Par Michka (Michka) le lundi 29 novembre 2004 - 20h17: | Par Michka (Michka) le lundi 29 novembre 2004 - 20h17: |
Emile,
Je reprends votre phrase où vous me proposez d'éclaicir ma pensée :
... Du reste je ne vois pas à quoi vous vous référez en disant “Peuple des origines”. Vous voulez dire Peuple choisi?
"Peuple des origines", ne voulait pas dire "Peuple élu". A propos du "Peuple élu", et en m'inscrivant dans notre tradition de l'interprétation, pourquoi ne pas envisager le sens suivant : les Juifs, le peuple qui a élu D...?
Quant à "Peuple des origines" dans le sens de peuple aux origines de la Bible, du monothéisme, de la culture qui pose trois tabous fondamentaux : le parricide, le cannibalisme, l'inceste. Le Peuple qui a choisi le mot contre l'image....
| Par Maxiton (Maxiton) le lundi 29 novembre 2004 - 20h11: |
le mot exact est " bahar " cad : choisi
Baroukh acher bahar banou ; Béni CELUI qui nous a choisi
Je pense que le mot '" peuple élu " vient d'une "" erreur ""
de traduction par Jerôme au IV° siècle
| Par Claudia (Claudia) le lundi 29 novembre 2004 - 19h02: |
Les habits neufs de l’antisémitisme en Europe (*)
Sous la direction de Manfred Gerstenfeld et Shmuel Trigano
C’est dans un véritable tour d’Europe de l’ignominie antisémite que nous conduit ce remarquable ouvrage collectif. Au fil d’une lecture éprouvante, ceux qui, en France, avaient pu imaginer que la situation nauséabonde qui s’est peu à peu, depuis la seconde Intifada, installée dans nos villes et dans nos banlieues, constituent une exception, réaliseront avec stupeur et inquiétude que le phénomène a gangrené tout le continent. Jusqu’aux bords de la Baltique en passant par les Balkans ou les territoires des Vikings. Épouvantable ! Partout, souvent sous couvert d’antisionisme, les Juifs sont montrés du doigt, vilipendés, agressés. Partout, un même postulat semble opérer, selon les mots de Georges-Elia Sarfati : « celui de la péjoration ou de la criminalisation du fait juif ».
Un point de non-retour est en passe d’être franchi car, estime Shmuel Trigano en introduction, « un processus rampant de marginalisation des Juifs est potentiellement possible ». Et le philosophe de proposer un exemple terrifiant emprunté à l’Antiquité : « Les Juifs pourraient bien remplir encore aujourd’hui dans la civilisation contemporaine le rôle que le pharmakos remplissait dans la Grèce antique. Le pharmakos, un homme, parfois un couple, était entretenu et honoré par la Cité durant un an pour être ensuite battu et chassé, parfois tué, lors d’une cérémonie rituelle qui expurgeait ainsi la Cité de ses péchés et de son impureté. »
Certes, la situation n’est pas la même dans la vingtaine de pays étudiés. Elle est incontestablement beaucoup plus grave en France et en Belgique où de fortes communautés musulmanes sont implantées et où les actes de violence physique, les injures et les déprédations se comptent par centaines. Pour ce qui est de l’Italie, Sergio I. Minerbi limite son propos à un examen des ouvrages de Sergio Romano, Alberto Asor Rosa et Barbara Spinelli, tous trois représentatifs de l’esprit antisémite qui baigne désormais la péninsule. En Espagne, malgré l’exception que constitue le prix Nobel de littérature Camilo José Cela, un des rares amis d’Israël, et bien que la communauté juive ait adopté un profil bas, des relents de 1492 remontent à la surface. En Allemagne où l’on aurait pu légitimement penser que plus jamais cela n’arriverait, Gilad Margalit explique que « les médias permettent aux antisémites de s’exprimer librement ». Ce qui explique les dérives antijuives répétées. En Autriche, le refoulement du souvenir du comportement des institutions et du peuple aux heures sombres du nazisme se traduit par un antisémitisme larvé car « les Autrichiens d’aujourd’hui n’éprouvent aucun sentiment de honte pour ce que leur pays a fait subir aux Juifs ».
Autre pays décevant, la Hollande, dont la réputation de modération supposée était trompeuse. Pour Manfred Gerstenfeld, ce pays où « le gouvernement n’a pas reconnu à ce jour le rôle des autorités hollandaise dans la préparation du massacre des Juifs hollandais par les Allemands » et où, à 74%, les Hollandais ont eu le pourcentage le plus élevé des pays qui, lors du sondage Eurobaromètre de novembre 2003, ont considéré Israël comme un danger pour la paix du monde, est une terre d’hypocrisie. Le mythe du bon Hollandais, fondé sur l’histoire d’Anne Frank, est désormais caduc.
Au Danemark, où vivent près de 200 000 Musulmans, les Socialistes de gauche (VS), ont conclu depuis 1978, un accord de coopération avec le FPLP. Tout un symbole. Quant au journal Politiken, il se déchaîne à longueur de colonnes contre Israël et les Juifs. La Suède, où opère le fameux Ahmed Rami, de Radio Islam, n’est pas en reste. L’ambiance générale peut être résumée par un article stupéfiant de Katarina Mazetti dans Ordfront Magasin où l’on peut lire « Il est peut-être temps d’arrêter de faire des efforts pour envoyer nos jeunes suédois à Auschwitz pour qu’ils apprennent les conséquences du racisme et du nettoyage ethnique. Peut-être devrions-nous plutôt les inviter à se rendre, à l’occasion de Noël, à Bethléem, pour qu’ils puissent voir ce que les petits-enfants des victimes d’Auschwitz font quand ils se consacrent au nettoyage ethnique ». En Grande-Bretagne, les actes antisémites relèvent plutôt, nous disent Paul Iganski et Barry Kosmin, du divertissement de hooligans que du fanatisme. Voire du sport ! En attendant ce sont toujours les mêmes qui trinquent !
Même la pacifique Suisse est désormais atteinte par le virus. Conjugués avec un antiaméricanisme intense, « les sentiments anti-israéliens qui sévissent dans toutes les strates de la société suisse ne sont presque plus accessibles à un quelconque raisonnement rationnel ». Là aussi, c’est le délire collectif qui prévaut.
En Hongrie, où la responsabilité non admise et non assumée du pays à la catastrophe de la Shoah pèse toujours sur le mental de la société, l’orage gronde et la communauté fait le gros dos. En Pologne où les Juifs ont quasiment disparu, les brochures antisémites sont en vente libre dans les kiosques, les librairies, les aéroports, les gares et les églises. « On peut remarquer ironiquement, disent Sergiusz Kowalski et Magdalena Tulli, qu’est ainsi devenu possible non seulement un antisémitisme sans Juifs, mais aussi un antisémitisme sans antisémites ».
En Grèce, Andrew Apostolou décrit un antisémitisme primaire et vulgaire tandis qu’en Russie comme en Ukraine, où Les Protocoles des Sages de Sion sont proposés à la vente dans les boutiques des églises, l’augmentation des violences contre les Juifs est évidente.
Un travail édifiant qu’il faut absolument découvrir dans le détail.
Jean-Pierre Allali
(*) Éditions Café Noir. Septembre 2004. 288 pages. 20€
| Par Nao (Nao) le lundi 29 novembre 2004 - 17h35: |
Il faut aller voir le site www.jihadwatch.org!
Heureusement qu'il y a des gens eclaires comme Bob Spencer auteur de nombreux livres sur l'islam radical. Mais il n'y en a pas assez.
Ce qu'il faut a mon avis c'est aider les pays arabes a 1/ devenir des democraties (tache ardue en perspective) 2/ a renoncer au terrorisme (tache encore plus ardue) 3/ a devenir economiquement independants pour que leurs peuples trouvent du travail dans leurs propres pays. Ca limiterait l'immigration massive ailleurs qui est source de problemes.
La courageuse Irshad Manji dans son livre The Trouble with Islam souhaite encourager les femmes a devenir plus independantes financierement en devenant "self-entrepreneur". Cela les aiderait a sortir du ghetto purement reproductif ds lequel l'islam les confine.
Il est clair que la bataille demographique on ne peut pas la gagner. L'Europe est deja foutue. Une etude faite a Princeton prevoit qu'en 2025 l'islam sera la 1ere religion en Europe!
Sachant combien l'islam est proselyte, il ne va plus rien rester de la civilisation judeo-chretienne.
A ceux que j'entends deja m'accuser de racisme, je leur reponds qu'avoir le statut de dhimmi, ca n'est pas le monde auquel j'aspire pr mes enfants! et ca personne ne peut me le reprocher!
Le probleme ne serait pas l'islam si ils foutaient la paix aux gens!!! Le probleme c'est la nature intrinseque a l'islam qui convertit les gens en masse a la pointe de l'epee!
Regardez les pays d'Afrique noire, ils sont tombes comme des mouches sous la coupelle des Musulmans. En ecoutant un reportage sur RFI un matin, j'ai appris avec stupeur que meme le Senegal que je croyais encore chretien etait devenu totalement musulman!
Aussi l'Amerique doit resister et etre le dernier bastion a ne pas ceder.
Sinon le Free world est foutu aussi! et l'avenir de mes enfants et petits enfants aussi. C'est pr eux que je me bats!
| Par Rd (Rd) le lundi 29 novembre 2004 - 17h43: |
chers amis,
une question s'il vous plait et qui s'adresse a qui voudra répondre.
où , dans la thora est il question de "peuple élu" sous une forme ou une autre?
quel est le mot qui se traduit par "élu"?
y a t il un autre terme dont la traduction s'apparenterait plutot a "choix"?
doit on raisonner et comprendre autour des différentes variations sur le verbe élire ou choisir? ou autres?
merci
| Par Nao (Nao) le lundi 29 novembre 2004 - 17h53: |
Michka a raison de dire que nous ne sommes pas alles en Irak pr le petrole. Ca c'est de la propagance nefaste des alter-mondialistes gauchistes!
D'ailleurs a tous ceux qui osent monter en epingle ce mensonge, je leur dis venez voir le prix de l'essence ici! si on avait le petrole gratos alors on ne le payerait pas plus de 2 dollars le gallon. Or c'est l'Arabie saoudite qui doit pomper nuit et jour pr nous approvisionner.
La verite entendue de la bouche d'un jeune economiste c'est que l'Irak etait un point strategique. Il fallait faire tomber l'Afghanistan puis l'Irak tous deux ayant des frontieres communes avec l'Iran l'autre Satan du PO.
Ainsi les Americains ont maintenant pris en etau ce pays qui a des visees nucleaires.
La plaie du monde, c'est l'alliance malsaine entre les altermondialistes et l'islam! Leur soutien encourage l'islam radical a agir en toute impunite et a conquerir nos societes. Car les gauchistes ont des relents de culpabilite colonialiste. Ils pretendent vouloir se battre pour les pauvres et les opprimes mais preferent surtout que ces pauvres la restent sous la botte des despotes qui les affament.
Pendant ce temps la, eux vivent dans le confort des biens materiels de l'occident. La gauche caviar disait on!
Alors OUI J'ACCUSE les gauchos de tous calibres d'etre responsables de la propagation de l'islam radical. Allez donc voir les sites comme www.vigiemediapalestine.com et vous serez eclaire!!!
Assez de mensonge!!! A TOUS LES GAUCHISTES JE LEUR DIS VOUS ETES LA PLAIE DE NOTRE CIVILISATION MODERNE!
C'EST VOUS QUI ALLEZ NOUS METTRE TOUS DANS LE TROU!
C'etait l'humeur matinale des lundis de Nao.
| Par Marco (Marco) le lundi 29 novembre 2004 - 17h56: |
L'autorisation de diffusion de Al Manar ne serait elle pas le fruit d'un chantage des ravisseurs des 2 journalistes français en Irak ?
Le revirement de la décision du CSA est troublant.
| Par Soleil (Soleil) le lundi 29 novembre 2004 - 18h25: |
Expect the Unexpected
by David Wilder
The Jewish Community of Hebron
November 29, 2004
In Israel, today is known as "kaf-tet b'November. 'Kaf-
tet', two letters of the Hebrew alphabet represent, in
Hebrew, the number 29. In other words, the 29th of
November. That's today's date, so what's so special
about it? As far as I know, there aren't any other days in
the Gregorian calendar, known by their Hebrew
equivalent. Gregorian dates are known numerically –
the first of December, or April 15th. Dates on the
Hebrew calendar are recognized Hebraically, 'kaf-tet
Kislev – i.e., the 29th of the Hebrew month of Kislev.
However, today's date is a mixture of the two – 'kaf-tev'
of November.
Why? Exactly fifty-seven years ago today, one of the
most unusual events in world history occurred. The
United Nations voted to partition Eretz Yisrael, thereby
granting the Jewish people an opportunity to declare a
Jewish state, the first sovereign Jewish state in two
thousand years. This, coming only two and a half years
after the conclusion of the Holocaust. Today is almost a
mini-independence day – recognition by the
international community of a Jewish right to its
homeland.
This wasn't the first time such acknowledgement was
forthcoming. Almost exactly thirty years earlier, on
November 2, 1917, Arthur James Balfour, then the
British Foreign Secretary, issued the famous 'Balfour
Declaration, a letter to Lord Rothschild, which said, "I
have much pleasure in conveying to you. on behalf of
His Majesty's
Government, the following declaration of sympathy with
Jewish Zionist aspirations which has been submitted to,
and approved by, the Cabinet:
His Majesty's Government view with favor the
establishment in Palestine of a national home for the
Jewish people, and will use their best endeavors to
facilitate the achievement of this object, it being clearly
understood that nothing shall be done which may
prejudice the civil and religious rights of existing non-
Jewish communities in Palestine, or the rights and
political status enjoyed by Jews in any other country."
The major difference of course, between the 1947
partition plan and the 1917 Balfour Declaration is that
the later was strictly British; the former construed
international recognition.
The 1947 UN decision precipitated the declaration of
Israeli statehood, in May, 1948.
Looking back at these historic decisions, different
questions can be posed. For example, how would the
UN vote today? Would they readily accept creation of a
Jewish State? Should the Jews then have accepted
partition of the Land of Israel? What would have
happened had the Arabs accepted the partition plan?
While Jewish leaders in Israel reluctantly accepted the
arrangement, the Arabs rejected it out of hand and their
reaction was an immediate declaration of war.
However, in my opinion, perhaps the most significant
question to be broached is: Was it worth it? Did we do
the right thing? In other words, should a Jewish state
have been created and recognized?
Why do I ask this question? There are those in Israel
today, both on the right and on the left, secular and
religious, who doubt the wisdom of the leaders of
yesteryear. Looking at the state of Israel from different
angles, there are those who arrive at the same
conclusion: the State of Israel was a mistake. It should
be dismantled, allowing others to start again. Those on
the left view supposed Israeli 'apartheid,' or treatment of
Arabs as an excuse to do away with the state. So I was
told by Israeli 'historian' Teddy Katz, back in September.
“If I had a choice between this (i.e. – removing Arabs
from their homes and villages), or giving up, I would
give up”, i.e. relent on the idea . of a Jewish state.” 2)
Israel is the second largest ethnic-cleansing country in
the history of the world, second only to Nazi Germany.
(See: A Glorious Past, Present and Future - http://
www.hebron.org.il/articles/articles1.htm).
Those on the far left aren't the only ones who have
despaired. There are people on my side of the coin
have also given up on the current State of Israel. Some
advocate creation of an additional new state, calling it
'The State of Judea,' while others believe that the
original state of Israel is totally 'impure,' due to the fact
that the primary movers in the 1940s were secular,
thereby bringing about creation of a secular state.
In truth, it's not difficult to comprehend the lost hope.
Israel's current situation is far from rosy. The latest
escapades of our Prime Minister, who has single-
handedly annihilated the Israeli right, betraying his own
philosophies and moving over to 'the other side' is
deplorable. Perhaps Israel's greatest error is the
continued revival of ninty-nine percent dead terror
organizations.
By the time Yitzhak Rabin was elected Prime Minister in
1992, the PLO was a virtually impotent organization.
Israel defeated the 'first' intifada, and Arafat was both
broke and broken. Rabin, Peres, and Co. brought him
back to life with the infamous and cursed Oslo Accords.
Again, we have seen history repeat itself. The second
Arafat war was also lost. Following massive Arab terror,
leaving over 1,500 Jews dead and thousands
wounded, Israel pinpointed the multiple heads of the
snake and one by one, destroyed them. For all
intensive purposes, the Palestinian authority ceased to
exist. Arafat was internationally recognized as a
murderous thug, and his organization corrupt, unstable
and totally irresponsible. The state of Israel could
basically follow any path it so desired.
Ariel Sharon, rather than officially declaring Oslo a
failure and decrying the creation of a poisonous
palestinian state, accepted and followed the path of the
'roadmap,' much the surprise of its initiator, George W.
Bush. Sharon's willingness to accept a Palestinian
state, followed by the expulsion plan from Gaza is
nothing less than true 'revival of the dead.' So it's not
surprising that despair has reached new heights,
despair leading to gloom and anguish. And a
willingness to watch the state crumble to pieces.
I fully agree – the situation is not good. We are facing
different types of terror, from without and from within.
But our state of affairs is certainly not as serious as it
was in November, 1947. How many hundreds of
millions of Arabs, surrounding the not-yet created
fledgling state announced their intentions to 'throw the
Jews into the sea?" There weren't even a million Jews
in Israel at the time. Much of the international
community didn't care whether Israeli 'lived' or 'died.'
And those that did care, well, most of them weren't on
our side. The chances of survival weren't very good. But
here we are today – still here.
The November 29th UN decision was nothing less than
miraculous – so too was the Israeli military victory
during the War of Independence. Today too, we are
fighting a war – this time on many fronts, some of which
definitely shouldn't exist. But we cannot live in a dream
world of 'what should be.' This is the way it is, for
whatever reason, and we have no choice but to deal
with it. I won't try to relate to the despair of the far left –
but I can give a word of advice to those closer to me.
Should you manage to take apart the current state of
Israel and start again, what will you do with all the Jews
who don't agree with you – send them back to Europe,
or put them in camps, or send them out to the sea? Of
course not! So you will still be here, and they will still be
here, and then what? If they don't like what you do, they
will have learned from your precedent – they will have
a good reason to attempt to destroy whatever you
manage to create, just like you did.
In other words, the problems within will still exist, as will
the problems from outside – you will not have solved
anything.
So, what can we do? I can't speak for everyone – but I
know what I have been taught and what I believe. Our
job is to try as hard as we can for that which is right and
just, without attempting to destroy the framework which
already exists. We cannot be held responsible for
failure, because much of the results are not dependant
on our actions – there are many other factors involved.
We can only be held responsible for trying – as hard as
we can. The final result isn't in our hands.
Those listening to the vote in the UN, on November
29th, 57 years ago, could barely have expected victory
– who would have thought that Russia would vote in
favor of the partition plan? They could easily have
delayed the vote, or cancelled it altogether. The
chances of victory were virtually nil. Yet the unexpected
became reality and again, after 2,000 years, the Jews
held their fate in their own hands. That day – today,
should be a lesson to us all – to expect the unexpected,
never to despair – to keep the faith.
With blessings from Hebron.
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This commentary is written and posted in memory of
Shmuel ben David.
The Jewish Community of Hebron
POB 105 , Kiryat Arba-Hebron 90100
| Par Nao (Nao) le lundi 29 novembre 2004 - 17h08: |
Irshad Manji sera demain a Philadelphie a une soiree organisee par l'American Jewish Committee pr parler de son livre The Trouble with Islam (Musulmane mais Libre).
Compte-rendu vous sera donne mercredi.
| Par Lapid (Lapid) le lundi 29 novembre 2004 - 16h10: |
A Lire : Dossier sur le Negationisme
Pratique de l’histoire et dévoiements négationnistes
[L’historien] ne doit pas avoir en face des témoins du passé cette attitude renfrognée, tatillonne et hargneuse, celle du mauvais policier pour qui toute personne appelée à comparaître est a priori suspecte et tenue pour coupable jusqu’à preuve du contraire; une telle surexcitation de l’esprit critique, loin d’être une qualité, serait pour l’historien un vice radical, le rendant pratiquement incapable de reconnaître la signification réelle, la portée, la valeur des documents qu’il étudie; une telle attitude est aussi dangereuse en histoire que, dans la vie quotidienne, la peur d’être dupe, cette affectation que Stendhal aime à prêter à ses personnages (« je suppose toujours que la personne qui me parle veut me tromper »...).
Henri-Irénée Marrou, De la connaissance historique, Éd. du Seuil, coll. Points Histoire, 1975, pp. 92-93.
[La] “méthode” [des négationnistes], si l’on peut dire, est perverse: elle associe l’hypercritique à la fabulation, l’ergotage sur les détails et sur les mots à l’ignorance massive du contexte, et cherche à faire apparaître comme conclusion d’une démonstration ce qui est postulat affirmé au départ.[C’est une] anti-histoire.
Bernard Comte, Le Génocide nazi et les négationnistes, 1990.
Lire la suite en cliquant sur le site suivant :
Pratique de l’histoire et dévoiements négationnistes
| Par Henri (Henri) le lundi 29 novembre 2004 - 15h44: |
La douda chalom.
Pourais tu m'expliquer ces deux phrases que tu as ecrit dans le meme message, mais qui se contredisent tant.
"avant le peuple dit élu, élu au cours de quelles élection?
choisir un camp plutôt qu’un autre c’est kif kif, l’électeur n’échappe nullement à la dictature du dogme ".
Je te ferais remarquer qu'il ne sagissait pas d'election, puisque c'est D.. lui meme qui a choisi son peuple. Libre a toi de ne pas croire, mais respecte au moins le reste des harissiens croyant en D..
Chalom et brahka.
| Par Maurice (Maurice) le lundi 29 novembre 2004 - 14h58: |
Il est toujours triste de voir un homme distitué de ses fonctions devant son echec mais Plenel qui m'interessait car il se presentait comme un self made mais je pense que l'ecole de l'extreme gauche s'imagine detenir la verité parce qu'elle a été pres du peuple comme si le peuple etait obligatoirement le chemin de l'ethique C'est la theorie des communistes et des troskistes mais au pouvoir les mains sont sales comme pour d'autres groupes et capables d'injustices Plenel est distitué Jospin aussi mais dans les memes morphotypes chez Juppé.
Voici l'article COMBIEN LE MONDE A ETE PARTIAL:
Edwy Plenel quitte ses fonctions de directeur de la rédaction du Monde. A quand Ternisien?? Un journaliste honnete doit avoir de l'humilité.
AFP | 29.11.04 | 12h50
Edwy Plenel a annoncé lundi sa "décision de ne plus assumer la responsabilité de directeur de la rédaction" du Monde qu'il assumait depuis 1996, par mail interne ensuite communiqué à l'extérieur du journal. "J'ai confirmé ce lundi matin à Jean-Marie Colombani ma décision de ne plus assumer la responsabilité de directeur de la rédaction du Monde. C'est l'aboutissement d'une réflexion ancienne dont je l'avais informé ainsi qu'Alain Minc à plusieurs reprises", a écrit Edwy Plenel."Après dix années dévouées à l'organisation éditoriale de notre collectivité, je souhaiterais revenir aux joies simples du journalisme et de l'écriture. Quand je leur ai annoncé, fin octobre, ma décision, Jean-Marie et Alain se sont efforcés de me retenir en raison des difficultés économiques qui sont aujourd'hui les nôtres". "Leurs propositions n'ont pas su vaincre mes réticences", a poursuivi M.Plenel. "J'assumerai les fonctions que je quitte jusqu'à notre déménagement" pour le boulevard Auguste-Blanqui (Paris XIIIe), prévu à la mi-décembre. Edwy Plenel a précisé, indique-t-on à la direction du Monde, qu'il restait au quotidien Le Monde où il est directeur délégué depuis 2004. Il ne souhaitait pas faire plus de commentaires. Un message doit être également envoyé en interne par Jean-Marie Colombani. Cette décision intervient alors que M. Colombani, président du directoire du Monde et de ses filiales, a annoncé jeudi aux salariés du groupe la volonté d'ouvrir le capital du Monde SA. Le projet de recapitalisation, avec un ou des partenaires non identifiés, est "d'une cinquantaine de millions d'euros pour un chiffre d'affaires de plus de 630 millions d'euros". M.Colombani, dans ce message aux salariés, confirmait également une "relance éditoriale" du Monde. "Nous devons partir du principe que nos lecteurs ont raison d'exprimer une exigence plus grande à notre égard. Leur insatisfaction est l'expression d'une attente que nous devons considérer légitime", affirmait-il.Le nom du successeur d'Edwy Plenel n'est pas annoncé. Le Figaro évoque une possible "montée en puissance" d'Alain Frachon, directeur adjoint de la rédaction du Monde et actuel directeur du Monde2. Le divorce commençait à bruisser avant la lettre de M. Colombani, la situation, la semaine dernière, était "très difficile". Le quotidien Libération avait évoqué mercredi un départ de M. Plenel."On est dans la suite. Le week-end a accéléré les choses, mais ce dénouement-là est un peu une surprise", indiquait-on en interne.
| Par Latitesse (Latitesse) le lundi 29 novembre 2004 - 14h44: |
Merci pour l'intelligence et la sensibilité, la sagesse aussi, des pensées de ce jour.
Merci à Emile, Michka, Maurice,Ajm et Albert, qui de façon différente, nous font réfléchir.
Merci pour le texte de Sami el-Soudi, véritable message d'espoir.
Il y a une grande différence entre penser, puis confronter des idées et méditer, le monde actuel n'a plus le temps de méditer, les étoiles du désert y incitaient sûrement, vous montrez que l'on peut le faire aussi au milieu du béton.
| Par Douda (Douda) le lundi 29 novembre 2004 - 12h55: |
Le Ftileur : Quelques réflexions iconoclastes...,
Nous sommes le Peuple des origines :
- Est ce à dire qu’il n’existait pas d’autres peuple avant le peuple dit élu, élu au cours de quelles élections ? Prière rapporté par un Rabbin échappé des camps de la mort : “Pourquoi n’as tu pas choisi un autre Peuple Elu ?”
- Fuite en avant : “Les complaisances de l'Union européenne face à un islam ombrageux - qui l'a déjà conduit à renier ses racines judéo-chrétiennes, “ :
Ca n’est pas du tout par complaisance, mais parce que nous considérons que la religion est du ressort de la sphère privée, et qu’elle n’a pas à s’imposer aux citoyens, ni à s’immiscer dans les affaires de La Cité. Vouloir à tout prix qu’il en soit autrement, c’est se rallier inconsciemment à la démarche idéologique des intégristes que vous dites vouloir combattre !
Les Butigliones et autres balouts du même jus, pour la plupart formés à l’école catho, n’ont pas pour but d’imposer les racines judéo-chrétiennes, mais seulement chrétiennes ! On l’a bien vu avec Aznar qui a voulu avec les évêques espagnols, introduire dans toutes les écoles et université, les cours obligatoires de chrétienté, sous peine de renvoi pur et simple, retour à l’inquisition ? Espérons seulement que l’Espagne, l’Italie, l’Irlande, et la Pologne, trouvent la porte de sortie les libérants du carcan des religieux acharnés.
Quand à la Turquie, il lui fut proposé dans les années 60, un traité d’entrée dans le Marché Commun,que la Turquie a traîné les pieds à accepter. Ce n’est pas un pays d’Europe, ou si peu 5% et encore contesté par la Grèce, alors il ne faut pas s’étonner que prés de 75% des citoyens de la CEE, soient opposés à son entrée.
- Par contre je suis d’accord avec vous qu’en Europe vous êtes sous la dictature du prêt-à-penser :
Au USA également, les citoyens sont soumis à la dictature du prêt-à-penser, et pas seulement aux USA d’ailleurs, alors choisir un camp plutôt qu’un autre c’est kif kif, l’électeur n’échappe nullement à la dictature du dogme et du BouleItiquement correct, donc s’il vous plaît pas de sectarisme, car seuls comptent les actes, le reste c'est de l'Entropie.
Wnessou El Douda