Archive jusqu'au 31/décembre/2006

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires de Decembre 2006: Archive jusqu'au 31/décembre/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le dimanche 31 décembre 2006 - 00h05:

Saddam exécutè le jour de l'Aid.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le dimanche 31 décembre 2006 - 01h50:

Un entretien avec David Rubinger, âgé de 82 ans, un grand photographe qui vit à Jérusalem.

http://www.jpost.com/servlet/Satellite?apage=1&cid=1164881997119&pagename=JPost%2FJPArticle%2FShowFull

Quelques dizaines de ses photos prises en Israël durant les soixante dernières années, dont la très célèbre image prise au Kotel en juin 1967

http://digitaljournalist.org/issue0003/arm01.htm

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 30 décembre 2006 - 22h45:

La fuite fiscale de Johnny …
Chantée sur un air de '...Diégo….'§§§§
Il a été rejoindre notre ami Suisse bien connu d'Adra mais disparu...LA DOUDA....

Qui a dit que les montagnes ne se rejoignaient pas..????

'...Dans le canton de Vaux
Il a placé ses lingots
A l’abri du fiscOOOO..§§§§
Qui se croit très fort
Là-bas il fait froid
Ses millions d’euroOOOOs
S’envolent sans accord.

Quel est ce pays
Où sévit l’impôt
Qui frappe le plus fort ?

JohnnyYYYYY, libre dans sa tête
Et pleins d'idées
Sur ses écoOOOts
S'endoOOOOrt peut-être...

Il danse sur ses sous
Fuyant le loup...§§§§§
Il chante et il rit
Je ne pense plus à lui

Johnny, heureux dans sa têEEEEte
Fait la grande fêEEEEte
Il n’est pas si bête
L’ami du SarkoOOOO….

Déjà élu peut-être...


Carrière d’un héroOOO
A qui il doit tout à la France
Il a ramasse son jackpot
Pour la Suisse meilleure
Là bas, à la bonne heure
Il peut compter le fruit
De son labeur sans penser
Au receveur….§§§§§

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Viviane (Viviane) le samedi 30 décembre 2006 - 19h36:

cher cacouboulou
Avant tout, Chavoua Tov! J'apprends par Girelle que tu faisais en tant que chimiste/grossiste le trafic de "la poudre blanche". Est-bien vrai? On va se détendre quelques secondes. Je t'envoie,si Girelle dit vrai, une histoire que tu apprécieras surement.
Un chimiste entre dans une pharmacie:
"- Avez-vous de l'acide acétylsalicilique C6H4(OCOCH3)COOH?
- Vous voulez dire de l'aspirine?
- Oui c'est ça. Je ne me rappalle jamais de ce mot!"

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le samedi 30 décembre 2006 - 09h35:

L'ancien dictateur irakien Saddam Hussein a été exécuté par pendaison.
AP.


Jusque dans l'Etat américain du Michigan, les chiites irakiens ont fêté la mort de l'ancien raïs.
Cook/Reuters
En complément
Les derniers instants de Saddam En images : Vie et mort du ''boucher de Bagdad'' Chronologie : la chute de Saddam (2003-2006) Opinions : Fallait-il tuer Saddam ? L'avis des internautes En images : Irak, 42 mois d'intervention en chiffres En images : le bourbier irakien En images : les préconisations du rapport Baker
Les autres titres
La Bulgarie compte sur l'UE pour se développer Les démocrates se bousculent pour la Maison-Blanche Bush salue une étape clef pour la démocratie Quand Giscard était moqué par le Foreign Office L'Égypte arme le Fatah en Palestine Saddam Hussein a été exécuté La Roumanie aussi accueille des immigrants Irak : Bush subit les critiques posthumes de Ford Quelque deux millions de pèlerins réunis à La Mecque Retour | Rubrique InternationalL'ancien président irakien, condamné à mort pour l'exécution de 148 villageois chiites dans les années 1980, a été pendu samedi à l’aube, à Bagdad.


Entre 4 heures et 4h30, samedi, l'ancien dictateur irakien Saddam Hussein a été exécuté par pendaison, a annoncé la télévision nationale Irakiya, en diffusant une musique patriotique et des images de monuments et symboles nationaux. «Oui, il a été exécuté», a confirmé depuis Washington un responsable américain sous le couvert de l'anonymat.


D’après plusieurs témoignages, l'ancien président irakien, avait les mains liées et les jambes entravées, mais son visage était découvert. Il a dit une brève prière tandis que des policiers le faisaient monter à la potence et lui passaient une corde autour du cou. Le conseiller national irakien à la sécurité, Mouaffak al Roubaï, a déclaré que le condamné à mort était apparu comme un «homme brisé».

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le samedi 30 décembre 2006 - 02h50:

c:/
Les rabbins de Netourei Karta visitant le gouvernement Iranien durant le congres negationniste de la shoah


C'EST GENS LA SONT DES ENVOYES DES GOIMS POUR NOUS DETRUIRE, NE LES LAISSONS PAS FAIRE. CETTE TERRE NOUS A ETE DONNE PAR HACHEM A LA SUITE DE L'EXTERMINATION DE 6 MILLIONS DE JUIFS IL NE POUVAIT PAS TOUT REGLER APRES TOUTE CETTE SOUFFRANCE IL FALLAIT PRENDRE LE TEMPS DE PEUPLER CETTE TERRE MAINTENANT IL FAUT AGIR ET LA RENDRE PURE COMME AU MOMENT DU DON DE LA THORA C'EST NOTRE SEULE RAISON D'ETRE.

LEA

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 29 décembre 2006 - 21h30:

'...Le CAS SIDI CACOU...( Cassidy)En pleine revue...
J'éspère que ton bras d'honneur s'est allongè cher ami...Depuis...!!!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le vendredi 29 décembre 2006 - 20h59:

tu as gagné VIVIANE Ah les femmes reconnaissent à l'odeur ??.. 50 ans apres non 58 ans apres donc avant d'aller chez Felix On s'est trompé ce n'est pas Noel c'est le 1° Avril mais passer tous un bon 1 Janvier 2007 vive les Berberes vive les Arabes vive les Juifs Vive la France et la CHAKCHOUKA appelée Mondialisation Avec ce mot ils me donne la RASRA c'est et nous Tunisiens JUDEOARABOBERBERES on comprend mieux
Avec internet on ne peut plus parler avec les Mains et faire un bras d'Honneur à tous les sauvages decadents et chantons FARID EL ATRACHE
BONNE ANNeE et repos pour que Cacouboulou puisse grandir et s'occuper de sa famille nombreuse

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le vendredi 29 décembre 2006 - 20h25:

Baker mord la poussière. Et après ? (info # 012812/6) [Analyse]

Par Laurent Murawiec à Washington © Metula News Agency

Le retour de l’empire a fait long feu. James Baker croyait gagner l’Oscar, il a droit au Prix Citron. Les rêves mouillés des illuminés de Téhéran, quant à eux, ont du mal à envahir la réalité au-delà de leurs voisins immédiats : l’embrouille moyen-orientale nous a encore réservé une virevolte inattendue. Une fois de plus, Bush a réagi à une attrape posée par les ennemis de sa politique ; il a rebondi, sans toutefois mettre en place une vraie stratégie, et rejeté les poisons qu’on lui proposait comme antidote. Le monde n’est pas tout à fait simple.

« Une semaine est une éternité en politique » avait dit l’ancien premier ministre anglais Harold Wilson. A fortiori les trois ou quatre semaines qui se sont écoulées depuis l’apparition, semblable à celle qui jadis avait ébloui Bernadette Soubirou, du rapport de la Commission Baker sur l’Irak. Les critiques de gauche et de droite ont frappé dru l’irréalisme pompeux et l’arrogance creuse du rapport, de ses auteurs, de son saint Patron. De Blücher qu’il était, Baker est devenu Grouchy ou même Polichinelle.

L’Amérique devait, selon lui, se jeter en suppliant aux pieds de ses pires ennemis afin que ceux-ci la tirent du mauvais pas. La brillante recette et les soixante-seize recommandations qui la déclinaient devaient être adoptées en bloc, « pas comme une macédoine où l’on choisit ce que l’on veut », précisait, pas franchement modeste, super-Baker. Sa réputation usurpée (après tout, ses titres de gloire comme secrétaire d’Etat de Bush père furent l’abandon du Liban à la Syrie et le fictionnel « processus de paix » de l’oubliable Conférence de Madrid sur le Moyen-Orient) a changé l’or en plomb.

Mais aujourd’hui, la Commission et ses recettes sont out ! Il suffit de lire les articles vénéneux et rageurs que la grande presse proche de l’Establishment consacre à la chose, comme une récente chronique de Robert Novak, parue dans le Washington Post, pour s’en apercevoir : encore une fois, les néo-conservateurs, « the Israeli ruling classes and their U.S. outriders », écrit cette fripouille de plume, la classe dirigeante israélienne et ses éclaireurs américains, empêchent la solution du seul vrai problème du Moyen-Orient, le « conflit israélo-palestinien. ». Si seulement Bush n’avait pas laissé la bride sur le cou de Sharon, il n’y aurait aucun problème en Irak !

On comprend la mâle rage qui donne le branle à ces braves gens : voici quelques jours à peine, Mlle Condi Rice, leur élève, protégée et porte-influence dans l’entourage de Bush, expliquait que « les Etats-Unis ont toujours agi efficacement en jouant à la fois par la puissance et par les principes » et ajoutait – insulte suprême à ses mentors – je ne vois pas comment les Etats-Unis pourraient jamais s’exempter de leur grande tâche pour se consacrer à je ne sais quelle stabilité… ce serait une stabilité trompeuse. » Le mot est lâché, la « fausse stabilité », fétiche des « Réalistes », est rejetée. Rice ajoutait, à revers de ses propres convictions, que les Etats-Unis doivent agir « intelligemment dans le nouveau contexte stratégique, plutôt que de retomber dans le vieux cadre stratégique en quête d’une stabilité qui n’existe plus ». L’Iran et la Syrie ne feront rien pour stabiliser quoi que ce soit, ajoutait-elle, sauf s’il y va de leur intérêt, et le prix qu’ils en exigeraient de toute façon serait exorbitant, la réannexion du Liban, pour la Syrie, et un feu vert à l’armement nucléaire pour l’Iran.

On n’est pas là bien éloigné du bon sens le plus élémentaire – celui-là même dont ont si cruellement manqué Baker et sa chapelle. Bush a confirmé le rejet des recommandations dans une longue interview au Washington Post et dans une conférence de presse convoquée spécialement pour l’occasion. Le président, si l’on me permet l’image, n’est pas un kangourou qui saute de sa propre volonté ; c’est un ballon de basket-ball qui rebondit d’autant plus fort qu’il reçoit des coups. Les « Réalistes » ont exigé de lui – pour prix de leur soutien – qu’il se renie entièrement. Le ballon a réagi violemment – panier à trois points.

Pour autant, les problèmes ne sont pas résolus. Baker et Cie avaient profité de l’échec de l’entreprise irakienne, de l’impopularité (relative) de la guerre, du moins de l’absence de perspective qui en brouille la perception, de la défaite électorale des Républicains en novembre, pour se faufiler de nouveau sur l’avant-scène. Ils y reviendront si rien ne change. Or, on peine à apercevoir l’amorce de vrais changements. L’entrée en fonction au Pentagone de Robert Gates, bureaucrate endurci, membre de la même coterie, n’en annonce guère. Il a certes assuré – cornaqué par le staff présidentiel ? – que « nous ne pouvons tout simplement pas nous permettre d’échouer en Irak. Une retraite d’Irak serait une calamité qui reviendrait nous tourmenter, entacherait notre crédibilité et mettrait l’Amérique en danger pendant des décennies. ». Cela va sans dire, mais pour citer M. de Talleyrand-Périgord, cela va encore mieux en le disant.

On débat beaucoup d’une injection rapide (« surge ») de plusieurs dizaines de milliers de soldats américains à Bagdad pour sécuriser et préparer une « irakisation ». La chose ne serait pas mauvaise, qui donnerait aux forces de la coalition de nouvelles marges de manœuvre. Aucune décision n’a encore été prise. Mais elle ne changerait pas la donne.

Ce qu’on aurait dû faire, il y a trois ans déjà, mais qui n’eut pas lieu, serait le vrai tournant de la guerre : il faut éliminer physiquement le bandit islamo-fasciste Muqtada al-Sadr, proche de l’Iran, et casser son « Armée du Mahdi » ! Qui veut « parler » à l’Iran, à la Syrie, et à toute la région, atteindrait par là la vraie éloquence : les Américains tapent sur la table et arrêtent de faire semblant de ne pas voir qui, par barils entiers, jette de l’huile sur les feux de la guerre sectaire, ils se conduisent enfin en patrons et non plus en gentils animateurs qui ont peur d’offenser l’Islam et qui occupent le pays sans montrer la violence d’un « vrai » occupant.

En attendant un hypothétique tournant, un autre paramètre régional semble avoir amorcé un changement, encore que les contours n’en soient pas encore nettement dessinés : c’est l’échec relatif des candidats du prêcheur d’apocalypse Ahmadinejad aux élections municipales en Iran et au scrutin pour l’ « Assemblée des Experts », sorte de Chambre de contrôle à la soviétique, peuplée exclusivement de barbus enturbannés.

Entendons-nous : les « élections » en Iran sont une mascarade, où la plupart des candidats humains sont évincés avant le vote au bénéfice des pygmées cléricaux de service, et où la fraude électorale règne avec impudence, sans parler de l’intimidation, des violences en tous genres et de la corruption. Les ayatollahs ont tiré les leçons de défaites antérieures où ils avaient eu l’inexcusable naïveté de ne pas se croire haïs du peuple. Cela étant, les gagnants cette fois-ci sont des ayatollahs, non pas modérés mais peu désireux de pousser trop loin la provocation nucléaire. Ils veulent des armes atomiques, mais pas d’Apocalypse now. Leur figure de proue est l’ayatollah Hachémi-Rafsandjani, ancien président, qui a battu le mentor d’Ahmadinejad, l’ayatollah Mesba-Yazdi, pour un siège à l’Assemblée des Experts. L’imagination fiévreuse de diplomates et de journalistes occidentaux - décidément incorrigibles - a immédiatement sauté sur ce retour de Rafsandjani « le modéré. » C’est lui qui a lancé le programme nucléaire militaire de l’Iran et qui a été le premier à en évoquer l’usage contre Israël. Modéré, certes pas, mais milliardaire, sans désir d’apocalypse, avec un « simple » désir de puissance et de domination.

On suggère que le Guide suprême Khamenei a voulu pondérer la politique iranienne plutôt déséquilibrée par Ahmadinejad : ressortir le leurre des « modérés », tout en laissant ce dernier divaguer et préparer ses guerres. Notons qu’Ahmadinejad a été copieusement sifflé et humilié par les étudiants de l’Université de Téhéran il y a quelques jours, témérité que l’on paie usuellement en Iran de sa vie, sauf à être un tant soit peu protégé par certains services du régime.

Les événements à venir au Liban permettront de mieux saisir et interpréter ceux de Téhéran. Nasrallah fait encore peser la menace d’un coup de force (avec l’appui, hélas ! de Michel Aoun). Le coup d’arrêt donné à Washington à la politique capitularde est une petite bonne nouvelle pour le Liban : pour l’heure, la Maison Blanche ne vendra pas la peau de la souris libanaise au carnassier voisin, et, à l’inverse, poussera en avant l’enquête internationale sur le rôle de Damas dans l’assassinat de Hariri. Il n’y a pas que Baker qui a poussé le bouchon trop loin.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le vendredi 29 décembre 2006 - 18h49:

Dear Jaco ,very very happy birthday.
may heaven's choicest blessings be showered upon you.
with lots of love from toufiq and family.