Archive jusqu'au 25/novembre/2004-2

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires de Novembre 2004: Archive jusqu'au 25/novembre/2004-2
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Ajm (Ajm) le jeudi 25 novembre 2004 - 16h28:

Au fond, alors, le moineau est un pinc' sans rire, un pinson polisson, un «sfour touh», un terrassier chanteur, et, finalement, un truc sexiste qui renvoie la femme à la buanderie.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 25 novembre 2004 - 16h20:

'Fais coOOOOOmme l'oiseauAUAUAAUU..§§§§§
Ça vit d'air pur et d'eau fraîIIIIIIIche, un oiseauAUAUAUAUAUAU..§§§§§§§§§§
D'un peu de chasse et de pêEEEEEche, un oiseauAUAUAUAAUAU...§§§§§§§
Mais jamais rien ne l'empêEEEEEche, l'oiseau, d'aller plus hautOOOOO..§§§§§§§

Mais je suis seul dans l'univers
J'ai peur du ciel et de l'hiver
J'ai peur des fous et de la guerre
J'ai peur du temps qui passe, dis
Comment peut on vivre aujourd'hui
Dans la fureur et dans le bruit
Je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdu;!!!

MICHEL FUGAIN.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 25 novembre 2004 - 16h09:

Le mot ASSFOUR se rapporte en génèrale à tous les oiseaux....En y ajoutant la famille nous avons...ASSFOUR CANALOU...ASSFOUR EL SAWAH...( des champs...etc...Je ne les connais pas tous..
Et tout le monde se souvient de la CHANSON....

'..YANDI ASSFOUR KOL SBAH I GHENI..'
Ici le mot ASSFOUR est au sens figurè...

Il sous entend le sexe mâle...:) :) :)

ALBERT ASSFOUR KOL SBAH I GHENI...AAL CHEJRA MERTAH...

Albert l'oiseau, chante tout les matins sur un arbre, bien reposè.

Nous avons aussi le célèbre film de HITCHCOK...Coco ricooooo...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 25 novembre 2004 - 15h58:

L'expression...

'...Assfour fi yedeq khir mel zouz assafar i tirrou..'

Littéralement traduit...du judèo arabe..

'.Vaut mieux un oiseau dans ta main que deux qui s'envolent...!'

Un tien vaut mieux que deux.

Albert ASSFOUR.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Ajm (Ajm) le jeudi 25 novembre 2004 - 15h29:

À propos de moineaux, j'aimerais ajouter ce petit texte, un poil poétique (par accident), que j'ai pondu la semaine passée, dans un accès de cafard face à certaines vicissitudes. C'est aussi une histoire de barbus. Mais moins drôle.


Le secret des moineaux

Ils forment un ensemble terne et sans attrait, souvent austère, comme s'ils avaient été coulés dans un même moule, prévu à l'origine pour d'autres formes, d'autres couleurs, et qui, peut-être d'avoir trop servi, a perdu toute originalité, toute liberté.

Ils sont volontiers bruyants. Ils se réunissent régulièrement pour crier, sans que rien dans leur environnement ne semble motiver cette ferveur.

Ils sont sans égard. Toujours en groupe, ils chassent efficacement leurs congénères plus colorés et moins vigoureux des sources de subsistance et imposent leur présence dominante.

Ils sont affamés et déraisonnables. Leurs nuées s'attaquent aux ressources dès les semis, jamais n'attendent les moissons, et il faut des trésors de ruse pour, sous leurs regards, faire pousser de quoi nourrir les siens.

Ils sont sans gêne ni modestie. Ils s'approchent volontiers, pour picorer leurs miettes, de ceux qui, jeunes, trop civilisés ou trop peu éclairés, les pensent nécessiteux parce qu'ils n'hésitent pas à exiger.

Et puis leur regard. Les regarder longuement, c'est comme se pencher au-dessus d'un puit de haine noire. Pas toujours, mais souvent, de plus en plus.

Quel est donc le secret perdu qui les rend si tristes, si intolérants?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le jeudi 25 novembre 2004 - 15h32:

Halfaouine, l'Enfant des Terrasses, le film de Farid Boughedir, présenté au festival de Cannes en 1990, a pour titre original Asfour Stah.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le jeudi 25 novembre 2004 - 15h11:

cette pince à linge interprétée par les " quatre barbus "se chantait sur la musique de la 5° symphonie de Beethoveen

pom pom pom POM...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 25 novembre 2004 - 15h07:

Je voudrais aussi préciser que le moineau s'appelle vulgairement en arabe ASSFOUR EL STOUH...L'oiseau des terrasses sans doute que ce petit qolibet se rapporte à la PINCE A LINGE...Toujours posès sur des cordes...

l'expression ASSFOUR EL STOUH se dit pour une personne qui se ballade d'un endroit à autre sans attache pariculière, colportant des refrains déjà entendus et connus.


Albert l'ASSFOUR.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 25 novembre 2004 - 15h01:

Et pan sur le BEC aurait dit LE CANARD DECHAINE...:) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Ajm (Ajm) le jeudi 25 novembre 2004 - 14h40:

Rectification:
d'après Francis Blanche et Pierre Dac, qui s'y connaissaient aussi en matière d'exclusivité absolue, cet objet s'appelle une «pinc' à linge». Même que la pinc' à linge a été inventée en 1887 par un certain Jérémie. Mais l'information n'est pas très sûre, vu qu'elle provient de barbus, et on dit même qu'ils étaient quatre.

Voici le texte original dans le langage de l'époque:

La pinc' à linge, La pinc' à linge,
La pinc' à ling', La pinc' à ling'
La pinc' à linge, la pin, la pin, la pin, la pin
La pinc' à linge, La pinc' à ling', La pinc' à ling'
La pinc' à linge, la pin, La pinc' à ling'
La pinc' à linge fût inventée en dix-huit cent quatre vingt sept,
Quatr' et trois, par un nommé Jérémie Victor Opdebec, cinq et deux,
Fils de son père et de sa mère
Neveu d'son oncle et de sa tante et petit fils de son grand-pèr'
Frèr' de sa sœur et frèr' de lait d'un marchand d'beurre

La belle histoire déjà quand il était enfant il montrait à tous les passants
Son curieux esprit compétent, Il inventait des appareils
Pour épépiner les groseilles, des muselières pour les fourmis
Et bien qu'il fût encor petit, c'était un mec, Opdebec
C'était un mec, un drôle de mec, un fameux mec
Et de Lu beck jusqu'à la Mecque il n'y avait un si chouette mec,
Jérémie Victor Opdebec.

Dans les champs, près de chez son père,
Le linge blanc dans la brise légère
Semblait lui dire avec le vent "pinc' à linge" "pinc' à linge"
Il faut au linge fin et trop léger
Une pince pour le pincer, pour le pincer, pour le pincer, le pincer
Et dès lors dans sa tête l'obsession qui l'inquiète
"Le pincer", "le pincer", puis un jour, Euréka ! Il avait trouvé.

Prenez deux petits morceaux de bois
Que vous assemblez en croix
Avec un p'tit bout de fil de fer faites un ressort en travers
Vous saississez cet instrument entre votre pouce et votre index
Vous le serrez en appuyant afin qu'il soit bien circonflexe
Enfin vous l'approchez du linge, du linge à faire sécher et vous lachez.

C'est ainsi que Jérémie Victor Opdebec, Opdebec,
Dans un éclair de son génie à su doter
Les lavandières, les blanchisseuses du monde entier
D'un' pinc' à ling', qui protègera la liberté à l'humanité
Pinc' à ling', pinc' à linge, grâce à toi maintenant,
Nos chemisettes, nos chaussettes résistent au vent,
Et nos cal'çons dorénavant répondront présent.

Et l'ouragan peut tonner, l'orage se déchaîner
Nous, grâce à la pince à ling' on est protégé, paré, sauvegardé,
On aura toujours de quoi espérer.
Amis, amis chantons en chœur, la louange et l'honneur
De notre bienfaiteur : Jérémie Victor Opdebec
Jérémie Victor Opdebec,Jérémie Victor Opdebec bec, bec
Bec, bec, bec, bec, bec, bec, bec, bec,
Bec, bec, bec, bec, bec, bec, bec, bec.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 25 novembre 2004 - 14h16:

ASFFOUR


En excluvitè pour vous et pour la première fois toujours pour vous l'EPINGLE A LINGE OU ASSFOUR..
Ce petit objet a beaucoup servi à nos mamans qui étendaient nos culottes et autres vêtements sur des CORDES A LINGE tendues, dites SRITA dans nos terrasses....

Ces cordes souvent retenues par des battons ou manches à balai afin que ces premières ne laissent pas leur linge toucher le sol et se salir.

Il arrivait souvent que quelques voisines indélicates, en mal de HASSAFAR, en dérobaient quelques unes faisant fi ainsi de la morale.

Des querelles entre elles s'en suivaient pour ce genre de larcin.

Les photographes à l'époque utilisaient aussi ce genre de PINCETTES pour faire sécher leurs négatifs.


ALBERT L ASSFOUR.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 25 novembre 2004 - 13h47:

VUE SUR LE BOU KORNINE..

PHOTO A PARTIR DE L'AUTOROUTE DE TUNIS-GOULETTE.

De mon correspondant particulier en Tunisie HAI BEKHOR pour l'Agence GOULETTOISE SHARON/BREITOUNA TRIC TRAC.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 25 novembre 2004 - 13h38:

Vous connaissz tous..L'expression..

'...ELLI JID ..I JID FI RESQUOU...!'
Celui qui donne augmente sa fortune..!'


http://tsedaka.fsju.org/fr/partenaires.html,http://tsedaka.fsju.org/fr/partenaires.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le jeudi 25 novembre 2004 - 10h30:

l'IMMIGRATION ILLEGALE EST UN PROBLEME AUSSI EN AMERIQUE MALGRE LEUR MUR DE SEPARATION
Illegals: The Imminent Threat Posed by Our Unsecured U.S.-Mexico Border


By Jon Dougherty
A focused examination of the problems posed by illegal immigration from the unique perspective of those who deal with the U.S.-Mexico border every day.

In years past, immigration into the United States was treated as a privilege, not a right to be granted automatically just by being able to make it to America's shoreline or borders. Today, however, the entire process of immigration has been drastically politicized by both major parties in Washington, D.C.; one party sees votes – the other, cheap labor. This is investigative journalist Jon Dougherty’s probing look into how this indiscriminate immigration is tearing at the fabric of our culture and society. Interviewing Border Patrol agents, local residents, citizen-enforcement groups and even the immigrants themselves, Dougherty examines the implicit dangers of our reckless attitude toward admittance, showing how all American citizens, native-born and otherwise, are consequently threatened by welfare fraud, drug lords, and terrorism. This is the untold, unnerving true story about the social and political turmoil on the U.S.-Mexico border.