Par Nao (Nao) le mardi 21 décembre 2004 - 19h43: |
Lu sur actuj.com.
Réceptions chez Ls Juifs ou La folie des grandeurs.
Email de l'auteur : a-j-presse@actuj.com
Un cheval entre sur scène. N’allez pas imaginer qu’il s’agit d’un cirque. Nous sommes à un mariage dernier cri, haut de gamme évidemment. En matière de cérémonies ostentatoires qui ont lieu à l’occasion de mariages ou de bar-mitsva, on ne manque pas d’imagination ces derniers temps. Mais, pour que l’imagination soit au pouvoir, encore faut-il que l’on puisse dépenser des sommes considérables. La pression sociale et l’envie de faire comme les copains incitent à organiser des fêtes parfois délirantes qui n’ont plus rien de commun avec ce qui se faisait d’avant, comme en attestent les personnes que nous avons interrogées. Dès lors l’esprit de la séouda (repas à l’occasion d’un événement juif marquant) est-il préservé ? Pas sûr. La question se pose, d’autant que certains rabbins ont émis des takanot (décisions religieuses) pour rappeler les intéressés à la raison. À l’étranger, des communautés ont également lancé des initiatives originales en ce sens.
Péril
Savons-nous encore célébrer nos joies ?
Email de l'auteur : a-j-presse@actuj.com
Pour décrire les qualités distinctives des descendants d’Avraham, nos Sages attribuent à ces derniers le fait d’être « baïchanim », autrement dit pleine de pudeur et de retenue. Or, il est souvent difficile de s’en rendre compte lors qu’on assiste de nos jours à certaines fêtes.
Sur la piste, éclairées par des lumières clignotantes aux couleurs changeantes, deux à trois cents personnes s’agitent frénétiquement. Sur l’estrade, un orchestre s’en donne à cœur joie tandis que des chanteuses, vêtues de tenues qui conviendraient aux températures les plus intenses, « chauffent » les danseurs. Une soirée typique de discothèque parisienne ? Non, tout simplement le mariage de deux jeunes Juifs qui, quelques heures auparavant, étaient dans une synagogue pour célébrer leur union.S’il ne s’agit pas ici de jouer les rabat-joie, une telle scène - récurrente, il faut le souligner - suscite quand même quelques questions. Outre les impératifs de la Halacha qui voudraient que femmes et hommes, habillés correctement, dansent séparément et que la gent masculine ne voit pas les appâts des chanteuses et autres danseuses professionnelles, on peut se demander où, dans une telle instance, est passée l’expression de la joie, la sim’ha, censée donner un sens à toute célébration juive.En effet, cette ambiance disco chasse déjà de la piste toutes les personnes ayant dépassé un certain âge dont les muscles, un peu fatigués, ne leur permettent pas de suivre le tempo. A noter que cette réflexion s’applique souvent, aussi, aux mariages plus religieux où jeunes gens et jeunes filles, chacun de leur côté, imposent un rythme à la danse qui, bien que celle-ci reste décente, élimine de facto les grands-mères et même souvent la génération des parents.Certains diront : place aux jeunes, les vieux n’ont qu’à rester à table et s’adonner aux joies de la convivialité. Hélas, celle-ci n’est pas non plus au rendez-vous. Car, et cela vaut quasiment pour toutes les fêtes quelle que soit leur coloration religieuse, il est désormais très rare d’assister à un mariage ou à une bar-mitsva où la musique permet de se parler.Quand l’intensité des sons frise l’insupportable, trois attitudes sont possibles. Soit se taire en faisant un vague sourire à ses voisins et voisines en leur indiquant d’un geste navré que ce n’est pas le lieu pour dialoguer. Soit tenter de couvrir le bruit en s’époumonant. Mais, cette solution n’est praticable qu’avec retenue sinon gare à l’épuisement. Soit, comme cela se voit de plus en plus, se retrouver hors de la salle pour échanger quelques propos. Mais est-ce cela que l’on appelle participer à une sim’ha?En outre, même lorsque l’on sert les divers plats, et donc que la piste est désertée, la musique est de plus en plus rarement mise en sourdine. Alors, comme certains l’ont vu faire parfois, des invités excédés arrachent les fils de la sono. Dans le genre convivial, on repassera. Il y a, enfin, soit l’oubli total du motif qui a réuni les convives soit une volonté affichée de saboter les quelques pratiques (souvent toraniques) liées à l’événement. Pendant des semaines, le jeune bar-mitsva a préparé, avec tout son cœur, un discours. Or, à moins qu’il n’ait des dons exceptionnels d’élocution, une partie des invités ne se donne même la peine de l’écouter jusqu’au bout. Et il n’est probablement pas de spectacle plus pitoyable que de voir les parents et grands-parents du jeune homme tenter de faire taire ceux qui jouissent de ce rare moment de calme pour se parler.En ce qui concerne le mariage, ce n’est guère mieux. Ainsi, peu à peu, le pain mezonote remplace le pain motsi. Un traiteur a ainsi expliqué à son client médusé qu’il met le « vrai » pain dans une corbeille à part afin que ceux qui insistent pour faire motsi et birkat hamazone puissent se servir. Faut-il rappeler que les centaines de convives se sont en principe déplacés pour une séoudat mitsva lors de laquelle la consommation de pain réel est de mise ? D’ailleurs, il convient de s’arrêter sur cette séouda. Le dernier chic est de laisser les convives mourir de faim jusqu’à une heure avancée en servant le poisson le plus tard possible. Certes, certains d’entre eux se sont, au préalable, empiffrés au cocktail ce qui leur permet de tenir le coup... et de ne rien manger du repas. Ce qui provoque, soit dit en passant, un gâchis incroyable peu conforme avec une vision juive de l’existence.Avec un premier plat servi sur le coup de onze heures, la salle est pratiquement vide lorsqu’ arrive le moment de réciter les sheva bra’hote (sept bénédictions). Celles-ci sont pourtant là pour clore la séoudat mitsva, pour exprimer sa reconnaissance envers D-ieu qui a « présidé » à ce mariage et pour permettre aux présents d’exprimer leurs bénédictions aux jeunes mariés. L’essentiel se serait-il perdu ?
Catherine Garson
Débourser sans modération
Email de l'auteur : c.meyer@actuj.com
Bar-mitsva, mariages. Ces mots riment le plus souvent dans le monde où nous vivons avec réceptions, fêtes, ce qui signifie concrètement des dépenses très importantes. Jusqu’où va-t-on trop loin ? Ils témoignent.
Ils avaient acheté un studio à Paris qu’ils louaient pour arrondir leurs revenus. Cet investissement devait aussi, le moment venu, leur permettre de vivre une retraite paisible, financièrement parlant. Quelques semaines après le mariage de leur fils, ils ont été obligés de vendre le studio, ce qui leur a permis de payer les dettes du mariage. Cette histoire vraie est arrivée à une famille très respectable qui, en l’espace de quelques années, a marié quatre enfants. Leur fils, le dernier en date à s’être marié fait des études et a de petits boulots. La jeune fille qu’il décide d’épouser a le même âge que lui (à peine plus de vingt ans) et a des revenus peu importants. Lorsqu’avant le mariage les deux familles se rencontrent pour fixer les modalités des festivités la famille de la jeune fille propose de faire une réception relativement modeste, hors Paris, en journée, « une garden-party à l’anglaise avec un grand buffet en partie réalisé par les familles et les copains des mariés » nous explique la mère de la mariée. D’ailleurs, cette dernière avait sondé un certain nombre de relations et amis qui trouvaient l’idée fort sympathique. Les parents du garçon sont hésitants. Les jeunes s’y opposent. Ils veulent quelque chose de plus conventionnel, la même chose que ce qu’ils ont vu chez leurs copains. Résultat : une réception dans une salle dans Paris, avec traiteur et orchestre, photographe et vidéo. Les parents de la jeune fille qui n’en étaient qu’à leur premier mariage avaient encore des réserves financières mais ils n’ont pu partir en vacances. Les parents du jeune homme, comme nous l’avons dit, ont dû se séparer d’un bien immobilier et, comme ils ont encore deux autres enfants à marier, ils savent déjà qu’ils vont se réendetter à un moment ou un autre. On raconte une histoire d’un goût assez douteux mais qui, hélas, reflète une certaine réalité : il s’agit d’un couple qui divorce pas très longtemps après le mariage. Il n’a pas encore payé les dettes engendrées par la fête… Beaucoup d’histoires se terminent mieux. Faire comme chez les copains. C’était le souhait de ces jeunes mariés, comme nous venons de le voir. Pour la bar-mitsva c’est souvent la même chose, en pire comme nous fait remarquer une de nos interlocutrices, dans la mesure où il n’y a qu’une seule famille qui paie. « Tous les copains de mon fils ont fait leur réception de bar-mitsva au Concorde-Lafayette. Mon fils est convaincu que ça va se passer comme ça aussi pour sa bar-mitsva. Il rêve. » nous confie Mali, une mère de famille nombreuse. En matière de réceptions, elle a une certaine expérience, dans la mesure où trois de ses enfants se sont déjà mariés. « Nous avons fait le minimum présentable. Nous avons sorti toutes les économies mais nous n’avons pas fait de folies. Nous avons eu trois mariages en deux ans. Pour la prochaine nous attendons de gagner au loto ! » dit-elle en riant. Elle qui reçoit des fiancés avant le mariage a constaté qu’ils avaient souvent « l’angoisse de trouver l’argent pour le mariage et semblaient peu préoccupés par le projet de couple ». Certains, à l’image de Mazal et de David, y pensent. « La Torah est là pour nous remettre les valeurs essentielles en tête. On pense à l’après-mariage, à ce qu’on va faire ensemble pendant les 100 ans de vie commune (en admettant que nous vivions jusqu’à 120 ans). L’idée, c’est de construire un couple ». Ceci n’empêche pas Mazal d’être confrontée aux problèmes matériels. Sa famille vit en Israël. Il faudrait au moins que les plus proches puissent venir. « On ne sait pas où trouver l’argent. Tout coûte très cher (la salle, la vidéo, le maquillage, c’est ça le piège) même quand on veut faire le minimum ». Elle et son fiancé ont même envisagé de repousser le mariage pour des raisons matérielles mais « Notre Rav nous a dit qu’on ne repoussait pas un mariage pour des raisons matérielles » nous dit-elle. Si chez Mazal et David c’est la Torah qui a pris le dessus, chez d’autres c’est loin d’être le cas. Sophie connaît quelqu’un qui a dépensé 400.000 francs pour le mariage de sa fille. Et quelqu’un d’autre qui, pour pouvoir offrir à son fils la bar-mitsva de ses rêves, c’est-à-dire la même chose que chez les copains, est obligé de travailler sans relâche. Il travaille toute la journée, le soir livre des pizzas et fait du bricolage le dimanche ! « La pression sociale est considérable. Je ne peux pas imaginer aujourd’hui un gamin qui se contenterait pour sa bar-mitsva d’une fête à la maison et d’un kiddouch » poursuit Mali. Mais, au-delà de la pression sociale, un autre élément entre en jeu quand il s’agit de préparer le grand jour, bar-mitsva ou mariage, le plaisir. Julie qui a épousé Ruben, il y a peu de temps nous dit avoir craqué pour beaucoup de choses qui n’étaient pas prévues au départ. « À la base, nous ne voulions pas trop dépenser. Finalement on s’est fait plaisir ; nous avons eu le coup de foudre pour la salle, puis il y a eu le traiteur traditionnel, le maquillage. …. C’est un moment unique. Pour une jeune fille c’est le rêve d’être une princesse un jour dans sa vie et de pouvoir recevoir les invités avec un certain faste ». Il y a ceux qui s’organisent pour limiter les frais tout en assurant le côté festif. Ainsi Rony et Jennifer ont choisi d’organiser leur mariage en Israël, notamment parce que c’est beaucoup moins cher là-bas. Les parents des deux côtés ont mis la main à la poche. Chez William et Brigitte, les parents ont aussi participé. La mère de William lui avait ouvert un compte en banque quand il était tout jeune, qui a servi à ce moment-là. « Après la soirée, il ne restait rien. Les caisses étaient vides, mais nous n’avions pas de dettes » nous dit-il. Dans les deux cas, les « enveloppes » (cadeaux en liquide) ont permis de boucler la boucle financière.
Claude Meyer
Modération
Quand les rabbins s’en mêlent
Email de l'auteur : a-j-presse@actuj.com
Confrontés à des mariages de plus en plus coûteux mais aussi de plus en plus extravagants, certains rabbins orthodoxes américains ont décidé de réagir. Et ce, en publiant une série d’instructions destinées à tous ceux qui organisent une sim’ha.
Depuis longtemps, rabbins et responsables des communautés orthodoxes de New York et de ses environs déploraient les excès qu’ils constataient en matière de célébration des mariages et autres événements importants. « Cela fait presque trente ans que ce sujet a été traité par nos responsables toraniques, peut-on lire dans le message précédant une série de mises au point sur le déroulement des mariages publié, il y a de cela trois ans, dans le journal de l’Agoudat Israël américain (groupement représentant l’orthodoxie locale). Il y eut aussi des appels émanant de tous les cercles afin que l’on commence à réparer le mal fait par des dépenses excessives ». Selon le même texte, ce n’est plus le moment d’appeler les gens à un exercice d’autorestriction. Il est plutôt temps « de prendre des mesures pour faire diminuer ces excès ». Et ce d’autant plus que certains « ont tendance à dépenser sans compter lors de leurs joies, souvent au-delà de leurs possibilités financières » ce qui, en outre, risque « d’embarrasser ceux qui n’ont pas les ressources pour dépenser autant que les autres ». Quelles sont donc les mesures préconisées ? Ayant pris soin de préciser qu’il s’agissait là de maxima, il est demandé que le nombre d’invités au repas du mariage n’excède pas 400 personnes (petits enfants exclus). L’éventuel buffet précédant le repas doit être modeste, (gâteaux, fruits...) et le dîner lui-même limité à trois plats suivis d’un dessert. Sont en outre prohibés les buffets de pâtisserie ou les bars où seraient servis des cocktails. Fleurs et décorations ont eux aussi un prix à ne pas dépasser. Il est recommandé de louer lesdites décorations au lieu de les acheter. Quant à l’orchestre, il ne peut en aucune manière comprendre plus de cinq musiciens (y compris le chanteur). De plus, « la joie inhérente à un mariage juif devrait se refléter dans les nigounim (airs) et les chansons ayant un cachet spirituel distinctif ... et le volume de la musique devrait respecter les critères de santé et de bon goût... ». Suivent des mises au point en matière de prises de photos et sur le temps excessif consacré à cet exercice, la condamnation implicite de ceux qui distribuent aux invités des souvenirs faits pour l’occasion en lieu et place des simples « bircat hamazone » traditionnels. Les auteurs déplorent « les sommes exorbitantes dépensées pour la robe de mariage, les habits... de la famille proche dont certains ne sont achetés ou faits pour n’être portés qu’une seule fois ». Et de préciser que « cet appel pour la réévaluation de la manière dont nous fêtons nos mariages doit s’appliquer à toutes les autres occasions de joie telles que les brit, bar-mitsva et sheva brachote ». Enfin, les rabbanim signataires de cette liste de recommandations s’engagent, à moins de circonstances exceptionnelles, « à ne pas participer ou assister à des mariages qui ne respecteraient pas ces instructions ». Quant à l’importance de ces dernières, le texte d’explication publié en annexes est on ne peut plus clair : « Il est important de souligner que ces directives sont basées sur la compassion et la responsabilité. Elles feront économiser des millions de dollars... restaureront le bon sens et la modestie... soulageront les parents ... de charges financières insupportables et libèreront des fonds pour des causes privées ou communautaires... Et surtout, ces instructions reflètent la réserve et la modération présentes dans le caractère d’un juif engagé ».
Catherine Garson
Pour toutes les bourses
Combien ça coûte ?
Email de l'auteur : a-j-presse@actuj.com
Les préparatifs d’une réception demandent une organisation exigeante qui nécessite des moyens financiers fluctuants selon les choix de chacun. Entre économies et faste, la différence des sommes dépensées est phénoménale.
Quels sont les ingrédients essentiels pour réussir toute célébration ? Ils sont au nombre de trois : il faut un lieu pour accueillir les convives, des mets pour les restaurer et de la musique pour relever l’ambiance. Selon le type de prestation choisie, le coût est extrêmement variable. Concernant le choix du lieu, les écarts de prix vont de la gratuité à des sommes importantes. Parmi les lieux gracieux ou peu onéreux (aux alentours de 250 euros), on trouve les salles municipales ou les salles des fêtes qui peuvent être réservées par les noceurs. Parmi les plus coûteux, il est possible de réserver un château et son parc ou des restaurants gastronomiques, ce qui est de plus en plus courant dans la communauté. La location d’un tel bâtiment peut s’élever à 10.000 euros. Concernant le mode de restauration, là encore les disparités sont énormes. Pour les débrouillards qui réussiront à réquisitionner toutes les femmes de la famille pour les aider à préparer le repas, la somme dépensée sera à moindre coût (environ 15 euros par invité). Pour les plus dépensiers, des traiteurs casher Beth-din proposent des menus gastronomiques dont la qualité et la présentation grandiose des buffets peuvent justifier un tarif s’élevant à 200 euros par invité. En ce qui concerne l’accompagnement musical, ceux qui font appel à un disque-jockey de qualité s’en sortiront pour 300 euros. En revanche, ceux qui opteront pour un orchestre avec près d’une vingtaine de personnes sur scène s’en tireront pour nettement plus. Avec des numéros visuels extraordinaires et un décor de plateau télé, il faudra débourser la bagatelle de 10.000 euros minimum. Certaines structures proposent des forfaits à prix réduits en fournissant la salle, le traiteur et la musique (soit 50 euros par personne). L’organisation de réceptions en Israël peut s’avérer également avantageuse car si l’on se donne la peine d’aller sur place pour tout organiser, le coût avoisine les 70 dollars (60 euros) par convive dans un grand hôtel, salle comprise, avec un repas composé de cinq plats. Concernant l’aspect vestimentaire, la robe de mariée réalisée sur mesure par un grand couturier peut avoisiner 5.000 euros. Il y a aussi des tenues prêtées gracieusement. Des associations se proposent en effet de mettre à disposition de la jeune femme en situation difficile une robe. Il s’agit d’un Gmar (prêt), à charge pour elle de régler le nettoyage.
Sandrine Szwarc
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 21 décembre 2004 - 18h51: |
Douda,au sujet de La Turquie, votre ami Emile n'avait pas donné son opinion sur ce sujet. Le conseil de l'Oncle Sam est peut-être une réplique. L'oncle Sam n'oublie pas que la Turquie avait fait des problemes lorsqu'il s'agissait de permettre a Sam d'attaquer l'Iraq par le nord et à partir de son territoire selon les conseils de l'Europe. C'est peut-etre "le clou de Cheha" americain en Europe.
Par Mounia (Mounia) le mardi 21 décembre 2004 - 18h35: |
DERNIERE MINUTE
L'Armée islamique affirmerait avoir libéré MM. Chesnot et Malbrunot
La chaîne de télévision qatarie Al-Jazira rapporte que l'Armée islamique en Irak affirme avoir libéré Christian Chesnot et Georges Malbrunot, les deux journalistes français retenus en otage en Irak depuis le mois d'août. Les deux hommes devraient être remis à l'ambassade de France à Bagdad, précise la télévision, sans citer ses sources ni fournir plus de détails. L'ambassade de France à Bagdad et le ministère des affaires étrangères français n'ont fait aucun commentaire. (AFP.)
Par Claudia (Claudia) le mardi 21 décembre 2004 - 18h13: |
Accord signé entre Paris et Tunis, réhabilitation d'une école hébraïque
TUNISIE - 20 décembre 2004 - AFP
Les maires de Tunis et Paris ont signé lundi un accord "d'amitié et de coopération" visant à intensifier les échanges entre les deux capitales, au premier jour d'une visite à Tunis du Maire de Paris, Bertrand Delanoë, a-t-on constaté.
L'accord signé par M. Delanoë et son hôte, le maire de Tunis, Abbès Mohsen, couvre les domaines de l'aménagement urbain et de l'action culturelle par le biais des échanges et de la formation artistique.
Concrètement, il prévoit la réhabilitation d'une ancienne école hébraïque située dans la Médina, ancienne ville de Tunis répertoriée au patrimoine mondial de l'Unesco.
Le bâtiment, visité par le maire de Paris, doit être reconverti en Centre d'arts pour la réinsertion des handicapés.
M. Delanoë a fait le point avec le Maire de Tunis sur des projets initiés il y a trois ans, notamment la rénovation achevée du Théâtre de Tunis) et l'aménagement en cours du vieux marché central de cette capitale.
Il devait visiter ensuite les "Jardins de la Méditerrannée" plantés au village pittoresque de Sidi Bousaïd (banlieue de Tunis) grâce au concours de Paris (400.000 euros).
"A nos relations exceptionnellement proches nous avons souhaité joindre dynamisme et partenariat", a déclaré M. Delanoë, se réjouissant de liens d'amitié historiques et privilégiés entre Tunis et Paris.
Les deux capitales collaborent au sein de l'Association internationales des maires francophones (AIMF) présidée par Bertrand Delanoë et qui finance la rénovation simultanée des cimetières juif, chrétien et musulman de Bizerte.
Natif de Tunisie, Bertrand Delanoë séjourne plusieurs fois par an à Bizerte, où il possède une résidence.
"La Tunisie m'a fait naître, et c'est là où j'ai appris le goût des différences", a relevé le maire de Paris, qui devait achever son séjour par la dédicace de son ouvrage, "La Vie passionnément" (Robert Lafont éditeur).
"Dans ce livre je parle de ce que le Maghreb, et notamment la Tunisie, a apporté à l'acteur de la vie démocratique que je suis aujourd'hui", a ajouté le maire socialiste de Paris.
M. Delanoë se rendra mardi au Maroc, où il signera un accord pour la réhabilitation des abattoirs de Casablanca et d'un parc botanique à Rabat.
Par Nao (Nao) le mardi 21 décembre 2004 - 17h50: |
Entendu hier matin sur RFI et confirme par guysen
La diffusion de la chaîne publique francophone TV5 a été interrompue à Beyrouth par plusieurs dizaines d'opérateurs privés libanais. Ceux-ci ont exprimé ainsi leur solidarité à Al Manar, TV du Hezbollah, dont la diffusion a été interdite par le Conseil d'Etat le 13 décembre.
Genre ils nous font peur...
Par Maurice (Maurice) le mardi 21 décembre 2004 - 14h55: |
La phrase de la semaine
Un seul devoir
Si j'avais à écrire un livre de morale,
il aurait 100 pages
et 99 pages seraient blanches.
Sur la dernière j'écrirai :
''Je ne connais qu'un seul devoir pour l’homme
et c'est celui d'aimer".
Albert Camus
Par Maurice (Maurice) le mardi 21 décembre 2004 - 14h53: |
L’Appel des Femmes aux chefs religieux
« Nous, femmes du monde entier, qui portons et accompagnons la vie, quelles que soient nos nationalités, religions ou cultures, vous demandons de désavouer publiquement toute forme de violence destructrice commise au nom de Dieu ou d’un principe religieux. » télécharger le dossier complet
signer l'Appel des Femmes
Envoyer une invitation à quelqu'un pour signer l'Appel
Des femmes du monde entier appellent les chefs religieux à rendre définitivement illégitime toute violence au nom de Dieu
« Alliance de Femmes » invite également tous les hommes qui le souhaitent, à signer cet appel et à le soutenir.
Imams et Rabbins pour la Paix :
Du 3 au 6 janvier 2005, 100 IMAMS ET RABBINS se réuniront sous le Haut Patronage de Mohammed VI, Roi du Maroc.
plus ...
Cette manifestation est organisée par :
la Fondation "Hommes de Parole"
« Alliance de Femmes » mobilise toutes les femmes du monde
plus ...
contacts :
alliance@alliancedefemmes.org
France : Alliance de Femmes - Fondation Hommes de Parole, 15, rue Jean Lantier
75001 Paris / +33 (0)1 42 22 00 23
Alliance de Femmes - Fondation Hommes de Parole, 97, avenue de Saxe
69003 Lyon / +33 (0)4 37 48 01 89
Suisse : Alliance de Femmes - Fondation Hommes de Parole, 45, route de Frontenex
1207 Genève / +41 (0)22 735 83 74
Israël : Alliance of Women - Hommes de Parole Foundation, Maronite Convent Road 9, Old City
PO BOX 1305 Hamerkazi, Jerusalem / +972 (0)26 285 598
Par Maurice (Maurice) le mardi 21 décembre 2004 - 12h49: |
{http://www.hommesdeparole.org/docs/Morocco_Meeting.pdf,http://www.hommesdeparole.org/docs/Morocco_Meeting.pdf}
CONGRES D' IMANS ET DE RABINS EN BELGIQUE EN JANVIER 2005
LISEZ L'EXCELLENT TEXTE AU SITE CI DESSUS
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 21 décembre 2004 - 10h47: |
Guy Milliere fait dorenavant office de "prophete" (voir son article pour la Mena, post d'hier 03h22).
Plus ca va et plus ses apprehensions ont une tendance facheuse a se realiser. Etre Prix Nobel n'est decidemment plus une reference...
Nobel laureate blasts Israel
A Nobel Peace Prize laureate compared Israel’s presumed nuclear arsenal to Hitler’s gas chambers.
On Sunday, Mairead Corrigan Maguire called on Israel to lift travel restrictions on nuclear whistle-blower Mordechai Vanunu. Maguire was awarded a Nobel prize in 1976 for her efforts to reach peace in Northern Ireland. “When I think about nuclear weapons, I’ve been to the Auschwitz concentration camp,” Maguire said during a joint news conference with Vanunu in Jerusalem.
“Nuclear weapons are only gas chambers perfected,” she said, “and for a people who know what gas chambers are, how can you even think of building perfect gas chambers?”
Par Maxiton (Maxiton) le mardi 21 décembre 2004 - 09h49: |
A LIRE DE TOUTE D'URGENCE
L'interview de Claude Goasguen
http://www.primo-europe.org/
Par Maurice (Maurice) le mardi 21 décembre 2004 - 09h23: |
TOUT CA POUR CA ?
Par Claude Bensoussan pour Guysen Israël News
20 décembre 2004 / 21:41
Ainsi va le monde…Les petites phrases passent inaperçues. Les contempteurs de « l’entité sioniste »ne feront pas de commentaires lorsque l’un des leurs dérape ou avoue ses crimes.
Car, il fut en son temps dénoncé partout comme une provocation, le simple fait que monsieur Sharon ait parcouru quelques mètres sur le Mont du Temple, lequel comme son nom l’indique est territoire israélien, prenant ce droit absolu de n’importe quel juif de circuler où bon lui semble en Israël, comme prétexte pour déclencher une guerre.
Guerre que ces mêmes contempteurs, ont qualifiée de « guerre des pierres », lorsque nous disions que c’était une guerre tout court, et que les balles étaient lancées plus souvent que les pierres.
Qu’il ne s’agissait pas d’un pauvre David palestinien contre un Goliath israélien. Vous remarquerez en passant, comme l’histoire biblique est utilisée pour la bonne cause, alors que la présence même de ces juifs sur cette terre a été niée et reniée par ceux là même qui se servait de l’image d’Epinal.
Quand certains des dignitaires arabes, et non des moindres, avouaient publiquement sur les ondes moyen-orientales, que l’épisode Sharon ne fut qu’un prétexte pour une action prévue de longue date, nul commentateurs n’en fit la Une de ses unes…
Aujourd’hui, Abbas, pour ne citer que lui, demande que les armes se taisent. Pourquoi ne dit-il pas que « cessent les jets de pierres » ?
Dans un aveu public, chose rare dans la région, voilà ce que le piètre futur Président déclare :
« Le dirigeant palestinien Mahmoud Abbas a déclaré que son peuple devait abandonner la voie de la violence dans sa lutte pour l'indépendance, affichant clairement sa volonté d'adoption d'une nouvelle stratégie dans le processus de paix avec Israël. »
Ou encore :
« L'usage des armes a été nuisible et devrait cesser", a-t-il déclaré dans une interview publiée mardi par le journal arabe Les Chark al Aoussat. »
Et enfin :
«En toute franchise, l'appareil de sécurité palestinien doit être contrôlé car il y a du désordre", a-t-il dit, ajoutant que des négociations étaient en cours avec différentes organisations palestiniennes pour mettre fin au "chaos des armes". »
Cette reconnaissance que la violence voulue n’a pas porté les fruits escomptés, mais en plus a entraîné le chaos, est la preuve même que non seulement cette guerre des armes a été planifiée, mais qu’elle s’est soldée par une défaite totale.
N’importe quel observateur, partial ou impartial, ne peut que se poser la question suivante : d’où sont donc venues ces milliers de kalachnikovs, ces pièces pour fabriquer les obus et les roquettes Kassam, les bâtons de dynamites qui ont servi aux islamikases pour se faire exploser ?
Il est évident que le trafic venait de l’étranger, via la mer ou la terre, d’Iran, de Syrie ou du Liban (mais n’est-ce pas pareil ?…). Les millions de dollars dépensés pour tenter de détruire Israël et le moral de ses habitants, auraient dus servir à développer les infrastructures des villes et villages arabes et permettre d’améliorer le niveau de vie de ces femmes et hommes, dont une grande majorité auraient souhaité vivre en paix.
La réponse israélienne aux armes, ne pouvait être que militaire, car il faut être complètement fou pour penser que les juifs se laisseraient bombarder ou tuer sans réagir. Ce temps là, n’en déplaise à ceux qui veulent nous anéantir, est bien révolu. Le soldat juif défend sa patrie, il se bat, et souvent même mieux que n’importe quel soldat au monde.
Si Alain Ménargues a disparu du paysage de RFI, il a fait des émules…
Ainsi René Labévière, qui après avoir constaté que Al Manar est désormais interdit en Europe, essaie de justifier, par des mots qui ne laissent planer aucun doute sur ses sympathies libano-syro-irano-hezbollahiques, ce moyen de communication outrageusement antisémite. Je cite :
« Cette télévision est l'organe d'expression d'une organisation politique, le Hezbollah libanais, qu'il faut, bien évidemment, remettre dans son biotope régional des plus complexes, dans son contexte d'un région en guerre où des mouvements politico-militaires sont confrontés à une des plus puissantes armées du monde. Aussi, et c'est une évidence dans l'Orient compliqué, il n'est pas toujours si simple de dire le droit ».
Une organisation politique, qui s’amuse de temps en temps à envoyer des missiles sur le nord d’Israël…
Une organisation politique qui se fait prêter des drones pour survoler le Club Med des environs de Naharya.Une organisation politique dont les émissions regorgent d’entraînements militaires, accompagnées du parfait bréviaire ou « Comment détruire l’entité sioniste en deux temps trois mouvements »…Enfin, quoi monsieur Labévière, un peu de décence voyons ! Vous oubliez de dire, que dans cet Orient « compliqué », l’information rime avec extermination…Que les œuvres « sociales » ne sont pas celles de Mère Thérésa mais celles de Père Nasrallah, lequel comme son nom de l’indique pas, n’a rien d’un apôtre de la paix, mais bien celui d’un suppôt de Samaël, le pendant islamique du Satan des infidèles judéo-chrétiens !
Quant à l’une des armées les plus puissantes du monde, vous savez ce qu’elle vous dit l’armée la presque plus puissante du monde ? Non ? Je vais vous le dire, monsieur Labévière…Non pas ce que vous pensez, quoique…
Que sans cette armée la presque plus puissante du monde, il n’y aurait plus, à D.ieu ne plaise, de peuple juif sur la terre de ses ancêtres.
Que cette armée la presque plus puissante de la terre, a eu devant elle dans des affrontements, que d’aucuns avaient baptisés « plus grandes batailles de chars de l’histoire », quelque chose comme des millions d’hommes surarmés, en possession des armes les plus sophistiquées qui soient et ces armées surpuissantes en hommes et matériels ont été battues à plate couture, par la Grâce de D.ieu.
Je sais qu’il y a quelque chose d’ahurissant dans ces faits de guerre, mais que voulez vous, on ne peut pas faire plaisir à tout le monde…Ce peuple à l’armée la presque plus puissante du monde, possède une arme secrète, ni nucléaire ni chimique, mais une Main Invisible qui le guide depuis la nuit des temps et malgré les massacres, malgré les expulsions innombrables, les tentatives de conversion par le glaive, les pogroms et j’en passe, la liste est close, never again, il est toujours là et plus fort que jamais. Ah bien sûr, une armée est faite d’hommes et de femmes, faillibles comme l’être humain peut l’être, et il y a eu des bavures, lesquelles, pour peu nombreuses qu’elles aient été furent d’abord dénoncées par ces mêmes hommes et femmes qui composent mon peuple. Peuple israélien à la justice intraitable qui condamne les siens avant de condamner les autres. Justice israélienne qui permet à ses ennemis de la saisir et de gagner des procès contre ses propres ressortissants, en temps de guerre…
Voilà pourquoi, même en allant y chercher des poux, vous en trouverez bien sûr. Puisque vous n’en cherchez pas dans la tête des autres…Car, de l’aveu même que vous venez d’entendre par la bouche du candidat à la raïssitude, la guerre qui a été déclenchée, ne fut pas celle des petites pierres contre les tanks, mais celle d’une arme nouvelle contre une armée de civils, qui préfèreraient continuer leurs études ou aller au travail chaque matin que D.ieu fait, plutôt que de prendre le fusil pour tirer sur des terroristes qui ne cherchent qu’à semer la terreur. Des vrais terroristes quoi, pas de ceux qui mettent des pétards mouillés aux portes des préfectures. De ceux qui ont inventé, non pas par désespoir, mais dans l’espoir de décimer, exterminer ce peuple tant de fois décimé, une nouvelle façon de tuer : tuer avec des corps bardés d’explosifs, tuer en envoyant des enfants tester le terrain quand ils ne sont pas porteurs de mort eux-mêmes, tuer avec des femmes enceintes bourrées de haine et de poudre. Tuer, tuer et encore tuer.
Comme Al Jihad ! Al Jihad! Al Jihad! Sein, sein, sein, trois fois en leur sein portés, les bombes et les clous qui tuent !
Alors ne nous faites pas rire quand vous parler de :
« la nécessité de voir appliquer la même rigueur à l'encontre des autres médias communautaires et communautaristes - radios, télévisions et sites Internet -, notamment ceux qui continuent, en toute impunité, de cultiver l'arabophobie et la démonisation, sinon la criminalisation de la résistance palestinienne. »
Impunité que de dire que les terroristes ne sont en aucune façon des résistants ?
Impunité lorsque nous luttons contre la désinformation que vous nous servez quotidiennement comme de l’arsenic ?
Impunité lorsque nous vous traitons de négationnistes, parce que nous ne voyons pas comme vous le faites, dans les bombes humaines, des résistants, et ne salissons pas ainsi la mémoire d’un Jean Moulin ou d’un colonel Fabien.
Impunité enfin, quand nous qualifions vos partis pris et vos éructations, d’armes de guerre de destruction massive…
Et tout ça, pour quoi ? Pour avoir un Etat ? Que nenni ! Pour chasser le juif et le jeter à la mer. Puis, devant la défaite consommée, tête basse et queue entre les jambes, le Abou Mazen revient à la case de départ. Y’a pouce ! Y’a pouce ! Crie t-il à qui veut bien l’entendre, nous obtiendrons par la feuille de route, ce que nous n’avons pas eu par les bombes !
Tu te fourres le doigt dans l’œil jusqu’au sommet du lobe occipital ! Pas d’esbroufes Abbas…Il n’y aura plus de deuxième Camp David, ni de Taba, ni de Plantation de Taba. Why ? Pour tant de morts ?
Même l’AFP y va de son ridicule, sans vergogne. Dans le genre décomptes macabres, elle confond vitesse et précipitation : dans son bulletin du 17 décembre, l’organe de la cause arabe, fait des erreurs d’addition, quand ce ne sont pas des fautes par omissions. Lorsque nous pleurons nos 1058 victimes, elle n’en voit que 968…Mais le comble de l’ignominie fait qu’il y ait 4631 morts, 3588 palestiniens pour 968 israéliens. Faites l’addition s’il vous plaît…Cela ne fait jamais que 4556…Pourquoi ? Et bien tout simplement parce qu’ils représentent les cent morts bien comptabilisés dans le premier total…ou presque.
Comme dirait mon ami Simon l’pêcheur, mais bien mieux que moi, les salauds sont démasqués les uns après les autres, la haine antijuive est en train de refluer , même si cela n’effacera jamais les années noires que nous venons de vivre. Alors journalistes et rubriqueurs de la pensée unique, prenez en leçon de Abbas, vos têtes tomberont comme celle de tous les ennemis d’Israël, un jour ou l’autre. Et nous ne décompterons pas les scalps, avec méticulosité, comme l’AFP. Pour ne pas risquer d’en rajouter…
Quant à nous, petits chroniqueurs des petits sites que vous accusez de tomber dans l’arabophobie (un non-sens de plus) ou la démonisation des terroristes, nous continuerons avec nos petits moyens, à défendre ce pays, sans lequel nous ne serions pas tout à fait ce que nous sommes…
Nous ne déposerons pas les armes de nos petites plumes, tant que des désinformateurs tels que vous et autres Ménargues continueront à faire d’immenses dégâts dans des millions de petites, très petites têtes.
Tout ça pour ça…
Cela résume tout ce que je viens de dire…
Par Henri (Henri) le mardi 21 décembre 2004 - 08h35: |
Essayons d'aider Guy Hever, soldat disparu et tres probablement kidnape par le hezbola, et detenu en Syrie
http://www.missing.co.il/Index.html
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mardi 21 décembre 2004 - 08h25: |
Le négationniste Robert Faurisson au sujet de l'affaire Al-Manar : "Le gros mensonge du prétendu Holocauste (…) est le bouclier de la tyrannie juive (…) Détruisez-le !"
Samedi 18 novembre 2004, le négationniste français Robert Faurisson, ancien professeur à l'université de Lyon, a accordé une interview à l'Agence de presse iranienne Mehr, au sujet de la décision de la France d'interdire la diffusion d'Al-Manar.
Voici l'interview :
Agence de presse Mehr : La haute Cour administrative française, le Conseil d'Etat, a fait le pas décisif d'interdire la télévision Al-Manar, assurant que le réseau avait enfreint à plusieurs reprises les lois du pays contre l'incitation à la haine, ignorant son propre engagement à éviter les déclarations antisémites. Que pensez-vous de cette décision ?
Robert Faurisson : Malheureusement, c'est tout à fait normal. En France, les organisations juives obtiennent tout ce qu'elles demandent. Et plus particulièrement le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), dirigé par l'ancien banquier Roger Cukierman, qui a joué un rôle important dans la campagne contre Al-Manar.
APM : Pensez-vous que le lobby sioniste aux Etats-Unis ait influencé la décision française d'interdire Al-Manar ?
Faurisson : En France, le pouvoir juif est encore plus fort qu'aux Etats-Unis. En France, c'est le lobby n°1. Personne n'ose rien dire contre ces gens à cause de leur prétendu "Holocauste".
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http://www.mitspe.com/forum/forum/viewtopic.php?t=2121
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 21 décembre 2004 - 00h45: |
Maxiton merci pour ton explication. Shira a compris ce que je demandais