Par Francois (Francois) le jeudi 04 novembre 2004 - 18h47: |
Les israéliens parlent aux français présumés
Le torchon des lepenistes de gauche, l'Immonde, qui en passant, n'a même pas daigné rapporter le dernier attentat de Tel-Aviv à l'heure où son idôle se fait soigner aux frais du contribuable français, a décidé de publier un point de vue de Silvan Shalom. Il faut qu'ils fassent semblant de ne pas être antisionistes et de ne pas manipuler l'information en ne donnant la parole qu'à un seul camp. Donc, pour se préserver, ils de temps à autre un sioniste dire ce qu'il a sur le coeur. Ca ne les dérange pas tant que ça reste à dose homéopathique.
Le partenariat américano-européen est crucial, par Silvan Shalom
Les responsabilités de l'Europe en tant que partenaire des Etats-Unis pour la défense des valeurs démocratiques ne peuvent que s'accroître.
Les Américains sont allés voter mardi sur fond de débat, à l'intérieur comme en dehors du pays, sur leur politique étrangère. C'est donc le moment de nous souvenir de la contribution unique des Etats-Unis à la paix et à la stabilité du monde durant l'ère moderne.
Depuis la seconde guerre mondiale, les Etats-Unis ont conduit l'effort commun des démocraties pour promouvoir les valeurs universelles de liberté, de chance pour chacun, de tolérance et d'égalité dans une société globale. Ces valeurs transcendent les continents et les océans, les langues et les cultures. Elles représentent une contribution essentielle pour ce monde plus sûr, plus stable et plus prospère que nous espérons tous.
Il aura fallu un leadership fort et courageux pour promouvoir et protéger ces valeurs face à des idéologies radicales, du communisme au fondamentalisme extrémiste islamique, dont l'essence commune est le rejet tyrannique des libertés fondamentales. Les Etats-Unis ont fourni ce leadership. Depuis deux générations, ils ont été le pivot de la riposte internationale à la tyrannie et à l'oppression. Bien entendu, l'Amérique ne peut pas faire cela seule.
Dans le monde globalisé d'aujourd'hui, il n'y a pas de place - ou de potentialité - pour qu'une puissance, y compris une superpuissance, puisse définir et appliquer seule des solutions à ces défis.
L'Amérique a besoin de l'Europe et de tous les autres pays engagés par les valeurs de démocratie et de liberté pour être solidaires et œuvrer ensemble pour s'assurer que celles-ci soient sauvegardées.
Pourtant, l'Europe a autant besoin de l'Amérique que l'Amérique de l'Europe. L'Europe est autant menacée aujourd'hui par la tyrannie du terrorisme et du fondamentalisme radical que les Etats-Unis, la Russie, Israël, l'Indonésie ou la Turquie. Elle ne profite pas moins des engagements de l'Amérique que les autres, et peut-être même plus. D'ici, en Israël, il est parfois atterrant de voir comment ces vérités fondamentales se perdent dans un barrage de sentiments et de vitriol antiaméricains.
Diverger sur des tactiques ou des politiques spécifiques est, bien entendu, légitime. Mais nous devons tous faire attention que ces divergences n'obscurcissent pas la convergence fondamentale d'intérêts et d'objectifs que partagent tous les membres de l'Alliance atlantique et tant d'autres pays pour la promotion de la démocratie dans le monde. Alors que les Américains votent, il est rassurant de savoir que, quel que soit le vainqueur, ce sera une victoire pour les valeurs de démocratie et de liberté et que l'Amérique continuera de conduire les efforts du monde pour la paix et la démocratie.
Personne ne peut nier les succès de ce leadership. Le rideau de fer s'est écroulé il y a déjà quinze ans. Depuis sa disparition - la plus grande avancée de la démocratie depuis la seconde guerre mondiale -, le monde a vu les idées et les valeurs de la démocratie s'étendre comme jamais auparavant.
Simplement, au cours des dernières années, nous avons assisté à des changements géopolitiques positifs de l'Afghanistan à la Libye, tandis que les droits démocratiques et la nécessité de véritables réformes s'enracinaient, lentement mais sûrement. Aujourd'hui, des citoyens ordinaires venus des quatre coins du monde réclament leur part des fruits de la démocratie - des dirigeants responsables, des chances économiques et des libertés individuelles -, les droits de la femme et la liberté de choix.
En dépit des difficultés actuelles en Irak, le renversement de Saddam Hussein a aussi replacé ce pays, et l'ensemble du Proche-Orient, sur le chemin d'une démocratie qui, à long terme, offre le meilleur espoir aux peuples de la région. En même temps, le champ d'action du réseau terroriste mondial se réduit chaque jour. Il y a aujourd'hui moins de régimes derrière lesquels les terroristes peuvent se cacher, où ils peuvent installer des camps d'entraînement, d'où ils lancent leurs attaques ou qui leur offrent un soutien tactique. Les groupes terroristes sont identifiés et isolés, leurs fonds interceptés et leurs réseaux affaiblis.
Le leadership américain pour la paix au Proche-Orient est aussi évident. Ce fut le président Jimmy Carter qui se tint derrière le premier ministre israélien, Menahem Begin, et le président égyptien, Anouar El-Sadate, quand ils signèrent l'accord de paix historique de 1978. Ce fut le président George Bush senior qui convoqua la conférence de paix de Madrid en 1991. Et le président Bill Clinton qui soutint les défunts Hussein, roi de Jordanie, et le premier ministre Itzhak Rabin en 1994, quand la Jordanie devint le second pays arabe à signer un traité de paix avec Israël.
L'Amérique joua aussi un rôle central pendant les négociations d'Oslo, et elle continue de jouer un rôle unique et irremplaçable dans les efforts diplomatiques pour mettre fin aux quatre longues années de campagne palestinienne de violence, afin que les pourparlers de paix puissent reprendre.
Alors que l'Amérique est créditée, à juste titre, pour son soutien affirmé à Israël, il serait faux d'y voir quoi que ce soit d'hostile ou de contraire aux intérêts palestiniens. Quand les Etats-Unis, avec tous les membres responsables de la communauté internationale, condamnent les attentats-suicides palestiniens qui se succèdent, ils ne le font pas seulement dans l'intérêt d'Israël, mais aussi des Palestiniens.
L'effort conjoint des Etats-Unis, de l'Union européenne et d'autres acteurs internationaux en vue de mettre un terme au terrorisme et d'encourager un bon gouvernement et des réformes est fait en faveur des droits et des aspirations légitimes des Palestiniens, non contre eux. Ce n'est qu'ainsi que l'on pourra parvenir à la paix et que le monde pourra devenir un lieu plus sûr et meilleur pour tous.
Israël, pour sa part, demeure engagé à parvenir à la paix et à un accord durable avec ses voisins palestiniens. Nous sommes prêts à nous asseoir avec n'importe quel dirigeant qui viendra à la table de négociations en rejetant le terrorisme et avec le désir sincère de résoudre nos différends et de vivre en paix côte à côte.
Ce qui a tragiquement manqué du côté palestinien est un leadership responsable et courageux qui rende cette paix possible. Semaine après semaine, mois après mois, année après année, la cause palestinienne a été minée par l'échec de ses propres dirigeants à reconnaître que c'était le terrorisme qui était leur ennemi, pas Israël. Que leur intérêt n'était pas de perpétuer la notion que les Palestiniens étaient des victimes mais de leur donner la possibilité de gérer leurs propres affaires. Et que la diplomatie et le dialogue étaient les seuls moyens d'aller de l'avant, non pas l'encouragement à la violence et le terrorisme.
Il n'est pas seulement ironique, mais amèrement tragique, que les dirigeants les plus souvent critiqués au Proche-Orient ne soient pas ceux des régimes totalitaires ou terroristes ou les violateurs en série des droits de l'homme, mais les Etats-Unis et leur rôle dans l'arène internationale. La charge de la preuve est, néanmoins, entre les mains de ceux qui défient les Etats-Unis et leurs alliés. Ils doivent montrer au monde - et tout particulièrement à leurs propres peuples - qu'ils ont de meilleures réponses, et de meilleurs moyens de faire avancer leurs intérêts. Jusqu'à présent, ceux qui rejettent les valeurs et les libertés inhérentes à la démocratie ne peuvent montrer comme résultats que destruction et stagnation nationale.
Nous n'avons en effet qu'à nous tourner vers l'Europe pour voir les immenses possibilités ouvertes à chaque citoyen, une fois les politiques militantes et agressives abandonnées au profit de la tolérance, de la coopération et des échanges. La capacité qu'a l'Europe à surmonter ses propres conflits et à se doter d'institutions et de libertés collectives démocratiques est la preuve du pouvoir constructif et créateur des valeurs et des idéaux démocratiques. Ses réalisations dans tous les domaines montrent clairement la vitalité et la valeur inhérente - pour l'humanité en général - des efforts en faveur de la paix et de la démocratie.
Tandis que l'Europe continue de consolider son union, ses responsabilités en tant que partenaire des Etats-Unis pour la défense des valeurs et des aspirations démocratiques à travers le monde ne peuvent que s'accroître. Ce partenariat américano-européen est crucial pour le succès de la bataille globale contre les ennemis de la tolérance et des libertés individuelles qui sont au cœur de notre mode de vie. Le leadership américain au cours des dernières décennies peut et doit nous servir à tous d'exemple au moment où nous cherchons à faire face aux défis de notre génération afin de réaliser les espoirs de la suivante.
Silvan Shalom est vice-premier ministre et ministre des affaires étrangères d'Israël
-------------------------------
Même si la plupart des arguments développés par Silvan Shalom sont intéressants, il n'en demeure pas moins que son exposé est truffé d'erreurs.
La première erreur de Silvan Shalom, la plus tragique, est de tenter d'argumenter de manière rationnelle avec ces cinglés décadents qui ont renoncé depuis longtemps à toute rationnalité pour se réfugier dans la mythomanie et le fantasme. En fait, Silvan Shalom commet une erreur symétrique de celle de la gauche israélienne qui considère qu'au fond les arabes sont des israéliens juste un peu différent car portant un keffieh. Silvan Shalom considère les chirakailles et les lepenistes de gauche comme des israéliens (portant eux-aussi le keffieh par-dessus le béret) qui seraient dans l'erreur.
La deuxième erreur de Silvan Shalom est de leur parler de démocratie. Pour le chirakaille de base comme pour le lepeniste de gauche moyen , la démocratie n'est pas une valeur positive, bien au contraire. Les pseudo-nationalistes français bavent devant les arabes car ils sont justement fascinés par l'autocratie des dictatures arabes. D'ailleurs, ni les gaullistes, ni les souverainistes, ni les lepenistes n'aiment la démocratie. Ils s'accrochent de leur mieux à leur semi-démocratie jacobine dans laquelle il n'y a pas de liberté d'opinion réelle et qui ne garantit pas réellement les droits des individus face au monstre étatique. De leur côté, les lepenistes de gauche, qui n'ont jamais été des démocrates, rêvent d'instaurer leur crapuleuse dictature. Enfin, pour les bobos post-modernes perdus dans le relativisme moral, la démocratie n'est pas fondamentalement supérieure à la dictature.
La troisième erreur de Silvan Shalom est de leur parler de liberté. Ces connards sont résolument hostiles à la vraie liberté telle qu'elle existe en Israël ou aux Etats-Unis car la vraie liberté est un poison mortel pour le système autoritariste auquel ils s'accrochent comme des morpions.
La quatrième erreur de Silvan Shalom est de faire référence aux valeurs de l'occident alors que les chirakailles et les lepenistes de gauche vouent une haine implacable à ces valeurs. De fait, les lepenistes de gauche sont voués corps et âmes à la destruction de la société bourgeoise, quant aux chirakailles et assimilés, ils haïssent ces valeurs car elles incarnent une modernité qu'ils sont incapables d'atteindre et un monde qu'ils sont trop cons pour maîtriser. Sur ce point, les précédents sont rejoints par les post-modernes qui, manipulés par les précédents, voient dans la civilisation occidentale la source de tous les maux et sont atteints par la haine de soi.
La cinquième erreur de Silvan Shalom est d'essayer de faire appel à leur esprit de résistance. Les fils de pétainistes sont déterminés à persévérer dans la voie choisie par papa et/ou grand-papa avec les nazis puis avec les communistes. Quant aux descendants des rouges qui auraient résisté, même si on ne peut pas leur ôter cette noblesse en dépit de leur collaboration initiale avec les nazis, ils veulent justement affaiblir l'esprit de résistance de l'occident afin que les arabes détruisent à leur place cette société bourgeoise qu'ils haissent et qu'ils n'ont pas les couilles d'essayer de détruire par eux-mêmes. D'ailleurs, si certains des lepenistes de gauche sont issus d'une tradition résistante, ils ont collaboré avec l'URSS donc pour eux, la collaboration n'a pas de connotation négative. Sur le même sujet, il est illusoire de faire appel à l'esprit de résistance des post-modernes qui, englués dans leurs criminelles utopies pacifistes, imaginent que tout se résoud par le aimons-nous les uns les autres et qui préfèrent être verts plutôt que morts.
La sixième erreur de Silvan Shalom est d'essayer de désarmer leur hostilité vis à vis des States et de leur démontrer qu'ils ont une influence bénéfique en prenant notamment pour exemple la chute du Mur Berlin. Tout ces abrutis haïssent cordialement les Etats-Unis justement à cause de leur influence bénéfique. Les lepenistes de gauche ne se remettent pas de la destruction du communisme qui a démontré de manière incontestable que leur idéologie n'était pas viable. Les chirakailles qui vivent dans la nostalgie du temps où la France était une grande puissance deviennent hystériques dès que l'on évoque la puissance des Etats-Unis car cela leur fait toucher du doigt ce qu'ils considèrent comme un abaissement de la France et détruit leur mythologie. D'ailleurs, il est clair que les dirigeants français s'évertuent à remplacer l'Union Soviétique et donc évoquer l'échec de cet puissance ne peut que leur déplaire fortement.
La septième erreur de Silvan Shalom est de vouloir défendre la cause d'Israël auprès de ces détritus. Ces gens veulent la destruction d'Israël un point c'est tout. S'ils agissent de la sorte, ce n'est pas par méconnaissance des réalités du terrain qu'ils connaissent très bien, c'est parce qu'ils supportent le projet des arabes. Leurs discours ne sont destinés qu'à donner une apparence de moralité à leurs intentions criminelles.
La huitième erreur de Silvan Shalom est de leur dire que les Etats-Unis ont toujours oeuvré à la paix entre Israël et les arabes (en passant on peut contester certains aspects de la politique américaine, mais jusqu'à preuve du contraire, les dirigeants américains n'ont jamais voulu nuire à la sécurité d'Israël). Tout ces braves gens savent bien que c'est la réalité mais justement, c'est une réalité dont ils ne veulent surtout pas car elle empêche leurs alliés moyen-orientaux d'atteindre leurs objectifs.
La neuvième erreur de Silvan Shalom est de mal formuler le problème. Comme les américains, d'ailleurs, Silvan Shalom emploie le mot Europe pour désigner la France et les autres pays européens anti-américains. Il s'agit d'une approximation sémantique dangereuse qui revient à dire que la Pologne, l'Italie, la Grande-Bretagne et les autres nations pro-américaines ne sont pas européennes. En conséquence, cela revient à légitimer le discours de la propagande chirakaille qui prétend que ces pays seraient des caniches des américains. (En passant, il est assez piquant d'entendre les fils de pétainistes et de pseudo-résistants gaullistes traiter les enfants de Churchill de collabos, on ne peut manquer d'être époustouflé devant autant d'arrogance et de fatuité).
La dernière erreur de Silvan Shalom est d'affirmer qu'une alliance euro-américaine est nécessaire pour vaincre le terrorisme arabe. Or, il n'en est rien. La non participation de la France, de la Belgique, de l'Espagne et de l'Allemagne ne change pratiquement pas les données du problème. Ces pays n'ont pas la possibilité de déployer sur le terrain des forces qui modifient globalement la donne. D'autre part, ces pays n'ont qu'une possibilité limitée d'agir politiquement sur le conflit. La France peut certes continuer à user de son pouvoir de nuisance mais son incapacité à peser sur le cours des choses démontre que son pouvoir de nuisance est quasi-nul dans la durée. Le flop retentissant de leur minable manoeuvre avec Yasser le démontre. Enfin, il est assez improbable que l'Allemagne reste durablement alignée sur la position anti-américaine des français et il est certain que la Russie ne se rapprochera jamais de la France car Vladimir est un patriote pragmatique qui ne sacrifiera pas les intérêts de son pays par idéologie et qui est de toute façon notoirement francophobe.
Silvan Shalom a cependant raison sur un point: il faut affirmer ce que nous sommes et ce en quoi nous croyons.
Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 04 novembre 2004 - 18h54: |
Cher M. Halfon,
Je cherche l'adresse et une carte de la synagogue de Sousse et savoir s'il y'auraait un minyan pour vendredi soir, shabbat matin le 26-27 novembre?
Qui pourrait me dire?
Veuillez agreer mes sentiments les meilleurs.
Andrew M Rosemarine, avocat
United Kingdom
Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 04 novembre 2004 - 18h54: |
SCIENCES DE LA VIE, SCIENCES DE LA MORT
D’un coté, les sciences de la Vie ...
ARAFAT est malade, il a une leucémie, un cancer ou autre maladie grave. Il souffre, et on le prend en considération chez ceux qui ont des milliers de raisons de le voir mourir dans les pires douleurs. Pourtant, Ariel Sharon et le gouvernement israélien ont proposé à l’Autorité Palestinienne de soigner Arafat partout où il le voudrait ; en Israël, dans les territoires, ou ailleurs.
Logiquement, Yasser Arafat a préféré consulter le « Docteur Chirac », son ami de … ans qui l’a sauvé de l’oubli où pratiquement tous le rejetaient. Evidemment, le malade pourra voir les beaux habits et bijoux que sa femme Souha, qui reçoit 50.000 dollars par mois, dépense sans compter dans les magasins de luxe à Paris. Quelle femme à Gaza, Naplouse ou Ramallah peut ainsi exhiber le luxe de la femme du Raïs ? Avec cette somme, combien d’enfants affamés pourrait-on nourrir au lieu de les envoyer se faire exploser au Shouk Hacarmel à Tel Aviv ?
Et pourtant, les sciences de la Vie aux couleurs bleues et blanches sont là même pour soigner (Aman) Arafat ! Un médecin juif pour soigner un terroriste arabe, comme toujours.
Sciences de la Vie encore, l’électronique de haut niveau, qui est utilisée pour les clôtures de sécurité à travers la pays. Elles ont montré une grande efficacité, malgré des attentats à Beer-Sheva et à Tel-Aviv. Electronique de patrouille pour protéger la Vie des israéliens et calmer les palestiniens d’ardeurs Mortelles, le plus souvent.
Et de l’autre coté, sciences de la Mort …
Utiliser la balistique, la physique et la chimie pour créer des roquettes « artisanales », des ceintures d’explosifs pour envoyer à la Mort hommes, femmes et enfants. Au lieu d’utiliser ces sciences pour améliorer la Vie des palestiniens et des israéliens voisins, la science de la Mort progresse.
Les médias, télévisions et radios, sont des vecteurs de haine éduquant l’enfant palestinien depuis la maternelle à tuer du juif. Le « Chahid », le martyr, est glorifié. Il est LE symbole de la réussite du palestinien moyen.
L’Autorité Palestinienne a pris des engagements internationaux jamais respectés, personne, à part les israéliens et François Zimmeray, n’y trouvent à redire.
Lorsque cette haine médiatique s’exporte à Paris, elle donne des agressions verbales et / ou physiques, depuis la simple insulte « sale youpin » jusqu’à la profanation de cimetières.
Sciences de la Mort, sciences de la haine, sciences de la destruction de l’humanité …
Rêvons qu’un jour proche, un nouveau leadership palestinien puisse prendre le relais du Raïs agonisant pour conduire son peuple à prendre le virage significatif de la Paix.
Rêvons pour que ces scientifiques de la Mort puissent enfin, et définitivement, se transformer en apôtres des sciences de la Vie.
Cordial Shalom, Informatiquement Votre.
Bernard MUSICANT,
Président d'Honneur de Connec'Sion
Par Shafi (Shafi) le jeudi 04 novembre 2004 - 18h49: |
J'espère que les palestiniens ne convaincront pas le peuple, que Arafat est mort des suites de la réclusion que lui ont fait subir les Israéliens.
Si tel était le cas, toute la région va être à feu et à sang, juste après les funérailles.
Je pense que c'est la plus grosse bêtise qu'a faite Sharon, en prenant la décision de l'isoler.
Je croyais qu'il connaissait les Arabes, il n'en est malheureusement rien.
Par Email (Email) le jeudi 04 novembre 2004 - 18h44: |
Michel Gurfinkiel
et
L’INSTITUT JEAN-JACQUES ROUSSEAU
sont heureux de vous inviter à une rencontre avec
I R S H A D M A N J I
Productrice et animatrice-vedette de la télévision canadienne
Personnalité féministe
Lauréate du Prix de la Valeur Simon Wiesenthal
Auteur de "Musulmane mais libre"
(Grasset-Fasquelle ed.)
Le lundi 8 novembre 2004
à 20 heures 30 précises
À la Mairie du Ve Arrondissement
Place du Panthéon, 75005 Paris
ENTREE SUR INVITATION SEULEMENT
RSVP obligatoire: contact@jjri.org
ou par téléphone au 06 08 74 25 24
~ ° ~
Ecrivain, journaliste, personnalité originale et incontournable de la télévision canadienne (elle anime des émissions à caractère social qui connaissent un énorme succès, dont "Queertelevision" où les homosexuels ont la parole. ), Irshad Manji a lancé le "Projet Ijtihad" pour "retrouver le sens de l'espris critique dans l'Islam."
En 1972, Irshad Manji a 4 ans lorsqu'elle fuit, avec sa famille musulmane d'origine indienne, l'Ouganda d'Amin Dada, et émigre au Canada, près de Vancouver. Après s'être rebellée contre les écoles coraniques où on veut l'enfermer, Irshad fait de brillantes études, qu'elle vit comme un passeport pour la liberté.
"Musulmane mais libre" est son deuxième livre. Lettre ouverte aux Musulmans et non-Musulmans du monde entier où, avec vigueur et clairvoyance, l'auteur appelle chacun à s'interroger sur l'Islam traditionnel. En termes crus, provocateurs et très personnels, l'auteur déterre les inquiétants fondements de l'Islam pratiqué actuellement : clivages tribaux, antisémitisme, et acceptation aveugle du Coran.
Irshad Manji explique comment, concrètement, l'Islam pourrait être réformé pour garantir le respect des minorités religieuses et encourager le débat d'idées.
"Musulmane mais libre" se veut un cri de ralliement pour un avenir sans fatwa.
Irshad Manji nous parlera de la nécessaire libéralisation de l'Islam, qui passe par la libération de la femme musulmane: rappel indispensable après l'assassinat cette semaine du cinéaste néerlandais Theo Van Gogh.
Par Emma (Emma) le jeudi 04 novembre 2004 - 18h40: |
Yasser Arafat serait cliniquement mort
JERUSALEM (Reuters) - Yasser Arafat est cliniquement mort, rapporte jeudi la deuxième chaîne de télévision israélienne citant des sources françaises.
Des informations contradictoires circulent jeudi à Paris et en Cisjordanie sur l'état de santé du président palestinien, qui a été placé mercredi soir dans le service de soins intensifs de l'hôpital Percy, à Clamart, où il est hospitalisé depuis la fin de la semaine dernière.
Par Albert (Albert) le jeudi 04 novembre 2004 - 18h21: |
Nous……le temps à la Goulette on le tuait…. On ne le laissait pas passer et même s’il y réussissait …On n’en voyait pas l’heure..là bas,
Par Braham (Braham) le jeudi 04 novembre 2004 - 16h07: |
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le jeudi 04 novembre 2004 - 18h17: |
Depeche AFP selon POI Arafat serait mort depuis un moment a Clamart . Ici on parle d une hemorragie cerebrale ... rien n est encore officiel . Par contre le president Chirac s est rendu a Percy voir son protege , lui serrer la main et profiter de son dernier sourire ... quel bonheur !!! Il lui a souhaite d aller mieux ... No comment !!!
Par Albert (Albert) le jeudi 04 novembre 2004 - 17h42: |
Le vieil homme et le serpent.
De ce vieil homme des forêts qui revenait
Dans son home, ses pas traînants sur la neige
Essouffle et fatigué, il vit un serpent gisant
Blesse sur le bord,en contre bas du sentier.
Le vieux, fourbu, ramassa le pauvre reptile
A bout de force, épuisé et presque congelé.
‘Il est mort …’ Se dit il.
Le vieillard, sur son dos un fagot pesant
Eut pitié, et le souleva bien péniblement.
Nul soupir ne s’entendait dans le creux de sa main.
Nul tortillement du rampant agonisant depuis le matin.
Il rentra chez lui. Posa son tas de brindilles.
Sous une couverture, il enveloppa le vil.
Près de la cheminée, il le réchauffa.
Et le veilla.
Des heures durant, l’ancêtre aux aguets
le vieux , plein de compassion le couvait
de son regard bienfaisant.
Deux jours durant, deux nuits patiemment
il surveillait son réveil. Epuise, il s’allongea.
S’endormit.
Le reptile retrouva ses esprits.
Le vieil homme dormait.
Lâche et ingrat, il rampa.
Le fourbe, le lâche, piqua
son bienfaiteur qui trépassa.
Par Shafi (Shafi) le jeudi 04 novembre 2004 - 16h27: |
Henri !
Compare ce que tu écris à ce merveilleux poème de Victor Hugo "Après la bataille".
Le père aurait-il laissé son ennemi mourrir de soif ?
Mon père, ce héros au sourire si doux,
Suivi d'un seul hussard qu'il aimait entre tous
Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille,
Parcourait à cheval, le soir d'une bataille,
Le champ couvert de morts sur qui tombait la nuit.
Il lui sembla dans l'ombre entendre un faible bruit.
C'était un Espagnol de l'armée en déroute
Qui se traînait sanglant sur le bord de la route,
Râlant, brisé, livide, et mort plus qu'à moitié.
Et qui disait: " A boire! à boire par pitié ! "
Mon père, ému, tendit à son hussard fidèle
Une gourde de rhum qui pendait à sa selle,
Et dit: "Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé. "
Tout à coup, au moment où le hussard baissé
Se penchait vers lui, l'homme, une espèce de maure,
Saisit un pistolet qu'il étreignait encore,
Et vise au front mon père en criant: "Caramba! "
Le coup passa si près que le chapeau tomba
Et que le cheval fit un écart en arrière.
" Donne-lui tout de même à boire ", dit mon père.
Par Maurice (Maurice) le jeudi 04 novembre 2004 - 14h52: |
SHAFI PLEURONS ENSENBLE SADATE ET RABIN C'etait le chemin tracé continué par BARAK refusé par le malade de CHIRAC OUI l'histoire theologique est ancienne l'independance juive n'a pas été donné sur un plateau Oui deux meres differentes deux missions donc chacun chez soit donc il a fallu quitté nos terre que vous occupez seul sans etre capable a vivre la diversité Il va falloir accepter d'etre bon joueur en retour On viendra en touriste et vous viendrez aussi en touriste et on fera les etats unis du moyen Orient mais chacun chez lui D'accord pour nous entendre...
Par Henri (Henri) le jeudi 04 novembre 2004 - 14h51: |
Tres mauvaise comparaison.
Comment peut-on comparer les soins donnes a la niece de Khomeini, enfant atteinte de cecite, et cette mascarade autour du rat fat.
Chirac aurait eu au moins la pudeur de fermer sa bouche, car beaucoups de Francais ont honte, mais n'osent pas dire tout haut qu'il y a une limite a la bassesse et aux salamalecs de chirac.
Il y aura beaucoups de gens qui vont pleurer le rat fat.
Vous savez pourquoi?
Parce qu'ils ne font pas partie de la "famille" qui va se partager tous les fonds detournes par le rat fat au detriment des malheureux palestiniens qui crevent de faim.
Par Shafi (Shafi) le jeudi 04 novembre 2004 - 14h02: |
Nous pourrions épiloguer longtemps sur les liens du sang et sur ceux de la terre.
En évoquant le départ des juifs de Tunisie, installés en terre d'Islam bien avant les Arabes, on ne peut pas oublier le sort des juifs des autres pays arabes.
Le conflit qui oppose les juifs aux Arabes remonte à l'Antiquité, même bien avant.
Nous n'évoquerons pas la naissance d'Ismaël et d'Israël, d'un même père mais de mère différente.
Nous ne reviendrons pas sur le droit d'aînesse pris par Jacob à Esaü.
Le juif et l'arabe ne peuvent s'entendre que séparés par une autre puissance.
C'est comme si l'on posait deux piles, l'une face à l'autre, côté négatif.
J'ai toujours adhéré à la création de deux Etats, côte à côte, l'un Israélien l'autre Palestinien.
Pour que cela réussisse, il faut faire des coupes sombres et accepter des sacrifices.
Ces sacrifices, par l'acharnement de l'extrème droite des deux camps, sont réalisés à coups d'attentats et de représailles.
Pour ce qui est du retour des réfugiés, aucun des deux camps n'y croit, et ne peut l'accepter, en particulier l'Israélien, car ce serait la fin de l'Etat d'Israël par la démographie.
Aussi, chaque camp fourbit ses armes, met sur la table des négociations le maximum de pions, pour ensuite marchander en lachant du lest.