. Si 1 % de la communauté musulmane est concernée par l'antisémitisme, il faut faire attention de ne pas gangrener les 99 % restant.» Une jeune militante, effrayée d'entendre Rita Thalmann parler de «lobby arabe» et du «lobby gauchiste», a renchéri, priant ses camarades de ne pas s'«enfoncer dans une logique d'affrontement».
Le repli communautaire menace de toutes parts, et Michel Zaoui résume: «Aujourd'hui, chaque juif, chaque musulman, reprend sa spécificité pour en faire quelque chose de dominant. Et les groupes s'antagonisent. Ce phénomène est extrêmement nocif pour l'idée que nous nous faisons de l'Etat et de la nation.»
Les tentations communautaires remonteraient au début de la deuxième Intifada, à l'automne 2000. Pour Taguieff, la «criminalisation d'Israël s'applique, par cercles concentriques, à tous les juifs». Propos qui a emporté l'adhésion de la majorité de la salle. Pour beaucoup, les «positions propalestinennes» d'une partie de la gauche, ainsi que «la licence laissée à la presse» dans sa couverture du conflit, nourrissent l'antisémitisme. Quelques-uns vont au-delà et assimilent toute critique de la politique israélienne à de l'antisémitisme. Patrick Gaubert, président de la Licra, a tenté de recadrer le débat: «Il y a un Etat juif d'Israël, on ne s'occupe pas de la politique de cet Etat. Je vous propose que les présidents de section ne s'expriment plus sur cette question au nom de la Licra.»
Motion. Une position contestée par Michel Zaoui: «Sur la question des droits de l'homme, nous ne pouvons pas nous taire sous prétexte qu'il s'agit de l'Etat d'Israël.» Les militants ont alors rédigé une motion. Elle dénonce «ceux qui instrumentalisent la tragédie au Proche-Orient», juge les exactions en France «attentatoires aux valeurs de la République» et «condamne les atermoiements de l'ensemble de la classe politique face à de tels actes».
Par Mena (Mena) le lundi 21 janvier 2002 - 06h38: |
Ron Arad est certainement en Iran ! (info # 012001/2)
Par Ilan Tsadik © Metula News Agency
Lors d’une conférence à l’université de Tel Aviv, l’ancien chef du Mossad, Shabtay Shavit, a fait des révélations concernant le sort du navigateur israélien Ron Arad. Selon M. Shavit, Israël dispose d’évidences concordantes, qui montrent que l’aviateur israélien est détenu par le régime iranien.
Shavit de préciser qu’il s’agit de preuves au niveau du renseignement et pas de nature juridique. Ceci dit, ces preuves suffisent à établir que Ron Arad est détenu en Iran. « Les Iraniens se sont empêtrés dans cette affaire » ajoute l’ex-chef du Mossad, « en niant depuis le premier jour tout lien avec la détention du militaire israélien. S’ils le relâchaient maintenant, l’image du régime iranien s’en trouverait fortement ternie. »
Il serait intéressant de voir, en effet, comment les ayatollahs expliqueraient qu’un aviateur qui s’est écrasé au Liban est détenu en Iran. Qui plus est, Ron Arad a été capturé en octobre 1986 et cela fait plus de quinze ans que le gouvernement islamique de Téhéran le traite au mépris de toutes les conventions internationales en matière de prisonniers, l’empêchant notamment de communiquer avec sa famille ou de recevoir la visite des délégués de la croix rouge.
Un grand nombre d’indications relatives à Arad ont été fournies par Mustafa Dirani, qui était personnellement responsable au sein du mouvement chiite libanais Amal, de la santé du navigateur durant sa détention initiale au Liban. Dirani a été capturé par les Israéliens en 1994, lors d’un raid et il est depuis maintenu prisonnier.
Au-delà de ces révélations, on se demande ici dans quel état physique et mental se trouve Ron Arad et comment il a supporté ces longues années de secret absolu. Déjà, lors de la libération des otages occidentaux kidnappés au Liban par les organisations islamiques, on avait pu se rendre compte que la plupart d’entre eux porteraient des séquelles indélébiles de leur expérience. Aucun d’entre eux pourtant, n’a subi de captivité d’une longueur comparable à celle de l’aviateur israélien.
Dans tous les cas, cette affaire illustre mieux que mille discours, le peu de cas que fait le régime iranien du respect de la vie humaine, ainsi que des dispositions internationales. On est, dans le cas de Ron Arad, en présence d’un exemple caractérisé de sadisme étatique, puisque la république islamique ne retire aucun profit du supplice qu’elle fait subir à cet individu.
Par Anonyme (Anonyme) le lundi 21 janvier 2002 - 05h20: |
A tous mes amis et correspondants harissiens
Je m'excuse de ne pouvoir ni lire vos aimables emails ni vous repondre car je viens de demenager dans une autre region et que je n'ai pas encore acces Internet.
J'espere etre de nouveau online a la fin du mois de janvier.
Je ne vous ai pas oublies et je pense a vous tous.
Amicalement votre,
Emile Tubiana
Par Laforge (Laforge) le lundi 21 janvier 2002 - 00h54: |
Tout est mystere dans l'amour,
Ses fleche,son carquois,son flambeau,son enfance:
Ce n'est pas l'ouvrage d'un jour
Que d'epuiser cette science.
Louise Labe,1555.
Par Anonyme (Anonyme) le dimanche 20 janvier 2002 - 23h02: |
J'appelle à la solidarité des habitants juifs de Tunis pour assister à l'enterrement de Emile Cohen-Ganouna disparu cette semaine. Si vous avez des renseignements,vous seriez gentil de me contacter le plus rapidement.
Merci d'avance.
Sa petite nièce.
doudoulya@hotmail.com
Par Laforge (Laforge) le dimanche 20 janvier 2002 - 21h12: |
Qui n'a jamais hai personne,
Qui de personne n'est hai,
Qui de bon sens toujours raisonne,
Et qui n'eut jamais de souci.
A tout le monde il a su plaire.
On lui dit:Ce n'est pas ici
Que vous trouverez votre affaire,
Et les gens de ce caractere
Ne vont pas dans ce pays-ci.
On ne peut pas plaire a tout le monde.
Par Belebou (Belebou) le dimanche 20 janvier 2002 - 12h59: |
Ma chére dame Viviane
Ce site est ouvert à tout le monde, que l'on soit tune ou pas.Bien sur que vous avez le droit de vous inscrire ou vous voulez et même vous introduire dans tous les sujets qui vous paraissent abordables.Y'a bien des musulmans..? alors pourquoi voulez vous que les juifs ou juives ignorent les autres..? Vous savez que nous sommes universels et ouverts à tous.
ALBERT SIMEONI.
Par Laforge (Laforge) le dimanche 20 janvier 2002 - 12h18: |
Il est etonnant de voir que lorsque j'ecris une generalite,
Certains pensent pouvoir m'attaquer.
Peut-etre, est-ce pour cacher
Tout le mal que leur mere leur a fait.
Par cohen victor (Bekhor) le dimanche 20 janvier 2002 - 11h10: |
Monsieur Laforge, arretez de jouer les martyrs, votre mere vous a donne assez d'amour maternel, pour faire de vous ce que vous etes.
Il ne faut pas cracher dans le puit ou on a bu.
JCC
Par Anonyme (Anonyme) le dimanche 20 janvier 2002 - 10h11: |
Bonjour,
Je suis née à Hammam-Lif, et j'ai vécu en Tunisie jusqu'en 1977.
Mes voisins d'Hammam-Lif s'appelaient Lumbroso, Berdah, etc.
Mes copines de classes s'appelaient Taïeb, Assous, Cohen, etc.
Ma maîtresse d'école s'appelait Linda Tahar.
J'ai travaillé avec un Berrebi,
mais pas mal de noms m'échappent !...
Tout cela pour vous dire que bien que n'étant pas juive, je connais très bien votre communauté.
Ainsi, je me régale toujours à venir me promener sur Harissa !.. C'est un vrai plaisir et un bain de jouvence !
Ma question est la suivante : Je me suis inscrite au Mailing-Liste, avais-je le droit même si je ne suis pas juive ?
Merci de me répondre.
Continuez bien, et que Harissa vive longtemps !
Amicale salutations,
Viviane
VIVYTAZ@aol.com
Par Laforge (Laforge) le dimanche 20 janvier 2002 - 09h27: |
Fille,ou femme,ou veuve,ou laide,ou belle,
Ou pauvre,ou riche,ou galante,ou cruelle,
La nuit,le jour veut etre,a mon avis,
Tant qu'elle peut,la maitresse au logis.
Il faut toujours que la femme commande;
C'est la sont gout:si j'ai tort,qu'on me pende.
un clairvoyant.
Par Laforge (Laforge) le dimanche 20 janvier 2002 - 09h01: |
Il existe malheureusement,beaucoup de meres qui
n'ont pas la fibre maternelle,et beaucoup trop
d'enfants en souffrent toute leur vie.
Par Bebel (Bebel) le dimanche 20 janvier 2002 - 07h45: |
Ok,j'ai lu toutes les reactions a ce que j'ai dit sur l'amour du prochain et j'accepte toutes les remarques.Je suis d'accord que ce que j'ai decrit est plus de la BIENFAISANCE que de l'amour mais j'avais commence mon intervention en expliquant ma facon de voir les choses : CE QUE TU NE VOUDRAIS PAS QU'ON TE FASSE ,NE LE FAIT PAS AUX AUTRES.
L'amour gratuit envers autrui est presque impossible surtout de nos jours ou l'egoisme regne
Le seul amour gratuit qui, a mes yeux, existe encore c'est l'amour d'une maman pour ses enfants :Je ne connais pas une seule maman qui n'est pas "malade" quand ses enfants sont malades, triste quand ils sont tristes,heureuse quand ils sont heureux et elle sera toujours prete a tout leur donner.A cela je crois qu'on sera d'accord.
Je sais que cet amour maternel chez les tunes est etouffant mais reconnaissez que c'est quelque chose d'innoubliable et d'inestimable !!!!
encore quelques mots sur le sujet : C'est justement parceque la Thora connait le coeur humain et combien il est egoiste,alors il est necessaire d'en faire une regle de vie car sinon les relations humaines deviendraient impossibles.
Je sais deja que vous allez me dire que meme sans Thora on sait qu'il est evident de respecter son prochain, mais c'est pas si evident car toutes les lois humaines sont basees sur la bible et cela est un fait !
Demandez a plusieurs personnes de donner leur definition propre du respect et vous aurez autant de differentes reponses.preuve en est sur ce forum apropos de l'amour !
En conclusion,personnellement, je ne crois pas en l'amour GRATUIT, car il est evident que jamais je ne pourrais aimer une personne comme moi-meme,ca serait mentir!Par contre comme je l'ai dit au debut,selon Hillel Azaken,quand un juif est venu lui demander de lui enseigne la Thora sur un pied ,Hillel lui a repondu : Aime ton prochain comme toi-meme tout le reste n'est que commentaires.Les Sages expliquent ce que Hillel a enseigne a cet personne est ce que je vous ai dit plus haut: Ne pas faire aux autres ce que l'on aimerai pas pour soi-meme !!
Line
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 20 janvier 2002 - 06h05: |
Un nouvel antisémitisme ?
par Eric Marty
La lecture du courrier des lecteurs du Monde donne parfois froid dans le dos. Une fois, c'est un juif ou prétendu tel qui justifie les persécutions antisémites sur le sol de France sous le prétexte de la politique de l'Etat d'Israël (Le Monde daté 30-31 décembre 2001). La semaine suivante (Le Monde daté 6-7 janvier), c'est un lecteur d'origine arabe qui revendique fièrement, sous le maquillage d'une action citoyenne, avoir participé aux pressions et aux menaces qui ont abouti à l'annulation d'une projection du film Harry Potter pour des enfants juifs à Paris.
Nous voilà en plein Orient en plein Paris : les juifs y sont à nouveau, comme la tradition arabo-musulmane l'a autrefois prévu, des dhimis, c'est-à-dire des sujets dont on tolère la présence mais qu'au besoin, et selon les circonstances, on n'hésite pas à maltraiter comme les perpétuels otages des nécessités politiques du moment. Le prétexte est que cette projection devait servir à soutenir une "colonie de peuplement" nommée "Guilo", qui est en fait un quartier résidentiel de Jérusalem : si Guilo est une colonie, alors tout immeuble ou groupe d'immeubles construit à Jérusalem en est une. Qu'importe le prétexte, cette action s'inscrit dans une longue suite d'actes antijuifs qu'il serait vain d'énumérer. Plus de trois cents attentats antijuifs en 2001 (Montreuil, Clichy-sous-Bois, Marseille), après un mois de novembr! e 2000 qui en avait compté une centaine.
L'année 2002 commence, et, après l'incendie d'une école juive à Créteil et de la synagogue, c'est la synagogue de Goussainville qui, la nuit du 5 janvier, a été attaquée à coups de pierres et de cocktails Molotov qui visaient bien un édifice juif parce que juif, malgré la version donnée par la police selon laquelle il s'agissait d'un simple affrontement entre elle et des "jeunes du voisinage": chaque jour ce sont des insultes, des graffitis où l'on entend, où l'on lit "Mort aux juifs !".
Rappelons l'impensable, il y a un an, quand une "organisation palestinienne" avait voulu interdire à Enrico Macias de chanter dans une ville du nord de la France et que seule la dignité du chanteur l'a forcé à reculer. A propos de ces événements, qui n'ont lieu dans ces proportions qu'en France, il n'y a pas eu une voix, venant d'une autorité quelconque, pour se lever et prononcer un "non" absolu, pour dire simplement que, sur le sol de France, il n'était pas question que quiconque lève la main sur un juif parce qu'il était juif, pas un "républicain" pour dire que, sur le sol de France, il n'y avait pas de "dhimis" et que, quelle que soit la politique d'Israël, il était hors de question que quiconque mène et justifie une politique de terreur contre les juifs.
Plus largement, personne ne semble s'interroger sur la nature de ces actes qu'on minimise en les imputant à quelques "jeunes", à l'oisiveté et au mal-vivre des banlieues, comme si la violence antisémite de l'Allemagne pré-nazie n'avait pas été le fait du Lumpenproletariat, c'est-à-dire de déclassés, de chômeurs, de délinquants, tous jeunes, très jeunes. Sans doute, malgré l'ampleur et la gravité des actes antijuifs, la comparaison ne peut s'imposer : il ne s'agit évidemment pas d'un antisémitisme racialiste et national ; pourtant ce serait un aveuglement que d'y voir une péripétie sociopolitique localisée.
Le rapprochement s'impose avec le récent développement d'un discours antijuif dans le monde arabe, qui s'exprime pêle-mêle dans les manuels scolaires palestiniens destinés aux enfants, dans le fait que le récent procès fait à des homosexuels en Egypte associait à la stigmatisation sexuelle l'accusation d'être des "agents sionistes", dans les innombrables discours, prêches, tracts antijuifs, imputant, par exemple, l'attentat du 11 septembre au Mossad. Tout cela trouvant une cristallisation chimiquement pure dans le sommet de l'ONU à Durban sur le racisme où, dans un climat d'intimidation, de menaces, de slogans haineux, Israël mais aussi "les juifs" comme entité ont fait l'objet de discours dignes des pires campagnes antisémites européennes d'avant la seconde guerre mondiale.
Que les philologues se disputent sur l'exactitude du mot "antisémite". Il n'empêche que, derrière la haine professée contre les juifs, et derrière la violence qu'on peut leur faire subir, on retrouve, certes, l'éternel programme de leur asservissement mais on découvre surtout une nouveauté : la caution progressiste que les dictatures et les féodalités qui le propagent cherchent assidûment et semblent parfois trouver. Il est vrai que - mais nous l'avions oublié - ce n'est pas si nouveau : Marx lui-même ne qualifiait-il pas l'antisémitisme de "socialisme des imbéciles"? Par quel aveuglement, et par quelle absence de sens dialectique, avons-nous cru que l'antisémitisme était nécessairement de droite ?
La violence individuelle ou en groupe faite aux juifs de France ne connaîtrait pas un tel développement si, en outre, elle ne se sentait pas, sinon autorisée, du moins bénéficier d'une certaine indulgence ou compréhension. Cette violence jouit d'une double impunité : une impunité pratique (il y a eu un très petit nombre d'arrestations et de condamnations), une impunité morale (la presse ne rend pratiquement pas compte de ces incidents ou par toutes sortes d'euphémismes les minimise).
La France a peur des "jeunes": d'un côté, un poujadisme de droite qui voit en eux la délinquance à l'état quasi animal, de l'autre, un poujadisme de gauche, le tiers-mondisme, qui voit en eux les damnés de la terre : ces deux peurs sont également malsaines et sont le fruit d'un délire qui a vraisemblablement des racines communes et qui, quoi qu'il en soit, défigure un groupe social en le transformant, en l'essentialisant en catégorie diabolique ou angélique. Sans doute au sein de cette communauté la plupart de ses membres aspirent surtout à être considérés comme des citoyens, c'est-à-dire comme des singularités responsables. La mansuétude dont les institutions font preuve à l'égard de la transgression antisémite n'est sans doute pas la bonne réponse.
Reste qu'aujourd'hui chaque bâtiment juif doit désormais être protégé, que chaque fête juive est l'occasion d'inquiétudes et d'angoisses, que se promener avec une kippa dans Paris ou en banlieue n'est pas prudent, qu'un enfant sortant de l'école peut être battu et insulté parce qu'il est juif, juif tout simplement.
Eric Marty est professeur de littérature française contemporaine à l'université Paris-VII. il est l'éditeur des ouvres complètes de Roland Barthes.
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 20 janvier 2002 - 05h50: |
Bonjour Monsieur,
Je vous contacte pour vous demander si vous connaissiez un moyen de retrouver une médaille d'officier du Nicham Iftikhar.
Je fais cette recherche pour mon grand-père qui l'a perdue à son arrivée en France, mais qui a conservé le diplôme qui légitime sa demande.
Je vous remercie par avance de votre aide, et vous souhaite Chabat Shalom.
Daniel Beziz
danflyers@wanadoo.fr
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 20 janvier 2002 - 05h40: |
CENTRE SIMON WIESENTHAL - SIMON WIESENTHAL CENTER
64, avenue Marceau, 75008 Paris
Tel: 33 (0) 1 47 23 76 37 - Fax: 33 (0) 1 47 20 84 01
E-mail: csweurope@compuserve.com
Dr. Shimon Samuels, Director for International Liaison
LES AGRESSIONS ANTIJUIVES
France - Europe - Etats-Unis
Une conséquence de la seconde Intifada ou un fait de société ?
Une conférence internationale organisée par le Centre Simon Wiesenthal
Sous le Haut Patronage de Monsieur Bertrand Delanoë, Maire de Paris
Dans les salons de l'Hôtel de Ville
5, rue Lobau (angle rue de Rivoli)
75004 - PARIS
Le mercredi 23 janvier 2002 à 20 heures 15
En présence de Messieurs :
Abraham Cooper (Doyen adjoint du Centre Simon Wiesenthal) ; Sammy Ghozlan(Commissaire honoraire de Police) ; Marc Knobel (Chercheur au Centre Simon Wiesenthal) ; Shimon Samuels (Directeur des liaisons Internationales du Centre Simon Wiesenthal) ; Jacques Tarnero (Chercheur au CNRS) ; Shmuel Trigano (Universitaire)
Les agressions antijuives se multiplient. Cette conférence vous concerne.
Venez nombreux.
Présentez cette invitation à l'entrée
Entrée libre
Réservation souhaitée: 01.47.23.76.37 (Centre Simon Wiesenthal).
Par Anonyme (Anonyme) le dimanche 20 janvier 2002 - 05h23: |
Je cherche le plan de la Ville de Nabeul car je dois y séjourner en mars prochain.
J'ai contacté l'Office du Tourisme Tunisien à Paris, mais ils ne l'ont pas.
Pouvez-vous m'indiquer comment me le procurer ?
Merci pour votre réponse.
Sunnadia@aol.com
Par Mena (Mena) le dimanche 20 janvier 2002 - 05h14: |
L’hiver 2002 ! (info # 011901/2)
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency
Avez-vous déjà eu l’impression d’être assis sur un baril de poudre ? Si je vous pose la question, c’est qu’en regardant depuis mon bureau la lumière rose du crépuscule, qui s’attarde sur le village libanais de Kfar Kileh, je ne sens que des « mauvaises ondes. » J’essaie de ne pas réfléchir et de faire abstraction de ma connaissance de la région et de ma plus modeste connaissance des hommes mais je n’y parviens pas. Il semble que ma compréhension ne soit pas prête à payer le prix de l’insouciance et qu’il va me falloir partager avec vous des raisons de mon inquiétude. Tout ce que je peux vous dire d’encourageant, c’est que le Sud-Liban prend des contours superbes dans sa robe du soir et que ses maisons ont des reflets marbrés brillants, qui ne sont pas sans rappeler la pierre galiléenne de Soudjour ou celle de Hébron, lorsqu’elles sont bien polies.
Ilan a eu ce mot, qui nous a fait rire cet après-midi. Il a dit : « moi je suppute en amateur, même que beaucoup de mes collègues sont devenus de vrais professionnels en la matière ! » Notre ami pensait vraisemblablement à ceux, et ils ne manquent pas, tels Alexandra Schwartzbrod, la désinformatrice de Libé, qui proposent de dresser un parallèle entre la violence palestinienne et les réactions israéliennes. A Métula, nous sommes d’avis que ces tentatives de comparaison sont d’origine maladive et qu’elles obstruent les voies de la compréhension à la place de les élargir.
Car enfin, l’assassin de Hadéra, qui appartient à l’organisation même de Yasser Arafat, est venu en Galilée dans le seul but de tuer des Juifs. Tuer pour tuer, sans qu’il soit intelligent de rechercher, sauf la haine, la moindre revendication politique dans cet acte de violence absolue. Il était venu « venger » l’éradication de El-Kermi, il était irrité au point d’assassiner de parfaits innocents dans une attaque suicide, par le fait que l’armée israélienne avait éliminé une autre personne qui faisait profession du meurtre de civils israéliens. Désormais, d’autres terroristes viendront, qui voudront « venger » la mort du suicidé de la Bat-mitsva de Hadéra, mutans mutandis et jusqu’à ce que mort s’en suive.
Dans toutes les guerres, il y a des morts, ainsi que des actions militaires. Lorsque les coalisés déversent des tapis de bombes sur les Moudjahidin d’Al-Quaïda, sans qu’il soit possible de sauvegarder le grain et de ne détruire que l’ivraie, ce sont des « actes de guerre » et les morts sont des morts. Lorsque Israël cependant élimine un archi-terroriste, une personne armée qui a massacré de ses mains une dizaine de civils sans défense, en sauvegardant les passants qui l’entouraient, Schwartzbrod et ses semblables appellent cela un assassinat ! A Métula nous disons donc que ce manque de discernement est maladif, que ces imprécisions sémantiques répétées sont assurément d’inspiration raciste et que l’incapacité d’identifier que nous sommes en guerre et que cette guerre a été choisie et déclenchée par Arafat, constitue un flagrant délit anthologique de mauvaise foi. Cette incapacité de la part de la diplomatie française et de la presse raciste, de reconnaître que nous sommes en état de guerre imposé a toute son importance, car lors d’une guerre on n’assassine pas, on tue ! En français et en temps de paix, on prémédite un meurtre, ce qui en fait un assassinat, alors que l’organisation du meurtre d’un ennemi armé, lors d’un conflit, n’a jamais représenté qu’une opération militaire, même si les militaires en question sont Juifs pour la plupart. Mais voilà que certaines catégories de Français éduqués, n’ont pas encore su se départir des séquelles des lois d’exception des années de collaboration et croient toujours être autorisés à considérer les Juifs selon des standards parallèles et différents, même si les Juifs se comportent dans leur guerre, de manière beaucoup plus civilisée que les Français dans les leurs et que tous les autres peuples auxquels cette épreuve a été imposée.
A Métula, on veut être cette mémoire sémantique, cet observatoire et cette boite noire des comportements intellectuels. Ici, on prend des notes à l’abri des à priori et de tout réflexe de haine. On ne haït personne à la Ména, on sait juste et encore différencier ce qui constitue un article de journaliste d’un acte de propagande, un vocabulaire raciste d’un regard critique et une politique réellement équilibrée d’un grossier parti pris. Ici on ne fait pas la différence entre l’analyse de l’action d’un ministre français et celle d’un ministre israélien ou entre le fait de savoir, si ceux qui commettent des méfaits graves sont dix ou s’ils sont un millier. Les règles de la langue et celles issues de l’expérience ont cela en leur faveur, qu’elles ne dépendent pas du nombre de ceux qui les trahissent mais de l’exactitude qu’on met à les suivre ! Ainsi ceux qui se sont cachés, par le passé, sous l’effet confortant du nombre afin de répandre un message raciste ont finalement été démasqués, alors que la poignée de ceux qui défendaient l’universalité des valeurs et de l’humanisme a finalement survécu. C’est dans la faculté d’un homme à surnager dans les courants tumultueux qu’on reconnaît ses qualités intellectuelles et dans la capacité d’une personne à garder la tête froide, qu’on reconnaît les vrais informateurs.
Au plan local, au plan de l’information non-stratégique, j’ai remarqué l’article intéressant paru dans le « Foreign Report » anglais. On y lisait que les Israéliens ont présenté à leurs collègues américains des enregistrements de conversations téléphoniques, entre Arafat et le général Fouad Schoufkhi, dans lesquelles le leader palestinien donne lui-même son feu vert à l’opération du Karine A. Selon nos confrères anglais, ça serait l’unité 504 des renseignements de l’armée qui aurait intercepté et décodé ces conversations. C’est Yossi Korbasser, l’assistant du chef des renseignements de l’armée, qui a présenté ces évidences aux Américains. Ceux-ci, toujours selon le « Report », auraient été soufflés par ce qu’ils ont entendu.
Pendant ce temps, Yasser Arafat, qui selon Sami Al-Soudi « a perdu les pédales » et a sombré dans la dévotion mystique, annonçait jeudi encore, que « l’affaire du Karine A était le fruit d’une machination israélienne » et qu’il avait fait arrêter Schoufkhi. On pourrait se demander aussi, pourquoi il ferait arrêter Schoufkhi, s’il croyait lui-même à ce qu’il raconte mais il n’y a plus que l’AFP et que les désinformateurs radicaux pour chercher une quelconque logique dans les palabres du Président de l’Autorité palestinienne. Dommage que l’avenir de deux peuples soit, pour l’instant, hypothéqué par les rêves fous de suprématie d’Arafat et qu’il va bien falloir attendre qu’émerge une direction politique responsable du côté palestinien, avant que la situation ne puisse évoluer.
Rappelons aussi le destin tragique de ce monsieur, israélo-américain de 71 ans, qui avait refusé la logique du conflit. Il se rendait régulièrement à Bethlehem, afin d’acheter des matériaux de construction chez ses amis palestiniens. La semaine dernière, il a été ramené au barrage israélien, alors que son corps était criblé des impacts de 19 balles, ainsi que d’autres traces de violence physique ! C’est également l’organisation de Yasser Arafat, qui a revendiqué cet autre assassinat gratuit, en expliquant que la victime était un espion sioniste. Un espion de 71 ans… En fait d’espionnage, il semble que l’Autorité palestinienne veuille imposer l’exécution immédiate de tout Israélien qui tenterait encore de se rendre dans les territoires sous son contrôle. Comme dans le cas des assassinats collectifs perpétrés par les Palestiniens armés, la décision consiste à nous exécuter pour ce que nous sommes et pas pour qui nous sommes, dans un déchaînement de racisme religioso-nationalistico-mystique organisé. J’imagine avec effroi, ce qu’il se passerait demain si les Israéliens aussi exécutaient tous les Arabes qui se rendent en Israël et il n’y a que la prospective absurde, parce que monstrueuse, de cette idée qui peut permettre de comprendre le degré de fanatisme auquel Yasser Arafat est arrivé.
Du point de vue stratégique, la situation est encore plus préoccupante. Elle concerne trois États qui font le forcing afin de consolider leur dotation en armes non-conventionnelles. Nous ne sommes d’ailleurs pas les seuls à nous émouvoir des dangers qui menacent la région, puisque notre excellent confrère et voisin de l’Orient-Le-Jour (de Beyrouth), Gaby Nasr, écrivait ces lignes dans un billet de ce matin : « en chômage technique du côté de Chebaa, les schtroumpfs barbus (du Hezbollah Ndlr) promettent aux Américains un chien de leur chienne.
Pourvu seulement que le mollah Omar ne fasse pas école. Je vois ça d’ici : un tapis de bombes, nos villes en ruine et Hassan Nasrallah en cavale à moto sur les croûtes fumantes de l’Anti-Liban. »
Ce qui pousse Nasr à s’exprimer ainsi, c’est le constat de la politique belliciste qui est menée avec persévérance par le régime de Damas. Cette semaine encore, le Président Assad II a instrumentalisé la présence des groupes terroristes sur ses territoires, en laissant huit d’entre eux se prononcer « pour l’Intifada à outrance » et « contre toute solution négociée du conflit israélo-arabe ». Béchar Assad empêche par ailleurs le Liban, qu’il occupe militairement, d’exercer son autorité nationale dans les zones limitrophes d’Israël, préférant charger le mouvement Hezbollah d’occuper ces régions. Ces derniers jours, les envoyés américains se sont pourtant succédés à Beyrouth, afin de mettre en garde les Libanais contre la présence de groupes terroristes armés sur leur sol. A Métula, nous ne doutons pas que la survivance de la dictature alaouite en Syrie est antithétique des conceptions américano-anglaises pour l’avenir de la région et que Béchar Assad se trouve dorénavant en ligne de mire directe de la guerre contre le terrorisme.
L’effondrement de la dictature assadienne se place toutefois en troisième position, sur la liste des priorités de la stratégie salami de l’Administration Bush. La prochaine cible majeure de l’offensive américaine c’est, sans aucun doute possible, le régime tyrannique de Saddam Hussein en Irak. Le ton, aussi bien que les préparatifs militaires de part et d’autre, se sont considérablement précipités ces derniers jours. Il semble maintenant que George Bush et les soldats américains n’attendent plus que le printemps avant de déloger le maître de Bagdad. Ledit maître de Bagdad, qui déclarait récemment, que « l’Irak avait assimilé les leçons de la guerre du Golfe » et qu’il était prêt à les mettre en pratique lors d’un nouveau conflit. Dans l’optique métulienne des choses, on craint bien sûr l’éclatement de cette opération en raison du danger vraisemblable, de voir Saddam utiliser des armes chimiques et bactériologiques contre Israël. Dans tout le pays, les préparatifs vont donc bon train, qui vont du déploiement du système Pin vert et de ses fameux missiles anti-missiles « Khetz », à l’accueil d’un navire américain, bondé de vaccins et d’antidotes aux poisons iraquiens.
Un haut responsable sécuritaire israélien, que j’interrogeai jeudi quant aux perspectives de conflit avec l’Irak, m’a répondu dans ces termes : « Bien sûr que la situation est préoccupante et que le risque de pertes en vies humaines est non nul en Israël mais notre opinion et celle des Américains est que, tant que le régime de Saddam Hussein perdurera, ce risque ne fera qu’augmenter ! »
Le troisième État à poser problème, au milieu de cet hiver 2002, c’est l’Iran et son régime pseudo-bicéphale entre les autorités religieuses et celui du Président Rafsandjani. Le régime perse constitue ces jours l’objectif principal d’une vaste campagne de sensibilisation menée par le ministère des affaires étrangères de M. Pérès. Les diplomates israéliens, ainsi que les différentes missions militaires qui parcourent l’Europe et les E.U, ont présenté à leurs nombreux interlocuteurs des évidences sonnantes de l’augmentation de l’implication militaire iranienne auprès de Yasser Arafat, d’une part ainsi que d’un véritable rush technologique de Téhéran, afin de se doter le plus vite possible de l’arme nucléaire. L’État hébreu multipliant les pressions et les démarches en direction de M. Poutine, pour qu’il soit plus efficace à barrer le chemin des physiciens et de l’équipement russes en direction des Ayatollahs.
D’après ce qui est parvenu à nos oreilles, les capitales européennes, y compris la France, ont pris très au sérieux les évidences présentées par les Israéliens et le risque qu’elles illustrent serait objectivement alarmant.
De ce qu’on sait de la stratégie militaire américaine, elle consisterait à venir à bout des foyers d’instabilité, de danger et de terreur, les uns après les autres, afin d’affaiblir les opposants restants et d’empêcher la formation d’une coalition musulmane déclarée contre la coalition occidentale. C’est cela qu’on appelle habituellement la stratégie salami. Pour comprendre comment elle fonctionne, imaginons un instant qu’après les Talibans, la dictature de Saddam Hussein soit vaincue et considérons la position de l’Iran et de la Syrie, alors qu’un nouveau régime serait installé au pouvoir à Bagdad et que les forces occidentales seraient disposées les long des frontières intérieures de l’Irak. On constate dès lors que la marge de manœuvre de ces régimes aura diminué simultanément à l’augmentation de leur isolement géographique. Quant au poids de l’argumentaire de la diplomatie US, il est d’autant plus persuasif, que Bush fait la démonstration qu’il est en mesure d’exécuter les plans qu’il a décidés.
On considère par exemple à Metula, que si le régime iraquien actuel s’effondrait, la Syrie accepterait tous les postulats américains en matière de terrorisme et qu’elle ferait tout ce qui est en son pouvoir pour éviter la confrontation militaire. Comme me l’a dit Michaël Béhé au téléphone, Béchar Assad est persuadé qu’il aura à sa disposition un moment politique pour « descendre de l’arbre » avant qu’il ne soit contraint à s’engager dans une guerre perdue d’avance. Pourquoi, dans ces conditions se presserait-il, alors que « le prétexte de la lutte contre Israël lui permet de prolonger l’état d’urgence en vigueur en Syrie depuis 1963 et de maintenir son occupation militaire du Liban ? »
Voilà un extrait des préoccupations qui perturbent la quiétude de mon analyse, alors que Kfar Kileh s’est désormais complètement enfoncé dans la nuit. Ne brillent plus devant ma fenêtre que les lumières des maisons, aussi proches que celles de vos propres voisins, à la différence qu’un monde entier de conventions me sépare d’elles. Les dynamiques engagées dans la région tendent à la confrontation des mondes, puisque les différences, les intérêts, les régimes et les traditions enfouis de part et d’autres me semblent inconciliables. La « perte de pédales » d’Arafat et sa politique du pire étant, dans cette histoire dangereuse, le flambeau de la violence qui pourrait servir de prétexte futile et infondé à une grande explosion.
Par Anonyme (Anonyme) le dimanche 20 janvier 2002 - 05h08: |
SALUT LES AMIS
je me permet de vous envoyer le site d'un ami Artiste,
ci-joint l'adresse de son cite A faire circuler - Merci
http://www.michelcohen.co.il
Par Laforge (Laforge) le dimanche 20 janvier 2002 - 00h20: |
Deux demons a leur gre partagent notre vie,
Et de son patrimoine ont chasse la raison;
Je ne vois point de coeur qui ne leur sacrifie:
Si vous me demandez leur etat et leur nom,
J'appelle l'un amour,et l'autre ambition.
Cette derniere etend le plus loin son empire;
Car meme elle entre dans l'amour.
Pilpay.
Par Belebou (Belebou) le samedi 19 janvier 2002 - 21h20: |
‘……ETRE NE JUIF DE MERE TUNE...’
Ma mère m’a fait naître juif par la grâce de son ventre. La transmission de notre judéité se faisant par elle, le père ou l’époux, malgré son apport personnel, est quasiment exclu de cette portée. D.ieu l’ayant décrété ainsi.
Me voilà donc juif, descendant par des chemins tortueux d’Abraham. Mes parents m’ont élevé dans cette tradition judéo- tunisienne. Ni extrémiste ni orthodoxe. Un juste milieu. En respectant surtout les valeurs et convictions des autres communautés. J’ai donc appris à respecter mon prochain…A ne pas le mépriser…Ne pas médire…Ne pas tuer sauf si je suis en guerre … ! A ne pas voler…de mes propres ailes jusqu’à 30 ans…A aimer la nature mais pas les serpents, à blasphémer et à niquer les mouches handicapées. Opération à haut risque.
J’ai aussi appris à éviter, comme le disait ma grand-mère….
‘I bayâd âllik oulèd lahram…wèl hèkèm…’
‘Que tu sois épargné des enfants du péché ( mauvaises fréquentations) et des tribunaux..( de la justice)
Sans savoir de quels enfants ils s’agissait. J'ai donc suivi, tant soit peu, ses conseils. J’ai fréquenté des jeunes français aussi gentils et doux qu’une caresse de rayon de soleil sur ma peau, au soir d’un firmament rougeoyant alors que d’autres étaient vils et méchants comme des vipères.
J’ai côtoyé des juifs aussi chaleureux et charitables que des gaufrettes et caramels goulettoises, craquantes et croquantes, sortis d’un petit container garni d’une roulette sur son capot tandis que d’autres étaient aussi mesquins et teigneux que des rats d’égouts vivants sur le dos des canalisations obscures et puantes.
J’ai connu des musulmans aussi mielleux et bons que du nectar posé sur des pétales de rose non écloses au petit matin par un soleil naissant sous le ciel azur tandis que d’autres dégageaient du mépris et de l’ignorance inavouables et parfois avouables.
De quel bord que l’on soit, on trouvera ce bon et ce mauvais.
Dans tous les cas, j’ai su éviter ’Ouled lahram’ mais pas de m’entendre dire ‘Ya youdi’…
( Espèce de Juif), ’Yè kèlb’ ( Espèce de Chien)’ ' Youdi hachèk (Que D.ieu nous préserve d’être juif) prononcés sur des tons menaçants avec dans les yeux des éclairs de haine. Comme d’autres n’ont pu échapper au port de L’Etoile Juive’ cette figure géométrique jaune, couleur de la chance ; le Magen David sur le rebord de leur veston élimé.
Dans tous les cas, j’ai retenu ma langue par pudeur et courtoisie afin de ne pas répondre à ces insanités et ne pas me retrouver entre ‘ YED EL HEKEM’ ( les mains de la justice ) Sans doute parce que je fus minoritaire dans mon pays d’autrefois et sans trop grande liberté.
Je me suis méfié de ceux qui portent ‘le sedour’ ( livre de prière) sous les aisselles et prêté l’oreille à ceux qui n’en portaient pas.
J’ai battu des plus faibles que moi et rempilé devant les plus forts mais la aussi, je ne me suis jamais enfoui. Je suis restè digne en toutes circonstances.
J’ai fais confiance à des bonnes mines innocentes et qui m’ont volé respectablement alors que j’ai dédaigné des visages patibulaires.
J’ai menti à plusieurs reprises envers ceux que j’aime et dis la vérité à des étrangers.
Bien souvent, j’ai fermé les yeux et payé pour avoir la paix, abandonnant parfois mes droits.
J’ai ‘gueulé’ envers ceux qui ne le méritaient pas et me suis tus devant ceux qui le méritaient.
J’ai aimé des filles de quartier en secret, fais l’amour en solitaire, fréquenté des femmes de petites vertus et fricoté avec des filles, non vierges mais consentantes.
Dans tous les cas….J’ai suivi les conseils de mon père.
Je ne suis pas arrivé par contre à démontrer que 1 plus 1 égale trois.
J’ai su me faire aimer et apprécier par mes amis mais jamais hais sans doute parce que je fus mi-arabe, mi-italien, mi-universel mais à 100% juif.
En tout cas, seule ma mère m’a respectée à 1% pour les 99% autres, elle m’a juste embêté un peu pour ne pas dire chier durablement. C’est cela être né et élevé juif par une mère juive tune.
ALBERT SIMEONI...pour DD BOTIS et les autres goulettois.
Par Moka (Moka) le samedi 19 janvier 2002 - 20h18: |
Aimer quelqu'un qui vous aime aussi, c'est du narcissisme. Aimer quelqu'un qui ne vous aime pas, ça, c'est de l'amour.
L'amour commence dans l'eau de rose et finit en eau de boudin
L'amour est un combat perdu d'avance
(Frédéric Beigbeder)
Par Laforge (Laforge) le samedi 19 janvier 2002 - 20h30: |
Rien ne pese tant qu'un secret:
Le porter loin est difficile aux dames;
Et je sais meme sur ce fait
Bon nombre d'hommes qui sont femmes.
Abstemius.
Par Belebou (Belebou) le samedi 19 janvier 2002 - 21h02: |
Vous savez..excusez moi sur l'amour du prochain et de l'amour en gènéral. Sans être mèchant avec les femmes, je voudrais leur dire combien je les aime quand ..elles ne disent rien..car dès qu'elles ouvrent la bouche c'est pour nous dire une belle connerie ...ne croyez pas que je sois misogygne ou anti fèministe...non...non...pas du tout....Je prèfére qu'elles restent à la cuisine au chaud près de leur marmite...à prèparer avec amour un couscous bèl yasbana...ou confèctionner quelques morceaux d'anneaux de 'Tkar' avec dèlice.
le Vendredi...Hein qu'en pensez vous mes amis..?
ALBERT LE FEDLAGJI.
Par Admin (Admin) le dimanche 20 janvier 2002 - 04h09: |