Par Primo (Primo) le dimanche 05 décembre 2004 - 19h18: |
Primo sur radio enghien
Êtes-vous bien sûrs de connaître Primo-Europe ?
L’équipe de Primo lâche la plume pour le micro
Pour être plus proche encore de ses lecteurs, de ses amis
Mardi 7 décembre 2004
De 20h à 22h
en direct
Sur radio idfm : 98fm ou sur le net www.Idfm.fr.fm
Qu’est ce qui fait courir PRIMO ?
Ils ne sont pas « Les Trois Mousquetaires », ni Don Quichotte et Sancho Pansa, pas même les « Sept Mercenaires ». Les membres de l’association Primo-Europe qui seront les invités de l’émission « De l’autre côté de le rue » du mardi 7 décembre, sont de simples citoyens. Ils ont décidé de s’attaquer à la mal information qu’ils estiment bien plus difficile à digérer que la malbouffe. Pas de journalistes professionnels ni d’institutionnels parmi eux, uniquement des bénévoles qui ne veulent plus que les Français soient les dindons d’une farce qui finira en tragédie.
Ils expliqueront comment ils ont pris conscience des différentes formes de mal information qui affaiblissent la démocratie. Ils parleront des actions qu’ils ont menées pour introduire un peu de réflexion dans l’océan de réflexes conditionnés qui tiennent lieu de raison. Ils travaillent pour nous tous et ils ont besoin de nous.
Toute l’équipe répondra en direct à vos questions et écoutera avec intérêt vos suggestions.
Pour participer à cette émission, appeler le 01 34 12 12 22
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 05 décembre 2004 - 16h35: |
Gendarmes en folie: le petard mouille
Ce ne serait pas etonnant qu'il s'agisse de Cruchot et Gerbere (alias De Funes et Galabru) ...
Explosifs égarés: les gendarmes pourraient être sanctionnés (Sirpa gendarmerie)
AFP | 05.12.04 | 15h18
Les gendarmes qui ont placé vendredi des explosifs dans le sac d'un voyageur lors d'un exercice de détection à l'aéroport de Roissy et qui les ont égarés pourraient faire l'objet de sanctions, a indiqué dimanche le Sirpa-gendarmerie."Le cas des deux gendarmes va être examiné. Ils vont être amenés à s'expliquer et le cas échéant ils seront sanctionnés", a déclaré à l'AFP un porte-parole du Sirpa-gendarmerie.L'explosif égaré vendredi ressemble à une petite barre de pâte à modeler pesant entre 100 et 150 grammes et "est complètement neutre", car il n'est pas accompagné d'un dispositif de mise à feu, a tenu à réaffirmer un autre responsable, le colonel Alexandre, commandant la gendarmerie du transport aérien, lors d'un point de presse dimanche.Cet explosif, embarqué dans un avion indéterminé avec la valise où il avait été glissé, n'avait toujours pas été retrouvé dimanche.Selon le colonel Alexandre, l'explosif avait été placé, lors de l'exercice, dans la poche zippée d'une "petite valise bleue de 50 à 60 centimètres de longueur" ne comportant pas d'étiquette, et "il n'est pas impossible que le passager n'ait pas encore retrouvé l'explosif égaré".Selon une source aéroportuaire, environ 80 vols en correspondance et en provenance ou a destination de l'étranger étaient susceptibles d'avoir accueilli le bagage.
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 05 décembre 2004 - 15h00: |
P.S.
Interessant d'apprendre par la meme occaze qu'au jour de l'Apocalypse, les Juifs se convertiront au Christianisme ...
C'est quel prophete qui predit ca, Julliard, Koré ou Chirac ?
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 05 décembre 2004 - 14h53: |
Le Canard Enchaîné - 2 decembre 2004 )
Jacques Chirac demande à Ariel Sharon d'abandonner Laurent Gbagbo
Pression de la France sur Ariel Sharon.
Délicate mission pour l'ambassadeur de France en Israël, Gérard Araud. Il s'est vu, voilà quelques jours, chargé par le Quai d'Orsay de faire passer ce message au gouvernement Sharon. En substance : la France connaît l'ampleur du soutien apporté par Israël à l'armée de Gbagbo et lui demande d'interrompre cette coopération.
A en croire une note de la DGSE remise à Alliot-Marie, plusieurs coopérants israéliens ont été aperçus au milieu des manifs anti-françaises des Ivoiriens. Une quarantaine de leurs compatriotes, travaillant aux côtés des forces de Gbagbo, ont, d'autre part, été identifiés, affirment les services français. Plus indiscutable, les drones (petits avions sans pilote) de fabrication israélienne ont effectué des vols de reconnaissance avant les bombardements rebelles au Nord du pays.
La touchante amitié entre Gbagbo et le régime de Sharon s'explique en partie par des raisons religieuses. Et c'est plutôt inattendu ! Depuis 1996, Simone et Laurent Gbagbo (suivis, depuis, par leur proche entourage) sont adeptes de l'église pentecôtistes américaine Four Square Gospel. Cette chapelle fondamentaliste chrétienne prône le rapprochement avec le peuple juif - élu -, qui, au jour de l'inévitable Apocalypse, se convertira au christianisme…
Voilà pourquoi Moïse Koré, le gourou du couple Gbagbo, se rend si souvent aux États-Unis et en Israël. Et pourquoi il est tout à la fois prédicateur et acheteur d'armes…
Jean-François Julliard
in Le Canard Enchaîné
Par Nectar (Nectar) le dimanche 05 décembre 2004 - 12h50: |
"est ce que Poutine veut creer un nouveau bloc oppositionel à l'occident soit:Russie-Inde-Chine?"
"Quelle consequence aurait pour Israel un tel nouveau bloc?"
AFP le 04/12/2004 17:38
Les relations se détériorent entre la Russie de Poutine et l'Occident
Les relations entre la Russie de Vladimir Poutine et l'Occident, marquées par un rapprochement spectaculaire après le 11 septembre 2001, mais mises à mal avec la crise irakienne, l'affaire Ioukos, la Tchétchénie et le raidissement du régime russe, se détériorent avec la crise en Ukraine.
S'exprimant vendredi à la Fondation Nehru de New Delhi lors d'une visite en Inde, un partenaire de longue date depuis l'époque soviétique, le président russe a dénoncé une "dictature dans les affaires du monde (...) enrobée dans une belle phraséologie pseudo-démocratique".
Une attaque dans des termes inédits, qui visait au premier chef les Etats-Unis - M. Poutine ne les a pas nommés - mais manifestement aussi le monde occidental dans son ensemble.
La crise ukrainienne, où la Russie, malgré un soutien démonstratif au candidat du pouvoir pro-russe en place à la présidentielle qui n'a pas réussi à imposer sa vision des choses face à l'implication des Occidentaux, a précipité l'apparition d'une fracture entre Moscou d'un côté, Washington et l'Europe de l'autre.
Vendredi également, la Douma (chambre basse russe), dominée aux deux tiers par le parti pro-Kremlin Russie Unie, votait à la quasi-unanimité une résolution dénonçant "l'approche unilatérale" des Européens en Ukraine, et leur ingérence provoquant le "chaos".
Au fil des déclarations, la confrontation verbale a pris des airs de guerre froide.
Il y a une semaine le conseiller du Kremlin Sergueï Iastrjembski accusait les Occidentaux de mener une politique agressive via "la démocratie de rue" et "l'anarchie" dans les pays de la zone d'influence russe, en ex-URSS.
Il n'hésitait pas à citer pour précédent la "révolution de la rose" en Géorgie en 2003, le renversement de Slobodan Milosevic en Serbie en 2000, mais aussi le mouvement mené par Solidarité en Pologne dans les années 1980, soit l'un de ceux qui ont en définitive sonné le glas du régime soviétique à Moscou.
Renforçant l'impression de retour à une autre époque, le président Poutine, reprenant le thème d'un "monde multipolaire" privilégié par Moscou, a vanté vendredi dans son discours à New Delhi la "coopération Russie-Inde-Chine" susceptible de fournir un "apport fondamental" à la stabilité globale.
Une coopération "en dehors de la logique des blocs", a-t-il tenu à préciser.
Le ton pris par le dialogue entre Russes et Occidentaux tranche avec le tournant ouvertement pro-occidental que M. Poutine avait fait prendre à son pays en rejoignant la coalition antiterroriste après les attentats du 11 septembre 2001.
Jetant la Russie - à contre-pied d'une bonne partie de l'opinion publique russe - dans un "partenariat" avec les Occidentaux, M. Poutine pouvait même à l'époque se permettre une boutade sur l'entrée de son pays dans l'Otan.
Grâce à son aval précieux en faveur d'une implantation militaire occidentale dans les républiques d'Asie centrale aux portes de l'Afghanistan, il a réussi à mettre en sourdine les critiques occidentales sur la guerre de Tchétchénie.
Mais là aussi les choses ont évolué. Il a dénoncé dans une interview à la presse indienne vendredi l'asile donné par les Européens et les Etats-Unis à deux émissaires du président indépendantiste tchétchène Aslan Maskhadov, qui selon lui "équivaut à l'approbation du terrorisme".
La crise irakienne n'a rien arrangé, même si Moscou a pu y partager avec Berlin et Paris la direction d'une "troïka" anti-guerre face à Londres et aux Américains.
Quant à l'affaire Ioukos, dont l'ex-patron Mikhaïl Khodorkovski risque plus de vingt ans de prison, elle participe d'une tendance de plus en plus marquée du pouvoir russe vers l'autoritarisme, dont la moindre critique par les Occidentaux se heurte à une fin de non recevoir du Kremlin.
Par Maurice (Maurice) le dimanche 05 décembre 2004 - 10h52: |
EMILE TUBIANA tu reprends sans t'en rendre compte la vulgate ARABE celle d'avoir été colonisé .La colonisation ou la formation d'Empire etait la norme avant ces dernieres annees ou actuellement sous une autre forme .Qu'on fait les Arabes en Espagne une promenade??? Qu'on fait les TURCO MUSULMANS au porte de VIENNE au 15) siecle UNE PROMENADE Qu'a fait SALADIN vers Byzance ? Qui occupait l'Orient Arabe du 15) au 20) siecle???les Turcs
Qu'est aller faire Napoleon vers Moscou ? Tout cela appartient de le strategie d'interet par l'espace et actuellement par la concurrence et le management et parfois par l'intervention armee Le Messie n'est pas encore là, Amicalement tout de meme car l'ame messianique nous hante un peu.....
Par Ajm (Ajm) le dimanche 05 décembre 2004 - 10h01: |
In Damascus, they voted for George W. Bush
By Tyler Golson
Special to The Daily Star
Saturday, December 04, 2004
While the results of this year's American election may have liberal Democrats and much of the extended international community shaking their heads in disbelief, a surprising number of Arabs seem to have not only expected President George W. Bush's return to power but also supported it.
Since I began teaching in Damascus six months ago, I have been continually surprised to find support and even admiration for Bush in that city, mixed in with the usual polemics about American imperialism. The presumed wildfire of anti-American and anti-Bush sentiment that has consumed much of Europe and Asia has apparently skipped over parts of the Arab world, where people often have more in common with Middle America than they do with the Middle East.
A few days after moving into my new home in the middle class Christian quarter of old Damascus, my landlady asked me whom I preferred between the two American presidential candidates. I replied, almost in passing, that of course I was voting for John Kerry. Besides being an Ivy League-educated New Englander and the son of extremely liberal parents, I was a foreigner and a guest in a country laboring under American economic sanctions. As a guest, surely I would be expected to distance myself from my own government, which had started a pre-emptive war against Syria's neighbor, denied considerable foreign investment to the Syrian economy and branded Damascus a "supporter of terrorism."
"I like Bush," she said, without a trace of irony. "He's a good man - a good Christian."
Okay, I thought. This is a Christian woman, representing a tiny and often overlooked minority in a predominantly Muslim region. She probably doesn't identify as deeply with the average Syrian, doesn't feel threatened by Bush's perceived crusade against Islam. So I filed the incident away in the back of my mind and didn't hear much about U.S. politics again, apart from the occasional exchange with bored taxi drivers.
Two months into my stay, the issue of pro-Bush Syrians suddenly re-emerged when I began teaching English classes to several dozen students. The students were, almost without exception, from the upper echelons of Damascene society: well educated, financially comfortable, with many hailing from important Syrian families involved in high-level economic and governmental decision-making.
One afternoon I was explaining the passive tense of verbs, and I used an example that came to mind from American culture. I asked them if they knew who was nominated by the two main parties to run for president. "John Kerry was nominated by the Democratic Party, and George Bush was nominated by the Republicans," replied one of the brightest in the class, a veiled Muslim engineering student named Rahaf. "Very good," I said. "Now, who do you think will be elected?" "Bush," cried several of the students at once, smiling. Abandoning my lesson plan for the moment, but curious at this sudden display of interest in the election, I ventured: "Who do you want to win?" "Bush," said Rahaf, while a number of others nodded in solid agreement. I pressed them further for a few minutes, asking individual students why they liked Bush. The same ideas came up again and again: he is a strong leader, an honest man, and, most of all, a believer. Like the winning margin of American voters this year, these Middle Easterners related to Bush's sense of religious conviction and his confident steering of a nation and culture they admired.
"But doesn't he scare you?" I asked finally, unable to contain my personal feelings and throwing the lesson plan out the window. "Because of Bush's ideas many people in my country think that all of you are terrorists." Rahaf and most of the others just shrugged. Maybe that was all true, they said, but he was still a good president.
I found these same sentiments expressed almost word for word in my two other classes. In addition, some of the most articulate students expressed intense misgivings about central Democratic electoral platforms, including gun control, limitation of the death penalty and especially abortion and gay rights. Just the word "homosexual" made many of them cringe and click their tongues in that uniquely Arab way of showing disapproval. A final piece of the puzzle fell into place when I learned that more than half of the students in my advanced class, among them a third-year medical student and daughter of a Western-based diplomat, rejected the theory of evolution. "I just can't believe that we came from monkeys," she said.
Afterwards I brought up what had happened with a fellow teacher, an American-born Muslim of Syrian descent who had taught at a number of schools in and around Damascus for years. "It's a religious thing," she explained to me, citing a particular Koranic verse that tells of God's creating man from a seed and that seed growing into Adam and Eve. "There is no room in traditional Islam, nor in traditional Syrian Catholicism, for a theory which links apes to humans." But how do you explain all of it, I asked, all the support for Bush, the social and even the scientific conservatism? They're more like the average American than I am. My colleague clicked her tongue, shrugged and agreed it was pretty strange.
And thus I came to realize something that the Democrats could never admit: that there exists a support base for both the Republicans' domestic and foreign agenda among the very people we thought most opposed current U.S. policy. The cultural background and value systems which inform many of these young Arabs' outlook on the world mean they will always favor men like Bush over men like Kerry. The tenets of faith, family and, yes, "moral issues" determine the overall political leanings of a considerable number of the Middle East's future leaders, in rejection of Democratic stump issues like increased liberalism, internationalism and scientific progress.
Though Democrats are often quick to criticize their opponents for seeing the issues in stark black and white, "us and them" terms, perhaps they ought to step back from their own obsession with "red" and "blue" dichotomies and recognize this nuance of Middle Eastern reality. Having a truly even-handed and practical approach to peace in the Arab world means realizing that not everyone, and certainly not all of the elites in Arab society, sympathize with the anti-American movements taking place within their own ranks, and that these heartland Arabs could prove a valuable ally in future U.S.-Arab relations.
Tyler Golson is an English teacher in Damascus. This commentary was written for THE DAILY STAR
Par Email (Email) le dimanche 05 décembre 2004 - 08h30: |
ARY
Prochaine représentation a Boulogne Billancourt,
Mercredi 8 décembre a 20 h 30
Espace Landwosky
28 Avenue André Morizet
92100 Boulogne Billancourt
Réservation au : 01.46.04.30.74
Par Pauline (Pauline) le dimanche 05 décembre 2004 - 08h04: |
cher Ami
chalom,
recuperez l'emission
" SPECIAL HANOUKA "
clikez sur : www.alyah.org et sur " Ecouter l'émission qualité normale "
Quelques extraits :
Immanuel (11 ans) : ...je suis ne en France...Hanouka c'est les vacances...je vois mes copains ...chaque jour , on ajoute une bougie...j' ai appris vite l'hebreu et aujourd'hui je parle bien le francais et l'hebreu...chaque personne qui vient en Israel , a une place dans le monde futur !
David (16.5 ans) : ...Hanouka c'est la fete ou nos ennemis essayent de nous couper de la torah...aujourd'hui, malgre le fait qu'ils veulent nous sortir des territoires , on reste fort...c'est dur pour nous les attentats...on vit les souffrances de l'arrivee de Machiah...je veux faire l'armee, pour la saintete du nom...il n'y a pas de quoi avoir peur...il faut dire la verite...Hag Sameah, que Machiah arrive !
Esther (16 ans ) : ...Hanouka, c'est travailler pour les exams, mais c'est aussi sortir avec des copines et allumer les bougies ensembles : sentir la signification de Hanouka...les 2 premiers attentats : j'etais tres choquee...la vie continue...on va amener les enfants de l'hopital , pour feter avec nous...soyez avec nous parce qu'on vit ici et c'est difficile et si vous etiez avec nous ce serait plus facile...j'espere qu'il y aura la paix !
Rav Shaul David Botschko ( extraits de la video-conference ): ...Le parcours de Yaacov est un peu le parcours du fuyard...ce n'est pas le panache d'Abraham...ce n'est pas le seigneur qu'etait Isaac...nous sommes les enfants de Yaacov et la force des enfants de Yaacov , c'est de bien montrer qu'il y a des choses avec lesquelles on ne transige pas...c'est cela la force des hashmonaim , c'est la force de conviction...la victoire est eclatante, mais ou en est le pays spirituellement ?...si vous etes ivres de votre victoire , mais vous oubliez les raisons et le pourquoi de votre victoire, tout va etre perdu... l'eternite de la fete de Hanouka se trouve dans l'attachement a la torah...il faut reconcilier la modernite d'Israel avec son passe...reconcilier la torah et la nationalite...aujourd'hui , on est comme Yaacov ,avec notre armee et notre puissance on a peur aussi ...c'est dans l'union de la spiritualite avec la materialite que notre histoire va pouvoir avancer...
vous pouvez ecoutez l'integralite de la conference sur notre site www.alyah.org
et le tout sous les musiques de Hanouka en Erets Israel !
--
Bivrakha
Yossef Ben-Shoushan
Oz le-Israel
Site Intertnet: www.alyah.org
Par Primo (Primo) le dimanche 05 décembre 2004 - 08h05: |
PRIMO EUROPE
L'actualité en perspective
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www.primo-europe.org
Primo Europe est une association constituée de bénévoles.
Le site Primo Europe est devenu, grâce à vous, l'un des plus consultés. De part notre activité croissante nous devons faire face à certaines dépenses incontournables (améliorations du site, matériel informatique, déplacements, réunions avec des médias, participations à des manifestations).
Vous pouvez nous aider en envoyant vos dons à Primo Europe, BP 19, 94001, Créteil Cedex. CCP : 29 478 26 P Paris.
IMPORTANT : suite à certaines réactions, nous indiquons à nos lecteurs que le contenu des textes de Liliane Messika Le CSA sous la coupe du lobby juif ? et d'Antoine Subiaco : TV Réalité sur Al manar étaient, bien entendu, à prendre au second degré.
Islamistes : Le Protocole des stages de Lyon
Une partie du documentaire de Sifaoui sur Ramadan et les réseaux islamistes est tourné dans la région lyonnaise. Jusque là ceux qui avaient osé attirer l’attention sur le recrutement forcené d’apprentis terroristes, et les bases logistiques et propagandistes dans cette région, avaient eu quelques problèmes.
Le journal Lyon-Mag s’était vu traîner devant les tribunaux pour avoir cité les propos de l’imam Bouziane, polygame fouettard, situation ubuesque où celui qui dénonce la barbarie s’en voit accusé.
La chose avait un préalable puisqu’un mouvement jadis incluant, au moins dans son titre, la lutte contre l’antisémitisme, avait traîné devant les tribunaux un député qui avait osé poser une question sur les slogans « mort aux juifs » scandés au cours d’une manifestation consacrée probablement à l’amitié entre les peuples.
Antoine Sfeir indique aujourd’hui « : D'après les services secrets américains et français, une cinquantaine de combattants de Ben Laden sont originaires de la région lyonnaise, essentiellement des banlieues où les réseaux islamistes sont très actifs. »
Certains se souviennent de la violente charge du Mrap contre Del Valle dans un « rapport » de 2003.
Le Mrap cite, ci-dessous Del Valle qui indique un lien entre le Pakistan et le recrutement du Tabligh dans les banlieues françaises, et s’en indigne ! Il s’agit tout simplement de la négation par le Mrap de ce recrutement et de ce lien. On notera au passage, comme à chaque fois que le mrap parle d’un site, mouvement ou association juifs le terme « communautaire », terme dont est épargné l’islamisme le plus prolifique et sectaire.
A.Del Valle : « Mais le Pakistan est surtout le lieu de naissance et la base arrière de deux parmi les plus importantes organisations islamistes du monde sunnite : premièrement, le Tabligh, dont les sectaires prosélytes vont fanatiser les Musulmans jusque dans nos " banlieues de l'Islam » (relevé sur le site communautaire : sepharad.org. )
MRAP : « C’est là une constante de l’intéressé, elle consiste à établir un lien permanent entre le Pakistan ou l’Afghanistan et les banlieues de nos villes. »
Nous pourrions dire aujourd’hui : c’est là une constante du Mrap, de nier le lien entre le Pakistan, l’Afghanistan et les réseaux lyonnais. On ne recrute pas cinquante djihadistes d’Al Qaïda par petites annonces. Il a fallu des années de prêches, de contacts par les réseaux associatifs lyonnais, de diffusion d’ouvrages, de contrôle des commerces, de pressions sur les quartiers, de menaces sur la presse, pour parvenir à un tel résultat.
Le rapport du ccTr sur le Mrap consacre plusieurs pages, principalement inspirées des travaux de Lyon Mag, à ces réseaux lyonnais, de la librairie Tawhid à DiverCité Agora, au MIB (mouvement immigration banlieue) en passant par AVS, contrôleur de viande hallal, et oumma.com.
La réponse du Mrap suit toujours le même procédé : ceux qui dénoncent l’islamisme sont islamophobes, qui dit islamophobe dit raciste, qui dit raciste dit d’extrême droite. Ainsi le meilleur paravent aux réseaux terroristes s’est constitué, avec une caution antiraciste, des moyens juridiques et médiatiques importants et une capacité de censure et d’intimidation par menace systématique de procès.
La chose va loin quand on voit son refus d’admettre le lien entre les travaux des islamistes d’Afghanistan et ceux des banlieues françaises, le refus de voir le lien entre les frères Ramadan et les Frères Musulmans.
Le documentaire de Sifaoui pour Envoyé Spécial est passé hier malgré les pressions. Le courage de ce journaliste est à saluer, et davantage encore après l’assassinat islamo-raciste de Théo Van Gogh.
On voit d’ailleurs dans ce reportage, outre le double langage des Ramadan’s Brothers, le ton et les menaces utilisés par les islamistes de la librairie Tawhid contre Sifaoui, prévenus par Tarik Ramadan de la venue du journaliste. Nous sommes loin du mielleux séducteur des cités et des sourires du FSE.
L’islam souriant et tolérant c’est pour l’écran ; la caméra cachée nous montre la version terrain « tu vas avoir de gros problèmes » indique le libraire à Sifaoui. Il ne s’agit que du libraire, et face à un journaliste ; on peut imaginer les formes que doivent emprunter de telles paroles sur un parking de cité envers un quidam hostile à Al Qaïda.
Sifaoui montre à l’écran ce que des milliers de personnes, travailleurs sociaux, policiers, maires, militants associatifs, enseignants connaissent déjà. Ce qui se disait sous cape ou burqa est montré à une heure de grande écoute. Ce Tarik Ramadan, malgré des enquêtes internationales sur ses liens avec Al Qaïda, et sa qualité d’héritier physique et spirituel du sanguinaire fondateur des Frères Musulmans, parvenait jusque là à bercer d’illusion de nombreuses personnes par son double langage.
Son accueil par les alter mondialistes, (parfois charia-mondialistes), son partenariat avec Mouloud Aounit, le Mrap et la LDH, démontrent le niveau d’aveuglement d’une bonne partie des Français, et la compromission de structures associatives avec des chefs d’orchestre de l’islam radical.
Ces compagnons de route du djihad n’ont pas saisi qu’il s’agit d’un orchestre à cordes et que les premiers pendus seront, comme en Iran après la révolution Komeyniste, les partenaires devenus inutiles et encombrants. La partition est écrite avec du sang que le vernis du double langage ne suffit plus à dissimuler. La langue fourchue est souvent accompagnée de puissantes glandes venimeuses.
D’ailleurs les Mrap, LDH, les Geisser, Ternisien, leur sont-ils encore utiles ? L’Etat traite directement avec l’UOIF et avec les Etats islamistes, même pour les affaires de lois françaises sur le voile. Les islamistes n’ont plus besoin de cautions légales et de mauvais paravents antiracistes : ils ont le rapport de forces avec eux.
Comme le disait Aounit sur le site islamiste oumma.com, entre deux publicités pour la librairie Tawhid et les livres de Ramadan :
« On ne quémandera plus rien maintenant, seul le rapport de forces comptera » (30 avril 2004, interview vidéo de Mouloud Aounit sur Oumma.TV.
C’est bien ce rapport de forces que le libraire de Tawhid a expliqué plus directement à Sifaoui sans se savoir filmé :
« tu vas avoir de gros problèmes ».
Le Mrap visera les mêmes cibles que ses partenaires islamistes, avec d’autres méthodes et arguments.
la dernière est de qualifier d’extrême droite tout ce qui peut faire obstacle à la conquête islamiste, et de s’en prendre directement aux personnes et non à leurs arguments ou courants de pensée.
A l’heure où les menaces et assassinats d’opposants à l’islamisme ou à l’islam se répandent en Europe, et où Al Qaïda recrute sur le sol français, le Mrap et quelques plumitifs influents vont prendre la responsabilité de désigner des cibles et de les accuser d’une idéologie qui leur est étrangère.
Les attaques personnelles contre Caroline Fourest, Kébir Jbil, les Maghrébins Laïques, Rachid Kaci, Jocelyn Bezecourt, Nicolas Pomiès, Alex Feigenbaum, l’UFAL, le ccTr, Del Valle, le CRIF, la Gauche Républicaine, Clément Weill-Raynal, Louis Chagnon, et même contre Albert Memmi sont d’ailleurs systématiquement reprises, et avec un langage moins tortueux sur les forums islamistes les plus haineux.
« Nous ne savions pas », « nous ne faisions que notre travail » diront peut être les Mrap, LDH, les Geisser et Ternisien, si les cibles indiquées par venaient à être victimes de ce « rapport de forces » prôné par Aounit.
Chaque totalitarisme a ses fonctionnaires et auxiliaires zélés, l’islamisme n’y échappe pas : après avoir désigné les cibles de l’index, certains se lavent les mains et attendent les primes. Ceux qui niaient l’existence des réseaux lyonnais et lancent des attaques personnelles contre ceux qui en dénonçaient l’importance et la nocivité porteraient une responsabilité directe en cas de malheur à Lyon ou ailleurs.
Ce pacte islamo gauchiste, ce protocole des stages de Lyon, lie de façon étroite les bras armés des assassins fous d’Allah et les éditeurs de fatwas, même quand ces derniers osent parler d’amitié entre les peuples.
A nous tous de protéger nos Théo à Lyon, Paris, Marseille, Strasbourg…et Amsterdam.
Antoine Subiaco © Primo-europe
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 05 décembre 2004 - 07h26: |
Douda, disons qu'il y avait des differentes opinions entre AJM et vous-meme, MNIH DAKOURDOU?
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 05 décembre 2004 - 07h23: |
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 05 décembre 2004 - 05h41: |
Happy hanukkah
http://home.nc.rr.com/keehyun/stuff/jew-heyya.html
Jacob
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 05 décembre 2004 - 05h33: |
Oz Lé-Israël Organise
(avec l'aide du Bné Akiva, du Centre Fanny Kaplan, de Connectisraël, du P'tit HÈBDO, de Francophones.org.il et du CNEF)
UNE GRANDE PREMIERE: EVENEMENT EXCEPTIONNEL A NE PAS MANQUER
un cours hébdomadaire en français en vidéo-conférence / JERUSALEM - PARIS
avec le Rav Chlomo AVINER Chlit"a.
En Israël : de 20h 45 à 22h 10 au centre Fanny Kaplan
Réhov Maguen Haéléf 1 - (Tel: 02 5826348)
Quartier Chmouël Hanavi, Jérusalem.
En France : de 19h 45 à 21h 10 au centre du Bné Akiva
12 rue de Lorraine - (Tel: 01 42401344)
Métro Ourcq - Paris 75019
Le 19 kislev (2 decembre): La colère
Le 26 kislev (9 decembre), fête de Hanouka, la conférence n'aura pas lieu
Le 4 Tévèt (16 Décembre): Le choix du conjoint
Le 11 Tévèt (23 Décembre): La Mitsva d'Erets Israël
Le 18 Tévèt (30 Décembre): Le respect des parents
Le 25 Tévèt (6 Janvier): Qui est le Machiah
Venez nombreux assister à cet évènement
Conférence + Questions / Réponses
qui se déroulera toutes les semaines
Vous aurez la joie en plus, de voir de part et d'autre, votre famille et vos amis sur l'écran géant. (Merci d'arriver avant l'heure pour faciliter le bon déroulement de la conférence et avoir une place assise).
Vous pouvez visionner les conférences, en différé sur notre site: www.alyah.org