Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 16 décembre 2006 - 06h29: |
Victor, mon opinion n'exclue pas la tienne ni le besoin de prendre les choses au sérieux. Mais je pense que ceux qui sont responsables dans les gouvernements, ce sont eux qui doivent prendre Ahmadinejab au sérieux mais pas nous. Nous ne devons pas alarmer tout le peuple juif. . Et ceux qui sont au pouvoir ne doivent pas non plus crier sur les toits mais plutôt agir en silence après bonne réflexion et analyse.
Par Email (Email) le vendredi 15 décembre 2006 - 21h38: |
Joyeux Hanouccah à tous mes ami(e)s juifs, filles et fils d’Israël !
Souvenez-vous que Hanouccah célèbre la défaite « des puissants entre les mains des faibles, du grand nombre entre les mains du petit nombre…et des méchants entre les mains des justes ». Que la lumière de Hanouccah illumine vos cœurs, éclaire vos maisons et vous guide vers la paix ! Que la luminosité de la Paix éternelle atteigne son apogée et finisse par éblouir notre monde de ses rayons divins. AMEN !
http://media.americancomedynetwork.com/FILES/mymenorah_v73.swf
Hanouccah Samea'h, amitiés fraternelles,
Morad EL HATTAB, philosophe
Auteur des Chroniques d’un buveur de lune (Albin Michel)
Par Braham (Braham) le vendredi 15 décembre 2006 - 20h18: |
Hanouka Virtuelle
Allumons ensemble la premiere lumiere de cette Hanoukia virtuelle.
Avant l'allumage
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le vendredi 15 décembre 2006 - 19h56: |
Cher Tous,
Tant qu'il ne s'agit que d'enrichire de l'uranium naturel en U235 pur le danger n'est pas encore trop rapproché, car avec l'U235 on ne peut faire qu'une bombe pour terroriste, et non une arme de guerre, transportable par un vecteur militaire.
La seule bombe à U235 de l'histoire qui fut utilisée "Little Boy", très facile à faire fonctionner mais, très dangereuse à manipuler ! Ce fut celle lâchée sur Hiroshima, qui a été assemblée dans le bombardier, de peur qu'un crash au décollage, ne se transforme en catastrophe nucléaire.
Ce type de bombe ne peut être utilisée qu'à partir du container d'un cargo, que des kamikazes feraient sauter dans un port de commerce, les effets seraient terribles, mais le nombre de victimes limité à 10% par rapport à une bombe qui exploserait à 1000 m de hauteur.
L'U235 ne suffit pas, encore faut-il disposer de l'allumette en Lithium 6, matériau qui nécessite la maîtrise de certains types de réacteur que le tiran ne possède pas, le Li 6 est sous un embargo
international pire que pour toutes les autres matières fissiles, et pour cause.
Le vrai danger viendra le jour où l'on découvrira que l'Iran a fabriqué du Plutonium 238, matériau qui provient du retraitement des déchets et des combustibles de réacteurs.
Toutes les bombes militaires actuelles sont faite à partir du Pu 238, appauvri en isotopes 239 et 240, qui empoisonnent la réaction en chaîne, encore faut-il être capable de maîtriser l’allumette (Li6 - Am241), la ceinture d'explosifs synchronisés à la microseconde, l'électronique de précision, et l’eau lourde, ce qui n’est pas une mince affaire.
C'est là le prix qu'il faut payer pour manipuler ces bombes en toute sécurité, et pouvoir lancer à partir des vecteurs classiques, avions, canons, ou rockets.
La production de Pu 238 est très lente et onéreuse, pensez donc que pour réaliser le projet Manhattan, il a fallu investir à Los Alamos, plus de 20 milliards de dollars des années 1940, pour avoir en 4 ans assez de matière pour fabriquer 3 bombes, et qu’il a fallu attendre jusqu’en 1949, pour reconstituer les stock, afin de fabriquer la bombe H testée à Bikini.
On est loin de la menace réelle alors pas de panique, mais quand même mieux vaut prévenir que guérir, et comme on dit chez nous “la meilleure défense c’est l’attaque” ! Alors mieux vaut ne pas dormir du tout que de ne dormir que d’un oeil !
Paix à Tous
Par Admin (Admin) le vendredi 15 décembre 2006 - 19h30: |
Par Sarel (Sarel) le vendredi 15 décembre 2006 - 17h59: |
Cher Mr Bekhor dans l'antiquite au temps des rois d'israel et de judee le prophete essayait de prevenir .
On sait qu;il avertissait toujours quelques annees a l'avance .
On ne l'a jamais ecoute jusqu'au moment de la catastrophe .Et alors c'etait trop tard
On ne voulait pas l'entendre parce que on ne le croyait pas .Il derangeait en quelque sorte
le pouvoir !1
On pense toujours que cela ne peut pas se renouveller .Et pourtant !
Bien a vous sarel !
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le vendredi 15 décembre 2006 - 17h56: |
Hag Ourim Sameakh , mais pour que la fete soit entiere , nous exigeons le retour de nos soldats !!! Allumons une bougie d espoir , pour le retour de Guilaad , Oudy et Eldad
http://my.ynet.co.il/jewishagency/
Par Maurice (Maurice) le vendredi 15 décembre 2006 - 11h11: |
i on commence à jouet avec le nucleaire le monde multipolaire sautera vers l'Apocalyste.Il y a assez d'Iraniens pret à faire sauter cet arrieré comme sont tous les populistes de tout bord Ces Iraniens instruits n'attendent que l'aide pour prendre le pouvoir et pour demontresr aux Islamistes populistes que la route n'est pas libre pour leur folie
Par Braham (Braham) le vendredi 15 décembre 2006 - 14h13: |
Par Moshébé (Moshébé) le vendredi 15 décembre 2006 - 12h51: |
b
Par Moshébé (Moshébé) le vendredi 15 décembre 2006 - 11h50: |
b
Par Bekhor (Bekhor) le vendredi 15 décembre 2006 - 11h33: |
BRAVO PIERRE BESNAINOU
Face aux vociférations de l'Iran, l'Europe doit montrer son courage, par Pierre Besnainou
Par Pierre Besnainou, président du Congrès juif européen.
Publié le 15 décembre 2006
«Israël va bientôt disparaître. » Telle est donc la dernière menace de Mahmoud Ahmadinejad. Il ne se passe plus un jour sans que le président iranien ne s'attaque au peuple juif, à sa mémoire, ou à son État. Il y a peu, il orchestrait un concours d'humour sur la Shoah. Chacun appréciera. À ce propos, l'humour français fait fureur au pays des mollahs qui vient de décerner le second prix de cette funeste compétition à l'un de nos concitoyens...
Rappelons simplement ce que chacun sait : le président iranien est tout sauf un marginal, il est à la tête d'une nation de 70 millions d'habitants sur le point de disposer de l'arme nucléaire. Son ambition a le mérite d'être claire : nettoyer la Terre de l'État juif, comme Hitler souhaitait nettoyer la Terre des Juifs.
Pour mener à bien cette mission, l'Iran a essaimé au Proche-Orient de nombreuses filiales où la haine le dispute à la sauvagerie. Formé à la même école que son compère persan, Hassan Nasrallah, leader du Hezbollah, a ainsi pu affirmer : « Si tous les Juifs se rassemblaient en Israël, cela nous épargnerait d'avoir à les chercher partout dans le monde. » (Daily Star, Beyrouth, 23 octobre 2002).
Que l'on ne nous dise pas que ces propos ne doivent pas être pris au sérieux, qu'il s'agit de provocations, que leurs auteurs sont des fous. Pas à nous. Pas sur notre Vieux Continent qui porte encore en lui les stigmates de la haine. L'Europe a connu la guerre, la tragédie et la barbarie et elle sait, aujourd'hui plus qu'hier, à quelles horreurs mènent des discours comme ceux du président iranien et de ses affidés, et avec quelle bonne conscience ceux qui prononcent de telles paroles aujourd'hui se mettront à tuer des Juifs demain. Le devoir des chefs d'État européens est de porter haut et fort cette mémoire, en faisant barrage, sans silence, sans faiblesse et sans lâcheté, à ceux qui menacent l'avenir de l'humanité. Et de dénoncer ces propos pour ce qu'ils sont : une incitation au génocide sanctionnée par la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide de 1951 (article 3).
Il serait grand temps que le Conseil européen, qui se réunit jeudi et vendredi, dénonce dans les termes les plus forts le comportement innommable des dirigeants iraniens, et qu'il adopte les sanctions les plus vigoureuses à leur égard.
Oui, la civilisation perse a été une grande civilisation. Oui, tous les Iraniens ne soutiennent pas les errements de leur président. Et c'est justement par respect pour cette histoire prestigieuse et par solidarité avec les dissidents que la communauté internationale doit faire preuve d'une fermeté sans faille. Aussi, tant que le régime iranien maintient la même orientation, la dignité et l'honneur commandent que l'on ne discute pas avec lui. Ou qu'au moins, puisque, paraît-il, « on doit » parler avec tout le monde, on ait la décence de le faire à l'abri des caméras et avec le secret qu'exigent les missions infâmes.
Au lieu de cela, l'été dernier, le ministre français des Affaires étrangères avait jugé opportun de souligner « le rôle stabilisateur » de la République islamique d'Iran, lors d'une rencontre l'immortalisant aux côtés de son homologue iranien, Manouchehr Mottaki. Ce dernier comparait, il y a quelques jours, le sionisme au nazisme en ouverture de la conférence internationale sur l'Holocauste réunissant à Téhéran l'ensemble de la communauté négationniste. Cette initiative est effroyable, elle doit se lire à la lumière des déclarations appelant à la destruction de l'État hébreu. Le XXe siècle n'aurait donc été pour le peuple juif qu'une page blanche...
Quand décidera-t-on que le temps de la diplomatie est passé ? Jusqu'à quand l'Europe se prêtera-t-elle au jeu du régime iranien ? Ce dernier a beau piétiner la mémoire de l'humanité, proférer des discours de haine proprement inouïs, narguer la communauté internationale, il ne suscite que de vagues condamnations de principe. La résignation paraît donc l'avoir emporté sur l'indignation. On connaît la suite : la résignation mène à l'indifférence, et l'indifférence à la passivité. Voilà pourquoi, dans le cas présent, la résignation est impossible et l'indifférence coupable : coupable à l'endroit d'Israël et du peuple juif, coupable pour la stabilité régionale et la paix mondiale, coupable, enfin, à l'égard des générations futures.
Fermons les yeux l'espace d'un instant et plaçons-nous en 1938 à la veille de la tragédie. Supposons que nous connaissions les événements tragiques qui allaient se dérouler dans le monde, quelle énergie et quels efforts n'aurions-nous pas déployés pour les éviter ?
À présent, il est temps d'ouvrir les yeux.