Par Breitou (Breitou) le dimanche 28 janvier 2007 - 01h06: |
Paris le 27/01/2007.
Passé ce jour au PTB sur Adra.
Nos jouets.
Nos jouets d’avant font figurent de reliques. A présent.
Ils n’ont plus rien à avoir avec ceux des enfants d’aujourd’hui.
Enfant, j’avais des petites toupies faites en bois, des petites voitures miniatures électriques à la vie éphémère.
Je les désossais pour en comprendre le mécanisme.
Je n’ai jamais eu un livre chantant ou racontant des contes.
Maman se chargeait de cette tache, rarement, trop fatiguée le soir par ses corvées de jour.
A 7 ans, je commençais à peine à fréquenter les 7 petits nains ou Cendrillon ou alors les 7 petits cochons. J’ai même oublié leur nombre.
Plus tard, sont arrives nos jeux de rue. Dans la cours de récréation, les filles jouaient à sauter à la corde tandis que nous étions à l’affût à regarder sous les jupes de nos camarades, feignant de viser un trou à billes. Ou mieux feignant de tomber sur le gravier.
Un manège qui n’échappait pas à leur vue.
Il y avait aussi 1..2..3 Pris. Collin Maillart ou le mouchoir noué à l’un des coins de l’étoffe blanche que l’on déposait, sans attirer le regard du pressenti, derrière son dos tout en cavalant autour du groupe.
La rue fut mon passe temps favori.
Ma véritable école de la vie. Si l’école m’instruisait Charlemagne, Clovis, Du Guesclin et compagnie, la rue et ses terrains vagues m’apprenaient le courage, l’affrontement, à surmonter la peur, à recevoir des coups et en donner. Rouler dans les montagnes de vase séchée et puantes du Canal de la Goulette. Bref, l’enfance et l’adolescence sans soucis majeurs.
Elle m’a appris à aimer, à pleurer, à déchanter, à danser, à vivre des moments intenses.
Loin des bancs universitaires.
Hier soir, nous relations ma femme et moi allongés à l’horizontale sur notre lit, nos jeux d’avant en comparaison de ceux de nos petits enfants. Actuellement. Nous pouffions de rire.
Je n’ai jamais joue au NINTENDO par exemple. Ou une quelconque console.
A 45 ans, à Paris, j’ai eu entre les mains , par hasard, un petit cadran où un personnage du nom de MARIO devait éviter des écueils tout en marchant de plus en plus vite. Le rythme devenait fou après cinq minutes d’attention.
Je m’y habituais et j’en prenais goût.
Pris par une frénésie inconnue, je m’investissais à fond la caisse en jouant de dextérité avec mes doigts habiles pendant mes trajets de métro.
Puis, est arrivée une Poule pondeuse. Un autre jeu. Un vertigo.
Il fallait rattraper des œufs qui naissaient lentement au départ puis tombaient drus, plus rapidement à mesure que je les rattrapais. Mais cette POULE du DIABLE n’en faisait qu’à sa tête, cherchant à me piéger mille et une fois à une cadence infernale.
J’en ratais quand même quelques uns et j’étais donc obligé de ramasser les miettes de coquilles et le jaune d’œuf éparpilles par terre. Sinon, j’étais puni. . Par ma femme.
Je ne dépassais souvent le 5 ième degrés dans un jeu qui en comptait dix.
Asséb. Les nerfs.
A présent, je reste coït devant le nombre impressionnant de jeux et de livres que ma petite fille consulte. Tout y est. Piano chantant et lumineux, boites à musique fredonnant des refrains connus par elle, et j’en passe sur les puzzles, les jeux d’adresse etc…
Sharon, ma petite fille, rit de moi lorsque je lui demande de coller ses GOUMETTES sur ces feuilles à cet effet, que j’appelle volontairement GOUMISSSS avec la ferme espoir de recevoir de sa part sa réflexion qui ne tarde pas à arriver.
Elle me regarde avec son un air malicieux et me dit..
‘…Mais non PapyYYY….. ! C’est GOUMETTES et pas GOUMISSSS… ! TU ES BETE… !’. A 3 ans. Quel kif.
Par Albert (Albert) le samedi 27 janvier 2007 - 23h19: |
‘….EMILE ET MOI… !
Depuis que notre Emile International a sorti son livre ‘…Les TRESORS CACHES ‘…Chez
TETRAGRAMATON-PHOTOMATON….j’ai couru l’acheter avant que le stock ne s’épuise.
Tout ce qui brille m’attire un peu comme une pie qui volent les perles.
Et des perles, je n’en ai pas trouvées.
A SUIVRE DANS UN SKETCH….
‘…EMILE ET MOI… !’
Je lis à la 35 ième page, chapitre XXX….Fort intéressant qui m’a tiré les larmes aux yeux.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 27 janvier 2007 - 21h17: |
"J’aimerais apprendre sur l’affaire du président Moshé Katzav, descendant de Perse, qui a été accusé par le procureur tune Menahem Mazuz, descendant de Jerba. Question : « est-ce que nos tunes d’Israël trouvent cette affaire juste ou c’est encore un complot poussé par un certain groupe ?».
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le samedi 27 janvier 2007 - 00h27: |
2005-01-15
Des Genevois parviennent à stopper la prolifération de tumeurs cancéreuses
L’équipe du prof Ariel Ruiz i Altaba apporte la preuve des effets bénéfiques de la cyclopamine sur les souris. Un espoir immense pour un traitement.
En Suisse, chaque année 30 000 personnes sont atteintes d'une maladie cancéreuse. C'est la deuxième cause de mortalité après les maladies cardiovasculaires, et un quart des décès, soit 17 000, sont imputables chaque année aux cancers.
Alors, quand un nouveau pas est franchi dans la lutte contre ce malin, c'est toujours une bouffée d'espoir. D'autant plus lorsque des résultats théoriques se confirment in vivo. C'est ce que vient de réaliser l'équipe du professeur Ariel Ruiz i Altaba de l'Université de Genève. Elle vient de tester avec succès l'efficacité de la cyclopamine pour inhiber le développement de cellules cancéreuses chez les souris. «Il faut maintenant tester la molécule sur l'homme, j'ai bon espoir», assure cette sommité de la biologie du développement. Une porte s'ouvre à l'établissement de traitements.
En août dernier, l'équipe dirigée par le professeur présentait déjà, sur la base d'expériences in vitro, des résultats étonnants sur la possibilité d'endiguer la progression de cellules tumorales prélevées sur un cancer de la prostate.
Selon leurs travaux, deux gènes - Sonic hedgehog (SHH) et GLI1 - sont impliqués dans la progression des cellules tumorales. Or une molécule découverte dans les années 60, la cyclopamine, inhibe la voie de signalisation SHH-CLI1. En d'autres termes, elle perturbe un des mécanismes permettant aux cellules de proliférer et de se reproduire.
Prochaine étape: les tests sur des malades
Jusque-là, les tests n'avaient été effectués que sur des cellules mises en culture. La publication aujourd'hui dans la revue scientifique Mechanisms of Development des résultats des tests menés in vivo, sur des souris, montre que la cyclopamine a tenu ses promesses.
Les chercheurs ont en effet testé les effets de la cyclopamine sur des souris ayant
développé des tumeurs au cerveau. De fait, une injection systématique de la molécule améliore sensiblement la santé de l'animal et prolonge sa vie.
De plus, l'analyse du cerveau de ces spécimens indique une importante réduction de la taille des tumeurs ainsi qu'un nombre largement décroissant des cellules qui expriment ces tumeurs. En résumé, la cyclopamine suffit à enrayer le développement du cancer.
Les Genevois ne sont d'ailleurs pas les seuls à avoir testé la molécule. Et «il est très encourageant de voir que la cyclopamine fonctionne sur plusieurs types de cancer, la prostate et les tumeurs au cerveau, mais aussi la peau, le pancréas, l'estomac, le sein», précise le chercheur pour qui la cyclopamine est aujourd'hui «le meilleur de ce que l'on a» en matière de promesse.
Voir le Site : http://espoirs.forumactif.com/Cancer-c1/Espoirs-dans-la-recherche-f1/La-cyclopamine-p9422.htm
Par Emma (Emma) le vendredi 26 janvier 2007 - 18h46: |
Pierre Mendès France : la morale et la politique
LE MONDE DES LIVRES
Comment devient-on un mythe politique ? Pour de Gaulle la réponse est simple : le 18-Juin, la Ve République, la guerre d'Algérie... Pour Pierre Mendès France, presque son contemporain, la toise n'est pas la même. Il n'a gouverné la France que sept mois et dix-sept jours et il s'est souvent trompé : tiède européen, antigaulliste primaire après 1958, planificateur rigide... Mais il y a tout le reste : le caractère, le courage, la morale en politique. Des vertus qui ont autant servi que desservi Mendès de son vivant et lui assurent une place à part au panthéon de la République.
Il aurait eu 100 ans le 11 janvier et, si le mythe perdure, le souvenir de ce qu'il fut et fit s'est estompé. Pour se remémorer cet itinéraire singulier, il faut lire la biographie d'Eric Roussel, leçon d'histoire sur un siècle qui n'est plus et sujet de réflexion sur l'exercice du pouvoir. L'actualité s'y prête.
Biographe de Jean Monnet, Pompidou et de Gaulle (1), Eric Roussel ne s'était pas encore aventuré du côté de la gauche. Il le fait d'un regard neuf, non dénué d'admiration, avec la bonne focale, à la fois large et proche, qui éclaire l'homme intime et justifie sa place dans l'histoire.
Une mise au point s'imposait. Depuis le Pierre Mendès France de Jean Lacouture, il y a vingt-cinq ans (2), l'historiographie de "PMF" s'est sensiblement enrichie. Eric Roussel a consulté des archives inédites ou négligées et il a interrogé des témoins qui n'avaient pas tout dit. Cette mise à plat trace le portrait d'un homme à la sensibilité à fleur de peau (ses larmes à l'Elysée le jour de l'entrée en fonctions de François Mitterrand) et au caractère inflexible qui allaient de pair avec un adroit pragmatisme.
On saisit mal la psychologie de Mendès si l'on ne sait pas qu'il était juif - ses adversaires ne manquaient pas de le lui rappeler. Et si l'on néglige sa réussite précoce - avocat à 22 ans, député à 25, sous-secrétaire d'Etat à 31. Elle le conforta tôt dans la conviction d'avoir un destin et lui donnait parfois le sentiment d'avoir raison contre tous, malgré la simplicité de ses manières, qui n'était pas feinte.
Né à Paris, rue de Turbigo, dans un quartier où son père possédait une affaire de confection pour dames, Pierre Isaac Isidore Mendès France s'imprègne jeune des valeurs familiales. Peu croyants, guère pratiquants, ses parents, encore sous le coup de l'affaire Dreyfus, lui inculquent le culte des Lumières et de la République. Ce sera sa religion. Pas une seconde il n'envisage de succéder à son père derrière le comptoir familial. Déjà il rêve d'une carrière à la Disraeli. Passionné d'économie, il choisit finalement le barreau, l'antichambre du pouvoir sous la IIIe. Il se fait vite remarquer au Parti radical, auquel il a adhéré parce que l'histoire de celui-ci se confond avec celle de la République. Député de l'Eure en 1932, maire de Louviers en 1935, sous-secrétaire d'Etat au Trésor dans le deuxième cabinet Blum en 1938, le voilà lancé.
Arrêté par le gouvernement de Vichy sous un prétexte fallacieux et infamant - on l'accuse de désertion -, condamné à six ans d'emprisonnement, il fait face avec stoïcisme à la grande épreuve de sa vie (3). Ce n'est pas l'élu républicain que Vichy poursuit mais le juif, il le sait. Ses lettres à Lily Cicurel, épousée en 1933, qu'exhume Eric Roussel, dépeignent un Mendès amoureux, inquiet du sort de ses deux fils, en même temps qu'impatient de laver son honneur.
Il s'évade, passe par le Portugal et rejoint Londres, où de Gaulle le reçoit aussitôt. Séduit sinon conquis, Mendès perçoit immédiatement "la dimension exceptionnelle" du général, écrit Eric Roussel. Son ralliement est une aubaine pour le chef de la France libre soupçonné à gauche de bonapartisme. Mais l'ancien ministre radical ne reste pas à Londres. Le "déserteur" veut se battre. Affecté au groupe d'aviation Lorraine, il participe à treize missions de bombardement. Ce n'est que plus tard, sur l'insistance de De Gaulle, qu'il le rejoindra à Alger comme commissaire aux finances.
LIBERTÉ DE TON
Ministre de Blum, ministre du général à la Libération, Français libre s'il en est... Eric Roussel montre à quel point ces années-là ont façonné Mendès : liberté de ton et de comportement, rigueur économique, refus des compromis. Tandis que la IVe République s'installe dans la facilité, Mendès fait bientôt figure de recours. Son heure sonne le 17 juin 1954, lorsqu'il est élu président du conseil. Les caciques, dont il dérange les habitudes, ont juré sa perte et il n'occupe le poste que brièvement, jusqu'au 5 février 1955. Le temps d'entrer dans la légende : la paix en Indochine, l'autonomie interne accordée à la Tunisie, l'enterrement de la Communauté européenne de défense, la création de l'Union de l'Europe occidentale...
Son passage à Matignon est bref mais le mendésisme - il n'aimait pas ce mot - est né. Mauriac, Jean-Jacques Servan-Schreiber, Françoise Giroud, à L'Express, sont les propagandistes de cette nouvelle mystique. Toute une génération se reconnaît en lui, qui aspire à moderniser la République.
Elle plébiscite Mendès, mais c'est de Gaulle qui survient en 1958. "PMF" se dresse aussitôt contre lui. Il ne lui pardonne ni son arrivée au pouvoir sous la pression des factieux d'Alger, ni les nouvelles institutions - Mendès est un parlementariste viscéral -, ni même la main tendue à l'Allemagne d'Adenauer.
Ses électeurs de l'Eure le congédient, il en est meurtri. Malgré un bref retour à l'Assemblée en 1967-1968, il n'exercera plus qu'un magistère moral, avec à ses côtés Marie-Claire Servan-Schreiber, épousée en 1971. A lire Eric Roussel, on se dit que, sans la haute idée qu'il se faisait de la République, c'est lui, et non Mitterrand, qui serait entré à l'Elysée.
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PIERRE MENDÈS FRANCE d'Eric Roussel. Gallimard, "NRF Biographies", 608 p., 29 €.
(1) Réédité en deux volumes chez Perrin ("Tempus", en librairie le 1er février).
(2) Disponible en poche, Le Seuil, "Points".
(3) Lire à ce sujet Un tribunal au garde-à-vous : Le procès de Pierre Mendès France, de Jean-Denis Bredin (Fayard, 2001).
Signalons aussi la réédition de Choisir : une certaine idée de la gauche, de Pierre Mendès France, conversations avec Jean Bothorel. Préface de Jean Daniel, avant-propos de François Hollande. Fayard, "Témoignages pour l'Histoire", 418 p., 22 €.
Bertrand Le Gendre
Par Moshébé (Moshébé) le vendredi 26 janvier 2007 - 17h05: |
Par Victor (Victor) le vendredi 26 janvier 2007 - 14h23: |
La librairie éphémère
26/01/07 - - : Culture
Cette manifestation, organisée sous l'égide de l'Association Culturelle de la Communauté Juive de Neuilly-sur-Seine, aura lieu le Dimanche 28 janvier 2007 dans les salons de l' HOTEL COURTYARD by MARRIOTT - 58, boulevard Victor Hugo à NEUILLY-sur-SEINE, de 11 h à 18 h.
Tout au long de cette journée seront proposés :
* Une vente de livres (500 titres seront proposés) avec dédicaces des auteurs : cette année (tout comme les années précédentes) plus de 60 auteurs viendront dédicacer leurs ouvrages dont Armand ABECASSIS - David ABIKER - Myriam ANISSIMOV - Pierre ASSOULINE- Jacques ATTALI - Olivia CATTAN - Jean-Claude CARRIERE- Julien COHEN-SOLAL - Michaël DARMON - Jacques KLEIN - François LEOTARD - Nine MOATI - Karine TUIL - Clément WEILL-RAYNAL - Marc WEITZMANN.
* Des animations sélectionnées en relation directe avec l'écriture.
* Un Café musical avec de la musique klezmer et orientale.
* La Bibliothèque idéale : des personnalités de tous horizons (scientifique, économique, artistique, journalistique, politique...) nous auront communiqué la composition de ce que serait leur Bibliothèque idéale.
L'intégralité des bénéfices de cette opération sera versée à la fondation "Nos Enfants" du SCHNEIDER CHILDREN'S MEDICAL CENTER OF ISRAEL, centre de soins médicaux pour enfants gravement malades situé près de Tel-Aviv qui accueille des enfants israéliens et des pays limitrophes.
http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=8241&artyd=3
Par Braham (Braham) le vendredi 26 janvier 2007 - 13h59: |
Par Pauline (Pauline) le vendredi 26 janvier 2007 - 09h02: |
Projet de résolution à l'ONU condamnant la négation de l'holocauste
Agence France-Presse
New York
Les États-Unis ont fait circuler à l'Assemblée générale des Nations unies un projet de résolution condamnant toute négation de la réalité de l'holocauste, a-t-on appris mardi auprès de diplomates.
Ce projet, dont le texte a été rendu public, appelle les 192 États membres de l'Organisation mondiale à «rejeter sans réserve toute négation totale ou partielle de l'holocauste en tant qu'événement historique et toute activité ayant cet objectif».
Le texte souligne notamment le danger «des efforts visant à nier l'holocauste qui, en ignorant le fait historique de ces événements terribles, accroissent le risque qu'ils se répètent».
Par Toufiq (Toufiq) le vendredi 26 janvier 2007 - 03h01: |
pour se payer l'autocoptere il va falloir toucher la super cagnote , d'ou le nom "lottocoptere".