Archive jusqu'au 28/décembre/2004

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires de Decembre 2004: Archive jusqu'au 28/décembre/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le mardi 28 décembre 2004 - 19h43:

VOTEZ NON

votez non en cliquant ci-dessous! votez non à cette stupidité de certains presbytériens américains qui cherchent à nuire à l'économie israélienne en boycottant ses entreprises; et merci de diffuser l'info!
http://csmonitor.com/poll/index.php?poll_id=119

Albert SOUED - www.chez.com/soued ,
le site des Symboles et des Rêves

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Roger_Chemouni (Roger_Chemouni) le mardi 28 décembre 2004 - 19h26:

LA BAR-MITSVA DU CHAT DU RABBIN

Sur un ton plus léger se dessine une œuvre importante inspirée de la bande dessinée de Joann Sfar (1) mettant un scène un chat qui se trouve affublé de la parole et cela au grand dam de son maître : un rabbin et au grand plaisir de sa fille. Et voilà que l’animal docile et respectueux va se montrer exigeant et ambitieux. Le chat veut passer sa Bar – mitsva et se met à étudier la Kabbale. Il ira jusqu’ à avoir des discussions sérieuses et passionnées sur la religion dans la communauté juive d’Alger.

Cette œuvre connue ne semblait point évidente à traduire au théâtre comme souvent les bandes dessinées le sont. C’est sans compter le talent d’une équipe dévouée à un texte ; ce texte merveilleux qui prend forme et contenance grâce à ses comédiens emportés par cette histoire gaie et mélancolique qui remet en question les préceptes d’une religion, en soulignant ses contradictions . Camille Nahum qui a adapté le texte Et préservé la quintessence du livre s’octroie le rôle de ce chat malicieux . Les 2 metteurs en scènes ont su recréer l’atmosphère de Joann Sfar par des décors joyeux et bariolés , des lumières obscures et en donnant le rôle du chat à une femme. Reste un spectacle sobre, détonnant et fort amusant

(1)Le chat du rabbin Tome 1 Janvier 2002 Dargaud.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le mardi 28 décembre 2004 - 19h23:

TUNES CELEBRES

MERCI D'AJOUTER S.V.P A VOTRE LISTE LES NOMS :

Mon grand-père David SUID était ingénieur Architècte qui a fait de belles réalisations en Tunisie entre autre le Palmarium et beaucoup d'immeubles de plus de 3 étages il a travaillé aussi en colaboration avec le grand Architecte" Le Corbusier"

Mes oncles:
Marcel SUID était ingénieur architecte , grand collectionneur de timbres et de monnaie et qui a vécu ensuite aux Etats Unis à CLIFTON et WAYNE dans le New Jersey.

Claude SUID était ancien Avocat à Tunis et Paris

Paul SUID était Ingénieur à la S.N.C.F

Simone SUID était une Très grande professeur de Piano, Orgue, Harpe en Tunisie et en France .

MERCI D'AVANCE DE LES INSCRIRE POUR QUE LEUR MEMOIRE DEMEURE .

BONNE ET HEUREUSE ANNEE CIVILE 2005 A VOUS TOUS.....

ANNETTE BELMA

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Francois (Francois) le mardi 28 décembre 2004 - 19h05:

Fils de Pétain

PARIS (AFP) - Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC), a estimé jeudi que la libération de Christian Chesnot et Georges Mabrunot marquait "une victoire pour la France" dont la politique arabe "porte ses fruits", lors d'une interview sur France 2.

Source: http://fr.news.yahoo.com/041223/202/46znb.html

Ces propos rappellent étrangement ceux de la propagande de Vichy qui martelait que la collaboration avec l'Allemagne était une bonne chose car elle permettait d'obtenir la libération de prisonniers.

Chevènement examine le problème de manière tronquée puisque le vrai problème est le kidnapping des otages et pas leur libération. Si l'on pose le problème en ces termes, on s'aperçoit que si la politique arabe était si efficace ils n'auraient jamais été kidnappés.

D'autre part, Chevènement croit que les nazis verts ont relâché les otages grâce à une action de la France visant à faire ami-ami avec ces criminels. Dans les faits, les terroristes pensent que les français sont les idiots utiles de leur cause. Et donc, ce n'est pas la politique de la France qui a permis la libération des otages, c'est sa non-politique et sa renonciation à se faire respecter par ces criminels. En réalité la "pensée" de Chevènement est profondémment ridicule, il croit que s'il les laisse faire ce qu'ils veulent, ils le laisseront en paix. Il est pourtant évident qu'il n'en est rien et que bien au contraire, la faiblesse les incitera à recommencer.

Chevènement devrait reconnaître que la politique arabe de la France est une sorte de rançon versée préventivement aux prenneurs d'otages et autres jihadistes fanatiques rêvant de soumettre le monde à l'islam.

En tout cas, Chevènement ferait mieux de renommer son parti Mouvement républicain et collabo. A lire des propos comme ceux-là, on s'aperçoit que les dirigeants français ont commis une erreur tragique en 45 quand ils ont refusé une vraie épuration.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mardi 28 décembre 2004 - 10h23:

Au fait, a propos de la breve que je viens de poster:

Si, par grand bonheur, des journalistes / editorialistes / realisateurs lisent nos colonnes, ils sont chaleureusement invites a s'inspirer du sujet ci-dessous (E.U. backs Israeli services for Palestinians), pour leur prochain reportage / papier / documentaire.

Cela nous changera un peu.
A bon entendeur ...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mardi 28 décembre 2004 - 10h14:

Une breve qui parle d'elle-meme:

E.U. backs Israeli services for Palestinians

The European Union is donating hundreds of thousands of dollars to help an Israeli organization treat sick Palestinian children.

The money will go to the Save a Child’s Heart Foundation, based at Wolfson Medical Center in Holon, which treats children with congenital heart disease. The organization has treated more than 1,000 children from around the world in the past nine years.

www.jta.org

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mardi 28 décembre 2004 - 08h24:

Petit changement de programmation:

Guy MILLIERE sur RMC, dans "les grandes gueules" de 11h à 13h:
mercredi 29 décembre
vendredi 31 décembre

Guy MILLIERE sur RMC, dans "BOURDIN &CO" de 10h à 11h:
mercredi 29 décembre sujet: politique de George W Bush

Cordialement et Joyeuses fêtes à Tous
Keltoum

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le lundi 27 décembre 2004 - 19h31:

POINTS DE VUE DE FIN D'ANNÉE

Par Artus, le 27 décembre 2004, www.nuitdorient.com


Deux éminents journalistes américains contribuant au New York Times, l'un de tendance républicaine et "néoconservatrice" (William Safire), l'autre franchement démocrate (Thomas L Friedman), partant d'analyses opposées de la situation en Irak, parviennent à la même conclusion que les Etats-Unis doivent gagner cette guerre, malgré les embûches et malgré que certains "alliés" soient une fois encore séduits par "le fascisme".



Dans son article d'opinion du 23/12/04, intitulé "cela vaut 1000 mots", Thomas Friedman décrit la situation en Irak avant les élections prévues fin janvier 2005. Une photo l'a particulièrement troublé, celle de tueurs masqués assassinant en plein jour, dans une rue passante, deux ouvriers Irakiens travaillant pour préparer ces élections, après les avoir obligés à s'agenouiller. Il semble avoir vu "le mal" à l'œuvre, cette force obscure qui s'oppose violemment à la population arabo-musulmane qui, elle, désire pour la 1ère fois organiser des élections libres pour choisir ses leaders et écrire sa propre constitution.

Pour lui, Dick Cheney, G Bush et surtout Donald Rumsfeld se sont lourdement trompés dans cette guerre, en sous-estimant ce que Saddam Hussein avait "concocté pour eux après la guerre" et il demande la démission de Rumsfeld, car avec lui, les Etats-Unis pourraient bien perdre cette guerre d'un nouveau genre. Mais Thomas Friedman accuse ces pays arabes, soit disant alliés, qui n'ont pas levé le petit doigt pour aider l'Amérique à juguler cette bande de voyous qui veut saboter les élections, de peur que ces élections ne créent un précédent chez eux. Il accuse aussi ces Européens, devenus "stupides à cause de leurs incapacités et de leurs faiblesses", qui préfèrent voir échouer la politique américaine au Moyen Orient, en favorisant cette bande de terroristes baathistes-fascistes, "nouveaux impérialistes", qui n'ont rien de résistants ni d'insurgés, plutôt que de venir en aide à la majorité des Irakiens pour que des élections libres soient un succès. Seul Tony Blair dénote dans ce concert de lâchetés: "quoiqu'on puisse penser de cette guerre et du renversement de Saddam Hussein, on ne peut se ranger que d'un seul côté; car il apparaît clairement aujourd'hui que la bataille est entre la démocratie et la terreur. D'un côté vous avez des gens qui cherchent désespérément à faire fonctionner le processus démocratique souvent au prix de leur vie; de l'autre côté, vous avez des gens qui intimident, assassinent, kidnappent, décapitent et qui ne cherchent qu'à empêcher un avenir meilleur en Irak".



Dans son article du 22 décembre intitulé "la vague du futur", William Safire admet qu'il a été optimiste quant au déroulement de la guerre entreprise en Irak et qu'il a été surpris par ce que Saddam Hussein avait préparé contre l'armée américaine, après que ses troupes se soient dispersées sans combat. William Safire est persuadé que la Syrie cache ce que les Américains ont longtemps cherché en Irak, les armes de destruction massive. Il reste persuadé que G Bush a entrepris une guerre juste et qu'il y a de fortes chances que le peuple irakien restera libre à l'avenir et que le pays ne sera pas morcelé (1). Avec le programme d'élections libres, il est persuadé que cette intervention, permettra d'étendre progressivement la démocratie au Moyen Orient et même au delà. Cette guerre a aussi renforcé le camp de la paix dans le conflit israélo-arabe. Les soldats américains ne se sont pas sacrifiés pour rien, car comme l'a dit le président Franklin Roosevelt en 1940, en réponse à l'apologiste du fascisme de l'époque Anne Lindbergh parlant de "la vague du futur", "pour des raisons inexpliquées, l'esclavage et la tyrannie seraient devenus selon elle "la vague déferlante du futur", et la liberté est en régression; mais nous Américains nous savons que cela est un mensonge".



Dans un article intitulé "Bonnes nouvelles du monde arabe", dans le numéro du 27/12/04-03/01/05 de Newsweek (tendance démocrate), Fareed Zakaria est franchement optimiste quant aux conséquences des événements provoqués par la guerre d'Irak, la capture de Saddam Hussein et la nouvelle politique américaine de propagation de la démocratie. En dehors du fait que la doctrine d'al Qaeda se révèle un fiasco auprès des masses arabo-musulmanes, puisqu'elle n'a pas induit les soulèvements annoncés par Ben Laden et consorts, les gouvernements arabo-musulmans ont tendance à s'aligner progressivement sur la dynamique américaine, même si certains d'entre eux n'ont pas de sympathie particulière vis à vis des Etats-Unis. Dans les élections en Malaisie et en Indonésie, les partis séculiers ont eu la prééminence sur les partis islamiques. Dans les pays arabes on parle de plus en plus de réformes, et même en Egypte, une nouvelle équipe s'est mise en place pour procéder à des réformes les valeurs boursières ont doublé en 2004! Craignant pour leurs privilèges et freinant des quatre fers, les élites arabes sont mises sur la défensive. Il y a un contraste entre 2 forums tenus à 10 jours d'intervalle. À l'issue du "Forum pour le Futur" tenu au Maroc, les ministres des affaires étrangères arabes ont adopté l'idée de réformes, …mais après la création d'un état palestinien (!)…et après que les troupes étrangères aient quitté l'Irak. À l'issue du "Forum de la stratégie arabe" de Doubai, le sheikh Mohamed ibn Rashid al Maqtoum a clairement dit "ça suffit! Je ne vois pas le rapport entre la nécessité de lutter contre l'analphabétisme et la corruption et les affaires étrangères, ni celui qui existe entre le besoin de réformes intérieures et les crises à l'étranger". Les émirats du Golfe, la Jordanie sont sur le même registre. Il reste des dinosaures, comme la Syrie qui reste à l'âge de pierre…(2)



Notes
(1)les Kurdes d'Irak ont présenté le 22/12/04 une pétition à Carina Perelli, directrice de la division d'assistance électorale de l'Onu, signée par 1,7 millions de Kurdes (sur 4 ou 5 millions) et appelant à l'indépendance du Kurdistan Irakien. Autonomes depuis 1990, les Kurdes prennent ainsi des précautions, en cas de troubles aggravés dans le pays.



(2) Fareed Zakaria ne cite pas les 2 théocraties riches et influentes de la région qui filent du très mauvais coton, l'Arabie saoudite et l'Iran. La première joue aux funambules flirtant entre un capitalisme féodal et un intégrisme suicidaire, sans l'ombre d'une réforme en vue. La seconde est gouvernée par une clique de mollah-ayatollah qui se s'est appropriée le pays, imposant sa volonté dans tous les actes de la vie du citoyen et n'est pas loin de posséder l'arme nucléaire qui lui permettra de perdurer tout en faisant chanter l'Occident. Les deux régimes autoritaires ont des velléités hégémoniques en Islam, le premier dans la voie de la sunna des premiers califes, le second dans la voie conflictuelle de la shia'h de Ali, cousin et gendre de Mahomet. Les deux régimes sont assis sur de confortables réserves pétrolières et tirent les ficelles de vastes réseaux de déstabilisation du monde occidental.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le lundi 27 décembre 2004 - 19h29:

ISRATIM

Festival du Cinéma Israélien 2005

Bilan moral


Rendez-vous désormais attendu et apprécié des cinéphiles parisiens, le festival met en lumière la créativité foisonnante et la vitalité du Cinéma Israélien. Ainsi, c’est la vérité complexe d’un pays qui se dévoile à travers le regard que portent sur lui des cinéastes de talent.
Le Festival du Cinéma Israélien se déroule du 1 au 8 Février au Cinéma des Cinéastes, avec le concours des services culturels de l’Ambassade d’Israël et sous le parrainage de la Mairie de Paris.
Chaque année, le public parisien a le plaisir de découvrir l’extrême diversité de la création cinématographique en Israël et salue avec enthousiasme cet événement unique en Europe. Si le festival a été un réel succès dès ses débuts, il est maintenant devenu une manifestation confirmée puisqu’il a rassemblé plus de 5 000 spectateurs lors de sa dernière édition.

Le Festival s’ouvre en présence de l’Ambassadeur d’Israël en France et des représentants de la Ville de Paris. Il est l’occasion pour les institutionnels, les professionnels, les producteurs, les artistes, les industries cinématographiques des deux pays de mettre sur pied de futures collaborations et coproductions franco-israéliennes.
Les « déjeuners » organisés sous le parrainage de Kodak, permettent à des professionnels du cinéma, réalisateurs, directeurs de la photographie, producteurs, français et israéliens, de s’entretenir et d’envisager des projets de coproductions et d’échanges culturels entre les deux pays.
Lors du dernier Festival, sont intervenus au cours de ces déjeuners : le représentant de la Fondation du Film Israélien, David Lipkind, les représentants du CNC, David Kessler, Sophie Loyrette et Alain Bégramian, une délégation du Ministère de la Culture israélienne ainsi qu’un représentant du Ministère de la Culture français, de nombreux distributeurs français, parmi eux ID Distribution, MK2…
Si les « déjeuners Kodak » des années précédentes ont favorisé les accords de coproductions franco-israéliennes, cette année l’accent a été mis sur la distribution des films israéliens en France, et vice versa, des films français en Israël. Nombre de films présentés au Festival ont très vite trouvé des distributeurs dans les semaines qui ont suivi.
Ces rencontres ont assurément renforcé les contacts entre les institutions cinématographiques israéliennes et le CNC.

Ces deux dernières années, les « soirées spéciales » ont suscité beaucoup d’intérêt : l’hommage à la réalisatrice Michal Bat Adam, la rencontre avec l’actrice Ronit Elkabetz, la soirée consacrée aux « Visions de la Paix », celle autour du « monde gay » en Israël, les hommages à Assi Dayan, Amos Gitai, l’actrice Gila Almagor, Moshé Ivgy, acteur à la carrière internationale.

Le dimanche est traditionnellement consacré aux documentaires et constitue un moment riche en interventions et débats dans une salle comble. Réalisateurs et producteurs israéliens sont présents pour répondre aux questions d’un public enthousiaste et curieux, ainsi que de la presse, qui se fait largement l’écho de cet événement.


Deux moments phares de ces documentaires :
La présence très remarquée du chanteur Aviv Gefen venu tout spécialement présenter le documentaire qui lui était consacré « Aviv, génération foutue », et en soirée de clôture devant une salle bondée « Mike Brant, laisse-moi t’aimer ».
Ces deux films ont permis de faire le pont entre la culture cinématographique et la culture musicale.
Outre les longs métrages et les documentaires, le Festival propose chaque année des courts métrages réalisés par les étudiants des écoles de Cinéma (Sam Spiegel de Jérusalem, Ma’ale, Camera Obscura, Université de Tel Aviv, Beit Berl).
Suite au succès grandissant de cette manifestation, et à leur demande, une version itinérante sera proposée aux villes de Bruxelles et de Genève dans la foulée du Festival parisien.

De nombreux partenaires financiers ont permis au Festival de prospérer d’une édition à l’autre (Mairie de Paris, CNC, Ministère de la Culture et de la Communication, Fondation du Film Israélien, FSJU, Ambassade d’Israël en France, Kodak, Check Point…) et ont assuré la pérennité d’un rendez-vous désormais annuel.

Le Festival du Cinéma Israélien permet à des œuvres souvent inédites en France de rencontrer un large public, et à des réalisateurs d’exprimer grâce à leur talent, leur sensibilité et leur liberté de ton, les multiples identités d’Israël, mais aussi ses rêves, ses émotions, ses contradictions. C’est un moment de dialogue, de réflexion et de débats entre les artistes et le public. En effet, les spectateurs ont pris l’habitude de s’attarder chaque soir au cinéma des cinéastes afin de rencontrer réalisateurs et acteurs français et israéliens, le transformant en véritable lieu d’échanges et de rencontres.

Festival du Cinéma Israélien 2005

Longs métrages


- Metallic Blues Danny Verete

- Atash – La soif Tawfik Abu Wael

- La Fiàncée Syrienne Eran Riklis

- Distortion Haïm Bouzaglo

- Mariage Blanc Haïm Bouzaglo

- Le Temps des Cerises Haïm Bouzaglo

- Feux de Camp Joseph Ceder

- Colombian love Shay Kanot / Reshef Levi

- Summer Story
Shmuel Peleg Haïmowitch
- La Biographie de Ben Dan Walman

- Un Petit Pas Shahar Segal

- Le Long Voyage Eran Kolirin


Documentaires


- D une Langue à lautre Nurith Aviv 2004

- Oriental Avi Nesher 2004

- Check Point Yoav Shamir 2004

- N° 17 David Ofek 2004

- Blood Engagement Shula Spiegel 2004

- Odessa Odessa Michal Buganim 2004

- Penser Popcorn Dan Geva 2004

- Local Angel Udi Aloni 2004

- Shooting Days Michal Kafra &Deva Melman

- Appelfeld’s Table Adi Japhet Fuchs 2004

- The Birthday Party Ruth Walk 2004

- Dear Perla Shahar Rozen 1999


Programme Courts métrages


Soirée Pub

La société israélienne (thème à définir) à travers les films publicitaires
Partenariat Culture Pub – CB News


Films expérimentaux


Table Ronde avec des journalistes, des intellectuels, des artistes


Charles ZRIHEN
Directeur du Festival

ISRATIM
102 Avenue des Champs-Elysees
75008 - Paris
tel : 01 53 34 02 77
http://www.isratim.co.il

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le lundi 27 décembre 2004 - 18h29:

J'ai appris ce matin avec une immense tristesse que Madame Jeanine Brami Z"AL (habitant a Pierrefitte), epouse de Gilbert Brami (originaire de Tunis) et mere de mon plus cher ami Philippe nous a quitte trop tot des suites d'une longue et tres douloureuse maladie. Elle avait 63 ans.

Que son ame soit benie et qu'elle veille de la haut sur son cher fils Philippe et son epoux a qui elle manquera terriblement.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le lundi 27 décembre 2004 - 13h03:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : A tous les membres du Harissa-Club, Nos meilleurs voeux pour 2005.

c:/


Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le lundi 27 décembre 2004 - 10h34:

Ce lundi soir, 27 Decembre, je recevrai à 21 H05 à mon emission
"L'Etoile et le Jasmin"
sur Radio Judaiques FM,
( 94.8 Paris et région et sur internet
www.judaiquesfm.com )
Anne-Marie Delcambre

pour son livre écrit avec de nombreux collaborateurs :

Enquêtes sur l'Islam
Editions Désclée de Brouwer

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le lundi 27 décembre 2004 - 02h25:

Incohérent CSA (info # 012612/4) [analyse]
par Jean Tsadik © Metula News Agency



A la Ména, nous apprécions avec modération la "Recommandation" émise par le CSA français à l’adresse des chaînes de télévision et des stations de radio, en matière de couverture des conflits internationaux et de leurs éventuelles répercussions en France. Face aux "répercussions que peuvent avoir en France certains foyers de tension internationale," le CSA invite ainsi les médias audiovisuels à faire preuve d’une "vigilance particulière dans l’exercice de la responsabilité éditoriale".



Il ne fait que peu de doutes que ce texte [lire en entier], adopté par le conseil de surveillance lors de sa séance plénière du 7 courant, se fait l’écho direct des informations apportées par notre agence, qualifiant, en tant que telle, la mise en scène de Nétsarim et ses tragiques répercussions humaines. Peu de doute, que les mouvements citoyens, faisant pression sur le Conseil d’Etat, placent les autorités de l’Hexagone dans une situation délicate. Dans les diverses procédures engagées, lesdites autorités préféreraient, en effet, que la Controverse de Nétsarim ne soit pas portée devant des instances européennes. De telles instances risquant de se montrer largement moins charitables qu’on ne l’est, en France, face au refus du CSA de remplir son office dans cette affaire, ainsi qu’aux aux écarts déontologiques considérables de France 2 et de ses journalistes.


Dans ces conditions, et pour arrêter la boule de neige, il aurait fallu plus qu’une circulaire théorique du CSA, rappelant le b.a.-ba des engagements éthiques des personnels et des chaînes envers le public. Il ne s’agit ici effectivement que d’un rappel, puisque les règles évoquées le 7 décembre par le Conseil Supérieur apparaissaient déjà largement, et à simple titre d’exemple, dans la Charte des journalistes de France Télévisions.



La responsabilité du CSA, dans la Controverse de Nétsarim, est cependant engagée, non en un rôle de prévention et d’avertissement, à caractère redondant, à la limite dérangeante du superfétatoire, mais dans son obligation d’enquêter et éventuellement de prendre des sanctions contre les responsables d’une duperie médiatique majuscule, au cas où son éventuelle investigation administrative recouperait les conclusions journalistiques que nous avons nous-mêmes exposées.



Faute de prendre cette mesure devenue indispensable, en particulier depuis les prises de positions du Wall Street Journal et du gouvernement israélien en faveur de la thèse de la mise en scène, il ne me semble pas que l’establishment tricolore parvienne à éviter l’avalanche, avec danger pour lui, de voir le modus operandi de ses médias maison fustigé devant le regard de l’Europe, de même que l’inaction de ses organes de contrôle.



On est évidemment fort éloigné des conclusions du Rapport Rufin sur l’antisémitisme, qui préconisait, entre autre, un CSA renforcé, appliquant de nouvelles dispositions légales de répression contre les auteurs de fausses ''comparaisons mortelles'' dans les médias, telles '' Israël est un Etat raciste, nazi, pratiquant l'apartheid'', précisant que ces excès pouvaient '' justifier toutes les violences et faciliter le passage à l'acte antisémite."



"Il est des mots aux conséquences morales graves et dangereuses '', déterminait encore, avec à-propos, Jean-Christophe Rufin. Comme ceux utilisés pour affirmer l’existence d’images de l’agonie d’un enfant palestinien, prétendument assassiné, de sang froid, par des militaires israéliens ? Les mots d’Enderlin, pour dire qu’on a choisi de ne pas montrer ces images aux téléspectateurs (et à personne d’autre non plus, Ndlr.), en raison de leur caractère insupportable ? Et découvrir que ces images n’existent pas…



Le rapport Rufin fut présenté durant la première semaine d’octobre au Ministre de l’Intérieur français qui l’avait commandé. Dominique de Villepin affirmait alors vouloir tirer des "conclusions opérationnelles immédiates" du rapport effectué par l’ancien Prix Goncourt. Les cacades du CSA et du Conseil d’Etat français sur la Controverse de Nétsarim, en ces ultimes jours de 2004, nous laissent sur l’impression que nous avons, ici, une compréhension des mots "opérationnel" et "immédiat" diverse de celle du ministre. A moins que nous ne considérions différemment de Monsieur de Villepin, du CSA et du Conseil d’Etat français, l’urgence de combattre l’antisémitisme et de réprimer ses causes, avérées dans leurs rapports officiels.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le lundi 27 décembre 2004 - 00h47:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Le Pape et la Soutane,,,

Ya Si Emile, Ya Si Ahmed, Ya BaBa ! Nous, on avait lu une histoire semblable dans une Littérature Roumia, Ya Kbeul, Zekch !

Cette fois il s’agissait d’une femme splendide, à la chevelure longue et douce comme de la soie, qui tombait sur des hanches de déesse, surplombées de seins lourds, un visage d’ange, des yeux de gazelle, une cristal divin dans la voix, une vraie beauté à faire damner le plus ascète des Papes ...

Cette Dame, s’en était aller visiter le Pape,,,

- Merci Ma Fille de t’être approchée de mon Trône, parle et je t’accorde tout selon tes désirs.

- Ô Très Saint Père, pardonnez donc à une jouvencelle tant d’effronterie, voici la soutane de mon mari, il m’a demandé d’intercéder auprès du Saint Siège, afin de la vous faire bénire.

- Comment cela Ma Fille ? Un prêtre ne peut point être uni par les liens du mariage.

- Mais que si Votre Sainteté, il se découvrit conquis par la prêtrise bien après le mariage.

- Et bien soit Ma Fille, je la bénis de tout coeur et je veux bien me faire curé !

Wnessou El Douda