Par Braham (Braham) le jeudi 01 février 2007 - 22h16: |
A propos des photos de Bekhor, voila les friandises de Bangkok, Thailand. (Des photos qui n'ont pas pu passer dans le message d'hier
Par Tun (Tun) le jeudi 01 février 2007 - 22h10: |
Mais enfin les amis c´est du n´importe quoi nce que vous dites,je suis jerbien et je peux vous dire que la-bas on ne fait pas la difference entre un juif et un musulman,ils vivent en totale harmonie et plus encore comme des vrais freres,on assiste a leurs mariages et obseques comme eux le font;je suis alle l´ete dernier visiter la chere Ghriba qui compte vraiment beaucoup pour moi et quelque chose de drole s´est passe le rabin m´a pris pour un juif,est venu vers moi et a commence a parler en hebreu alors je lui ai dis je suis desole je ne parle pas hebreu et la il m´a dit quelque chose qui m´a fait enormement plaisir (c´est pas grave mon garcon on reste quand meme des freres).
La tunisie ni le peuple tunisien n´a pas d´excuses a presenter,la raison de votre depart est claire et simple:on est tombe dans la polemique et on a fait agrandir les choses comme on le dit chez nous (MEL HABBA TAAMEL KOBBA).
Ou dites plutot que vous avez trouve votre compte ailleur en dehors de la tunisie.
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le jeudi 01 février 2007 - 21h46: |
Bienvenu au Club Cher BJA,
La réponse à ta question est toute simple, vois tu, qu'ils soient Tunisiens et à fortiori de Djerba, nos expatriés qu'ils soient, Chrétiens, Israélites, et Musulmans, ont tout simplement fait leur trous en plantant leur choux, loin de la terre où ils virent le jour.
Ils ont bâti des entreprises, des familles, des habitations, en terres étrangères, et la plupart d'entre eux, ayant atteint le point de non retour, n'envisagent même plus, et cela depuis des lustres, de revenir vivre sur une terre ancestrale dont ils ne reconnaîtraient plus les contours, ni le tissus social originel, tant celui-ci s'est tout simplement évaporé.
Vois tu, beaucoup des anciens ont disparu, les médians sont presque à la retraite, et ne veulent pas repartir à Zéro, quand aux jeunes qui naquirent en terre étrangère, ceux la ne connaissent plus rien, et de toutes les façons, les déraciner dans le but de réaliser, l'utopie à laquelle tu dis rêver, ne mènerait à rien, si ce n'est qu'ajouter du déracinement au déracinement,,, pour des vacances balnéaires, peut être, mais pas pour autre chose.
Voila cher Ami Bja, encore une fois bienvenue au club, ton rêve t'honore, mais ne rêve pas trop quand même,,, et reviens quand tu veux,
A Bientôt l'Ami Bja.
Par Toufiq (Toufiq) le jeudi 01 février 2007 - 20h56: |
sur un ton plus leger,d'abord,bja je te souhaite la bienvenue et continue de nous visiter,
maintenant je vais t'expliquer pourquoi le maroc est pour le moment mieux que la tunisie:
plus on se deplace vers l'ouest,plus les arabes et les juifs voient leur amitie s'agrandir
a new york c'est tres bien,
a chigago c'est formidable
et ici en californie c'est super fantastique
et a hawai c'est carrement le paradis!
Par Davideden (Davideden) le jeudi 01 février 2007 - 20h18: |
Toufiq,
Tu as raison je vais repondre. En fair puisque Bja nous propose de comparer Tunisie au Maroc, faisons le ensemble.
En Tunisie, Il y avait 105.000 Juifs en 1948, il en reste moins de 1000. Au Maroc il y avait 265000 en 48, il en reste 3500 +ou -.
Je dirais que cela est comparable.
Plus interressant est le Yemen. Au yemen, il y avait 50000 Juifs, il reste 200. 50 d'entre eux (25%!!) viennent d'etre chasses de leur maisons et se refugient ou ils peuvent.
Ce qui me rappelle que malgre les dificultes que certains d'entre nous ont eut quand nous avions quitte notre terre natale, cela aurait petait pire si on y ete reste comme ces 50 Juifs Yemenites qui dans le silence general vivent un pogrom.
Les societes Arabes et musulmanes ne semblent pas etre capable de tolerer la presence meme infiniment petite de Juifs.
Pour en revenir a Bja (son nom nous en dit suffisament). Nous ne voulons pas le droit "au retour" vers la Dhimmitude. Nous voulons etre compenser et reconnu pour les crimes commis contre nous par l'etat Tunisien.
Vous voyez, Toufiq a eut raison a nouveau.
Par Viviane (Viviane) le jeudi 01 février 2007 - 20h31: |
Jacques Chirac et Philippe Douste-Blazy ont déclaré succesivement que "l'Iran a un rôle à jouer et qu'il faut compter avec".
Dernière minute: Après les propos rassurants, envers l'Iran, des deux élites de la nation française,Mahmoud Ahmadinejad vient de faire la déclaration suivante: "La France sera rayé de la carte".
Par Toufiq (Toufiq) le jeudi 01 février 2007 - 18h40: |
bja david eden va bientot te repondre.
Par Pauline (Pauline) le jeudi 01 février 2007 - 18h10: |
C'EST MAINTENANT
5 minutes pour la planète... et pour nous !
Le 1er février 2007, dans toute la France :
Participez à la plus grande mobilisation des citoyens contre le Changement Climatique !
L'Alliance pour la Planète (groupement national d'associations environnementales) lance un appel simple à tous les citoyens, 5 minutes de répit pour la planète : tout le monde éteint ses veilles et lumières le 1er février 2007 entre 19h55 et 20h00. Il ne s'agit pas d'économiser 5 minutes d'électricité uniquement ce jour-là, mais d'attirer l'attention des citoyens, des médias et des décideurs sur le gaspillage d'énergie et l'urgence de passer à l'action ! 5 minutes de répit pour la planète : ça ne prend pas longtemps, ça ne coûte rien, et ça montrera aux candidats à la Présidentielle que le hangement climatique est un sujet qui doit peser dans le débat politique.
Pourquoi le 1er février ? Ce jour là sortira, à Paris, le nouveau rapport du groupe d'experts climatiques des Nations Unies. Cet événement aura lieu en France : il ne faut pas laisser passer cette occasion de braquer les projecteurs sur l'urgence de la situation climatique mondiale. Si nous y participons tous, cette action aura un réel poids médiatique et politique, moins de trois mois avant l'élection présidentielle!
Contact/ information : Cyrielle, Les Amis de la Terre : 01 48 51 18 95.
Par Victor (Victor) le jeudi 01 février 2007 - 17h48: |
Jacques Chirac minimise la menace d'une bombe nucléaire iranienne
LE MONDE | 01.02.07
Jacques Chirac a fait, lundi 29 janvier, au sujet du programme nucléaire de l'Iran et de ses conséquences possibles au Moyen-Orient, une série de déclarations tranchant avec le discours habituel de la diplomatie française sur ce dossier. Il parlait à des journalistes du Nouvel Observateur, du New York Times et du International Herald Tribune. Le président français s'est ensuite rétracté, le lendemain, après avoir invité les mêmes médias à l'Elysée dans le but de rectifier ses propos.
Jacques Chirac avait dans un premier temps, lundi, évoqué un scénario où l'Iran parviendrait à se doter de la bombe atomique, déclarant : "Je dirais que ce n'est pas tellement dangereux par le fait d'avoir une bombe nucléaire - peut-être une deuxième un peu plus tard, bon... ça n'est pas très dangereux. Mais ce qui est dangereux, c'est la prolifération. Ça veut dire que si l'Iran poursuit son chemin et maîtrise totalement la technique électronucléaire, le danger n'est pas dans la bombe qu'il va avoir, et qui ne lui servira à rien... Il va l'envoyer où, cette bombe ? Sur Israël ? Elle n'aura pas fait 200 mètres dans l'atmosphère que Téhéran sera rasée."
L'entretien accordé lundi par le président français devait avoir pour thème central la conférence sur l'environnement organisée à Paris, le 2 et 3 février, mais M. Chirac a été interrogé de façon impromptue sur l'Iran. Le lendemain, mardi, le président français revenait sur ces propos en affirmant qu'il pensait s'être exprimé en "off", c'est-à-dire sans que les journalistes puissent le citer, et qu'il avait eu "une manière un peu schématique de parler". "J'ai eu un mot rapide, et je retire naturellement, quand j'ai dit : "on va raser Téhéran". C'est évidemment une boutade dans mon esprit... mais bon. Je n'imagine pas que l'on puisse raser Téhéran !"
M. Chirac a précisé avoir eu à l'esprit, en parlant d'une attaque hypothétique sur Téhéran, le principe de la dissuasion nucléaire. Il affirmait mardi : "Il est évident que si un acte agressif indiscutable, c'est-à-dire l'envoi d'une bombe par une fusée porteuse, avait lieu (et cette bombe serait, je le répète, automatiquement détruite avant même d'avoir quitté le sol iranien ou en tout cas le ciel iranien), il est évident qu'il y aurait sans aucun doute des mesures de coercition, de mesures de rétorsion forcément. Ça fait partie de la dissuasion nucléaire."
Par ailleurs, le président français est revenu mardi sur des phrases prononcées lundi sur les répercussions régionales d'une éventuelle bombe iranienne. Il avait déclaré lundi : "Ce qui est dangereux, c'est la prolifération, et c'est tout de même tentant, pour d'autres pays qui ont de gros moyens financiers dans la région, de dire "eh bien, nous aussi, on va le faire, ou on va aider d'autres à le faire". Pourquoi l'Arabie saoudite ne le ferait pas ? Et pourquoi n'aiderait-elle pas l'Egypte à le faire également ? C'est ça le danger."
Mardi, M. Chirac déclarait qu'il retirait ces propos. "Je me suis laissé aller parce que je croyais que c'était en off, à dire que l'Arabie saoudite ou l'Egypte pourraient être tentées de suivre cet exemple. Je retire naturellement, car ni l'Arabie saoudite ni l'Egypte n'ont fait la moindre déclaration sur ces sujets, et donc ce n'est pas à moi de les faire."
M. Chirac, qui avait qualifié, lundi, l'Iran de "régime un peu fragile" ayant "peur d'être contesté", n'a pas repris cette expression mardi, décrivant plutôt l'Iran comme une "nation importante et qui compte". Lundi, il avait formulé une critique en demi-teinte à l'encontre des Etats-Unis, indiquant que si les dirigeants iraniens cherchaient à "avoir la maîtrise du nucléaire militaire", leur motivation pouvait être en partie de se prémunir contre "de mauvaises surprises susceptibles, à un moment ou un autre, de déstabiliser le régime des mollahs". Le régime des mollahs, avait-il dit, craint d'être "contesté ou menacé par la communauté internationale. Et la communauté internationale, c'est qui ? C'est les Etats-Unis".
Le président français a par ailleurs mis en garde, mardi, contre une escalade dans les sanctions votées contre l'Iran par le Conseil de sécurité de l'ONU, le 23 décembre 2006. Evoquant la résolution 1737 frappant l'Iran de sanctions, M. Chirac a commenté : "Nous nous trouvons dans une situation qui est quand même confuse. Bien entendu, on peut procéder en allant de plus en plus loin, de plus en plus haut dans les réactions de chaque côté. Ce n'est certainement pas notre pensée et notre intention."
M. Chirac avait envisagé de dépêcher en janvier le ministre français des affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy, à Téhéran, pour parler notamment du Liban. Aucun des partenaires de la France traitant du dossier nucléaire iranien n'avait été prévenu de cette démarche. M. Chirac avait ensuite, lors d'un entretien à Paris le 25 janvier avec la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice, "rappelé la position de la France qui souhaite que l'Iran respecte ses obligations", en suspendant l'enrichissement d'uranium, qui pourrait avoir des visées militaires.
Natalie Nougayrède
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L'arme nucléaire dans deux ou trois ans, selon l'IISS
Dans son rapport publié le 31 janvier, l'Institut international des études stratégiques (IISS) de Londres estime que l'Iran sera en mesure de produire une arme nucléaire "dans deux ou trois ans au plus tôt". Insistant sur le fait que Téhéran "a continué à faire des progrès dans la production de matériel pour l'enrichissement nucléaire", l'IISS indique que l'Iran "a stocké 250 tonnes d'UF6 (hexafluorure d'uranium)", une quantité qui, une fois suffisamment enrichie, permettrait de produire "de 30 à 50 armes atomiques". Selon le rapport, l'Iran "est probablement sur la voie d'atteindre son objectif de disposer de 3 000 centrifugeuses d'ici à la fin mars ou peu après". De neuf à onze mois supplémentaires seraient nécessaires pour produire 25 kg d'uranium hautement enrichi, de quoi fabriquer une première arme. - (AFP.)
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3218,36-862329@51-855860,0.html
Par Bja (Bja) le jeudi 01 février 2007 - 17h37: |
Bonjour tout le monde,
au fait je suis tout nouveau sur le forum, (je connaissais le site auparavant) et j'en profite pour vous saluer tous. Je suis un jeune tunisien de 30 ans, mes origines sont de l'île de Djerba et tout le monde connaît l'amitié et la fraternité entretenue entre natifs de Djerba et nos concitoyens, frères et soeurs juifs insulards. Je voulais poser la question à tous les tunes installés en France et aux quatre coins du monde, pourquoi ne pas revenir vers la Tunisie et plus particulièrement Djerba, vous serez les bienvenus. En effet, je compare au Maroc voisin dont la communauté juive est largement supérieur à la Tunisie. Je ne comprends pas pourquoi les juifs de Djerba ne réintégrent pas la Tunisie une fois parti?? Nous sommes tous nostalgiques de la Tunisie des années 40 et 50 (bien que je n'étais pas encore né)... nous aimerons tant retrouver cette cohabitation et cette fraternité... Je suis sûr que la Tunisie est parmi les pays les plus tolérants de toute l'Afrique du Nord et du moyen orient et qu'elle mérite le soutien de tous ces concitoyns quelque soit leur religion et leur racine.