Par Maxiton (Maxiton) le vendredi 26 novembre 2004 - 11h01: |
Cher Ajm,
le problème :
C'est France 2 qui a diffusé les images Al-Doura
C'est France 2 qui a offert GRATUITEMENT ces images aux chaînes du monde entier
Donc s'il y a eu manipulation c'est à France 2 de reconnaitre sa faute.
Le père Al-Doura n'est qu'un pion ,conscient ou non
C'est pour cette raison,je pense qu'il faut continuer de harceler France 2
Shabbat chalom
Par Nao (Nao) le vendredi 26 novembre 2004 - 06h32: |
Allez voir ce site:
http://www.vigie-media-palestine.org/index.html
Plus anti-israelien et anti-juif il n'y a pas...
Beurk!
Par Ajm (Ajm) le jeudi 25 novembre 2004 - 21h41: |
On s'emballe, on s'emballe…
Mais si le CSA a lâché son autorisation, c'est en grande partie parce que la décision politique avait été prise sans lui, et que sa seule chance d'exister encore dans cette histoire consistait à émettre des exigences très restrictives, ce qui a été fait. La difficulté réside maintenant dans la rapidité de réaction. Il faut maîtriser la procédure de plainte et surveiller de près Al-Manar; et foncer dès que le dossier (moyens de preuve, avis d'experts et consensus de plusieurs acteurs majeurs) sera solide, mais pas avant – avant, c'est perdre son souffle et sa salive pour rien ou pas grand-chose.
Pour Ménargues aussi, on s'emballe dans le vide, il me semble. Ce dégoûtant exemple d'humanité ne mérite pas qu'on désosse sa prose avec tant de soin et de conscience. Car ceux qui peuvent douter que cet homme est malhonnête et antisémite ne sont plus accessibles au raisonnement. Étudier le message de Ramadan, c'est utile, car on peut s'y tromper de bonne foi, mais Ménargues?
Et al-Dura. Quelle douleur. Attaquer FR2, est-ce une bonne idée, d'abord? Ils sont solides, payés pour l'être. Peut-on gagner contre eux? Et si on gagne, que gagne-t-on? Probablement pas le gros lot, avec un nouveau film gratuit diffusé dans le monde entier des mois durant pour innocenter Tsahal. Et pourquoi d'abord? Même si FR2 s'est plantée, qu'est-ce que ça prouve? qu'on ne peut pas prouver que Tsahal a tué un enfant – et après? Et quand bien même, l'histoire a tout de même quelques années… Et puis enfoncer FR2, est-ce bien enfoncer les vrais coupables? Où est la honte, dans cette histoire?
Et si on visait Jamal plutôt? Si on braquait les projecteurs juridiques sur le père blessé? Le dossier est déjà plus solide et la cible plus accessible, et surtout moins protégée. Si on peut non pas démontrer mais prouver que l'homme a menti, on obtient de quoi créer un dossier de RP vraiment bétonné, qu'on peut faire passer sans se soucier de FR2 (qui, si on lui fiche la paix, serait même peut-être disposée à pousser à la même roue). Juste une idée.
Mais surtout, on devrait se soucier de transmettre un message positif, de créer une sorte de «nouveau sionisme» ou quelque chose. Après tout, les dernières décennies fournissent un bon matériel pour cela. Tous les rêves du sionisme sont cassés, le post-sionisme a fait la preuve de son inanité (non?), on peut chercher à redéfinir un nouveau projet.
C'est quoi Israël? C'est quoi les Juifs? C'est quoi le peuple élu? Dans l'avenir, je veux dire?
Par Francois (Francois) le jeudi 25 novembre 2004 - 21h58: |
En ver et contre tout
Il n'a pas pu se retenir devant une telle opportunité. Il n'a pas pu résister à l'irrésistible tentation. Le Rais Chirak s'est lâché et s'est encore une fois adonné à sa monomanie: l'anuningus de dictateurs arabes.
Mon ami le Rais a donc été faire une virée chez son ami Khadafi.
La propagande française a sorti l'artillerie lourde pour donner un semblant de respectabilité à cette visite et a martelé cette justification ridicule: Tony Blair, Silvio Berlusconi et Gerhard Schroeder se sont rendus en Lybie, donc pourquoi pas nous.
Pas un de ces journalistes présumés n'a rappelé les vérités suivantes:
1) Tony Blair s'était rendu en Lybie pour sceller l'accord de désarmement avec Khadafi et pas pour lui faire de la lèche,
2) Silvio Berlusconi n'était pas non plus venu pour faire des mamours mais, principalement, pour négocier un accord sur l'immigration,
3) Si Schroeder veut câliner les nazis verts, ça le regarde et ça n'est pas une raison pour l'imiter.
Curieux comme tous ces "journalistes" si "critiques" vis à vis de Bush et de Sharon peuvent perdre tout esprit critique dans certains cas et entonner comme un seul pédaloïde la chanson de la propagande chirakienne.
Source: http://fr.news.yahoo.com/041124/202/45lrh.html
Par Mena (Mena) le jeudi 25 novembre 2004 - 20h29: |
La France, province cathodique du Hezbollah… (info # 012511/4) [analyse]
par Paul Landau © Metula News Agency
Il y aurait beaucoup à dire sur l'affaire Al-Manar - la chaîne de télévision du Hezbollah dont le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) vient d'autoriser la diffusion en France. Cette décision stupéfiante et lourde de conséquences n'a guère suscité de réactions, à ce jour, mise à part la vive protestation du CRIF, qui est sorti de sa réserve habituelle. Pourtant, cet événement en dit long sur l'état d’esprit de la société et des élites françaises.
Dans un article consacré à Al-Manar en février 2004, le journaliste de Libération Christophe Ayad écrivait ces lignes prémonitoires, qui permettent de comprendre, a posteriori, les dessous de la décision du CSA [1] :
Al-Manar est allé jusqu'à instaurer un court journal d'actualité en français à l'occasion du dernier sommet de la Francophonie en octobre 2002. Hezbollah - Francophonie, une histoire d'amour inattendue ! Hassan Nasrallah, le jeune secrétaire général du « Parti de Dieu », avait assisté, ravi, assis au premier rang avec les officiels libanais, au discours de Jacques Chirac pour un « monde multipolaire ». En coulisse, un diplomate français s'extasiait sur la mue du Hezbollah et ce nouveau « réservoir » pour la francophonie : « Quand on voit qu'il y a quinze ans ils enlevaient nos ressortissants ! Ils ont mûri, ce sont des interlocuteurs ».
La réflexion de ce diplomate français exprime très précisément les motivations de la politique française, à l'extérieur comme à l'intérieur des frontières de l'Hexagone. C'est ce mélange de naïveté et d'arrogance qui explique la décision du CSA en particulier, et la politique arabe de la France en général. Mélange détonnant, qui fait croire à des diplomates chevronnés que leur pays est protégé par sa politique étrangère contre le terrorisme du Hezbollah ou d'autres mouvements islamistes. Or, comme le démontre la récente affaire des otages Chesnot et Malbrunot, il n'en est rien… En effet, l'attitude française est une invitation à de nouvelles prises d'otages et à de nouvelles exigences de la part des mouvements islamistes.
Contrairement à ce que pensait ce diplomate en extase, ce n'est pas le Hezbollah qui a mûri, ou mué. Les dirigeants du « Parti de Dieu » ne se sont pas transformés subitement en admirateurs de Montaigne et de Rousseau, par amour de la francophonie. C'est la France, son gouvernement, son Président, ses autorités (CSA et autres) et ses élites politiques qui ont tellement « mûri », qu'ils se trouvent aujourd'hui dans un état de non-discernement avancé. L'histoire d'amour entre l’organisation Hezbollah, pourtant reconnue comme terroriste par l’Union Européenne, et le gouvernement français a depuis longtemps dépassé le stade des préliminaires pour atteindre celui des ébats proprement dit, et elle va bientôt donner ses fruits monstrueux.
Le discours de Jacques Chirac sur le « monde multipolaire », qui avait tellement plu au chef du « Parti de Dieu » libanais, se traduit à présent en actes et montre sa signification véritable. Comme l'écrivait récemment la journaliste israélienne Caroline Glick - observatrice très lucide de la scène politique locale et internationale - « l'obsession française de la multipolarité provient de la conception chiraquienne, selon laquelle l'objectif principal de son pays n'est pas de libérer le monde du terrorisme islamique, mais d'affaiblir les Etats-Unis » [2].
Il est improbable que l'objectif de Chirac sera atteint en ce qui concerne l'affaiblissement des Etats-Unis. Mais une chose est d'ores et déjà certaine : c'est que sa politique a réussi à transformer la France, autrefois puissance occidentale et « partenaire privilégié » du monde arabo-musulman, en un véritable acteur de celui-ci. Ce qui signifie que la France est en passe de devenir, sous le regard comblé d'aise des Nasrallah, Assad et autres chefs d'Etat ou de milices arabes, un élément à part entière du pôle arabo-musulman, au sein du monde « multipolaire » que Chirac appelle de ses vœux.
Contrairement à une idée reçue, ce n'est pas l'immigration musulmane en France et en Europe, qui est la cause de cette transformation radicale. En effet, les populations qui pratiquent l'islam en Europe sont d'une extrême diversité sociologique, culturelle et politique. Elles ne sont que très minoritairement engagées dans l'islamisme, cette idéologie politique totalitaire à laquelle MM. Sarkozy et De Villepin risquent d’inféoder la totalité de « l'islam de France », en faisant de l'UOIF le « CRIF musulman »… [3]
La cause de cette transformation, c'est la volonté politique des gouvernements français, depuis trois décennies, c'est-à-dire depuis qu'est apparu le projet politique auquel l'historienne Bat Ye'or a donné le nom d'Eurabia, dont elle a décrit la généalogie il y a déjà plusieurs années, bien avant que ses premières manifestations n'apparaissent au grand jour [4].
C'est Eurabia qui permet de comprendre les décisions politiques autrement inexplicables - tellement elles sont contraires aux intérêts bien compris de la France - comme la légalisation de la chaîne Al-Manar par le CSA. Eurabia, cela veut dire que l'Europe judéo-chrétienne - que Tariq Ramadan qualifie de « vaste supercherie » - est en train de céder du terrain à une Europe musulmane, conformément aux souhaits du Président Chirac. Eurabia, c'est l’explication du déclin d'une civilisation millénaire, et d'un pays dans lequel beaucoup de Juifs croyaient à tort avoir trouvé une patrie. « La France n'est pas un pays antisémite », répète-t-on à l'envi après chaque incendie de synagogue. Non, certes, la France n'est pas (encore) un pays antisémite. Elle est simplement en train de devenir, sous les regards attendris du Président Chirac et du cheikh Hassan Nasrallah, une province cathodique et politique du Hezbollah.
_____________________________________________________________________
Notes :
[1] C. Ayad, « Al-Manar TV, une chaîne de guerre », Libération, 2 février 2004. C'est moi qui souligne. Voir aussi Michaël Béhé, « Un sommet où la France favorise ses ennemis et enterre ses amis ! », Metula News Agency, 19 février 2002.
[2] C. Glick, « H-Hour has arrived », Jerusalem Post, 19 novembre 2004.
[3] Voir à ce sujet le rapport très éloquent du Centre Simon Wiesenthal, «Le vrai visage de l'UOIF », publié sur Internet, www.wiesenthal.com.
[4] Bat Ye'or, Eurabia : The Euro-Arab Axis, Cranbury, NJ Fairleigh Dickinson University Press, 2005. Pour un exposé en français, voir « L'esprit d'Eurabia », www.primo-europe.org.
Par Albert (Albert) le jeudi 25 novembre 2004 - 20h15: |
AGENCE GOULETTOISE SHARON/BREITOUNA TRIC TRAC..
Comme vous avez pu le constater, avec juste deux bouts de bois et un ressort, nous avons eu droit, à quelques répliques pleines d’humour.
Si j’avais parle de singes, nous aurions fait la grimace puisque nous faisons partis de cette espèce en voie d’EVOLUTION.
Les chameaux et dromadaires ne m’intéressent pas à cause de leurs bosses que beaucoup ne voient pas.
Si j’avais par contre, envoyé un tire-bouchon à étron et non à électron, il serait passe inaperçu tant il vrai que ce bout de fer inspiré par la QUEUE du cochon soulève des hauts-le cœur tant il est interdit chez nous. Les huîtres aussi. Pas certaines moules par contre. Je m’y connais en bonnes moules. J’ai un truc pour les ouvrir.
Gardons la tête froide.
Donc au sujet d’oiseau je vous rappelle aussi cette fameuse expression en judèo..
‘…Béch en kosslou jouenhou…BABOUSSOU..’ Je vais lui couper les ailes.. LA QUEUE…!’
Sous entendu, je vais mettre un frein à son allant, élan où à ses turpitudes…pour quelqu’un qui se veut trop entreprenant…etc
Il y a aussi LE FRELUQUET…que tout le monde a oublie.
Celui là fait aussi partie , d’un certain qualificatif de noms d’oiseaux connus chez les ‘oiseleurs’, avertis mais utilisé dans un sens fort critiquable.
Ce qualificatif se traduit , au sens figuré pour certaine gente par quelqu’un de malingre,
de faible physiquement ou même moralement. Petit ou nain.
C’est disons le un peu derisionnaire que de traiter qq un de FRELUQUET.
Tout dépend de l’espèce en question. En générale, on l’admet sans en tenir rancune dans les cercles et assemblées populaires. Il fait plutôt rire de nos jours.
A ne pas mettre en cage surtout.
Albert ASSFOUR.
Par Douda (Douda) le jeudi 25 novembre 2004 - 18h49: |
La Douda ( Agence Ornithologique Goulettoise )
Le Ftileur : Voici le bestiaire des volatiles à Bébert :
Canalou, Be Sif y rani koulioum, (Canari)
Samaris, oueld canalou, (Serin Cini)
Boulboulone, y rani koulil, (Rossignol)
Grèl, oueld oma canalou ou bou chèref, (Mulet)
Chèref bel ras ahmar, y rani ou nik koul canalou, (Chardonneret adulte)
Mocnine, m’y ranich alech oueld zrir chèref , (Chardonneret jeune)
Chakchouk, asfour kin chachouca, (Oiseau indeterminé)
Boubreil, Zama y t’kelem, (Perroquet)
Bardloun, andou l’ rich asfar, (Verdron ou Verdier)
Bizouich, kin far y amel hass bèzef, (Moineau)
Boufsaïr, t’chouffou fel seïf, (Agrobat fauve)
Goumissa khriga, t’chouffou chtè, (Fauvette)
...Etc...Etc...
Nous n’avons cité que la haute court,
Pour la basse court, il faut attendre
S’il en as d’autres, Bébert doit raconter !
Wnessou El Douda
Par Lapid (Lapid) le jeudi 25 novembre 2004 - 18h59: |
A lire !!
L’affaire Ménargues, Dossier de 'L’Arche'
Cliquer sur les adresses suivantes afin de lire les extraits de ce dossier mis en ligne sur le site de l'upjf le 25/11/2004 :
L’affaire Ménargues»,(Dossier de 'L’Arche' (I))
Alain Ménargues dans le texte ('Le Mur de Sharon') (Dossier de 'L'Arche' (II)
Alain Ménargues 'inculte' ou malveillant' (Dossier de 'L'Arche' (III))
Puissance des fantasmes (Ménargues), Waintrater ('L'Arche' (IV))
Par Lapid (Lapid) le jeudi 25 novembre 2004 - 18h34: |
Affaire Al-Dura (suite)
20 MINUTES POUR CONVAINCRE ! 24/11/2004
par le SNPCA (Syndicat National des Personnels de la Communication et de l'Audiovisuel.)
A lire en cliquant sur le site du syndicat de l'audiovisuel :
20 minutes pour convaincre
Dans le journal gratuit : «20 minutes» du 22/11/04, distribué à l'entrée des stations de métro, il y a, dans la rubrique «les coulisses tv» un curieux article : «France 2 s'attaque aux rumeurs de manipulation».
De quoi s'agit-t-il donc et de quelle manipulation est-il question? L'article du quotidien indique que «Arlette Chabot [directrice de l'info] a disséqué chacun des plans comparant les images du garçon et de sa dépouille, ainsi que celle du père et de ses cicatrices» (sic) La phrase suivante conclut «Reste à savoir si cela suffira à stopper la rumeur».
Mais quelle est donc cette rumeur qu'il faut stopper ? Suffit-il de quelques lignes dans un quotidien gratuit pour, à son tour, affirmer ?
Puisqu'Arlette Chabot «a disséqué les images», en quoi ceci prouve-t-il cela ? Elle pourrait sûrement l'expliquer ! Mais sur ces «vérifications» il n'est donné aucune précision.
S'agissant maintenant de la conférence de presse organisée par l'intéressée, la semaine dernière, à la hâte, visant à «communiquer» sur le reportage diffusé par France 2 qui «montrait la mort en direct d'un jeune Palestinien, Mohamed al Dura, tué, selon la chaîne, par des balles israéliennes dans les bras de son père blessé». (sic «20 Minutes») : Il est étrange de constater qu'une chaîne, par la voix de sa directrice générale adjointe chargée de l'information, décide, dans le cadre d'une conférence de Presse, de déclarer certaines personnes «non grata» et donc refouler à l'entrée le, ou les indésirables, évitant ainsi la moindre question au sujet du dossier, concernant soit le fond, soit le respect de la charte de la chaîne publique.
Particulièrement, dans l'obligation de la chaîne publique de : «donner aux téléspectateurs une bonne information donc une information vraie» ainsi que, suivant la charte des devoirs des journalistes (consultable sur les sites web de France Télévisions), qui dispose clairement que «un journaliste digne de ce nom prend la responsabilité de ses écrits. Tient la calomnie, les accusations sans preuve, l'altération des documents, la déformation des faits, le mensonge pour les plus graves fautes professionnelles». Alors pourquoi, ne serait-ce que sur l'origine des tirs, sans aborder réellement l'affaire qui fera vraisemblablement l'objet d'une publication complémentaire, en fonction de son évolution, Arlette Chabot, responsable éditoriale, déclarait-elle sur Radio J : «qu'on ne pouvait pas dire à 100% d'où venaient les tirs».
C'est bien sur ce dernier point que le Conseil d'Etat a été saisi par un contribuable, lui aussi épris d'un souci de vérité - comme c'est son droit -, après avoir épuisé tous les autres recours et déjà soutenu dans sa démarche par plus de 2000 signataires, dans le cadre d'une pétition.
C'est probablement ce qui motivait également la question écrite que Roland Blum député des Bouches du Rhône s'apprêtait à poser au Gouvernement le 08/11/2004 (*) «attirant l'attention du Ministre de la Culture et de la communication sur la polémique mettant en cause France 2, au sujet d'images largement diffusées dans le monde depuis 2001, et [dont] l'authenticité ainsi que l'interprétation sont contestées.» Le représentant élu du peuple français souhaitait ainsi demander au Ministre «de bien vouloir préciser si les faits qui ont été rapportés par la chaîne publique, qui se serait ensuite rétractée, et du correspondant de la chaîne en Israël, censé monter l'assassinat d'un enfant palestinien par des militaires israëliens sous le regard du père, sont exacts. Et dans le cas contraire, de lui faire connaître les résultats de l'enquête qu'il n'aura pas manqué de prescrire».
(* texte de la question obtenu sur le net).
Enfin, le député s'interrogeait sur le fait que «ce reportage pourrait s'avérer être une mise en scène, au sujet de laquelle le PDG de France Télévisions et la directrice de l'Information de France 2 auraient été sollicités pour fournir des explications sur une éventuelle imposture médiatique» (sic).
Ainsi donc, un député pourrait s'interroger, un grand hebdomadaire «L'Express» avoir des doutes et en faire sa une, c'est cependant France 2 qui détiendrait «la vérité» et crierait à la manipulation ! «La Deux», qui va même jusqu'à porter plainte contre X sur le texte, qu'elle juge diffamatoire au sujet de l'invitation d'une agence de presse [pourtant citée par France 2 l'agence n'est donc pas X] et qui, de plus, dit se réserver le droit de poursuivre toute personne mettant en cause l'intégrité professionnelle des journalistes de la chaîne…» !
Allons donc, un peu de sérieux ! Sans vouloir aborder spécifiquement, faut-il le redire, ici, le fond, il semble bien que l'interview donnée à «Télérama» par le journaliste responsable du reportage dans le n° 2650, page 10, en date du 25/10/2000 qui dit «j'ai coupé l'agonie de l'enfant parce que c'était trop insupportable» supporte [?], depuis un nouveau visionnage des rushes le 22/10/2004, une toute autre vision des choses.
Sans revenir sur l'origine des tirs et [sur les] déclarations faites sur leur provenance, dont Arlette Chabot elle-même dit ne pas pouvoir être sûre à 100%, il y aurait là sûrement beaucoup à dire.
Il est sûrement temps d'établir la vérité, et puisque France 2 dit avoir en sa possession tous les éléments permettant de «lever la rumeur». Que ne se livre-t-elle, avec tous ceux qui ont légitimement fait connaître leurs doutes, à un véritable travail de démonstration, quitte à ce qu'un comité ad hoc se prononce sur le contenu des images et des rushes à l'origine de cette polémique.
Ce sera, à l'évidence, le meilleur moyen pour rendre indiscutables les conclusions que pourront ainsi rendre ceux qui auront vu les images, faire concorder ces dernières avec les conclusions de France 2, et alors, dissiper les bruits dont la chaîne dit être victime. Que risque-t-elle ?
Paris, le 24 novembre 2004
Par Ajm (Ajm) le jeudi 25 novembre 2004 - 18h03: |
Et avec la même expression que le petit personnage du quatrième dessin:
Barghouti candidat?
Selon la radio de l'armée israélienne, Marouane Barghouti aurait décidé de se présenter à l'élection du prochain président de l'Autorité palestinienne. L'annonce en a été faite jeudi par un responsable du Fatah.
Barghouti, ancien chef du Fatah en Judée-Samarie, purge plusieurs peines de prison à vie en Israël. Ce qui ne l'empêche pas en principe de briguer la présidence de l'Autorité palestinienne.
Samedi dernier, sa femme Fadoua était venue chercher à la commission électorale de Ramallah un dossier de candidature pour son mari. Mais elle n'avait pas dit si Barghouti s'était décidé.
© Jerusalem Post Edition Française - 2004
Par Ajm (Ajm) le jeudi 25 novembre 2004 - 17h59: |
Par Lapid (Lapid) le jeudi 25 novembre 2004 - 18h03: |
Affaire Al-Dura (suite)
Le depute Roland Blum Interroge le Ministre de la Culture et de l'information
Question N° : 51299 de M. Blum Roland (Union pour un Mouvement Populaire - Bouches-du-Rhône) QE
Ministère interrogé : culture et communication
Ministère attributaire : culture et communication
Question publiée au JO le : 23/11/2004 page : 9105
Rubrique : audiovisuel et communication
Tête d'analyse : télévision
Analyse : France 2. Israël et territoires palestiniens. Affrontements. Couverture médiatique
Texte de la QUESTION :
M. Roland Blum attire l'attention de M. le ministre de la culture et de la communication sur la polémique mettant en cause la chaîne nationale de télévision France 2 au sujet d'images largement diffusées dans le monde depuis 2001 et dont l'authenticité ainsi que l'interprétation sont contestées. Il s'agit du reportage, fait par un reporter palestinien de la chaîne publique, qui se serait ensuite rétracté, et du correspondant permanent de la chaîne en Israël, censé montrer l'assassinat d'un enfant palestinien par des militaires israéliens sous le regard du père. Ce reportage pourrait s'avérer être une mise en scène au sujet de laquelle le président-directeur général de France Télévision, et la directrice de l'information de France 2 auraient été sollicités pour fournir des explications sur une éventuelle imposture médiatique. Il lui demande de bien vouloir lui préciser si les faits qui ont été rapportés par la chaîne publique sont exacts et, dans le cas contraire, de lui faire connaître les résultats de l'enquête qu'il n'aura pas manqué de prescrire.
Par Shalom (Shalom) le jeudi 25 novembre 2004 - 17h17: |
En anglais on dit quelque chose de semblable :
"A bird in the cage is better than two on the bush." (Pas le Président)
Traduction littéraire : "Un oiseau dans une cage, c’est mieux que deux sur un buisson."
-Un tien vaut mieux que deux tu l'aura.
Par Albert (Albert) le jeudi 25 novembre 2004 - 16h31: |
‘...Je prends mes plumes et je m'en vais,
voler bien haut dans le ciel serein,
je ne suis pas un serin
juste un moineau innocent
en prenant garde de ne pas me brûler les ailes.
Je vole de cimes en ‘sime’ honi (‘simèoni)
Soient les chasseurs maudits.
Sentir le vent sous mes ailes
traverser la mer merveille
sans me tromper de chemin.
Le Bou Kornine, je connais
Matmata aussi.
Nul horizon ne m’est inconnu
Montagnes et faits m’appartiennent.
Je 'nidifie' où je veux,
selon le temps et la saison.
Nul domaine ne m’est interdit
Ici ou ailleurs je me place
sous les ailes du divin… !
L'oiseau/enfant s 'en va ailleurs. Frrrrrrrrrrrr...