Par Cacouboulou (Cacouboulou) le lundi 29 janvier 2007 - 11h16: |
Monsieur Sleim Barbari,
On ne tombe pas par hasard dans le bol d'Harissa, comme on tombe dans la bassine de potion magique,,,
Si vraiment tu veux te tenir informé, de la vie des Tunes, relis les écrits de notre copain Breïtou, à l'époque où il était sérieux, et pas encore sous l'emprise des SouKou SouKou africains, Marabout qu'il est devenu,,, ou alors le mieux que tu peux faire, tu lui achètes son livre célèbre ( L'enfant de la Goulette ), qui t'en apprendra mieux que mille ans d'histoire.
En tous cas bienvenue au club pour nous dessaouler des copiés collés,
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le lundi 29 janvier 2007 - 10h51: |
Mr. Richard S.
Pourriez vous expliquer et développer votre terme, "LA GUEULE DU LOUP DE LA FRANCE ?"
Merci d'avance
Par Albert (Albert) le lundi 29 janvier 2007 - 08h17: |
'...Le juif ne devient bien qu'après avoir laisse sa place dans son pays d'origine...!'
Par A_Soued (A_Soued) le lundi 29 janvier 2007 - 06h15: |
LE CHANGEMENT DE MODELE DES RELATIONS ISRAELO-PALESTINIENNES A L’OMBRE DE L’IRAN ET DE LA GUERRE CONTRE LE HIZBOLLAH
Par Moshe Ya’alon, dir Centre Shalem, Lt. Gen. (res.),Ancien Chef d’Etat-Major de Tsahal
7ème Conférence Politique et Stratégie d’Hertzlyah - 22 Janvier 2007- session du matin
Traduit par Stéphane Teicher pour www.nuitdorient.com
Certains pensent que la solution du conflit Arabo-Israélien amènera la stabilité au Moyen Orient. Beaucoup pensent que le problème est "l’occupation" - le maintien des territoires conquis en 1967-, et que quitter ces territoires amènera la fin du conflit. Ces deux postulats erronés empêchent l’émergence d’un nouveau modèle pour la résolution du conflit. En dépit des tentatives incessantes pour régler ce conflit durant les 15 dernières années, rien n’a été résolu. Nous sommes tellement occupés à nous disputer à propos de la solution que nous avons perdu de vue le problème.
Les accords d’Oslo, et la décision d’Arafat de lancer son Intifada en 2000 après avoir été responsable de l’échec du sommet de Camp David, ont montré qu’Arafat ne voulait pas d’une solution à deux états et de la paix avec Israël. Il voulait éviter de reconnaître Israël comme un état Juif et indépendant. Les hésitations d’Arafat sont en harmonie avec les hésitations des Palestiniens des générations passées.
Les Palestiniens ont toujours rejeté la solution de deux états : ils ont rejeté la Commission Peel en 1937 et le plan de partition des Nations Unies de 1947. Le rejet le plus significatif est celui qui est intervenu à Camp David en 2000, quand Ehoud Barak a carrément offert de se retirer sur les lignes de 1967. En fait, après chaque rejet Palestinien d’une solution politique, une violente agression contre les Juifs est intervenue. Le leadership Palestinien admettait que les accords d’Oslo étaient un cheval de Troie. Fayçal Husseini disait que "en 2000, nous sommes sortis du cheval". Aujourd’hui, le Hamas ne cache pas ses vraies intentions: il n’y a pas de place pour un état Juif indépendant entre le Jourdain et la Méditerranée.
La plupart des Israéliens et leurs leaders, voulaient faire un compromis territorial et acceptaient la solution de deux états. Une majorité d’Israéliens soutenaient le plan de désengagement, alors qu’il devenait évident qu’il n’y avait pas de partenaire. Le fait que l’été dernier nous ayons été attaqués sur deux fronts a renforcé le sentiment que nous étions dans une impasse; mais surtout, il a prouvé que la racine du conflit n’est pas l’occupation. L’objectif du Hezbollah n’est pas la libération du Liban mais la destruction de l’Etat d’Israël, comme élément d’une stratégie Islamique du Jihad. Les organisations Palestiniennes aspirent à la destruction de l’Etat d’Israël, et non à une coexistence avec lui.
Après la révolution de 1979, le conflit s’est mué en un choc de civilisations. C’est la Troisième Guerre Mondiale. La Révolution Iranienne de 1979 ne s’est pas produite à cause du conflit Israélo-Arabe, et de même, Al-Qaeda et les Frères Musulmans ne sont pas des sous-produits de ce conflit. Il y a là une guerre culturelle, et le conflit Israélo-Arabe en est la conséquence, et non la cause.
Je ne vois pas de solution pacifique à court terme. Les retraits unilatéraux Israéliens ne feront que renforcer le Jihad Islamique. Comme il n’y a pas de leadership effectif Palestinien, capable et désireux de mettre en œuvre la solution de deux états, et comme les jeunes générations de Palestiniens sont élevées dans une culture de haine et de mort, la solution de deux Etats n’est pas d’actualité maintenant et dans un proche futur, et nous devons rechercher un modèle nouveau.
Ce n’est pas tout, car même s'il y avait une solution au conflit Israélo-Arabe, cela ne résoudrait pas le choc des civilisations avec l’Occident. Nous ne pouvons pas éviter la confrontation avec le Jihad Islamique, et d’abord et avant tout, avec le régime Iranien. Ce même Iran qui soutient, finance et arme le terrorisme en Irak et dans l’Autorité Palestinienne, et qui est sur le point d’acquérir l’arme nucléaire. Le régime Iranien ignore tout simplement les injonctions de la communauté internationale, et considère l’Occident comme faible et ne représentant pas de menace.
Et ainsi, nous devons tout simplement arrêter de nous demander quelle est la solution, et arrêter de rechercher une solution immédiate. Il n’y a pas de solutions immédiates.
Nous devons penser en termes de concepts stratégiques à long terme. Il n’y a pas de victoire immédiate, et nous devons vaincre. La route sera longue. Nous avons eu assez de veaux d’or des gouvernements Israéliens successifs, assez d’espoirs qui se sont révélés vains. Ce dont nous avons besoin maintenant, c’est d’un leadership qui n’ait pas peur de dire la vérité, un leadership qui agisse en fonction de la clarté morale et non de la confusion morale, un leadership qui préfère la vérité aux revirements. Nous avons besoin d’une stratégie avec une vision, les moyens de la réaliser, et non des illusions. Au moment où la force de notre société est en jeu, nous devons travailler à l’éducation des générations futures, fondée sur les valeurs Juives, Sionistes et démocratiques. C’est ainsi que nous renforcerons notre cohésion nationale et sociale, et sa contribution à notre force sera plus grande que tout autre avion ou tank.
Face au terrorisme Palestinien, nous devons nous battre sans concessions, ou capituler. Nous devons mener le combat à Gaza de la même façon que nous le menons avec succès en Judée et en Samarie. Nous devons combattre les missiles Kassam en reprenant le contrôle des sites de lancement et en causant des pertes élevées aux Palestiniens. A long terme, nous devons réfléchir en sortant du schéma de la "solution à deux Etats", et nous devons tout simplement laisser tomber cette façon de penser.
Nous devons détruire cette idée conventionnelle qui fait de la solution du conflit Israélo-Arabe la source de la stabilité au Moyen Orient, et renforcer la volonté de l’Occident d’en découdre avec l’Irak et l’Iran. Les concessions Israéliennes ne feront que renforcer le Jihad, et donc, la "sanctification" des lignes de 1967doît aussi être abandonnée, particulièrement à la lumière de notre amère expérience du résultat des concessions Israéliennes vis-à-vis des Palestiniens, et aussi des lancements de missiles. Il nous faut des frontières défendables. Pour que tout cela se produise, il nous faut renforcer et améliorer notre diplomatie officielle en Occident. L’opinion publique Occidentale subit un lavage de cerveau avec une propagande qui nie la légitimité même de l’Etat d’Israël.
Nous ne pourrons éviter la confrontation avec le régime Iranien. Il n’y aura pas de stabilité en Irak, au Liban et dans l’Autorité Palestinienne tant que nous n’aurons pas défait le régime Iranien. Les leaders Iraniens se sentent en sécurité parce qu’on les laisse agir librement en dépit de leur faiblesse actuelle. Le gouvernement des Ayatollahs n’est pas naturel et il ne bénéficie pas d’un large soutien populaire. Il ne durera pas éternellement. Mais sans pressions extérieures, aucun changement n’interviendra. Les Iraniens et les Syriens, qui financent le terrorisme et défient l’ordre international, doivent être punis par la communauté internationale. Le fait qu’ils aient pu mener la dernière guerre du Liban montre le manque de détermination de l’Occident.
Avec le conflit en cours entre Sunnites et Chiites dans notre région, Israël et l’Occident peuvent trouver des intérêts communs avec les Musulmans modérés contre les radicaux. Cela pourrait ouvrir de nouvelles opportunités politiques. Ceci nécessite une action internationale coordonnée avec les pays qui sont aussi conscients de la menace Iranienne.
Le conflit existe aussi à l’intérieur des sociétés Musulmanes et Arabes dans notre région. Tout le monde n’est pas Jihadiste, et il y a aussi ceux qui préfèrent la démocratie et les droits de l’homme, ceux qui préfèrent la vie à la mort. La culture de la mort se mue en autodestruction. L’Occident doit renforcer ces Musulmans modérés, pour qu’ils puissent gagner en force politique, et entreprendre les réformes nécessaires de l’éducation.
Une armée forte est un important élément de la sécurité d’Israël. Les échecs récents ne sont pas le résultat de problèmes de fond, mais d’un leadership incompétent, et donc Tsahal sera de nouveau là quand nous aurons un nouveau leadership.
En résumé, le leadership et l’éducation sont les clés de la force d’Israël et de la victoire de l’Occident dans la Troisième Guerre Mondiale
THE CHANGING PARADIGM OF ISRAELI-PALESTINIAN RELATIONS IN THE SHADOW OF IRAN AND THE WAR AGAINST THE HIZBALLAH
Lt. Gen. (res.), Moshe Ya’alon, Shalem Center-- Former Chief of General Staff, IDF
The 7th Hertzlyah Conference for Policy and Strategy
January 22nd, 2007- morning session
There are some who believe that the resolution of the Arab-Israeli conflict will bring stability to the Middle East. Many believe that the problem is “the occupation” –the holding of the territories conquered in 1967— and that leaving these territories will bring an end to the conflict. These two mistaken assumptions prevent the emergence of a new paradigm for the resolution of the conflict. In spite of the endless attempts to solve the conflict in the past 15 years, nothing has been solved. We are so busy arguing about the solution that we have lost sight of the problem.
The Oslo Agreements, and Arafat’s decision to launch his Intifada in 2000 after being responsible for the failure of the Camp David Summit, proved that Arafat did not want a two-state solution and peace with Israel. He wanted to avoid recognizing Israel as a Jewish and independent state. Arafat’s wavering is in line with the wavering of the Palestinians in the past generations. The Palestinians have always rejected the two-state solution: they rejected the 1937 Peel Commission and the UN partition plan of 1947. The most significant rejection was the one that occurred in Camp David in 2000, when Ehud Barak basically offered to withdraw to the 1967 lines. Indeed, after every Palestinian rejection of a political solution, a violent aggression against the Jews ensued.
The Palestinian leadership admitted that the Oslo Agreements were a Trojan horse. Faisal Husseini said that “in 2000 we came out of the horse.” Today, Hamas does not hide its true intentions: there is no room for an independent Jewish state between the Jordan River and the Mediterranean. Most Israelis and their leaders were willing to make a territorial compromise and accepted the two-state solution. A majority of Israelis supported the Disengagement Plan, as it became obvious that there was no partner. The fact that last summer we were attacked on two fronts reinforced the feeling that we are in a dead-end, but mostly it proved that that the root cause of the conflict is not occupation. Hizballah’s goal is not the liberation of Lebanon but the destruction of the State of Israel, as part of a Jihadi Islamic strategy. The Palestinian organizations aspire to destroy the State of Israel and not to co-exist with it.
The conflict after the 1979 revolution turned into a clash of civilizations. This is the Third World War.
The Iranian Revolution of 1979 did not happen because of the Arab-Israeli conflict, and indeed al-Qaida and the Muslim Brotherhood are not the by-product of that conflict. There is a cultural war here, and the Arab-Israeli conflict is its consequence, not its cause.
I do not see a peace solution in the short term. Israeli unilateral withdrawals will only reinforce Islamic Jihad. Since there is no effective Palestinian leadership capable and willing to implement the two-state solution, and since the younger generations of Palestinians are raised in a culture of hatred and death, the two-state solution is irrelevant now and in the foreseeable future, and therefore we need to look for a new paradigm.
Not only that, but even if there was a solution to the Arab-Israeli conflict, that wouldn’t solve the clash of civilizations with the West. We cannot run away from the confrontation with JIhadi Islam, first and foremost with the Iranian regime. The same Iran that supports, funds and arms terrorism in Iraq and in the Palestinian Authority, and that is about to acquire nuclear weapons. The Iranian regime simply ignores the injunctions of the international community and considers the West to be week and not threatening.
And so we simply have to stop asking ourselves what the solution is and stop looking for an immediate solution. There are no immediate solutions. We have to think in terms of long term strategic concepts. There is no immediate victory and we have to win. The road will be long. We’ve had enough golden calves from successive Israeli governments, enough hopes that turned out to be vain. What we need at this point is a leadership that does not fear to say the truth, a leadership that acts according to moral clarity and not moral confusion, a leadership that prefers truth to spins. We need a strategy with a vision, a way to implement it, and not illusions. While our society’s strength is at stake, what we need is work on the education of future generations, based on Jewish, Zionistic and democratic values. This is what will reinforce our national and social cohesion, and its contribution to our strength will be greater that yet another jet or tank.
Faced with Palestinian terrorism, we need to fight without concessions or surrender. We need to conduct the fight in Gaza the same way that we’re successfully conducting it in Judea and Samaria, we need to fight Kassam missiles by re-controlling the launching sites and by causing heavy losses to the Palestinians. In the long term, we have to think out of the box of the “two-state solution”, and simply let go of this way of thinking.
We have the undo the conventional wisdom of the solution to the Arab-Israeli conflict as the source of stability in the Middle East, and reinforce the willingness of the West to deal with Iraq and Iran. Israeli concessions will only reinforce Jihad, and therefore the “sanctification” of the 1967 lines also has to go, especially in light of our bitter experience with the outcomes of Israeli concessions vis-à-vis the Palestinians, including the launching of missiles. We need defensible borders. For this to happen we need to reinforce and improve our public diplomacy in the West. Western public opinion is brainwashed with a propaganda that denies the very legitimacy of the State of Israel.
We can’t get away with confronting the Iranian regime. There will not be stability in Iraq, in Lebanon and in the Palestinian Authority as long as we do not defeat the Iranian regime. The Iranian leaders feel safe because they’re being left off the hook in spite of their actual weakness. The government of the Ayatollas is not a natural one, nor does it enjoy wide popular support. It will not last forever. But without external pressure, change will not happen. The Iranians and the Syrians, who fund terror and challenge the international order, must be punished by the international community. The fact that they got away with the last Lebanon war show a lack of determination in the West.
In light of the ongoing conflict between the Sunnis and Shias in our region, Israel and the West can find common interests with moderate Muslims against radicals. This might open new political opportunities. This requires a coordinated international action with countries that are also aware of the Iranian threat.
The conflict is also within Muslim and Arab societies in our region. Not everyone is a JIhadist, and there are those who prefer democracy and human rights, who prefer life to death. The culture of death is turning into self-destruction. The West has to strengthen those moderate Muslims, in order for them to gain in political strength, and to undertake the required reforms in education.
A strong IDF is an important element in the security of Israel. Recent failures are not the result of fundamental problems but of incompetent leadership, and therefore the IDF will be back once we have a new leadership.
In sum, leadership and education are the key to Israel’s strength and to the West’s victory in the Third World War.
Par Toufiq (Toufiq) le lundi 29 janvier 2007 - 05h27: |
je n'interviens que rarement sur adra ,sauf pour rigoler. il est important de tendre une main virtuelle a mr sleim et de l'encourager a continuer de nous rendre visite.on ne refait pas le passe mais notre avenir est devant nous , mais nous l'aurons dans le dos chaque fois que nous ferons demi tour, comme le disais le regrette pierre dac.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 29 janvier 2007 - 03h17: |
Henri on tunisien on dit: Kelma Sbah Ou Kelma Laachya, Trode Meselma Ihoudia.
Une parole le matin et une parole le soir rend la musulmane bonne juive.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 29 janvier 2007 - 03h02: |
Cher Monsieur Sleim Barbari
Tout d’abord bienvenue sur le site judéo-tunisien. Marhaba, Marhabten.
Déjà en lisant les premières phrases, je me rends compte que vous deviez être un Tunisien d’une nouvelle génération et pas de la nôtre. Dans certains points vous citez des faits justes et dans d’autres vous citez des faits sans base et ils me semblent même ne pas être conformes à la réalité, pour ne pas dire déformés. Chaque être humain peut se tromper. N’oubliez surtout pas que nous sommes le peuple du livre, comme le mentionne Mohamed Alih Esalam et que nous étions en Tunisie des milliers d’années et que nous gardons bien notre histoire écrite depuis toujours.
Heureusement, comme vous le dites, que vous « êtes tombé par hasard » sur notre site. A cela puis-je vous dire, heureusement pour vous, car à partir de maintenant vous allez pouvoir apprécier la culture judéo-tunisienne, que vous n’avez peut-être pas eu l’occasion de connaître. Je ne voudrais pas réécrire l’histoire, l’Internet est ouvert à tout le monde.
Il faut admettre qu’avant l’arrivée des Français, la Tunisie n’avait ni de bonnes routes ni de l’eau courante. Donc il n’est pas difficile de s’imaginer que si les routes n’existaient pas, les soldats du bey avaient du mal à contrôler les mouvements des marchandises et des personnes. Les soldats des camps volants du bey ne servaient que pour percevoir les impôts. A part cela, puis-je vous dire que même les arabes étaient contents d’avoir les français pour mettre de l’ordre et réduire les crimes et les vols. De toute façon la Tunisie n’existait pas comme pays indépendant mais elle était une province de l'Empire ottoman. Cher Monsieur, n’écoutez pas ceux qui veulent vous apprendre une histoire façonnée à leur besoin. Pour cela vous êtes assez grand pour faire vous-même des recherches et vous allez trouver que jusqu’à présent on vous a trompé. En Tunisien on dit pour la marmite « Ma Taamel Taq Lama Faha Chaq » Donc il y a du vrai, pourquoi les juifs qui considèrent la Tunisie comme leur patrie se lèvent du coup et quittent le pays. Avez-vous vu quelqu’un qui est heureux dans sa place, la quitter sans raison ?
Vous parlez de l’époque où l’empire arabe existait, et nous sommes bien reconnaissants de l’accueil des juifs dans les pays arabes et peut-être puis-je vous rappeler que les juifs en ce temps-là étaient les alliés des arabes. Allez-y à Testour, les Andalous qui existent encore vous raconteront les exploits que nous avons faits ensemble. Puis-je vous rappeler que la Tunisie n’avait jamais été arabe, mais elle a été conquise par les arabes, oui. Et le peuple que je respecte et que j’aime bien est un peuple bédouin converti à l’islam avec la conquête des arabes. Ce peuple se reconnaît aujourd’hui, oui ou non à juste raison, comme arabe. Si je ne me trompe pas, il y a peut-être 5% de la population tunisiene qui sont des descendants d’arabes en le reste ce sont des bédouins convertis « BESEIF » et des étrangers.
Pour vous aider à connaître les juifs, puis-je vous dire que mon arrière grand-père était arrêté par la colonne Logerot de l’armée française qui venait de l’Algérie par le Kef le 24 avril 1881. Soyez rassuré que le peuple juif n’aspire qu’a la paix et n’a jamais de haine contre n’import quel peuple. Ne vous laissez pas emporter par la propagande des l’extrémistes arabes qui veulent chasser les juifs même de leur pays historique Israël.
Bien a vous.
Par Davideden (Davideden) le lundi 29 janvier 2007 - 00h22: |
Mr Sleim Barbari,
Qu'essayez vous de nous dire? Que vous d'aveiez des amis Juifs. Atok Saha, bien joue et merci d'avoir eut des amis Juifs. En Anglais, on dit "some of best friends are....". Donc certains de vos meilleirs amis etaient Juifs, on en est tous emu.
Les Juifs se sont enfuit de partout pour venir en Tunisie vous dites. La Tunisie si c'est du pays que vous parlez est ne en 1956 donc n'existait pas en 1492, ou 1870. Combien de Juifs se sont enfuit en Tunisie apres 1956? A oui je sais il y avait meme un minitre Juif.
Cette semaine, Israel aura son premier ministre Arabe, etes vous fiert de nous les Juifs?
Par Richard_S (Richard_S) le dimanche 28 janvier 2007 - 21h43: |
A mr Sleim Barbari
Cher monsieur le guide/historien,
J'ai lu votre message et j'ai une question pour vous qui pretendez connaitre mieux l'histoire des Juifs de Tunisie que quiconque :
- COMMENT SE FAIT-IL ALORS D'APRES VOTRE RAISONNEMENT, QUE LES JUIFS DE TUNISIE AIENT TOUS QUITTE LA TUNISIE ALORS QU'ILS Y ETAIENT SI BIEN ET SI PROTEGES DEPUIS DE NOMBREUSES GENERATIONS POUR ALLER SE JETER DANS LA GUEULE DU LOUP DE LA FRANCE ?
Richard
Par Mounia (Mounia) le dimanche 28 janvier 2007 - 19h15: |
Voix réformistes dans le monde arabe et musulman : EXTRAITS VIDEO SOUS-TITRES EN FRANCAIS
Comme vous savez, MEMRI TV présente sur son site www.memritv.org des extraits vidéo d'émissions de chaînes arabes sous-titrés en anglais sur une diversité de sujets, dont: l'antisémitisme, les théories de complot, djihad et terrorisme, les opérations martyre, le statut des femmes, l'éducation, les minorités, le programme nucléaire iranien et la Réforme au Moyen-Orient.
Le projet de documentation sur la Réforme au Moyen-Orient a pour but de faire connaître le discours les réformistes arabes au public européen. La pensée et les idées de ces réformistes n'ont cessé de prendre de l'ampleur et de gagner en impact ces dernières années. C'est pourquoi le MEMRI a entrepris de traduire des extraits télévisés de ces réformistes arabes en français également.
La compilation d'extraits vidéo sous-titrés en français, d'une durée de 01:10:22, peut être visionnée sur http://www.memritv.org/Search.asp?ACT=S9&P1=9998
Pour accéder au menu et sélectionner le réformiste de votre choix, cliquer (en bas droite) sur l'icône "bookmarks", puis en vous aidant des flèches montante et descendante, choisissez l'un des quatorze réformistes de votre choix.
Pour avoir un aperçu plus complet du mouvement réformiste dans le monde arabe, consulter la rubrique Réforme sur MEMRI TV (sous-titres en anglais): http://www.memritv.org/Search.asp?ACT=S5&P1=11.