Par Shalom (Shalom) le mardi 09 novembre 2004 - 20h51: |
Bien sûre Albert , tu as compris mes propos.
Donc toutes les histoires actuelles, et La Goulette d'aujourd'hui, je m'en fiche pas mal.
Shalom
Par Albert (Albert) le mardi 09 novembre 2004 - 20h28: |
Il est évident Shalom que cette Tunisie d'aujourd'hui n'interresse plus personne.
Tu regrette la nostalgie d'un pays qui t 'a vu naitre certainement si je comprends ton propos.
Malich, qu'importe, l'important comme nous le dit les paroles dans une certaine chanson d'Enrico...'Nous emportons malgrès nous un peu de terre sous ses talons...!'
C'est de cette petite terre, si infime que nous parlons presque tous depuis longtemps. Déjà.
Et qu'il faut garder car pour la transmettre c'est une autre paire de manche.
RM.
Shalom à bientôt.
Par Albert (Albert) le mardi 09 novembre 2004 - 20h09: |
Si c'est son DESTIN pouquoi pas???
Par Shalom (Shalom) le mardi 09 novembre 2004 - 19h33: |
J'ai plus de 50 ans et j'ignore ces titres,surtout que l'Arabe Egyptien(la langue), m'etait completement inconnue.
Les seuls titres que je connaisse ce sont les chansons de :
Ali Riahi,Raoul Journo et les autres Chanteurs Tunisiens.
Je n'ai pas mis les pieds en Tunisie, depuis mon depart. La Tunisie d'aujourd'hui ne m'interresse plus, et ce n'est pas de cette Tunisie ,ce dont j'ai un peu de nostalgie qui m'interesse.
Par Citron (Citron) le mardi 09 novembre 2004 - 19h23: |
je pense que c ce soir que Arafat sera débranché
c la nuit la plus sainte du calendrier musulman: la nuit du destin
je suis convincu qu'il est déja décédé depuis quelques jours et qu'ils ont juste voulu le garder jusqu'a cette date.
que l'éternel l'acceuil dans sa miséricorde
Par Albert (Albert) le mardi 09 novembre 2004 - 20h06: |
_ J'ai beaucoup d'autres photos interessantes mais je les mettrais à petites doses.
DE HAI BEKHOR...
Je les mettrai à petites doses mais pas par grandes liasses, il vaut mieux que nous les ingurgitions par petites mesures tes négatifs que par grandes bouchèes positives.
Tout ce qui se prend lentement par petites pincèes fait moins mal à absorber que de grandes mesurettes.
Tout le monde le sait.
Par Renard (Renard) le mardi 09 novembre 2004 - 19h18: |
Arafat souffre du cancer du...COLON!!!
Par Renard (Renard) le mardi 09 novembre 2004 - 19h08: |
MIEUX VAUT MOURIR DIGNE ET JEUNE QUE TRAITRE ET VIEUX.
Par Shafi (Shafi) le mardi 09 novembre 2004 - 19h52: |
La femme d'Arafat bénéficie de la double nationalité, dont la Française.
Elle seule est en droit de laisser brancher, ou de débrancher, les appareils de réanimation qui le tiennent en vie artificiellement.
Je crois que s'il décède en France, c'est la législatiation française qui fait force de loi.
À nous les petits (plutôt gros) millions.
Par Shafi (Shafi) le mardi 09 novembre 2004 - 19h37: |
Oum Kalthoum (1904-1975), sans doute la chanteuse la plus célèbre du monde arabe du XXe siècle.
Née dans un village de la région du delta du Nil, en Égypte, Oum Kalthoum (transcrit plus précisément Umm Kulthum), de son vrai nom Fatima Ibrahim, fut élevée dans une famille pauvre et fréquenta l'école coranique.
Son père était l'imam du village et interprétait aussi des chants religieux lors des mariages.
À force d'écouter son père enseigner ces chants à son frère pour qu'il pût l'accompagner, Oum Kalthoum finit par les apprendre, elle aussi.
S'étant aperçu qu'elle avait une voix très puissante, son père la fit chanter en public, l'habillant toutefois en garçon pour éviter les commérages auxquels le fait d'oser produire la jeune fille en public risquait d'exposer les siens.
Elle devint la vedette de la famille, fit durant plusieurs années des tournées dans le delta du Nil jusque vers 1923, époque à laquelle la famille décida de lui faire tenter une percée dans le monde lucratif de la musique commerciale au Caire.
En 1928, Oum Kalthoum figurait au rang des meilleurs vocalistes de la ville et signa un contrat d'enregistrement avec Gramophone Records.
Dans les années 1930 et 1940, sa renommée et son autorité artistique ne cessèrent de croître. .
Son style personnel s'épanouit et elle devint célèbre pour ses interprétations émouvantes de la poésie néoclassique arabe, ainsi que des chansons égyptiennes populaires
La révolution égyptienne de 1952, Oum Kalthoum enregistra de nombreuses chansons à la gloire de la nouvelle République et se lia avec le président Nasser.
Elle continua de chanter pour promouvoir la culture arabe et égyptienne.
Dans les années 1960, confrontée à un nouveau public, elle interpréta des chansons d'amour plus simples, alors en vogue chez des vedettes plus jeunes comme Abd al-Halim Hafedh.
En 1964, débuta sa collaboration avec le compositeur Mohamed Abdelwahab ; bien que n'étant pas considérées par les connaisseurs comme la meilleure production des deux artistes, des chansons comme Inta 3omri eurent beaucoup de succès.
Après la défaite égyptienne lors de la guerre des Six Jours de 1967, elle fit une tournée dans le monde arabe, versant au gouvernement égyptien le produit de ses concerts.
Ces voyages prirent la tournure de véritables visites officielles.
À sa mort, après une carrière de plus de cinquante ans, ses funérailles furent considérées comme plus grandioses que celles du président Nasser.
Surnommée " l'astre de l'Orient ", Oum Kalthoum fut sa vie durant célèbre pour sa voix puissante, son timbre aux subtiles modulations et son art d'utiliser la mélodie et l'improvisation pour faire ressortir le sens et l'atmosphère de la poésie qu'elle chantait.
Elle fut un personnage public d'une grande dignité et donna d'elle l'image d'une " vraie " Égyptienne, non corrompue par l'étranger.
Elle enregistra plus de 300 chansons célèbres, dans tout le monde arabe.
Par Albert (Albert) le mardi 09 novembre 2004 - 19h34: |
Le sort de FEU Arafat, tombe t'il sous le coup de la législation française à savoir que seule la femme à le droit ou pas d'autoriser le débranchement des appareils permettant de prolonger une MORT CLINIQUE?????
Par Claudia (Claudia) le mardi 09 novembre 2004 - 19h26: |
En réponse à: "Qui ose critiquer Israël ?"
http://www.lapaixmaintenant.org/article524
Tous les perils, plus la trahison perverse
par Ilan Greilsammer
De facon insidieuse et deroutante, nous assistons a un phenomene pervers a propos duquel je voudrais tirer la sonnette d'alarme.
Ce phenomene date en fait du debut de la seconde Intifada, et il prend une ampleur croissante. Voici que, de plus en plus, dans divers cercles intellectuels et universitaires de gauche, surtout en France, on commence a evoquer l'idee d'"un seul Etat" a la place de deux Etats vivant cote a cote, l'un juif, l'autre palestinien.
De plus en plus, je lis sans y croire, sous la plume de personnes "serieuses" qui soutenaient autrefois la gauche sioniste israelienne, l'idee que, finalement, apres tout et tout compte fait, la creation de l'Etat d'Israel en 1948 etait une erreur, et qu'il faudrait en revenir aux solutions preconisees dans les annees 1920 et 1930 d'un seul Etat arabe a minorite juive entre la mer et le Jourdain...
Dire que l'Etat d'Israel n'a pas de raison d'exister, que cette experience devrait prendre fin n'est plus une parole bannie, c'est quelque chose que l'on ose dire entre personnes de bonne compagnie, comme on ose dire d'autres choses, sur les juifs en particulier.
Cette "nouvelle" attitude des milieux bien-pensants constitue le retour, par la petite porte, de l'equation tristement connue "sionisme = racisme", que l'on croyait a tort jetee dans les poubelles de l'Histoire.
Car ce n'est plus la colonisation des territoires occupes, la violence des colons, les liquidations de dirigeants palestiniens, l'attitude de Tsahal ou la politique execrable de la droite nationaliste israelienne qui sont en cause, mais le fait meme de l'existence de l'Etat juif au Proche-Orient.
D'ou l'engouement - oui, c'est un engouement -, d'ou la fascination de ces milieux intellectuels europeens, et en particulier francais, pour la gauche antisioniste israelienne, dont Michel Warchawski, ancien leader de Matzpen et dirigeant du Centre d'information alternative, est peut-etre le meilleur representant.
Il suffit desormais d'etre antisioniste, a-sioniste, post-sioniste, ou nouvel historien decrivant les massacres perpetres par les juifs durant la guerre de 1948 pour etre recu partout a bras ouverts.
Peu importe que ces antisionistes israeliens ne representent qu'une fraction infinitesimale de la population juive israelienne (combien sont-ils au total ? trente ? soixante ? sur... cinq millions ?) ou que les solutions qu'ils preconisent renvoient aux chimeres les plus delirantes, celles d'un Etat arabe palestinien qui garantirait ses droits a la minorite juive (sic), leurs paroles sont desormais bues avec avidite en dehors - et c'est ce qui est nouveau - des groupes d'extreme gauche.
Exit les Zeev Sternhell, les Eli Barnavi, les Claude Klein, les Yirmiyahou Yovel, les Amos Oz, les A.B. Yehoshoua, les David Grossmann qui representent pourtant ce qu'il y a de meilleur et de plus intelligent dans le camp de la paix israelien.
Desormais on veut entendre les voix de la "vraie" gauche israelienne, la gauche antisioniste : oui, donnez-nous, donnez-nous des gens qui nous diront que les soldats de Tsahal se conduisent comme des nazis et que Jenine, c'est comme Oradour-sur-Glane !
Certes, les positions du Meretz et de La Paix Maintenant (Shalom Arshav) ont encore une petite audience chez les gens de bonne foi et de bonne volonte, ces voix authentiques et porteuses se font encore parfois entendre sur les campus, mais, de plus en plus, on juge la gauche sioniste trop molle, trop passive vis-a-vis de Sharon, et surtout on la trouve beaucoup trop critique envers les Palestiniens, envers Yasser Arafat, le Hamas et les attentats... Quoi, le Hamas est-il vraiment une organisation terroriste ?
Le soutien apporte par ces milieux intellectuels en France aux representants de l'antisionisme le plus debride n'aura strictement aucun effet sur le conflit lui-meme, sur la situation sur le terrain, sur le sort des Palestiniens et les chances d'un retour au processus de paix.
Des personnalites antisionistes comme Michel Warchawski ou Ilan Pappe n'ont strictement aucune audience en Israel, meme pas chez les Palestiniens, qui savent parfaitement ce qu'ils representent dans la realite israelienne.
Il est seulement navrant et triste que la gauche sioniste israelienne, deja ostracisee, condamnee et isolee dans son propre pays par une droite hegemonique et agressive, se voit abandonnee dans son combat au profit de gens qui ne representent strictement rien, mais qui viennent conforter de vieux demons.
* Ilan Greilsammer est professeur de science politique a l'universite Bar-Ilan (Israel)
La reproduction de cet article a ete autorisee par l'auteur.
Article paru dans le Monde daté du 11/09/04
Sources :
http://www.lapaixmaintenant.org/
http://www.2peuples2etats.org/
http://www.gush-shalom.org/english/
Par Shafi (Shafi) le mardi 09 novembre 2004 - 19h16: |
Maxiton, Shalom !
Qui a parlé de sublimer ces vedettes ?
C'est fou comme la passion nous anime.
J'évoque leur carrière artistique, ni plus ni moins, je ne les ai pas vénérés.
Dites-moi les sujets que l'on devrait évoquer, dans un site culturellement TUNE.
Que celui de plus de 50 ans, jure qu'il n'a plus fredonné un air de leur composition.
Enta 3omri ou bien al gamh' ellila, cela ne vous dit rien?
Allez ! Fredonnons tous en chœur.
Par Albert (Albert) le mardi 09 novembre 2004 - 19h03: |
En effet, la culture des éponges est une tradition chez nous.
Elles ont comme caractèristiques d'imbiber naturellement l'eau sale des éviers et de servir aussi comme chiffon pour nettoyer nos ardoises. A cette époque.
En effet comme tu le dis si bien, l'éponge est le squelette d'une éspèce ayant traversèe les âges.
Aujourd'hui les éponges synthès ont remplacè le naturel qui ne reviendra plus au galot.
Merci d'en parler d'un façon spongieuse