Par Shalom (Shalom) le mardi 09 novembre 2004 - 18h39:

Et Wagner, Celine, et autres, faut-il les sublimer?

Arafat aussi etait (Je parle au passé deja) une personne venerée par son peuple, Alors?

Par Citron (Citron) le mardi 09 novembre 2004 - 18h34:

Son père George Adda
Ses fils Karim et Elias Adda
Sa petite-fille Louise
Son épouse
Son frère Norbert Saâda et sa sœur Leïla Adda
Son neveu Mourad Zeghidi
Sa nièce Mériem Zeghidi
Les familles Adda, Scialom, Labaty, Saâda et Zeghidi ont la douleur d’annoncer le décès, à Paris, de

Serge ADDA
(survenu le 6 novembre 2004)

La date de son enterrement à Tunis sera communiquée ultérieurement.
Que Dieu le Tout-Puissant lui accorde Son infinie Miséricorde et l’accueille dans Son éternel Paradis.

Par Bekhor (Bekhor) le mardi 09 novembre 2004 - 18h58:

ALBERT L'erreur est humaine, il n'y a que celui qui ne fait rien qui ne se trompe pas.

Pour les éponges les photos sont prisent à Sfax mais la peche s'est faite à la Goulette.

Le petit comentaire sur les éponges est péché sur le net.

voila tu sait tout "HADJ KLOUF"

J'ai beaucoup d'autres photos interessantes mais je les mettrais à petites doses.

Par Bekhor (Bekhor) le mardi 09 novembre 2004 - 18h53:

EPONGES DE MER DE LA GOULETTE (Tunisie)

L'éponge naturelle de mer que nous connaissons n'est autre que le squelette d'un animal marin appartenant au groupe des spongiaires. Il s'agit d'un des plus primitifs des animaux pluricellulaires. Il est formé de tissus vivants et d'un squelette fait de fibres, ces fibres sont en collagène et tissent un réseau extrêmement dense capable de retenir l'eau. Au fond de l'eau l'éponge a la forme d'une masse noirâtre, entourée d'une peau coriace, percée d'innombrables petits trous: "les pores inhalants" qui permettent l'infiltration de l'eau.

Par Bekhor (Bekhor) le mardi 09 novembre 2004 - 18h48:

C'est une erreur, regarde plutot la photo d'en haut

Par Albert (Albert) le mardi 09 novembre 2004 - 18h38:

Mon cher Bekhor,

J'écris de chez un ami, à moins de mal voir, je serai curieux de savoir où sont les lits en question..? Je vois une charettes à bras, un maraicher, un boucher mais pas de sommiers ni d'oreillers, si tu commences à nous faire des farces, il va falloir que je rénove mon répèrtoire...Sic...

A bientôt.

Par Bekhor (Bekhor) le mardi 09 novembre 2004 - 18h38:

QUI A CONNU CES LITS EN TUNISIE?

Lit traditionnel en tunisie jusqu'en 1905/1915.(musée Dar Djelouli.Sfax)

La hauteur etait situé a environ 1,20 metres, "LA MOUCHARABIEH" (cloison decorative en bois sculté) servait a pouvoir voir de l'interieur, mais de l'exterieur en fermant le rideau de l'entrée on ne pouvait pas voir ce qui se passait à l'intérieur.

Par Shafi (Shafi) le mardi 09 novembre 2004 - 18h25:

C'est exact Maxiton.
Comme Charles Trénet, Maurice Chevalier, et tant d'autres, qui ont collaboré avec les Allemands.
Cette position n'enlève rien à leur talent.
Qu'est-ce qui est plus grave ?
Collaborer avec les Nazis qui ont envoyé aux fours 6 millions de juifs, ou bien chanter sans conviction ?
Je vais encore probablement choquer.

Par Bekhor (Bekhor) le mardi 09 novembre 2004 - 18h17:

HABIT TRADITIONNEL DE LA REGION DE SFAX.

Photo insolite et rare prise en juin 2004.

Vous remarquerez le "KHLEL" (épingle) en argent sur la poitrine coté gauche, celui de droite est invisible, mais ces deux "KHLELS" servent a tenir la "FOUTA" piéce de tissus qui se transforme en habit sur la femme grace aux "KHLELS"

Par Maxiton (Maxiton) le mardi 09 novembre 2004 - 17h31:

oum kalsoum c'est bien cette chanteuse qui avant la guerre des
6 jours chantait :

" edbah, edbah " ?

Par Douda (Douda) le mardi 09 novembre 2004 - 17h14:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Analyse combinatoire de Djlachem, il a toute notre reconnaissance de nous avoir ainsi tendu la perche.

Selon sa déclaration :“la désinformation qui les fait glisser inexorablement vers la bien-pensance”, le corollaire de cette déclaration serait il donc que : “l’information les ferait à contrario glisser inexorablement vers la mal-pensance” ?, ça serait plutôt nouveau comme spécialité Tune ?!?!

Disgusting, traduction : dégouttant, ragoûtant, deg ! De quoi le Millière se plaint il ? Il ne fait que récolter que ce qu’il sème à tous vents, comment peut on imaginer cracher sur son propre pays devant des étrangers, sans se faire vomir et mépriser par ces mêmes étrangers à qui il s’adresse, tout cela pour vendre un bouquin de quatre sous? Remarquez qu’il s’empresse bien de retourner chez lui pour encaisser sa solde de fonctionnaire, payée par les généreux contribuables de son pays, au lieu de s’expatrier pour se mettre à son compte là où il lui plaît de vivre ? Ce qui en dit long sur le courage de ses opinions !

En d'autres temps on aurait dit "Khazouk" ou "5ème. colonne".

Encore : “Quans il s'agit de se retrouver "au chaud" et bien en sécurité dans une communauté de pensée majoritaire, les Juifs, les Anglais ou n'importe qui peuvent s'avérer tout aussi suivistes que des Français qui sont tout de même détenteurs du record mondial de l'unanimisme. “ :
Ce qui veut dire :

“Vouais vous êtes tous des Moutons de Panurge”, mais il oublie de dire que précisément : “C’est lui le chef”!

Wnessou El Douda

Par Bekhor (Bekhor) le mardi 09 novembre 2004 - 15h22:

LES ARCHIVES JUIVES DE STEVEN SPIELBERG EN ISRAEL.

Un site juif et génial a visiter.

http://www.spielbergfilmarchive.org.il/

Par Shafi (Shafi) le mardi 09 novembre 2004 - 13h55:

En ce moment, ARTE, la chaîne franco-allemande, diffuse la biographie des grands chanteurs et grandes chanteuses égyptiens.
Cette semaine, le grand chanteur-compositeur, Mohamed Abdelwahab était à l'honneur.
Le traité sur les religions n'ayant pas trouvé grâce à vos yeux, mais si! Mais si! Je vous propose une histographie des artistes qui ont bercé la jeunesse TUNE.
Nous commencerons par la muique Egyptienne, puis nous aborderons, si vous le voulez bien, le souvenir de chanteurs ou orchestres français, américains.
A nos souvenirs!

Abdelwahab, Mohamed

Abdelwahab, Mohamed (1907-1991), chanteur, compositeur, luthiste égyptien, considéré comme l’un des principaux artisans du renouveau de la musique arabe.
Né en Égypte, Mohamed Abdelwahab chante dans les rues du Caire où il est remarqué pour sa voix. Il participe rapidement à des spectacles mêlant théâtre et musique. Il décide d’apprendre la musique traditionnelle auprès des cheikhs. Le poète Ahmed Chowqi le découvre, lui écrit des textes et le fait connaître dans la haute société égyptienne. Son succès est immédiat. Sa voix empreinte de pureté et de sincérité l’impose comme un chanteur important de la nouvelle génération. Il prend dès lors ses distances avec la tradition tout en restant fidèle aux musiques arabes classiques. Sa renommée allant grandissant, il devient auteur et est considéré comme « un monument de l’Égypte moderne » (A. Hachlef).
La diffusion de ses musiques sur les ondes radio contribue à sa grande popularité et lui permet de faire école dans le renouveau de la musique arabe. Il écrit pour de nombreux chanteurs et chanteuses, notamment pour Oum Kalsoum, la diva de la musique arabe, ainsi que pour des comédies musicales égyptiennes.
Grand penseur de la musique arabe moderne, il est une vedette dans tous les pays musulmans et fait de nombreuses tournées dans le monde entier, notamment à Paris et en France.
À sa mort, l’Égypte lui a réservé des funérailles nationales, rendant ainsi hommage à un grand nom de la musique qui a su redonner un souffle nouveau à la musique traditionnelle arabe en y introduisant de nouvelles mélodies empreintes de joie et d’optimisme.
Principaux succès:
• 1944 - Cleopatra (Répertoire classique)
• 1954 - Al nahr el Khaled (Répertoire classique)

Par Shafi (Shafi) le mardi 09 novembre 2004 - 13h31:

Les bijoux de la Castafiore.
Quel spectacle affligeant !
La "famille" qui se déchire, pour se partager l'argent du peuple !
De l'argent détourné qui alimentait des comptes bancaires, en Suisse et en France, en particulier.
Cet argent venu de pays européens, qui devait servir à construire des infrastructures, des hôpitaux, des écoles, des routes et des aérodromes.
Egalement, de l'argent venu du chantage opéré par les organisations terroristes, auprès des commerçants.
D'un côté une femme qui n'a pas même jeté une pierre contre un autobus, qui se prévaut combattante, activiste.
De l'autre des terroristes en col blanc, qui veulent s'en mettre plein les poches, avant les retours de bâtons.
Et la France dans toute cette mascarade, qui se cache derrière le secret médical (sic), pour se démarquer de plus en plus et n'être pas contrainte d'annoncer que le macchabée est bel et bien froid.