Par Admin (Admin) le lundi 01 avril 2002 - 04h31: |
Par Shira (Shira) le dimanche 31 mars 2002 - 18h26: |
"Le cafe des dattes" a ete redecore. Mabrouk! C'est bien encore le seul cafe ou on ne risque pas d'attentat, meme sans vigile a sa porte...
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 31 mars 2002 - 16h01: |
MENSONGES SUICIDAIRES
Ecrit par Thomas L. Friedman, journaliste du New York Times, le journaliste qui a devoile le plan de paix saoudien.
Traduit par Albert Soued, www.chez.com/soued, le site des Symboles dans la Bible
Le 31 Mars 2002- NY Times
Le resultat de la guerre en cours entre Israeliens et Palestiniens est vital pour la securite de tout americain, et meme, je le pense, pour toute notre civilisation. Pourquoi?
Tout simplement parce que les Palestiniens sont en train d'experimenter une toute nouvelle forme de guerre, utilisant des bombes humaines travesties en Israeliens, pour atteindre des objectifs politiques. Et cela marche!
Les Israeliens sont terrifies. Malgre une strategie devastatrice de leur propre societe, les Palestiniens se sentent de moins en moins impuissants. Ils sentent qu'ils ont finalement une armee qui cree un equilibre des forces avec Israel et peut-etre, dans leurs fantasmes, qu'ils peuvent le vaincre.
En tant que chef du Hamas, Ismai'l H'aniya a dit au Washington Post que les Palestiniens font fuir les Israeliens parce qu'ils ont decouvert leur point faible. "Les juifs aiment la vie plus qu'aucun autre peuple, et ils preferent ne pas mourir" dit-il. "Ainsi les bombes humaines palestiniennes sont l'arme ideale pour les user". C'est a en vomir!
Le monde doit comprendre que les Palestiniens n'ont pas choisi le suicide a la bombe parce qu'ils sont "desesperes" du fait de l'occupation israelienne. C'est un enorme mensonge. Pourquoi?
En premier lieu, parce que nombre de gens sont desesperes de par le monde et pour autant, ils ne se bardent pas de batons de dynamite. Plus important que cela, le president Clinton a offert aux Palestiniens un plan de paix qui aurait pu mettre un terme a leur desespoir eu egard a l'occupation, mais leur chef Yasser Arafat lui a tourne le dos.
Encore plus important, depuis longtemps les Palestiniens avaient sous la main une tactique bien plus efficace, la resistance non-violente, a la Gandhi. Un mouvement non violent Palestinien, qui aurait seduit la conscience de la majorite silencieuse israelienne, aurait permis depuis deja 30 ans la creation d'un etat palestinien, mais cette strategie a aussi ete ecartee.
La raison pour laquelle les Palestiniens n'ont pas choisi ces autres strategies, c'est parce qu'ils veulent obtenir leur independance par le feu et le sang (1). Ce qui les met a l'unisson en tant que communaute, c'est la volonte de detruire et non pas de construire. Avez-vous deja entendu Mr Arafat parler du systeme educatif ou d'une mesure economique qu'il prefere, ou encore du type de constitution qu'il veut adopter?
Non, parce que Mr Arafat n'est pas interesse par le contenu d'un Etat, seulement par ses contours.
Soyons tres clairs. Les Palestiniens n'ont pas adopte la strategie de la bombe humaine par desespoir. Or celle-ci menace toute la civilisation et si on permet qu'elle se developpe en Israel, alors, a l'instar des prises d'otages et des bombes volantes, elle sera copiee, et pourra meme mener a une bombe nucleaire humaine menacant des nations entieres.
C'est pourquoi le monde entier doit se defaire de cette strategie palestinienne de la bombe humaine suicidaire.
Comment? Cette sorte de terreur peut etre jugulee seulement par la moderation et son rejet par la communaute meme ou elle est nee. Aucune armee ne peut arreter des petits groupes prets a se tuer.
Mais alors comment susciter cette dissuasion aupres des Palestiniens?
En premier lieu, Israel doit d'abord frapper fort militairement pour montrer clairement que la terreur n'est pas payante.
Ensuite, les Etats-Unis doivent clairement declarer que la strategie de la bombe humaine n'est pas uniquement le probleme d'Israel.
Pour cela, ils doivent declarer que bien qu'ils respectent la legitimite d'un nationalisme palestinien, ils ne traiteront pas avec leurs chefs aussi longtemps qu'ils tolereront ces suicides a la bombe. De plus, nous devons clairement dire aux leaders arabes qui appellent "martyrs" ces bombes humaines, qu'ils ne sont pas les bienvenus chez nous.
Tertio, Israel doit dire au peuple palestinien qu'il est pret a reprendre le dialogue la ou l'a laisse Mr Clinton, avant cette guerre d'usure. Ces pourparlers etaient a deux doigts (90%) de mettre fin a l'occupation et de creer un Etat palestinien.
En quatrieme lieu, les Etats-Unis et l'Otan devraient garantir toute frontiere israelo- palestinienne.
"La guerre civile espagnole a ete l'endroit ou les puissances ont teste leurs armes avant la 2eme guerre mondiale" a dit un theoricien politique israelien Yaron Ezrah'i. Eh bien, le conflit actuel est la guerre civile espagnole pour le 21eme siecle. Une grande repetition est en train de se produire pour savoir si la bombe humaine en tant que strategie de liberation peut reussir. Elle doit etre vaincue, mais cela requiert un peu plus qu'une reponse militaire.
Les Palestiniens sont aveugles par une telle rage narcissique qu'ils ont perdu de vue la verite de base sur laquelle la civilisation est batie: toute vie humaine, en commencant par la leur, est sacree.
Dernier bastion du realisme, si l'Amerique n'emploie pas toute parcelle de son energie pour arreter cette folie, en l'appelant par son nom, alors elle se repandra.
Le Diable est en train de danser au Moyen Orient et se dirige vers nous en dansant.
(1) note du traducteur; Th Friedman semble oublier ou negliger la strategie a long terme declaree des dirigeants Palestiniens, la destruction de l'Etat d'Israel et son remplacement par un Etat Palestinien ou les Juifs seraient a nouveau toleres comme dhimmis.
Par Michka (Michka) le dimanche 31 mars 2002 - 14h53: |
TRIBUNE LIBRE
Les impôts européens financent le terrorisme musulman
Le 30 octobre, 4 jours avant la conférence économique de Majorque sur le Moyen-Orient, l'Allemagne annonça qu'elle transférait 250 millions de Deutchmarks а l'Autorité Palestinienne.
Le 22 octobre, quand les forces israéliennes firent irruption dans les bureaux du Quartier Général de la Garde Présidentielle de Yasser Arafat (la Force 17) pour rechercher les assassins du ministre, ils trouvèrent un tas extraordinaire de documents prouvant qu'Arafat paye l'intйgralité du budget des organisations terroristes Tanzim et Fatah avec ses propres deniers, sur son budget "présidentiel"
Les chiffres sont écrits noir sur blanc. Chacun des 10.000 terroristes du Tanzim reçoit mensuellement 875 shekels soit 1.400 francs français, et ceci depuis qu'Arafat a déclaré la guerre à Israel en septembre 2000, soit à ce jour l'équivalent de 200.000.000 de francs.
Les documents montrent les directives d'Arafat signées de sa propre main, 3 semaines avant le déclenchement de l'Intifada (oui, 3 semaines AVANT), pour verser 22.000 dollars sur le compte en banque de CHACUN des dirigeants de l'organisation terroriste Fatah, comme remboursement des frais de création de la nouvelle organisation terroriste "TANZIM". Un corps de palestiniens a été formé pour préparer des attentats à la bombe, des tirs sporadiques, des lynchages, et toute autre forme de terrorisme décidée par les dirigeants.
Les bénéficiaire de cette manne sont le Commandant des Tanzim Marwan Barghouti, ainsi que Kemal Hamad, Ahmed Abayat (éliminé ce mois-ci) Issam Abu Bakr, et bien d'autres sbires d'Arafat.
Les procédures sont très détaillées sur les documents.
Arafat remplit ses caisses destinées au terrorisme grâce aux subsides décidés par les pays de l'Union Européenne, parmi lesquels l'Allemagne, la Belgique, la France, l'Angleterre et l'Italie.
Depuis qu'Arafat a déclaré la guerre à Israël il y a 14 mois, vous avez contribué par vos impôts, régulièrement et à votre insu, aux actes terroristes commis contre les innocents en Israël: Bombes dans les bus, les restaurants, les discothèques, bébés assassinés, etc etc. Le montant total de ce soutien au terrorisme s'élève à environ US $ 2,190,000 par mois, soit US $ 31million depuis septembre 2000.
Notons que les documents saisis ne font apparaitre qu'une partie de ce financement, à savoir la part européenne ! Des experts pensent qu'au total Arafat dépense pour le crime presque autant que Bin Laden, à savoir 300 millions de dollars par an.
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 31 mars 2002 - 06h09: |
je recherche un ami perdu de vue depuis la derniere guerre en 1940. Nous habitions Sousse, Tunisie il était projectioniste dans un cinema pres du port son nom : Bokobza Elie
le mien Lanfranchi Henri
a vous lire
merci
HELANFRANCHI@aol.com
Par Mena (Mena) le dimanche 31 mars 2002 - 05h30: |
Jeux interdits ! (info # 022903/2)
Par Jean Tsadik © Metula News Agency
Ca n’est pas ça que le général Zinni avait suggéré à Yasser Arafat de déclarer, s’il voulait persuader les Israéliens d’annuler l’opération militaire de grande envergure, dans laquelle ils sont désormais engagés ! Ca n’était pas de déclarer qu’il était "prêt" à considérer l’application des résolutions des rapports Tenet et Mitchell. Ce que l’officier américain avait conseillé au président palestinien, c’était "d’affirmer publiquement qu’il commençait immédiatement l’application desdites recommandations, qu’il appelait tous les combattants palestiniens à cesser toute action violente, où qu’ils se trouvent et de remplir la première condition figurant dans ces résolutions, c'est-à-dire, de prononcer immédiatement la fin de la deuxième Intifada !"
La subtilité sémantique pourrait sembler futile à certains. Ce serait sans compter avec l’historique de la rhétorique du raïs, tout au long des négociations qui étaient conduites afin de l’engager à mettre un terme à la guerre qu’il avait commencée en septembre 2000.
Pour être encore plus précis, Arafat a vraiment joué de tous les artifices linguistiques, afin de prolonger l’effusion de sang jusqu’à, pensait-il, qu’il se ménage le temps d’atteindre ses objectifs tactiques. Il n’est pas un seul ministre des affaires étrangères occidental, que le fondateur du Fatah n’ait pas roulé dans la farine, tout en le regardant dans le blanc des yeux. A Métula, nous avons compté qu’Arafat a entériné le plan Tenet au moins dix fois, lors de ses déclarations officielles et c’est seulement parce qu’après dix, nous nous sommes arrêtés de compter ! C’était déjà à la Mukata, qu’il avait juré à Joshke Fischer qu’il acceptait toutes les conditions du plan rédigé par le chef de la CIA, avant de lire la lettre que le ministre allemand avait écrite de sa main. Quelques semaines plus tôt, nous sommes à la fin de l’an 2000, Arafat avait convenu avec Shimon Pérès à Gaza, que les deux hommes interviendraient simultanément sur leurs chaînes de télévision respectives, pour annoncer la cessation immédiate des hostilités, ainsi que le retour à la table de négociations.
Pérès était revenu souriant à Jérusalem, il avait convoqué la TV israélienne pour 14 heures, selon l’entente avec son co-Prix Nobel mais côté palestinien ce fut le mutisme absolu. Pendant plusieurs heures il fut impossible de joindre Arafat au téléphone, ensuite, en soirée, il fut question d’une intervention radiophonique du raïs, puis d’un texte édulcoré, asymétrique de la déclaration que Pérès devait faire, puis plus rien. Ou plutôt, l’Intifada ! Une terreur savamment organisée par Abu-Amar, qui frappait crescendo la population israélienne au bas-ventre, au cours d’assassinats collectifs d’une triste actualité.
Quant au gouvernement israélien, il est d’ailleurs plus correct d’écrire "aux gouvernements israéliens", puisqu’ils incluent celui du très consensuel Ehud Barak, ils n’ont eu de cesse de tout essayer, de prendre tous les risques, pour permettre à Yasser Arafat de revenir à la tractation diplomatique et pour qu’il mette fin, honorablement, à sa guerre. Les critiques formulées à l’encontre des présidents des conseils israéliens, rappelez-vous les mufleries de Chirac envers Ehud Barak, à propos de soi-disant ripostes disproportionnées de la part d’Israël, constituent une indécence politique et médiatique majeure. Celle-ci mettra des décennies avant de se faire oublier et on en parlera encore longtemps, dans les écoles de journalisme, au titre d’exemple de la mal-information tendancieuse.
Dans la réalité, jamais dans l’histoire une armée n’aura pris autant de risques sur la sécurité de ses soldats afin d’épargner la vie des populations civiles. Jamais une autre armée n’aura fait preuve de plus de discernement et de retenue sur le champ de bataille, que l’armée d’Israël. C’est en omettant de mettre cette guerre dans la perspective des autres guerres et d’en comparer honnêtement les méthodes militaires et leur incidence sur la limitation du nombre des victimes, que la presse de certains pays a serré la main du diable. C’est en marchant, tel un troupeau de bovins, dans toutes les combines propagandistes d’Arafat, que des correspondants des médias ont tourné le dos aux règles de prudence et à la nécessité d’investigation, qui établissent la déontologie de notre profession.
Si je m’étends, dans cet article d’analyse, sur le rôle des médias, c’est qu’ils se sont laissés instrumentaliser par le reclus de la Moukata, dans le cadre de ses applications tactiques. En d’autres mots, certains médias et notamment les télévisions françaises, se sont faites les supplétives de la stratégie d’Arafat. Ils ont amplifié de façon extraordinaire la brutalité des militaires israéliens, ils ont caché à leur public les objectifs de Tsahal, déshumanisant ainsi l’armée d’Israël et ils ont, à l’inverse, bonhommisé le président palestinien, en dissimulant arbitrairement celles de ses prises de positions qui le présentaient tel qu’en lui-même ! Le rôle de ces médias a vraisemblablement prolongé la souffrance des peuples israélien et palestinien, en inventant de toutes pièces des intentions annexionnistes aux dirigeants israéliens, lorsqu’ils ne les accusaient pas directement de comportements génocidaires.
Un génocide de mille morts, dont huit cents assassins, hystériques de la prévalence de l’Islam et de la volonté de faire disparaître les autres nations !
Les pellicules ne sont pas encore sèches, qui témoignaient des manifestations des personnels paramédicaux palestiniens, contre les "excès" des soldats israéliens dans le contrôle de leurs ambulances. Trop longues, ces couvertures télévisées, qui présentaient les hommes de mon pays comme des monstres de méchanceté gratuite, se déchaînant contre des malades, des blessés et des femmes enceintes. Ces "témoignages" médiatiques sont devenus autant de pièces à conviction de la naïveté coupable de nos collègues, lorsque avant-hier, des vieux soldats de réserve, découvraient dix kilos d’explosifs sous le siège d’un enfant de trois ans, assis sur le brancard d’une ambulance palestinienne !
Les Martyrs d’El-Aksa est une organisation appartenant au Fatah de Yasser Arafat, tout comme les Tanzim et les "policiers" palestiniens. Ils sont le bras séculier du leader palestinien, la chair de sa chair. Ce sont ces groupements de personnes armées, qui ont perpétré la plus grande partie des assassinats collectifs de civils israéliens, durant ces dernières semaines. Dans le même temps et au gré des pressions politiques qu’il subissait, le reclus de la Moukata se permettait de condamner certains de ces attentats, condamnant ainsi l’action des hommes qu’il dirige ! A tel point que Libération, qui devance d’habitude les intentions d’Arafat, se demande enfin "mais comment ose-t-il ?"
Sachant tout cela, étant aussi au courant de ce que le raïs baladait le négociateur américain depuis plusieurs jours, et dressait des dizaines d’obstacles contre les démarches d’Anthony Zinni, le gouvernement israélien s’était encore abstenu de toutes représailles, suite au dernier carnage de la rue King George. Durant une semaine, le gouvernement d’union nationale avait bravé la plus pertinente des vindictes populaires, pour ménager au général Zinni une chance de mener son mandat à terme. Pas plus tard que mercredi matin, le négociateur télégraphiait à la Maison Blanche que "les Israéliens avaient accédé à toutes ses demandes, tant au niveau des termes qu’il avait proposés, que de la restreinte suivant laquelle ils agissaient !" Quant à Yasser Arafat, nous savons à Métula, qu’il a refusé obstinément de mettre en application les termes du plan Tenet, notamment la collecte des armes individuelles détenues illégalement, la remise des armes lourdes, exclues par tous les projets de cessez-le-feu ainsi que la cessation de la contrebande d’armes et de munitions vers l’Autorité palestinienne.
Le revirement de dernière minute d’Abu Amar n’y a rien fait. En dépit des efforts de Saeb Arikat, qui a conjuré son chef de donner des gages tangibles à George Bush du début de l’application des provisions des rapports Tenet et Mitchell, Arafat a de nouveau essayé de trouver l’interstice afin de continuer sa guerre contre Israël. Les Américains, pendant ce temps, retardaient les décisions tactiques du gouvernement israélien. L’attentat de Natanya a eu lieu mercredi soir, alors que le gouvernement ne s’est réuni qu’à vingt-trois heures, le jeudi.
Que cela fasse suite à un blanc seing en bonne et due forme, donné à Sharon par l’Administration US ou à une bénédiction silencieuse, Israël mène désormais une opération militaire "différente" contre l’Autorité palestinienne et contre son président. Ce dernier parlait ce matin de mourir en Shahyd, à la place d’être exilé ou placé en détention. A Métula, on pense que d’autres ont déjà choisi pour lui. Il voulait entrer dans l’histoire comme celui qui a libéré "toute la Palestine" par sa ruse et son intelligence mais il a plus de chance d’y figurer comme celui qui a tué la paix, précipitant dans sa folie pseudo prophétique des milliers de personnes qui ne voulaient que vivre !
Par Anonyme (Anonyme) le dimanche 31 mars 2002 - 05h12: |
Islam, avenir de l'Europe
Prises au piège de leurs propres valeurs humanistes fondées sur les Droits-de-l’Homme et la liberté d’expression, et culpabilisées dans leur sentiment national depuis la seconde guerre mondiale et la décolonisation, les vieilles nations européennes semblent de plus en plus incapables de faire face au vaste processus d’islamisation du Vieux-Continent.
Non seulement cette Europe frappée par la dénatalité s’islamise démographiquement via une immigration musulmane incontrôlée particulièrement féconde s’élevant à au moins 15 millions de fidèles mahométans quasiment inassimilables, dont 7 à 8 millions rien qu’en France, mais elle semble capituler face aux Islamistes les plus radicaux qui lui déclarent pourtant ouvertement la guerre.
De Séville à Stockholm en passant par Londres, Bradford, Roubaix, Paris, Cologne, Bruxelles, Genève ou même Rome, des réseaux islamistes radicaux et terroristes s’organisent sur notre sol tantôt secrètement tantôt avec le concours financier et la neutralité bienveillante des autorités locales.
Récoltant le fruit de la lâcheté et de la démission de leurs dirigeants irresponsables, les peuples européens ressemblent déjà à bien des égards aux « Dhimmis », les Juifs et les Chrétiens vivant en terre d’Islam, que la lettre du Coran et les sociétés musulmanes tolèrent en tant que citoyens de seconde zone devant payer un Tribut et plongés dans l’insécurité, l’humiliation et la soumission.
Nous nous efforcerons dans ce dossier, premièrement de décrire l’organisation des réseaux islamistes subversifs et terroristes en Europe, deuxièmement de montrer en quoi les Européens sont en train de sombrer progressivement dans la dhimmitude, c’est-à-dire de capituler face aux revendications des Islamistes lancés à l’assaut de l’Europe.
La « dhimmitude » de l’Europe
D’après l’orientaliste juive égyptienne Bat Yé’Or1, la situation du « Dhimmi », du terme arabe « Ahl al-Dhimma » signifiant les « gens de la Protection », c’est-à-dire les Juifs et Chrétiens obligés de se soumettre aux lois socio-politiques islamiques en échange d’une pseudo « protection » leur conférant un statut de citoyen de seconde zone, est caractérisée par l’insécurité, sous toutes ses formes, la peur, la corruption des dirigeants, et surtout l’absence totale de réciprocité, caractéristiques qui concernent malheureusement aujourd’hui en partie les sociétés européennes.
L’insécurité, première caractéristique de la « dhimmitude »
Le « Dhimmi » doit toujours payer pour sa sécurité. C’est là toute la raison d’être du « Tribut », la taxe coranique acquittée par l’Infidèle en échange de sa survie et de sa reconnaissance sociale partielle. Mais l’insécurité demeure toujours latente ou réelle, car la paix avec les Infidèles n’est jamais qu’une trêve partielle (Aman) et non pas une Paix (Salam), dont seuls les Musulmans peuvent jouir réellement. Si l’on compare ceteris paribus les Européens modernes aux Dhimmis d’Orient, cette situation d’insécurité récurrente peut revêtir plusieurs formes. Elle est tout d’abord diffuse, le couperet d’une fatwa (« syndrome Rushdie ») pouvant constamment tomber sur l’éditeur, l’intellectuel voltairien, le « blasphémateur », le couturier (comme on l’a vu lors de l’affaire Claudia Schiffer), etc… Elle apparaît de manière plus spectaculaire à travers les vagues d’attentats terroristes (1985-1986, 1995-1996), nouvelle forme de « Jihad urbain » à mettre sur le même plan que les détournements d’avions et assassinats en Méditerranée (razzias du GIA en Algérie, massacres des touristes occidentaux à Louxor, au Pakistan ou au Cachemire, prises d’otages au Liban ou à Téhéran) qui ne font que relancer la tradition barbaresque consistant à terrifier en permanence l’Infidèle sur son territoire et à lui interdire l’accès sur le sol islamique et les mers avoisinantes. L’insécurité est également omniprésente dans de nombreuses banlieues où l’élément islamique est désormais majoritaire et où le « Gaulois » (Gaouri , en dialecte maghrébin, terme péjoratif couramment employé y compris par les immigrés de la deuxième génération pour fustiger l’autochtone européen et chrétien), est quasiment interdit de séjour est mis en danger par le simple fait que son faciès occidental le range de facto dans la catégorie des « Infidèles ». Ce phénomène de « ghéttoïsation » des banlieues rouges-vertes des grandes Métropoles peut être mis en parallèle avec les camps palestiniens du Liban à l'intérieur desquels les forces de l'ordre libanaises sous commandement chrétien maronite ne pouvaient plus entrer à partir du milieu des années soixante-dix, ce qui fut en grande partie à l’origine de la guerre du Liban et de la réaction d’autodéfense des Libanais chrétiens menacés dans leur propre pays. Enfin, à travers l’éternel et peu efficace plan « Vigipirate », maintenu pour des raisons essentiellement psychologiques (le véritable moyen de prévenir le terrorisme islamique étant d’expulser à vie la totalité des activistes radicaux non-français et d’isoler les nationaux, tout en mettant définitivement fin à l’immigration musulmane, exceptés les intellectuels musulmans anti-islamistes) ; la militarisation croissante des aéroports, des gares ferroviaires et des lieux publics en général, l’Europe apparaît de plus en plus comme un « ventre-mou » continuellement menacé par l’impérialisme arabo-islamique comme jadis les îles méditerranéennes, Marseille, Béziers ou Vienne vivaient sous la menace des pirates Arabo-berbères et des Turc-ottomans.
L’Absence de réciprocité
La seconde grande caractéristique de la « dhimmitude » est sans aucun doute le principe de la non-réciprocité absolue. Ce qui est un droit et un devoir pour un Musulman, par exemple le prosélytisme, correspond à une interdiction coranique et juridique formelle pour le non-musulman, lequel, en terre musulmane ne doit jamais parler de sa foi ni même exhiber des signes extérieurs de religiosité « impie ». Ce qui est de l’ordre de la règle pour l’Islam, par exemple la domination, politique ou autre, du Musulman sur le non-Musulman, est au contraire une anomalie et une injustice insupportables si c’est le non-Musulman qui domine le Vrai Croyant, etc…Bref, « ce qui est valable pour moi ne l’est surtout pas pour toi », pourrait résumer sous forme d’adage le Musulman orthodoxe ou intégriste.
L’absence de réciprocité entre Musulmans et non-Musulmans apparaît tout d’abord de manière flagrante si l’on compare le sort des immigrés Musulmans en Europe et des nombreux idéologues islamistes accueillis en Europe au titre de « réfugiés politiques » - à qui on donne même le droit de diffuser des thèses islamistes anti-occidentales souvent interdites dans leurs propres pays d’origine - à celui des autochtones chrétiens en Egypte par exemple, ou a fortiori des expatriés chrétiens ou hindous en Arabie Séoudite, soi-disant amie des nations occidentales, voire même à celui en vigueur dans la prétendue « tolérante » Tunisie, dont les lois civiles prohibent toujours formellement le mariage entre une musulmane et un non-musulman, l’inverse étant possible, l’Europe se retrouve de facto en situation de non-réciprocité et d’infériorité par rapport au monde islamique. Les Européens sont en effet de moins en moins aptes à faire triompher leurs valeurs fondamentales auprès des communautés étrangères qu’ils accueillent massivement chez eux - sans même demander de garanties d’allégeance et d’intégration - alors qu’ils consacrent progressivement celles, anti-occidentales et théocratiques, des nations islamiques.
Tandis que la loi du blasphème au Pakistan, persécute les Chrétiens, que la loi marocaine refuse d’accorder le statut de sujet marocain à tout autochtone converti au christianisme ; que la Turquie théoriquement « laïque » - que d’aucuns veulent faire entrer dans l’Union européenne - refuse toujours de reconnaître sa responsabilité dans le génocide des Arméniens et le renvoi de Thrace et d’Anatolie, dans les années vingt, de deux millions de Grecs, véritable purification ethnique; que l’Arabie Séoudite finance des mosquées partout en Europe tout en proscrivant sur son territoire les moindres croix et jusqu’au nom du Christ; l’Europe est toujours préoccupée, quant à elle, à se faire pardonner les Croisades et la Reconquista auprès des peuples musulmans ex-colonisés, notamment en cautionnant une immigration pléthorique assimilable à un véritable processus de « colonisation » et d’islamisation sans précédant en Europe.
Culpabilisées jusqu’à la pathologie autodestructrice, « masochiste » en somme, donc prêtes à accepter leur propre disparition via la submersion démographique, les nations européennes considèrent, dans une sorte d’inconscient collectif, leur dilution progressive dans cette civilisation islamo-africaine qu’ils ont colonisée et qui se venge en la colonisant en retour, comme une sorte de rédemption, une fatalité justifiée par une ruse de l’histoire, une justice immanente teintée de vengeance. L’Europe coupable paierait en quelques sortes ses fautes en se suicidant collectivement.
De leurs côtés, les Musulmans n’ont jamais connu la culpabilité, mais ils savent parfaitement culpabiliser les autres, notamment les Chrétiens, l’Occident en général. Si l’Europe regrette en effet la colonisation, l’Islam n’a pour sa part jamais témoigné quelque regret que ce soit quant à ses propres entreprises coloniales et impériales, qu’il s’agisse de l’Espagne, de la Sicile, du Maghreb ou du Proche-Orient, sans parler de l’Afrique noire, dernière terre d’islamisation massive et violente (Soudan, Erythrée). Des fatwas ont été édictées contre Salman Rushdie, ainsi frappé d’apostasie donc passible de la peine de mort. Certains Musulmans ont condamné plus ou moins directement les appels au meurtres. Mais a-t-on vu un seul Imam de France ou du monde arabo-musulman édicter une autre fatwa contre les meurtriers potentiels de Rushdie ou les membres du GIA qui ont sauvagement égorgé les 7 moines trappistes en 1996. A-t-on jamais entendu des autorités religieuses musulmanes déplorer le fait que la plupart des pays islamisés l’ont été entre autres par la guerre, l’extermination ou la soumission des Infidèles, à travers la tradition du Jihad ? Jamais.
La récupération du discours « anti-raciste »
Les Musulmans fondamentalistes et orthodoxes tentent depuis plusieurs années de récupérer le discours « antiraciste » à leur profit, orientant leurs revendications sur le terrain de la « lutte contre l’intolérance » et de l’immigration. Cela leur permet de créer une confusion des genres et d’opérer une diversion servant à détourner le débat du véritable problème, à savoir que l’Islamisation de l’Europe remet en cause non seulement sa survie mais les valeurs fondamentales modernes dont elle se targue et qui régissent les grandes organisations mondiales ainsi que le droit international des Etats : Droits de l’Homme, liberté d’expression et de croyances, égalité des sexes ou encore le droit des peuples à disposer d’eux mêmes et des nations à préserver leur souveraineté. Occultant la vraie nature, guerrière et conquérante, de l’Islam, et assimilant les revendications communautaires islamiques à la lutte contre le « racisme » et « l’intolérance », les Islamistes entendent ainsi désarmer psychologiquement et culpabiliser les Etats européens d’accueil. Ils demandent en définitive une sorte de « réparation » pour la période coloniale. Mais plus subversif encore, au sens étymologique du terme, ils tentent de faire croire à l’opinion publique que leur sort, en tant que minorité, est similaire à celle des Juifs en 1940. Ils s’agit pour eux, d’utiliser le traumatisme de la Shoah, dont les Européens ont tant de mal à se guérir, et qui a provoqué l’actuelle réaction d’auto-flagellation expiatoire, à leur profit.
Il est tout de même bon de rappeler que le « droit de vivre sa différence », rappelé avec de plus en plus de véhémence par les Musulmans immigrés en Europe, ce droit, ils l’ont toujours et systématiquement refusé chez eux aux non-musulmans et enseignent sans gènes, y compris sur notre propre sol, que cette inégalité est fondée sur l’absolue supériorité de l’Islam sur les autres communautés. Il serait peut être bon de rappeler que l’Europe n’a jamais traité ses immigrés comme les pays islamiques traitent les leurs : centaines de milliers de Tunisiens et d’Egyptiens refoulés de Libye en quelques jours dans les années 80, Marocains et Touaregs d’Algérie, Yéménites (1 000 000) d’Arabie Séoudite, Egyptiens d’Irak, Palestiniens de partout, notamment de Jordanie (« Septembre noir ») et du Koweït, etc.
En réalité, l’actuel processus de colonisation de peuplement que l’on nomme pompeusement « phénomène migratoire » s’apparente à une véritable guerre de conquête, à une invasion déguisée ainsi que l’ont analysé des auteurs tels que le géopoliticien allemand Friedrich Ratzel ou encore l’historien Oswald Spengler, auteur du célèbre traité Le Déclin de l’Occident . Du point de vue des gouvernements indépendantistes et des masses indigènes post-coloniales éduquées à l’école de l’anti-occidentalisme revanchard, il ne fait point de doutes que l’immigration est non seulement le résultat d’une spirale infernale - explosion démographique-sous-développement-chômage-exode - mais également un moyen, une opportunité unique pour se venger et faire payer aux Occidentaux leur colonialisme en les envahissant en retour. Il s’agit là d’une revanche historique et collective qui passe par la destruction pure et simple de l’ennemi en l’envahissant et en modifiant sa population, soit par la constitution de ghettos et le séparatisme irrédentiste qui en découle tôt ou tard comme on le voit au Kossovo, soit par la dilution de l’identité autochtone via le métissage.
La corruption des dirigeants
Comme sous les dominations arabo-musulmanes de jadis où le clergé et les chefs aristocratiques étaient « achetés » par les envahisseurs turco-musulmans, servant ainsi d’intermédiaires entre les masses « dhimmies » et le dominateur musulman (les fidèles paysans étaient rackettés par leurs propres chefs religieux en échange d’une cessation des hostilités de la part de la puissance islamique occupante), nos dirigeants modernes s’adonnent également à une cette forme particulière de corruption économico-politique et religieuse en livrant littéralement leurs nations européennes et chrétiennes au prosélytisme islamique en échange de contrats commerciaux ou d’une cessation des activités terroristes.
Les Intérêts économiques influent donc considérablement sur les relations Islam/Chrétienté-Occident. Le musellement de la presse par les pétrodollars et l’enjeu des contrats commerciaux juteux ainsi que la peur des représailles terroristes expliquent en effet bien des silences de la presse en matière d’Islam, alors que les attaques et blasphèmes anti-chrétiens sont monnaie médiatique courante et surtout n’entraînent pas de représailles.
Afin de ne pas perdre des contrats industriels et commerciaux souvent colossaux, les grands groupes industriels ayant des intérêts dans les pays du Golfe ou ailleurs en pays islamique font pression sur les directions éditoriales des grands journaux et télévisions afin que les Etats esclavagistes et ultra-fondamentalistes, comme L’Arabie Séoudite ou le Koweït, mais également d’autres apparemment pro-occidentaux comme la Turquie, ne soient jamais trop directement critiqués.
La volonté de ne jamais souligner la responsabilité du Coran et de l’Islam en tant que tel dans la montée du danger islamiste est en réalité le fruit direct de la diplomatie « pétro-coranique » obscurantiste de l’Arabie Séoudite qui, comme chacun le sait, fait tout pour islamiser la planète et a financé la quasi totalité des groupes terroristes islamistes anti-occidentaux du monde entier, des Frères musulmans égyptiens aux Talibans en passant par les mouvements pakistanais, le GIA ou le FIS en Algérie.
C’est bien entendu pour les mêmes raisons que ces mêmes médias occidentaux restent coupablement muets sur la situation des Chrétiens du Soudan, du Sénégal, d’Afrique noire musulmane en général, des pays arabes, d’Asie centrale ou encore d’Indonésie.
Le fait que la Turquie n’ait jamais été inquiétée par les Occidentaux concernant le génocide arménien et le refus de la part de nombreux sénateurs de droite de reconnaître officiellement la responsabilité de la Turquie dans ce génocide obéit aux même impératifs économiques à court terme.
Or l’Occident risque de disparaître un jour à force de raisonner en court terme au détriment des intérêts géostratégique et civilisationnels suprêmes, c’est à dire du Bien Commun. Comme le « Dhimmi » en terre d’Islam qui est obligé de renier publiquement sa foi et de payer un tribut financier pour demeurer en sécurité, l’Europe renie ses principes les plus fondamentaux et cède au chantage des nations et mouvements islamiques pour continuer à pouvoir commercer et entretenir des relations plus ou moins correctes avec ses pays.
La guerre de l’islamisation a commencé : la stratégie des revendications communautaires 23 en 1974, 551 en 1984, 1400 en 1998, le nombre de mosquées en France est l’un des plus fiables indicateurs de l’islamisation progressive de nos vieilles sociétés chrétiennes et européennes.
Parallèlement, et depuis l’accession au pouvoir des Socialistes en 1981, cet islam toujours croissant alimenté par une démographie galopante mais qui était resté fort discret jusqu’alors sortira de la logique « sanctuaire » pour s’emparer des radios associatives, des mouvements de lutte contre l’exclusion et pour investir les associations Loi 1901 dont les organisations musulmanes sont le seul groupe religieux à pouvoir bénéficier de l’extrême souplesse juridique qui les caractérise.
« Le succès d’une minorité musulmane est de devenir, un jour plus ou moins lointain, une majorité. Ce phénomène se fait non pas par la force, mais par un effet d’assimilation réciproque entre la majorité non-islamique et la minorité islamique, la majorité acceptant petit à petit la morale et la religion islamiques et finissant par s’identifier à l’islam », écrit le séoudien Ali Kettani, Directeur de la fondation islamique pour la science, la technologie et le développement dans une brochure, L’Islam aujourd’hui, largement diffusée en France et en Europe à l’usage des immigrés musulmans et des convertis.
Largement inspirées des propositions séoudiennes, de celles des Frères-musulmans ou de l’expérience des organisations islamiques britanniques, qui ont depuis des années obtenu satisfaction sur les principaux points mentionnés ci-après et dont les Musulmans français s’inspirent, les principales revendications des organisation musulmanes de France et d’Europe sont les suivantes
1/ droit de créer des écoles libres islamiques privées ou sous contrat ;
2/ reconnaissance des règles islamiques en matières de statut personnel et d’état civil : mariage religieux musulman, répudiation, polygamie, héritage, cimetières ou carrés musulmans séparés ;
3/ quotas dans l’Administration pour l’embauche de Musulmans,
4/ mesures à prendre dans les écoles publiques : cours d’instruction religieuse et islamique, viande et nourriture hallal dans les cantines, lieux de prière-aumôneries islamiques, piscine et éducation physique séparées pour les filles, ou à défaut dispense de cours, non mixité, exclusion d’ouvrages offensants envers l’islam ; droit au port du voile dans les écoles de la République,
5/ reconnaissance de l’Islam comme seconde religion de France ;
6/ création d’un parti politique islamique ou reflétant les intérêts spécifiques de la communauté musulmane.
Ces revendications sont en général relayées et encouragées par le Bureau de l’Organisation de la Ligue Islamique Mondiale (BOLIM) contrôlée par l’Arabie Séoudite, ainsi que par la quasi totalité des associations islamiques de France et d’Europe qui sont d’ailleurs très souvent liées entre elles. Qu’ils s’agisse des affaires Rushdie ou Taslima Najreen, ou même de celle de « Claudia Schiffer », moins connue du public, nous avons à chaque fois affaire à des attaques médiatiques particulièrement bien étudiées et témoignant d’une totale unité de vue des principales organisations islamiques légales, souvent en conflit entre elles en temps normal.
Comme le montre un rapport des RG sur l’état du paysage associatif islamique français, duquel il ressort clairement que les structures associatives islamiques de France sont toutes contrôlées par des Etats ou groupes étrangers islamistes, totalement réfractaires aux valeurs fondamentales de la République, exceptée la Mosquée de Paris, avec toutefois quelques réserves, il est clair que ces différentes campagnes d’intimidation en terre « infidèle » n’auraient jamais été possibles sans un appui et une mobilisation générale des associations musulmanes françaises. - La pénalisation du « blasphème contre l’Islam »
Les déboires encourus par Claudia Schiffer et le P.D.G. de Chanel sont intéressants car il fut l’occasion pour la Mosquée de Paris, qui se targue d’être le pôle le plus « modéré » de l’islam français, de révéler l’ambiguité de ses orientations.
Début janvier 1994, lors de la présentation de la collection Chanel, le top modèle Claudia Schiffer était apparue avec des robes décorées de caractères arabes représentant des fragments de versets coraniques. Immédiatement, l’ensemble des organisations islamistes ainsi que de nombreux pays musulmans sautèrent sur l’occasion pour crier au blasphème en appelant à boycotter les produits Chanel.
En France, le prétendu « modéré » et républicain Institut musulman de la Mosquée de Paris s’en émut et exigea réparation et explication de la part de Chanel, ce qu’accepta immédiatement de faire le P.D.G. du groupe, Claude Eliette. Ce dernier pria non seulement le Recteur de « présenter ses profondes excuses à l’ensemble de la communauté musulmane », assurant « qu’en aucun cas son respect de la religion musulmane ne l’aurait porté à commettre un sacrilège ou à offenser la communauté musulmane », mais il s’engagea à défaire les calligraphies en cause, à détruire par incinération les trois robes concernées, en invitant de surcroît « tous les photographes et cameramen de la presse mondiale à renvoyer les négatifs des photos ou à s’engager à les détruire et à ne les reproduire en aucun cas »….
Acceptant de transmettre les excuses de M. Eliette à la communauté musulmane, le Recteur Dalil Boubakeur ajouta tout de même que « seul Dieu pardonne les erreurs humaines »… Vers la suppression de la liberté d’expression et l’islamisation de la société et du Droit ? Il est fort à parier qu’un jour, si cela n’est pas déjà le cas, il ne sera plus possible d’écrire des pamphlets contre Mahomet comme celui qu’écrivit Voltaire « Mahomet ou la fanatique ».
Il est d’ailleurs à noter que si nombre de publications françaises dénoncent violemment le christianisme et blasphèment régulièrement en toute impunité contre l’Eglise catholique en particulier, absolument personne n’ose, en Occident, faire la même chose avec l’Islam.
Ce sont d’ailleurs des Musulmans originaires des Indes, Salman Rushdie et Taslima Najreen, Ibn Warraq (« Pourquoi je ne suis pas Musulman », paru en 1999 en France aux Editions Age d’Homme), Anwar Shaikh (« Islam, the arab imperialism », Londres 1998), ou encore des intellectuels algériens vivant en France comme Slimane Zéghidour (« Le Voile et la Bannière », Pluriel, 1990), Roger Tébib (« La guerre d’Algérie n’est pas finie », Ulysse éditions, 1992) qui osent souligner l’origine en partie coranique et mahométane du fanatisme islamiste moderne.
Aujourd’hui, des libres-penseurs comme Voltaire seraient probablement très rapidement condamnés pour « racisme », leur livre interdit et retiré de la circulation, et leur intégrité physique gravement menacée.
Outre le problème du Voile, celui du boycott islamique des lectures ou enseignements « impies » apparaît de plus en plus dans les actions des Islamistes dans les écoles de la Républiques. C’est ainsi que les même fillettes qui avaient fait parler d’elles lors des différentes « affaires du Foulard » ont également boycotté les cours d’éducation sexuelle, la gymnastique, certains cours de biologie et violemment refusé d’étudier des auteurs comme Voltaire ou Dante Alighieri, lequel, dans la Divine Comédie, consigne le prophète Mahomet dans le septième enfer en tant qu’hérétique.
De l’autre côté des Alpes, la puissante Union des Organisations Islamiques d’Italie (UOII) a fait de la demande d’interdiction de la Divine Comédie de Dante dans les lycées et universités l’un de ses principaux chevaux de bataille. Pour les Musulmans installés en Europe, la façon dont est traité Mahomet dans l’œuvre de Dante constitue un « blasphème » majeur et inacceptable.
Les plus radicaux parmi les Islamistes d’Italie ont même été jusqu’à menacer les autorités universitaires italiennes d’aller profaner et exhumer le poète Alighieri… Devra-t-on un jour retirer Dante des programmes universitaires et scolaires des différents pays européens ayant accueilli des immigrés musulmans afin que ceux-ci ne provoquent pas scandales, émeutes ou profanations et cessent d’accuser les sociétés d’accueil « de ségrégation religieuse anti-musulmane » et de blasphème ?
Concernant l’affaire Rushdie, rappelons également les propos inquiétants d’un homme qui prétend se réclamer « de la France de Voltaire et de Rousseau », le Grand Mufti de la Mosquée de Paris, Dalil Boubaker, nommé par le gouvernement algérien à la tête de cette institution en 1992, lequel envoya au journal Le Monde, à l’occasion de l’invitation de Salman Rushdie à l’émission « Bouillon de Culture », une lettre sommant purement et simplement Bernard Pivot de déprogrammer l’émission sous prétexte que celle-ci coïncidait avec la fin du ramadan.
Drôle de façon d’honorer Voltaire, celui-ci ayant toujours dit qu’il irait jusqu’à risquer sa vie pour que son ennemi puisse exprimer ses opinions librement… La République devra-t-elle retirer un jour de la circulation le pamphlet de Voltaire sur Mahomet pour apaiser la colère des Imams de France nommés par les gouvernements algérien, turc, séoudiens, ou pour faire plaisir aux principales associations « représentatives » musulmanes « françaises » dont on sait pertinemment, en tout cas dans les milieux informés, qu’elles sont en totalité contrôlées par des organisations ou Etats islamistes ou fondamentalistes.
- L’islamisation par les fêtes communautaires et les règles alimentaires Le plus flagrant des indicateurs d’islamisation progressive de la société française est sans aucun doute la popularisation des coutumes et fêtes islamiques traditionnelles comme l’Aïd el-Kébir ou le Ramadan que nombre de jeunes lycéens français de souche connaissent bien mieux que le carême chrétien ou la fête de la Saint Jean.
Encore plus étonnant est l’incroyable relais médiatique dont bénéficient les Musulmans et leurs organisations « représentatives » en France. N’est-il pas en effet étonnant que le Ramadan soit bien plus suivi et annoncé par les médias publics que la fête de Pâques ou celle de l’ascension ? Concernant la fête de l’Aïd al-Kébir, qui occasionne tant d’égorgements de moutons illicites, les organisations islamiques savent qu’elles s’aventurent sur un terrain médiatiquement assez délicat, le cadre légal existant étant en totale contradiction avec la pratique islamique tolérée en matière d’abattage rituel et l’opinion publique étant encore assez largement hostile à ce type de coutumes jugées « barbares » et contraires aux règles de protection des animaux.
En France, l’abattage des animaux de boucherie est réglementé par les articles 7 à 12 du décret du 1er octobre 1980 et par celui du 18 mai 1981 modifiant les articles 10 et 11 concernant la pratique de l’abattage rituel. Il y est clairement stipulé que l’abattage rituel ne peut être effectué que par un sacrificateur habilité, proposé par un organisme religieux et agréé sur proposition du Ministre de l’Intérieur par le Ministère de l’agriculture. Une dérogation aux procédures d’abattage normales porte sur l’étourdissement obligatoire de l’animal avant la mise à mort. De plus, l’immobilisation des bovins avant l’égorgement et pendant l’effusion de sang doit être effectuée au moyen d’installations, appareils et instruments agréés. Or les autorités savent pertinemment que 80 % des abattages rituels en France sont effectués de manière sauvage et en contradiction fondamentales avec ces décrets ainsi qu’avec les autres normes nationales et européennes.
La quasi totalité des sites dérogatoires existant et que les préfets ne font pas fermer par tolérance et sur consigne du Ministère de l’Intérieur, sont donc parfaitement illégaux. Mais aucun politique n’ose le dénoncer de peur de perdre une partie de l’électorat urbain, composé d’une forte proportion de Musulmans.
Alors que les paysans français sont soumis à une législation extrêmement rigide concernant l’abattage, les chefs de famille musulmans égorgent chaque année des milliers de bêtes dans des conditions souvent horribles, parfois dans la baignoire de l’immeuble HLM.
Mais la loi du nombre l’emportant toujours, et les stratégies électorales des partis politiques intégrant ce type de considérations dans leurs calculs électoraux, nombre de préfets de zones à forte proportion d’immigrés musulmans reçoivent des consignes pour ne pas appliquer les règles d’abattage lors de l’Aïd el-Kebir.
Bien entendu, les principales sociétés de protection des animaux comme l’Oeuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoir (OABA) ou la Fondation Brigitte Bardot, refusent catégoriquement d’accepter les dérogations accordées aux abattages rituels musulmans sur le territoire français. Mais les liens que Brigitte Bardot entretient avec certaines personnalités du Front National, notamment son actuel mari, ont été largement exploités par les organisations musulmanes et « antiracistes » pour disqualifier le discours fondé sur la défense des bêtes.
Si l’on aborde le problème connexe du marché de la viande Hallal, on découvre que le marché annuel des viandes Hallal - en grande partie souterrain et incontrôlé - est évalué à 8 milliards de francs, dont un milliard dans la seule ville de Marseille. Mais l’on est surtout inquiet lorsque l’on apprend que ce commerce juteux est contrôlé, hormis les Mosquées de Paris et de Lyon, par des associations musulmanes intégristes, dont l’UOIF, l’association de sacrificateurs A Votre Service (AVS), qui sert de véritable organisme racketteur officiel à la Moquée d’Evry, ou encore d’autres structures islamiques intégristes.
Les spécialistes du Renseignement savent que les bénéfices provenant des abattages rituels Hallal, qui rapportent aux associations concernées entre 0,20 et 0, 80 centimes de commission par kilogramme, servent à financer des associations islamistes ultra-radicales ou même des groupes armés algériens, (GIA, AIS). Ensuite, les boucheries islamiques Hallal, qui se multiplient sur notre sol à vue d’œil, dégagent des bénéfices colossaux, les viandes Hallal étant vendues en France mais aussi à l’étranger.
C’est ainsi que notre pays est devenu l’un des principaux exportateurs de viande hallal dans le monde islamique Pour l’année 1997, les services de douane français ont comptabilisé une quantité de 125 614 tonnes de viandes hallal exportées vers la Turquie, l’Arabie Séoudite, le Yémen, Qatar, l’Egypte, et l’Iran, une grande partie des bénéfices de ces exportations renflouant directement le caisses des Frères-musulmans de France ou des associations pro-GIA. En outre, les boucheries hallal de France, quand elles ne sont pas directement contrôlées par des Islamistes, sont instamment « priées » de verser une sorte « d’impôt islamique révolutionnaire » aux différents réseaux intégristes installés en France et liés aux groupes rebelles algériens.
Voilà donc ce qui se cache derrière un phénomène que d’aucuns veulent réduire à un innocent rituel alimentaire.
Alexandre del Valle
Par Anonyme (Anonyme) le dimanche 31 mars 2002 - 05h04: |
A l'appel du/Called by
CRIF,
Consistoire Central et de Paris,
Fédération des Organisations Sionistes de France,
l'ABSI Keren Or
Suite aux Récents Attentats/Following the recent terrorist attacks:
Manifestation de Soutien à l'État d'Israël,
Demonstration in support of Israel,
Mardi 2 avril à 18h
Tuesday April 2, 6:00 pm
du/at Métro Saint-Philippe du Roule, place Saint-Philippe-du-Roule, Paris 8ème, à/to l'Ambassade d'Israël/the Israeli Embassy.
Par Mena (Mena) le dimanche 31 mars 2002 - 05h02: |
Brêve et compléments d’informations ! (info # 023003/2)
© Metula News Agency
Assassinat collectif à Tel Aviv
Un terroriste-kamikaze s’est fait sauter dans le Café Bialik, à 21h 18, heure de Jérusalem, dans le centre de Tel Aviv. Le Café Bialik est situé à l’angle des rues Allenby et Roi George.
La charge explosive était de forte puissance et les premières indications de la police font état de dizaines de blessés.
On redoute sur place la présence de bombes supplémentaires.
Yasser Arafat a des invités
Le chef du FPLP, Ahmad Sadaat, impliqué directement dans plusieurs assassinats collectifs de civils israéliens, se trouverait aux cotés de Yasser Arafat à la Moukata.
Il jouirait ainsi de la promesse israélienne de ne pas s'en prendre physiquement au président de l'Autorité palestinienne.
Avec Sadaat, Yasser Arafat abriterait également les quatre individus soupçonnés d'avoir assassiné le ministre israélien du tourisme, Rehavam Zeevi.
Selon les mêmes sources, le général Shouaki, l'organisateur principal de l’opération manquée du Karine A, se trouverait aussi dans les appartements d'Arafat.
La Ména relève a ce propos, que l'Autorité palestinienne avait déclaré que ces personnages, activement recherchés par les Israéliens, étaient soit introuvables, soit qu'ils se trouvaient à l'étranger.
L'acte, par lequel Yasser Arafat protège ces individus suspectés d'actions terroristes sanglantes, vraisemblablement de longue date, jette une fois encore le discrédit sur les affirmations d'Abou Amar selon lesquelles ''il faisait tout son possible pour arrêter ces personnes recherchées.''
Jibril Rajoub, encerclé lui aussi
Dans le même registre, la Ména a appris que le quartier général du colonel Jibril Rajoub et de son unité de sécurité préventive, serait également encerclé par les forces israéliennes. De nombreuses personnes, suspectées d'avoir participé ou organisé des assassinats collectifs de civils israéliens, ont trouvé un refuge provisoire dans l'immeuble de Jibril Rajoub.
L'armée israélienne a en effet exigé du colonel palestinien qu'il lui remette les suspects en question
Rajoub, qui est le seul officier palestinien à avoir tenu son unité en dehors des opérations terroristes, a annoncé, à l'occasion d'une interview radiophonique ''qu'il n' obtempérerait pas aux injonctions de l'armée et qu'il défendrait l'immeuble dans lequel il est retranché jusqu'au bout.''
Saisie de documents compromettants
Les commandos israéliens qui se sont emparés du complexe de la Moukata ont mis la main sur des documents qui établiraient que des opérations kamikazes auraient été directement dirigées depuis le quartier général de Yasser Arafat.
Les militaires que nous citons tiennent à préciser que l’analyse de tous les documents saisis prendra encore plusieurs jours. Dans le cas où la lecture du matériel saisi confirmerait cette première information, Israël pourrait bien détenir les évidences de la responsabilité opérationnelle du chef palestinien dans les assassinats collectifs de civils israéliens.
La Ména rappelle que Yasser Arafat a toujours déclaré qu’il faisait ''tout son possible'' afin d’empêcher les actions terroristes, lorsqu’il n’émettait pas des déclarations officielles pour condamner les attentats contre ''des civils innocents !''
Précisions à propos de l’incident de la Montagne de l’ours
L’aviation israélienne est finalement entrée en action durant une dizaine de minutes contre des objectifs du Hezbollah, suite à l’attaque par les islamistes des positions israéliennes de Har Dov.
C’est au total pas moins de 80 obus de mortier et 15 missiles anti-tanks que le Hezbollah a dirigés contre les positions d’Astra et de Gladiola.
La station de ski du Hermon a en outre été fermée aux touristes, suite aux échanges de feu et les vacanciers, nombreux en ce week-end de pâque sur les pentes enneigées, ont été priés de quitter la region.
Par Marc (Marc) le samedi 30 mars 2002 - 22h49: |
Je pense qu'il est temps que Zagdoun et Bazooka font l'echange de E-Mail(adresse electronique.)
Par Zagdoun (Zagdoun) le samedi 30 mars 2002 - 20h29: |
Bazooka
fin du débat
ok ? merci
Par Michka (Michka) le samedi 30 mars 2002 - 17h14: |
Les étranges connexions d'AOL- France
AOL Europe, filiale d'America On Line, a son siège à
Dublin, en République d'Irlande, mini-paradis fiscal intra-
communautaire. Ce n'est pas une simple délocalisation sur
le papier, puisque leurs modems, leurs disques durs et 90%
de leurs cadres supérieurs, y sont installés.
AOL - France, branche française, est domiciliée en France.
Son Président est Stéphane Treppoz, 32 ans, qui est
également Directeur Général d'AOL Europe.
Ne revenons pas sur les aventures des "forfaits illimites"
ou des connexions impossibles, mais posons quelques
questions:
1- Est-il vrai que Stephane Treppoz, qui remplit a
merveille ses obligations quand aux relations publiques
d'AOL, est en realite une marionnette aux mains du "lobby
musulman" en France, dont par exemple Mouloud Aounit,
president du MRAP, ayant un role de "Conseiller" charge de
dicter la politique generale d'AOL France concernant par
exemple le contenu des messages echanges, en particulier
sur les forums, les chats, et dans les "pages personnelles"
des abonnes ? Est-il vrai que ces "conseillers" imposent a
la direction d'AOL France, d'embaucher des "jeunes" issus
de l'immigration, pour controler les forums et le contenu
des "pages personnelles" ?
Est-il vrai que Mouloud Aounit siege au Conseil
d'Administration, avec jetons de presence et dividendes de
faveur ?
Par ailleurs, il est connu du milieu bancaire (infos
publiques du fait des endossements des effets de commerce)
que AOL Europe (sous-filiale France incluse) possède
plusieurs comptes chez MSI Financial Services Corporation -
P.O.Box 771237 Houston, TX77215 USA. Une "petite banque" à
l'échelle américaine où AOL Europe domicilie ses warrants
(traites garanties par la banque, pour rassurer certains
créanciers qui autrement leur feraient crédit plus
difficilement).
Question: Si AOL Europe a des comptes très moyens, AOL
Amérique est un "first class money maker". Pourquoi donc
quand on appartient à une holding de cette taillle (AOL,
Warner studios, télés, journaux, etc..) ne fait-on pas
jouer la garantie du groupe bien plus intéressante qu'une
couverture extérieure... En principe !
La réponse est simple: - Selon le "Federal trade and
banking board", annuaire mondial des banques et
établissements de crédit, MSI Houston est une filiale
d'Islamic Development Bank (ISDB). Les deux pôles d'ISDB
sont en Arabie Saoudite et dans les Emirats, deux pays
bénéficiant encore (jusqu'à quand ?!) d'une image "modérée"
dans le monde islamique.
Or ISDB a dans ses statuts des délarations de principe très
intéressantes telles que:
- On ne fait pas payer d'intérêts aux musulmans, c'est
contraire à la charia, et très peu aux amis des musulmans.
- L'objectif de cette banque n'est pas de capitaliser,
(c'est elle qui le dit), mais de propager la foi islamique
dans le monde.
Concrètement, en aidant financièrement les musulmans à
contrôler des sociétés stratégiques (média en particulier)
dans les pays "à convertir"... Et en aidant également les
amis des musulmans qui leur ouvrent les lieux de pouvoir.
AOL, que certains ont rebaptisé "Arab On Line" pour la
violence de sa propagande pro-islamique, se fait
donc "couvrir" ses traites par une banque quasi-inconnue
située aux Etats-Unis, et dont le but avoué est la
propagation de la foi islamique dans le monde. Il est
certain qu'avoir le contrôle d'AOL-France ou/et AOL-Europe
donne certains moyens de propagation ! La censure qui règne
sur les forums d'AOL dès que l'on ose rappeller les crimes
des musulmans de par le monde ne fait que confirmer cet
état de fait.
Selon une source des Services de Renseignements d'un
pays "occidental", inquiets de la "tournure anti-
israélienne" de ce provider, Mouloud Aounit serait même "la
vitrine légale [chez AOL, ndlr] du terrorisme arabe".
© AIPJ - Reproduction libre en mentionnant l'origine de
l'article: http://aipj.net/
Par Bazooka (Bazooka) le samedi 30 mars 2002 - 16h09: |
Zagdoun,
Je me ferai un plaisir de "vous oublier" tant que vos interventions concernant le Proche-Orient ne necessiteront pas un reajustement honnete.
Et si a vous, il vous fait plaisir de designer lesdits reajustements par le terme subjectif de "sarcasmes", vous etes entierement responsable de vos propos partisans ...
Au fait, pour la forme, je ne pense pas vous avoir autorise a me tutoyer.
Merci.
Par Zagdoun (Zagdoun) le samedi 30 mars 2002 - 15h25: |
bazooka
c'est fait , j'ai balayé , que dois je faire maintenant ? ME REPOSER ? alors stp ,oublies moi j'ai d'autres préoccupations que tes sarcasmes
merci
Par Admin (Admin) le dimanche 31 mars 2002 - 04h50: |