Commentaires du 15 Fevrier 2002

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires de Fevrier 2002: Commentaires du 15 Fevrier 2002
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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le samedi 16 février 2002 - 01h41:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le vendredi 15 février 2002 - 19h27:

Monsieur Fernand, je n'aime pas vos insultes a mon egard sur le site. Tout ca peut se dire directement via mon e-mail.
Alors si vous me taxez d'avoir generalise mes propos, je dirais oui.
De toute facon, la reponse ne vous etait pas adressee mais a Citron!
Ca n'est ps la 1ere fois que vous me volez dans les plumes! On me lache SVP!
Je ne vous salue pas.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le vendredi 15 février 2002 - 19h23:

Le prejudice est repare: les patineurs canadiens ont la medaille d'or qu'ils meritaient et Le Gougne, la gourdasse, est viree!
Nao

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Fernand (Fernand) le vendredi 15 février 2002 - 19h20:

Comment, une personne censée, ayant fait des études, faisant partie d’un peuple qui a subi plus que tout autre le racisme issu de l’ignorance, de l’intolérance et de la généralisation des préjugés les plus éculés, peut elle affirmer, sans aucune nuance :
« Les Français n'aiment personne. Ils sont racistes et en ont marre de tous ces immigres! » ?
Peut être est ce tout simplement parce qu’elle sait ce qu’est la diffamation, au sens juridique du terme, et qu’elle ne court pas le risque d’une plainte de la part « des français » en laissant s’exprimer ses plus bas instincts.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Moka (Moka) le vendredi 15 février 2002 - 18h19:

Monsieur Lilo Sion.
Rentré de voyage je mets à jours mes classiques, en lisant tout ce qui s’est écrit sur ce forum.
Je me permets d’attirer votre attention sur la gravité du préjugé hâtif que l’on pourrait avoir, concernant l’affaire BNP/Communauté israélite du Blanc-Mesnil.
Un banquier est "un marchand d’argent", pas un philanthrope, et un client est un client quelle que soit sa religion, son origine ou la couleur de sa peau.
Etes-vous certain que CE client a respecté ses engagements envers son Etablissement financier ? N’écoutez pas une seule cloche, vous n’entendrez qu’un seul son.
Je rejoins totalement ce qu’écrit Madame Tahar-Miller.

Pour vous faire sourire, sans lier les deux événements :
Un homme a refusé de prêter sa brosse à dents à un juif, celui-ci l’a traité d’antisémite.
Vous voyez comme cela est facile !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Moka (Moka) le vendredi 15 février 2002 - 18h04:

Le film de Costa-Gavras, AMEN, et surtout l’affiche, dérangent l’église et l’Episcopat.
Il est démontré en substance, que le pape Pie XII était au courant de ce qui se tramait concernant la Shoa, qu’il n’avait rien fait pour l’empêcher ou pour dissuader Hitler.
Alors on parle de "tronquer la réalité", de "falsifier l’histoire" en un mot de vouloir diffamer la papauté.

Le film de Costa-Gavras – plutôt bien perçu par la critique spécialisée – dénonce la "passivité" de l'Eglise pendant la Seconde Guerre mondiale lors du génocide des juifs et des Tziganes par les nazis. Face aux critiques, le réalisateur a enfoncé le clou, en déclarant que "l'Eglise a accepté que la croix du Christ cohabite pendant plus de dix ans avec le système nazi." Selon lui, l'affiche "n'a aucun caractère délibérément provocant et correspond au problème posé par le film."

Le CRIJF, tout en reconnaissant que l’affiche du film "blesse profondément les fidèles chrétiens", demande qu’une commission d’historiens se mette au travail, pour éclaircir les zones d’hombre de cette époque.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le vendredi 15 février 2002 - 17h42:

Vous avez dit complot ? (info # 011502)

ã Metula News Agency

On m'a demandé plusieurs fois, ces deniers temps, si je considérais qu'il existe un complot français, ou international, de la désinformation anti-israélienne ?

Avant de répondre à cette question, je pense qu'il convient de bien saisir sa signification. Pour qu'il y ait complot, il faudrait que les éléments suivants soient réunis : Il faudrait qu'il existe une organisation secrète œuvrant en vue d'une finalité inavouable. Rapporté en termes de désinformation, cela signifierait qu'une organisation occulte dirigerait en sous-main l'expression médiatique française, afin de porter atteinte à la réputation d'Israël.

Replacée dans ces termes, nous sommes suffisamment au fait de ce qui se déroule dans les salles de rédactions pour affirmer que la vague de désinformation ambiante ne tient pas d'un complot. Il est bien certain, pour illustrer ce propos, que Jean Daniel et Gilbert Nahmias ne font pas partie d'une organisation secrète organisée, dans laquelle une autorité reconnue par ses membres, dispenserait des instructions aux chefs de presse, qui à leur tour, les répercuteraient au niveau des journalistes.

Que ceux qui voient des complots partout, dans les loges maçonniques, dans les mouvances ultra nationalistes et au sein de la "juiverie mondiale" se raisonnent, ça n'est pas de cela qu'il s'agit ici.

De cette constatation à prétendre que l'altération systématique de la relation de la réalité concernant les événements touchant à Israël procéderait d'un phénomène naturel et spontané, il y a un pas d'extrême crédulité, qu'il ne faut certainement pas franchir. La différence entre ce phénomène et un complot à proprement parler, dépend uniquement de son modus operandi.

Dans un complot, il y a toujours une autorité qui diffuse des ordres à un système pyramidal, alors que dans le phénomène qui nous intéresse, nous avons à faire à des organes étatiques, ainsi qu'à des organisations privées semi-monopolistiques ou monopolistiques, lorsque mises en synergie avec les organes étatiques précités, qui répandent des informations déformées afin de servir leurs intérêts politiques et financiers.

En d'autres mots, les organes étatiques ce sont l'Agence France Presse et les chaînes publiques, qui servent les intérêts politiques et financiers de l'Elysée et du Quai d'Orsay et l'organisation semi-monopolistique de télévision, c'est le groupe Bouygues. Quand ces titans médiatiques se mettent à ramer dans le même sens, leur synergie fait l'économie d'un complot, tant elle est suffisante pour décider dans quelle direction, le flux informationnel doit couler.

Le talonneur de la mésinformation, celle qui introduit les nouvelles fallacieuses à propos d'Israël, qu'elle a préalablement confectionnées elle-même, c'est certainement l'AFP. Cette agence est à la fois le modem qui traduit les informations de terrain en termes anti-israéliens, le justificatif absolu des journalistes qui entendent détruire l'image médiatique de l'Etat hébreu et l'écueil référentiel de ceux qui entendaient dire la vérité.

Pensez donc ! Quelle raison aurait un rédacteur du Monde ou de Sud-Ouest de mettre en doute l'information qui lui est confortablement communiquée (en français et dans un format facilement reproductible) par l'agence de presse nationale, officielle et publique de son propre pays ? Quelle raison auraient-ils de douter de la bonne foi de l'AFP ? Dans ces conditions, à quoi un complot pourrait-il bien servir, qui de surplus exposerait ses membres au risque d'être dénoncés et dont le caractère occulte fournirait de nombreuses raisons de chantages et de contre chantages ?

Inversement, la malveillance conçue et systématique de l'Agence française place dans un embarras certain les collègues qui voudraient diffuser les informations des Sami El-Soudi, Michaël Béhé et autre Jean Tsadik. Il faut en effet "un intérêt particulier" ainsi qu'une sacrée paire d'ouilles, pour suggérer au conseil de rédaction de Libération ou de l'Huma, que l'info de l'AFP est frelatée, que Sharon n'est pas un ogre et que les soldats israéliens ne portent pas de casques à pointes. Lors, contre cette déferlante de mensonges institutionnalisés, rabâchés dans le même format jour après jour pendant des années, il faudrait être une sorte de Zola ou le fils d'un armateur milliardaire, insensible au risque de chômage, pour faire front à son chef de rédaction !

Le problème crucial pour la France et AUSSI pour les juifs français, c'est que dans ces conditions, l'effet boule de neige du mensonge médiatique est quasiment incontrôlable. Il commence dans la sombre officine de l'AFP dans le building des "Jérusalem studios", sous la plume d'un laborantin de la reconstitution de "la réalité arrangée" pour finir, dans les mêmes termes, à la virgule près, dans l'assiette de Monsieur Blaireau affalé devant son journal de vingt heures. L'effet de cette désinformation, l'incitation à la haine ethnique anti-juive qu'elle diffuse, est dévastateur. J'ai eu moi-même l'occasion de le tester à diverses occasions et dans diverses localités françaises. Proposer aux Blaireau devant un parterre public, qu'Israël ne se livre pas à un génocide des Palestiniens, ou encore, qu'il n'y a "que" 900 Palestiniens qui ont perdu la vie durant l'Intifada et que la plupart étaient engagés jusqu'aux oreilles dans des activités assassines et vous passerez pour un agent sioniste, pour un fou ou, au mieux, "pour quelqu'un qui n'est pas au courant des développements de l'actualité." Un ignorant ! J'imagine aisément le calvaire que subissent les juifs français, lorsqu'ils sont confrontés à ce genre de forums et qu'ils ne disposent pas de notre base de connaissances, de notre énergie et de notre habitude de ce genre de situation, pour simplement défendre leur identité et proposer, souvent du bout des lèvres, la version ré-informée des événements factuels, sous l'incrédulité blessante d'une foule d'honnêtes Blaireau manipulés jusqu'au trognon !

Quant aux preuves de l'existence du phénomène, elles s'étalent en long, en large et en détails, dans des centaines d'articles de la Ména. Il suffit d'ailleurs que l'AFP fasse un vent, pour que les peupliers de Savoie se courbent, les sapins des Vosges s'aplatissent et pour que les oliviers de Provence perdent leurs olives et qu'ils sentent tous très mauvais !

Et pas un seul collègue laborieux pour se demander "quelle armée drolatique que celle d'Israël, qui ne pratique que par incursions et ne procède jamais à d'autres formes d'opérations militaires !" Ou encore, cet autre, qui ne se demande pas "de combien de 'policiers' dispose donc l'Autorité palestinienne, qui en perd tous les jours sur les dépêches de l'AFP ?", sans être journalistiquement surpris, que Tsahal ne s'en prenne QU'A des gendarmes et à des enfants en bas âge ! Pourtant, s'il grattait l'info, ne serait-ce que du bout de l'ongle, Tintin s'apercevrait instantanément, qu'il existe autant de ressemblances en les "policiers" de l'AFP et un policier, qu'entre un chamois et un semi-remorque !

Et puis, à quoi cela avance-t-il les juifs "d'assassiner des activistes et des militants" et de laisser courir les "terroristes" qui posent des bombes à Jérusalem ?

Il nous semble décidément, que la profession a perdu jusqu'au souvenir de sa curiosité et de sa clairvoyance !

Cette volonté d'une partie des gouvernants français et de certains groupes industriels de plaire à leur partenaires arabes, en dénaturant systématiquement l'action d'Israël serait pourtant insuffisante, si elle ne s'exprimait en terrain propice. Essayez de dénigrer répétitivement et sans raison logique, n'importe quel régime étranger et il se trouvera tôt ou tard un groupe de journalistes, pas totalement avachis, pour dénoncer cette cabale. La léthargie des intellectuels actuels nous amenant à la conclusion obligatoire, de ce qu'Israël n'est que l'alibi facile des suites de l'antijuivisme intérieur. Alors qu'il a démontré l'étendue vulgaire de son ignorance des réalités israéliennes, le journaliste français trouve dans sa "critique" de la politique israélienne un raccourci pratique et licite, pour servir d'exutoire à son incapacité d'accepter l'existence de ses compatriotes israélites.

Comment expliquer autrement, l'indulgence générale que s'auto-octroie la presse française, lorsqu'elle traite l'information en provenance d'Israël et qu'elle :

* omet d'appliquer à cette information les normes professionnelles de réserve et de prudence, dont elle se prémunit relativement à tous les autres conflits ?

* procède fréquemment à la publication de demi-réflexions et de déclarations embryonnaires et non vérifiables, se faisant colporteuse de ragots et de rumeurs ?

* omet systématiquement de diffuser les informations fondées, défavorables à la cause arabe, comme le fait que l'un de ses officiers supérieurs, Jibril Rajoub, a accusé Yasser Arafat lundi de promouvoir le terrorisme et de n'avoir de cesse de rouler le monde dans la farine et que le président palestinien a alors sorti son pistolet en menaçant Rajoub ?

* amplifie volontiers les problèmes marginaux que connaît Israël comme toutes les autres nations ?

* se dispense de signaler, de corriger, de rectifier et d'expliquer les erreurs professionnelles qu'elle commet sans arrêt au détriment d'Israël ? Comment se fait-il, par exemple, que l'Obs, le Monde, Libé, l'Huma, de même que tous les médias audiovisuels nationaux français s'abstiennent de mettre à jour leur info à propos du Karine A ? Eux qui avaient servilement amplifié, jour après jour, les déclarations d'Arafat et des autres dirigeants palestiniens, qui accusaient le gouvernement israélien d'avoir inventé cette affaire afin de s'opposer au processus de paix ! Comment expliquer ces omissions terribles, alors même que le Président palestinien vient d'admettre implicitement, dans une lettre au Président Bush, qu'il était responsable de ce trafic d'armes de guerre, que ses accusations contre Israël étaient mensongères, que cette tentative de contrebande est antithétique de la recherche d'une solution pacifique au différend israélo-palestinien et qu'il a sciemment tenté de fourvoyer l'opinion publique internationale ?

Comment expliquer, autrement que par un réflexe antijuif, que l'environnement médiatique français va commettre une autre faute professionnelle monumentale, en se dispensant, une fois encore, d'intégrer les enseignements informationnels qui s'imposent impérieusement au moment du dénouement de cette affaire ? Comment ces médias pourraient-ils justifier de continuer de diffuser les déclarations et les affirmations d'Arafat et de ses acolytes sans avertissement, alors qu'il apparaît pour l'énième fois, que celles-ci ne sont pas crédibles et qu'elles ne véhiculent qu'une propagande belliciste et simpliste ? Par quelle acrobatie intellectuelle, ces informateurs vont-ils continuer de placer sur un pied d'égalité les futures affirmations des dirigeants palestiniens surpris la main dans le sac et celles des Israéliens, qui nous dispensent des renseignement généralement exacts ?

Ces questions sont évidemment incontournables pour les esprits bien faits, qui ne manqueront pas de s'en trouver préoccupés. Ils se demanderont pourquoi, alors que selon les normes et les comparaisons internationales en vigueur, Israël pourrait s'enorgueillir d'une conduite digne et éclairée, elle est sans cesse sujette à ces torrents de calomnies et de diffamations triviales ? Ils se demanderont pourquoi des rédacteurs, autrement équilibrés et réfléchis, donnent avec autant de volontarisme dans cette entreprise inexcusable ?

Il n'y a donc pas de complot dirigé contre l'Etat d'Israël mais il y aurait, vis-à-vis de la nation d'Israël, des relents vichyssois du complexe du statut de l'Untermensch, que la bourgeoisie française, de droite comme de gauche, ne parviendrait pas à expurger. Et s'il fallait une preuve supplémentaire à cet anachronisme, ce qu'après cet article je trouve superfétatoire, nous la trouverons dans l'isolation intellectuelle extrême dans laquelle se trouve plongée toute la minorité juive de France, en ces temps de désinformation. Or, la perception de la réalité dans cette minorité diffère en bloc de la perception des choses, telle qu'elle est représentée par les médias français. Cette différence de "blocs" est inquiétante car elle est socialement illogique, car elle ne se peut pas, lorsque l'information est mise à l'abri des malveillances. On pourrait bien sûr conclure à une épidémie de paranoïa, qui aurait saisi une minorité nationale mais on omettrait alors de considérer que la paranoïa n'est pas un virus transmissible et que surtout et par définition, elle est une affection individuelle !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le vendredi 15 février 2002 - 17h09:

Mr Lilo Sion, apparemment il n'y pas de bizarrerie ds l'affaire de la cloture du compte de la synag du Blanc Mesnil!
J'ai recu ca:

"Voila une reponse d'une clarté sans faille et bien argumentée qui je pense ne laisse planer plus aucun doute et doit nous rassurer à tous
pleinement!!!!!!!!!!!!!!!
Deux articles du Parisien sur la prétendue affaire antisémite de Montreuil. Idem pour la BNP, ce n'est pas une histoire antisémite.

Subject :COMMUNIQUE SUR L'AFFAIRE BNP/SYNA BLANC MESNIL COMMUNIQUE DE LA COMMISSION COMMUNICATION

De la part d'André Nadjar,Président de l'Association Janusz Korczak du Bnai Brith et Responsable Marketing et Développement du Commerce International chez BNP PARIBAS

Je suis intervenu hier auprès du Directeur de la Communication de BNP PARIBAS, Antoine SIRE, à propos de l'affaire de Blanc Mesnil. Il m'a donné toutes les explications qui ont conduit à la décision de clôturer le compte.

Collaborateur de BNP PARIBAS et tenu au secret professionnel, je suis dans l'impossibilité de vous donner d'autres informations, mais je peux
vous affirmer qu'il ne s'agit en aucun cas d'un acte antisémite. J'ai sensibilisé Antoine SIRE à l'émotion forte de la Communauté à la suite de cette décision, il doit en parler aujourd'hui à la Direction Générale de la Banque.

André NADJAR

Consultez notre site:http://www.bnaibrith-france.org
PS.- Nous attirons votre attention que si les informations de ce communiqué sont exacts, ceux qui répandent de telles affirmations et en
particulier ds certains forums et groupes risquent un procès en diffamation.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le vendredi 15 février 2002 - 16h53:

Apres Vedrine le trop zele, Marie-Reine Le Gougne la soudoyee:
Les Francais se distinguent aux JO de Salt Lake City: helas, par sur les podiums mais dans les rangs des juges.
Meme Candoloro a dit, "si la France ne magouillait pas, elle n'aurait pas de médailles". Vive la loi du sport!
En tt cas, tout ca est tres tres mal vu ici aux USA; La France n'a pas ni la cote ni bonne presse en ce moment au pays de l'Oncle Sam.
Nao

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le vendredi 15 février 2002 - 16h47:

Citron, le Front National ne fait que refleter une tendance tout a fait "banale" helas de la societe francaise. Les Francais n'aiment personne. Ils sont racistes et en ont marre de tous ces immigres! Pour eux juifs, noirs et arabes sont a mettre ds le meme sac; Ne vas pas t'imaginer le contraire!
A mon avis, le FN nous fait moins peur aujourd'hui que les jeunes desoeuvres maghrebins des banlieues qui utilisent l'intifada et la lutte actuelle du peuple palestinien pr se revolter, foutre la merde et s'en prendre aux synagogues ou aux juifs la ou ils le peuvent!
Meme les flics ont peur d'eux!
ITM

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par GOOSTE (Gooste) le vendredi 15 février 2002 - 15h33:

je crois en effet , que nos véritables centres d'intérêts dans le domaine géographique ont bien changé . que l'ont se dispute pour le PSG ou l'OM on peut comprendre ( en France ) mais SFAX ou SOUSSE , quand même pas pour ça !!!ça vaut bien un sourire , mais pas une engueulade
Gooste

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lilo Sion (Pignouf) le vendredi 15 février 2002 - 10h07:

je suis en traint de faire une ètude, sur les bizareries que roncontre les juifs de france en se momment,comme par exemple la cloture du compte banquaire du sentre communautaire du blanc mesnil, ect ect donc si vous aite temoint ou avoir entendue des amis de la famille ou vous meme aite victime de t'elles abus
soyez aimable de me les communiquees et je vous tiendrais au courant de mon etude
mon adresse lsion@msn.com
cordialement sion elie

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par ALBERT SIMEONI (Albert) le vendredi 15 février 2002 - 07h59:

Au nom de tous les hommes Harissiens,
Nous offrons un waggons de fleurs à toutes nos harissiennes , un peu tard certes, à l'occasionn de la fête des amoureux du site Harissa. St Valentin n'est pas notre fête.
ALBERT LE tordu

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 15 février 2002 - 07h59:

Le Rav Shah’ est decede…

S’il etait parti il y a quatre ans, quand il etait alors tres malade, il n’y aurait pas eu une telle foule a son enterrement. A ce moment-la, on ne priait pas autant pour lui, et Ha-chem, dans sa bonte, a repousse sa mort.

Pourquoi ? Parce qu’a present la situation n’est plus la meme… Les juifs sont tres inquiets et ont peur. Le Rav Shah’ etait tres malade il y a quatre ans, mais nous n’avions alors pas peur… Cela ne nous impressionnait pas que ce
Tsaddik nous quitte… Aujourd’hui, nous avons peur, et pour cause, car les dangers sont tres grands …La mort de Rav Shah’ nous a donne du temps… Encore un peu de temps pour faire une veritable Techouva, pour se deconnecter du
mensonge, de ce monde, du materialisme, du veau d’or, et revenir a la verite, a Ha-chem et a sa Torah.
Ha-chem a pitie de nous, et Il nous laisse donc encore un peu de temps. Et Il va amener encore des situations effrayantes et dangereuses, pour nous liberer du mensonge…Peut-etre parviendrons-nous a faire Techouva par la peur…

vouloir@012.net.il

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bmw (Bmw) le vendredi 15 février 2002 - 05h33:

LE DESTIN TOUT EN DÉTOURS DE BARBARA MELLOUL

« ahna kadin ou l’bab dok ( nous étions assis lorsque quelqu’un a frappé à la porte) »

« Racontes maman, raconte s’il te plait comment pépé et mémé se sont rencontrés »…….
« C’était au café de PARIS à TUNIS, ya rhasra ! Maurice prenait l’apéritif avec ses frères lorsque son regard à été attiré par une très jolie fille ; à ce moment-là passe une de ces fameuses samsara à laquelle le regard brillant de MAURICE n’a pas échappé !
Mes tantes m’ont raconté que le soir même, toute la famille était réunie à la maison, quand la sonnerie a retentit, c’était la marieuse!
« monsieur Cattan, j’ai vu au café de PARIS que votre fils est tombé fou amoureux ( !!!!!) d’une jeune fille, elle est extraordinaire mazalou rihr menou, elle s’appelle Germaine MENDES c’est une grana comme vous, quelle union, y a baba, quel mariage ! alors monsieur CATTAN je vous dis mazel tov, vous êtes d’accord ou non ? » »Maurice,mon fils qu’en penses tu ? » »c’est d’accord pour moi papa »
alors « mabrouk madame CATTAN , mabrouk ya oualdi……. »
Et voilà, quelques rencontres chaperonnées plus tard , Maurice CATTAN et Germaine Mendes étaient mariés »

Maman raconte encore comment toi et papa, vous vous êtes rencontrés ?
« Aouda, bon allez une dernière fois : j’étais toute jeune, à peine 19 ans, mon oncle Maurice m’a demandé de venir travailler avec lui à la coopérative, place de la monnaie à Tunis. J’étais contente, tout se passait bien sauf ce garçon, Simon qui me tournait autour, un jour, il est vraiment allé trop loin, toute la journée, il n’a pas arrêté de me « zieuter » et monsieur, il vient près de moi et me dit « vous trop belle, je peux vous inviter ce soir avec des amis au café vert à la goulette ? »j’étais rouge, morte de honte, je suis partie en courant et quand je suis rentrée chez moi j’ai pleuré dans les bras de ma mère «,’ je ne veux plus travailler à la coop maman, il y a ce garçon, Simon,j’ai trop honte maman, il me dit des choses bizarres…… »Sur ce qui entre dans ma chambre ? ce fameux Simon, radieux avec mon père sur les talons : « ma fille, ce charmant garçon est venu me demander ta main,qu’en penses-tu ? » bien sur c’était inattendu, mais au fond de moi, ce garçon me plaisait, j’avais le béguin, depuis plusieurs semaines, au mois de juin, nous étions fiancés et un an plus tard mariés ! voilà ma fille toute l’histoire !

Pauvre Barbara MELLOUL, ces histoires d’une autre époque venaient hanter ses nuits sans sommeil de pauvre célibataire endurcie… .comme « ils » disent !
C’était si simple avant ! pourquoi l’amour,( ?) en tout cas les relations hommes-femmes-sont-elles, au fil du temps et de nos déplacements géographiques, devenues si compliqués ????

Pauvre Barbara MELLOUL, selon ses rencontres et les échecs qui s’en suivaient, elle s’imputait tous les défauts du monde : trop grosse ,trop arrogante, trop sérieuse, pas assez discrète, trop cool ou pas assez, trop « rapide » ou trop coincée, trop intello ou trop superficielle, très exigeante ou au contraire sans discernement et sa vie avançait cahin caha entre déprime et prozac, d’introspection en remise en question,de confidences dépitées en analyse interrompue……

Pauvre Barbara MELLOUL, s’était-elle seulement posé les bonnes questions, avait-elle seulement mis le doigt sur l’essentiel ?????? pensait-elle seulement à ce qu’elle souhaitait vivre elle ?????? pensait-elle tout simplement à elle, à son propre bonheur à sa vie tout simplement ?


Pauvre Barbara MELLOUL, autres temps,autres mœurs,semble-t-il, !
Lorsque ses grands parents se sont rencontrés dans les années 20 ou encore quand ses propres parents se sont fiancés dans les années 50 , la « vie amoureuse » ne semblait pas être le cœur d’une existence, bien sûr le sentiment amoureux existait,mais n’était-ce pas plutôt le bon sens,la raison,et les « bonnes » alliances qui l’emportaient sur le reste ?
Le mariage allait de soi, c’était une des étapes de la vie toute tracée d’un juif ou d’une juive de Tunisie et d’ailleurs ! Le théorème aussi simpliste qu’il puisse apparaître était celui là : on se rencontrait, on se plaisait, (où pas ?), on se mettait d’accord et on se mariait
Les choses étaient forcément plus faciles, puisqu’elles étaient : claires et ciblées !
Est ce que ces unions raisonnables et souvent « arrangées » étaient heureuses, c’est encore une autre histoire !
En tout cas il faut reconnaître que peu d’unions s’embarrassaient d’angoisses existentielles : on était marié ,on formait une famille qui s’agrandissait au fil des ans et la vie bon an mal an s’écoulait ;certains hommes avaient des maîtresses, certaines femmes fermaient les yeux en échange d’une vie très confortable…….
Les pressions familiale et communautaire étaient telles, que l’on ne songeait ni à l’union libre ni au divorce à moins d’un cas exceptionnel.

Qu’en est-il aujourd’hui ? qu’est ce que la pauvre Barbara MELLOUL, n’a pas compris et qui fait de sa vie un enfer ?
La pression familiale est toujours là,le poids des traditions et des habitudes aussi mais la plupart d’entre nous ont quitté la Tunisie pour aller vivre en Europe, en Israel,ou aux Etats UNIS. Là, nous avons approché des ambiances différentes,certaines nous ont plu ; là nous avons appris à vire différemment, d’une manière plus libérée, plus ouverte, plus émancipée.
Là certaines femmes contraintes et forcées ont dû travailler, d’autres plus jeunes ont pu et voulu étudier…..La vie n’était décidément plus la même.
D’autres horizons s’ouvraient à nous et nous en avions soif !

Mais à l’intérieur des familles que se passait-il ?
Exactement ce qui se passait chez cette pauvre Barbara MELLOUL : arrivée de Tunis à l’age de 6 ans , elle avait tout vécu d’important et d’essentiel à Paris, en France : sa formation, son éducation s’étaient t faites à la Française ! ses copines étaient d’origine normandes ou bretonnes ,pas de Sfax ou de Sousse ! lorsqu’elle sortait c’était avec des cinéphiles à Chaillot pour voir des films muets sous titrés en Russe ! lorsqu’elle voyageait c’était pour se rendre à Tokyo ou à San Francisco.
Lorsqu’elle se régalait au restaurant c’était d’un canard laqué ou d’une bourriche d’huîtres !
Ses meilleures soirées, c’étaient celles qu’elle passait avec ses copains de fac à refaire le monde ! Aucune expo,aucun musée n’avaient de secrets pour elle…
Contrairement à ses frères et sœurs plus âgés qu’elle et qui avaient vécu en Tunisie jusqu’à la fin de leur adolescence, Barbara Melloul, n’avait pas et ne pouvait avoir aucune nostalgie ni aucun manque de la Tunisie, vivre en France lui avait tout apporté.
Les frères et sœurs de Barbara MELLOUL, continuaient à fréquenter les mêmes copains qu’ils avaient eu à Carnot, ils se retrouvaient à la boule de neige ou à la cave au puits, le vendredi ils attendaient avec impatience le couscous boulettes de leur mère . Leurs vacances c’était Tunis
Puis CANNES quand TUNIS n’a plus été « fréquentable». Les frères et sœurs de Barbara MELLOUL ne sortaient pas avec des patos, ils ont tous juré à leur mère que « rhit » jamais ils n’épouseraient de patos ! Barbara MELLOUL, ne pouvait pas, ne voulait pas faire cette promesse ,pourtant plutôt mourir que faire de la peine à son père adoré…..
Alors Barbara MELLOUL se faisait violence et vivait contre son gré à l’envers de ses désirs et de ses convictions . Elle n’avait pas le culot de ses cousins plus jeunes qu’elle et qui avaient tout envoyé balader, choisissant leur propre route.
Non, Barbara Melloul,en était bien incapable, alors sans le savoir et sans vraiment le comprendre elle vivait « contrariée » ; ses amours étaient contrariées, sa personnalité était contrariée, ses choix et options étaient contrariés.
Dirigeante d’ une importante entreprise de relations publiques, (métier qu’elle a en vain tenté d’expliquer à sa mère), côtoyant des décideurs, voyageant de part le monde, dés qu’elle rentrait au domicile familial, Barbara se faisait sermonner par sa mère, « ya marbouna, même pas une fois tu m’a aidé à préparer le msoki de pâque, rien je ne peux rien attendre de toi »
Barbara avait même arrêté sa belle histoire d’amour avec son romantique latin lover, et depuis cette véritable passion partagée, Barbara Melloul n’avait rencontré qu ‘‘échecs et désillusions.
Pourquoi, parce que Barbara MELLOUL, pour plaire, jouait, sans malice, à être celle qu’elle n’était pas : la tune, soumise qui n’avait qu’un objectif dans sa vie se marier et se voir offrir à chaque nouvelle naissance des bijoux de plus en plus beaux. Barbara était tune elle ne s’en défendait pas bien au contraire, elle le vivait comme une véritable richesse, mais comment tout concilier ? comment vivre bien le « cul » entre deux chaises ? ou plutôt entre deux modes de vie ? Barbara Melloul, seule, plus que trentenaire (la ister !) sans amoureux, lassée d’entendre : « alors toujours pas mariée », »alors rien « ? « alors à quand ton tour « ?Barbara avait donc accepté le principe des rencontres arrangées, aie ! la catastrophe !
Barbara MELLOUL, n’avait pas perçu que ces pratiques étaient d’un autre âge. Que les gens qui vous proposent ce genre de rencontres ,même s’ils sont animés des meilleures intentions du monde, ne vous connaissent pas vraiment et partant du principe que de toutes les façons c’est se marier qui importe, vous présente la première personne disponible et pas forcément celle susceptible de vous correspondre !!!!!!
Barbara MELLOUL, ne savait plus à quel saint se vouer et allait le cœur toujours plein d’espoir à ces rendez vous les uns plus baroques que les autres ; L’année de la mort de son adoré père, elle mit la gomme, culpabilisant comme une folle, elle cherchait désespérément à se marier.
Mais alors même si sa route à croisé celle du compagnon idéal pour elle, celui ci, n’a certainement pas été dupe du désir fou de Barbara MELLOUL de se marier plus que d’aimer et d’être aimée………et cet être « idéal » s’est certainement enfui laissant la belle en pleurs et pleine de désespoir et surtout d’incompréhension.
Que veulent-ils donc tous ces hommes, ? »juive, je le suis, travailleuse aussi et capable de tenir un foyer et aussi de… et de …… »....

Mais pauvre Barbara MELLOUL, elle n’arrivait pas à comprendre que si elle ne fonctionnait ni comme sa mère ni comme sa sœur, les hommes aussi avaient changé, leurs exigences, étaient plus grandes,. En fait non, leur exigence n’était pas supérieure, elle était d’un tout autre ordre, les hommes aussi voulaient l’amour, la correspondance amoureuse, la relation fusionnelle et non plus le mariage de raison et/ou d’obligation culturelle et cultuelle ! Le plus tune d’entre les tunes revendique désormais le droit au bonheur avant « la psalouloubia comme celle de sa mère » !
Pauvre Barbara MELLOUL, elle n’avait pas vu que les hommes étaient devenus, à l’insu de tous,très compliqués dans leur tête, torturés, eux aussi : « le cul » entre deux chaises ! ;

Heureuse ,Barbara MELLOUL,qui aujourd’hui enfin a rencontré le bonheur !
Ce bonheur s’est présenté à elle le jour où elle a vécu pour elle, sans se demander pourquoi elle n’était pas mariée,le jour où elle s’est acceptée telle que la vie l’avait faite :Tune et pas TUNE à la fois ; le jour où elle a accepté l’idée que chacun avait sa propre existence à mener,sans forcément de modèle à suivre ni d’obligation à respecter.
Le bonheur Barbara Melloul à su le reconnaître, le jour où elle ne le cherchait plus vraiment.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme (Anonyme) le vendredi 15 février 2002 - 04h57:

2 Adar 5762 / 14.02.2002 21h24
La CIJ rend caduques les poursuites belges contre Ariel Sharon

Par Katie Nguyen et Bubble Bobble

LA HAYE, Hollande-Méridonale (Pays-Bas) - La Cour internationale de justice (CIJ) a sans doute sonné le glas des poursuites entamées en Belgique pour 'crimes de guerre' contre le Premier ministre israélien Ariel Sharon à la demande de survivants arabes musulmans des massacres de Sabra et Chatila en 1982, commis par des Arabes chretiens.

La CIJ a refusé à la Belgique le droit de délivrer un mandat d'arrêt à l'encontre d'un ancien ministre des Affaires étrangères du Congo-Kinshasa, estimant qu'on ne pouvait poursuivre devant un tribunal étranger un ministre pour des crimes commis lorsqu'il était en exercice.

Le cas est similaire à celui d'Ariel Sharon, ministre de la Défense au moment des faits reprochés. Il a été déjà jugé "indirectement responsable" dans une enquête menée en Israël.

"L'affaire Sharon, de mon point de vue, est close", a déclaré Jan Devadder, conseiller juridique du ministère belge des Affaires étrangères.

La Belgique s'est dotée d'une loi autorisant sa justice à faire comparaître des ressortissants étrangers pour faits graves, crimes de guerre ou contre l'humanité.

En juin dernier, elle avait pu traduire en justice quatre Rwandais, dont deux religieuses, accusées de génocide.

Mais, estime la CIJ, la Belgique a "méconnu l'immunité de juridiction pénale et l'inviolabilité dont le ministre des Affaires étrangères en exercice de la République démocratique du Congo jouissait en vertu du droit international".

La décision de la Cour internationale, qui est sans recours, signifie aussi probablement le classement d'autres poursuites lancées à l'encontre du tueur en serie Yasser Arafat ou du dictateur cubain Fidel Castro.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 15 février 2002 - 02h27:

Comment puis-je voir deux bons harissiens, Albert et Fernand se quereller, pour l'honneur des villes de La Goulette et de Sfax.
Moi je vous aime les deux tels que vous êtes. Il ne faut pas oublier que la Goulette et Sfax se trouvent les deux en Tunisie "Farda Ou Lqat Okhta". Ya Ouladi heureusement que tout se passe par écrit, comme ça rien ne se perdra et notre progéniture aura des documents dûment signés dans nos archives. Continuez Ya Ouladi Rabbi Isidkoum. Disputez-vous mais ne vous blessez pas car je veux encore jouer avec vous une partie de Chkouba. Et quant à toi Jaco tu as bien réagi en ne censurant pas notre cher bien aimé Albert.
Sa santé et son humeur sont très importantes pour nous. Sinon comment peut-on être un tune sans La'ab ou Tmanik. A toi Fernand Ethak Ou Etza'bel et ne te fâche pas car le Raïs est Sfaxien et plus la Goulette n'a pas d'olives elle des Sardines. Laisse à Albert un peu d'huile afin qu'il puisse nous nourrir de ses bonnes sardines et de ses belles poésies. "Rabbi Ikhalikoum Lina"

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par ALBERT SIMEONI (Albert) le jeudi 14 février 2002 - 22h55:

Cher Fernand, par les pouvoirs qui te sont confèrés, je prends actes des excuses attènuantes extènuantes et suantes car les goulettois dont je reprèsente ici leurs dolèances, n'ont pas l'esprit chauvin et encore plus rancunier car autour d'une table de bonne compagnie agrèmentèe d'une belle fleur, nous nous devons de fraterniser dans la bonne humeur.Au regard, de notre invitè, je m'abstiendrai de dire des absurditès tirèes par les cheveux. Je remettrai sur la table mon humour avec Tawfik et les autres dans la règle du Tfèdlik chevaleresque.
Celle des Tunes. Tahyè Tounès.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par GOOSTE (Gooste) le jeudi 14 février 2002 - 22h39:

le front national ? on s'en fout totalement .il ne represente rien ..par contre dans ton pays ..a ta place je ferais encore plus attention que jamais ....surtout en ce moment .

Gooste

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Citron (Citron) le jeudi 14 février 2002 - 22h24:

personne na reagie a mon intervention du 11 fev parlant du danger que represente le front national pour les juifs de france

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Citron (Citron) le jeudi 14 février 2002 - 22h22:

tout a fait vous vous etes trempees
cest sousse le centre du monde !!!
:)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par ALBERT SIMEONI (Albert) le jeudi 14 février 2002 - 22h17:

Cher Jaco, je te demande avec bienveilance et celà pour divertir, quelques instants nos amis, de ne pas censurer ma rèponse à Fernand.Je ne recommencerai plus cette intrusion ourrass Admin.


Mon cher Fernand, ton playdoyer est à la mesure de ta perspicacitè. Je me suis senti comme , on dit au Volley 'Out'=dehors malgrè vous. Je me suis dis ..ben merde si c'est ça les sfaxiens au cafè du Tmènik ..qu'est ce que je fous là....Depuis que mon ami Haq est parti je me suis senti isolé et je le suis encore parce que j'avais trouvè une oreille attentive auprès de moi. En fait une bonne cuirasse qui, pas ses histoires et opinions de toutes sortes diligentès une sorte d'équilibre entre nous. Coment peux tu m'expliquer que des sfaxiens qui habitent dans le même quartier, c'est à dire à environ 100 metres l'un de l'autre puissent s'entretenir au cafè de leur quotidien et de leurs retrouvailles. On peut jouer au cartes, aux dominos, a la ckhob , se raconter des histoires droles avec sous entendus afin de respecter Sun, qui est une dame de bon aloi. Où as tu vu des hommes, avec soubrettes et cabkab, parler de cuisine alors qu'ils sont censès n'être jamais rentrès dans une cuisine..du moins ce que je croyais ...voilà que je rencontre des sfaxiens en tablier blancs entrain de faire frire des roussettes, des ganbettes des fauvettes et tout ce qu'ils ont en ^tete...Mais dites moi que faisaient donc vos mères en ce temps pour vous avoir laissé à la cuisine...Elles jouaient à la pètanque...avec des noyaux d'olives ou quoi...? Personnellement je n'ai jamais cuisiné, mon dernier chef d'ouvre date des annès 1975 quand, voulant èconomiser du gaz, j'ai introduit en même temps, dans le four, un cake en haut et un poulet en bas. Ce qui a donnè ceci, au bout de trois quart d'heure, une grosse fumèe dans la cuisine qui allait s'incendier et un poulet brulè avec du zbib par dessus quant au gâteau, il a hérité de deux ailes de mon poulet ...comme s'il ètait sorti de Dachau..Inutile de te dire que depuis ce jour là les poelles de mon cul ont vite compris que mes doigts ètaient plus habiles à ècrire qu'à farfouiller des entrailles des poules et poussins
ètendus sur le plan blanc de mon déshonneur

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Fernand (Fernand) le jeudi 14 février 2002 - 21h49:

Playdoyer
Comme le dit Slim, je crois que nous avons exagéré avec nos conversations dans lesquelles Sfax et les Sfaxiens étaient le centre du monde. Mais je demande à Albert et aux autres non sfaxiens d’excuser les vieux adolescents que nous sommes et de nous accorder des circonstances atténuantes : Est ce de notre faute si 80% des intervenants de cette rubrique sont Sfaxiens et que notre lieu commun est notre ville de naissance. Vous auriez pris 5 Soussiens, ayant envie de bavarder, je suis sûr le résultat aurait été le même.
Alors cessons de parler de Sfax et si un jour l’envie nous revient, peut être faudra-t-il demander au Webmaster de nous créer une rubrique plus spécifique. Ou bien, si Café Tménick tombe en désuétude, le rebaptiser autrement, comme le demande Albert.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le vendredi 15 février 2002 - 04h48:

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