Par Viviane (Viviane) le dimanche 14 janvier 2007 - 16h34: |
Chers amis,
Pour la grande synagogue de Netanya, nous sommes à la recherche d'un portrait ou d'une photo d'Alfred Valensi, président de la fédération sioniste de Tunisie de 1920 à 1926 et mort en déportation en 1944, et qui trouve toute sa place auprès du mémorial érigé par Elie Sarfati. J'ai adressé un e-mail a un monsieur Claude Sfez qui avait écrit sur notre site à son sujet, mais qui m'a été retourné. Si cette personne peut entrer en contact avec moi à ce sujet ou d'autres personnes qui ont connaissance de sa biographie ou qui l'auraient connu. Je les remercie à l'avance. Viviane.
viviane.lesselbaum@gmail.com et vivianelesselbaum@yahoo.fr
Par Albert (Albert) le dimanche 14 janvier 2007 - 15h51: |
Mon billet du dimanche.
Par Belebou.
Entendu à la télévision pipaule.
De Jenifer Aniston.
‘…Incroyable mais vrai mes chers amis d’armes, frères Meyer le défroqué, Brahamos l’Archevêque bien sein, Tawfiq avec sa COUCA (bientôt sur vos écrans) Papus Jaculus FILMUS XXX, Breitou Frère LA DOUDA cardinale de mes deux points bourses, nonnes Mamili, Elsa, Hajkloufette, Sibyle, Poupillette etc…et Mère Supérieur Michka que le saint esprit soit en vous. Amen.
( L’état d’avancement du film AU COUVET DES CHARMELITES est en bonne progression.)
Je passe sur TAEVA55, celle qui nous vient du fond des âges pour nous critiquer sans rien argumenter.
Bien mes amis, j’écoute donc cette info. Le chewing-gum de cette actrice fort célèbre a été mis en vente pour la modique somme de 18 000 Dollars sur la toile. (Vrai) . Il a trouvé acquéreur en moins de deux minutes. Le vendeur ému s’en est débarrassé avec les larmes aux yeux.
Vous vous imaginez un peu, se délaisser d’une si belle empreinte… !
Bref, l’acquéreur, bien malin que le vendeur, n’a pas prévu qu’il aurait pu, dans sa précipitation relever son ADN. Une opération que l’acheteur a faite.
Il propose donc sur la toile de vendre un peu d’ADN de la grande artiste, relevée sur le chewing-gum pour la somme de 3 000 000 de dollars. Ni plus ni moins.
Il a trouvé le filon.
Un célèbre collectionneur De
DOUBAÏ…. ! ADOUBAIS….. ! Vient d’acquérir ce minus D’ADN en question.
Il compte cloner ce bout d’ADN sur une de ses ‘juments harem’ dans le fol espoir d’avoir une réplique exacte de la belle actrice. Dégustez donc du peu.
Donc si dans 20 ans vous croisez une jeune fille en tout points pareils que cette vedette dites vous que c’est son clone.
Je vais de ce pas, coter sur le marché intérieur boursier un peu de ma crotte pour la modeste somme de 1000 €. Et puis merde…. ! J’en ai marre de PIPO…LER… !’
Par Girelle (Girelle) le dimanche 14 janvier 2007 - 13h52: |
Merci Primo de défendre si bien ce que je trouve fondamental.
Malheureusement ceux qui aiment à patauger dans la mare aux cochons vous traiteront, comme ils le font pour moi, d'islamogauchiste, comme si le fait d'aimer la démocratie et de rejeter le racisme était un principe réservé à la gauche.
Par Claudia (Claudia) le dimanche 14 janvier 2007 - 10h15: |
Agression dans le Marais :
Kémi Seba se rend sur place
NOUVELOBS.COM
Le leader de l'ex-Tribu Ka s'est rendu devant le commissariat de l'arrondissement où deux éboueurs d'origine africaine ont été agressés, selon lui par "des individus de confession juive".
La rue des Rosiers (AP)
Kémi Seba, le leader de l'ex-Tribu Ka, a annoncé samedi 13 janvier sur son site internet qu'il s'est rendu, avec un groupe, au commissariat du IVe arrondissement de Paris, puis dans le quartier de la rue des Rosiers, en raison de "la lâche agression commise dimanche dernier par des individus de confession juive sur des éboueurs africains".
"Lassé de la protection et de l’impunité dont jouissent les milices racistes juives du Betar et de la LDJ, nous avons décidé d’aller chercher nous-mêmes ces criminels", précise le communiqué.
De source policière, les manifestants étaient "25 environs". Ils seraient repartis sans incident notable.
Stellio Capochichi, alias Kémi Seba, avait été condamné en septembre 2006, par le juge des référés du tribunal de grande instance de Paris, à la fermeture de son précédent site internet, en raison de son contenu "antisémite". La Tribu Ka avait été dissoute le 29 juillet par décret gouvernemental.
Agression présumée raciste
L'annonce de Kémi Seba fait suite à la mise en examen, jeudi soir, de deux jeunes hommes pour une agression présumée raciste, commise dimanche dernier contre deux éboueurs d'origine africaine au cœur du quartier juif historique du Marais à Paris.
De source judiciaire, les deux hommes ont été laissés en liberté, sous contrôle judiciaire.
Ils sont poursuivis pour "violences volontaires sans incapacité totale de travail supérieure à huit jours, avec arme, en raison de l'appartenance réelle ou supposée à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée". Ils sont également poursuivis pour l'agression de deux autres personnes qui s'étaient interposées, mais sans la circonstance aggravante de "racisme".
Deux autres suspects, interpellés dans le cadre de cette affaire, ont été entendus sous le statut de "témoin assisté".
Les quatre hommes sont âgés de 18 à 22 ans.
A coups de tabourets
Selon une source policière, les deux éboueurs effectuaient leur tournée dimanche, rue des Rosiers, quand un homme a pris à partie le chauffeur du camion en faisant référence à son physique. Le chauffeur est descendu pour demander des explications. Plusieurs personnes sont alors intervenues pour soutenir l'auteur de l'agression. Certains ont frappé les deux éboueurs avec les tabourets d'une terrasse voisine.
Bertrand Delanoë, le maire de Paris, avait qualifié cette agression de "raciste".
Par Mena (Mena) le dimanche 14 janvier 2007 - 08h47: |
N’échangez pas Shalit ! (info # 011201/7) [Scoop]
Par Sami El Soudi © Metula News Agency
Cette semaine, Mohammed Dahlan, le chef officieux de la force de Sécurité Préventive au service du président Abbas, dans la bande de Gaza, ainsi que le président en personne, ont demandé aux Israéliens de surseoir aux négociations avec le Hamas en vue de la libération du caporal Gilad Shalit.
En contrepartie, les hommes de la Sécurité Préventive ont dressé des barrage sur toutes les voies de communication de la bande, effectuant, de plus, de multiples raids afin d’identifier le lieu où est détenu le soldat israélien.
La raison de ce rebondissement consiste en ce que la présidence entend empêcher un renforcement de ses ennemis islamistes, qui adviendrait au cas probable où Israël relâcherait des terroristes palestiniens. Dans cette hypothèse, le Hamas et le Djihad apparaîtraient aux yeux de la population "comme ceux dont les actions ont conduit à la libération des prisonniers". A l’opposé, les organes de propagande islamistes s’emploieraient à cœur joie à stigmatiser le Fatah "qui donne tout à Israël et ne reçoit rien en contrepartie".
Mauvais plan, pour le Fath’, donc, mais également pour les Israéliens, qui n’ont aucune envie de participer au triomphe des islamistes. Mais ambiguïté et dilemme, aussi, puisque la libération de leur caporal occupe une place primordiale dans leur agenda. Ce, sans compter la pression, légitime et inquiète, de la famille de l’otage, qui a ouï dire que la médiation égyptienne est sur le point de réussir, et que la liste des prisonniers palestiniens sujets à l’échange a été définie, de même que ses modalités.
C’est donc une question de temps qui prédomine. Jérusalem a accepté de donner quelques heures à Dahlan et à ses hommes afin de localiser la planque des ravisseurs de Shalit, sinon, il faudra transiger.
Une opération délicate, qui s’inscrit dans le cadre de la préparation de toutes les forces du président à ce qu’on appelle ici, un brin pompeusement, l’"assaut final". Plus précisément, Abou Mazen a décrété un moratoire unilatéral d’une durée de quinze jours, pour permettre au Hamas de rejoindre un gouvernement de salut national et éviter le bain de sang. Mais un gouvernement d’union, qui s’articulerait autour des lignes force du Fatah, à savoir l’intégration de tous les accords signés à ce jour entre l’Autorité Palestinienne et l’Etat d’Israël, ainsi que la reconnaissance incompressible du droit d’exister de l’Etat hébreu.
Faute d’accord de la part du Hamas, ce sont les armes qui parleront. Dans cette perspective, de nombreux Etats arabes font désormais pression sur Jérusalem afin qu’elle accepte d’intégrer la Brigade Badr’, dont les quartiers se situent sur territoire jordanien. Les Israéliens réservent leur réponse, inquiets de l’éventuel positionnement permanent, entre eux et le Jourdain, d’une force bien entraînée, bien équipée et disciplinée comptant environ 3 000 combattants. Mais d’autre part, les conseillers de M. Olmert aimeraient volontiers se débarrasser des islamistes, pour pouvoir engager les négociations sur le statut définitif avec un Abou Mazen souverain et exerçant effectivement le contrôle de son territoire.
Dans l’atmosphère positive de coordination qui règne entre Jérusalem et Ramallah, il est probable que Tsahal finisse par donner le feu vert à l’incorporation de la Brigade Badr’ dans les rangs de l’AP. Si c’est le cas, le Hamas ne disposera plus d’aucune chance de salut lors d’une confrontation militaire.
Ceci explique l’étonnante déclaration produite par Khaled Mashal depuis Damas, selon laquelle Israël est une réalité indiscutable et, qu’en fin de compte, après la création d’un Etat palestinien, il faudra bien coexister avec elle. Une déclaration dont le contenu fut démenti par le Hamas du Liban et de Palestine, quelques minutes seulement après avoir été énoncée. Mais une déclaration, tout de même, qui met à mal la rigidité du dogme islamiste et qui prend des allures de bouée de sauvetage pour les miliciens fondamentalistes encerclés à Gaza, dans l’attente du coup de grâce.
Il reste maintenant un peu moins de onze jours pour savoir si la guerre civile, ouverte et totale, entre Palestiniens va avoir lieu. Durant cette veillée de guerre, le fond de l’air est très lourd, avec les miliciens présidentialistes qui, l’arme au pied, refusent de répondre aux nombreuses provocations en provenance des fondamentalistes. Leur rêve : libérer Gilad Shalit, le rendre sans condition aux Juifs, et recevoir tout de suite après, de leurs mains, un peu plus de détenus palestiniens que ceux qui étaient promis au Hamas.
Pour que ce rêve se réalise, il leur reste encore à trouver et à libérer Shalit…
Par Email (Email) le dimanche 14 janvier 2007 - 08h07: |
Bonjour,
Mon mari d'origine tunisienne a très envie (depuis longtemps) de participer au pélerinage de Djerba. Voulant lui offrir le voyage (en surprise) pour son anniversaire le 17 janvier, voulez-vous bien me préciser les dates
exactes si vous les connaissez.
Merci d'avance de votre coopération.
Bien à vous
Viviane de Bruxelles.
Par Email (Email) le dimanche 14 janvier 2007 - 07h38: |
SIX MOIS DE CAPTIVITE
Par Primo (Primo) le dimanche 14 janvier 2007 - 05h44: |
La mare aux cochons
Une mise au point de Primo-Europe
Voici venu sans doute le moment d’éclaircir certains points concernant Primo-Europe.
Association laïque et apolitique, elle s’est donnée pour mission de réinformer quand on désinformait, de lutter contre les archaïsmes, les dogmatismes et les extrémismes.
En identifiant l’islamisme comme un danger planétaire, ce qui, bien sûr, n’a rien d’original, elle s’interdit cependant de s’attaquer à l’ensemble des musulmans. Même quand nous mettons en doute le fait que la majorité des musulmans de ce pays sont des modérés, même quand nous nous interrogeons sur leur capacité à faire reculer l’obscurantisme dans leurs propres rangs, nous refusons de vilipender un groupe d’individus pour leur nature ontologique.
A lire les réactions «déçues» que nous recevons depuis quelques jours après la parution de l’article de Pierre Lefebvre (Lire), nous nous rendons compte à quel point un malentendu s’est glissé entre certains de nos lecteurs et nous.
Certains d’entre vous ont pensé, à tort, que lutter contre l’islamisme, dénoncer les dictatures et les potentats arabes, s’inquiéter des problèmes démographiques liés à une immigration mal contrôlée, combattre la lâcheté et la démission des pouvoirs publics face au chantage à la paix sociale, refuser le financement public des mosquées, décrire la fourberie de la politique arafatienne, la folie de Nasrallah, d’Ahmadinejad, devait forcément s’accompagner de «cassage de bougnoules».
Que les choses soient claires : si vous avez cru cela de nous, supprimez Primo de vos sites favoris.
Allez rejoindre plutôt certains sites que nous qualifierons de «mares aux cochons». Ces temples de la beaufitude conviendront sans doute mieux à votre soif de ratonnade.
Vous lirez même, chez ces Dupont-Lajoie, des argumentations raffinées qui vous expliqueront à quel point le problème est celui d’un islam définitivement irréformable et qu’il faut donc éradiquer de la planète.
Au-delà de l’aspect délirant et irréalisable d’une telle entreprise, le seul fait d’y penser et d’avoir donc une pensée génocidaire à une échelle inégalée (1,2 milliard d’individus !) en dit long sur le caractère fréquentable de ceux qui animent de tels sites.
Oui, bien sûr, nous sommes des naïfs qui n’avons pas compris que nous sommes en guerre et que nous devons choisir notre camp. Sauf que ces idées débiles sont étrangères aux responsables politiques les plus radicaux, que ce soit aux États-Unis, en Europe ou en Israël.
Il n’y a que sur ces forums et ces sites de décervelés où, il est vrai, parler et blablater ne mange pas de pain, que s’étalent de tels propos.
Le but y est de faire rendre gorge aux musulmans de ce pays en les faisant renoncer coûte que coûte à tout espace de spiritualité. Leur religion étant donc définitivement incurable, nous devons tout faire pour qu’elle s’écroule d’elle-même face à la «modernité».
Au nom de cette «modernité», il devrait sans doute être réservé le même sort au judaïsme et aux religions chrétiennes, même si celles-ci ont su faire leur aggiornamento mais restent probablement, aux yeux des locataires des mares aux cochons, un frein vers un monde moderne où la démocratie se substituera à la spiritualité.
Comme le communisme, pensent-ils, l’islam est une idéologie à visée politique et n’est que cela. Il faut donc le faire disparaître même si le risque de priver plus d’un milliard de personnes de tout espace spirituel pourrait avoir des conséquences difficiles à imaginer. Toute société livrée au matérialisme forcené et à la simple survie évolue forcément vers une barbarie absolue avec une soif de conquêtes et de meurtres encore plus grande.
C’est en dénonçant l’infamie de la «soupe au cochon» que nous nous serions découverts aux yeux de certains de nos lecteurs. Imaginée par une mare aux cochons d’extrême-droite, il s’agissait de proposer de nourrir des SDF tout en en excluant les musulmans pratiquants. Les juifs aussi par voie de conséquence et en tant que «victimes collatérales», mais la cible visée ne faisait aucun doute.
Ce qui importe dans cette affaire de «soupe au cochon» est quelque chose de très simple : cette entreprise a-t-elle été imaginée par des racistes dans le but perfide d’exclure des musulmans ? La réponse est oui malgré toutes les habiletés que l’on ne manque pas de déployer dans les mares aux cochons pour prouver qu’elle est destinée à tous.
Pour nous, cela suffit et nous n’avons pas besoin de dix pages d’argumentation pour expliquer à quel point nous abhorrons le racisme.
Il est vrai que ces sites ont le vent en poupe, qu’il est plus facile, de nos jours, de décrire un monde noir et blanc qu’un monde en nuances. Ces nuances que nous nous efforçons de restituer et qui nous valent des accusations de «contradictions». C’est ainsi : toute description précise d’une situation complexe nécessite un discours nuancé que les manichéens jugeront incohérent et bourré de «contradictions». Il est malaisé, par exemple, de dire que l’islam pose un réel problème à notre monde moderne tout en essayant d’en extraire les éléments positifs auxquels nous devons bien nous accrocher pour tenter de nouer un dialogue pacificateur.
C’est difficile mais il est de notre devoir de nous y efforcer. Il est de notre devoir de refuser la facilité de la dérive raciste et haineuse. Cela ne plait pas à tout le monde.
Tant pis ! Nous ne sommes pas un site commercial et si les adhésions devaient nous arriver un peu moins nombreuses, nous limiterions nos activités à ce qui est essentiel, la défense de la démocratie, toutes les démocraties, y compris celles qui, malgré les apparences, sont menacées, comme Israël.
Nous ferions pour dernier constat que, malgré leurs postures de faux rebelles, c'est une nouvelle bien-pensance que les mares aux cochons inventent.
Cette bien-pensance mortifère est une nouvelle forme de pensée unique, un nouveau prêt-à-mâcher pour des hordes de racistes assoiffés d'affrontements interethniques.
Nous garderons, chevillée au cœur, la certitude que l’être humain a, comme le dit Yaël König dans nos vœux de bonne année 2007, l’habitude de tous les impossibles !
Primo-Europe, 13 janvier 2007
Par Shira (Shira) le dimanche 14 janvier 2007 - 01h20: |
"Parmi les Justes"
Le Dr. Robert Satloff du Washington Institute présentera son livre "Among the Righteous – lost stories from the Holocaust's Long Reach into Arab Lands" qui traite des relations entre juifs et musulmans en Tunisie, durant la deuxieme guerre mondiale, a l'Université Hébraique de Jérusalem, au Centre Vidal Sasson des Etudes de l'Antisémitisme, le lundi 23 janvier a 18:30: Entrée libre au public.
Par Viviane (Viviane) le samedi 13 janvier 2007 - 19h15: |
A lire absolument.
S'agissant des Juifs d'Iitalie pendant la seconde guerre mondiale, il faut lire l'ouvrage de Rosetta Loy :"Madame della Seta aussi est juive" paru aux éditions Rivages et que l'on peut trouver aujourd'hui en livre de poche. Ce livre est bouleversant. Je vous joins la fiche de l'éditeur.
"Le bel appartement romain, les vacances à la montagne, les doux souvenirs d'une enfance innocente côtoient d'autres souvenirs, plus inquiétants, qui affleurent peu à peu dans les visages et les silhouettes de ces personnes devenues du jour au lendemain " autres " par décret, et persécutées pour cela.
Rosetta Loy retrouve les signes mystérieux et ambigus d'un quotidien vécu à l'abri de l'Histoire, et elle cherche derrière les faits - en s'attachant aux silences du pape Pie XII - les moments cruciaux d'une période pendant laquelle nul ne fut capable de s'opposer à la folie nazie.
Elle trace ainsi les contours de cette zone " grise " dans laquelle mémoire individuelle et mémoire collective se superposent pour le pire, découvrant la trame d'un dilemme historique et moral toujours d'actualité." Viviane