Par Bekhor (Bekhor) le mercredi 31 janvier 2007 - 16h16: |
Excusez moi chers harissiens, mais je persiste et signe, les chinois ne mangent pas de mouches.
Mais c'est possible qu'il y a une erreur dans le texte et l'auteur a peut être par erreur, marqué "mouche" au lieu de « cafard. »
Pour preuve je reviens de PEKIN ou j'ai passé les dix premiers jours de Janvier 2007, et j'ai pu photographier les brochettes en tous genres proposés dans les grandes artères de PEKIN, mais aussi des autres grandes villes.
Vous constaterez qu'il est proposé des brochettes de: GROS SCORPIONS NOIRS
DES SCORPIONS JAUNES (ceux la, leurs piqures sont mortelles)
DES CAFARDS DE VILLES
DES CAFARDS DE CAMPAGNE
DES CAFARD VOLANTS
DES SCARABES
DES GROS VERS DE TERRES, (d'elevages et bien gras, il parait que ça croque et que ça gicle dans la bouche)
DES VERMINES,
DES SAUTERELLES,
Etc.etc.
Les brochettes ne sont pas très chères leurs prix varient entre 15 et 25 Yuans environ de 2 a 4.5 US$
Si il y a des amateurs, je propose un voyage en chine dans le cadre d'harissa.com, pour vous déguster ces délices de Chine.
Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 31 janvier 2007 - 16h12: |
esperons que bazooka ne prendra pas mouche de cette correction , qui pourrait lui donner le cafard..
Par Lapid (Lapid) le mercredi 31 janvier 2007 - 16h03: |
Le professeur Aumann dénonce le ‘post-sionisme’
Alexandre Yudkewicz
dimanche 28 janvier 2007 - 23:58
Le professeur Aumann, prix Nobel d’économie, a surpris ses auditeurs, à l’occasion de la Conférence d’Herzlyia, en n’hésitant pas à dénoncer l’idéologie du ‘post-sionisme’ comme étant plus dangereuse encore pour l’existence de l’Etat d’Israël que les menaces du nucléaire iranien. Explications.
Après avoir souligné la menace constituée par une attaque nucléaire venue de Téhéran, et plus encore, les dangers d’une prolifération d’armes nucléaires aux mains de groupes terroristes arabes, le professeur Auman, du Centre d’Etude de la Rationalité de l’université Hébraique, s’en est pris au ‘post-sionisme’. Selon le prix Nobel d’économie, en effet, l’idéologie post-sioniste pose au peuple juif une menace existentielle encore plus grande.
«Le plus grand de tous les dangers qui nous menacent,» a déclaré le professeur, «ne vient pas de l’Iran ni des groupes terroristes, il ne vient pas de l’extérieur : il vient de chez nous. Notre ennemi, c’est nous-même.»
En guise de préambule à son explication, le professeur a rappelé combien la ‘Théorie des Jeux’, qui lui a valu son prix Nobel et à laquelle il a consacré sa vie, est un domaine de recherche très sérieux. « Le cœur du problème dans la théorie des jeux, c’est la motivation», a-t-il déclaré.
«Nous motiver nous-même est la chose la plus importante qui soit, et la chose dont nous manquons le plus. Or sans motivation, nous ne tiendrons pas. Que faisons nous ici ? Pourquoi sommes nous là ? A quoi aspirons nous ici ? Nous sommes ici parce que nous sommes Juifs, nous sommes sionistes, parce que nous avons un lien très ancien avec ce pays ; nous aspirons à réaliser notre rêve vieux de 2000 ans, celui de revenir vivre libres, ici, à Sion, à Jérusalem. Sans intérioriser cela, nous ne durerons pas. Si nous n’intériorisons pas cela, nous ne pourrons pas rester ici, le ‘post-sionisme’ sera notre fin…»
Le lauréat du Nobel d’économie, qui fut un fervent opposant au démantèlement du Goush Katif, a alors parlé du Premier ministre : «il y a 6 mois, à Pétra, en Jordanie,» a rappelé Aumann, «le Premier ministre a déclaré que nous étions fatigué. Il avait raison. Il a été élu par le peuple, et il a exprimé les sentiments du peuple. Nous sommes comme un alpiniste qui se trouve dans une tempête de neige, à la nuit tombée… Il a froid, il est fatigué, il voudrait s’endormir. Mais si il s’endort, il gèlera et mourra… Nous sommes en grand danger, parce que nous sommes fatigués. »
Le professeur Aumann a alors mis en garde son auditoire : «je vais me permettre de dire des choses peu populaires, des propos qui ne sont pas à la mode….»
«Notre quête éperdue de la paix joue contre nous. Elle nous éloigne de la paix et met en danger notre existence. Churchill disait : ‘si vous voulez la paix, préparez la guerre’. La préparation inclus certes la préparation matérielle, une bonne armée, un armement à la pointe, mais, avant tout, il s’agit de se préparer spirituellement, il s’agit d’être prêt à faire la guerre.»
«La Feuille de Route, les retraits unilatéraux, les gestes de bonne volonté, les renoncements, etc., tout cela n’apporte pas la paix. Au contraire, cela nous amène la guerre, comme nous l’avons vu l’été dernier. Car ces attitudes conciliantes émettent le signal clair que nous sommes fatigués, que nous n’avons plus de force morale, que nous n’avons pas le temps pour nous, que nous réclamons une pause.
«Tout cela ne fait qu’accroître l’appétit des arabes. Cela ne fait que les encourager à faire un peu plus pression sur nous, à demander plus, et à ne céder sur rien.
«Ces propos se fondent sur de simples considérations théoriques, mais aussi sur un raisonnement logique. Mais il ne s’agit pas seulement de théorie : cela a été prouvé, encore et encore, depuis des milliers d’années. Les renoncements entraînent des guerres, la détermination et la préparation à la guerre apportent la paix.
«Mesdames et messieurs», a conclu le professeur Aumann, «nous devons dire à nos ‘cousins’ (les arabes, comme on les appelle parfois familièrement en hébreu), que nous sommes ici pour y rester. Nous ne bougerons pas. Nous avons le temps, nous avons la patience : comprenez cela et intériorisez le.
«Non seulement devrions nous dire cela à nos ‘cousins’, mais nous devrions le ressentir en nous même. Cela, et seulement cela, pourra générer la paix. Nous pourrions vraiment vivre en paix avec nos voisins, mais à la seule condition qu’ils comprennent et intériorisent que l’Etat d’Israël est là pour durer, à jamais.»
Par Tun (Tun) le mercredi 31 janvier 2007 - 13h37: |
Mala blague ya Bazooka tres drole; (mnin jebtou ha dhmar). Enfin vous auriez du rajouter le tunisien qui est encore plus intelligent et qui aurait fait un scandale pour avoir un autre cafe tout en gardant le premier.
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 31 janvier 2007 - 14h11: |
Pour etre precis et exact sur la condamnation a l'encontre de Haim Ramon:
Il s'agit d'"Offense forcee" et non de "Harcelement" (comme indique juste avant), l'offense etant punie plus severement que le harcelement.
Pour ceux qui parlent hebreu, ils a ete condamne pour "Maasse Megoune beKoach" (et non pour "Hatrada Minit").
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 31 janvier 2007 - 13h08: |
Pour ceux/celles qui suivent les tenants et aboutissants des hommes politiques israeliens accuses d'harcelement sexuel (voire meme plus):
L'ex ministre Haim Ramon vient d'etre condamne a l'unanimite par un college de 3 juges pour harcelement sexuel, dans le cadre de ses fonctions de ministre, suite a un proces de plusieurs mois.
La suite au prochain episode ...
D'ici la, une petite blague recue aujourd'hui pour egayer votre journee:
Une mouche tombe dans une tasse de cafe:
- l'anglais - jette le cafe et s'en va
- l'americain - enleve la mouche et boit le cafe
- le chinois - mange la mouche et jette le cafe
- le japonais boit le cafe avec la mouche, un supplement gratuit
- l'israelien - vend le cafe a l'americain, la mouche au chinois et avec l'argent achete une nouvelle tasse de cafe
- le palestinien - accuse Israel d'agression pour avoir mis la mouche dans son cafe, appelle a l'aide l'ONU, demande un pret a la Communaute Europeenne pour acheter une nouvelle tasse de cafe, utilise l'argent pour acheter des explosifs, puis fait sauter la cafeteria ou l'anglais, l'americain, le chinois et le japonais s'evertuaient a expliquer a l'israelien qu'il a avait ete trop agressif...
Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 31 janvier 2007 - 00h23: |
je viens de recevoir le livre de Baba Emile, commande chez "harmatan".je ne suis qu'a la page 26
mais grace a l'harmatan on verse une petite larme a temps.
de temps en temps.
Par A_Soued (A_Soued) le mardi 30 janvier 2007 - 19h25: |
COURIR APRES DES CHIMERES
Par Evelyn Gordon, journaliste et chroniqueur dans le Jerusalem Post
Paru au Jerusalem Post, janvier 2007
Traduit par Albert Soued, www.chez.com/soued/conf.htm pour www.nuitdorient.com
Tous les dirigeants du monde sont en train de se démener pour raviver les négociations Israélo-Palestiniennes. La Chancelière allemande Angela Merkel qui assume la présidence de l'Union Européenne (EU) et du G8 s'emploie à en faire une priorité et elle a persuadé le Président G Bush de ressusciter le Quartet comme premier pas. La secrétaire d'Etat Condoleeza Rice qui vient de terminer une tournée au Moyen Orient a promis de consacrer la majeure partie du temps qui lui reste, soit deux ans, à cette cause. Le président Français J Chirac pousse vers une conférence internationale. Et j'en passe….
Cependant, ce qui reste obscur c'est ce que ces dirigeants espèrent obtenir, étant donné la réalité peu encourageante du terrain du côté Palestinien.
- L'Autorité Palestinienne (AP) est contrôlée par le Hamas qui ne rate pas une occasion publique pour demander l'éradication d'Israël. Les dirigeants occidentaux pensent contourner ce problème en s'adressant au président de l'AP, Mahmoud Abbas, dont la faction, le Fatah, a perdu les élections l'an dernier. C'est comme si en Israël, on s'adressait à l'opposant Yossi Beilin pour négocier au nom d'Israël, ou si en Grande Bretagne, on demandait à David Cameron, chef de l'opposition conservatrice de signer un traité. On peut parvenir à un accord (ou non), il serait sans aucune valeur, car inapplicable.
- même les exigences minimales du Fatah dit "modéré" sont inacceptables pour tout gouvernement israélien. Ainsi par exemple, la semaine dernière, dans un discours important commémorant la fondation du Fatah, Abbas a déclaré que le "droit du retour" des réfugiés palestiniens en Israël était un droit non négociable. Il a rejeté toute tentative de les installer dans d'autres pays. Un politicien important du Fatah, Marwan Barghouti, l'a confirmé aussitôt (NdT de sa geôle israélienne) disant que le minimum que les Palestiniens peuvent accepter est un Etat
dans les frontières d'avant 1967, avec comme capitale Jérusalem, la libération de tous les prisonniers et le retour des réfugiés en Israël.
"Le droit de retour" est un euphémisme pour dire que l'état juif sera éliminé sur le plan démographique, ce que rejette l'Israélien le plus "colombe". Comme tous les dirigeants Palestiniens annoncent à leur public depuis 13 ans que tout accord final inclurait cette clause, aucun d'eux ne peut signer un accord sans cette clause, à moins d'accepter d'être crucifié.
- les luttes intestines violentes entre le Hamas au pouvoir et le Fatah, représenté par le président Abbas, ont miné toute leur crédibilité auprès du peuple. Cette crédibilité était déjà branlante, chaque faction au pouvoir préférant accaparer les "restes" plutôt que de s'occuper du bien être général. Ainsi sous les 2 régimes le système de santé a reçu seulement 7% du budget de l'AP, alors que les services de sécurité abondamment fournis de loyalistes de chaque faction accapparait près du quart du budget.
De même, alors que le premier ministre israélien Ehoud Olmert acceptait de débloquer 100 millions $ à Abbas pour soulager lé détresse du peuple, les assistants d'Abbas déclarait au New York Times que l'argent serait surtout utilisé "pour renforcer le mouvement Fatah et payer les milices loyales". Ce type de comportement a amené les Palestiniens l'an dernier à chasser le Fatah et il est en train d'entamer la popularité du Hamas.
De toute manière ce manque de crédibilité fait que tout traité acceptable par Israël, signé par un dirigeant palestinien, serait refusé par sa population.
- tout accord final est supposé apporter à Israël un seul bénéfice, la paix. Or depuis que le "processus de paix" a commencé, la terreur s'est amplifiée. Dans les 2,5 ans qui ont suivi les accords d'Oslo de 1993, les terroristes Palestiniens ont tué plus d'Israéliens que lors de la décennie qui a précédé. Lors des 6 dernières années, ils ont tué plus d'Israéliens que pendant le demi-siècle qui a précédé…!
De même, l'évacuation de Gaza en août 2005 a entrainé le lancement de 1200 roquettes sur le territoire méridional d'Israël, à partir de la zone évacuée; ce nombre est à comparer aux 300 roquettes lancées en 2004. Tout cela en dépit d'accords signés dans lesquels les Palestiniens s'engageaient à arrêter la terreur, suivis de nombreux autres accords verbaux de cessez-le-feu. Au cours du dernier cessez-le-feu par exemple, le sud d'Israël a subi des douzaines de missiles.
De plus, même les dirigeants dits "modérés" n'hésitent plus à encourager ces tirs. Lors d'un discours la semaine dernière, Abbas dit aux Palestiniens que "leurs fusils devraient être dirigés contre l'occupation israélienne", (NdT plutôt que contre leurs frères). Il a appuyé également le "document des prisonniers" qui appelle explicitement la poursuite de la terreur contre Israël et il a toujours précisé qu'il n'userait pas de la force pour arrêter le terrorisme contre Israël.
Etant donné la fréquence record de promesses non tenues, l'énorme contrebande d'armes par le Hamas tout autant que le Fatah, l'appel à l'utilisation de ces armes contre Israël par les dirigeants des 2 factions, tout accord à venir entrainerait la même violence et la même terreur. Comme on ne voit aucun indice prouvant le contraire, tout Israélien serait réticent à accepter des concessions territoriales qui mettraient les villes israéliennes sous la menace des missiles et même des tirs de fusils de l'AP. En échange de quoi? De vagues promesses qu'on ne peut contrôler.
Alors raviver des négociations, pour quoi faire? Il n'y a personne à qui parler et rien de quoi parler.
En contraste, un éditorial récent du Jerusalem Post a montré qu'Israël était prêt à signer un traité de paix, malgré les promesses non tenues. A l'opposé des instances palestiniennes qui n'ont jamais préparé leur population à renoncer au "droit au retour", les chefs de tous les partis israéliens pendant les 13 années écoulées ont toujours parlé de "concessions territoriales douloureuses mais nécessaires", même à Jérusalem. Aujourd'hui la majorité des israéliens sont d'accord, alors qu'il y a treize on ne trouvait pas de majorité dans ce sens. De même, alors que les Palestiniens n'ont jamais voulu stopper le terrorisme, Israël a montré sa bonne volonté en évacuant des implantations.
Dans ces conditions raviver des négociations ce n'est pas seulement illusoire mais aussi nuisible, car, en créant l'illusion d'un momentum, la communauté internationale va générer des espoirs et des désillusions, tout en négligeant d'autres voies, plus lentes mais plus adaptées dont l'auteur vous parlera lors d'un prochain article. Il n'y a pas de miracle, que seul un messie peut réaliser.
Il y a des préalables à réaliser plus sérieux que des bavardages sans issue.
PANTING AFTER A PHANTOM
By EVELYN GORDON-jp- Jan. 17, 2007
World leaders are panting to restart Israeli-Palestinian negotiations. German Chancellor Angela Merkel, who assumed the presidency of both the European Union and the G-8 this month, pledged to make this a priority, and immediately persuaded US President George Bush to revive the international Quartet as a first step. US Secretary of State Condoleezza Rice, who was here this week, has vowed to devote substantial time to this issue over the next two years. French President Jacques Chirac is pushing an international conference. And so forth.
What remains obscure, however, is what these leaders hope to accomplish, given the unpromising reality on the Palestinian side:
• The Palestinian Authority is controlled by Hamas, which openly advocates Israel's eradication. World leaders suggest circumventing this problem by dealing instead with PA Chairman Mahmoud Abbas, whose Fatah faction lost last year's elections. That makes about as much sense as having opposition MK Yossi Beilin negotiate a treaty on Israel's behalf, or opposition MP David Cameron negotiate a treaty on Britain's behalf. You might (or might not) reach an agreement, but it will be meaningless, because the signatory has no authority to implement it.
• Even the "moderate" Fatah's self-proclaimed minimum demands are unacceptable to any Israeli government. Just last Thursday, for instance, in a major speech commemorating Fatah's founding, Abbas declared that Palestinian refugees' "right of return" to Israel is "nonnegotiable" and rejected "any attempt to resettle the refugees in other countries." Fatah's most popular politician, Marwan Barghouti, echoed this on Saturday, saying that "the least" Palestinians can accept is a state in the pre-1967 borders, Jerusalem as its capital, freedom for all prisoners and the refugees' return to Israel.
Since the "right of return" is an euphemism for eliminating the Jewish state demographically, even the most dovish Israelis reject it. Yet since Palestinian leaders, including "moderates" like Abbas, have told their publics for 13 years that any final-status deal will include it, no Palestinian leader is currently capable of signing an agreement that does not - his public would crucify him.
• Violent Hamas-Fatah infighting has further undermined both factions' credibility among ordinary Palestinians. And this credibility was already shaky, since both factions, while in power, preferred divvying up the spoils to promoting the general welfare. Under both Fatah and Hamas, for instance, the health system received only 7 percent of the PA's budget, while the security services, which each faction packed with its own loyalists, received 24.3 percent.
Similarly, after Prime Minister Ehud Olmert agreed to release $100 million to Abbas to alleviate humanitarian distress, Abbas aides told The New York Times that the money would mainly be used "to strengthen his Fatah movement and pay salaries to Fatah loyalists." This behavior spurred Palestinians to oust Fatah last year and is now damaging Hamas's popularity. Yet this lack of credibility makes it even less likely that Abbas, or any other Palestinian leader, could sell any agreement acceptable to Israel to his own people.
• Any final-status agreement is supposed to grant Israel one main benefit: peace. Yet in fact, ever since the "peace process" began, Palestinian terror has soared: In the two and a half years following the 1993 Oslo Accords, Palestinian terrorists killed more Israelis than in the entire preceding decade; over the last six years, they killed more Israelis than during the entire preceding half-century.
SIMILARLY, the August 2005 evacuation of the Gaza Strip resulted in some 1,200 rockets being fired at southern Israel from Gaza last year (according to Military Intelligence); this compares to about 300 rocket launches at Israel and the Gaza settlements combined in 2004, the last full year before the pullout. All this occurred despite no fewer than five signed agreements in which the Palestinians pledged to halt terror, plus repeated verbal cease-fire agreements. During the current "cease-fire," for instance, southern Israel has suffered dozens of rocket strikes.
Nor do even "moderate" Palestinian leaders hesitate to encourage this. In last Thursday's speech, for example, Abbas told Palestinians that their "rifles should be directed against the [Israeli] occupation." He has also endorsed the Prisoners' Document, which explicitly calls for continued terrorism against Israel, and has repeatedly said that he will not use force to stop anti-Israel terror.
Given the record of broken promises, the massive arms smuggling by both Hamas and Fatah and the urgings of both factions' leaders that these arms be used against Israel, any future agreement could easily produce a similar wave of anti-Israel terror. Thus, absent concrete evidence to the contrary, many Israelis will be reluctant to agree to major territorial concessions, which would put Israel's largest cities within rocket and even rifle range of the PA, in exchange for yet another unenforceable promise.
Given all this, it is hard to see what "reviving Israeli-Palestinian negotiations" could accomplish. From Israel's perspective, there is nobody to talk with and nothing to talk about.
In contrast, as The Jerusalem Post noted in Monday's editorial, Israel - despite broken promises on issues ranging from evacuating outposts to removing checkpoints - has proven that on the big issues, it is ready to deal. Unlike Palestinian leaders' refusal to prepare their public for conceding the "right of return," for instance, leaders of every major Israeli party have told their public for 13 years that sweeping territorial concessions, including in Jerusalem, will be necessary; as a result, most Israelis now support such concessions, whereas 13 years ago, a majority opposed them. Similarly, whereas the Palestinians have repeatedly failed to prove their willingness to halt terror, the disengagement conclusively proved Israel's willingness to evacuate settlements.
Under these circumstances, "reviving negotiations" would be not merely pointless, but detrimental - because by trying to create an illusion of momentum, the international community is not only generating expectations that can only be disappointed, it is also neglecting alternative steps that could genuinely help.
These steps, which I will outline next week, would not produce an instant solution; only the messiah could do that. But they would lay necessary groundwork for a solution down the road. And that seems far more productive than mere talk for talk's sake.
Par Meyer (Meyer) le mardi 30 janvier 2007 - 14h18: |
Un citoyen tunisien devient le premier Arabe proposé comme "Juste parmi les Nations".
Khaled Abdelwahhab a caché en 1943 la famille d'Annie Boukhris à Mahdia.
http://www.haaretz.com/hasen/spages/819505.html
30/01/2007
Tunisian becomes first Arab nominated as 'righteous gentile'
By Associated Press
At the height of the Second World War, Khaled Abdelwahhab hid a group of Jews on his farm in a small Tunisian town, saving them from the Nazi troops occupying the north African nation.
More than six decades later, Abdelwahhab has become the first Arab nominated for recognition as Righteous Among the Nations by Yad Vashem, Israel's official Holocaust memorial. The honor is bestowed on non-Jews who risked their lives to save Jews from Nazi persecution.
The nomination of Abdelwahhab, who died in 1997, has reopened a little-known chapter of the Holocaust, one that unfolded in the Arab countries of north Africa.
Abdelwahhab was nominated by Robert Satloff, director of the Washington Institute for Near East Policy, a U.S. think tank.
Satloff said that after the Sept. 11 attacks, he moved to Morocco to research what happened in Arab lands during the Holocaust in hopes of countering Holocaust denial in the Arab world and tempering some of the sentiments he thought helped pave the way for the attacks.
I asked, did any Arabs save Jews in the Holocaust? Satloff said. If they did, these are stories about which Arabs could be proud. It would also entail accepting the context, because it would mean there was something to save Jews from.
That search led Satloff to Abdelwahhab, the cosmopolitan son of an aristocratic family who was 32 when German troops arrived in Tunisia in November 1942. The north African nation was home to some 100,000 Jews at the time.
According to Yad Vashem, the Germans instituted anti-Semitic policies in Tunisia, imposing fines on Jews, forcing many to wear Star of David badges and confiscating property. More than 5,000 Jews were sent to forced labor camps, where 46 are known to have died. Around 160 Tunisian Jews who happened to be in France were dispatched to European death camps. Most Tunisians, according to the material compiled by Yad Vashem, did not attempt to intervene.
Abdelwahhab, an amateur archaeologist and architect with something of a hedonistic bent, served as an interlocutor between the population of the coastal town of Mahdia and the German occupation forces, Satloff said. He was also a country farmer, a sometime Tunisian civil servant and an avid traveler.
When he heard one evening that German officers were planning to rape Odette Boukris, a local Jewish woman, he gathered her family and several other Jewish families in Mahdia - a total of around two dozen people - and took them to his farm outside town. He hid them for four months, until the German occupation ended.
Khaled is the finest example, though not the only one, of an Arab who saved Jews from persecution during the German occupation, Satloff said.
Satloff first heard Abdelwahhab's story several years ago from Anny Boukris, a 71-year-old resident of a Los Angeles suburb. An 11-year-old in 1943, Boukris is Odette Boukris' daughter and was also hidden by Abdelwahhab.
Satloff traveled to Mahdia and talked to Boukris' childhood friends, who confirmed the story. Just weeks after Boukris recorded her 83-page testimony, she passed away.
Abdelwahhab still has to be approved by the Yad Vashem commission that grants the honor. Since the war, Yad Vashem has conferred the status on 21,700 people, including some 60 Muslims from the Balkans. But no Arab had ever been nominated.
The commission will decide based on the strict criteria for recognizing the Righteous Among the Nations. We can't speculate on what the outcome will be, said Estee Yaari, a spokeswoman for Yad Vashem.
Tunisia was the only north African country to come under direct German rule. Nearby Morocco and Algeria were governed by the pro-German collaborators of Vichy France.
Bruce Maddy-Weitzman, a north Africa expert at Tel Aviv University, said that Morocco's king at the time, Mohammed V, intervened to protect Jews in his country. But the story in Tunisia was quite different, because there was a direct occupation by the German army, he said.
Par Victor (Victor) le mardi 30 janvier 2007 - 14h08: |
Meeting contre la menace iranienne à la Mutualité
30/01/07
- Thème: Iran
A l’appel du CRIF, Mardi 13 février 2007, à 19h30
TOUS A LA MUTUALITE CONTRE LA MENACE IRANIENNE
François BAYROU, Nicole BORVO, Bertrand DELANOE, François LEOTARD, Christian PONCELET, Ségolène ROYAL, Nicolas SARKOZY ont donné leur accord de principe pour participer à ce meeting.
Mutualité, 24, rue St-Victor 75005 PARIS (M° : Maubert-Mutualité)