Par Douda (Douda) le lundi 01 novembre 2004 - 01h10:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Pour Nao.

C’est bien de se proclamer experte analyste en matière d’amiante, mais c’est encore mieux de
communiquer son savoir en la matière aux Harissiens qui ont soif de connaissance. Or nous avons eu beau chercher, et nous n’avons trouvé qu’un genre de “Moi je sais”, un peu court comme
commentaire, avec en prime la froidure pour ne pas dire la frigidité qui ressemble à compagnie
d’assurance.

On préférerait de loin se tromper et voir briller au firmament, une autre Etoile Flamboyante.

Wnessou El Douda

Par Email (Email) le lundi 01 novembre 2004 - 02h43:

TUNES CELEBRES

Messieurs

Je trouve inadmisible que le seul Juif Tune ayant participe aux jeux olympiques de Rome categorie Saut en hauteur, et champion de Tunisie dans cette catégorie ne figure toujours pas dans les tunes celebres je veux parler de Sylvain Bitan

Merci de rectifier

Raymonde Krief

Par Mena (Mena) le lundi 01 novembre 2004 - 02h00:

Du rapport Rufin à l’affaire Ménargues, 1ère partie (info # 013110/4) [analyse]

Par Raphaël Lellouche © Metula News Agency



La divine surprise du rapport de Jean-Christophe Rufin, est effectivement la première (et la seule) éclaircie dans nos ténèbres. Ce rapport sur le racisme et l’antisémitisme est excellent, il dit enfin la vérité sans détour, et son analyse est d'une finesse dialectique irréprochable. Après quatre ans de mensonges endurcis, de silence de plomb et d'hypocrisie, c'en est à se frotter les yeux et à se demander si l'on n'est pas en train de rêver!



Pas d’optimisme précipité



Est-ce le signal du dégel ? Est-ce « la France qui se redresse » comme l’écrit, dans une posture gaullienne, une éditorialiste pressée ? J’ai toujours regardé avec méfiance les faux départs et les fausses prédictions d'éclaircie, les vaines prophéties de « Perestroïka médiatique » et autres annonces de « tournants » décisifs et imminents, attendus comme autant de « sursauts » de la très-mythique autorité républicaine, auxquels tant de commentateurs ont de façon récurrente vainement cru « assister » depuis quatre ans. Je m’en suis méfié tant que les conditions structurelles d'engendrement de l'antisémitisme n'étaient pas levées, à savoir d’une part la politique du Quai d'Orsay avec la propagande anti-israélienne qui en résulte dans les médias, et d’autre part le verrouillage d’un système médiatique français autoritairement manipulé. Et depuis quatre ans, de modification de ces conditions en amont, tant sur le terrain, dans les relations franco-israéliennes, que dans les structures du pouvoir en France, je n’en ai guère vu d’amorce. Aucune modification, ma foi, susceptible de justifier d’un optimisme qui ne relevât pas d’un pur et simple wishful thinking.



Bien au contraire ! Plus la guerre contre le terrorisme arabo-islamique s’accentuait et s’amplifiait, plus on ne pouvait s’attendre de la part de la France (et de l’Europe) à autre chose qu’à une aggravation des effets débilitants pour l’esprit public de ce pays, de sa position dite « pacifiste » pro arabe. Jamais la France n’avait dévalé aussi résolument la pente qui l'a conduit à ce qui est devenu de plus en plus indiscernable d’une identification au « front du refus » arabe. Aussi, sans mépriser la vertu consolatrice des illusions de l’espérance, je préfère rester lucide ici, quitte à aller chercher mes consolations ailleurs.



Il n’en reste, pas moins incontestable, qu’aujourd’hui le rapport Rufin fait résonner une note nouvelle et discordante.



L’affaire Ménargues, ne nous excitons pas !



Mais je dis d’abord que c'est la seule, et je m’explique. Pour ce qui est de la mise au chômage d'Alain Ménargues, qu’on aurait pu vouloir compter parmi les récents signes « positifs », elle est ambivalente. Certes, le filou est mis — provisoirement— hors d'état de nuire, et voilà une vilaine trogne qui tombe. Mais ce rififi à RFI, en soi, n'augure pas nécessairement un processus positif. Ménargues a commis l'erreur de jouer sur deux tableaux: celui d' "auteur" d'un pamphlet politique antisioniste, se produisant comme tel sur les plateaux de télé, et celui de directeur de l'info sur un média public important. C'est violer les règles de la distribution des tâches dans l'orchestration de la propagande d’État. À ne pas confondre avec la mixtion du « journaliste » et du « militant », qui, elle, est parfaitement admise. C'est au fond cela qui a été sanctionné, même s'il faut ensuite remarquer que "Israël État raciste", ce n'est pas tout à fait exactement la ligne de la France. Et que tenter de se défendre en dénonçant le complot d’un "noyau de juifs communautaires" est d'une suprême maladresse.



En réalité, Ménargues, par ses allusions aux lois de pureté du Lévitique et à l’auto ségrégation des Juifs, pour expliquer le « Mur de Sharon », des propos tenus pas n’importe où, sur Radio Courtoisie, une fréquence d’extrême droite proche du Front National, agressait le judaïsme en tant que tel, et il apparaissait du coup non pas tant comme un « antisioniste de gauche » — ce qui l’aurait au contraire immunisé — que bien plutôt comme un antisémite d’ancienne facture, un facho classique ! Ses réflexions d’une kolossale finesse étaient « inacceptables » de tomber au moment précis où Barnier se rendait en Israël. C’est là qu’on ne l’a pas raté, et que les syndicats de journalistes ont suivi le mouvement. L’« antisioniste » était pris, la main dans le sac, en flagrant délit d’antisémitisme vulgaire. Et là, à son poste, ça ne pardonne pas. Alors qu’en réalité Ménargues est bien un antisioniste ayant commis l’erreur de croire qu’il pouvait dorénavant argumenter sans scrupules et publiquement son antisionisme avec des thèses antisémites classiques, ne nous y trompons pas à notre tour, ce n’est pas Ménargues « l’antisioniste radical » qui a été sanctionné, mais bien seulement Ménargues l’antisémite ordinaire. Ca restreint la portée de la sanction et, forcément, mitige notre plaisir.



Par contre, que le président de RFI l'ait débarqué immédiatement après la sentence fatale du Quai d'Orsay, n'est pas moins sinistre que les propos du personnage, de ne signifier rien d'autre que ceci: les dirigeants des médias publics, en France, obéissent au doigt et à l'oeil aux directives du Quai d'Orsay, quelles qu’elles soient, ces directives, qu’elles aillent dans un sens ou dans un autre! Le mot fatidique du Quai — "propos inacceptables" — était une condamnation à mort, sans ménagement, du piteux Ménargues. Il n'a pas suffi de plus pour qu'il dégage. Jouant sur l’impasse où était le Quai, Barnier étant en instance de départ pour Jérusalem, et au même moment où G. W. Bush promettait d’instituer une loi de contrôle sur « l’antisémitisme dans le monde » — je ne vise personne, suivez mon regard — , la dépêche AFP qui a tout déclenché n’a rien fait d’autre qu’utiliser les dysfonctionnements des rouages internes d’une dictature pour en faire sauter l’un des boulons. La chiquenaude finale. Mais voilà un limogeage, à son tour, tout aussi exemplaire de l'absence radicale de liberté de la presse en France, et de l’ahurissante dictature intellectuelle qui règne sur les médias. Je me réjouis de la déconfiture de l'auteur du livre "Le Mur de Sharon", et je mets toute ma pétulance à crier en chœur avec d’autres "Dehors !" Cependant, cette joie a un arrière-goût amer. Tout autant que le dénigrement d'Israël, je hais la presse aux ordres. Et le débarquement de Ménargues, c’est aussi la presse aux ordres.



Rufin, quoi de neuf ? L’antisionisme, base idéologique du nouveau fascisme



Revenons à Rufin. Sa nouveauté, tout le monde l’a occultée. Elle ne consiste nullement, comme on le dit, à dénoncer enfin l’ « antisionisme radical » comme une forme maligne d’antisémitisme. Cela n’a rien de nouveau, même dans l’espace public. Et en protestant en paternité pour ce « concept » (Lettre à Proche-Orient Info), P-A. Taguieff ne revendique qu’une banalité commune. Non, la vraie nouveauté de Rufin est ailleurs.



C’est de montrer que les actes antisémites n’étant pas seulement le fait des jeunes maghrébins des banlieues, mais d’un ramassis hétéroclite de déclassés de toutes origines ethniques (Arabes, Antillais, Noirs, sans qu’y manquent des jeunes Français de souche) souvent fraîchement convertis à l’islam par fascination pour sa violence politique, que cette masse de gens, en tant que catégorie sociale, trouve dans l’idéologie « antisioniste radicale » la formule de ralliement à la faveur de laquelle elle est prête à basculer dans l’action radicale. Autrement dit, la nouveauté de l’analyse de Rufin est que sous la bannière du palestinisme radical, ne se cache pas seulement l’antisémitisme per se, mais bien le type d’idéologie spécifique qu’il fallait à un nouveau fascisme multiethnique (et non pas « racial » comme le fut le nazisme européen des années 30-40 et ses héritiers « européistes » actuels) en train de naître. L’antisionisme radical, par conséquent, non pas seulement comme masque de l’antisémitisme, mais comme creuset pour fusionner des thèmes venus de l’extrême gauche (anti-colonialisme, anti-impérialisme, anti-racisme) et de l’extrême droite (antisémitisme, anti-libéralisme) dans une nouvelle « Weltanschauung », une nouvelle vision du monde. Contrairement à son prédécesseur, ce nouveau fascisme n’est pas particulariste (romanité, germanité, race blanche, etc.), mais il prétend être universaliste, et il a trouvé dans la haine radicale d’Israël à la fois le point de focalisation de son idéologie et l’un de ses points de convergence avec un autre universalisme (qui lui est proche, sans être strictement identique), à savoir l’islamisme politique, qui peut lui-même être « radical » ou « soft ». Or cette vision du monde, cet antisémitisme politique, Rufin ne le dit pas, il faut souligner qu’elle est explicitement soutenue et constamment nourrie par la doctrine officielle française et par le « point de vue » européen, sous le nom de « thèse de la centralité du conflit israélo-palestinien » quant aux menaces d’instabilité pour l’avenir du monde. L’antisionisme « radical » s’appuie donc sur un background de la pensée officielle qui n’est pas prêt de s’user.



Bref, il ne s’agit pas du tout par là, comme le croit à tort P-A. Taguieff, de « marginaliser la nouvelle question judéophobe en la noyant dans la délinquance, la marginalité sociale ou le psychopathologique » ! Non pas, il ne s’agit pas d’une dilution sociologiste à la Wieviorka, il s’agit de montrer que ce n’est pas tant l’islam-religion des musulmans traditionnels qui est en cause, que plutôt le fait majeur qu’un nouveau fascisme est en train de cristalliser, dans des couches déclassées de la société française, cette fusion d’un altermondialisme à base tiers-mondiste et d’un islamisme politique, lui-même profondément pénétré de thèmes venus de l’antisémitisme nazi. Avec l’antisionisme, on voit se forger un nouveau mythe mobilisateur à l’échelle globale, comme, depuis Georges Sorel, en ont toujours rêvé les fascistes. J-Ch. Rufin souligne en effet que ces couches qui reprennent ce mythe à leur compte, ce ne sont pas les « musulmans » en soi, bien que de nombreux néo-musulmans islamistes de toutes origines ethniques y prennent largement part. On le sait, c’est ce type de « lumpenprolétariat » de déclassés qui a constitué la base sociale classique du fascisme en Europe d’avant-guerre. La cristallisation convergente des haines nihilistes par identification à la haine mortelle des Palestiniens envers Israël, c’est très exactement, d’après lui, ce qui fait la spécificité des actes « antisémites » en France. L’originalité du rapport Rufin me semble par conséquent essentiellement tenir à ce qu’il désigne une menace pour la démocratie en France, et non pas seulement pour les juifs. Il énonce qu’une nouvelle menace de type « fasciste » d’aujourd’hui — qui n’est pas identifiable au Front National —, en France et en Europe, va trouver son noyau idéologique fondamental dans « l’antisionisme », tout comme c’était également l’antisémitisme, version raciale ou culturelle, qui fut le trait commun où les tendances à l’origine très diverses de l’extrême droite européenne d’avant-guerre étaient destinées à fusionner, pour former le national-socialisme. L’antisionisme est donc bien le continuateur historique et fonctionnel de l’antisémitisme pour les nouvelles tendances fascistes européennes en train de naître sous nos yeux. C’est pourquoi Rufin en déduit logiquement que c’est l’antisémitisme antisioniste qu’il faut aujourd’hui identifier, en France et pas seulement pour protéger les juifs de France, à la « menace » la plus sérieuse qui mette en danger la démocratie. Les courants organisés d’extrême droite ne constituent qu’une composante du potentiel de politisation de ce lumpenprolétariat disponible dont l’axe de radicalisation idéologique est une « solidarité » avec les Palestiniens, perçus comme porteurs de cet antisémitisme spécifique qu’est l’antisionisme.





A suivre…

Par Bekhor (Bekhor) le dimanche 31 octobre 2004 - 23h43:

Les Turcs, les Français et le peuple juif.

Honte aux personnes qui caricaturent la future entrée de la Turquie dans le marché commun européen.

Le peuple turc est un grand peuple qui a fait beaucoup de bien à la France et aux juifs.

Certes, ce fut un peuple conquérant, mais à l'époque cela se faisait couramment, toutes les grandes nations cherchaient à agrandir leurs empires ou a coloniser de nouvelles terres.

Les turcs qui avaient d’abord conquis l'Egypte puis, contrôlèrent tous les ports du levant, asphyxièrent et ruinèrent l’inébranlable et l’important monopole italien du commerce maritime.
Ils accordèrent de larges concessions aux commerçants français, qui remplacèrent le lucratif commerce des Italiens.
Grâce aux largesses des Turcs, les finances françaises et le trésor français prirent un essor sans égal. (Cela les français on tendance à l’oublier)

Concernant les juifs, le peuple Turc a ouvert grandement les portes de son empire pendant toutes les périodes ou les pogroms en terre chrétienne se succédaient, si nos « GRANA » (juifs tunisiens d’origine de Livourne en Italie) se sont retrouvés en Tunisie c’est grâce aux bienfait des Turcs.

Méme pendant la période de la « choah », la Turquie de Kemal Atatürk sauva par dizaines de milliers de vies juives des mains des nazis et cela personnes ne peut le nier.

Ne laissons pas caricaturer un grand peuple, qui de surplus su grandement être humains envers tous les juifs, sans exception.

Par Claudia (Claudia) le dimanche 31 octobre 2004 - 23h35:

ANTISEMITISME

92 tombes juives profanées
dans un village du Bas-Rhin

NOUVELOBS.COM | 31.10.04 | 18:03

Les sépultures ont été souillées de sigles "SS" et de croix gammées. Jacques Chirac a fait part de sa "vive émotion" et a condamné "avec la plus grande fermeté cet acte intolérable".

L es gendarmes ont poursuivi leur enquête dimanche 31 octobre au cimetière juif de Brumath, où 92 tombes ont été découvertes profanées la veille par des inscriptions antisémites, racistes et néo-nazies, alors que la nécropole a été rouverte aux seules familles dans l'après-midi.
Les gendarmes de la section de recherches de Strasbourg et de la compagnie de Haguenau (Bas-Rhin), aidés par des agents de la police judiciaire, ont notamment effectué des prélèvements de peinture noire et bleue sur les stèles souillées.
Parmi les inscriptions figurent des croix gammées, des sigles "SS", "White Power", "Odin", "mort aux juifs", "Ni juifs, ni arabes, ni nègres", ou encore "Adrien Zeller (président de la Région Alsace, ndlr), tu vends l'Alsace aux Arabes".
Sur les 92 tombes profanées, 88 ont été taguées et les autres renversées ou dégradées, a expliqué Pierre Lévy, délégué régional du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) qui s'est rendu sur place dimanche matin, à l'instar du préfet du Bas-Rhin et du procureur adjoint de Strasbourg.

"Dégueulasse"

Une prière pour les morts a été dite par un rabbin entouré d'une trentaine de membres de la communauté israélite, dont certaines familles de défunts qui ont dû attendre dimanche après-midi pour entrer dans le cimetière qui avait été entièrement fermé pour les besoins de l'enquête.
"C'est dégueulasse et c'est triste qu'on en arrive encore là", confie avant de fondre en larmes un habitant de Brumath dont la tombe de ses beaux-parents se trouve dans la nécropole mais qui a été épargnée par les profanateurs.
"S'attaquer aux cimetières juifs, cela me choque, c'est vraiment inquiétant", témoigne un habitant chrétien qui s'est déplacé jusqu'à la nécropole située en plein champ, à plusieurs centaines de mètres de la sortie de la commune.

Groupuscules néo-nazis

Une cérémonie de recueillement réunissant des représentants des différentes religions sera organisée lundi matin à l'entrée du cimetière dont les sépultures profanées avaient été découvertes samedi après-midi par une patrouille de la police municipale.
"On pense que la profanation est intervenue dans la nuit de vendredi à samedi et que ce n'est pas l'œuvre d'une seule personne vu l'importance des dégâts", a déclaré Etienne Wolf, maire UMP de Brumath.
"La piste qui apparaît la plus naturelle à creuser est celle de groupuscules néo-nazis, sans exclure d'autres hypothèses", a dit de son côté le parquet de Strasbourg, évoquant des ressemblances avec la profanation en avril de 127 tombes du cimetière juif d'Herrlisheim (Haut-Rhin) sans pour autant en tirer "aucune certitude" à ce stade de l'enquête.
Cette nouvelle profanation a été fermement condamnée dès samedi soir notamment par le président de la République, Jacques Chirac, qui a demandé "au gouvernement de prendre sans délai toutes les dispositions nécessaires pour que soient recherchés, arrêtés et traduits devant la justice les auteurs de cet acte odieux".

Récompense

Au total, quelque 400 tombes juives, musulmanes, chrétiennes ont été profanées en Alsace depuis avril et un seul auteur présumé a été arrêté: un adolescent de 14 ans mis en examen pour avoir tagué des croix gammées sur des tombes chrétiennes à Niederhaslach (Bas-Rhin) en mai.
Pour faire avancer les enquêtes, le Conseil régional d'Alsace a mis en place en septembre un crédit de 15.000 à 18.000 euros pour rémunérer tout informateur permettant l'identification des auteurs de ces profanations.
Par ailleurs, une trentaine de tombes catholiques ont été profanées par des inconnus dans la nuit de samedi à dimanche dans le cimetière municipal de Limoges.

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 31 octobre 2004 - 22h42:

Citron l'action d'un juif derange ne reflete pas la mentalite ni les aspirations du peuple juif. AFP trouve toujours des sujets de controverse pour semer la haine entre juifs et arabes.

Par Nao (Nao) le dimanche 31 octobre 2004 - 21h20:

La douda vous parlez a une experte en matiere d'amiante; j'ai ete pdt 1 an et demi "specialty claim analyst" pr une compagnie d'assurances a dedommager les victimes des maladies dues l'amiante dt mesothelioma; je connais ce pb par coeur...

Par Douda (Douda) le dimanche 31 octobre 2004 - 20h32:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Pour Nao.

Bien que vous en soyez instruite, ce qui n’est pas le cas de tous. L’amiante n’est pas un quelconque oxyde, comme tant d’autres, c’est une substance qui induit à moyen et long terme, une forme de cancer de la plèvre appelé mésothélium, qui tue à petit feu les personnes contaminées.

Si la justice US a été saisie c’est surtout qu’en toute connaissance de causes, des centaines d’ouvriers, ont été envoyés travailler sur “Ground Zero”, sans le moindre avertissement sur les conséquences des risques encourus, et sans les scaphandres intégrales de protection obligatoires pour tous les travailleurs qui seraient en contact avec la poussière et les fibres d’amiante.

Vous n'ètes pas sans savoir, qu’aux USA la loi exige que tout bâtiment vendu doit être au
préalable désamianté.

Voici l’un des nombreux sites qui peut vous donner des informations sur le WTC, et les quantités d’amiante utilisés lors de sa construction :

http://www.btinternet.com/~ibas/lka_world_trade_center.htm

ASBESTOS USE IN THE CONSTRUCTION OF
THE WORLD TRADE CENTER

by Laurie Kazan-Allen

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It is with disbelief and growing horror that we watched the events which took place in Manhattan and Washington last week. Words are meaningless in the face of wanton terror and the loss of so many innocent lives. Yet, words are all we have to express our loss and solidarity with those people so suddenly and totally bereaved. Our hearts go out to all of those affected by these atrocious and
barbarous acts.

Asbestos at the WTC

Many people enquired about the presence of asbestos at the World Trade Center (WTC) last week. At that time I had no information about this subject. In awe of the superhuman efforts being made to locate survivors, I felt it inappropriate to highlight these questions. Since then, information has been forthcoming about the use of asbestos on the twin towers. One contact informed me that prior to the complex being built, the New York Port Authority had planned to use 5000 tons of asbestos-containing sprayed fireproofing on floors 1-40 of the buildings. Above the fortieth floor, non-asbestos alternatives were to be used. This is confirmed by an article which appeared in the New York Times on September 18, 2001: "Anticipating a ban (on the use of asbestos in construction in NY), the builders stopped using the materials by the time they reached the 40th floor of the north tower, the first one to go up…" According to a spokesman for the Port Authority "more than half of the original, asbestos-containing material was later replaced."

An extremely useful factsheet (available at: http://www.nycosh.org ) produced by the New York Committee for Occupational Safety and Health Inc. states: "Asbestos was a major material used in the construction of the World Trade Center. That asbestos is a constituent of the dust and debris."
Practical advice is given for the protection of emergency workers at or near ground zero which includes "protective clothing should be worn so you can change out of your work clothes before returning home. Work clothes should be bagged at work and washed separately from personal laundry to prevent contamination."

Controversy

In recent days, allegations have been made that the lack of asbestos in the twin towers contributed to the rapid collapse of the buildings. The New York Times article referred to in the second paragraph:
Did the Ban on Asbestos Lead to Loss of Life examined claims that the non-asbestos containing fireproofing materials used during the construction of the WTC performed less effectively than similar asbestos products thereby shortening the time available for occupants to escape. Most of the experts consulted were unanimous: "no standard treatment of the steel, asbestos or otherwise, could have averted the collapse of the towers in the extraordinarily hot and violent blaze." The need for detailed research on building designs and materials was endorsed by many including Dr Yogesh Jaluria, an
engineering expert from Rutgers University, who said: "tests for very violent and very large-scale fires have not been done." The sober tone and balanced approach of the New York Times article contrasts with a one-sided and spurious article which appeared on the Junkscience.com website. Steven Malloy, the author of Asbestos Could Have Saved WTC Lives says Dr Irving Selikoff was "wrong to press the panic button about any use of or exposure to asbestos. For example no adverse health effect has ever been attributed to Levine’s technique of spraying wet asbestos…"

Preliminary enquiries reveal that the Levine technique, as developed by the US company Asbestospray Corporation, was based on a ceramic-fibre spray which did not contain asbestos. In the UK, the sprayed asbestos fireproofing process pioneered by Turner & Newall Ltd was a market leader: Sprayed Limpet was sold worldwide from the 1930s-mid 1970s. According to Dr. Geoffrey Tweedale:
"Limpet was a mixture of asbestos and cement… At the end of the hose was a gun with a water spray,which ensured that Limpet would stick to its target." Large numbers of sprayers and others who worked in the vicinity of sprayers applying Limpet have died from asbestos-related diseases in the UK and abroad.

It is bizarre that an article in The (London) Times on September 18, 2001 quoted Malloy’s assertion that: "Asbestos is the best insulator we know of and not to use it because of hysterical public health reasons is absurd." The national bans adopted by governments in more than thirty countries were not knee-jerk reactions to mass hysteria but pragmatic decisions intended to reduce the incidence of asbestos-related deaths and disability. The consultation in the European Union (EU) about the proposed asbestos ban was long-ranging and thorough. The performance of non-asbestos alternatives was studied and it was concluded that effective alternatives were available. A European amendment adopted in July, 1999 imposes a 2005 deadline on the use of asbestos in all Member States. In the meantime, 13 out of the 15 EU states have adopted national bans or published their intentions to do so

In light of the devastation and horror of the tragedies which took place in NY and Washington, there will be many questions raised about the construction of the twin towers and the performance of the fireproofing materials used. It is a time to reflect and review; to identify ways in which we can protect our citizens and the infrastructure of our countries. This must be done with open minds and all the technological and scientific innovation we can muster. Do not let us get misdirected by a smokescreen of blame and misunderstanding.

Wnessou El Douda

Par Nao (Nao) le dimanche 31 octobre 2004 - 19h02:

La douda: vous nous narrez les verites de Mr de la Palisse! Tout le monde sait que les retombees medicales du 11/09 seront similaires a celles de Tchernobyl. Les gens a commencer par ma propre soeur qui vit la bas disent avoir respire des oxydes de tte sorte qd les tours en feu se sont effondrees. L'odeur de roussi et de mort a flotte sur NY pdt des semaines.
Tout le corps medical le sait.

Par Nao (Nao) le dimanche 31 octobre 2004 - 18h36:

Moi je vois que tous les etats europeens sont representes par des ch.....s! et ca c'est bien la realite des etats qui composent l'Europe communautaire.
Par contre les WC turques c'est insultant car ca signifie que les Turcs sont restes primitifs! may be mais bon c'est pas sympa..

Par Michka (Michka) le dimanche 31 octobre 2004 - 18h23:

Tout le monde n'a pas le sens de l'humour et n'a pas la même interprétation des choses.

En ce qui me concerne, ce dessin envoyé par un ami me dit qu'il y a un siège qui n'est pas compatible avec les autres. Il est discordant.

Ce qui revient à dire que la Turquie est différente des pays européens, et c'est une réalité d'où la polémique sur son adhésion.

Par Albert (Albert) le dimanche 31 octobre 2004 - 17h10:

Ma chére LALLA, avez vous compris la caricature de l'adhésion 'improbable' de la TURQUIE parmi les états europèens????? Là où on y voit un SIEGE TURC....??? Comme ceux que nous avions connus bien avant les toilettes modernes..

Par Lalla (Lalla) le dimanche 31 octobre 2004 - 16h20:

Ah, Albert, elle est bien bonne celle-la, a propos de miettes! mais ...ces bombes humaines, c'est monstrueux et ca me retoune les entrailles, ca me donne la nausee ca me rend malade...

Par Lalla (Lalla) le dimanche 31 octobre 2004 - 16h15:

BURKI,qui c'est? cette carricature est deplaisante; voire meme insolente; on devrait avoir plus de respect envers un pays aussi important que la TURQUIE;dE TOUTES LES FACONS, IL FAUT AVOIR LE RESPECT D'AUTRUI sinon c'est le debordement...