Par Djerbien (Djerbien) le mardi 02 novembre 2004 - 13h07: |
non AXELLE je comprends ce que tu penses et je voudrais dire a tout les adeptes de ce site toutes mes condoleances pour les morts israelien et palestinien du proche orient
Par Albert (Albert) le mardi 02 novembre 2004 - 13h23: |
PLATS D ‘ANTAN.
L’ASSIDA BEL TOUME.
( Purée à l’ail)
Paris le 2/11/2004.
Le plat du pauvre en l’occurrence, celui qui réunissait souvent les membres d’une même famille, surtout en hiver, autour d'une table, pour apprécier cette semoule cuite à l’instar du drôô.
La préparation était la même.
Cette soupe assez épaisse se servait toujours chaude.
On la relevait bien souvent par une sauce rouge assez épaisse et étalée en surface.
Un filet de hareng séché et préalablement dessale venait s’ajouter par dessus.
Parfois un morceau d’anchois faisait l’affaire.
Le même rituel s’imposait comme pour le drôô pour la déguster.
La HACHOUE.
( soupe de farine)
Idem que l’assida mais plus légère.
LE BOL DE POIS CHICHES.
Aregma.
( Sahfet Homs bel oullè bléch jeldè oullè kouarra)
( Bol de pois chiches avec ou sans peau ou jarrets)
Paris le 2/11/2004.
Mon père z’al en raffolait. Il en usait même.
Je me souviens dans mon enfance de ce bol qui venait remplir nos estomacs au dîner et nos intestins de gaz ; les flactulences trouvaient leur source dans ses féculents.
On distingue deux sortes de BOL DE HAMS , âïriyè ( artificiel ) ou diari ( maison ) c’est à dire eau et pois chiches cuits naturellement tandis que l’autre met toujours le même était relevé soit par un morceau de JELDA ( peau) ou de KOUARRA ( jarret).
Je rappelle aussi qu’on appelle KASBA ( roseau) le fémur.
Ces deux organes donnent un aspect consistant dit MGHEEM ( épais ou gras) à la mixture.
On y ajoute aussi dans ce grand bol des morceaux de croûtons rassis.
C’est le plat favori, pris entre 8 heures et Midi par les gourmets qui y ajoutaient aussi un ou deux œufs à la coque.
Bech mét rajlèq yè mrââ. ( De quoi est mort ton mari O femme …)
Réponse ‘ BEL CHOULOUSTIROL) Par le Cholestérol).
Par Albert (Albert) le mardi 02 novembre 2004 - 12h44: |
Le bol de sorgho
Sahfa drôô .
Sahlèb.
Paris le 2/11/2004.
Bien connue des anciennes familles modestes tunes, cette fameuse ‘sahfa de drôo’ (bol de sorgho) servie au petit déjeuner dans un bol par la maman courageuse car elle s’obligeait à se lever de bonne heure pour la préparation de ce délicieux breuvage , a eut ses heures de gloire.
La réussite de cette mixture, composée d’un grand volume d’eau dans laquelle on y ajoute une bonne mesure de sorgho dans la casserole, résidait dans la patience à remuer lentement le tout, sans arrêt, sur un feu doux, ‘ presque agonisant’ et cela afin d’éviter la formation de grumeaux pendant la cuisson.
Un certain temps doit être ‘consommé’ pour le succès de l’opération. La cuisinière juge de la bonne cuite de son ‘bouillon’ qu’après avoir constatée de la formation de remous ‘ bloc bloc bloc….’dans de petits cratères bouillonnants qui viennent expirer sur la surface de la mixture.
Elle doit aussi considérer sa fabrication comme cuite à point que si l’aspect du filet de sorgho qu’elle laisse égoutter de sa louche prend une forme assez épaisse.
Une fois prête, ‘la solution’ bien chaude est servie dans un bol.
On y ajoute par dessus du sucre fin, en grain ou dit ‘glacé’.
La plupart du temps et afin d’éviter de se brûler les lèvres, le consommateur se prend un plaisir à ‘gouter’ sa précieuse matière, en la ‘ramassant’ par petites cuillérées tout en rasant le pourtour intérieur du bol. Elle paraît moins chaude à ce niveau là.
Un bol de sorgho refroidit présente des craquelures à la surface. Il suffit de le remuer pour retrouver chaleur et saveur.
J’ai connu à part le sorgho fabrique à domicile dit maison ( diari) , celui dit de la rue, chez les marchands de beignets et autres petits commerces ayant pignon sur rue à la Goulette.
Il était cuisine dans un grand ‘Chaudron’ à la base arrondie, posé sur un ‘Babour’ ( grand Primus) et toujours cuit à petit feu. Souvent le marchand le relevait selon le choix du client par des fruits secs tels que raisons secs, fruits de pin ( pignons) amandes douces pillées, morceaux de noix d’inde etc…Les gourmands y ajoutaient un morceau d’Harissa Bel Louze ( petit carré de gâteaux oriental, environ 10 cm x 10, imbibé de miel et de fleur d’oranger ( mazar).
Le tout était encore saupoudré de sucre comme dit plus haut, et toujours au choix. La mélasse paraît il donnait un grand tonus matinal.
A déguster bien chaud. Bon appétit.
Pour tous renseignements concernant la parution de mon livre ‘….L’Enfant de la Goulette…’ contacté les éditions PUBLIBOOK n° téléphone au 01 53 69 65 55. Merci.
Par Benzarti (Benzarti) le mardi 02 novembre 2004 - 12h07: |
Primo,
pourqUOI VOUS NE RELEVEZ PAS LES INFRACTIONS AUX LOIS INTERNATIONALES COMMISES PAR L'ETAT d'Israel ??!!! et celles commises par Sharon et ses prédécesseurs...au lieu de relever celles d'Arafat
Par Braham (Braham) le mardi 02 novembre 2004 - 10h09: |
Par Braham (Braham) le mardi 02 novembre 2004 - 10h07: |
Pour Samuel Hagege
La Tombe de Rabbi Hai Taieb a été transférée (ainsi que plusieurs autres ossements), du vieux cimetière de l'avenue de Londres à celui du Borgel.
Elle se trouve juste au centre du lieu, non loin de la maison du concierge tunisien, qui se fera un devoir de vous aider et mème de localiser des proches qui ont été enterrés là-bas.
L'antique cimetière fut transformé en un parc public, par les autorités locales.
Je vous enverrai, au prochain message, une photo de la Tombe, prise en sept. 2001.
Par Meyer (Meyer) le mardi 02 novembre 2004 - 09h15: |
Réponse à Email (Email) le mardi 02 novembre 2004 - 07h25: SAMUEL HAGEGE
On trouve tout dans Harissa :
http://www.harissa.com/D_Religion/tombedesrabbins.htm
Il suffit d'utiliser la rubrique "Recherche" et de taper "tombes". La référence apparait en premier. On y trouve également des articles sur les rabbins de Tunisie.
Par Email (Email) le mardi 02 novembre 2004 - 07h25: |
Bonjour
je souhaiterai savoir savoir ou se trouve les tombes de RABI 'HAI TAIEB LO MET ET RABI YEOCHOUA BESSIS ZTSL...??
Merci !
SAMUEL HAGEGE
Par Mailroom (Mailroom) le mardi 02 novembre 2004 - 07h21: |
RENCONTRE A ST-PETERSBOURG
Ne nous fions pas aux photos. Elle ne dévoilent pas toujours les traits du visage du partenaire.
Ne pas hésiter de rencontrer la personne.
Ne pas hésiter à établir queques rencontres même si elles ne mènent pas à conclusions.
Personnellement, je me suis déplace à st Petersbourg en Russie. j'ai passé mon anniversaire avec ma rencontre dans votre site.
Nous nous sommes plus.
Puis nous sommes revenus dans le même avion pour passer quelques jours à Paris.
Mon amie viendra s'installer à Paris avec sa fille fin décembre.
une date de mariage sera fixé pour 2005.
Conclusions:
croyez fermement qu'une rencontre est possible, elle peut menéR à une relation durable avec de l'attention, de la sincérité et de la tendresse.
le tout pour dire de l'amour.
jals.
http://jrencontre.com
Par Mena (Mena) le mardi 02 novembre 2004 - 07h04: |
Du rapport Rufin à l’affaire Ménargues, suite et fin (info # 010111/4) [analyse]
Par Raphaël Lellouche © Metula News Agency
Rufin, signe de quoi ?
Mais le rapport Rufin, ce rayon de soleil qui perce enfin l’épaisse ténèbre médiatique française ? Lui, c’est bien un signe positif. Mais de quoi le signe ? Je fais d’abord remarquer qu’il est commandité par le ministère de l’Intérieur, que les différents ministères ne sont pas nécessairement en phase, et je doute fort que les phrases de Jean-Christophe Rufin eussent pu pareillement se faire entendre non pas à l’Intérieur mais aux Affaires Étrangères. Ne pas confondre intérieur et extérieur ! Les objectifs qu’ils poursuivent peuvent être contradictoires entre eux. Ce qui a toujours été jusqu’ici le cas, comme je l’avais souligné à propos de l’Europe dans mon article Deux tabous de la ‘nova lingua diplomatica’ européenne (Mena, 2 janvier 2004) : « La vérité, c’est que l’incapacité de l’Europe en construction à accepter de regarder en face la réalité de l’antisémitisme musulman reflète en fait la contradiction fondamentale de sa politique, où interfèrent la politique intérieure et extérieure : l’Europe voudrait bien pouvoir être anti-israélienne en toute innocence, sans déclencher une résurgence du vieil antisémitisme de sinistre mémoire pour elle. […] Mais voilà, c’est là un vœu qui s’annule dans l’absurdité, aussitôt proféré. Il s’étouffe et s’évanouit dans une contradiction spécieuse. Car l’antisionisme ne peut pas être innocent d’antisémitisme. C’est son échec, et le signe de son impossibilité […] Si l’antisémitisme musulman est tabou, c’est moins tant en raison de soi-disant calculs électoralistes, que parce que la simple reconnaissance de son existence dénoncerait immédiatement l’impureté morale de l’antisionisme! ». Le couac vient donc de ce qu’il se trouve, une fois n’est pas coutume, qu’une affaire éminemment intérieure, voire intestine — l’antisémitisme — ait ici tout à voir avec une étrange et inquiétante affaire étrangère — la politique arabe de la France. Et que c’est là que la séparation des catégories de l’intérieur et de l’extérieur ne fonctionne plus ! On regrette déjà feu Derrida qui nous aurait déconstruit en un tournemain cette dualité métaphysique.
Et je note en outre, ce qui a été peu remarqué par les commentateurs jusqu’ici, que le rapport Rufin, les médias l’ont très peu relayé ! Les journaux télévisés ou la presse quotidienne (par ex. Libération) lissent ou gomment à qui mieux mieux ce qui fait sa nouveauté, l’éclairage du fondement antisioniste de l’antisémitisme actuel, les pires pour mettre à nouveau en exergue l’ « islamophobie », et tous pour souligner les protestations de la Ligue des Droits de l’Homme et du MRAP contre l’idée d’une pénalisation de l’ « antisionisme radical ». Bref, les médias n’ont pas changé d’un iota leur doctrine habituelle. Preuve que la censure est un mécanisme homogène et parfaitement contrôlé. Autrement dit, les « tabous linguistiques » ronronnent à plein régime. Le risque est, évidemment, que l’État étouffe et enterre les résultats de cette expertise, comme, on s’en souvient, le rapport d’étude sur l’antisémitisme en Europe émanant d’un groupe d’experts de Berlin avait été enterré par la commission européenne qui l’avait commandité.
Si le rapport Rufin, au delà d’un symptôme passager, est annonciateur d’une vraie tendance au dépassement de la situation qui prévaut en France, ce n’est pas seulement le sérieux avec lequel on s’attellera à l’application de ses préconisations qui permettra d’en décider, cela dépend plus crucialement de la contradiction interne de la politique française. N’étant pas d’humeur inébranlablement optimiste, je ne me précipiterai donc pas à crier trop tôt victoire. Cependant, en guise de présomption favorable, je voudrai noter cette fois-ci, qu’il n’est pas impossible que ces conditions initiales commencent à « bouger » un peu.
Dans un contexte modifié
Le contexte dans lequel paraît le rapport Rufin, cela est nouveau, est un contexte changé, à l’international comme en France. Au plan international, l’échec spectaculaire des leviers « arabes » de la diplomatie française pour la libération des otages Chesnaux et Malbrunot, dont le caractère à la fois saddamiste, « barbouzard » et avec ça ridiculement inefficace, tels qu’ils ont été révélés par les menées aventureuses d’un Didier Julia, montre que son triomphalisme ne pouvait plus cacher sa parfaite inanité. Ce qui est désormais son secret de Polichinelle n’est pas sans avoir porté un coup à sa crédibilité à agir comme médiateur dans le conflit israélo-palestinien. Et c’est à redorer un blason fichtrement terni que Barnier se rend dans la région pour se faire réhabiliter, ô paradoxe, par Israël ! Mais elle ne peut désormais agir que sur un terrain modifié, à son désavantage. D’abord, le contexte international est surdéterminé par la probable réélection de Bush, ce qui laisse présager une continuité conséquente de la guerre antiterroriste et du soutien américain à Israël. Ensuite, l’essentiel est qu’un certain « seuil » sur le théâtre de guerre ait été franchi, marqué à la fois par les succès israéliens limitant les capacités de nuisance de la terreur palestinienne, et par la décision, maintenue par Sharon, de se retirer de Gaza, laquelle décision est soutenue par la France comme position diplomatique de repli. J’aurais même plutôt tendance à dire, à l’inverse, que c’est ce retrait qui « soutient » encore la France. La signification de la victoire israélienne, d’être une victoire sur la stratégie de l’Intifada plus encore que sur l’Intifada elle-même, a été analysée de façon pertinente par le Lt-Colonel Ludovic Monnerat, sur checkpoint-online. C’est, dans l’histoire, la première mise en échec d’une stratégie de « guerre asymétrique », qui a consisté non pas à écraser militairement les Palestiniens — ce qui aurait été possible, mais politiquement fatal — mais à leur retirer les moyens de faire leur guerre. En tout cas, une première phase, à tout le moins, de l’Intifada est dépassée.
Mais le contexte se modifie aussi en France, où la cacophonie affleure. D’abord sur une politique de construction européenne dont les contradictions ne sont plus maîtrisées, malgré la manœuvre de Chirac pour dissocier la question de l’entrée de la Turquie et celle de la Constitution européenne. La révélation de ses méfaits en Polynésie, cette — pour le coup, véritable — « colonie » française ( !), colonie livrée au pillage par des intérêts privés depuis vingt ans, au clientélisme des emplois fictifs, rajoutent à l’image de plus en plus « barbouzarde » d’un clan Chirac qui ne lésine pas sur la corruption et l’achat des votes pour se maintenir son pouvoir dans ses bastions coloniaux d’outre-mer. Il ne faut pas oublier, enfin, que le rapport Rufin est contemporain de la publication d’un autre rapport « Vers une nouvelle croissance », demandé par Sarkozy à M. Camdessus. Rapport qui décrit une France vieillissante, percluse de rigidités, en état de « décrochage » économique et social, et promise à une stagnation irréversible dans les décennies à venir. Autrement dit, un terrain favorable à l’épanouissement de nouvelles configurations de fascisme. Prévision socio-économique et diagnostic à l’Intérieur se complètent donc. Ce texte sera la charte économique du rival de Chirac. De son côté, Nicolas Sarkozy a présenté avec une étonnante autorité son projet de loi de finance devant le parlement, au même moment où Chirac cassait du sucre sur le dos de son propre ministre d’État devant les paysans. Aussi, tout cela laisse à penser que Sarkozy, le « présidentiable » de 2007, a déjà le vent en poupe, et il n’est pas impossible que le « clan » chiraquien commence à se débander. Bref, une atmosphère délétère de « fin de règne » pourrait bien commencer à poindre le bout du nez… Le rapport Rufin, qui par lui-même, et pour nous, est une bouteille d’oxygène, serait-il outré de penser qu’il n’est peut-être pas tant, dans le contexte français, le signe d’un dégel que le premier symptôme avant-coureur d’une débâcle ?
Que conclure ?
Je revoyais récemment Le dernier métro, ce film remarquable de François Truffaut dans lequel un directeur juif de théâtre se cache dans les sous-sols de son théâtre, durant toute l’occupation, alors que tout le monde le croit enfui à l’étranger, et passe ses interminables journées, comme il dit, à devoir « lire des mensonges dans les journaux, à écouter des mensonges à la radio », jusqu’à en devenir fou. Absents, forcés de hanter notre propre scène depuis la cave où nous sommes refoulés, et condamnés à tout entendre mais sans avoir voix au chapitre, c’est redevenu un peu notre situation de juifs aujourd’hui. Reconnaissons qu’en 1980, quand ce film a été tourné, l’esprit public en France avait une autre tenue. Aussi ai-je sursauté quand le critique antisémite de « Je suis partout », dans le film, s’exprima dans ces termes : « Il faut pousser les juifs hors du théâtre français… ». J’ai sursauté parce que cette tournure, je l’ai immédiatement reconnue, l’ayant lue récemment non pas dans « Je suis partout » bien sûr, mais dans un journal pour enfants ! Elle était utilisée, cette tournure, pour exprimer le rôle que la France devait jouer dans le conflit israélo-palestinien : « Il faut pousser Israël… vers la paix… » (dans Le Petit Quotidien) — et l’ayant encore relue récemment : souvenez-vous, c’est à peu près l’expression de la pensée de notre camarade Malbrunot, rapportée par Jérôme Coursade. Il faut pousser les juifs… Pousser les juifs ? Mais c’est une obsession ! Moi, je n’aime pas qu’on me pousse !
On me dira que ce n’est pas une conclusion. Mais je ne suis pas pressé de conclure, car rien ne m’autorise à le faire. Rufin, bon ! Le concert français fait entendre, d’accord, des fausses notes isolées — des fausses notes agréables à nos oreilles —. Craignons qu’il ne tourne à la cacophonie. L’oreille bien tendue et attentive au moindre flûteau, j’ai du mal à discerner, même dans le lointain, les plus faibles accents d’une mélodie nouvelle.
Fin.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 02 novembre 2004 - 06h43: |
Pourquoi voter pour Bush
Kerry à prétendu que Bush créait des terroristes. Je me demande quelle formule a-t-il usé pour trouver ce secret? Il ne sait ni combien il y avait au départ ni combien il y a maintenant. Pourquoi dire des choses qu'il ne peut pas prouver?
Par contre je me souviens qu'en Somalie la faiblesse américaine de Clinton avait servi comme propagande pour recruter des militants pour Ben Laden. Depuis que Bush est au pouvoir et grâce au service de sécurité mis en place par son administration il n'y a pas eu de nouvelles attaques aux Etats Unis. Il est certain que sous l'administration de Bush il y a plus de terrorises qui sont tués, que de nouveaux que Ben Laden aurait pu créer. Regardez par exemple, sous la main dure de Sharon, le nombre de terroristes palestiniens est considérablement réduit par rapport aux nombre de terroristes sous la faiblesse de Barak.
Vous voyez que par ces deux parallèles: Clinton / Barak et Bush / Sharon la formule de force est justifiée. Posez-vous cette question: Vu que Ben Laden a essayé d'intervenir dans nos élections contre Bush et avait apparu en vidéo après trois années de silence, vous ne trouvez pas que c'est préférable qu'il apparaisse en vidéo qu'en attaque meurtrière? Un homme victorieux ne demande pas de trêve. Ben Laden semble vouloir le dire, en voulant allécher les états, en leur disant que ceux qui ne choisissent pas Bush seront en sécurité. Comme l'ont fait les musulmans en disant "Dar El Harb et Dar Isalam"qui veut dire: la maison de la guerre et la maison de la paix. Celui qui cse soumet à l'Islam est en sécurité et celui qui ne se soumet pas est en guerre.
Ben Laden sait très bien que si Bush est réélu la Al Qaida sera entièrement détruite, comme l'était Allemagne nazie sous Hitler et comme le Japon sous l'empereur Hirohito. S'il aurait pu attaquer encore une fois, Ben Laden n'aurait pas fait la vidéo. Aujourd'hui Ben Laden ne vit plus dans le confort de l'Afghanistan sous les Talibans. Il vit d'une cachette à l'autre comme un voleur poursuivi par les agents. Si Kerry et ses partisans ne reconnaissent pas ces simples faits, comment pourrait-on croire que Kerry pourrait agir pour protéger les Etats Unis? Voici d'autres raisons pourquoi il faudrait voter Bush.
Par Primo (Primo) le lundi 01 novembre 2004 - 20h48: |
Attentat de ce jour à Tel-Aviv !
Le FPLP revendique l'attentat de Tel Aviv
Mon November 1, 2004 12:30 PM CET
TOULKAREM, Cisjordanie (Reuters) - Les radicaux palestiniens du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) ont revendiqué la responsabilité de l'attentat suicide du marché Carmel de Tel Aviv.
Selon des sources proches du FPLP, le kamikaze était originaire du camp de réfugiés d'Askar, proche de la ville de Naplouse (Cisjordanie).
L'attentat a fait, outre le kamikaze, au moins trois morts et une trentaine de blessés.
Le FPLP ? Celui dont le chef, Georges Habache, 78 ans, pédiatre, fut soigné il y a 12 ans à l’hôpital Henri Dunant à Paris ?
Mais non... La France ne peut PAS être responsable ! Pas plus qu’elle ne veut mesurer les conséquences de son soutien inconditionnel à l’invité personnel de M. Chirac à Paris ? Pas plus qu’elle n’envisage la complicité dans les futures actions meurtrières de l’hôte de l’hôpital de Clamart traité avec une déférence obséquieuse ?
Allons ! De qui se moque-t-on ?
La France a pris la responsabilité de soigner - à ses frais – dans l’hôpital militaire de Percy, un individu sous le coup d’une plainte introduite conformément à la loi du 16 décembre 1992 (modifiée par la loi du 19 juillet 1993) relative aux crimes contre l’humanité du chef de :
actes de génocide (article 211-1 du Code Pénal)
autres crimes contre l’humanité (article 212-1du Code Pénal)
participation à un groupement formé ou à une entité établie en vue de la préparation caractérisées par un ou plusieurs faits matériels, de l’un des crimes définis par les articles 211-1 et 212-1 (article 212-3 du Code Pénal)
La plainte est également fondée sur le droit international coutumier et sur le jus cogens.
Elle est également introduite pour :
Meurtre (et tentative et complicité) prévu et réprimé par les articles 221-2 et 4 du Code Pénal
Assassinat (et tentative et complicité) prévu et réprimé par les articles 221-3 et suivants du Code Pénal
Atteintes volontaires à la vie (et tentative et complicité), prévues et réprimées par l’article 221-1 du Code Pénal
Actes de terrorisme (articles 421.1, 421-2-3, 421-4, 421-5, 422-4 et 422-5 du Code Pénal
Association de malfaiteurs en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur (article 706-17 et suivants du Code de Procédure Pénale).
Va-t-on appliquer enfin la loi ? Ou attend-on le moment où il sera – comme Georges Habache, exfiltré grâce aux autorités françaises – hors de portée ?
Et puisque sa santé semble s’améliorer de jour en jour, que le parquet exige une date immédiate pour son audition par le Juge anti-terroriste. Sans échappatoire cette fois !
Albert Capino © Primo-Europe
Par Albert (Albert) le lundi 01 novembre 2004 - 21h33: |
Reprise du procès.. SUZANNE B/PLANET BREITOU au PTB.
Par Shalom (Shalom) le lundi 01 novembre 2004 - 20h11: |
Bonsoir Axelle
Je suis tout à fait d’accord avec vous. Cinq ou trois quelle différence !
Des personnes comme "Djerbien" pensent que l’on doit être magnanime envers des malades ou des mourants. Oui bien sur, mais les autres, ceux qui se font exploser pour tuer des innocents, le sont ils ? Et ceux qui égorgent de sang froid des otages humiliés ?
Il y a quatre ans Arafat, a choisi les attentats et a mis son peuple dans la misère. Il ose aujourd’hui, donner des leçons en condamnant les attentats et mettre les soldats de TSHAL au même niveau que les terroristes.
Shalom