Par Shalom (Shalom) le lundi 22 novembre 2004 - 21h56: |
Voila c’est fait ! Le premier boulevard à s’appeler « Boulevard Yasser Arafat « se trouve en Tunisie. Il a été inauguré aujourd’hui. C’est le Blvd qui dessert l’aéroport Tunis Carthage à la Ville. Les Tunes se rendant encore dans ce pays vont êtres bien accueillis dorénavant.
source: AP.
Shalom
Par Albert (Albert) le lundi 22 novembre 2004 - 22h01: |
'...ATTIS II..'au Petit Theâtre de Breitou.
Par Breitou (Breitou) le lundi 22 novembre 2004 - 21h26: |
Reflexion du jour..
'...La provocation fait partie du caractère de tous les tordus..!'
Par Michka (Michka) le lundi 22 novembre 2004 - 21h20: |
http://www.corse-israel.com/dforum/
Il faut leur apporter toute notre chaleur, le peuple corse nous aime et nous soutient.
La liste n'est pas très longue :
Les USA
Les iles Marshall
La micronésie
Vous vous en souvenez????
Et la Corse...............
Par Shalom (Shalom) le lundi 22 novembre 2004 - 20h35: |
Le Bizertin, arrêtes de déconner. J’ajouterai et les morceaux de militaires Israéliens exhibés devant les journalistes ? La liste serait trop longue.
Alors du calme, et envoies tes messages sur un site, correspondant à tes idées.
Shalom
Par Meyer (Meyer) le lundi 22 novembre 2004 - 20h11: |
Benzarti, de quel droit exiges-tu de NOUS une réponse à ta question, d’autant plus que tu dis savoir déjà NOTRE réponse?
As-tu dit ce que tu pensais des photos des enfants, des adolescents, des adultes déchiquetés dans les bus, les restaurants, les hôtels en Israël ? et comment as-tu réagi quand une mère a été froidement assassinée avec ses enfants dans sa voiture? et quand une enfant réfugiée sous un lit a été poursuivie jusque dans sa chambre par son assassin ?
Est-ce qu’il y a d’un coté TOI, et de l’autre NOUS?
Dans ce cas qui désignes-tu par NOUS?
Si tu sais d’avance ce que NOUS pensons, pourquoi viens-tu sur ADRA si ce n’est pour NOUS provoquer?
Par Mounia (Mounia) le lundi 22 novembre 2004 - 19h20: |
"Nous, Français juifs et arabes…"
NOUVELOBS.COM |
groupeinformel@yahoo.fr
Depuis un an, heurtées par la montée de l’antisémitisme, plusieurs personnalités des deux origines se réunissent régulièrement pour parler et agir ensemble. Un dialogue plein de surprises... Nouvelobs.com publie un texte mis au point par les personnalités en question.
"C’EST dans un climat de résurgence des actes antisémites, que nous avons éprouvé la nécessité, en 2003, de nous rencontrer et d’échanger pour décider d’un front commun.
Contre l’antisémitisme, une alliance nouvelle doit se constituer : celle qui réunira les Français juifs et arabes. Ils partagent dans leur immense majorité les valeurs républicaines et la volonté de lutter contre toutes les formes de racisme. A rebours des tentations communautaires qu’on leur prête, leur solidarité et leur fermeté sur les valeurs républicaines offriront la meilleure réponse à l’intolérance. Simple vœu pieux ? Non. Depuis plusieurs mois, le groupe de rencontre que nous avons fondé, composé précisément de français juifs et arabes, montre que la prise de conscience et l’action communes sont possibles contre la montée des actes antisémites. Publicité
Au fil des réunions, la discussion s’est approfondie jusqu’à fournir un riche faisceau de témoignages et de réflexions. Cette expérience informelle, privée, nous ressentons aujourd’hui le besoin de la faire connaître pour défendre un combat commun juif et arabe contre le racisme et l’antisémitisme.
Qu’avons nous appris ensemble ?
1) Le prétexte du Proche-Orient Premier constat : Nos points de vue sur le conflit israélo-palestinien peuvent être très divers voire divergents.
Mais cette divergence ne fait en rien de nous des adversaires. Pour aucun de nous, ce principe ne relève de l’angélisme. Il s’agit d’une position républicaine : le conflit – celui qui tue – le conflit israélo-palestinien n’a pas lieu sur le territoire français. Au nom de quoi le transposer ? Au nom du communautarisme ? C’est précisément ce que nous refusons.
Il n’y a pas de guerre en France et celle que certains entendent transposer, comme on l’a tragiquement vérifié ces dernières années, n’est qu’un prétexte à une violence et un antisémitisme que nous rejetons, sans aucune concession. Nous n’estimons pas qu’il est besoin d’ennemi absolu pour conforter nos points de vue respectifs.
Considérer une opposition “ essentielle ” entre juifs et arabes du fait du conflit du Proche Orient et la poser comme “ naturelle ” est une façon commode de se décharger de ses responsabilités, citoyennes ou politiques, quelle que soit sa religion. Or, nous pensons que le fait de dénoncer l’antisémitisme - qu’il soit le fait de jeunes français d’origine maghrébine ou d’autres - relève du devoir citoyen. Tous, juifs et arabes français, de notre groupe, sommes d’accord sur ce point : pas question de relativiser l’antisémitisme en France au nom du soutien à la cause palestinienne.
2) L’injustice faite aux Arabes français
Deuxième constat : Parce que la tension actuelle nous paraît également le résultat d’un déficit d’intégration des Français issus de l’immigration, nous tenons à combattre le racisme anti-maghrébin quotidien, individuel et institutionnel qui refuse de leur accorder une véritable égalité des chances : discrimination au travail, au logement, aux loisirs, à la culture…toutefois jamais ces discriminations ne doivent justifier l’antisémitisme. Sur tous ces points nous étions d’accord.
Pourtant… nous avons découvert au fil des discussions de notre groupe que nous ne nous connaissions pas.
Nous arabes avons réalisé que les réactions à l’antisémitisme avaient suscité, entre autres sentiments, celui d’une grande amertume, voire d’une trahison, chez certains juifs scandalisés du silence des français issus de l’immigration maghrébine, à titre collectif ou individuel.
Nous juifs avons mesuré qu’une prise de parole publique, à titre individuel pour un français issu de l’immigration maghrébine relevait presque d’un tabou : parler au singulier n’appartient pas à sa culture.
Nous arabes avons mesuré que le rapport à Israël est singulier et que peut-être, nous n’en appréhendons pas la signification profonde.
Nous juifs avons mesuré que l’ampleur du débat sur le voile, apparaissait, même chez les défenseurs de la laïcité, comme démesurée, tendant ainsi à stigmatiser l’islam en substituant le débat politique à une polémique religieuse.
Nous juifs avons compris à quel point l’histoire de l’immigration restait à écrire et surtout, reste à transmettre.
Des pans de l’histoire française demeurent complètement négligés comme l’histoire de la marche des beurs pour l’égalité des droits en 1983, dont l’instrumentalisation par les politiques français a entraîné un repli communautaire.
Mais tous, juifs et arabes, avons mesuré que nous ne devions à aucun prix céder, dans le climat actuel, à un repli communautaire – aussi tentant soit-il - contraire à nos valeurs universelles.
3) Poser les questions qui dérangent
Troisième constat : Loin du “ politiquement correct ” nous nous sommes franchement posés des questions essentielles sans crainte de paraître anti-arabe ou antisémite :
Pourquoi les Français issus de l’immigration maghrébine se prononcent-ils rarement publiquement contre les actes antisémites ?
Pourquoi les indignations des représentants officiels de la communauté juive contre le racisme anti-maghrébin ne sont-elles pas suivies d’une vraie mobilisation ?
Pourquoi si peu de réactions de la part de la communauté juive - aucune pétition, aucun texte de débat - à la publication du livre d’Oriana Fallaci qui parlait - entre autres insanités - des musulmans comme de “ rats ” ?
L’antisémitisme est-il seulement le résultat de la transposition du conflit israélo-palestinien actuel ou est-il inhérent à la culture arabe ?
Alors qu’il y a quelques années, le “juif” n’était pas la préoccupation du jeune français issu de l’immigration maghrébine, pourquoi a-t-on parfois le sentiment qu’il est désigné comme son adversaire ?
Pourquoi aucune indignation face au silence des intellectuels français après le rejet de l’assemblée nationale de la proposition - il y a deux ans - d’officialiser la journée du 19 mars, date des accords d’Evian ?
Si nous, qui sommes issus de minorités, avons toujours défendu les valeurs de la République et voulons avec force continuer de le faire, c’est aussi parce que cette République nous a assuré de ses principes et de ses droits. C’est sur cette base que nous réfléchissons. Nous n’avons esquivé aucune des questions. Nous ne sommes précipités sur aucune réponse. Nous réfléchissons. Nous cherchons.
Mais, en attendant, c’est ensemble que nous cheminons."
Signé : Rachid Azzouz, Souad Belhaddad, Ofer Bronstein, Nabil Boutros, Sonia Fellous, Anouk Khelifa, Manuel Maidenberg, Karim Abdel Meguid, Areski Metref, Gabriel Steg, Philippe Tretiak, Isabelle Wekstein
- Pour signer ce texte ou réagir écrivez à groupeinformel@yahoo.fr
Par Claudia (Claudia) le lundi 22 novembre 2004 - 19h18: |
Pas de signe d'empoisonnement dans le dossier médical de Yasser Arafat, selon son neveu
PARIS (AP) - Le dossier médical de Yasser Arafat ne donne pas un diagnostic clair sur la cause de son décès et précise qu'aucune trace de poison connu n'a été découverte, a déclaré lundi le neveu de l'ancien dirigeant palestinien, Nasser al-Kidwa, après avoir obtenu une copie du document.
Lors d'une conférence de presse à Paris, M. Al-Kidwa a imputé en partie la mort de son oncle à son confinement par l'armée israélienne pendant près de trois ans dans son QG de Ramallah, en Cisjordanie. "Je pense que les autorités israéliennes sont largement responsables de ce qui s'est passé", a-t-il déclaré, environ deux heures après que les autorités françaises lui eurent remis le volumineux dossier médical de Yasser Arafat.
M. Al-Kidwa a précisé ne pas avoir eu vraiment le temps de prendre connaissance du document, long de 558 pages, et des radiographies. Mais il a souligné que des tests toxicologiques avaient été pratiqués et qu'"aucun poison connu n'avait été découvert par les médecins". Le neveu de l'ancien dirigeant palestinien n'a toutefois pas complètement exclu l'hypothèse d'un empoisonnement. "Je n'affirme rien mais nous ne sommes pas en mesure d'exclure quoi que ce soit étant donné les faits."
Il a également souligné que le dossier n'établissait pas un diagnostic clair de la cause de la mort de Yasser Arafat, décédé le 11 novembre à l'hôpital militaire Percy à Clamart, près de Paris, après deux semaines de traitement.
"Pour les autorités françaises, médicalement, le dossier est considéré comme clos. Pour nous, parce que nous n'avons pas un diagnostic clair, un point d'interrogation demeure et je crois personnellement qu'il va rester encore un moment."
M. Al-Kidwa a souligné que le rapport serait "mis à la disposition de l'Autorité palestinienne" et a promis que celle-ci étudierait le dossier pour tenter de déterminer la cause du décès. L'instance dirigeante palestinienne a déjà créé une commission d'enquête comprenant des médecins qui avaient traité le raïs dans le passé.
L'absence d'information officielle sur les raisons de la mort du dirigeant palestinien a provoqué une prolifération de rumeurs dans le monde arabe, selon lesquelles il aurait été empoisonné.
Avant sa mort, les médecins français ont révélé que Yasser Arafat avait un niveau bas de plaquettes sanguines, un taux élevé de globules blancs, que la leucémie était exclue et qu'il avait sombré dans le coma. Des responsables palestiniens ont annoncé qu'il avait subi une hémorragie cérébrale peu avant sa mort.
De tels symptômes peuvent accompagner des maladies très diverses de la pneumonie au cancer. Agé de 75 ans, Yasser Arafat avait une santé chancelante depuis plusieurs années.
Son neveu a pris possession du dossier médical lundi matin, malgré les objections de la veuve du raïs, Souha. Ambassadeur des Palestiniens aux Nations unies, M. Al-Kidwa est venu chercher le dossier pour le compte de l'Autorité palestinienne, qui a promis de rendre publique la cause du décès.
Souha Arafat, qui a également une copie du dossier, avait menacé d'engager une procédure judiciaire pour empêcher d'autres membres de la famille du disparu d'obtenir le document. Les avocats de Mme Arafat ont averti dimanche soir que l'hôpital d'instruction des armées Percy "ferait face seul aux conséquences", si le dossier était remis à d'autres proches.
M. Al-Kidwa a balayé les objections de Mme Arafat, affirmant que "le peuple palestinien avait le droit de savoir". AP
Par Edmond (Edmond) le lundi 22 novembre 2004 - 18h50: |
Une presse d’une autre époque…européenne
par Victor Nizard
Pris à partie par un certain Gélinas-lui même d’ascendance juive après ma vive réaction à une tentative de lynchage public du fondateur de Judéoscope, je découvre avec effarement une presse aujourd’hui disparue en Europe.
Des sites internet qui semblent assis sur des revendications indépendantistes, font fi de toute précaution oratoire et de toute pudeur quant à des propos frisant l’antisémitisme (mal) dissimulé derrière la façade politiquement correcte de l’antisionisme –dont ils ne connaissent visiblement pas la signification.
Les propos d’un certain Girard de vigile.net lui auraient valu en France des plaintes pour incitation à la haine raciale, les propos de M. Gélinas-luimêmed’ascendancejuive sur le site du « Québécois » appelant à la vindicte contre qui ne partage pas ses faméliques avis, n’auraient jamais trouvé une place dans les colonnes d’un média qui se targue de l’appui financier d’hommes politiques non extrémistes.
Je découvre avec stupeur que ces gens en sont à « la France juive » de Drumont ou font leurs classes à « Je suis partout». Je retrouve aussi le charabia pompeux « vieille France » en vogue sur radio Courtoisie (radio Le Pen à Paris).
J’ai reçu quelques courriels qui me suggèrent de retourner chez moi si je suis venu « bouffer du Palestinien » chez eux. J’ai toujours cru à l’établissement de deux États. Par contre je veux bouffer de la bêtise, et là, je crois que je suis tombé sur un filon.
Un journal, Le Nouvelliste, publie l’article d’un érudit qui s’interroge sur la réalité des « Protocoles des sages de Sion », célèbre faux de la police tsariste du début du 20e siècle. Sur Radio-Canada on entend parler de la nouvelle rumeur qui veut qu’ Israël ait des enfants soldats à l’instar des tyrans sévissant sur la planète …À moins qu’ils ne parlent des enfants palestiniens sacrifiés au nom de la haine.
Je suggère à tous, d’écrire aux hommes politiques qui soutiennent ces médias pour demander s’ils cautionnent ces propos d’un autre âge.
La presse francophone est, à mon grand désespoir, victime de la pensée unique. À Paris, lors des manifestations contre la guerre en Irak, les lâches criaient mort à Bush, mort à Sharon. On n’entendait rien concernant les tyrans ordinaires Saddam et Oussama.
Ici c’est pareil. Je veux croire que mes nouveaux amis québécois méritent mieux que cela.
http://www.judeoscope.ca/analyse/041121_vig_lequeb.htm
Par Mena (Mena) le lundi 22 novembre 2004 - 18h48: |
Inédit du "Petit Nicolas", édition "collector" (info # 022211/4) [Réinformation]
par Luc Rosenzweig © Metula News Agency
Cela s'appelle " la controverse de Netzarim" et se voudrait, à en croire le titre, la résurgence moderne de la controverse de Valladolid, où l'on discutait doctement de savoir si les Indiens d'Amérique étaient, oui ou non des créatures de Dieu.
C'est sous ce titre, qui plaira aux instruits, que Nicolas Delesalle, reporter à Télérama, l'hebdo de télévision que les intellos achètent le lundi pour se faire pardonner de s'être gavés de foot, de feuilletons et de Star'ac pendant le week-end a pondu dans l'édition du 22 novembre un long article sur les derniers développements de l'affaire Al-Dura, dont les lecteurs de la Mena ont été tenu au courant en temps réel.
Nicolas semble tout ému de manier une pâte informationnelle complexe, de voyager, sans quitter Paris, entre Jérusalem, Gaza, Amman, de se plonger dans cet Orient compliqué qu'il convient absolument de simplifier pour que les "fondamentaux" - victimisation systématique des Palestiniens et démonisation parallèle des Israéliens- constitutifs de l'attitude majoritaire de l'opinion française soient préservés.
Pour Nicolas, dès le départ, l'affaire semblait entendue: l'hypothèse d'une mise en scène de l'affaire Al Dura ne pouvait être sérieusement prise en compte. Ce serait trop énorme. Cela fait songer à cette histoire polonaise, dans laquelle on voit un savant sortir exceptionnellement de son cabinet d'étude pour aller au zoo, se trouver face à un éléphant et s'exclamer " cela ne se peut !". Et pourtant si, mon petit Nicolas, cela se peut, car cela s'est vu, à Netzarim le 30 septembre 2000, où personne, pas même Didier Epelbaum, hiérarque de France 2, ne conteste qu'on été mises en scène quelque petits sketches de faux blessés traînés dans des ambulances. Cela s'est vu également à Jénine, où un drone israélien a filmé des obsèques bidon d'un "martyr" qui, tombant de son catafalque, s'enfuit en courant. Nicolas aurait pu, pour sa plus grande gloire et son plus grand profit, élargir son périple téléphonique aux Etats-Unis, où un professeur de l'Université de Boston, Richard Landes, qui a fait un répertoire écrit et filmé de ce genre de saynètes sous le titre " Pallywood", mot-valise incluant Palestine et Hollywood.
Cela "se peut" donc, et il n'est pas de notre ressort de porter un jugement moral sur ces pratiques: elles ne sont pas le monopole des Palestiniens, et on les rencontre dans tous les conflits dit "asymétriques". Il s'agit, pour le faible de transformer le champ de bataille en scène du crime, de faire apparaître l'adversaire comme monstrueux au regard des lois de la guerre pour l'affaiblir à l'intérieur et à l'extérieur.
Toute la "contre enquête" du petit Nicolas est donc dirigée vers un seul but: maintenir le lecteur de Télérama dans le confort moral de celui qui a été horrifié par les images du Journal de France 2 et qu’il a forgé, à partir de la sa conviction, sur les bons et les méchants dans le conflit israélo-palestinien.
Il faut donc à tout prix que les "douteurs" deviennent douteux: faire qualifier par des anonymes la Mena de "versant honorable de l'intégrisme juif" est une petite crapulerie qui peut être, certes démolie par la simple lecture des articles publiés depuis la création de cette agence, où il n'est jamais question de religion en général, ni, à plus forte raison, de sujets mettant en valeur les thèmes récurrents de "l'intégrisme juif": Grand Israël, combat contre le laïcisme de la majorité de la société israélienne etc. Mais cette petite pique fera mouche chez ceux qui, comme l'auteur de ces lignes, ont en sainte horreur tous les intégrismes de toutes les religions révélées... Quant à l'accusation "d'hystérie" formulée à l'encontre de la Mena par Elisabeth Schemla, c'est vraiment l'Hôpital qui se fiche de la Charité !
Je ne devrais, en bonne logique, que me féliciter de la mise en scène de ma personne par le petit Nicolas, me créditant d'une "prudence" dont seraient dépourvus les autres critiques de France 2, comme Stéphane Juffa, Dany Seaman et Nahum Shahaf. Pour me servir, croit-il, il me fait dire "je suis prêt à faire amende honorable si on me montre une photo récente de ses blessures" (de Jamal Al Dura ndlr).
Non, mon petit Nicolas, je n'ai jamais dit ça, ni à vous, ni lors de la réunion à France 2 du 22 septembre. Ce que j'ai dit est très simple: "Je suis prêt à modifier mon intime conviction sur cette affaire si un ou plusieurs médecins légistes d'un pays neutre - j'ai même cité la Suisse et la Finlande - démontrent que les cicatrices de Jamal Al Dura sont consécutives à des blessures par balles reçues il y a quatre ans". Point barre.
On apprend, en terminant le papier du petit Nicolas que Jamal Al dura serait prêt à venir montrer ses cicatrices à Paris. C'est en tout cas ce qu'affirme Talal Abou Rahma, l'homme qui se rétracte plus vite que son ombre; chiche! Et pourquoi pas à l'Hôpital militaire Percy de Clamart ?
Par Benzarti (Benzarti) le lundi 22 novembre 2004 - 18h40: |
J'aimerai avoir votre opinion sur les photos de soldats israeliens posant a coté de cadavres palestiniens!!!
Vous aller encore trouver une excuse pour justifier ça,comme je vous connais...
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 22 novembre 2004 - 17h09: |
Allez vous exprimer en masse sur la mort d'Arafat :
http://www.expression-publique.com/expression-publique/questionnaire.php?adresse=palmd47&log=100019898
Par Douda (Douda) le lundi 22 novembre 2004 - 16h31: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Message non privé à Monsieur Chemla,
Alors là on ne peut que vous dire Bravo Monsieur Chemla ! Nous sommes avec vous de tout coeur, et un grand merci pour votre commentaire, du 22 novembre 2004 sur Primo-Europe, celui ci nous apporte au coeur et à l’esprit, une chaleur intense !
Nous voudrions seulement y ajouter, parmi les exemples que vous citez, les autodafés de l’inquisition, qui se déroulaient en place de “Corideïra”, (place de grève en français), là où cette même inquisition, faisait après d’interminables procès, brûler vifs les Juifs qui refusaient de se convertir à la religion
catholique.
Ce sont les mêmes foules fanatisées et hystériques, qui venaient se délecter du spectacle qui leur était offert, avec les bénédictions royales et ecclésiastiques.
Bien à Vous,
Wnessou El Douda
Par Shira (Shira) le lundi 22 novembre 2004 - 16h30: |
KKL POUR TSAHAL
Grande tournée exceptionnelle, en France de "LA TROUPE DE L'ARMEE DE L'AIR D'ISRAEL"
en faveur de la création d'aires de détente et de rencontres "Parents - Soldats", à l'entrée des bases de Tsahal dans le Néguev.
- le 24 novembre à Metz,
- le 25 novembre à Strasbourg,
- le 29 novembre à Paris.
> Détails de la tournée de la Troupe de l'Armée de l'Air d'Israël :
METZ : Mercredi 24 Novembre à 20 H.
Centre Communautaire > Salle Galil
39, rue du Rabbin Elie Bloch - 57000 Metz
Réservations :
Communauté Israélite de Metz / KKL : Tél. 03 87 75 04 44
STRASBOURG : Jeudi 25 Novembre 2004 à 20 H.
Centre Communautaire de la paix :
1A rue René Hirschler - 67000 Strasbourg
Réservations : KKL : 1A, rue René Hirschler - 67000 Strasbourg
Tél. : 03 88 35 54 26.
PARIS : Lundi 29 Novembre 2004 à 20 H.
au Théâtre du Gymnase : 38 Bld. de Bonne Nouvelle - 75010 PARIS
Réservations : K.K.L : 11 Rue du Quatre Septembre - 75002 PARIS
Tél. 01 42 86 88 88 - mail : info@kkl-france.org
Cette année le Keren Kayemeth LeIsraël se mobilise pour TSAHAL, l'Armée de Défense d'Israël, dans le cadre de sa campagne de développement du Néguev.
C'est un joli titre " KKL pour TSAHAL ", mais avant toute chose, une noble cause.
En effet, vous le savez certainement, en Israël, filles et garçons, vers l'âge de 18 ans, sont enrôlés dans l'armée pour une période de 2 ou 3 ans. La majorité de ces jeunes servent dans des bases militaires éloignées de leur domicile et ne rentrent pas chaque semaine dans leurs familles.
La plupart des bases militaires accepte la visite des familles, mais n'ont pas de structures d'accueil pour les recevoir. Le KKL a créé d'agréables et verdoyants lieux de rencontres abrités par des arbres, des pergolas et installé des bancs, des tables, des jeux pour les enfants, afin que les familles et les soldat(e)s puissent se retrouver, ENSEMBLE, REUNIS, dans le confort de la nature aménagée par le KKL.
En période de service militaire, le quotidien est rarement facile pour ces enfants, qui n'ont que 18 ans. Etre séparé de sa famille, de ses frères et sœurs, de ses parents, c'est éprouvant. Et vous pouvez imaginer qu'il est assez difficile de porter un " barda " de 42 kilos, un casque et un fusil toute une journée ; difficile aussi de ne pas avoir son père ou sa mère près de soi le soir… difficile de ne pouvoir se confier à un être cher, quand on sort à peine de l'adolescence.
En soutenant et en participant à notre action, vous allez contribuer à la création de ces espaces verdoyants, vous allez contribuer au rapprochement des familles et des soldat(e)s et vous allez encourager et promouvoir ce lien unique entre le KKL et TSAHAL en développant des projets au profit des soldats.
Vous ferez partie de cette chaîne humaine qui unit le peuple à l'armée. L'armée israélienne est une véritable armée populaire, car ce sont nos jeunes qui donnent 3 années de leur vie pour notre sécurité, et TSAHAL, c'est la sécurité directe et indirecte des juifs du monde entier. Ce sont eux notre fierté, ils sont notre TIKVA, notre espoir, ils sont le futur de notre Etat, ils sont les garants de notre indépendance. Ce sont eux qui font flotter le drapeau de la liberté pour les juifs du monde entier.
Pour encore mieux vous faire connaître TSAHAL, le KKL va organiser en novembre une grande tournée de la Troupe de l'Armée de l'Air Israélienne. ( Lahakat Hel Avir). Un tour de chant, des projections vidéos, des surprises, pour vous, dans toute la France.
Vous allez pouvoir écouter ces enfants, car ce ne sont que des enfants, ils ont des voix sublimes, vous allez les apprécier, car leurs voix sont belles, envoûtantes. Ils vont vous émouvoir et vous pourrez soutenir cette nouvelle action essentielle du Keren Kayemeth LeIsraël.
Ils vous attendent, ils vous espèrent, ils ont besoin de votre présence, de votre soutien, de vos applaudissements, ils ont besoin de sentir votre attachement à notre terre, votre attachement à notre Armée, ils ont besoin de sentir votre Amour et vous les apprécierez, vous les aimerez, car ils sont NOS enfants.
Le K.K.L. de France se mobilise pour les familles des soldats de Tsahal