Par Ajm (Ajm) le jeudi 02 décembre 2004 - 08h07: |
Trahison? Quelqu'un a dit trahison?
Deux Palestiniens condamnés à mort
par Simon Pilczer - primo-europe.org
(Guysen.Israël.News / 29 novembre 2004 18:58 GMT+2 ISRAEL)
A Gaza, un tribunal spécial a condamné deux Palestiniens, un père et son fils, à la peine de mort, pour complicité avec Israël dans l'élimination du leader du Hamas, le Dr Abdelaziz Rantissi. Trois autres personnes accusées de coopération avec l'Etat hébreu ont été condamnées à des peines plus légères.
La Justice est comme la confiance : elle ne se divise pas.
En principe, on ne peut pas être "un peu juste, et un peu injuste, pour faire plaisir à tout un chacun".
Deux Palestiniens de la Bande de Gaza, un père et son fils, viennent d'être condamnés à mort par un obscur tribunal local, pour leur "rôle présumé" dans l'élimination par l'armée israélienne du Dr Rantissi, leader de H'amas, un mois après celle du "leader spirituel" de ce mouvement, le Sheikh Yacine".
Ces deux Palestiniens ne sont pas nommés dans la dépêche annonçant leur condamnation. Pourtant ce sont des hommes de chair et de sang.
Quelles ont été leurs motivations ? Nous l'ignorons.
Que ce fût l’argent, motif que beaucoup qualifieront de méprisable, mais qui fut bien celui de Mordeh'aï Vanunu, le "technicien nucléaire israélien";
La peur, motif qu'on ne saurait bien comprendre dans une Europe paisible, mais qui imprègne aujourd'hui les relations entre ces deux peuples endoloris;
L'idéal de la paix, si prisé par les défenseurs de la démarche des négociateurs de Genève entre Palestiniens et Israéliens, non mandatés par leurs autorités respectives, mais pas pour autant considérés comme des traîtres;
Quelles que soient les motivations qui ont conduit ces deux hommes à apporter une aide quelconque dans l'élimination d'un assassin patenté - car il faut lire ou relire la charte du Hamas, et le curriculum vitae du bon Dr Rantissi pour savoir de quel bienfaiteur de l'humanité l'armée israélienne nous a privé en l'éliminant avec une précision "chirurgicale";
Selon nos critères de développement et de civilisation, la peine de mort à laquelle ces deux Palestiniens sont condamnés est de toute façon inacceptable.
L'Union Européenne s'est beaucoup mobilisée pour défendre les Droits des Palestiniens à un Etat indépendant et démocratique, vivant en paix aux côtés de l'état d'Israël.
Aussi, le Parlement Européen s'honorerait s'il faisait passer une motion, un message auprès de l'Autorité Palestinienne, qu'il subventionne si généreusement, en lui faisant connaître que ce genre de justice expéditive, relevant plus de la vendetta que de la justice équilibrée d'un Etat se voulant démocratique, ne saurait être acceptée par la communauté des hommes civilisés.
L'Autorité Palestinienne, après la disparition de Yasser Arafat, est à la croisée des chemins: elle peut choisir la voie de la vie, de la négociation et de la raison, et entamer un chapitre vraiment nouveau de son histoire, ou bien poursuivre dans la voie du "jihad", du terrorisme et de la barbarie, et continuer d'enfoncer son peuple dans la misère et l'obscurantisme, en prenant le risque d'entraîner une large fraction de l'humanité à sa suite.
Si les mots ont un sens, si les hommes politiques croient un instant à ce qu'ils disent, si les hommes et les femmes de bonne volonté ne désespèrent pas de faire entendre leur voix en Europe, alors nous devons nous dresser pour faire invalider cet assassinat judiciaire, et sauver ce père et ce fils.
Par Ajm (Ajm) le mercredi 01 décembre 2004 - 22h03: |
Pourquoi nous sommes en Irak
par David Horowitz
FrontPageMagazine.com
1ère partie
2e partie:
Patriotisme et trahison
Avant de poursuivre, il me faut aborder ici des questions rarement traitées directement, car elles flottent sous la surface de nos débats politiques et leur impact n'en est que plus important. Je veux parler des thèmes liés à des notions telles que le «patriotisme» et la «trahison» ainsi que de la nature de ce que peut constituer une critique légitime de la politique extérieure américaine, particulièrement en temps de guerre.
À écouter la gauche, on pourrait croire que les conservateurs sont prêts à accuser de quasi-traître, voire pire, quiconque critique la politique du président en matière d'intervention militaire. Les complaintes des libéraux donnent à penser que les agents de John Ashcroft attendent fébrilement l'occasion d'inculper tout gauchiste qui se permettrait le moindre écart de langage. Il faut revenir un peu à la réalité. D'abord, si l'accusation de «trahison» est vraiment une question à débattre, l'agression provient clairement des démocrates. Al Gore a d'ores et déjà traité le président de traître, alors que le président Bush n'a pas encore ne serait-ce que mentionné le nom de Gore. Les démocrates reprochent à Bush d'avoir menti au peuple américain, de l'avoir indûment persuadé de prendre le chemin de la guerre; il sacrifierait ainsi la jeunesse américaine à la bonne santé financière de ses amis de Halliburton. Ce sont là des accusations de trahison. Et il n'y a pratiquement personne, à tous les échelons de la gauche, qui ne les ai pas prononcées d'une manière ou d'une autre.
Ensuite, le fait est que personne en Amérique ne prend plus très au sérieux le terme de trahison – et cela depuis pas mal de temps. En cinquante ans, personne n'a été inculpé pour trahison aux États-Unis, c'est-à-dire depuis que Tokyo Rose et Axis Sally furent jugés pour avoir diffusé la propagande ennemie auprès des troupes américaines pendant la Deuxième Guerre mondiale. Ni les Rosenberg, qui volèrent des secrets nucléaires pour l'Union soviétique, ni Jane Fonda qui, tout comme les traîtres que je viens de citer, s'exprima sur une radio ennemie pendant une guerre pour encourager nos soldats à déserter, ceci tout en les dénonçant comme autant de criminels de guerre. Fonda collabora également avec les tortionnaires communistes des prisonniers de guerre américains. Et même des espions tels qu'Aldrich Ames, ou des déserteurs tels que John Walker Lindh – qui combattit avec les talibans contre son propre pays – ne furent jamais inculpés pour trahison. N'allons donc pas nous imaginer que le terme de «trahison» contient la moindre menace réelle, de nature à intimider les auteurs de critiques à l'égard de notre politique étrangère actuelle. Si c'était le cas, Michael Moore moisirait en prison au lieu de se pavaner sur le haut de la liste des nominés aux Academy Awards. Lorsque les gauchistes se plaignent de ce que leur patriotisme est mis en doute pour étouffer leurs critiques, il ne s'agit guère que d'une diversion visant à nous empêcher de réfléchir aux aspects de la sécurité nationale inhérents aux positions qu'ils soutiennent.
Or, non seulement la trahison n'est pas prise au sérieux de nos jours, mais les républicains se sont montrés extraordinairement polis en affrontant leurs adversaires sur de graves questions décidant de la guerre et de la paix. Ainsi le président, lors du premier débat présidentiel, réprimanda John Kerry pour avoir qualifié la guerre en Irak de «mauvaise guerre, au mauvais endroit, au mauvais moment». De telles déclarations «troublent» les gens, expliqua le président, et ce n'est pas là une façon de gouverner une nation engagée dans un conflit armé, que l'on approuve la guerre ou pas.
Mais cela fait bien davantage que de troubler les gens. Si vous avez 19 ans, à Falloujah, que vous êtes pris pour cible par des terroristes, et que le leader du Parti démocrate, à un cheveu de devenir votre président, affirme que vous n'avez rien à faire là-bas, cela fait davantage que de vous troubler. Cela vous démoralise. Cela sape votre volonté de combattre. Cela vous fait tuer. Le caractère léger et imprudent des attaques démocrates contre cette guerre coûte des vies américaines. C'est là un sujet que le refus de discuter de questions de loyauté et de patriotisme et du ton à donner à la critique lorsque la nation est en guerre a pour effet d'écarter du débat. Et les républicains sont trop polis pour le rappeler.
La trahison n'est pourtant vraiment pas si difficile à définir. Il y a trahison lorsque votre pays est en guerre et que vous souhaitez la victoire du camp adverse.
Y a-t-il de telles gens en Amérique? On pense à Michael Moore. Moore a été cité déclarant que les terroristes qui, en Irak, décapitent nos concitoyens et abattent nos soldats ne «sont pas des terroristes». Selon Moore, ce sont des «patriotes» et – selon ses propres termes – «ils vaincront». Michel Moore soutient l'ennemi. C'est un fait, pur et simple. Mais quelles en sont les conséquences? La trahison a enrichit Michael Moore. Moore a pris fait et cause pour l'ennemi sa vie entière – pendant la guerre froide, et maintenant pendant la guerre contre la terreur – sans en subir le moindre effet néfaste pour sa carrière et sa fortune. On pourrait même affirmer le contraire, en fait.
Et c'est le cas également des soi-disant manifestants pacifistes opposés à la guerre. Ces «mobilisations» nationales, organisées et dirigées par des activistes qui soutenaient l'ennemi communiste pendant la guerre froide, tentèrent de compromettre l'effort américain et de sauver Saddam Hussein de la guerre contre la terreur. De toute évidence, ces gens n'accordent pas à la «paix» une priorité particulière. Aucune manifestation n'a eu lieu devant l'ambassade irakienne pour inciter Saddam Hussein à déposer les armes, de même qu'aucune manifestation n'a été mise sur pied pour dénoncer le génocide perpétré par les communistes en Indochine après le retrait américain. La priorité des gauchistes qui organisèrent les manifestations anti-guerre pendant le conflit du Viêt-nam était la même que celle qui présidait aux manifestations contre la guerre en Irak: quelle que soit la guerre, l'Amérique doit perdre.
Je suis le parcours de Michael Moore depuis très longtemps, depuis les années 1980, lorsqu'il fut démis de ses fonctions de rédacteur en chef du magazine de gauche Mother Jones. Il a été mis à la porte après avoir censuré un article sur le Nicaragua réalisé par le socialiste Paul Berman qui s'était montré légèrement critique envers le régime sandiniste. Moore était trop staliniste même pour les gauchistes de Mother Jones. Lui-même marxiste, persuadé que l'Amérique est un Léviathan impérialiste gouverné par des entreprises malintentionnées, Michael Moore a fait de lui-même un ennemi intime de l'Amérique. Michael Moore nie l'existence d'une guerre contre la terreur. Naturellement. À ses yeux, l'Amérique est un agresseur, responsable des attaques qu'il a subies. L'Amérique est la cause première de la guerre contre la terreur. Ce point de vue est partagé par un grand nombre des membres de la gauche politique qui prirent part aux manifestations anti-guerre. C'est leur credo, ce à quoi ils croient.
Observons maintenant où nous en sommes, en tant que nation, au beau milieu de cette élection présidentielle. Farenheit 911, le célèbre et très populaire film de Michael Moore, présente l'Irak comme un pays paisible, presque idyllique, cruellement assailli par un ennemi impitoyable et sournois – nous. La première de ce film de propagande anti-américaine s'est déroulée en la présence du dirigeant de l'opposition politique, Terry McAuliffe, et des sénateurs Clinton, Daschle et Harkin, entre autres démocrates. Cela montre bien à quel point la morale a perdu du terrain dans un pays lorsque les leaders de l'un des ses principaux partis considèrent comme légitime n'importe quelle attaque contre leur commandant en chef en exercice et prennent nos ennemis à la légère.
Ainsi, lorsque l'on médite réellement sur la question de la «trahison», l'on voit qu'il ne s'agit pas d'une simple affaire d'étiquette, et c'est pourquoi l'attitude défensive adoptée par les membres de la gauche sur l'usage de ce terme pour désigner des traîtres effectifs n'a rien de sincère, et témoigne simplement de leur mauvaise foi. Mis au pied du mur, ils sont les premiers à relever le fait que nos fondateurs, après tout, furent des traîtres eux aussi; que Benjamin Franklin déclara notamment: «Si cela est de la trahison, il faut en faire un maximum.» En Amérique, la nation repose d'abord sur ses principes fondateurs, et ensuite seulement sur les liens du sang et de la terre. Si l'Amérique est vraiment le pire État terroriste, comme le proclament Moore et ses amis gauchistes, si l'Amérique est vraiment un monstre impérialiste, alors l'Amérique a trahi son principe fondateur de liberté. Et si tel est le cas, la loyauté envers l'Amérique exige de tout patriote authentique qu'il commette des actes de trahison afin de préserver la foi américaine en la liberté. Ainsi, la loyauté envers l'humanité exige de trahir l'Amérique. Voici le code de vie adopté en toute conscience par des gauchistes tels que Michael Moore.
Pour porter un jugement correct sur la question de la trahison dans un contexte américain, il faut commencer par décider, en son âme en conscience, si cette nation a bel et bien trahi ses principes fondamentaux et si, à ce titre, elle mérite d'être détruite. Si oui, alors on peut rejoindre Michael Moore et la gauche politique, et se sentir à l'aise avec ce choix. Sinon, il faut bien réfléchir à ce que ces gens sont en train de faire.
Prochaine partie: Différend au sujet de la guerre
(à suivre)
Par Douda (Douda) le mercredi 01 décembre 2004 - 21h43: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Mise en garde de notre Ami Maxiton,,,
La photo présenté par Bébert est bien celle d’un soldat français, nous confirmons que le fusil d’assaut porté par ce soldat, est bien du model “clairon”, uniquement utilisé par l’armée française.
Pour le reste, on ne se prononce pas.
Wnessou El Douda
Par Douda (Douda) le mercredi 01 décembre 2004 - 21h30: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : longueur de commentaire,,,
Braham est dans le vrai, la longueur des commentaires est parfois si rébarbative, qu’on ne lit ces commentaires avec la profondeur à laquelle ils auraient droit s’ils étaient plus concis, finalement on ne fait que les survoler, ou quand tout simplement on ne les lit plus du tout.
D’ailleurs les copier collés de la presse, ou les publication des agences dites de presse, devraient avoir leur propre section, ceci afin de ne pas embourber et détourner ADRA de son objectif originel.
A quoi servent donc toutes ces sections qui furent crées sur Harissa, si la rêgle n’est plus respectée, autant retourner à l’ancien forme, où tout était dit dans une seule section, chacun y faisant son propre trie de l’information.
Wnessou El Douda
Par Douda (Douda) le mercredi 01 décembre 2004 - 21h29: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Liberté d’expression,,,
En réponse à Henri :
Dans une super démocratie digne de ce nom, est il normal que certains fassent l’apologie de celui qui exprime ses idées à coups de revolver, et de l’assassinat fusse t il politique, est ce une attitude est conforme aux prescriptions de la Religion.
Wnessou El Douda
Par Tpe (Tpe) le mercredi 01 décembre 2004 - 20h43: |
Bonjour à tous,
Nous sommes trois éléves de terminale litteraire, suite à un sujet de tpe(travail pratique encadré)qui porte sur "les manifestations de l'antisémitisme en France et en Allemagne dans les années trente et leurs résurgences aujourd'hui ."
Nous cherchons des réactions , témoignages..., pour nous aider à avoir un travail plus objectif.
Nous éspérons avoir des réponses des internautes de Harissa le plus vite possible.
Nous aimerions des réactions et des explications plus precisement sur les résurgences aujourd'hui , et surtout les "causes" qui sont pour vous les facteurs de l'antisémitisme actuel en France
vous pouvez nous écrire sur cette adresse: tpe2005@msn.com ou nous répondre sur ce forum
MERCI
Par Braham (Braham) le mercredi 01 décembre 2004 - 20h33: |
Par Emma (Emma) le mercredi 01 décembre 2004 - 19h05: |
Sida : un combat contre l'ignorance et les préjugés
par Lindsay Beck
PEKIN - La journée mondiale contre le sida s'est ouverte mercredi sur des promesses de lutte contre l'ignorance et les préjugés concernant une maladie qui a d'abord été présentée par beaucoup comme un mal occidental limité aux seuls toxicomanes, homosexuels et prostituées.
En Afrique, le continent le plus déshérité de la planète où la pandémie est en train de détruire des pans entiers du tissu socio-économique, des milliers de personnes ont participé à des rassemblements.
La Chine, critiquée pour avoir tardé à réagir, a promis publiquement de combattre ce mal qui, selon les Nations unies, pourrait avoir contaminé 10 millions de Chinois d'ici 2010.
En Inde, où plus de cinq millions de personnes sont déjà infectées par le virus VIH, le gouvernement a annoncé un effort d'information accru, en particulier dans les zones rurales et parmi les jeunes, pour la prévention de la maladie.
Le gouvernement de New Delhi compte affréter quatre trains spéciaux présentant une exposition sur le sida et des mini-dispensaires chargés de fournir du matériel médical. Ces convois sillonneront le pays dans le cadre d'une campagne de sensibilisation axées en priorité sur les campagnes, a indiqué un responsable de l'organisme de contrôle national du sida.
En Chine, le président Hu Jintao a serré la main mardi à un malade du sida tandis que son Premier ministre, Wen Jiabao, préconisait un redoublement des efforts pour enrayer la pandémie.
Les principaux journaux publient en "une" une photo de Hu, un ruban rouge épinglé sur sa veste, rencontrant un patient dans un hôpital de Pékin. Il était accompagné du vice-Premier ministre Wu Yo et du chef du Parti communiste de Pékin, Liu Qi.
"Pendant la visite de l'hôpital You'an de Pékin, Hu a invité toute la société à mettre fin à la discrimination et à l'isolement des malades du sida", écrit l'agence Chine nouvelle.
Wen a souligné que la Chine avait fait "des progrès remarquables" dans la prévention du sida, mais il a reconnu que le pays restait "confronté à une situation difficile dans ce domaine", poursuit l'agence.
En dehors de l'Afrique, la Chine, l'Inde et la Russie sont considérés comme les pays les plus concernés par les risques de sida.
Khalid Malik, représentant à Pékin du Programme des Nations unies pour le développement, a rendu hommage mercredi aux dirigeants chinois. "Avec la forte détermination des dirigeants chinois, les lois et les règlements ont été amendés, un traitement gratuit est fourni aux malades du sida désargentés et dans les zones rurales, l'information sur le sida est améliorée grâce à l'éducation sanitaire", a-t-il dit.
LES FEMMES AU CENTRE DE LA CAMPAGNE
"Cette année, la journée mondiale du sida est l'occasion de reconnaître le fardeau des femmes et des jeunes filles à l'époque du sida, mais aussi de célébrer leurs acquis dans le combat contre l'épidémie", a ajouté Malik en citant le secrétaire général de l'Onu, Kofi Annan.
"Le monde ne peut plus se permettre d'ignorer l'énormité de l'épidémie de sida", a déclaré, toujours à Pékin, Antonio Costa, directeur délégué du bureau de l'Onu pour la lutte contre les drogues et la criminalité. "Il est temps de riposter à une fléau meurtrier qui est transmis par l'usage de drogues et par la sexualité mais aussi par l'ignorance et les dénégations."
La Chine estime à 840.000 le nombre de séropositifs ou de malades du sida; mais certains experts estiment que dans la seule province du Henan, frappée au milieu des années 1990 par un scandale de contamination à la suite de dons de sang effectués sans changement d'aiguilles, le nombre de personnes contaminées pourrait atteindre ce chiffre.
A travers le monde, militants et autorités devaient marquer la journée par une série de manifestations conçues pour attirer l'attention sur la maladie et les efforts à multiplier en vue de son éradication.
A Ahmedabad (Inde), des volontaires travaillant avec des malades du sida ont annoncé qu'ils distribueraient des rubans rouges confectionnés par des femmes séropositives afin d'éveiller la population aux risques de cette maladie.
"Les femmes seront au centre de la campagne cette année. Si elles sont éduquées et prémunies contre la contamination, cela réduit le risque dans une famille", a expliqué Laxman Malodia.
L'Inde compte plus de 5,1 millions de personnes contaminées, ce qui la place au deuxième rang mondial après l'Afrique du Sud. Les deux pays disputaient mercredi un match de cricket à Calcutta où des joueurs arboraient des rubans rouges sur leur tenue blanche.
Au Botswana, le président Festus Mogae, dont le pays compte la plus forte proportion de séropositifs au monde, a déclaré qu'il fallait désormais s'abstenir de relations sexuelles non protégées ou mourir.
Le Botswana ne peut, avec ses seuls moyens, maintenir en vie un nombre croissant de patients. Il dépend d'un financement extérieur, a expliqué le président dans une interview à la BBC. "Ce n'est pas supportable à long terme si rien ne se passe. Nous devons dire des choses comme 's'abstenir ou mourir'", a déclaré Mogae, ajoutant que le taux de prévalence dans son pays s'établissait à 37%.
Lors d'un office organisé à la cathédrale du Cap pour briser le tabou du sida, le chef zoulou Mangosuthu Buthelezi, qui a perdu deux de ses enfants terrassés par cette maladie, a déclaré: "Le sida est en train de décimer nos populations, de déchirer nos familles et de déraciner nos communautés".
Le sida frappe des zones rurales dans des pays comme le Cambodge, où femmes et jeunes filles sont très touchées. En Papouasie-Nouvelle-Guinée, où l'on fait état de nombreux viols et d'un système de polygamie favorisant la propagation de la maladie, on juge probable que le nombre de cas se situe entre un million et 1,5 million vers 2015-2020 contre 67.000 environ à l'heure actuelle, perspective littéralement catastrophique.
Par contraste, en Thaïlande, une campagne de sensibilisation massive menée depuis les années 1990 passe pour avoir considérablement réduit le nombre d'infections par le VIH. Mais au Vietnam, où sont signalés environ 85.000 cas d'infection par le virus, le ministre de la Santé Tran Thi Trung a noté que la situation restait préoccupante.
Par Email (Email) le mercredi 01 décembre 2004 - 18h57: |
12 décembre: manifestation du B'nai Brith
Le CRIF apporte son soutien au rassemblement des Lumières à l’appel du B’nai B’rith France "pour que l’obscurantisme et l’intolérance disparaissent à jamais !"
Dimanche 12 décembre 2004 à 17h30 une lumière à la main devant les Fontaines du Trocadéro.
Avec le concours du Consistoire Central, de la WIZO, du Congrès Mondial Berbère AMAZIGH, du Mouvement des Maghrébins Laïcs de France, des Filles et Fils des Déportés Juifs de France, de PRIMO Europe, de l’Association Arménienne SASSOUN, du Centre Simon Wiesenthal, de l’Association des Musulmans Laïcs de France, de l’Association HEVEL – Aide aux Victimes, de l’Association P.E.R.E.C « Pour une Ecole Républicaine et Citoyenne », de l’Union des Médecins, des Pharmaciens et Dentistes Juifs de France, du Forum Citoyen Juif de France, du B.B.Y.O - Mouvement de Jeunesse.
Par Maurice (Maurice) le mercredi 01 décembre 2004 - 18h39: |
> Le Coran comme on ne l'a jamais lu
>
> Dans cet ouvrage, Aïssa Moussa nous offre une lecture du Coran à contre
> courant. Sans préjugés et basée exclusivement sur la raison, cette analyse
> tente de répondre aux questions fondamentales auxquelles aucun musulman
> progressiste ne peut échapper :
>
> - Au regard de ma conception de Dieu (une entité parfaite, toute
> puissante, omnisciente, équitable, pleine de bonté), peut-on considérer le
> Coran comme une révélation divine ?
> - Le Coran est-il en conformité totale ou partielle avec les valeurs
> actuelles de la société occidentale, notamment en ce qui concerne les
> libertés individuelles ou collectives, l'égalité des droits, le respect de
> la dignité humaine, la fraternité universelle ?
>
> Au travers de son étude, l'auteur met en lumière les contradictions de
> fond et de forme contenues dans la révélation, démontrant ainsi la
> temporalité d'une partie du Coran. Certains versets seraient selon Aïssa
> Moussa l'oeuvre de Mahomet en tant qu'homme et non en tant que prophète,
> servant des intérêts individuels et circonstanciels.
>
> Parmi les contradictions de fond, on découvre notamment que Dieu se
> déclare d'une puissance infinie, en même temps qu'il avoue une forme
> d'impuissance.
>
> Cet ouvrage ouvre une nouvelle voie d'interprétation des écrits saints,
> qui consiste à expurger le Coran de tout ce qui est incompatible avec les
> droits humains, supprimant du même coup tout prétexte à la violence, pour
> n'y laisser que ce qui est de l'ordre de la foi, et ce qui est digne de
> l'image de perfection de Dieu.
>
> « Le Coran comme on ne l'a jamais lu « , Aïssa Moussa, Editions de Paris,
> 289 pages, ISBN 2-85162-118-1, 25 ?
>
Par Lapid (Lapid) le mercredi 01 décembre 2004 - 14h31: |
Ma douce France, tes fréquentations m’inquiètent
Par Roger Cukierman, président du CRIF
Date : 01-12-2004
Article paru dans l’édition du Monde le 1er décembre 2004.
Ma douce France, je t'aime tant, toi qui m'as tout donné, toi, si belle, si généreuse. Mais tu devrais résister aux mauvaises fréquentations !
Tu as accueilli Yasser Arafat dans l'un de tes hôpitaux militaires. C'était un geste humanitaire qui ne peut être contesté.
Mais pourquoi as-tu honoré avec autant de faste - Marseillaise, drapeau tricolore, tapis rouge et garde républicaine - un homme dont tu savais que ses mains étaient tachées du sang de centaines de civils, dont celui de plusieurs Français. Pourquoi as-tu adopté le silence sur les causes de sa mort, permettant ainsi aux rumeurs d'un empoisonnement de circuler sur la Terre entière ?
Tu savais que Yasser Arafat n'était ni Mère Teresa ni Nelson Mandela. Tu savais qu'il avait conduit son peuple au malheur alors qu'il avait quasiment fait tout le chemin menant à la paix et qu'il s'était dérobé à la dernière minute - peut-être parce qu'il n'a jamais été qu'un chef de guerre.
Tu es allée au-delà de l'humanitaire. Pourquoi ? Aujourd'hui, tu laisses réécrire l'histoire en indiquant, dans le certificat de décès, Al-Qods (Jérusalem) comme lieu de naissance, alors que, dans toutes ses biographies, Yasser Arafat est né au Caire, en Egypte. Pourquoi es-tu consentante ?
Tu connais certainement cette série diffusée par la chaîne de télévision Al-Manar, dans laquelle des acteurs déguisés en juifs religieux égorgent, dans d'horribles gros plans, un enfant réputé chrétien et recueillent le sang dans une soucoupe destinée à la fabrication du pain azyme. Ces scènes barbares rappellent les accusations mensongères de meurtre rituel portées au Moyen Age contre les juifs. Elles ont été diffusées par satellite aux 2,5 millions de foyers français équipés d'antennes paraboliques. Et ce, pendant la période de ramadan de l'automne 2003, au risque d'attiser la haine contre les juifs.
Cette barbarie avait été dénoncée publiquement par Jean-Pierre Raffarin qui avait parlé d'"images insupportables à la vue, brûlantes au cœur, révoltantes à la raison". Il avait alors annoncé son intention de faire interrompre la diffusion d'Al-Manar, la chaîne du Hezbollah. Pourquoi les promesses n'ont-elles pas été tenues ?
Comment as-tu pu laisser le Conseil supérieur de l'audiovisuel accepter que Al-Manar devienne "media grata" en France et dans toute l'Europe ? Veux-tu pour nous, tes enfants, des télévisions de haine qui incitent à la violence et qui exaltent les kamikazes ? Veux-tu que les penseurs du Hezbollah éduquent nos enfants ? Pourquoi as-tu autorisé de telles horreurs alors que se réunit, chaque mois, un comité interministériel pour lutter contre l'antisémitisme ? Pourquoi tant d'incohérences au risque de compromettre tous tes louables efforts contre le racisme, l'antisémitisme et toutes les discriminations ? Les membres du CSA ont-ils fait leur métier correctement ? Certainement oui, ils ont vu de quoi Al-Manar était capable. Il suffit de lire la lettre dont le CSA a accompagné la convention d'Al-Manar pour comprendre que les Sages ont agi à contrecœur. Tu dois lire cette lettre (www.csa.fr) où le CSA continue de pointer les programmes très récents d'Al-Manar, tous incompatibles avec la convention qui est désormais signée. Permets-moi d'en citer un extrait particulièrement éloquent : "Un clip musical, diffusé le 10 octobre 2004, met quant à lui en scène des enfants à des fins de propagande politique, ce qu'exclut l'article 2-4 de la convention. Ce clip incite au surplus à la violence, à travers des images ajoutées par Al-Manar. La signature par vos soins de cette convention implique donc que vous renonciez formellement à la diffusion de programmes de cette nature sur le signal empruntant un satellite relevant du droit français."
Les membres du CSA ont certainement dû céder aux pressions des pays qui parrainent le Hezbollah. Comment peux-tu accepter le principe même de telles pressions ? Pourquoi ne leur résistes-tu pas ? Ne sais-tu pas que derrière leurs rêves d'aujourd'hui se profilent nos cauchemars de demain ?
Je sais que ton nom, ma douce France, est adoré, adulé, acclamé dans le tiers-monde. Nehru et Nasser seraient pâles d'envie s'ils entendaient les foules d'Afrique et d'Asie. Ma douce France, ne te laisse pas enivrer par des cris que tu ne souhaiterais pas entendre.
Ma mère me disait : "Quand on a de mauvaises fréquentations, on risque d'attraper de mauvaises maladies." Ma douce France, sois plus prudente, tes enfants ont besoin d'une République saine physiquement, et surtout moralement !
Par Braham (Braham) le mercredi 01 décembre 2004 - 13h09: |
Par Lapid (Lapid) le mercredi 01 décembre 2004 - 11h12: |
A conseiller : Quelques sites interessants
1/ GUYSEN agence d'information
2/ ISRANEWS
3/ DESINFOS
4/ PRIMO_EUROPE
5/ Metulla News Agency
6/ MEMRI
7/ Arutz-7
8/ Proche-Orient info
(site devenu payant depuis le 1er octobre. L'acces de certains articles restent gratuits))
9/ Objectif-info
10/ Jerusalem Post en francais
(En general acces seulement aux abonnes)
11/ Harissa.com
Harissa forums
(site frequente en general par les internautes d'origine judeo-tunisienne)
12/ ACMEDIAS
13/ europolitica
14/ DEBKA
(site en anglais)
15/ INFOWEB-J
16/ Medias-Rating
17/ CRIF
18/ La Verite maintenant
Conseil : mettre les sites qui vous interessent dans votre liste de Favoris (ou Bookmarks)
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mercredi 01 décembre 2004 - 11h08: |
Claudia ce que tu fais la est malheureusement de la Desinformation . Ces ""juifs "" religieux appartiennent a une secte anti sioniste qui s appelle Naturey Carta ... ils sont tout ce que tu dis et meme pire . Du temps d Arafat , leur representant allait rencontrer le Rais et le soutenait . On a meme retrouve des traces de financement de l Autorite Palestinienne au Rabbin Hisrsh et a ses comperes . Cette secte compte quelques centaines de representants en Israel , dont ils ne reconnaissent pas la legitimite mais ils existent en plus grand nombre aux Etats Unis.
Tu ne peux en aucun cas les nommer "" Juifs fideles a la Torah "" car la tu engloberais tous les religieux et ce n est pas juste .