Par Bazooka (Bazooka) le vendredi 14 janvier 2005 - 11h37: |
Stop ! Ca y'est j'ai retrouve !!!
Pour ceux que cela interesse :
http://www.ortra.com/maimonides/
Par Bazooka (Bazooka) le vendredi 14 janvier 2005 - 11h35: |
Bonjour a tous/toutes
Quelqu'un aurait-il des infos concernant la prochaine tenue d'une conference a Tiberiade pour le 800e anniversaire de la mort de Maimonide (Ram-Bam) ? (Peut-etre l'adresse d'un site ?)
D'avance merci et shabbath shalom.
Par Maurice (Maurice) le vendredi 14 janvier 2005 - 08h13: |
TROUBLE IN THE HOLY LAND
Sharon protected by pilotless drone
Aircraft to monitor 'possible assassins' while prime minister travels
Posted: January 14, 2005 1:00 a.m. Eastern
By Aaron Klein
© 2005 WorldNetDaily.com
Israel has started using a pilotless drone to protect Prime Minister Ariel Sharon against possible assassination attempts when he travels, security sources confirmed to the media.
The sources were confirming a report broadcast earlier on Israel's Channel 2 that Sharon is the first Israeli prime minister to be protected by a drone aircraft. The report said Sharon faces heightened threats by "settler extremists" who oppose his planned withdrawal from Gaza and parts of the West Bank this summer.
Par Email (Email) le vendredi 14 janvier 2005 - 08h06: |
CYRIL HANOUNA EST DE RETOUR
bonjour à tous,
Pour les prolongations de "CYRIL HANOUNA est une ordure"
au Théâtre Trevise, PARIS
du vendredi 14 Janvier 2005 au samedi 26 Février 2005,
je vous propose des tarifs exceptionnels:
constituez un groupe de 10 personnes ( grouped'amis, collègues de travail ou grande famille! peu importe il faut être 10 pour en bénificier et je vous offre la place à 10 euros seulement
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Pour réserver directement 01 41 57 31 94
N'oubliez pas de dire que vous venez de la part de pouic-pouic R&G PRODUCTIONS, sinon c'est plein tarif !
@bientôt et bon spectacle
pouic-pouic
Par Meyer (Meyer) le vendredi 14 janvier 2005 - 02h13: |
L'huile d'olive aurait des vertus anticancéreuses
LEMONDE.FR | 10.01.05 |
Les travaux des chercheurs américains sont publiés dans les "Annales de l'oncologie" datées de lundi.
Des chercheurs américains ont mis en évidence les propriétés de l'huile d'olive pour lutter contre le cancer du sein. Cette découverte pourrait conduire à la mise au point d'un traitement.
Les chercheurs ont publié leurs résultats dimanche 9 janvier. Ils expliquent qu'une série d'expériences conduites en laboratoire sur des lignées de cellules cancéreuses du sein ont montré que l'acide oléique réduisait de façon importante les niveaux du gène cancéreux appelé Her-2/neu, encore connu sous le nom d'erb B-2, a expliqué le docteur Javier Menendez, de l'école de médecine Feinberg de l'université Northwestern à Chicago, principal auteur de l'étude.
Selon lui, des taux élevés de Her-2/neu sont observés dans 20 % des cancers du sein et sont liés à des formes particulièrement agressive de cette maladie.
D'autres expériences sur ces cellules cancéreuses ont aussi montré que non seulement l'acide oléique neutralise le gène Her-2/neu, mais qu'il multiplie l'efficacité du traitement aux anticorps monoclonaux, dit trastuzumab (Herceptin), ont aussi affirmé ces chercheurs, dont les travaux sont publiés dans les Annales de l'oncologie datées de lundi.
"LE RÉGIME ALIMENTAIRE DIT MÉDITERRANÉEN"
Ce traitement vise spécifiquement le gène Her-2/neu, l'un des plus importants dans le cancer du sein, et permet de prolonger substantiellement la vie des malades, ont-ils précisé.
"Les résultats de nos recherches tendent aussi à confirmer les études épidémiologiques ayant montré que le régime alimentaire dit méditerranéen, riche notamment en huile d'olive, a des effets protecteurs contre le cancer, les maladies cardio-vasculaires et le vieillissement", a noté le docteur Menendez.
Des études conduites sur des populations du sud de l'Europe avaient déjà montré que l'acide gras mono-insaturé pourrait avoir des effets protecteurs contre le cancer du sein, mais des expériences sur des animaux en laboratoire n'ont pas donné jusqu'à présent de résultats concluants, ont indiqué ces chercheurs.
Selon eux, une des explications pourrait être le fait que l'acide oléique utilisé dans ces expériences est mélangé avec plusieurs autres acides gras et d'autres protections naturelles.
Les vertus de l'huile d'olive avaient été officiellement reconnues le 2 novembre 2004 par l'agence américaine chargée de la réglementation des produits pharmaceutiques et alimentaires (FDA), qui a autorisé les producteurs à faire référence, sur les bouteilles, aux effets bénéfiques de leur produit sur la santé, notamment le système cardio-vasculaire.
Avec AFP
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3244,36-393584,0.html
Sur le même sujet dans Harissa :
http://www.harissa.com/D_bouffe/meddiet.htm
Bienfaits confirmés du régime alimentaire méditerranéen
http://www.harissa.com/D_bouffe/atouslesamateursdhuiledolive.htm
A tous les amateurs d'huile d'olive: La meilleure façon de goûter
http://www.harissa.com/D_bouffe/huiledolive.htm
Huile d'olive et santé
Par Emma (Emma) le jeudi 13 janvier 2005 - 23h21: |
Face à l'inconnue nucléaire iranienne, par Ran Halevi
LE MONDE
L'heure de vérité approche avec l'Iran. Sommé de faire la lumière sur son programme nucléaire, Téhéran a fini par accepter de suspendre provisoirement la production d'uranium enrichi. Il serait même disposé à autoriser les inspecteurs de l'AIEA à visiter un de ses sites les plus sensibles. Ces premiers pas ne peuvent cependant préjuger de la suite des négociations. D'autant qu'une fois encore, Européens et Américains ne s'accordent ni sur la manière de les conduire ni sur les chances de les voir aboutir. Les premiers pensent qu'une normalisation entre Washington et la République islamique serait un facteur décisif de succès. Les seconds doutent qu'un tel geste entame la résolution d'Iraniens qui n'ont cessé de mentir sur leurs ambitions en matière nucléaire.
Cette nouvelle épreuve, dont il est impossible de prédire l'issue, laisse ouvertes deux questions qui hantent les chancelleries : que faire si l'Iran refuse de mettre fin à son projet nucléaire - si tant est qu'il n'ait, comme le pensent certains, déjà abouti ? Et, dans cette hypothèse, le recours à la force offre-t-il la seule réponse adéquate aux desseins de la République islamique ?
La réponse varie selon les capitales. En attendant d'y voir plus clair, on a vu récemment Washington et Jérusalem se livrer avec Téhéran, par médias interposés, à un "concours de surenchère" psychologique. Les Américains ont plusieurs fois menacé de convoquer le Conseil de sécurité pour infliger des sanctions aux Iraniens. Condoleezza Rice a prévenu qu'aucune option ne devait être exclue pour empêcher la République islamique d'accéder à l'arme atomique. Le gouvernement iranien, de son côté, a donné en octobre une grande publicité aux essais - à moitié réussis - de son missile balistique Chahab 3, et a promis, s'il était attaqué, d'en faire usage contre Israël. Pour faire bonne mesure, le gouvernement d'Ariel Sharon a annoncé son intention d'acquérir aux Etats-Unis cinq cents bombes "antibunker" capables de percer 2 mètres de béton fortifié. Une arme dont le destinataire paraît tout désigné...
Certes, une frappe du potentiel iranien paraît autrement compliquée que celle conduite par Israël en 1981 contre le dispositif irakien d'Osirak. Cette opération avait été préparée dans le plus grand secret et pris tout le monde par surprise ; celle qui pourrait être envisagée contre l'Iran est débattue au grand jour et ne risque pas de surprendre grand monde. De plus, la distance parcourue par l'aviation israélienne pour atteindre Bagdad était relativement courte et l'objectif réduit à une cible ; alors que les installations iraniennes sont dispersées et sans doute mieux protégées. Enfin, l'Irak de Saddam Hussein ne disposait pas des moyens de représailles dont Téhéran est aujourd'hui capable - non pas directement, malgré ses déclamations apocalyptiques, mais en faisant agir le Hezbollah libanais à la frontière nord d'Israël et en intensifiant son soutien au terrorisme islamique, avec, pour un Proche-Orient passablement secoué par l'affaire irakienne et le conflit israélo-palestinien, des conséquences potentiellement dévastatrices.
On aurait tort, toutefois, de tenir ces difficultés, et les dangers qu'elles comportent, pour suffisantes à dissuader Israël d'attaquer les centrales iraniennes. M. Sharon ne s'est jamais montré inhibé par les oukases et les mises en garde de l'opinion internationale, quand il jugeait, à tort ou à raison, que les intérêts vitaux d'Israël sont en jeu. Toute la question est de savoir si une opération israélienne (ou américaine) est impérieusement nécessaire, si elle est souhaitable et, surtout, opportune.
Des observateurs peu suspects de sympathies pro-iraniennes répondent catégoriquement par la négative. Le régime de Téhéran a beau être obscurantiste, disent-ils, sa conduite, inspirée aussi par la réalité sur le terrain, n'en est pas irrationnelle. L'Iran se trouve "encerclé" de tous côtés par des Etats à forte présence militaire américaine. Et c'est peu de dire que la récente guerre en Irak avait de quoi alarmer les ayatollahs : dans le projet de croisade démocratique agité par les néoconservateurs, influents au sein de l'administration Bush, l'Iran figurait en haut de la liste, juste après l'Irak. Vue de Téhéran, la menace d'une expédition américaine ne relevait pas d'une pure spéculation littéraire. Or, contre une telle éventualité, il n'est de meilleur secours que... la possession d'armes nucléaires. La Corée du Nord en administre la preuve chaque jour, qui fait apparaître l'impuissance de la communauté internationale devant les provocations répétées de ses dirigeants.
Les adversaires d'une frappe préventive rappellent encore que la dictature des mollahs, odieuse à l'intérieur, ne s'est jamais livrée à une agression militaire contre ses voisins ; que malgré les serments de faire rayer Israël de la carte, la course iranienne au nucléaire n'est pas principalement déterminée par son hostilité envers l'Etat hébreu ; enfin, que dans l'hypothèse où l'Iran détiendrait des armes non conventionnelles, il est peu probable que ses dirigeants prennent le risque de les utiliser contre Israël, dont la puissance nucléaire les réduirait aussitôt en poussière.
On touche ici à l'essentiel. Toute réflexion sur l'attitude à adopter devant les velléités nucléaires de l'Iran renvoie à la nature de son régime, à savoir si les maîtres de Téhéran sont accessibles ou non à la logique du système de dissuasion qui a prévalu jusqu'à l'effondrement de l'empire soviétique. Les commentateurs hostiles au recours à la force inscrivent leur analyse dans la traditionnelle conception de "l'équilibre de la terreur", qu'ils jugent applicable au gouvernement iranien plus encore qu'elle ne l'était au régime de Saddam Hussein. Certains suggèrent même que la possession par l'Iran d'une capacité nucléaire pourrait, paradoxalement, renforcer l'équilibre de la terreur plutôt que de lui porter atteinte.
D'autres pensent que le 11-Septembre a définitivement ébranlé l'ancien système de dissuasion. Ils n'excluent pas qu'une dictature islamique dotée d'une capacité nucléaire puisse "sous-traiter" sa contribution au terrorisme international en fournissant des intermédiaires sur le marché "privatisé" des armes prohibées. Ce débat a le mérite d'aborder la question de fond : celle des rapports, ou de l'absence de rapports, entre fondamentalisme islamique et possession d'armes de destruction massive, entre les prédications des régimes islamistes et la rationalité, ou l'irrationalité, de leur comportement réel. Seulement, la réponse est, par définition, indécidable : elle ne peut se vérifier qu'à l'épreuve d'un acte irréparable.
A défaut de certitude sur le degré d'irrationalité de tel ou tel régime, Européens et Américains doivent impérieusement commencer par surmonter leurs différends et convenir d'une politique commune face au défi iranien. S'ils veulent empêcher Israël de résoudre, avec les conséquences qu'on imagine, la crise à sa manière, il leur faut avertir le gouvernement de Téhéran, et d'une seule voix, des sanctions implacables - politiques, économiques - qui l'attendent s'il refuse d'obtempérer. Et, si besoin, de les appliquer sans faiblesse.
Ran Halevi est historien, directeur de recherches au CNRS.
Par Meyer (Meyer) le jeudi 13 janvier 2005 - 23h09: |
Mon cher Toufiq, mea culpa, tu as raison, l'araméen contemporain est très proche de l'ancien araméen et est encore parlé dans les pays que tu as indiqués Irak, Iran, Liban, Syrie et Turquie.
Par A_Soued (A_Soued) le jeudi 13 janvier 2005 - 23h04: |
OÙ VA ABBAS?
par Daniel Pipes - New York Sun -11 janvier 2005
Version originale anglaise: Which Way Will Abbas Go?
Adaptation française: Alain Jean-Mairet
Beaucoup d'incertitude règne à propos de Mahmoud Abbas, le nouveau président de l'Autorité palestinienne. Accepte-t-il l'existence d'Israël, ou veut-il le détruire?
Matthew Kalman, du Globe and Mail canadien, discerne ici «une apparente campagne de revirement politique». Un article du Jewish Exponent est intitulé «Le favori palestinien veut le beurre et l'argent du beurre: contre le terrorisme, mais pour le ‹retour des réfugiés›». Une société de radiodiffusion australienne admet un sentiment de mystification, déclarant que «la tactique électorale de Abbas déconcerte les analystes».
La presse bute sur la même contradiction apparente: un moment M. Abbas exige que les terroristes palestiniens arabes cessent leurs attaques contre Israël, et l'instant d'après il se jette (littéralement) à leur cou, les qualifiant de «héros du combat pour la liberté». De même, il évoque tant l'arrêt des violences que le «droit au retour» en Israël pour plus de quatre millions d'Arabes palestiniens, une manière bien connue de suggérer l'élimination indirecte de l'État juif.
Conclusion?
En fait, il n'y là aucune contradiction. En insistant sur un «droit au retour», M. Abbas signale son intention – qu'il partage avec Yasser Arafat et la majorité des Palestiniens – d'annuler les événements de 1948 ainsi que son rejet de la légitimité même d'un État juif et sa détermination à le faire disparaître. Mais il diffère d'Arafat par sa faculté de concevoir plus d'une manière d'atteindre cet objectif.
Quelles que furent les circonstances, Arafat s'obstina, entre 1965 et 2004, à baser son action sur le terrorisme. Jamais il ne prit au sérieux ses nombreux accords avec Israël – accords qu'il considérait comme autant de moyens d'augmenter sa puissance meurtrière contre les Israéliens. La diplomatie d'Arafat atteignit son point culminant en septembre 2002 avec le déchaînement de sa furie terroriste contre Israël; et malgré toutes les preuves manifestes de son échec, il poursuivit cet effort jusqu'à sa mort, en novembre 2004.
M. Abbas, en revanche, reconnut officiellement en septembre 2002 déjà que le terrorisme avait finalement fait plus de tort aux Arabes palestiniens qu'à Israël. Destinée à propager la démoralisation et la débandade en Israël, cette tactique eut en fait pour conséquence de ressouder un corps politique israélien alors fragmenté, de pratiquement détruire l'Autorité palestinienne et de répandre la prostration parmi sa population. M. Abbas conclut, avec raison, que «ce fut une erreur d'user d'armes pendant l'intifada et de mener des attaques au sein d'Israël».
M. Abbas fait preuve de flexibilité tactique. Contrairement à Arafat, qui ne put jamais renoncer à l'outil du terrorisme, grâce auquel il avait acquis la fortune, le pouvoir et la gloire, M. Abbas examine la situation de manière plus pertinente. Si l'arrêt des attentats contre Israël sert mieux son objectif d'élimination de l'État juif souverain, il en fait son programme.
Il n'accepte pas plus qu'Arafat (ou que le Hamas ou le Djihad islamique) ce qu'il qualifiait si aimablement l'autre jour d'«ennemi sioniste», mais il peut envisager de multiples moyens de le détruire. Comme il l'annonçait cette semaine, après sa victoire électorale, «le petit djihad est à son terme, et le grand djihad commence». La forme du djihad doit changer, passer de la violence à la non-violence, mais le djihad continue.
Et les moyens de démanteler l'État juif ne manquent pas: armement nucléaire, armées d'invasion, méga-terrorisme, terrorisme conventionnel, croissance démographique palestinienne, «droit au retour» ou encore désinformation visant à embrouiller à tel point les Israéliens que les gauchistes post-sionistes parviennent à convaincre la population de renoncer, unilatéralement, et d'accepter un statut de dhimmi (asservi) au sein de «la Palestine».
L'affirmation de M. Abbas selon laquelle la violence est inappropriée trouve un parallèle instructif dans l'attitude de Staline pendant la décennie qui précéda la Deuxième Guerre mondiale. Conscient de sa faiblesse, il annonça en 1930 son intention de faire de l'Union soviétique un bon citoyen international."Notre politique est une politique de paix et d'intensification des liens commerciaux avec tous les pays. Cette politique a pour résultats, entre autres, l'amélioration de nos relations avec plusieurs pays et la conclusion d'un certain nombre d'accords d'échanges économiques, d'assistance technique et autres. Nous consacrerons nos meilleurs efforts et tous les moyens dont nous disposons à la poursuite de cette politique de paix. Nous ne voulons pas le moindre pied de territoire étranger".
Ces paroles ne restèrent pas lettre morte. Staline respecta largement les termes de ce programme – jusqu'en 1939, lorsqu'il se sentit assez fort pour lancer l'offensive, entamant alors un demi-siècle de campagne d'agression inégalée, qui ne cessa qu'avec l'effondrement de l'État soviétique.
Pour M. Abbas, nous sommes en 1930. Il comprend la nécessité de calmer le jeu. Cet homme capable de juger les circonstances de manière réaliste et d'y réagir avec pondération peut constituer un ennemi beaucoup plus redoutable pour Israël que ne l'a été Arafat, malgré toute son obstination, sa violence aveugle et son extravagante cruauté.
Nota:
Le secrétaire d'Etat américain, Colin Powell a jugé « inquiétant » le fait que Mahmoud Abbas soutienne les lanceurs de roquettes, tout en s'affirmant convaincu que l'avantage du dirigeant palestinien dans les sondages traduit « la nécessité de mettre fin à la terreur et d'essayer de persuader tous les segments de la population palestinienne de s'éloigner de la terreur et d'aller vers cette chance pour la paix ».
S'il devenait Président, Abbas "pourrait avoir à lancer des opérations contre les terroristes. S'il fait cela et fait preuve d'un réel engagement afin de mettre fin à la terreur, je pense qu'il trouvera un partenaire israélien prêt à travailler avec lui, et il trouvera certainement la communauté internationale, et particulièrement les Etats-Unis, prêts à jouer un rôle important", a ajouté le chef de la diplomatie américaine.
"S'ils ne prennent pas cette direction, alors nous serons bloqués encore une fois. Donc nous avons besoin que la direction palestinienne réformée s'occupe de cette menace terroriste", a-t-il conclu, interrogé par la chaîne de télévision américaine NBC. ( avant les élections)
Par Mena (Mena) le jeudi 13 janvier 2005 - 18h56: |
Dans un monde de putes 1ère partie (info # 011301/5) [analyse]
Par Ilan Tsadik © Metula News Agency
De l’autre côté de la braguette…
Avertissement
Autant l’avouer d’entrée de cause, Germaine n’était pas chaude pour me laisser enquêter dans les bordels d’Israël. Et notre rédacteur en chef "exprimait quelques craintes" face à mon projet. Quant à Taz, le boxer de la Ména, à qui j’avais proposé de m’accompagner dans mon investigation de terrain, il a refusé mon offre, arguant qu’il ne s’intéressait qu’aux chiennes.
Ilan, mes belles cousines, plaçant son devoir de journaliste libre et indépendant bien au-dessus des considérations fessières, a poursuivi, imperturbable, sa recherche de la vérité. Celle-ci l’a mené des tunnels palestiniens de Rafah aux bas fonds de Tel Aviv, en passant par les lupanars épars de Haïfa et les maisons closes pour initiés de Jérusalem. Il (an) s’est vu inspirer cette enquête par deux phénomènes de société, qu’il considère aussi préoccupants l’un que l’autre. Le premier consiste en l’extension du marché du sexe en terre – soi-disant – sainte, tandis que le second, réside dans la couverture excessive, voire dogmatique, qui fait florès dans les médias français, consécutivement à la sortie du film "Terre promise", du réalisateur israélien Amos Gitaï.
Il avait un joli nom mon guide…
Autant séparer les sujets ! De la prostitution en Israël, tout d’abord, honneur aux femmes, si je puis oser l’expression, sur une matière aussi délicate et aussi chiche en honorabilité. C’est un proxénète "travaillant" sur l’axe Tel Aviv-Côte d’Azur, connu dans le milieu sous le nom de Matuss, qui m’a servi de guide afin d’explorer ce monde parallèle et obscur, qui s’est arrêté aux pratiques médiévales.
Ce qui surprend, au contact de Matuss, c’est qu’il est totalement désinhibé. Sous son épaisse moustache multicolore, Matuss vous parle de son business et de ses "marchandises", dans les mêmes termes qu’un importateur de riz vous parlerait du "long grain". Il dit "amortissement", "rentabilité" et "barters", comme un expert en commerce international. Oui mais Matuss possède une trogne de mafieux de polars, le teint trop bronzé pour un homme d’affaires et une chaîne en or à faire courber l’échine à un âne. Ses propos sont abjects, lorsque l’on réalise qu’ils traitent du destin tragique de femmes, d’êtres humains ; je ne peux d’ailleurs m’empêcher de le lui faire remarquer. Il rit, de ce qu’il appelle ma "naïveté" et me tance, en me disant que si je n’ai pas le cœur suffisamment blindé, on peut laisser tomber l’interview. Je cesse la polémique. Je veux savoir. Matuss est l’homme de la situation, le conteur, à moi de surpasser le dégoût qu’il m’inspire. Un mot encore, cependant, sur le personnage : il a des mains et un regard de brute, mais cela ne lui enlève pas la totalité de son air jovial, souligné par son accent typiquement méditerranéen. J’imagine qu’en dehors de ses heures de travail, Matuss pourrait même passer pour un "brave type". Je conçois la problématique de ce genre d’ambiguïté : celui des putois aux allures sympathiques. Passons.
Toutes les activités se professionnalisent
Jusqu’à l’arrivée du million d’émigrants russes, atterrissant dans une communauté de moins de cinq millions d’habitants durant les années 80-90, le marché de la prostitution en Israël était un marché pépère, inintéressant pour les pros du genre Matuss. L’essentiel des activités des péripatéticiennes israéliennes se concentrait sur une plage située à 5 kilomètres au nord de Tel Aviv, la "Plage des invalides" ou Hof ha-nekhim, en hébreu. Beaucoup de celles qui y proposaient leurs services étaient indépendantes et elles n’assuraient en fait que des prestations minima, dans la voiture du blaireau. Quelques dizaines d’autres recevaient dans leurs appartements, c’était le service de luxe, en quelque sorte. Même à Métula, nous avions notre pute, Hermona, une grosse femme noiraude à la voix rêche, qui allégeait les bourses des mâles de la région de leurs surplus de virilité et de quelques billets de banque ma foi honnêtement remportés. Ses clients se comptaient surtout parmi les Druzes du Golan voisin, aux mœurs villageoises très strictes et il était relativement rare qu’un "gentleman farmer" de chez nous en appelle aux services de Hermona ; il fallait se trouver dans un état de manque insupportable pour tomber sous ses attraits limités.
Avec l’arrivée des Russes, la population israélienne passe de 5 à 6 millions d’âmes en l’espace de trois ans. Les nouveaux arrivants sont professionnellement surqualifiés mais ils ne rechignent à aucune tâche. C’est l’époque des professeurs en médecine qui balayent les supermarchés et des généraux de l’armée rouge, qui fouillent les sacs à l’entrée des cinémas. De nombreuses nouvelles émigrantes en sont réduites à se prostituer pour tenir le coup financièrement et elles cassent le marché sur la Plage des Invalides. Les prix dégringolent et les services s’améliorent ; c’est que les nouvelles arrivantes possèdent une véritable culture du sexe, qui n’a rien à voir avec les attitudes coincées des prostiputes indigènes. Les nouvelles accèdent aux moindres désirs des clients, et "n’ont pas leurs yeux fixés sur leur montre en regardant le plafond de la voiture et en comptant les moutons, lorsque vous les besognez", me confie Meïr, un habitué. Les indigènes se retrouvent à la rue – enfin non, elles y étaient déjà – submergées par le Tsunami des prostituées rouges. Les anciennes doivent se recycler. C’est l’époque de la prostitution à bon marché, qui coïncide avec la grande déniaiserie de la société des Sabras collectivistes et raisonnables. C’est aussi l’époque des gags foireux du genre : "Quelle est la différence entre une pizza et une prostituée russe ?
- A peu près cinq Shekels !" (1 Euro)
Mais dans la vague de cette immigration, on ne trouve pas que des bêcheuses semi amateurs, habituées à baisser leurs petites culottes pendant que la majorité des autres fait dignement le marché. La pègre organisée russe gangrène aussi ce formidable mouvement de population et elle n’hésite pas à se frotter, dès sa descente d’avion, à la mafia locale. Les guerres de clans entre les "Israéliens" et "les Russes" sont sanglantes, notamment à Nataniya, où les voyous se disputent les industries habituelles du milieu à coups de flingues : le racket, la drogue et la prostitution. Après des morts par dizaines, dans les deux camps, les clans finiront par accepter la cohabitation et le partage du territoire.
Ivan, Boris et moi
"Les Popov sont de vrais pros", me commente Matuss, en me tenant la porte de l’un de leurs club-bordels, situé en plein centre de Tel Aviv, à 200 mètres de l’artère commerçante de la rue Allenby. Il existe des dizaines d’endroits du même style. La première chose qui frappe, en entrant, c’est le luxe tranchant de l’endroit, son côté feutré, spacieux, bien foutu. La seconde, qui vous terrasse, c’est la beauté des filles et leur âge. Moyenne 20-22 ans. Trois nanas nous entourent, elles semblent bien connaître mon guide, nous enlacent, jettent leurs mains un peu partout sur mon corps d’athlète. Fais pas la tête, Germaine, boulot avant tout, chou, il faut aller au fond des choses.
Presque toutes sont russes mais elles parlent un hébreu et un anglais plus que corrects. J’en compte une quarantaine, pour environ trente clients. Je ne peux m’empêcher de remarquer qu’elles n’ont pas l’air de souffrir, elles donnent plutôt l’impression de s’amuser. Elles ont de l’entregent, de l’humour et du vocabulaire et elles jouent très bien la comédie. "C’est le haut du panier", éructe Matuss, "les girls à 100 Dollars, qui gagnent très bien leur vie". Sonia, celle qui s’est blottie sur mes genoux et qui sirote mon Black Daniel avec une paille, me dit qu’elle est étudiante en sciences économiques à l’Uni de Tel Aviv et qu’elle monnaie ses études en travaillant dans ce club. Matuss, qui a entendu la conversation et qui capte l’essentiel en hébreu, même s’il le parle comme une vache espagnole, acquiesce du chef, pour confirmer la présentation que m’a faite Sonia. "Ca n’est pas ici que tu trouveras mes Estoniennes et mes Moldaves", lâche le souteneur désolé. "Il n’y a que les canons de mon market qui arrivent ici, celles qui ont la chance d’être très belles". Il m’en montre deux, d’un geste très désobligeant de la tête. L’une d’elle est blonde, grande, les cheveux au carré. Elle a une jambe qui traîne sur un canapé et l’autre, qui la tient debout sur le tapis poilu. "C’est la mienne, ma championne", affirme le maquereau marseillais. Moi je suis soufflé. La créature qu’il désigne est si belle qu’elle est presque impossible à regarder. On dirait une Barbie en vrai. Viens, fait mon guide, en me tirant sans ménagement par l’épaulette de ma chemise, je vais te montrer mes gagneuses… le vrai boulot, la tune.
La visite aux esclaves
Changement de décors, direction la bourse aux pierres précieuses, à dix minutes de voiture. Quartier de buildings gigantesques aux architectures d’avant-garde. Une sorte de boutique de plein pied. Une sonnerie électronique, on monte quelques marches et on tombe sur le taulier. C’est un vieux bonhomme édenté, russe, qui sait décliner les tarifs, entre 100 et 300 Shekels, suivant le service demandé (20 à 60 Euros). L’environnement est sobre, il me fait penser à un salon de coiffure, les femmes esquissent un sourire lorsqu’elles croisent votre regard : ça n’est visiblement pas la joie chez les filles de joie. Le vieux, c’est l’alibi, le tampon. Il arrive le matin, il récolte le blé et le patron vient chercher le cash plusieurs fois par jour ; il ne reste pas plus d’une minute dans la taule. Si les flics font une descente, ils ne prennent pas même la peine d’interroger le vieillard, qui ne sait effectivement rien de plus que ce que je vous ai déjà dit.
Les maques n’interviennent que lors de problèmes, lorsqu’une fille "travaille" mal, que des clients se plaignent. Là il faut les "raisonner" et leur donner du cœur à l’ouvrage. Ces femmes font une moyenne de vingt clients par jour "mais ça peut dépasser les trente et dans d’autres taules, dans le quartier de la Takhana Merkazit (la gare routière), les filles en font cinquante et même soixante". Elles ne peuvent pas fuir, la porte est condamnée par une serrure électrique et puis, le proxénète leur a pris leur passeport et elles ne parlent pas l’hébreu. Il est advenu qu’une fugitive arrive au commissariat et tombe sur un flic ripoux qui la ramène directement ici. Sinon, elles sont placées dans des centres de détention pour résidents illégaux et elles sont renvoyées chez elles, sans un sou en poche, dès qu’un accord a pu être trouvé avec le pays d’origine. Parfois, cela dure plusieurs mois.
Ces femmes sont à proprement parler des esclaves, soumises à toutes les volontés de leur propriétaire. Matuss veut "m’en offrir une" mais j’ai plutôt envie de lui mettre un uppercut dans le cadre et d’ouvrir la cage aux oiseaux. Tout ce qui me retient de le faire, c’est que je ne suis pas sûr du tout que les femmes-esclaves prendraient le risque de s’en aller.
Leurs clients ? – Des cadres subalternes qui "viennent tirer un petit coup" au milieu de la journée de travail. Dans les bouges de la Takhana Merkazit, le fond du tonneau, les chalands, ce sont les petits boutiquiers, les ouvriers et les travailleurs étrangers.
Comment ça marche
Ces femmes sont achetées entre 5'000 et 35'000 Dollars lors de ventes aux enchères qui se tiennent surtout en Albanie, la plaque tournante des prostituées est européennes. La plupart sont des paysannes pauvres, issues des Etats de la décomposition de l’ex-URSS. Elles ont été appâtées par des annonces pour des concours de beauté, des castings bidons de mannequins, quant ce n’est pas par des rabatteurs du même village, qui leur ont promis un travail rémunérateur en Europe occidentale. Elles perdent leur liberté dès qu’elles quittent leur patelin, elles deviennent instantanément des marchandises. D’Albanie, celles-ci ont été débarquées sur la rive méditerranéenne de la péninsule du Sinaï, en Egypte, puis elles ont transité par les tunnels des contrebandiers palestiniens de Rafah. Ces mêmes tunnels que défendent des volontaires d’ONG européennes favorables aux transporteurs d’esclaves, du moment qu’ils sont palestiniens.
En principe, ces femmes sont achetées pour des périodes d’une dizaine d’années, ensuite, leur condition physiologique fait qu’elles ne sont plus rentables. Souvent elles sont vendues par un souteneur à un autre, voir échangées. En principe aussi, les prostituées ont droit à une commission minuscule sur chaque passe mais dans la réalité, ce pécule leur est souvent impayé ou dérobé par leurs "propriétaires".
L’un des nombreux phénomènes inquiétants de ce trafic, c’est qu’il se démocratise. J’ai ainsi visité cet appartement, dans la banlieue de Ramat-Gan, dans lequel l’une des chambres est réservée au commerce du corps de Svetlana, laquelle a été achetée par un couple de nouveaux émigrants russes à l’allure insipide. Le soir, lorsque les deux enfants reviennent de l’école, Svetlana se transforme en fille au pair et aide aux tâches ménagères. J’ai parlé à ce restaurateur de notre région, qui s’est offert deux bêcheuses russes, pour 15'000 Dollars chacune, et qui les fait "travailler" dans l’une des deux maisons closes de Kiriat Shmona.
Combien sont-elles, ces filles de l’Est ? La prostitution n’est pas une science exacte : on parle de 900 malheureuses, Matuss dit qu’il pourrait y en avoir tout aussi bien 1'500, voir 2'000. J’ai emmené Matuss voir le film d’Amos Gitaï pour avoir son commentaire. Sur le fond, rien à dire, confie l’expert ; la violence présentée est à peine excessive. La scène des déshabillages forcés, à la Auschwitz, l’a fait sourciller, de même que la relation forcenée que le réalisateur tente d’établir avec le problème israélo-palestinien. "Bonne mère, que c’est con", lâche le maque, qui n’est même pas juif et qui se fiche éperdument de la politique.
Graine de critique cinématographique
"Il y a une autre fadaise dans ce film", me déclare le proxénète qui prend son rôle de critique cinématographique au sérieux : "Israël demeure un pays """sous-puté""", c’est pour cela qu’on peut encore y faire des affaires. Haïfa est la ville portuaire la plus sous-putée du pourtour de la Méditerranée, et je te parle pas d’Asheudôd", dit-il avec l’assen de la Cannebière. "Tu mets toutes les filles de votre pays dans une seule avenue du bois de Boulogne, Ilan. C’est là que ça va pas. Vous êtes encore de tout petits consommateurs, il y a trente fois plus de filles par habitant en France, en Italie, en Allemagne et en Hollande et les filles de l’Est, qui sont traitées comme ici et qui proviennent des mêmes filières, des mêmes bourses, sont les "privilégiées". T’as pas vu comment on s’occupe des Asiatiques et des noires (il emploie un autre terme) chez nous, on pourrait même pas montrer ça au cinéma."
La peste est un aussi grand problème
Je prends congé de Matuss, avec lequel je viens de passer deux jours dans son monde qui me dégoûte. Je vais passer une heure sous la douche en essayant d’effacer sa tête de maque satisfait et les regards insupportables des femmes des bordels. D’effacer leur injustice de mon cerveau pour ne pas faire tout péter tout de suite. En revenant de ce séjour en enfer, Métula ressemble vraiment au paradis.
Reste que le souteneur marseillais a posé la vraie problématique du film de Gitaï et de la publicité pléthorique dont il jouit dans les médias français : faire de la traite des blanches et de l’exploitation de leurs culs un problème typiquement israélien, stigmatiser l’ensemble de notre population autour de la prostitution, omettre grossièrement de situer le problème dans sa perspective mondiale, c’est significatif de la maladie d’une autre communauté. La maladie s’appelle antisémitisme et les patients appartiennent à l’hôpital de la classe dirigeante et des pseudo intellectuels de la France. Ilan va tenter de les soigner dans le second volet de son enquête, dans laquelle il espère ne pas regretter cette fripouille de Matuss.
A suivre la seconde partie "De la responsabilité illimitée du Juif Iceberg sur les événements du monde dans la presse française"…
Par Email (Email) le jeudi 13 janvier 2005 - 18h52: |
Opportunités de carrières à Haïfa dans le High-Tech! Connec'Sion partenaire:
CONNEC’SION PARTENAIRE DE LA VILLE DE HAIFA
La ville de Haïfa, jumelée à Marseille, sera présente lors de la journée pour l’Alyah, organisée par l’Agence Juive à Paris, dimanche 16 janvier 2005 à la maison France – Israël.
Sur son stand, avec son partenaire Connec’Sion (Informaticiens Juifs de France) la ville de Haïfa recevra les candidats pour une prochaine Alyah, avec des propositions de postes à pourvoir dans le domaine HIGH TECH.
150 INFORMATICIENS sont actuellement recherchés, dans les domaines suivants :
- Architecte Systèmes et Réseaux (Wi-fi, LAN, cellulaires)
- Développeurs Micro-Processeur
- Architecture et Développement d'outils Software
-Ingénieurs IT (Information Technology)
Contact : infos@connec-sion.com
La communauté francophone de Haïfa nous informe que d'importantes compagnies prévoient d'embaucher un nombre important d'ingénieurs et techniciens de haut niveau en 2005, essentiellement mais pas uniquement dans les domaines de l'électronique et de l'informatique.
Suite à l'expérience réussie d'intégration de jeunes diplômés des Grandes Ecoles et Universités Françaises, les responsables du recrutement dans ces entreprises prêteront une attention particulière aux postulants candidats à l'alya.
Dans ce cadre, la Ville de Haïfa en partenariat avec l'Agence Juive et le Ministère de l'Intégration Israélien, met en place un programme d'information et d'accueil afin, dans un premier temps, de mettre en contact les entreprises recrutantes et les jeunes diplômés candidats à l'alya, puis dans un second temps organiser la montée en groupe en Israël et l'installation à Haïfa des futurs embauchés.
Les postulants sont invités a nous envoyer leur CV, que nous nous proposons d'aider à améliorer du point de vue des informations importantes au yeux de recruteurs Israéliens. Nous les transmettrons en Israël où un premier filtrage sera effectué par des personnes ayant connaissance du système éducatif en France. Pour ceux qui envisageraient une Alya cet été, des entretiens seront organisés en France ou en Israel suivant les entreprises.
De plus, il est prévu d'organiser des voyages d'étude à Haïfa au cours desquels se tiendront, éventuellement, des entretiens d'embauche et seront présentés les aspects pratiques de la vie en Israël ainsi que les attraits particuliers de la ville de Haïfa et les moyens mis en place en partenariat avec la municipalité afin d'y encourager l'établissement et l'intégration d'olims originaires de France.
Il importe de préciser que la ville de Haïfa est renommée pour son cadre de vie et son esprit d'ouverture permettant de répondre à toutes les aspirations culturelles et religieuses.
Adresse en France: Connec-sion www.connec-sion.com (infos@connec-sion.com)
Responsables du projet en France
Nathalie Dian (nathalie_dian@yahoo.fr) et Michèle Elbaz (michele.elbaz@institutpointcom.com)
Responsable du projet en Israël : hanoch@iec.co.il
Par Email (Email) le jeudi 13 janvier 2005 - 18h46: |
Bonjour,
Je suis allée sur votre site pour voir si vous indiquez quelque part une recette de cuisine : viande ou poulet avec des citrons beldi.
Je ne sais quel légume servir en accompagnement.
Pourriez-vous m’aider à trouver une personne « forte en cuisine » qui puisse me répondre – je reçois des amis prochainement et je voudrais mettre les petits plats dans les grands ......
Merci à l’avance.
Evelyne Doukhan
Par Claudia (Claudia) le jeudi 13 janvier 2005 - 18h40: |
Appels pour que le prince Harry s'excuse en personne
AFP
Le prince Harry doit s'excuser personnellement pour s'être déguisé en nazi lors d'une fête costumée, a estimé jeudi le leader de l'opposition conservatrice britannique Michael Howard, alors que les critiques se multiplient contre le fils cadet du prince Charles."Je pense qu'il serait approprié qu'il nous dise lui même à quel point il est désolé", a déclaré Michael Howard, après la diffusion d'un communiqué de Clarence House --les services du prince Charles et de ses fils-- affirmant que le prince présentait ses excuses pour ce que son entourage a qualifié de "mauvais choix de costume".M. Howard, qui est juif, a souligné que la publication de la photo du prince, déguisé en officier nazi de l'Afrika Korps, brassard frappé d'une swastika au bras gauche, allait provoquer beaucoup d'indignation.Un ancien porte-parole de la monarchie britannique, Dickie Arbiter, a lui aussi demandé au prince des excuses publiques, jugeant qu'un communiqué n'était pas suffisant."S'il veut être traité en adulte, il doit se comporter en adulte et doit présenter des excuses en personne, via la radio et la télévision", a déclaré M. Arbiter sur la BBC.Le centre Simon Wiesenthal a dénoncé "un acte honteux" et invité le prince à accompagner une délégation britannique qui doit se rendre le 27 janvier à Auschwitz pour marquer le 60e anniversaire de la libération du camp de la mort.Et le responsable de l'organisation "Unite against facism" (uni contre le fascisme), Andy Pike, a demandé au prince de faire plus que présenter des excuses. "Nous aimerions qu'Harry se distancie des idées nazies de suprématie blanche, d'anti-sémitisme et de racisme", a-t-il dit.Le porte-parole du Premier ministre Tony Blair a lui préféré joué la modération."Il est clair qu'une erreur a été commise, Harry l'a reconnu", a-t-il indiqué.
Par Maurice (Maurice) le jeudi 13 janvier 2005 - 11h30: |
Meet the new boss MESSAGE POUR NE PAS VIVRE DE REVE
Posted: January 10, 2005
1:00 a.m. Eastern
© 2005 WorldNetDaily.com VOILA L'ADRESE DU JOURNAL AMERICAIN
In election results that are a surprise to no one, Mahmoud Abbas is expected today to be the declared winner of the presidential election in the Palestinian Authority.
Some are hopeful this "moderate" may be the key to peace with Israel. I do not share that optimism.
The key to a negotiated peace would be Arab leadership willing to do the following:
arrest those openly practicing and committed to terrorism against Israel;
stop the anti-Semitic education and propaganda pervasive in Palestinian Authority schools and official media;
agree to live in peace with Jewish neighbors both in Israel and outside;
Abbas, a long-time partner in terrorist crime with the late Yasser Arafat, does not seem prepared to do any of these three things.
Abbas has consistently opposed the idea of using the Palestinian security forces to stop terrorism. Even though this is an absolute requirement of the misguided U.S. peace roadmap, Abbas said he has no intention of upholding the commitment.
During a speech to the Palestinian Legislative Council in the fall of 2003, Abbas explained in Arabic that the roadmap calls for "striking and uprooting the [terrorist] organizations." He said he successfully "surmounted" this problem – meaning he ignored it.
In other words, quite clearly, what Abbas says in English to Western audiences is at odds with what he says in Arabic to his constituents. Does this sound familiar? It is exactly what we witnessed with Arafat for more than 40 years.
Nothing Abbas, or Arafat before him, say is meaningful. We must watch their actions instead. And their actions show only one thing: They continue to work toward the total destruction of the state of Israel and the murder of as many Jews as possible.
Abbas, or Abu Mazen as he is also known, is not the moderate hope for peace as he has often been portrayed.
Many have heard the story of how Abbas, as a doctoral candidate at Moscow's Oriental College in 1982, wrote a thesis suggesting far fewer than 6 million Jews were killed in the Holocaust. But, Abbas did much more than that. He actually accused the Jews of conspiring with Adolph Hitler to annihilate European Jewry. He accused the Jews of deliberately inflating the numbers of those killed in concentration camps to pave the way for a Jewish state. He may have been one of the first to equate Zionism with Nazism.
"The Zionist movement's stake in inflating the number of murdered in the war was aimed at ensuring great gains," he wrote, adding that "this led to confirm the number [6 million] to establish it in world opinion, and, by so doing, to arouse more pangs of conscience and sympathy for Zionism in general."
In the version of his doctoral paper later published under the title, "The Other Side: The Secret Relationship Between Nazism and the Zionist Movement," Abbas denied the German use of gas chambers and suggested the total number of Jews killed was fewer than 1 million.
But perhaps the most horrifying and revolting charge by Abbas is that Zionists were complicit with the Nazis in the murder of Jews.
"The Zionist movement led a broad campaign of incitement against the Jews living under Nazi rule, in order to arouse the government's hatred of them, to fuel vengeance against them, and to expand the mass extermination," Abbas wrote.
Abbas has danced around this treatise for many years. He has attempted to put it in perspective. He has tried to explain what he really meant when he denied 6 million Jews were murdered. But he has never publicly retracted his accusation that Zionists collaborated with the Nazis in the extermination of Jews.
Abbas was one of the principal planners of the Munich Olympics terrorist attack. He was the guy who wrote the checks and embraced the operatives as they headed off to one of the most sensational terrorist attacks of its time in 1972. More recently he said the "intifada" – the violent uprising by Arabs against Israel that has raged since the fall of 2000 – "must continue." He has never renounced armed struggle as a legitimate means of achieving his precious Palestinian state.
Meet the new boss ... same as the old boss.